Permanence d'été
Publié : 26 août 2013, 14:31
Sylvie est la secrétaire du directeur. La cinquantaine svelte, mais que d’aucuns jugent austère. Des hommes qui ne savent pas voir la beauté où elle est vraiment. Visage régulier, mais trop peu souvent souriant. Taille de guêpe, une vraie jeune fille. Femme petite, mais admirablement proportionnée, aux jambes fines et aux chevilles délicates. Sylvie est une vraie belle femme. Et ses jupes couvrant ses genoux, que je devinais élégants, mettaient en valeur un derrière qui ne devait pas être moins adorable.
Eté comme hiver, Sylvie couvrait ses jambes de soie grise ou chair, ce qui déclenchait chez l’obsédé des jambes de femmes que je suis, un réflexe pavlovien assez bestial. Quelle que fut la démarche qui me menait à son petit bureau, j’avais en tête des scénarios improbables où la discrète secrétaire se faisait chienne lubrique assoiffée de sexe masculin, le mien en l’occurrence.
C’était au cœur de l’été. Nous étions peu dans cet immeuble de type haussmanien à assurer une permanence. Et nous étions peu dérangés.
Comme je me sentais seul, je trouvai un formulaire administratif à remplir et surtout, à déposer sur le bureau de Sylvie, espérant que nous pourrions discuter un peu pour passer le temps. Monsieur le juge, je vous jure que je n’avais pas de plan en tête ! des idées déplacées oui, mais je n’avais pas idée de ce qui se passerait réellement !
Sylvie était bien dans son bureau. Et elle y était seule. Elle avait croisé ses jambes et lisait l’actualité sur internet d’un œil distrait. Elle réserva à mon arrivée le sourire qu’elle aurait accordé au sauveteur en mer qui serait venu empêcher qu’elle se noie. Elle se noyait dans l’ennui.
Je fus aussitôt invité à m’asseoir et à partager un de ses mauvais cafés.
Nous parlâmes de tout et de rien. La conversation arriva sur l’ennui qui nous assommait, nous les forçats de l’été. En tant que fétichiste inavoué, je vis avec une grande émotion son escarpin tomber sans bruit sous son bureau. Son pied dans son bas relevait de la parfaite beauté. Autant confesser que je bandais bien dur. Je l’imaginais appuyant sur la bosse de ma braguette. Caressant délicatement mon membre prêt à jaillir. Je sentais le contact chaud de la soie sur la peau sensible de ma verge. Je n’en pouvais plus.
« Quand je m’ennuie, seul dans mon bureau, j’ai l’imagination qui dérape… » lançai-je.
« Ah oui ? Vous rêvassez ? »
« Oui… des rêveries diverses et variées. Des aventures héroïques, d’autres plus coquines… Je ne peux pas m’en empêcher… »
Elle rit. Un rire gracieux que peu de monde lui connaît dans le cadre professionnel.
« Je ne vous savais pas porté à ce genre de divagations, vous avez l’air tellement sérieux… » fit-elle en plissant les yeux malignement.
« Vous avez l’air sérieuse, vous aussi… » répondis-je.
« Je suis comme vous, je peux être coquine aussi. Mais pas ici.» dit-elle avec un sérieux soudain qui trahissait une certaine émotion.
Il fallait réagir, entretenir cette tension érotique que j’avais réussi à faire entrer dans le bureau.
« Pourquoi pas ici ? Les envies ne se contrôlent pas… » lançai-je de manière à relancer le débat.
« Non, vous avez raison, elles ne se contrôlent pas. Mais que faire ici quand une envie, comme vous dites, vous prend ? »
La perche.
« Fermer le bureau, surtout quand il n’y a personne. Et se laisser aller… En secret… »
Elle s’efforçait de ne pas sourire, mais ses yeux pétillaient. Il était assez excitant de voir une femme de cet âge et de cette classe en proie à d’aussi délicieux tourments. Elle semblait un peu perdue d’être courtisée de manière assez brutale par moi à son bureau. Sur ce fauteuil, dans cette pièce, il n’y avait d’ordinaire aucune place pour la sensualité. J’avais tout mis à sac. L’envie de sexe faisait irruption dans ce sanctuaire, comme les barbares dans Rome.
