Dites-le avec des fleurs. [BDSM]

Des récits qui ne manqueront pas de réveiller vos sens et votre imagination...
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Topmaso
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Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

NDA : co-écrit avec Lila.

Une histoire :

Je suis ton patron, tu es ma secrétaire particulière.

Je m’avance vers toi, t’attrape par les cheveux et te dis :
- À partir de cette seconde, je suis ton maitre.
Brutalement, tu me prends le bras, le retourne, me plaque contre le bureau et murmure à mon oreille...
"Tu es mon objet, ma chose, mon caprice !"
"Oui" - balbutiè-je, surpris par tant de tempérament.
Tu me traines dans mon bureau, verrouilles la porte et me jettes sur le tapis.
Tu sors un objet de mon tiroir. C’est un fouet dont le manche est un god en acier.



Tu te rues sur moi et te mets à me fouetter comme un esclave jusqu'à ce que tu vois de petites gouttes de sang perler sur mes fesses meurtries.

Alors me laissant gémissant, tu vas mettre la queue en métal quelques minutes dans un bol rempli de glaçons que tu as sorti d‘un petit freezeur. Tu reviens vers moi, et enfile le métal glacé dans mon orifice.

Le froid me glace immédiatement, je couine comme une chatte en chaleur...

Avec une fine bande de cuir ; tu me donnes à présent de petits coups sur tout le corps.

Je souffre, pourtant j'aime cela.

Mon regard est fixé sur tes bottes.
Sans oser en parler je ne rêves que d’une chose, c’est que tu me piétines avec.

Je gémis.
J'ose murmurer :
-venez me dominer maîtresse.
-quoi tu quémandes pute ? tiens…
Tu m’enfonces alors ton sexe d'argent dans la bouche, jusqu’au fond de la gorge.
J'étouffe, tu m’étrangles.
Tu me passes ta main derrière la tête et me plaque très fort contre le sol.
"Suce mieux !"
Je n’en peux plus, je te fellationne goulument.
D’un geste Tu me fais signe d’arrêter.
Je m’allonge sur le dos et tu t’empales sur mon sexe.
Tu exultes dans un large sourire.
Ma récompense arrive enfin.
Tu te relèves et te vides sur ma bouche et mon visage.
En même temps que tu bouges, tu attrapes le plug-fouet me le glisses entre les fesses et me masturbe le petit trou avec.
Je me laisse aller et jouis sans retenue.
Je jouis et tu m’obliges à lécher mes ruissèlements.

Tu m'abandonnes avec mépris au milieu de la pièce.
"A demain. Et porte de jolis dessous cette fois !"
Aspartam_
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Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Aspartam_ »

Intéressant quand tu "co-écris"..

Tes récits me donnent toujours le sourire.
"She looks like an angel, but she's all sin Now you're so pathetic, you're never gonna get it Here's the situation, she's your medication Like white lines on a mirror"
Topmaso
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Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

Merci beaucoup. :)
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Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

Lily pris la tarte, me l'aplatit sur le visage avec un gracieux mouvement de poignet, très féminin, puis la remonta jusqu'au sommet de mon crâne, traçant un long sillage de crème blanche dans ma chevelure noire et luisante.
Un « oh ? » de surprise retentit dans le restaurant et nous devînmes la cible de tous les regards. Nullement intimidée, Lily, avec une moue mutine, écarta la crème qui me couvrait les yeux d'un revers de ses index : elle voulait que je ne perde rien du spectacle.
Elle pris deux tartes et passa derrière moi.
Je me tenais bien droit, attendant le coup...
Elle les abattit alors de part et d'autre de ma tête, dans un grand jaillissement de crème.
Puis, elle commença à l'aplatir depuis le sommet de mon crâne jusqu'en bas de mon visage, me couvrant la figure sous une épaisse coulée blanche et onctueuse, prenant bien soin de toujours me dégager les yeux et mélangeant soigneusement la crème à mes cheveux, pour qu'elle s'imprègne.
D'un doigt, elle en recueillit un peu et, portant son index à ses lèvres rubis, elle goûta ce dessert qu'elle m'offrait.
Elle eut un sourire gourmand.
Tout autour, les femmes gloussaient, et immortalisaient l'instant sur leur mobile tandis que les hommes, gênés pour moi, feignaient ne rien voir.
Lily captura un œuf dur sur la table voisine, me fit ouvrir la bouche, langue sortie, et l'y enfonça.
J'eus un léger mouvement de recul mais j'acceptais son présent.
Puis elle pris une saucière remplie d'un coulis de chocolat.
Elle dégagea ma raie médiane avec son ongle afin d'en faire couler le liquide tout du long.
De lourdes traînées noires se peignirent sur ma figure crémeuse, coulant du front, gouttant de mon nez...
Lily repassa derrière moi puis en versa dans mon col de chemise, entre mes omoplates, avant de passer le plat de sa main pour mieux l'étaler.
Puis elle me fit lever en m'empoignant par le col.
Les bras ballants, je la vis écarter le rebord de mon pantalon et verser le reste de la saucière dans mon caleçon.
Des femmes applaudirent l'exploit.
Alors, elle forma au sommet de ma tête un petit monticule de crème chocolatée et y déposa une cerise confite en riant de son petit rire enfantin et charmant.
Elle me fit placer ensuite à quatre pattes puis saisit deux tartes, et m'en aplatit une sur le visage, et l'autre sur le postérieur, simultanément. Elle remonta la seconde depuis le bas de mes reins jusqu'à la nuque.
Sur le coup, je brisais l'œuf dans ma bouche.
Je dû alors soigneusement le mâcher et l'avaler.
Enfin, elle condescendit à m'adresser la parole : « Oublie encore une seule fois mon anniversaire et je te refais ta fête. »
Elle m'autorisa à baiser la pointe de ses chaussures en signe de contrition.
Puis, sans me faire l'aumône d'un regard, elle sortit en secouant sa crinière brune et bouclée, sous les applaudissements des convives.
Je restais immobile, en proie au quolibets.
La serveuse, une blonde à queue de cheval et aux beaux yeux verts, vint malicieusement me coincer l'addition dans la bouche.
Bon anniv' Lily. :quichou:
Topmaso
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Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

