Dites-le avec des fleurs. [BDSM]
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Re: Dites-le avec des fleurs.
tu as souvent concrétisé tes fantasmes ?
Parfois on regarde les choses telles qu'elles sont en se demandant pourquoi.
Parfois on les regarde telles qu'elles pourraient être en se disant pourquoi pas.
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Re: Dites-le avec des fleurs.
Deux fois.
J'en ai parlé.
Je cherche les liens. (Pour me faire ligoter )
J'en ai parlé.
Je cherche les liens. (Pour me faire ligoter )
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Re: Dites-le avec des fleurs.
J'avais posté ici le récit de ma 2e expérience.
[Vous devez vous connecter ou vous inscrire pour voir ce lien]" onclick="window.open(this.href);return false;
(Et certains des textes de ce topic que je rapatrie depuis l'ex-forum rose)
J'avais des réactions plutôt sympa.
Là, ça a changé.
[Vous devez vous connecter ou vous inscrire pour voir ce lien]" onclick="window.open(this.href);return false;
(Et certains des textes de ce topic que je rapatrie depuis l'ex-forum rose)
J'avais des réactions plutôt sympa.
Là, ça a changé.
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Re: Dites-le avec des fleurs.
bon..... pour revenir à nos moutons.......
y'a pas du tout moyen avec ton épouse, Top ?
y'a pas du tout moyen avec ton épouse, Top ?
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Re: Dites-le avec des fleurs.
je trouve ça tellement dommage.....
mais, bon, je me questionne, hein.....
tu arrives à avoir une vie "normale et apanouie", ou ces envies te rongent ?
c'est perso comme question, je te demande pas de répondre hein
Parfois on regarde les choses telles qu'elles sont en se demandant pourquoi.
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Re: Dites-le avec des fleurs.
Le sujet a été nettoyé.
Vous pouvez basculer sur un topic à flood ou en créer un autre pour discuter autour de ses récits en restant courtois
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Re: Dites-le avec des fleurs.
merci Sensa
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Re: Dites-le avec des fleurs.
Non, le sexe vanille ne me satisfait pas.
Les deux expériences que j'ai vécues en DS ont été tellement intenses que je souhaite revivre ça.
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Re: Dites-le avec des fleurs.
quand je te lis, je sens que tu en souffres, je pense que c'est ce qui me "dérange" dans les textes....
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Re: Dites-le avec des fleurs.
Déranger n'est pas le but.
Ce personnage que j'incarne n'est pas moi.
C'est une version dévoyée, négative.
Et j'essaye quand même de rendre la situation cocasse.
Ce personnage que j'incarne n'est pas moi.
C'est une version dévoyée, négative.
Et j'essaye quand même de rendre la situation cocasse.
Re: Dites-le avec des fleurs.
J'avoue que je ne saisis pas bien le "nettoyage" du topic... Il me semble qu'exprimer un désaccord, sans insultes ou mots grossiers, reste dans les limites de la courtoisie. Mais peut-être n'est-on autorisé qu'à complimenter ?
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Re: Dites-le avec des fleurs.
Je n'y suis pour rien.
C'est une initiative de la modération.
C'est une initiative de la modération.
Dernière modification par Topmaso le 12 mai 2014, 14:00, modifié 2 fois.
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Re: Dites-le avec des fleurs.
NDA : Suite de mes (més)aventures avec la reine Tanaa : après m'avoir couvert de merde pour l'avoir offensée et m'avoir transformé en une statue d'excréments, elle m'accorde une rémission de peine... Mais la reine a des idées cruelles...
La machine.
Jeune de moins de 18 ans, jouer toute la journée à la playstation est mauvais pour ton intellect. Mais préférable à la fréquentation des fora pour adultes. Va-t-en. les majeurs seuls sont autorisés.
Insensibles à mes pleurs, les amazones de la reine Tanaa me trainèrent jusqu'à la machine. Elles m'attachèrent au milieu d'une grande structure composée de deux cerceaux parallèles : de chaque côté, mes poignets et mes chevilles étaient liés à l'un de ces cerceaux. Au dessous, se trouvait un grand bassin. Et tout autour, d'étranges mécanismes qui me terrifiaient. Au signal de la reine, la machine fut actionnée et les cerceaux commencèrent une lente rotation qui me plongeait la tête sous l'eau puis me remontait progressivement à l'air libre, me laissant au bord de l'asphyxie. Un tentacule métallique se déploya puis vint se placer dans ma bouche, m'empêchant de respirer...
