Dites-le avec des fleurs. [BDSM]

Des récits qui ne manqueront pas de réveiller vos sens et votre imagination...
Topmaso
Emérite
Messages : 1965
Inscription : 18 avril 2012, 15:50
Localisation : Clermont-Ferrand
A remercié : 58 times
A été remercié : 427 times

Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

NDA : Ingrid se venge dans Sévices compris. Merci Ingrid. Merci L. :hello:

Sévices compris.

Furieuse de sa propre faiblesse, Ingrid se défoulait sur moi. Accroupi à ses pieds, la chemise relevée et le pantalon baissé, je subissais sa colère. Sa badine me zébrait les fesses et le bas du dos. Je tenais ses pieds embrassés et appuyais ma tête contre ses chevilles. Je ne pouvais ni hurler ni implorer sa pitié car elle avait roulé en boule une de mes propres chaussettes et me l'avait enfoncée dans la bouche.

Elle hurlait des insultes en me frappant. Chaque coup laissait une marque écarlate, profonde... Je ne parvins à retenir mes larmes et en même temps... j'aimais ça...

Chaque coup, chaque marque était un signe de l'attention trouble qu'elle me portait. Je ne la laissais pas insensible... Quand elle me dominait, elle se livrait aussi. Elle n'était plus la blonde directrice sophistiquée et inaccessible à cet instant-là... Elle redevenait une petite fille espiègle et joueuse... et une femme insatisfaite.

Elle était furieuse qu'un être aussi médiocre que moi ait pu capter son attention au point de la laisser baisser sa garde.

Je ne sentais presque plus les coups... C'était bon. Je les attendais, me délectant de la souffrance qu'elle m'infligeait... Je voulais embrasser ses pieds, lui appartenir, me fondre en elle. Sa brutalité ne déclenchait ni haine, ni révolte de ma part - j'étais trop lâche et inférieur pour en être capable... Je me surpris à jouir de cette douleur.

Puis le calme se fit. Elle pris mon visage entre ses mains, me redressa... Je me laissais faire. Son regard bleu était étrange, voilé d'émotion... Elle m'enleva mon bâillon, releva sa jupe, révélant de nouveau son sexe pulpeux et plaqua ses cuisses contre ma tête. Elle pressait fort. A son ordre, j'ouvris grand ma bouche et elle se libéra. Un liquide chaud m'emplit, me coula dans la gorge, déborda aux commissures de mes lèvres, inonda mon col de chemise... J'étais son réceptacle, je l'avalais mais doucement, pas à gros bouillon, je communiais avec son intimité. Réduit à néant, je m'abimais dans une douce obscurité.

Et je la vénérai intensément.

Carpe diem.

Bis.
Topmaso
Emérite
Messages : 1965
Inscription : 18 avril 2012, 15:50
Localisation : Clermont-Ferrand
A remercié : 58 times
A été remercié : 427 times

Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

NDA :Ingrid (toujours) m'invite pour une séance particulière Et encore merci à L. ;)

A la fin de ma séance d’humiliation, Ingrid me prit la tête entre ses mains et elle me dit : « vendredi soir, 19 heures, chez moi. Sois ponctuel. »

Bien mis, parfumé, les cheveux pommadés – comme elle détestait – et un bouquet à la main, je me présentais au lieu et à l’heure dite. Je sonnais à l’interphone. Elle me répondit d’entrer et m’indiqua l’étage, la porte était entrouverte. Je montais rapidement, pénétrai chez elle et refermai soigneusement derrière moi. Elle attendait dans le salon, revêtu d’un déshabillé vaporeux qui laissait voir ses dessous en dentelle noirs et ses porte-jarretelles. Elle avait chaussé ses bottes à talons pointus dont je connaissais le goût…
Un cliché. Mais quel beau cliché.
Elle avait accordé un grand soin à son maquillage – encore plus que d’habitude ! – ses yeux bleus, cernés de noirs, ses paupières couvertes d’azur, ses lèvres rouge sang brillantes, ses cheveux blonds soigneusement peignés, bien ordonnés le long d’une raie médiane en éclair… Elle rayonnait.

« Entre, J », me dit-elle, d’une voix à la fois douce et impérative. Je vis alors disposé dans le salon toute une gamme d’accessoires : de longues chaînes et de solides cadenas en provenance de Monsieur Bricolage, des godemichés commandés chez La Redoute, des martinets achetés sur Amazone.fr, des huiles aux parfums délicats... Je tressaillis… quand elle me dit : « ce n’est pas pour toi, mais pour moi… Je veux que tu les utilises sur moi... Je serai ta chose... »

Je croyais rêver : Ingrid se soumettant à moi ? Dans mes rêves les plus fous, je ne m’imaginais même pas levant les yeux sur elle ! Dans un état second, je m’emparais des chaînes. Elle m’indiqua l’emplacement de petits anneaux qu’elle avait fait placé dans le cadre de la porte, en décoratrice avisée. J’y enfilais les chaînes puis les reliaient à des bracelets qui lui enserraient les poignets. D’une simple traction, ses bras furent suspendus. Elle se tenaient sur la pointe des pieds, devant moi. Je contemplais sa nuque blonde, dégagée, parfumée… sa peau blanche…

« T’attends quoi pour me déshabiller, crétin ?! » lança-t-elle, impatiente.
Les doigts tremblants, j’essayais d’enlever son vêtement…
« Arrache-le donc, empoté ! » cria-t-elle.
J’obéis frénétiquement… Puis je demeurai interdit…
« Le martinet ! »
Je pris l’objet et lui donnais un coup sur le bas du dos.
« Plus fort ! »
Je recommençai.
« Plus fort ! T’as du sang de navet dans les bras ou quoi ?! »
Je recommençai, encore et encore, dessinant des zébrures rouges sur ses reins.
Elle ne disait plus rien, ponctuant chaque coup d’un soupir retenu entre ses dents.
J’étais étonné par sa résistance. Jamais je n’en aurais supporté autant !
Je frappais maintenant ses épaules.
Admirable Ingrid qui ne se plaignait pas.
J’arrêtais et la saisis par les cheveux, ses cheveux blonds et soyeux si doux au toucher, et lui tirai la tête en arrière…
« T’en veux encore ? »
« Le gode », me répondit-elle…
Je pris l’objet et commençais maladroitement à l’enfiler.
A enfiler le gode sur moi !
Puis je me présentai derrière elle et baissai culotte et jarretelles.
« T’as lubrifié ? »
Oups ! Je me dépêchai d’ouvrir une fiole et d’en enduire l’instrument.
« Pauvre con, me fit-elle, et donne donc du mou aux chaînes, mes pieds touchent à peine le sol ! »
Donner du mou aux chaînes, je pouvais. Moi, par contre, je durcissais.
Je n’avais pas besoin de gode, pensai-je.
Je pris sa croupe zébrée entre mes mains, présentai l’objet et commençai à entrer en douceur…
« Plus fort ! » ordonna-t-elle.
Je m’exécutai, intensifiant mes coups de reins, pénétrant plus profondément.
Elle tressautait, poussait de petits râles tandis que j’accélérai le rythme…
Nous allions crescendo, de plus en plus fort, de plus en plus profond…
Jusqu’à l’apothéose, un cri de plaisir qu’elle ne pu retenir…
J’avais de la peine à me contenir, moi aussi.
« J, me dit-elle, viens devant moi… Et soulage-toi sur mes bottes. »
Sur ses bottes ? J’obéis, passai devant-elle, me débarrassai du gode et… je vins…
Un soulagement intense qui me combla.
Je rejetai la tête en arrière puis la baissai de nouveau, croisant son regard.
« Maintenant, nettoie-les. Tu sais comment faire. »
Même attachée, elle me gouvernait…
Sans révolte, je m’accroupis alors et commençai à faire briller ses bottes, en m’appliquant.
« N’oublie pas de laper aussi les taches que tu as faites sur mon parquet », commanda-t-elle en maîtresse de maison scrupuleuse.