Marie-Anne n'était pas une maîtresse agréable.
Elle me piétinait pour un oui ou pour un non.
Je devais lui servir de carpette tandis qu'elle regardait des émissions ineptes à la télé, ponctuant les bons mots des présentateurs de petits coups de talon.
Elle restait longtemps avachie sur le sofa à grignoter des cochonneries sans me prêter attention.
Pendant les pubs, elle en écrasait quelques unes par terre et m'ordonnait de les avaler, ou de faire briller ses bottines.
De temps en temps, elle introduisait l'extrémité de son pied nu dans ma bouche et m'intimait l'ordre de suçoter ses orteils vernis d'un rouge criard.
Je m'exécutais alors, suscitant son sourire qui découvrait ses dents jaunies par la nicotine.
De temps en temps, elle utilisait ma bouche comme cendrier, y déposant cendres, mégots et chewing-gums qu'elle mâchait dans l'espoir de conserver l'haleine fraîche.
Une fois ses émissions terminées, je devais l'accompagner à quatre pattes dans sa salle de bain.
Elle se dandinait en marchant, pensant que ça lui donnait une allure sexy...
Cela mettait surtout en évidence quelques rondeurs indésirables.
Elle était juste grotesque.
Je devais ensuite lui servir de chaise pendant qu'elle s'admirait dans le miroir et se coiffait.
Elle avait une coupe au carré qui avait tendance à souligner les courbes molles de son visage.
Je n'avais plus le droit de la coiffer depuis que j'avais découvert un cheveux gris - au milieu de racines sombres qu'elle n'entretenait jamais.
Elle m'avait alors fessé avec sa brosse à cheveux.
Enfin, une fois coiffée et démaquillée - elle mettait toujours du temps à enlever ce fard qui lui rendait la peau grasse et ce rouge à lèvre agressif -, elle m'ordonnait d'aller m'allonger au pied de son lit où je devais dormir en boule pendant qu'elle ronflait.
La nuit s'écoulait alors, empuantie par l'odeur de son parfum bon marché. :sweet:
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Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

Après que Marie-Anne ait chuté dans une cage d'escalier, je me mis en quête d'une nouvelle maîtresse.

Annie était une femme accomplie. Une grâce et une autorité naturelle émanaient de sa personne.
De taille moyenne, athlétique, vêtue avec recherche mais sans ostentation, elle avait l'habitude de se faire obéir des hommes comme des femmes. Dès le premier regard, je tombais sous la dépendance de cette belle dominatrice aux yeux clairs. De beaux cheveux auburn coupés en carré très strict et partagés au milieu par une ligne de chair tirée au cordeau encadraient un visage aux traits réguliers et fins. Je savais que j'aimerai courber le front devant elle.

« Nous allons parfaire ton éducation J, me déclara-t-elle. »
Elle me fit venir dans son bureau et commença par m'ordonner de me mette nu puis de revêtir une robe de soubrette en sa présence.
Puis elle me fit mettre à genoux devant elle. Elle m'étala alors un fard à paupière très sombre au dessus des yeux et un rouge à lèvres carmin sur les lèvres. Un peu de rimmel autour des yeux et, observant ma coiffure, elle estima que je ne pourrais pas être plus ridicule.
Enfin, elle m'attacha un cordon autour des parties génitales, qu'elle relia à son siège. J'avais ainsi une liberté d'action limitée qu'elle pouvait réduire encore en tirant sur le cordon.

Je restais alors sagement agenouillé à côté d'elle, l'assistant dans ses tâches administratives. Elle me tendaient les enveloppes et je devais incliner la tête et lécher la bordure en baissant les yeux. Cette situation l'amusait ainsi que ses secrétaires, toutes de belles jeunes femmes, qui gloussaient à se spectacle lorsqu'elles venaient récupérer le courrier. Je me sentais à la fois humilié et émoustillé d'être devenu leur sujet de conversation autour de la machine à café.