Je compris vite que par succion, je pouvais ainsi accélérer ou ralentir la machine : plus je suçais, plus le rythme s'accélérait... Ainsi il fallait que je pompe plus vite lorsque ma tête était sous l'eau, ce qui m'était difficile car je ne pouvais renouveler ma provision d'air que par le nez et que le sang me remontait à la tête.
Un nouveau tentacule vint s'insinuer entre mes jambes et me pénétra. Malgré la douleur, je continuai de sucer tandis que le tentacule me lavait et aspirait mes déchets... Un troisième tentacule vint se coller sur ma verge, aspirant aussi mes fluides. Le tout était récupéré dans de grands tuyaux puis mélangé à l'eau du bassin dans lequel la machine m'immergeait la tête.
Un nouveau mécanisme se mit en action, resserrant les liens qui attachaient mes membres et les broyant petit à petit.
Je tournai ainsi pendant un long moment, la machine plongeant régulièrement ma tête dans un liquide de plus en plus troublé par mes propres excréments, mes urines et mes larmes de douleur... Essoufflé, je ne parvenais plus à lutter contre la machine et finissait par avaler de grandes quantité d'eau corrompue...
J'étais à demi-noyé quand la reine décida de mettre fin – provisoirement – à mon supplice. Elle fit détacher et jeter au sol la pauvre loque que j'étais devenue : « Implore ma clémence, si tu ne veux pas que je recommence », rima-t-elle. Je rampai donc et embrassai ses pieds en sanglotant, la suppliant de m'épargner. Elle eut un petit sourire de satisfaction. « C'est bien, dit-elle, je te fais grâce... jusqu'à demain. D'ici-là, je pense que j'aurai trouvé quelques améliorations pour ma machine. En attendant, dit-elle en se tournant vers ses amazones, qu'il passe la nuit dans la fosse aux crabes. Qu'il y ait au moins quelqu'un sur cette île qui en pince un peu pour lui. »
Amusées par ce mot d'esprit, les amazones me jetèrent dans la fosse, pour me laisser y lécher mes blessures jusqu'au lendemain. Je me recroquevillai en pleurnichant quand j'entendis un bruit. Celui de la marée et des crabes qui commençaient à monter...
La machine.
Jeune de moins de 18 ans, jouer toute la journée à la playstation est mauvais pour ton intellect. Mais préférable à la fréquentation des fora pour adultes. Va-t-en. les majeurs seuls sont autorisés.
Insensibles à mes pleurs, les amazones de la reine Tanaa me trainèrent jusqu'à la machine. Elles m'attachèrent au milieu d'une grande structure composée de deux cerceaux parallèles : de chaque côté, mes poignets et mes chevilles étaient liés à l'un de ces cerceaux. Au dessous, se trouvait un grand bassin. Et tout autour, d'étranges mécanismes qui me terrifiaient. Au signal de la reine, la machine fut actionnée et les cerceaux commencèrent une lente rotation qui me plongeait la tête sous l'eau puis me remontait progressivement à l'air libre, me laissant au bord de l'asphyxie. Un tentacule métallique se déploya puis vint se placer dans ma bouche, m'empêchant de respirer...
Je compris vite que par succion, je pouvais ainsi accélérer ou ralentir la machine : plus je suçais, plus le rythme s'accélérait... Ainsi il fallait que je pompe plus vite lorsque ma tête était sous l'eau, ce qui m'était difficile car je ne pouvais renouveler ma provision d'air que par le nez et que le sang me remontait à la tête.
Un nouveau tentacule vint s'insinuer entre mes jambes et me pénétra. Malgré la douleur, je continuai de sucer tandis que le tentacule me lavait et aspirait mes déchets... Un troisième tentacule vint se coller sur ma verge, aspirant aussi mes fluides. Le tout était récupéré dans de grands tuyaux puis mélangé à l'eau du bassin dans lequel la machine m'immergeait la tête.
Un nouveau mécanisme se mit en action, resserrant les liens qui attachaient mes membres et les broyant petit à petit.
Je tournai ainsi pendant un long moment, la machine plongeant régulièrement ma tête dans un liquide de plus en plus troublé par mes propres excréments, mes urines et mes larmes de douleur... Essoufflé, je ne parvenais plus à lutter contre la machine et finissait par avaler de grandes quantité d'eau corrompue...