Elle poussa un long soupir.
« Vous me troublez, monsieur G… » rougit-elle adorablement.
« Vous aussi, Sylvie… intensément… »
Je me levai et fermai la porte de son bureau. Quand je revins vers elle, elle avait tourné son fauteuil et me faisait face. Ses deux souliers gisaient sous son bureau, preuve de sa soumission à mes plus vils et sexuels instincts. Je passai ma main dans ses cheveux savamment tirés en arrière. Je posai ma bouche sur ses lèvres. Elle me repoussa.
« Non… Ce n’est pas raisonnable… »
« Trop tard Sylvie… Trop tard. »
Ma langue força sa bouche et aussitôt qu’elle toucha la sienne, ce fut une danse frénétique. Elle posa sa main dans mon cou. Elle mettait une grande passion dans son roulage de pelle. Une adolescente enfiévrée. Je caressai son visage. Son cou. Je passai ma main sous son chemisier pour y sentir la douceur de sa peau de vieille vierge. Elle avait des seins menus, mais parfaitement formés. Quand je touchai la dentelle qui les maintenait, je sentais Sylvie plus frémissante.
« Vous savez, ça fait assez longtemps que je n’ai pas… » murmura-t-elle à mon oreille.
« Laissez-vous faire, décontractez-vous… , la rassurai-je. Vous êtes adorable Sylvie… »
Je compris, à la touchante confession de ma collègue, qu’une certaine douceur serait le meilleur moyen pour que nous passions tous deux un agréable moment.
J’ouvris délicatement ce chemisier noir et je vis ses tétons sous la dentelle fine qui enserrait sa poitrine.
« Vous avez des seins superbes… » commentai-je en m’attaquant à l’agrafe qui les tenait.
« Ils sont tout petits » minauda-t-elle…
« Ils sont parfaits » affirmai-je en faisant pivoter son siège et en me penchant vers ses jolis globes. Ma bouche prit son téton rose. Et ma langue en fit le tour, le sentant se raidir.
(...)
Eté comme hiver, Sylvie couvrait ses jambes de soie grise ou chair, ce qui déclenchait chez l’obsédé des jambes de femmes que je suis, un réflexe pavlovien assez bestial. Quelle que fut la démarche qui me menait à son petit bureau, j’avais en tête des scénarios improbables où la discrète secrétaire se faisait chienne lubrique assoiffée de sexe masculin, le mien en l’occurrence.
C’était au cœur de l’été. Nous étions peu dans cet immeuble de type haussmanien à assurer une permanence. Et nous étions peu dérangés.
Comme je me sentais seul, je trouvai un formulaire administratif à remplir et surtout, à déposer sur le bureau de Sylvie, espérant que nous pourrions discuter un peu pour passer le temps. Monsieur le juge, je vous jure que je n’avais pas de plan en tête ! des idées déplacées oui, mais je n’avais pas idée de ce qui se passerait réellement !
Sylvie était bien dans son bureau. Et elle y était seule. Elle avait croisé ses jambes et lisait l’actualité sur internet d’un œil distrait. Elle réserva à mon arrivée le sourire qu’elle aurait accordé au sauveteur en mer qui serait venu empêcher qu’elle se noie. Elle se noyait dans l’ennui.
Je fus aussitôt invité à m’asseoir et à partager un de ses mauvais cafés.
Nous parlâmes de tout et de rien. La conversation arriva sur l’ennui qui nous assommait, nous les forçats de l’été. En tant que fétichiste inavoué, je vis avec une grande émotion son escarpin tomber sans bruit sous son bureau. Son pied dans son bas relevait de la parfaite beauté. Autant confesser que je bandais bien dur. Je l’imaginais appuyant sur la bosse de ma braguette. Caressant délicatement mon membre prêt à jaillir. Je sentais le contact chaud de la soie sur la peau sensible de ma verge. Je n’en pouvais plus.