Lorsqu'elle s'ennuyait, Annie m'envoyait faire les poussières, armé d'un plumeau.
« Va soubrette, me disait-elle. »
Puis sournoisement, elle tirait le cordon, me ramenant vers elle.
« Tu appelles ça faire le ménage ? » me grondait-elle.
Elle me giflait alors à plusieurs reprises. A chaque coup, elle s'interrompait et me présentait sa main que je devais embrasser en disant « merci Annie », puis me giflait à nouveau, bien plus fort. Elle continuait jusqu'à ce que mes joues deviennent bien rouge.

Puis elle m'autorisa à savourer le goût de ses chaussures.
Elle m'empoigna par les cheveux et me contraignit à embrasser ses pieds.
Je le fis de bonne grâce, puis je me mis à lécher goulument la surface des ses chaussures.
Annie semblait satisfaite de ma soumission et, pour me stimuler davantage, elle retroussa ma robe et me fessa avec une règle plate.
Chaque coup de langue recevait en écho un coup de règle.
Mon épiderme devint alors aussi rouge à cet endroit.
Il sembla inspirer Annie.

Elle quitta ses chaussures et retira un de ses bas.
Elle le roula en boule puis me fit redresser et le plaça dans ma bouche qu'elle ferma ensuite à l'aide d'un adhésif brun de bureau.
Puis elle retira le second bas, me fit mettre à plat ventre sur son bureau et croiser les bras dans mon dos. Elle attacha solidement mes poignets ensemble en prenant soin de couper légèrement la circulation.
Puis elle présenta devant mon visage une brosse à cheveux. Sa brosse à cheveux qu'elle me fit humer. Son parfum m'enivrait, m'excitait... J'en emplissait mes narines.
Elle commença alors à me fesser avec la brosse en comptant lentement chaque coup. Elle se trompait exprès de temps en temps pour pouvoir recommencer.
Je ressentais cette punition comme un moment d'intense communion.
Mes larmes coulaient sans que je susse si c'était des larmes de douleur, de bonheur ou de gratitude. Le rimmel noir qu'Annie m'avait appliqué laissait de profond sillons sombres sur mon visage, me donnant l'allure d'une pute trop fardée.
J'eus un début d'érection.
Annie le remarqua.

Elle me fit mettre à genoux et enfila un gant de cuir puis posa sa main sur mon membre qui se dressait. Elle commença alors à le frotter entre ses doigts comme pour traire une petite vache. Je ne pus me contenir longtemps et débordait. Un liquide blanc, chaud et poisseux inonda le gant. Annie sourit, approcha sa main de mon visage et, d'un geste vif, elle arracha le scotch, libérant ma bouche.
Je recrachai son bas.
Alors, un à un, elle me fit lécher ses doigts souillés, m'encourageant par quelques tendres insultes murmurées à demi-mot.
Je m'échappais de nouveau sur la moquette.

Je dus tout nettoyer avec ma langue tandis qu'Annie m'appuyait profondément le visage contre le sol. Elle m'annonça son intention de m'embaucher comme domestique pour recevoir ses amies un soir.
La perspective de leur servir de tapis, et que ma langue soit leur paillasson, provoqua une nouvelle érection.
:p
Topmaso
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Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

"Marie-Anne me plaqua au sol, son pied plâtré me maintenait à terre tandis qu'elle m'enfournait l'extrémité de sa béquille dans la bouche.
- Suce , salope, m'ordonna-t-elle, le regard mauvais.
Je suçais..." :sweat:
Topmaso
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Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

Hier, sur une aire d'autoroute, j'ai aperçu une jeune femme blonde. Elle été coiffée en carré plongeant, court, avec une superbe nuque rasée. Je me suis imaginé, un instant, à genoux, front plaqué au sol, son pieds posé sur mon crâne.
Elle - Tu es une petite crotte.
Moi - Oui maîtresse.
Puis usant de ma langue pour nettoyer longuement ses chausses.
Elle, assise, me toisant avec mépris puis examinant le résultat avec une moue de dédain :
- Ce n'est pas propre. Recommence.
Et je recommence... :love:
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Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

Annie prenait mon éducation très au sérieux et me donnait régulièrement des coups de règle sur les fesses pour activer le nettoyage de ses bottes...
Mais elle savait aussi me récompenser.
Elle me faisait mettre à quatre pattes puis défaisait ma ceinture, tirait mon pantalon et, de sa main gantée - car mon contact la répugne -, extrayait mon membre du caleçon.
Là, elle disposait une écuelle dessous et commençait à me traire...
"Allez, ma petite chèvre, disait-elle d'une voix douce, libère-toi..."
Je rougissais de honte... et de plaisir.
Progressivement, elle parvenait à balayer mes réticences et finissait par obtenir ce qu'elle voulait.
Un liquide blanc et crémeux s'écoulait dans l'écuelle.
Lorsque la quantité lui paraissait satisfaisante, elle déposait l'écuelle devant mon visage.
Elle retrouvait alors sa voix impérieuse :
"Allez, lèche !"
Au début, je me rebutais.
Elle m'empoignait alors les cheveux puis me forçait à incliner la tête juste au-dessus du récipient.
A deux centimètres.
Je sortais alors doucement la langue et, encouragé par ses paroles, commençais à laper ma pitance avec soin, en nettoyant bien le fond de l'écuelle car elle vérifiait après.
Parfois, elle me reprochait de ne pas avoir bien tout léché, et m'administrait une gifle sévère.
Je recommençais alors et m'appliquais mieux.
Lorsqu'elle était satisfaite, elle m'autorisait à sucer ses doigts gantés afin d'en faire disparaître les résidus de traces blanchâtres et de gomina.
Ag7Wr10

Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Ag7Wr10 »

On se demande ce que tu fais avec Marie-Anne....
Mais Annie fort heureusement a beaucoup plus de charisme !
Topmaso
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Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

Marie-Anne est inspirée d'une pas-copine de fac, radine, autoritaire, égoïste...
Du 100% chieuse ... :kaola:

On se contente de ce qu'on a parfois... :(
Topmaso
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Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

Annie est inspirée à la fois de ma chanteuse préférée et de ma première dresseuse dont je vais poster le récit de ma première (et unique :cry: )rencontre ici...