Ma besogne accomplie, elle m’ordonna de la détacher.
Comme je m’exécutais, je l’entendis feuler…
Un reportage que j’avais vu sur les mantes religieuses me revint alors en mémoire… :sweat:
Mad'O
Langue Pendue
Messages : 9723
Inscription : 16 octobre 2013, 20:51
A remercié : 517 times
A été remercié : 1343 times

Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Mad'O »

lol tu fais de la pub :mdr:

sympa, mais on se demande... pourquoi ??????
Parfois on regarde les choses telles qu'elles sont en se demandant pourquoi.
Parfois on les regarde telles qu'elles pourraient être en se disant pourquoi pas.
Topmaso
Emérite
Messages : 1965
Inscription : 18 avril 2012, 15:50
Localisation : Clermont-Ferrand
A remercié : 58 times
A été remercié : 427 times

Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

Je remercie les personnes qui m'ont inspiré ou suggéré des idées. Mais elles ne sont plus sur le forum rose. :(
C'est plus honnête de reconnaître les contributions de mes lectrices, ;)
Topmaso
Emérite
Messages : 1965
Inscription : 18 avril 2012, 15:50
Localisation : Clermont-Ferrand
A remercié : 58 times
A été remercié : 427 times

Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

NDA : Quand Sophie invite Laurence et Ingrid, je fais le service... et le mobilier ! Première partie ici...

Apéritif dinatoire.

Sophie devait négocier un nouveau prêt avec Laurence.
Elle connaissait ses goûts en matière de d/s.
Et elle savait que j’en faisais les frais à l’occasion.
Endetté jusqu'au cou, je subissais ses caprices afin d'obtenir délais et échelonnements de paiement. Accroupi, nu, le stylo dans la bouche, je signais des reconnaissances de dettes qui m'enchaînaient à son service, paraphant le document maintenu au sol par son pied…
La banquière aimait se servir de mon dos pour reposer son fessier.
Elle aimait aussi m’utiliser comme pot à crayons...
Des crayons qu’elle m’obligeait à bien nettoyer par la suite...
Car Laurence prenait toujours soin de son matériel.

Sophie avait donc résolu de se servir de moi pour éblouir Laurence.

Elle l’avait invitée chez elle pour un petit apéritif dinatoire en compagnie d’Ingrid.
Elles s’étaient mises toutes les trois sur leur trente et un (ce qui faisait... 93 ?!... dommage !), chacune au sommet de son charme.

Laurence avait fait tresser ses mèches noires et bouclées en une coiffure d’inspiration africaine qui lui dessinait de savants motifs couleur chair noyés dans la masse sombre de sa chevelure. Elle portait un tricot noir, très moulant qui soulignait sa poitrine généreuse et faisait ressortir une chaîne d'or qu'elle portait en pendentif ; elle avait enfilé une mini jupe en cuir, noire également, et avait chaussé une paire de bottes montantes à talons hauts, noires, toujours. Son beau visage ovale et pâle était mis en valeur par contraste. Ses lèvres rubis étincelaient. Ses yeux sombres brillaient.

Sophie avait opté pour une robe de soie rouge qui moulait ses formes. Son maquillage était sobre. Ses beaux cheveux bruns coiffés en carré strict encadraient un visage à l’expression sévère et dédaigneuse. Deux petites larmes de cristal pendaient de ses lobes d’oreilles.

Enfin, Ingrid était rayonnante dans une courte robe ivoire à bretelles qui dégageait ses épaules blanches et rondes. Maquillage sobre également : des lèvres luisantes grâce à un lipstick transparent, une ombre verte sur ses paupières aux longs cils, qui mettait en valeur son regard azur… Et ses cheveux blonds, coupés court, qui auréolaient de lumière sa frimousse triangulaire. Elle s’était faite une raie fantaisie sur le côté, une ligne de chair qui zigzaguait au milieu de sa chevelure cendrée parfaitement ordonnée.

J’étais convié aussi. Pour servir de mobilier...

Ingrid m’avait préparé : du fard sur les paupières, du rouge sur les lèvres, mes yeux soulignés d’un trait noir, les cheveux soigneusement pommadés et un simple et unique nœud papillon en guise de tenue de soirée. Elle jugeait que j’étais présentable et c’est ainsi (dé-)vêtu que j’entrais dans le salon, à quatre pattes, le plateau sur lequel Ingrid avait disposé les flutes à champagne coincé entre les dents. Interdiction d’en tomber une goutte ou de casser un verre. La punition serait terrible.

Je m’approchais donc successivement de chacune des convives et leur présentais le plateau. Celui-ci débarrassé, je me plaçais à genoux attendant leur bon vouloir.

Laurence s’amusait de la reconversion de son pot à crayons en soubrette. Elle déplora cependant qu’on ne m’ait pas attaché un petit tablier. Sophie lança un regard discret à Ingrid : à elle de jouer. La blonde décida de faire une démonstration de mes multiples fonctionnalités…

(à suivre...)
Topmaso
Emérite
Messages : 1965
Inscription : 18 avril 2012, 15:50
Localisation : Clermont-Ferrand
A remercié : 58 times
A été remercié : 427 times

Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

Et deuxième partie là...

Apéritif dinatoire. (la suite.)

Tout d'abord, Ingrid me fit mettre à genoux. Elle répandit sur le sol des biscuits salés qu'elle écrasa sous ses chaussures. Puis, montrant les miettes d'un index impératif, elle me dit : "aspire".
Je me mis à quatre pattes et aspirai ainsi les miettes, sous le regard mi-amusé, mi-admiratif de Laurence. Sophie souriait. Je m'appliquai du mieux que je pus, m'efforçant de ne rien laisser...
Ingrid me rappela à l'ordre : "Et ici ?"
Elle montrait ses semelles. Je rampai jusqu'à elle et les nettoyai de quelques coups de langue.
Elle eut un rictus de satisfaction.

"Redresse-toi", ordonna-t-elle.
Je me mis à genoux.
Elle alluma une cigarette et commenta : "je vous ai montré la fonction aspirateur... il peut aussi faire office de cendrier..."
Elle s'approcha, posa son pied sur mon sexe puis, comme elle me l'avait fait répéter, dès qu'elle le pressa, j'inclinai la tête en arrière, ouvris ma bouche et déployai une langue servile...
Elle tapota sa cigarette, déposant ses cendres sur ma langue, puis ordonna : "avale."
J'avalai.
Elle rayonnait.