« Quand je m’ennuie, seul dans mon bureau, j’ai l’imagination qui dérape… » lançai-je.
« Ah oui ? Vous rêvassez ? »
« Oui… des rêveries diverses et variées. Des aventures héroïques, d’autres plus coquines… Je ne peux pas m’en empêcher… »
Elle rit. Un rire gracieux que peu de monde lui connaît dans le cadre professionnel.
« Je ne vous savais pas porté à ce genre de divagations, vous avez l’air tellement sérieux… » fit-elle en plissant les yeux malignement.
« Vous avez l’air sérieuse, vous aussi… » répondis-je.
« Je suis comme vous, je peux être coquine aussi. Mais pas ici.» dit-elle avec un sérieux soudain qui trahissait une certaine émotion.
Il fallait réagir, entretenir cette tension érotique que j’avais réussi à faire entrer dans le bureau.
« Pourquoi pas ici ? Les envies ne se contrôlent pas… » lançai-je de manière à relancer le débat.
« Non, vous avez raison, elles ne se contrôlent pas. Mais que faire ici quand une envie, comme vous dites, vous prend ? »
La perche.
« Fermer le bureau, surtout quand il n’y a personne. Et se laisser aller… En secret… »
Elle s’efforçait de ne pas sourire, mais ses yeux pétillaient. Il était assez excitant de voir une femme de cet âge et de cette classe en proie à d’aussi délicieux tourments. Elle semblait un peu perdue d’être courtisée de manière assez brutale par moi à son bureau. Sur ce fauteuil, dans cette pièce, il n’y avait d’ordinaire aucune place pour la sensualité. J’avais tout mis à sac. L’envie de sexe faisait irruption dans ce sanctuaire, comme les barbares dans Rome.
Elle poussa un long soupir.
« Vous me troublez, monsieur G… » rougit-elle adorablement.
« Vous aussi, Sylvie… intensément… »
Je me levai et fermai la porte de son bureau. Quand je revins vers elle, elle avait tourné son fauteuil et me faisait face. Ses deux souliers gisaient sous son bureau, preuve de sa soumission à mes plus vils et sexuels instincts. Je passai ma main dans ses cheveux savamment tirés en arrière. Je posai ma bouche sur ses lèvres. Elle me repoussa.
« Non… Ce n’est pas raisonnable… »
« Trop tard Sylvie… Trop tard. »
Ma langue força sa bouche et aussitôt qu’elle toucha la sienne, ce fut une danse frénétique. Elle posa sa main dans mon cou. Elle mettait une grande passion dans son roulage de pelle. Une adolescente enfiévrée. Je caressai son visage. Son cou. Je passai ma main sous son chemisier pour y sentir la douceur de sa peau de vieille vierge. Elle avait des seins menus, mais parfaitement formés. Quand je touchai la dentelle qui les maintenait, je sentais Sylvie plus frémissante.
« Vous savez, ça fait assez longtemps que je n’ai pas… » murmura-t-elle à mon oreille.
« Laissez-vous faire, décontractez-vous… , la rassurai-je. Vous êtes adorable Sylvie… »
Je compris, à la touchante confession de ma collègue, qu’une certaine douceur serait le meilleur moyen pour que nous passions tous deux un agréable moment.
J’ouvris délicatement ce chemisier noir et je vis ses tétons sous la dentelle fine qui enserrait sa poitrine.
« Vous avez des seins superbes… » commentai-je en m’attaquant à l’agrafe qui les tenait.
« Ils sont tout petits » minauda-t-elle…
« Ils sont parfaits » affirmai-je en faisant pivoter son siège et en me penchant vers ses jolis globes. Ma bouche prit son téton rose. Et ma langue en fit le tour, le sentant se raidir.
(...)