Si ça, c'est pas du teaser... :)
Ag7Wr10

Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Ag7Wr10 »

Ah ah ! Des infos en avant première, c'est bon ça !
Topmaso
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Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

coquine-mutine a écrit :Ah ah ! Des infos en avant première, c'est bon ça !
:) :quichou:
Topmaso
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Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

NDA : du vécu.

Mon initiation.

Tout d'abord, tu m'as fait assoir et tu m'as bandé les yeux.
J'ai un peu appréhendé.
Puis, tu m'as attaché les mains délicatement, avec un foulard. Sans trop serrer. Je me sentais vulnérable mais pas menacé.
Je t'entendais te changer, me demandant ce qui allait se passer.
Puis tu m'as attaché le collier et m'a interrogé pour me faire dire ce que c'était.
J'ai répondu "un collier" et tu m'a giflé sêchement.
J'ai précisé "un collier de soumis" et tu m'as giflé à nouveau.
J'ai dit "un collier de chien" et tu m'as giflé encore car j'avais oublié de dire "maîtresse".

Ensuite, tu m'as enlevé mon bandeau et je t'ai vue, tout habillée de cuir. Ravissante et terrible.
Tu m'as chaussé mes lunettes et tu t'es moqué de ma "tête de con".
Tu m'as montré ton martinet puis ta cravache et a testé quelques petits coups pour voir ma réaction.
Je devais dire "merci maîtresse" pour chaque coup.
Tu m'as traité de "petite crotte". J'ai aimé car ce surnom, je l'avais choisi.
Tu m'as giflé et mes lunettes ont volé.
Tu m'as fait admirer tes bottines et tu as pressé l'une d'elles sur mon sexe pour me faire sentir ma dépendance avant de m'ordonner de les lécher, d'abord la pointe de l'une, puis de l'autre, puis de les embrasser. Je me suis levé de ma chaise - trop vite, tu m'as fait rassoir - puis je me suis docilement exécuté et j'ai adoré.

J'ai pris encore quelques gifles, tu m'as cramponné par les cheveux et tu a entrepris de me faire marcher à quatre pattes en me fessant à coups de martinet jusqu'à ton bureau où j'ai écrit sous ta dictée : "je suis une petite crotte, je ne mérite pas ma maîtresse, je suis indiscipliné" en ponctuant chaque phrase d'un coup de cravache sur la main pour me faire activer - et une fois parce que j'avais osé te tutoyer. C'était douloureux. Après, j'ai dû manger la feuille de papier - j'aurais bien aimé que ce sois toi qui m'enfourne la feuille dans la bouche.

Puis, m'empoignant par les cheveux, tu m'as fait retraverser la réserve jusqu'au sofa où tu m'as fait mettre à genoux. Tu as écrasé sadiquement mes lunettes et tu m'as fait embrasser tes pieds. Tu m'as ensuite déculotté et fouetté puis cravaché en me faisant compter les coups et dire merci pour chacun. Tu m'as interdit de me retourner et tu as pris mon cul zébré en photo - mais comme nous n'avions pas convenu de le faire, tu as effacé le cliché. Tu m'as alors fait relever et tu m'as doigté vigoureusement, m'ordonnant de répéter que j'étais une bonne petite pute et que je tapinerai pour toi - et je l'ai fait. Puis tu m'as fait lécher tes doigts et je me suis exécuté car je suis une bonne petite pute.

Après, tu m'as autorisé à me gominer les cheveux pour me préparer à recevoir mon dessert. Tu as versé le contenu d'un yaourt chocolaté à boire - c'est moi qui avait choisi le parfum - sur le crâne. C'était glacial. Je me sentais vraiment vulnérable. Tu as placé un œuf dans ma bouche - j'ai vraiment été touché que tu te souviennes de ce détail - et m'as ordonné de le garder intact. Tu m'as reversé de nouveau du yaourt sur la tête, pris l'œuf que tu as écrasé dessus puis tu l'as inondée généreusement de crème chantilly que tu as malaxée avec mes cheveux. Lorsque tu m'as demandé si j'aimais ça, j'ai sincèrement répondu oui. Tu as palpé mon sexe mais je n'avais pas d'érection. J'étais trop désorienté par la nouveauté.

Il a ensuite fallu s'arrêter, que je me nettoie et que nous lavions le sol car ta pause allait s'achever. Plus tard, tu m'as fait faire le cheval mais, malheureusement, nous n'avons pu faire davantage.