"Accroupi !" clama-t-elle.
J'obéis.
Montrant mes fesses, elle s'adressa à Laurence : "on pourrait l'utiliser comme classeur mais... l'hygiène, vous comprenez ?... En revanche, il peut servir de garage à vélo."
Elle avait testé.
Elle m'avait fait placer nu dans une cour d'immeuble, prétextant aux résidents stupéfaits qu'il s'agissait d'une séquence pour une émission de TF1.
Elle m'avait laissé ainsi pendant une heure, exposé au froid, aux quolibets, aux insultes et aux crachats que je supportai stoïquement.
Puis, elle m'avait ramené en voiture.
Dans le coffre.
Coincé entre le démonte-pneu et le triangle obligatoire qui me pénétrait au creux des reins.

Elle plaça ensuite un plateau de verre sur mon dos : "et voici notre table de salon."
Immobile, je supportai son poids.
Il ne fallait plus bouger afin de ne pas renverser les coupes que les filles plaçaient dessus.
Comme ma tête dépassait, Ingrid posa sa coupe en équilibre dessus. Je priai pour n'avoir aucun tremblement et redoutai une crampe.
A mon grand soulagement, elle la retira assez vite.

Je restai ainsi pendant que ces dames discutaient affaire. La transparence du plateau leur permettait de me reluquer et elles faisaient à l'occasion des commentaires désobligeants sur ma physionomie.
"Il est grassouillet quand même..."
"Et cette coiffure... faut aimer les cheveux gras-mouillés !"
Sur ses mots, Ingrid s'amusa à me verser sur la tête le contenu de son verre au grand amusement des commères... "Il lèchera."
Ce que je fis.

Laurence et Sophie étaient absorbées par leur fort sérieuse conversation.
Ingrid décida de tester l'option cireuse, plaçant son pied devant ma bouche.
Ses orteils vernis d'écarlates dépassaient.
Je commençais à les lécher à petits coups de langue puis, plus intensément, passant entre ses orteils, respirant son odeur, me laissant emporter par une forme d'ivresse...

Fatale.

Un tremblement de trop...

Une coupe tomba et se brisa sur le sol, coupant net la conversation entre Sophie et Laurence.

Ingrid se redressa, mi-surprise, mi-courroucée... Elle croisa le regard furieux de Sophie, comprenant qu'elle paierait cher cet échec. Laurence esquissa un sourire narquois.
Ingrid me regarda alors.

Ses yeux bleus et froids me glacèrent l'échine.

Je savais que, moi aussi, j'allais le payer cher...
Topmaso
Emérite
Messages : 1965
Inscription : 18 avril 2012, 15:50
Localisation : Clermont-Ferrand
A remercié : 58 times
A été remercié : 427 times

Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

NDA :Ingrid se venge de nouveau... Et ce n 'est que du bonheur... :love:

J'attendais avec délice le châtiment qu'Ingrid, la vraie, allait m'infliger pour continuer à la faire intervenir dans mes nouvelles.
Elle se présenta le soir à mon bureau, superbe dans l'expression de sa colère. Je notais qu'elle s'était faite faire des mèches chez le coiffeur, ce qui illuminait son beau visage courroucé. Elle était ravissante et terrible.
Ingrid me fit d'abord mettre tout nu. Puis, je me laissai attacher les mains dans le dos. Elle me plaça ensuite une craie dans la bouche et m'obligea à écrire « je suis un écrivaillon de merde » - c 'était là son langage - sur toute la surface.
Avec une longue règle, elle me stimulait en me zébrant les fesses pour accélérer le rythme ou punir une faute – j'en faisais beaucoup. Arrivé au bas du tableau, je dû me mettre à genoux pour continuer à écrire. La craie me laissait une impression de sècheresse dans la bouche.
Enfin, j'avais terminé. La blonde cruelle eut un sourire satisfait. Elle m'empoigna alors par les cheveux – avec une moue de dégoût destinée à marquer combien ce contact lui répugnait – et me plaqua le visage contre le tableau. Elle m'ordonna ensuite d'utiliser ma langue pour nettoyer toute la surface...
Ce que je fis, lettres par lettres, mots par mots, ligne par ligne...
Et cela dura.
Longtemps.

Lorsqu'Anne arriva avec un bouquet de tulipes, elle vit que ma bouche était occupée.
Elle dû les placer à un autre endroit. :cry:
Topmaso
Emérite
Messages : 1965
Inscription : 18 avril 2012, 15:50
Localisation : Clermont-Ferrand
A remercié : 58 times
A été remercié : 427 times

Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

Posté sur le topic "bêtisier des MP" et détourné par mes soins. :d

« Elle avait été surprise par ma façon de l’aborder dans l'ascenseur. Froidement et directement. Jamais elle n'avait imaginé une telle situation auparavant. Un toupet monstre, des mots clairs et précis, une voix ferme : - "agenouille-toi, main dans le dos, colle et frotte ton visage contre ma queue au travers mon jeans, et tache de m'exciter, fais moi bander et vite !"

Loin de se trouver décontenancée par la prestance de cet homme si sûr de lui, elle eut un regard très dur qui me perfora. Jamais un inconnu ne s'était adressé à elle si crûment : il méritait une bonne leçon…

Elle commença par me gifler à la volée. Ma tête heurta le chambranle de la porte. Elle m’empoigna ensuite par les cheveux puis me frappa le crâne contre la vitre qui se lézarda sous l’impact. Le sang macula mon front et mes habits. Elle projeta à nouveau ma tête contre la vitre qui se brisa cette fois. Je tombais à genoux. Elle empoigna ma cravate et commença à serrer lentement, jusqu’à me faire sortir une belle langue rose et flasque. Puis me rejeta sur le sol. Elle posa alors son genou sur mon sexe et appuya. Je me redressai. Une gifle m’allongea. Elle commença alors à me piétiner, lentement, en frottant ses pieds comme sur un paillasson. Puis me plaqua sa chaussure droite sur la bouche… m’obligeant à la lécher. Après, elle me l’écrasa sur la figure, en tournant, comme pour écraser un mégot. Mon nez pissa des rivières de sang. Elle se pencha sur moi, empoigna mon membre à travers le pantalon. A son contact, il se raidit. Elle resserra son emprise et m’ordonna de siffler, sans que j’y parvinsse. Elle serra davantage, jusqu’à ce que mes larmes coulassent.

Elle m’avait écrasé, piétiné, brisé, émietté… Satisfaite, elle réajusta son sac et commença à s’éloigner… quand je la rappelai : « Et je suppose que pour une fellation, c’est non aussi… » bredouillai-je, la bouche dégoulinante de sang.

Dépitée, elle leva les yeux au ciel avec une expression exaspérée, puis revint sur ses pas dans ma direction… Elle voulait me montrer ce qu’elle savait encore faire avec les mains, maintenant !

voila...j'espère vraiment avoir une réponse »
Mad'O
Langue Pendue
Messages : 9723
Inscription : 16 octobre 2013, 20:51
A remercié : 517 times
A été remercié : 1343 times

Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Mad'O »

ah non celui là il me fait froid dans le dos, c'est un peu trop de la baston pure.... ça finirait au tribunal, ça !!!!!


PS : heureusement qu'Anne n'avait pas acheté des roses :lol:
Parfois on regarde les choses telles qu'elles sont en se demandant pourquoi.
Parfois on les regarde telles qu'elles pourraient être en se disant pourquoi pas.
Topmaso
Emérite
Messages : 1965
Inscription : 18 avril 2012, 15:50
Localisation : Clermont-Ferrand
A remercié : 58 times
A été remercié : 427 times

Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

Mad'O a écrit :ah non celui là il me fait froid dans le dos, c'est un peu trop de la baston pure.... ça finirait au tribunal, ça !!!!!