J'étais à demi-noyé quand la reine décida de mettre fin – provisoirement – à mon supplice. Elle fit détacher et jeter au sol la pauvre loque que j'étais devenue : « Implore ma clémence, si tu ne veux pas que je recommence », rima-t-elle. Je rampai donc et embrassai ses pieds en sanglotant, la suppliant de m'épargner. Elle eut un petit sourire de satisfaction. « C'est bien, dit-elle, je te fais grâce... jusqu'à demain. D'ici-là, je pense que j'aurai trouvé quelques améliorations pour ma machine. En attendant, dit-elle en se tournant vers ses amazones, qu'il passe la nuit dans la fosse aux crabes. Qu'il y ait au moins quelqu'un sur cette île qui en pince un peu pour lui. »
Amusées par ce mot d'esprit, les amazones me jetèrent dans la fosse, pour me laisser y lécher mes blessures jusqu'au lendemain. Je me recroquevillai en pleurnichant quand j'entendis un bruit. Celui de la marée et des crabes qui commençaient à monter...
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Re: Dites-le avec des fleurs.
En fait je suis tout le temps brimé sur cette île.
Depuis que je suis là, on m'a attaché, flagellé, noyé, fait manger des fleurs, de la vase et d'autres choses innommables , uriné et déféqué dessus par éléphant interposé, attaché à des machines folles, critiqué ma coiffure , livré aux amazones (la dernière fois, parce que j'avais marché sur l'ombre de la reine Tanaa, elles m'ont plié en deux jusqu'à ce que mon membre puisse m'entrer dans la bouche et imposé de rester la tête en bas à l'entrée du palais toute la journée pour m'utiliser comme pot de fleurs - et elles m'ont enfoncé des roses qui m'ont égratigné cruellement ! Et en plus j'ai un lumbago ! Et je me suis mordu la... langue. Méchantes !!! ) puis jeté aux crabes sans oublier Fify qui m'a fait une grosse bosse.
Qu'est-ce que je suis bien ici.
(A part les fleurs qui grattent un peu. )
Depuis que je suis là, on m'a attaché, flagellé, noyé, fait manger des fleurs, de la vase et d'autres choses innommables , uriné et déféqué dessus par éléphant interposé, attaché à des machines folles, critiqué ma coiffure , livré aux amazones (la dernière fois, parce que j'avais marché sur l'ombre de la reine Tanaa, elles m'ont plié en deux jusqu'à ce que mon membre puisse m'entrer dans la bouche et imposé de rester la tête en bas à l'entrée du palais toute la journée pour m'utiliser comme pot de fleurs - et elles m'ont enfoncé des roses qui m'ont égratigné cruellement ! Et en plus j'ai un lumbago ! Et je me suis mordu la... langue. Méchantes !!! ) puis jeté aux crabes sans oublier Fify qui m'a fait une grosse bosse.
Qu'est-ce que je suis bien ici.
(A part les fleurs qui grattent un peu. )
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Re: Dites-le avec des fleurs.
Ca me fait penser aux Hentai avec des tentacules, j'en ai vu un collector l'autre jour
moi ça me fait flipper grave, la flotte, c'est no way
moi ça me fait flipper grave, la flotte, c'est no way
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Re: Dites-le avec des fleurs.
Attends, j'en ai un, écrit à quatre main où je suis à la merci de Creatura qui me fait flotter comme un bouchon.
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Re: Dites-le avec des fleurs.
J'aime bien le côté "humour" dans ta façon d'écrire, souvent j'ai esquissé un sourireTopmaso a écrit :En fait je suis tout le temps brimé sur cette île.
Depuis que je suis là, on m'a attaché, flagellé, noyé, fait manger des fleurs, de la vase et d'autres choses innommables , uriné et déféqué dessus par éléphant interposé, attaché à des machines folles, critiqué ma coiffure , livré aux amazones (la dernière fois, parce que j'avais marché sur l'ombre de la reine Tanaa, elles m'ont plié en deux jusqu'à ce que mon membre puisse m'entrer dans la bouche et imposé de rester la tête en bas à l'entrée du palais toute la journée pour m'utiliser comme pot de fleurs - et elles m'ont enfoncé des roses qui m'ont égratigné cruellement ! Et en plus j'ai un lumbago ! Et je me suis mordu la... langue. Méchantes !!! ) puis jeté aux crabes sans oublier Fify qui m'a fait une grosse bosse.
Qu'est-ce que je suis bien ici.