Merci. :hello:
Topmaso
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Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

En espérant que ça vous plaira... :hey:
Ag7Wr10

Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Ag7Wr10 »

C'est vraiment intéressant d'avoir le vécu à mettre en parallèle avec tes récits fictifs, merci de t'être ainsi confié :smack:
Topmaso
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Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

Variation.

J'ai vraiment vécu une expérience inédite.
Je m'étonne même de m'être montré si coopératif alors que c'était la première fois qu'on se voyait.
Quand tu m'as dit que ça commençait et qu'après tout, j'étais venu pour ça, je me suis senti au pied du mur. Plus moyen de reculer. J'ai abdiqué ma volonté et je me suis docilement laissé guider.
Lorsque tu m'as bandé les yeux, je me suis senti désorienté. Je me demandais bien ce que je faisais là. Et je me suis laissé attacher alors que je ne le souhaitais pas. Quelque part, j'avais confiance et je m'en remettais à toi.
J'ai senti que tu me mettais quelque chose autour du cou : un collier.
Une claque est venue calmer toute velléité de protestation.
Quand tu m'as demandé ce que c'était, j'ai répondu "un collier de soumis ?"...
Tu m'as giflé.
J'ai hasardé : "un collier de chien ?"
J'avais oublié de te donner ton titre.
Maîtresse.
Tu m'as alors giflé jusqu'à ce que j'apprenne la politesse.
J'étais désorienté, abasourdi, maté, dominé.
J'ai enfin dit : "un collier de chien, Maîtresse."
Tu étais satisfaite.
J'ai sagement attendu que tu prépares la suite.
Je t'entendais te changer, sans savoir vraiment ce que tu faisais puis tu m'as enlevé le bandeau et je t'ai découverte toute habillée pour la circonstance.
En cuir noir, bottines et casquettes cloutées mais ça t'allait bien.
A des lieux des clichés vulgaires.
Et il y avait ton sourire.
Éclatant et chaleureux.
Je savais que je n'avais rien à redouter.

Hormis les coups, bien sûr.

A suivre.
Topmaso
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Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

Tu m'as chaussé mes lunettes, des vieilles lunettes que j'avais amenées pour cette occasion.
Tu m'a regardé avec un air espiègle et tu t'es moqué de moi : "tu as vraiment une tête de con".
J'ai regretté un peu de ne pas m'être apprêté pour me faire une belle tête de cul.
Tu m'as d'abord montré ton martinet, tu l'as fait circuler entre mes cuisses et tu m'as demandé s'il était doux... J'ai répondu que oui. Après, tu as exhibé ta cravache et tu m'as donné quelques petits coups. J'ai tressailli, plus par appréhension que par douleur.
Pour chaque coup, je devais dire "merci maîtresse". J'ai vite pris le pli. J'entrais dans le jeu et je devenais complice.
Tu m'as appelé "petite crotte". ça faisait partie du jeu. De mon avilissement. J'ai apprécié que tu emploies ce surnom que j'avais donné à mon personnage dans mes nouvelles. Je me sentais passer de l'autre côté du miroir.
Tu m'as alors giflé magistralement et mes lunettes ont volé.J'ai trouvé ça extraordinaire. Mes fantasmes se concrétisaient.
Tu m'as ensuite fait admirer tes belles bottines de cuir noir. Puis tu as pressé l'une d'elles sur mon sexe. Je ne brillais pas. Je me sentais entièrement sous ta domination. Complètement sous ton contrôle. Tu guidais et tu commandais.
Puis, tu me les a faites lécher. A quatre pattes. Lorsque j'ai voulu me lever, tu m'as fait rasseoir. Pas comme ça. Accroupis. Soumis. Je me suis mis à genoux et j'ai savouré le goût de tes bottes de cuir. Je les ai léchées avec application. Tu m'as enfoncé les deux pointes dans la bouche, l'une après l'autre et j'ai léché le dessus et le dessous. C'était un moment formidable. Quand tu m'as commandé de les embrasser, je l'ai fait avec plaisir et reconnaissance. C'était encore un fantasme qui se concrétisait. J'étais à ce moment complètement docile. Flottant dans un petit nuage.

A suivre...
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Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

Suite encore.

Comme je manquais de discipline, j'ai pris encore quelques bonnes gifles. A ce moment, j'avais compris qui dirigeait et je ponctuais toutes mes phrases d'un "oui maîtresse" hâtif et craintif.

Quand tu m'as cramponné par les cheveux, la sensation était plus humiliante que douloureuse, mais tellement douce. C'était encore un de mes désir secret.

Ensuite, tu m'as fait marcher à quatre pattes. Je suis devenu ton chien. Tu me fessais à coup de martinet pour me faire activer la cadence. Lorsque j'ai dû passer devant une surface vitrée, j'ai eu une vague inquiétude : et si on nous voyais ? Mais tu m'as fait avancer sans t'en préoccuper. Là encore, tu contrôlait la situation.