PS : heureusement qu'Anne n'avait pas acheté des roses :lol:
C'était le détournement d'un courriel d'un petit macho qui se la racontait.
J'ai changé les circonstances.

(Et je broute docilement tout ce qu'Anne me fait brouter - j'ai peur ! :sweat: )
En ligne
Biquette
Administrateur
Messages : 66158
Inscription : 12 mars 2011, 16:03
A remercié : 3078 times
A été remercié : 3883 times
Contact :

Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Biquette »

Topmaso a écrit :
Elle m’avait écrasé, piétiné, brisé, émietté… Satisfaite, elle réajusta son sac et commença à s’éloigner… quand je la rappelai : « Et je suppose que pour une fellation, c’est non aussi… » bredouillai-je, la bouche dégoulinante de sang.
ça m'a fait rire ça :lol: :lol: :oups:
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
Topmaso
Emérite
Messages : 1965
Inscription : 18 avril 2012, 15:50
Localisation : Clermont-Ferrand
A remercié : 58 times
A été remercié : 427 times

Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

Biquette a écrit :
ça m'a fait rire ça :lol: :lol: :oups:
Tu es insensible à ma souffrance. :pfff:

J'aime quand tu dis ça. :d
Topmaso
Emérite
Messages : 1965
Inscription : 18 avril 2012, 15:50
Localisation : Clermont-Ferrand
A remercié : 58 times
A été remercié : 427 times

Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

Intimité forcée.

Sophie nous avait surpris alors qu’Ingrid se libérait dans ma bouche, dans son bureau.
Furieuse, elle s’était avancée vers la traîtresse et l’avait giflée à la volée. La tête d’Ingrid oscilla de droite à gauche comme un bouchon sur une mer démontée, ses cheveux accompagnant avec grâce le mouvement.
La fixant droit dans les yeux – yeux bruns qui accusent, yeux bleus qui se baissent – Sophie siffla entre ses dents : « vous resterez après la fermeture et me rejoindrez dans le bureau, j’aurai une amie à vous présenter. » Elle sortit sans m’accorder un regard. Je n’en étais pas digne.
Tremblants, nous attendîmes la fin de la journée.

A l’heure dite, nous nous trouvâmes dans le bureau de Sophie. Entièrement nus. Devant elle et une de ses amies, une jeune femme belge au grand regard mélancolique et à la longue chevelure brune et bouclée. Pour une raison que je ne m’expliquais pas, Ingrid avait cependant conservé ses bottines…

« Une bonne humiliation doit avoir des témoins » déclara Sophie. Elle ajouta, « mon amie Lilou, ici présente remplira cet office. » Sur ce, elle nous enfonça dans la bouche, à Ingrid et à moi, nos propres sous vêtements ! J’accueillis dans ainsi le string d’Ingrid, savourant secrètement le goût de son fluide intime. Je la vis du coin de l’œil accepter mon caleçon. La tête légèrement inclinée, elle subissait cette avanie avec sang-froid. Je ne pus m’empêcher de l’admirer.

Puis nous nous allongeâmes à plat ventre sur le bureau. Et Sophie commença à nous zébrer les fesses avec un martinet. Comptant lentement, deux fois, avant d’abattre les lanières de cuir sur nous croupes vulnérables. La jeune femme, Lili, nous observait en silence. Dans son regard, je lisais de la compassion mêlée d’intérêt.

Sophie nous fit agenouiller.
Tour à tour, nous mîmes les mains dans le dos.
Tour à tour, elle nous attacha. Serrant solidement des liens de cuir afin de couper – un peu – la circulation.
Elle nous ôta nos baillons, puis, désignant mon sexe pantelant à ma blonde équipière, elle ordonna : « prends-le en bouche. » Je vis alors la sublime Ingrid, l’indomptable Ingrid, incliner vers mon intimité une tête blonde et docile. Comme une enfant disciplinée, elle obéissait aux injonctions de sa maîtresse. Je sentis alors le contact de ses lèvres humides et douces sur ma verge puis vis sa belle tête dorée, partagée au milieu par une ligne de chair qui lui donnait une allure si sage, opérer un mouvement de va et vient le long de ma verge. Lentement.
Avec application.
Venant plus profondément.
J’en oubliai ma douleur, ma honte, la belle jeune femme brune qui observait se manège avec curiosité…
Ingrid me besognait !
Dans mes fantasmes les plus fous, je n’osais rêver une telle situation.
Je remerciai silencieusement Sophie pour ce qu’elle nous infligeait…
Je sentis mon membre se durcir, une chaleur me soulever quand, soudain, Sophie ordonna à ma partenaire de s’interrompre.

« Redresse-toi, traînée ! » ordonna-t-elle.
Ingrid, impassible, se remit sur ses genoux.
Sophie s’approcha alors de moi… Son haleine réchauffa mon encolure.
A l’oreille, elle me murmura : « soulage-toi sur ses bottes… Allez. »
En même temps, elle fit asseoir la blonde victime sur ses fesses meurtries.
Son visage restait pourtant détendu. Ses paupières fardées de bleu étaient closes. Elle respirait par petits coups, la bouche entrouverte. Elle était si belle, avec ses mèches blondes encadrant sa frimousse…

Je m’approchai en marchant sur les genoux et brusquement m’échappait sur ses bottines. Les éclaboussures blanchâtres veinaient le cuir sombre.
Sophie m’empoigna par les cheveux, me plaqua le nez contre les pieds d’Ingrid et dit simplement : « nettoie. »
Je nettoyais.
Avidement.
A coups de langues réguliers.
Même humilié, je jouissais de cette intimité.
Être aussi prêt d’elle.
Même sous le regard de Sophie et de la belle inconnue qui ne disait toujours rien.
Je léchai et avalai, passant et repassant, soignant ma besogne pour complaire à mon bourreau et me rapprocher de ma partenaire… Car nous étions désormais à égalité et je sentais cette idée troubler la belle blonde.

Enfin, Sophie nous fit redresser.
A genoux, face à face, elle nous obligea à plaquer nos corps l’un contre l’autre. Je sentais les seins ronds et blancs d’Ingrid contre mon torse. Puis elle rapprocha nos deux têtes et nous força à échanger un baiser, nous stimulant de quelques coups de martinet.
Nos langues se touchaient. Nous échangions de la salive mouillée de ma propre semence. Ingrid, d’abord hésitante explorait maintenant ma bouche avec vigueur…
Pendant ce temps, Sophie avait sorti un grand rouleau d’emballage et nous enveloppait tous les deux dans du plastique transparent. Nos corps à genoux, puis nos têtes mélangées… ménageant tout juste un espace pour respirer.
Bouche à bouche, nez à nez, cheveux blonds (et soyeux) et bruns (et gras) mêlés, nous étions immobiles, figés dans cette posture. Sophie prit l’inconnue par la main et l’entraîna avec elle en direction de la porte…

« - Tu les laisses là ? s’enquit l’inconnue… Mais que vont-ils devenir ?
- Je viendrai les libérer demain, avant le passage des gens de service… Si je me lève assez tôt… »