(A part les fleurs qui grattent un peu. )
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
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Re: Dites-le avec des fleurs.
c'est vrai qu"'il y a une dose d'humour..... sans doute nécessaire pour faire passer la pilule, parfois
Parfois on regarde les choses telles qu'elles sont en se demandant pourquoi.
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Re: Dites-le avec des fleurs.
Merci à toutes les deux. J'expliquerai un peu mieux ma démarche plus tard.
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Re: Dites-le avec des fleurs.
NDA : Qu'infliger à son soumis lorsqu'il est enterré jusqu'au cou ? Quelques suggestions pour des jeux de plage...
J'étais sur la plage, enfoui jusqu'au cou... Dans une situation de dépendance totale. Devant moi, la silhouette de M. se découpait à contre-jour, enveloppée de lumière...
" - Tu dois vraiment faire confiance à la charmante qui te fait ça pour accepter de subir cette épreuve..."
- Imaginez… luis dis-je...
Je suis immobilisé, ma tête seule émergeant du sable…
Et toutes mes amies défilent en file indienne pour m’infliger un tourment à leur manière :
La vindicative Céline m’écrase vigoureusement un gros gâteau à la crème sur la tête, m’en barbouille copieusement le visage et les cheveux…
Ma tendre Emmanuelle me déverse sur le crâne le contenu d’un pot de Nutella…
Peut-être s’amuse-t-elle à me décorer d’une belle tarte aux fraises, agençant les fruits pour faire une jolie composition…
Corine préfère me casser méthodiquement une demi-douzaine d’œufs sur la tête, les aplatissant un par un et contemplant avec un sourire de satisfaction les coquilles mélangées aux jaunes couler lentement le long de ce qu’on devine de mon visage…
Ingrid se contente de m’accorder un regard dédaigneux…
A moins qu’elle ne se laisse aller à m’honorer d’un crachat…
Sophie prend plus son temps, me forçant à manger une banane en mimant une fellation…
Claire m’écrase soigneusement la tête dans le sable pour que les grains s’incorporent aux reliefs de nourriture…
Elles m’abandonnent alors pour s’installer confortablement et jouir du spectacle des insectes qui commencent à graviter autour de moi…
Me prennent en photo dans cet état d’abandon total…
Il faudra, au bout d’une ou deux heures, que je les supplie de me délivrer. Elles m’obligeront alors, en se moquant cruellement de ce qui reste de moi, à crier des insanités, à leurs baiser - voire leur lécher - les doigts de pieds, insensibles à mes plaintes et à mes pleurs…
Vous même, M, vous jouissez d’un droit absolu sur moi, m’imposant le moindre de vos caprices : m’insulter, m’écraser la figure, me couper la respiration, me faire baiser vos pieds, me faire avaler ce que vous jugerez bon de me donner, utiliser ma bouche comme un cendrier…
Voire pire.
Quel sublime anéantissement. "
J'étais sur la plage, enfoui jusqu'au cou... Dans une situation de dépendance totale. Devant moi, la silhouette de M. se découpait à contre-jour, enveloppée de lumière...
" - Tu dois vraiment faire confiance à la charmante qui te fait ça pour accepter de subir cette épreuve..."
- Imaginez… luis dis-je...
Je suis immobilisé, ma tête seule émergeant du sable…
Et toutes mes amies défilent en file indienne pour m’infliger un tourment à leur manière :
La vindicative Céline m’écrase vigoureusement un gros gâteau à la crème sur la tête, m’en barbouille copieusement le visage et les cheveux…
Ma tendre Emmanuelle me déverse sur le crâne le contenu d’un pot de Nutella…
Peut-être s’amuse-t-elle à me décorer d’une belle tarte aux fraises, agençant les fruits pour faire une jolie composition…
Corine préfère me casser méthodiquement une demi-douzaine d’œufs sur la tête, les aplatissant un par un et contemplant avec un sourire de satisfaction les coquilles mélangées aux jaunes couler lentement le long de ce qu’on devine de mon visage…
Ingrid se contente de m’accorder un regard dédaigneux…
A moins qu’elle ne se laisse aller à m’honorer d’un crachat…
Sophie prend plus son temps, me forçant à manger une banane en mimant une fellation…
Claire m’écrase soigneusement la tête dans le sable pour que les grains s’incorporent aux reliefs de nourriture…
Elles m’abandonnent alors pour s’installer confortablement et jouir du spectacle des insectes qui commencent à graviter autour de moi…
Me prennent en photo dans cet état d’abandon total…
Il faudra, au bout d’une ou deux heures, que je les supplie de me délivrer. Elles m’obligeront alors, en se moquant cruellement de ce qui reste de moi, à crier des insanités, à leurs baiser - voire leur lécher - les doigts de pieds, insensibles à mes plaintes et à mes pleurs…
Vous même, M, vous jouissez d’un droit absolu sur moi, m’imposant le moindre de vos caprices : m’insulter, m’écraser la figure, me couper la respiration, me faire baiser vos pieds, me faire avaler ce que vous jugerez bon de me donner, utiliser ma bouche comme un cendrier…
Voire pire.