Lorsque nous sommes arrivés à ton bureau, tu m'as fait redresser. J'ai dû écrire sous ta dictée des phrases humiliantes : "Je suis une petite crotte. Je ne mérite pas ma maîtresse. Je suis indiscipliné."
Pour me faire activer, tu me donnais de douloureux coups de cravaches sur la main. Tu devenais une maîtresse d'école autoritaire et sadique. Je me suis, quant à moi, retrouvé dans la peau d'un écolier vulnérable et craintif.
Parce que j'avais osé te tutoyer, j'ai reçu de nouveaux coups qui m'ont forcé à implorer ton pardon.
Après, tu m'as ordonné de manger la feuille de papier et je me suis exécuté. J'ai dû m'y reprendre à deux fois pour bien mâcher et avaler le papier rêche.
J'aurais aimé que ce sois toi qui me l'enfourne dans la bouche pour accentuer encore mon humiliation.

Après, en m'empoignant une nouvelle fois par les cheveux, tu m'as fait retraverser la réserve jusqu'au sofa. Là, j'ai dû m'agenouiller.
Avec un sadisme jovial, tu as écrasé mes lunettes, m'as fait le reproche d'être maladroit et j'ai respectueusement embrassé tes pieds.
C'était une idée de situation que tu avais évoquée sur le forum et j'avais envie que nous la mettions en scène.
J'étais comblé.

Pour me punir de ma prétendue maladresse tu m'as déculotté.
Tu m'as demandé combien de coups je méritais. Privé de tout instinct de résistance, j'ai soupiré "cinq." Pour commencer, tu m'as fouetté à coups de martinet.
Le premier coup n'a pas compté. Tu m'as expliqué pourquoi : je devais compter lescoups et dire merci pour chacun. Je me suis exécuté. J'ai bien compté et remercié ma maîtresse pour chaque coup porté.
J'ai reçu dix coups de martinet... Suivis de dix coups de cravache. Je ne songeais même pas à protester ou à me plaindre. Je comptais et prononçais un "merci maîtresse" d'une voix plaintive. Tu m'as vraiment administré une correction de main de maître (si j'ose dire.) Car ce fut à la fois très rapide et très rythmé.
Tu m'as interdit de me retourner et tu as pris mon pauvre cul zébré en photo. Tu me l'as montré. Mais tu as senti que cette situation m'inquiétais - même si mon pauvre postérieur étais méconnaissable. En effet, nous n'avions pas discuté de la possibilité d'être photographié. Pour me rassurer, tu as effacé le cliché, quittant un instant ton rôle de maîtresse.

Le jeu a rapidement repris. Tu m'as fait relever et tu m'as doigté vigoureusement : d'abord un doigt, puis un second, puis un troisième.
En même tant, tu me demandais si j'aimais ça. Jamais aucune femme ne m'avais ainsi fouillé et humilié.
Oui, j'aimais ça.
Tu m'as fait dire que j'étais unebonne petite pute et que je tapinerai pour toi.
J'ai aimé le dire.
Quand tu m'as fait lécher tes doigts, j'ai obéi avec zèle pour prouver que j'étais une bonne petite pute.
Ta bonne petite pute.

A suivre.
Topmaso
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Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

Tu m'as fouillé puis tu as violé ma bouche, avec mon consentement. Qu'allais-tu me faire ensuite ?

Tu as installé un miroir puis tu as dit "- allez, gomina !"
Rapidement, je m'enduisis les cheveux de crème capillaire et me coiffais la raie au milieu pour me mettre en situation.
C'était une envie profonde qui remonte à ma puberté, l'envie de me déguiser ainsi pour qu'une fille prenne son pied à me ridiculiser systématiquement en m'arrosant de nourriture.
J'avais longtemps attendu de pouvoir la vivre.
J'allais enfin recevoir mon dessert.

Tu as d'abord versé le contenu de ce yaourt à boire au chocolat que nous avions acheté ensemble. J'avais souhaité qu'il soit au chocolat pour que les coulures soient plus voyantes sur mon visage et mon corps.
Je sentis le liquide me couler sur la tête et les épaules. Le contact était glacial.
Les bras ballants, je frissonais.
J'aimais intensément cette situation de soumission passive.
Sans me laisser me ressaisir, tu m'as enfoncé un œuf dans la bouche.
Encore un de mes fantasmes.
Je sentais la présence de cet objet ovale, comme un bâillon boule sur ma langue.
Quel bonheur.
Tu t'étais rappelée de cette idée évoquée dans une de mes nouvelles et j'ai vraiment été touché que tu te souviennes de ce détail.
D'une voix autoritaire, tu m'as ordonné de le conserver ainsi.
J'ai obéi.
Tu m'as chaussé mes lunettes brisées de façon à ce que je profite un peu du spectacle - j'étais un peu plus ridicule et je ne voyais pas grand chose.
Avec une délicieuse perfidie, tu m'as rappelé qu'il était dommage que je ne veuille pas de photos... Mais je ne le souhaitais pas. j'avais peur de vouloir les conserver.
Je t'ai vue me couronner d'une rasade généreuse de chantilly que tu as aplatie sur mon crâne - comme si j'étais un objet qu'on modèle, quelle sensation délicieuse ! - puis tu m'as pris l'œuf et me l'as écrasé sur la tête. La coquille brisée contre mon crâne était encore un plaisir que tu m'offrais.
Quand tu m'as empoigné par le collier pour me demander si j'aimais ça, j'ai répondu d'un "oui" sincère et plaintif.
Je me sentais anesthésié, complètement sous ta dépendance.
C'était bon.
Puis, de nouveau, tu m'as aspergé de yaourt glacé.
Enfin, tu as palpé mon sexe, mou et flasque dans ta main.
Et tu m'en as fait la remarque.
Etais-ce la sensation de froid ?
L'égarement dû à toutes ses sensations nouvelles ?
Je me sentais à la fois humilié et terriblement vulnérable ainsi, dans ta main...