Ainsi, nous restions là. Nos corps noyés dans l’obscurité, communiant dans le plastique, sueur et odeurs mêlées dans une intimité forcée, attendant le matin avec une douce angoisse…

Carpe Diem.
Ag7Wr10

Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Ag7Wr10 »

J'aime beaucoup cette idée d'Ingrid à son tour humiliée ! J'espère qu'elle t'a été très plaisante à écrire !
Topmaso
Emérite
Messages : 1965
Inscription : 18 avril 2012, 15:50
Localisation : Clermont-Ferrand
A remercié : 58 times
A été remercié : 427 times

Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

J'aime écrire toutes ces nouvelles.
Et encore plus avoir des réactions.
Merci de me lire. :)
Mad'O
Langue Pendue
Messages : 9723
Inscription : 16 octobre 2013, 20:51
A remercié : 517 times
A été remercié : 1343 times

Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Mad'O »

bien fait pour Ingrid :d
Parfois on regarde les choses telles qu'elles sont en se demandant pourquoi.
Parfois on les regarde telles qu'elles pourraient être en se disant pourquoi pas.
Topmaso
Emérite
Messages : 1965
Inscription : 18 avril 2012, 15:50
Localisation : Clermont-Ferrand
A remercié : 58 times
A été remercié : 427 times

Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

Oui, c'est une garce ! :o

(Mais elle risque de vouloir se venger sur moi. :hornet: )
Mad'O
Langue Pendue
Messages : 9723
Inscription : 16 octobre 2013, 20:51
A remercié : 517 times
A été remercié : 1343 times

Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Mad'O »

je suis sure que ça t'dérange pas :)
Parfois on regarde les choses telles qu'elles sont en se demandant pourquoi.
Parfois on les regarde telles qu'elles pourraient être en se disant pourquoi pas.
Topmaso
Emérite
Messages : 1965
Inscription : 18 avril 2012, 15:50
Localisation : Clermont-Ferrand
A remercié : 58 times
A été remercié : 427 times

Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

Qu'elle dispose de moi comme son cendrier, son crachoir, son bidet, sa serpillère...
Je suis sa chienne soumise et j'aime ça. :)
Topmaso
Emérite
Messages : 1965
Inscription : 18 avril 2012, 15:50
Localisation : Clermont-Ferrand
A remercié : 58 times
A été remercié : 427 times

Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

NDA : Avec la participation de Lilou, belle forumeuse à la noire crinière bouclée et au regard mélancolique.

Frustration.

Sophie avait décidé d'utiliser Lilou pour se venger d'Ingrid et de moi.

Elle m'avait fait allonger nu, le dos contre le sol de son bureau tandis qu'Ingrid était assise à côté d'elle, ses poignets fins croisés et attachés dans son dos, et la bouche bâillonnée par un foulard. Des gouttes perlaient sur son beau front barré par une mèche blonde, collée par la sueur.

Elle fixait Lilou, la jeune femme à la longue chevelure brune et bouclée et aux grands yeux rêveurs, qui obéissait aux injonctions de Sophie avec un semblant d'hésitation.

Elle avait posé ses chaussures et me marchait dessus lentement, comme si j'étais une carpette... Ce qui me définissait assez bien.
Doucement.
J'affectai d'endurer l'épreuve en silence.

Puis elle se rechaussa et, sur l'ordre de Sophie, utilisa ma langue comme paillasson, appuyant bien avec la semelle.
Sur sa chaise, Ingrid trépignait.
Lilou m'introduisit son talon aiguille dans la bouche.
Je le suçotait comme s'il s'agissait d'une friandise.
J'y prenais un certain plaisir.

Elle s'interrompit et, encouragée par Sophie, posa son pied à la racine de mon sexe.
Je me raidis.
J'appréhendai néanmoins.
Voyant que mes réactions étaient bonnes, elle appuya un peu, puis fit remonter son pied le long de mon membre, le caressant avec ses chaussures.
Au contact du cuir, il se dressa, se durcit... J'étais à la torture, sentant que je ne pourrais contenir longtemps cette délicieuse pression...
Une substance blanche et crémeuse jaillit, éclaboussant ses bottes.
J'entendis Ingrid soupirer.
Sophie se régalait du spectacle.

Vite, Lilou m'ordonna de me redresser puis de m'accroupir devant elle afin de nettoyer ses bottes souillées...
Ce que je fis, m'appliquant avec ardeur, depuis la pointe jusqu'au talon, inspectant les interstices, savourant ce dessert que m'offraient mes deux dominatrices. Je sentais le regard d'Ingrid peser sur moi. Elle serait furieuse et me châtierai sûrement avec cruauté.
Je n'en avait cure, besognant, lustrant, fignolant...

Au signal de Lilou, je me redressai.
Elle se dirigea vers le bureau, pris une petite boite en carton d'où elle retira... un tampon usagé !
Elle revint vers moi, me saisit le menton, inclinant ma tête gominée en arrière et introduisit l'objet dans ma bouche.
J'accueillis son présent avec humilité, savourant ce contact intime qu'il me procurait...
Elle s'empara alors d'un gros rouleau d'adhésif marron, celui qui servait aux expéditions, et me ferma la bouche avec, faisant le tour de mon crâne.
Ingrid me dardait d'un regard courroucé.
Un coin de son bâillon avait pris une teinte rosâtre.
Elle s'était mordu les lèvres...

Puis Lilou me coiffa d'un sac en plastique transparent qu'elle referma au niveau de mon cou.
Je l'apercevais me souriant à travers la membrane. Mes narines se dilataient. Je commençais à suffoquer, à paniquer, mais je n'osais utiliser mes mains pour me dégager.
Ma langue pressait le tampon dans ma bouche. La salive mélangée coulait dans ma gorge.
Lilou déchira alors le sac avec ses ongles, me griffant légèrement, libérant ma respiration.
Des larmes de gratitude coulèrent sur mes joues.

Elle se détourna enfin de moi et sortit du bureau accompagnée de Sophie, rayonnante.

J'entendis alors feuler derrière mon dos.

Ingrid !

Elles l'avaient libérée !

Une délicieuse terreur mélangée à une sensation de plaisir aigre me glaça l'échine.
J'avais peur.
Je savais que j'allais beaucoup souffrir, pleurer, supplier...
J'aurais voulu implorer son pardon mais le ruban m'en empêchait...
Elle l'arracha d'un geste vif, bascula mon corps sur le sol, dos au plancher, me plaqua ses deux cuisses de part et d'autre de la tête...
Et m'enfonça profondément dans la bouche un entonnoir que Sophie - la perfide - avait laissé en évidence sur le bureau.
Je savais ce qui m'attendait.

J'avais toujours le tampon dans la bouche...
Ag7Wr10

Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Ag7Wr10 »

Mon Dieu !!! J'aime toujours la perversion de tes personnages, mais le tampon et la suffocation, oups;)
Topmaso
Emérite
Messages : 1965
Inscription : 18 avril 2012, 15:50
Localisation : Clermont-Ferrand
A remercié : 58 times
A été remercié : 427 times

Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

Dans les fantasmes, tout est permis. ;)
(J'essaierai bien le tampon... :ahum: )
Topmaso
Emérite
Messages : 1965
Inscription : 18 avril 2012, 15:50
Localisation : Clermont-Ferrand
A remercié : 58 times
A été remercié : 427 times

Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

Petite récré. :)

Mademoiselle K m'avait fourré une serviette dans la bouche pour faire taire toute protestation par avance.

Puis elle commença à verser sur mon crâne un onctueux coulis de chocolat, en dessinant des spirales de plus en plus larges. Elle poursuivit avec de la crème à la vanille, décorant ma chevelure luisante de somptueux motifs. Je m'efforçais de garder la tête droite pendant l'opération, savourant l'humiliation.

Elle écarta alors mon col de chemise au niveau de la nuque et je sentis le liquide froid et poisseux me couler entre les omoplates jusqu'aux fesses. Un délicieux frisson me parcourut l'échine tandis qu'elle renouvelait la manœuvre, par devant cette fois, inondant ma poitrine, et remplissant par dérision ma poche de chemise.

M'empoignant par la cravate, elle m'obligea à me lever et, tête inclinée et bras ballants, je la vis écarter mon pantalon, s'accrochant à ma ceinture, pour vider le reste de crème directement dans mon caleçon. Mon membre se raidit imperceptiblement.

Elle posa sur mon siège un chou à la crème et me fis asseoir dessus. Ensuite, elle étala avec soin un autre chou sur mon visage et m'aplatit sur la tête une tarte de chantilly en pressant bien pour que la pâte se fragmente.

Grumeaux et débris de biscuits ruisselaient le long de mes mèches graisseuses. Elle décida de malaxer le tout jusqu'à donner à ma chevelure une consistance informe.

Puis elle s'essuya les mains et s'empara d'une bombe de crème chantilly. Répondant par un sourire éclatant à mon regard ébahi, elle déversa le contenu sur ma tête, sculptant une sorte d'étron de crème blanchâtre. Elle immortalisa le spectacle sur son mobile tandis que je me libérais dans mon caleçon.

Elle libéra alors ma bouche et décida de me faire nettoyer le sol à quatre pattes. Ce que je fis.

Ma pitance avalée, elle me prit par l'oreille et me conduisit, toujours à quatre pattes, vers les toilettes. Là, la tête (souillée) penchée dans la cuvette (propre), appuyant sur mon dos avec son genou, elle entreprit de me rincer à grande eau.
Topmaso
Emérite
Messages : 1965
Inscription : 18 avril 2012, 15:50
Localisation : Clermont-Ferrand
A remercié : 58 times
A été remercié : 427 times

Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

Marielle voulait me parler de sa copie à la fin du cours.
C'était une mince jeune fille très alerte aux très beaux cheveux coupés courts...
Nous avions déjà eu l'occasion de nous connaître.
L'œil malicieux sous sa frange brune, avec une mèche décolorée, qui lui barrait le front, je savais ce qu'elle voulait en réalité.

Je fermais la porte et la rejoignis.
Elle souriait.
"Que puis-je pour vous, mademoiselle ?"

Elle ôta mes lunettes délicatement, les posa sur le bureau... puis me gifla bruyamment.
"Tu ne m'as mis que 17 sur 20, petite crotte !", siffla-t-elle.
Je vacillai sur le coup. Elle m'empoigna par les cheveux, comme j'aimais, et me força à m'incliner pour regarder sa copie.
"Elle ne vaut pas 20 ?"
"Je ne pense pas", répondis-je, frissonnant délicieusement à la pensée des avanies que me vaudrait cette réponse...
Elle me baissa la culotte, empoigna une règle plate et commença à me fesser :
"un coup pour chaque quart de point oublié", annonça-t-elle.
Elle frappa avec ardeur.
Je serrai les dents.
Mes fesses rougirent.

Quand elle eut terminé, elle m'empoigna par le col, me fit mettre à genoux puis saisi un gros compas pour tracer au tableau. Elle défit ma cravate et, utilisant l'outil pour m'emprisonner les choses, elle se servit de la cravate pour le fermer. Une simple traction m'infligeait une douleur terrible et m'imposait l'obéissance.

Présentant ses bottines devant mon visage, elle me dit simplement... "fais moi reluire."
Je lustrais donc de longues minutes durant une chausse, puis l'autre, encouragé par quelques mots de mépris et stimulé par quelques tractions.
J'explorai ses pointes, ses semelles, ses talons, remontai le long de ses chevilles...
Elle me fit ainsi tirer la langue jusqu'à ce qu'elle se lasse.

Enfin, elle me fit mettre à genoux, croiser les poignets derrière le dos et elle les lia avec ma ceinture. Puis elle me fit incliner la tête en arrière et m'enfourna sa copie dans la bouche.
"Mange" ordonna-t-elle... "Et mâche bien."
Tandis que je m'exécutais, elle ajouta : "la prochaine fois, tâche de mieux me noter !"

Elle se dirigea vers la porte, puis, se retournant elle me lança.
"J'essaierai de venir te délivrer avant le passage des agents de service... mais je ne te garantis rien."
Elle referma la porte.


Pour la domination, je lui accordai 21 sur 20. :p
Ag7Wr10

Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Ag7Wr10 »

J'aime beaucoup la dernière ! Très amusante !
Topmaso
Emérite
Messages : 1965
Inscription : 18 avril 2012, 15:50
Localisation : Clermont-Ferrand
A remercié : 58 times
A été remercié : 427 times

Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

Merci princesse. :)
Topmaso
Emérite
Messages : 1965
Inscription : 18 avril 2012, 15:50
Localisation : Clermont-Ferrand
A remercié : 58 times
A été remercié : 427 times

Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

J'apportais chaque matin son petit déjeuner au lit à Cécile.
Marchant à genoux, je veillais à ne rien renverser et déposais le plateau devant elle avant de me retirer à un pas, en baissant humblement la tête tandis qu'elle se sustentait.

De temps à autre, lorsqu'elle était d'humeur joyeuse, elle s'amusait à me viser à l'aide de sa cuillère, m'envoyant au visage confiture ou marmelade avec un petit rire espiègle. Je lui étais reconnaissant de partager ainsi son petit déjeuner avec moi.

Puis, quand elle avait terminé, elle repoussait le plateau de côté afin de se lever pour marcher un peu. Comme elle était pieds nus et que le carrelage était froid, je m'allongeais et m'offrait comme tapis. Elle gardait ainsi les pieds au chaud, m'arpentant pour se détendre. Je m'efforçais d'endurer stoïquement cette épreuve alors qu'elle s'amusait à appuyer sur mon ventre ou à marcher sur mon visage avec un sourire rayonnant qui dégageait deux adorables petites canines pointues.

Ce contact charnel et intime avait parfois des conséquences inattendues et je ne pouvais contenir une érection. Elle s'amusait alors à masser du bout du pied la racine de mon sexe puis à appuyer sur mes bourses en observant avec un sourire malicieux mes grimaces de douleur...

Quand elle en avait fini de ce petit exercice matinal, elle chaussait ses pantoufles et se dirigeait vers sa coiffeuse, m'autorisant à ramper à sa suite. Je lui servais alors de chaise, mon dos accueillant son fessier, pendant qu'elle se maquillait et se coiffait, enduisant une à une ses jolies mèches de cheveux bruns pour leur donner l'aspect de piques hérissées sur son crâne. Elle aimait se mettre beaucoup de noir autour des yeux et maquiller ses lèvres d'un rouge sang. ça l'inspirait pour la suite...