Il a ensuite fallu nous arrêter.
Trop tôt, hélas, car j'avais envie d'explorer de nouvelles sensations...
Mais il fallait tout nettoyer et que je me lave car ta pause allait s'achever.

Plus tard, nous avons profité d'un moment de calme et tu m'as fait faire le cheval.
Malheureusement, les coups de règles que tu me donnais étaient trop atténués par mes habits.
J'ai regretté de ne pouvoir aller plus loin mais ce fut une initiation exaltante, dirigée avec talent par une maîtresse expérimentée.



Merci.
Ag7Wr10

Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Ag7Wr10 »

J'aime cette variation qui montre plus tes émotions :jap: Merci
Topmaso
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Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

C'est moi qui te remercie de me lire. :jap:
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Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

Ce qui est dommage, c'est que ma dresseuse n'ait pas souhaité faire une texte où elle racontait la séance de son point de vue.
J'aurais aimé savoir ce qu'elle pensait lorsqu'elle me dominait, m'humiliait, me tyrannisait...
L'expérience semblait lui avoir plu, pourtant. :(
Topmaso
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Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

Retour aux fantasmes :

Ingrid avait pris l'habitude de me tyranniser sous l'œil complice de Sophie après les heures de bureau. J'appelais mon épouse le soir et prétextait un dossier en retard à boucler. Puis j'allais me livrer à ma dominatrice.

Elle prenait grand soin à s'apprêter : elle tressait et relevait ses magnifiques cheveux dorés pour se confectionner une coiffure mohawk avec force laque au parfum entêtant, abandonnait son tailleur pour un corset noir et ses escarpins pour des bottes de cuir noir montantes à hauts talons. Une badine complétait sa panoplie.

Sophie ne changeait rien à sa tenue. Elégant tailleur, chemisier blanc... Juste sa coiffure avait un peu changé : ses beaux cheveux noirs, partagés par une raie bien droite au milieu, étaient toujours coupés en un carré plongeant qui mettait en valeur les traits réguliers de son visage mais elle faisait raser sa nuque, laissant sa parfaite peau d'albâtre apparaître.

J'étais nu, devant ces deux prédatrices, uniquement vêtu d'un nœud papillon.
Ingrid me faisait d'abord mettre à genoux et commençait à me morigéner, me reprochant des petites fautes fictives commises dans l'exercice de mon travail.
J'essayais de m'excuser mais elle me faisait taire par quelques bonnes gifles. Pour chaque coup, je devais baiser sa main et dire « merci Maîtresse Ingrid. »

Invariablement, j'étais invité à faire briller ses bottes avec ma langue. Je m'appliquais donc à la satisfaire pendant que Sophie, amusée, goûtait chaque instant du spectacle.
Puis elle me faisait allonger sur le dos, contre le sol, elle se déchaussait et commençait à marcher sur moi en minaudant comme un chat. Elle titillait mon sexe de la pointe de son pied, attendant une érection naissante qu'elle réprimait aussitôt en comprimant mes bourses.
« T'as pas honte ? Gros dégueulasse. »
Oui, j'avais honte. Mais c'était si bon la honte.

Elle m'utilisait comme tapis, puis se servait de ma langue comme paillasson : je savourais le goût de ses orteils un par un.
Après quoi, elle me faisait me retourner, ramper jusqu'aux pieds de Sophie et une nouvelle fois, ma langue caressait des plantes de pieds féminins.

Pour me stimuler, Ingrid me corrigeait les fesses à coups de badine : je devais lécher, m'interrompre pour compter les coups, remercier Ingrid pour ce juste châtiment qu'elle m'imposait et recommencer à lécher.
Sophie, dédaigneuse des règlements concernant l'hygiène en entreprise, s'allumait une cigarette qu'elle fumait tranquillement.
Lorsque la cendre était trop longue, elle adressait un signe de tête à Ingrid qui me faisait redresser pour que ma bouche serve de cendrier. J'absorbais ainsi les déchets de ma patronne.
Puis je me remettais à lécher.
Ingrid profitait de ma position grotesque pour varier les plaisirs.

Le temps d'enfiler un gode, elle me saisissait par les cheveux, me faisait tourner la tête et m'enfournait l'objet dans la bouche.
Elle me maintenait fermement la tête entre les mains et imprimait un mouvement de va et vient.
Je lubrifiait l'objet avec ma salive. Longuement.
Je sentais le sourire éclatant de Sophie dans mon dos.
Puis elle m'ordonnait de me retourner.
Je lui présentais mes fesses que j'écartais avec mes mains pour mieux l'accueillir.
Sans plus de cérémonie, elle me pénétrait joyeusement et me chevauchait avec ardeur.
Je poussais de petits cris de plaisir.
Pas longtemps car les pieds de Sophie m'attendaient et je reprenais en même temps ma besogne, pris dans un sandwich brune/blonde.