Il arrivait qu'au moment de son lever, Cécile fut prise d'une envie soudaine. Elle commandait alors à son tapis humain de se mettre à sa disposition, se penchait vers mon visage et satisfaisait son besoin.
"Au moins, tu n'ouvriras pas la bouche pour rien" disait-elle avec cocasserie.
Topmaso
Emérite
Messages : 1965
Inscription : 18 avril 2012, 15:50
Localisation : Clermont-Ferrand
A remercié : 58 times
A été remercié : 427 times

Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

Lorsqu'Ingrid rentrait de sa promenade à cheval, je devais l'attendre à l'étable.
Quand elle arrivait, je m'accroupissais et offrais servilement mon dos comme marche-pied. Ce jour-là, feignant l'indifférence, au lieu de poser son pied à terre, elle m'écrasa une main. Puis l'autre.
Elle resta ainsi, immobile.
L'implorant silencieusement, je levai un regard douloureux dans sa direction.
Elle était magnifique dans sa tenue équestre. Elle avait relevé ses cheveux blonds au dessus de ses oreilles pour les tresser en deux nattes indiennes (une coiffure que j'aimais beaucoup chez les femmes) ce qui dégageait son front bombé et ses deux yeux d'azur froid. Un foulard entourait son cou d'albâtre. Une veste écossais était posée sur ses épaules. Elle portait un pantalon d'équitation brun et était chaussée de bottes de cavalerie.
"Astique-les" ordonna-t-elle en les désignant avec sa cravache. Elle souriait, sachant que privé de mes mains, je n'avais guère de choix...
"Et n'abime pas mon cuir avec ta salive de pourceau."
J'astiquai donc, sentant son regard amusé sur ma nuque, montant et descendant le long de ses chausses, m'appliquant, encouragé par ses sarcasmes...
Je perdis la notion du temps mais elle me ramena brutalement à la réalité.
"Tu appelles ça du travail soigné" fit-elle en me frappant du pied au visage.
Puis elle m'empoigna par les cheveux et m'entraina vers le fond de la grange... Je suivis à quatre pattes. Elle m'enfourna de force un chiffon dans la bouche pour me bâillonner puis me déculotta et m'administra une volée de coups de cravache sur les fesses. Mes gémissements étouffés l'amusaient.
Elle s'arrêta pour contempler mon postérieur zébré de rouge puis s'en fut décrocher un harnais qu'elle passa autour de sa taille, réservé à un usage dont elle me gratifia, me forçant fermement.
Je restais à quatre pattes, le corps mu par ce va et vient, impuissant, douloureusement humilié et pourtant... savourant cet instant.
Une fois repue, son droit de cuissage exercé, la jeune femme se redressa, me retira mon bâillon puis, me relevant le menton avec sa cravache, elle ordonna :" je me promènerai encore demain et je veux que les sabots de mon cheval brillent autant que mes bottes..."
Elle se dirigea vers la sortie et se retourna avec un sourire narquois...
"Tu sais comment faire."
Topmaso
Emérite
Messages : 1965
Inscription : 18 avril 2012, 15:50
Localisation : Clermont-Ferrand
A remercié : 58 times
A été remercié : 427 times

Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

Emmanuelle avait entrepris de me dresser depuis quelques semaines.

A genoux, nu, devant elle, les mains solidement attachées par ses soins, je m'emplissait les yeux de son élégance... Entièrement vêtue de cuir noir, des pieds à la tête, elle portait également un rouge à lèvre brun dont le ton était mis en valeur par un fond de teint pâle. Elle avait également cirés ses beaux cheveux sombres dans lesquels serpentait une raie en zigzag, sur le côté droit de son crâne. Ils luisaient sous la lumière crue de la pièce. Cela lui donnait l'allure d'une déesse gothique.

Elle jouait avec moi à l'un de ses jeux favoris. Elle plaçait dans ma bouche un œuf frais que je devais conserver intact tandis qu'elle me giflait avec un élégant revers de main. D'abord quelques tapes sèches puis elle augmentait progressivement le rythme des coups et leur intensité. La douleur se mêlait au plaisir de cette relation intime. Mes larmes coulaient sans que je sache si elles étaient le fruit de la souffrance ou d'une jouissance perverse.

Immanquablement, je laissais tomber l'œuf par terre et j'étais soumis à un gage : celui de nettoyer les dégâts avec ma bouche tandis qu'elle me stimulait à coups de martinet sur mon fessier découvert.

Ensuite, elle déchaussait ses bottes à hauts talons pour une séance de tramping au cours de laquelle je ne devais rien laisser paraitre de ma douleur. Parfois, elle conservait une botte et m'autorisait à lécher sa semelle, ce que je faisais avec zèle en bon chien soumis.

Quand elle estima que j'étais prêt, elle décida de m'emmener à une soirée où elle rencontrait ses pairs et leur ménagerie. Presque nu, maquillé et godé par ses soins, revêtu d'un simple nœud papillon, d'un string et d'un solide collier de chien par lequel elle me tenait en laisse, je faisais mon entrée dans une pièce pleine de monde. Crevant de honte, je sentais que les hommes ne m'accordaient même pas un regard de mépris tandis que j'entendais les remarques amusées des dominas et le gloussement des soumises, ravies de se moquer de plus bas qu'elles. Je marchais ainsi, fis le tour de la pièce plusieurs fois afin de m'acclimater, selon la volonté de ma maîtresse qui me guidait.

"C'est qui le grassouillet ?" demanda une femme très séduisante, une dominatrice aux beaux et longs cheveux blonds revêtue d'une veste écarlate... Elle avait un léger accent du sud, tout à fait charmant.
"C'est J., répondit Emmanuelle, je souhaitais te le présenter. Regarde comme il a l'air content de te voir." Je rougis en réalisant que je n'étais pas parvenu à contenir une brusque érection.
"Il est bien cavalier pour un soumis." D'un coup sec, la blonde amazone calma mon ardeur. Les larmes me vinrent aux yeux mais je contins un cri de douleur.
"Fais-toi Pardonner, J", ordonna Emmanuelle.
J'embrassais le bout du pied de la domina.
"Ce ne sera pas suffisant, déclara celle-ci. Nettoie donc mes bottes, elles sont couvertes de bonne terre du Médoc."
Relevant le défi, je m'appliquais à faire reluire ses bottes, prenant un soin extrême à ne négliger aucun recoin, à chasser les impuretés, allant d'une botte à l'autre, montant et descendant... Je savais qu'Emmanuelle me regardait et sa satisfaction me comblait.
"C'est bien, déclara la belle femme blonde. Redresse-toi. Je vais te récompenser."
J'obéissais. Je la vis baisser sa culotte.
Comprenant, j'ouvris la bouche et inclinait la tête pour mieux accueillir le flot doré qu'elle déversait sur moi, gonfler d'orgueil en prouvant qu'Emmanuelle m'avait bien éduqué. Mais le liquide coula un peu aux commissures de mes lèvres et je laissais échapper quelques gouttes.
"Ton soumis ne sait pas apprécier les bonnes choses", commenta la féroce blonde.
Emmanuelle s'empourpra. Elle me tira par ma laisse et m'entraina à l'écart.
"Tu m'as fait honte, et je saurai te le faire payer... A coups de cravache !"
Je frissonnais dans la perspective de ce qui m'attendait...

J'espérais qu'au moins, après, elle me laisserait lécher la cravache...
Topmaso
Emérite
Messages : 1965
Inscription : 18 avril 2012, 15:50
Localisation : Clermont-Ferrand
A remercié : 58 times
A été remercié : 427 times

Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

Pendant tout le cours, Sarah ne m'avait pas quitté des yeux. elle avait d'ailleurs de très jolis yeux noirs dont le regard perçait sous l'épaisse frange brune qui lui barrait le front. Ses cheveux étaient coiffés à la garçonne, comme un casque allemand qui lui couvrait les oreilles, laissant dépasser deux petits anneaux dorés. Son visage était fin et ses joues légèrement creusées. Elle portait un rouge à lèvres brun qui lui allait à ravir, contrastant avec sa peau mate.

Je savais pourquoi elle me fixait ainsi.

Nous restâmes seuls après le cours. Je me laissai alors attacher les mains dans le dos puis, elle m'empoigna par le col, me leva de ma chaise et me fit allonger à plat ventre sur mon bureau. Prestement, elle me baissa pantalon et slip puis sortit de son sac une brosse à cheveux, sa brosse à cheveux.

Elle commença à me fesser méthodiquement, comptant chaque coup et faisant rosir mon épiderme. Je savourai alors ce contact particulier : cet instrument délicat qui avait caressé sa chevelure, et était encore imprégné de son odeur, servait maintenant à corriger mon intimité. Ces chocs répétés me faisaient tressaillir, me comblant d'aise à l'idée de l'honneur qu'elle me faisait. je devins plus rouge que mes fesses...
Et je m'échappai.

Sarah me gronda alors vertement, elle me traita même de "gros cochon", et, en m'empoignant par les cheveux avec vigueur, elle m'obligea à nettoyer mes souillures sur le plateau du bureau...
Ce que je fis avec zèle.

Ensuite, elle me contraignit à m'agenouiller pour faire briller le sol. Comme je m'en doutais, je fus invité à aussi nettoyer ses bottines, commençant par les extrémités puis enchaînant sur les semelles et les talons. Après de longues minutes, qui me parurent trop courtes, elle examina le résultat avec un sourire de satisfaction.

Alors, elle me recourba les pieds jusqu'au bas de mon dos, les attacha, et me rangea ainsi sous le bureau, dans l'attente d'un prochain usage.

Elle me laissa sa brosse à cheveux en souvenir. Je pourrais ainsi penser à elle...

En la sentant en moi. :heink:
Topmaso
Emérite
Messages : 1965
Inscription : 18 avril 2012, 15:50
Localisation : Clermont-Ferrand
A remercié : 58 times
A été remercié : 427 times

Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

Sarah revint au bureau tard dans la nuit.
Elle me retira de sous le meuble sans ménagement.
Je crus qu'elle voulait me libérer mais il n'en était rien.
Elle s'assit sur mon torse, plaquant ses genoux de part et d'autre de ma tête pour me faire sentir qui commandait... puis elle ordonna : "ouvre la bouche !"
Gentiment, j'obéis.
Alors elle se redressa puis se libéra, par petites saccades, afin que je ne perde rien.
J'avalais docilement.
Quand elle eût fini, elle ordonna d'une voix méprisante : "nettoie."
J'eus donc le privilège de polir son petit abricot qu'elle avait rasé par coquetterie.
cette intimité provoqua chez moi un début de raideur.
Sarah s'en amusa, stimulant l'organe par quelques caresses...
Mais comme je me sentais venir, elle se releva soudain et me rangea de nouveau sous le bureau.
Sans un mot, elle se dirigea vers la porte et sortit.

Je gardai un goût amer et salé dans la bouche... :heink:
Ag7Wr10

Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Ag7Wr10 »

J'ai beaucoup aimé le premier des deux épisodes de Sarah, et la phrase de chute en particulier ! Faut croire que le prof / élève me parle :d
Topmaso
Emérite
Messages : 1965
Inscription : 18 avril 2012, 15:50
Localisation : Clermont-Ferrand
A remercié : 58 times
A été remercié : 427 times

Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

Tu peux développer ? :d
(La brosse à cheveux, c'est contondant et ça fait des bleus. Testé. désagréable.)
Topmaso
Emérite
Messages : 1965
Inscription : 18 avril 2012, 15:50
Localisation : Clermont-Ferrand
A remercié : 58 times
A été remercié : 427 times

Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

Dolores me découvrit sous le bureau alors qu'elle faisait le ménage.
Elle me fit mettre à genoux, en me traitant de sale pervers, et me gifla à la volée à plusieurs reprises.
Puis, prise d'une inspiration soudaine, elle me saisit par les cheveux, me traina jusqu'à un seau et me plongea la tête dedans.
je commençai à suffoquer quand elle en sortit ma tête trempée : elle m'obligea alors à m'incliner et commença à nettoyer le sol, en cramponnant ma chevelure pour l'employer comme serpillère.
Elle s'amusa ainsi à briquer la pièce, me retrempant la tête dans le seau par intermittence puis s'avisa que ma langue ferait un chiffon à poussière acceptable.
Le ménage terminé, j'eus le privilège de nettoyer aussi ses chaussures avant qu'elle m'utilise comme paillasson.
Elle me rangea ensuite dans le placard en me souhaitant narquoisement bon week-end.

La classe ouvrière venait de marquer un nouveau point dans sa lutte contre la bourgeoisie :heink:
Mad'O
Langue Pendue
Messages : 9723
Inscription : 16 octobre 2013, 20:51
A remercié : 517 times
A été remercié : 1343 times

Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Mad'O »

Mdr !!!
Parfois on regarde les choses telles qu'elles sont en se demandant pourquoi.
Parfois on les regarde telles qu'elles pourraient être en se disant pourquoi pas.
Topmaso
Emérite
Messages : 1965
Inscription : 18 avril 2012, 15:50
Localisation : Clermont-Ferrand
A remercié : 58 times
A été remercié : 427 times

Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

Mad'O a écrit :Mdr !!!
Gauchiste ! :o
Mad'O
Langue Pendue
Messages : 9723
Inscription : 16 octobre 2013, 20:51
A remercié : 517 times
A été remercié : 1343 times

Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Mad'O »

Rhan l'insulte !!!!!!
Parfois on regarde les choses telles qu'elles sont en se demandant pourquoi.
Parfois on les regarde telles qu'elles pourraient être en se disant pourquoi pas.
Topmaso
Emérite
Messages : 1965
Inscription : 18 avril 2012, 15:50
Localisation : Clermont-Ferrand
A remercié : 58 times
A été remercié : 427 times

Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

Mad'O a écrit :Rhan l'insulte !!!!!!
Je suis vilain, hein ? :p
Mad'O
Langue Pendue
Messages : 9723
Inscription : 16 octobre 2013, 20:51
A remercié : 517 times
A été remercié : 1343 times

Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Mad'O »

Tu mérites une punition, même !
Parfois on regarde les choses telles qu'elles sont en se demandant pourquoi.
Parfois on les regarde telles qu'elles pourraient être en se disant pourquoi pas.
Topmaso
Emérite
Messages : 1965
Inscription : 18 avril 2012, 15:50
Localisation : Clermont-Ferrand
A remercié : 58 times
A été remercié : 427 times

Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

Oh oui !Oh oui !Oh oui !Oh oui ! :bounce
Choisis.:ouimaitre:
Répondre