Cette situation finissait par m'émoustiller au point que je me lâchais sans retenue.
Je souillais la moquette, ce qui provoquait de nouvelles réprimandes, de nouveaux coups, et l'obligation d'user de ma langue comme d'une serpillère.

Enfin, Ingrid m'attrapait une nouvelle fois par les cheveux, m'inclinait la tête en arrière et d'une voix impérieuse m'ordonnait : « Dis ce que tu es.
- Je suis une petite crotte.
- Je suis une petite crotte, maîtresse ! rectifiait-elle en me gratifiant d'une gifle, une gifle magistrale, bien évidemment.
- Je suis une petite crotte, maîtresse.
- Et où est la place d'une petite crotte comme toi ?
- Dans les toilettes, maîtresse. »
Et sans plus attendre, elle me trainait dans les toilettes VIP de la direction où je n'avais pas accès ordinaire, elle me plongeait la tête dans la cuvette, s'asseyait à califourchon sur mes épaules et libérait sur moi une douche dorée – sa façon à elle de « me pisser à la raie » commentait-elle cyniquement - avant de se redresser et de tirer la chasse, me noyant à moitié.
Lorsque j'émergeai, je devais encore nettoyer son sexe de ma langue multi-fonction... Puis elle me délaissais, sans un regard, se dirigeait vers Sophie qui se levait, l'embrassait sur la bouche, tendrement, avant de sortir bras dessus-bras dessous...

« N'oubliez pas de nettoyer et d'éteindre avant de sortir, J, me lança Sophie, et à demain... »
Topmaso
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Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

Ingrid avait pris soin de s'apprêter pour ce cérémonial : tailleur strict, coiffure vintage (elle avait relevé ses ravissantes boucles d'or en rouleau au dessus de ses oreilles, et avait de même roulé sa frange pour lui donner du volume, elle était sublime) et escarpins soigneusement vernis.
J'étais à genoux face à elle, nu, les mains liées dans le dos, en attente.
Ingrid s'approcha doucement, pris son élan et leva son pied en un geste élégant, en cet instant, elle était suspendue en un équilibre fragile, cambrée, aérienne...
Son pied remonta comme au ralenti, en direction de mes bourses.
Le contact fut bref et sec.
Le cuir claqua.
Un éclair fulgurant remonta de mes gonades au cerveau.
Je me courbais mais avant, j'aperçus son regard...
Bleu. Songeur. Avec jusqu'il faut de mépris.
Plié en deux par la douleur, qui précédait une sorte de jouissance, je m'affalais sur le sol.
A ses pieds.
Mon sexe se durcit.
Elle avait repris son équilibre.
Les larmes aux yeux, j'embrassais ses souliers.
Je me sentais partir.
La déesse blonde sourit.
Un sourire hautain sur ses lèvres couleur rubis.
Je devrais nettoyer après.
Mais d'abord, je m'appliquais à faire reluire ses escarpins en remerciement du plaisir qu'elle m'avait donné.
Mad'O
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Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Mad'O »

ça te fait réellement du bien un coup aux couilles ?
Parfois on regarde les choses telles qu'elles sont en se demandant pourquoi.
Parfois on les regarde telles qu'elles pourraient être en se disant pourquoi pas.
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Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

Mad, sont-ce là des questions qu'une dame bien élevée pose à un monsieur ? :whistle:
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Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

C'est fantasmé.
IRL, ça fait mal.
Dans le jeu...
ça fait aussi mal que les coups sur les seins pour vous.
C'est une question d'endurance.

Je préfère me les faire serrer... :whistle:
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Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Mad'O »

Ah mais serrer je comprends !
Parfois on regarde les choses telles qu'elles sont en se demandant pourquoi.
Parfois on les regarde telles qu'elles pourraient être en se disant pourquoi pas.
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Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

:)
Mad'O
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Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Mad'O »

t'en as déjà parlé dans un récit ? (me souviens plus :lol:)
Parfois on regarde les choses telles qu'elles sont en se demandant pourquoi.
Parfois on les regarde telles qu'elles pourraient être en se disant pourquoi pas.
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Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

J'en ai parlé à une amie... :whistle:
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Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Mad'O »

ça pourrait être intéressant :)


bien que je trouve ça toujours assez curieux de faire des ptis sacs avec les coucougnettes...... non mais quelle idée :d
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Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

C'est déjà des petits sacs. :)


Non, l'idée, c'est de me faire siffler.
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Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Mad'O »

genre, on siffle et tu rappliques ?

ou alors, tu nous fais le rossignol ? :d
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Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

Plutôt ça. :)
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Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Mad'O »

dans une petite cage dorée, comme à l'époque une certaine vanessa P pour un certain parfum ? :d
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Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Topmaso »

Tout ce que ma partenaire désire :)
Aspartam_
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Re: Dites-le avec des fleurs.

Message par Aspartam_ »

J'aime beaucoup également le récit de ton initiation, plein d'émotions comme disait CM..
Bravo.
"She looks like an angel, but she's all sin Now you're so pathetic, you're never gonna get it Here's the situation, she's your medication Like white lines on a mirror"
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