Quel sublime anéantissement. "
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Re: Dites-le avec des fleurs.
je trouve que tu écris très bien Top, on se met de suite dans "ta" peau !
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
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Re: Dites-le avec des fleurs.
Lorsque Sylvie m'emmène faire du shopping, ce n'est pas dans une boutique ordinaire. Encore un récit ou je me fais mettre... minable. La petite pouffe blonde rappellera une certaine Ingrid. (Merci à Mistytt pour ses indications sur certains engins de mort.)
Shopping.
Jeune de moins de 18 ans, n'oublie pas que la mode est éphémère et que tes enfants, à ton âge, se foutrons des fringues que tu portais. En attendant ce jour, dégage d'ici, ce topic n'est pas pour les porteurs de culottes courtes. Les majeurs vous pouvez entrer.
Sylvie avait exigé que je l'accompagne pour faire une course en ville. Auparavant, elle avait voulu refaire mon make-up. J'avais bien eu quelques velléités de refuser mais deux claques me ramenèrent à de plus dociles sentiments. Elle m'appliqua un peu de kohl sur les paupières, de mascara sur les cils et de rouge sur les lèvres... « Te voilà, un peu plus sortable, me dit-elle, quant à tes cheveux... » Elle ne termina pas sa phrase avec une moue mi-dégoutée, mi-accablée.
J'ignorais à quelle boutique elle voulait m'amener et je la suivis docilement ignorant les sifflements et les réflexions des passants dans la rue. « Tu vois ce que doivent supporter les femmes à cause des pourceaux de ton espèce ? », me lança-t-elle.
Nous arrivâmes devant un magasin... A ma grande surprise, je constatais qu'il s'agissait d'un sex-shop. Sans marquer d'hésitation, Sylvie entra. Une petite blonde se tenait à l'accueil. Elle sourit en me regardant puis, devinant qui commandait, demanda à Sylvie ce qu'elle désirait. « Je souhaite acheter quelques articles afin d'égayer un peu les longues soirées, lorsqu'il n'y a rien d'intéressant à la télévision. », répondit ma Maîtresse. « Hé, bien... Il va vous falloir une grosse provision ! » s'amusa la petite gourde qui voulait faire de l'esprit.
L'attention de Sylvie se porta sur un lot de baillon-boule. « Approche, me dit-elle, nous allons faire un essai. » J'eus un mouvement de recul. Elle plaisantait ? « Obéis » me fit-elle. Elle me gratifia d'une paire de claques sonore. J'obtempérai. Elle plaça un premier bâillon dans ma bouche. « Que pensez-vous de celui-là ? » demanda-t-elle à la vendeuse. « Le rouge est un peu criard, je vous conseille le noir, plus sobre » déclara la petite gourde. Sylvie me plaça un deuxième bâillon, regarda, minauda, repris le premier, réessaya. « M'oui, je crois que je vais me ranger à votre avis. »concéda-t-elle. « Puis-je voir votre choix de cravaches ? »
La petite conne la conduisit vers les cravaches. Le bâillon toujours dans la bouche, je suivis le mouvement. Sylvie cueillit une cravache et fouetta l'air avec un mouvement souple du poignet. « Pas mal. » Elle se tourna vers moi : « baise ton pantalon et penche-toi. » Et si quelqu'un entrait ? Je voulu protester mais le bâillon m'en empêchait. « Allons. » Je m'exécutais et ressentit une vive douleur sur les cuisses. « Pas mal, pas mal » répéta ma tortionnaire. Je vais en essayer une autre. Nouveau coup, plus cinglant encore. Des larmes me montèrent aux yeux. « Essayez celle-ci » lui conseilla la peste blonde. Un nouveau coup encore plus fort. Puis un autre... Sylvie essaya une dizaine de cravaches avant de fixer son choix. « Très bon » aux dires de la petite grognasse qui m'horripilait. « Je voudrais maintenant voir les godemichés. »
En se divertissant beaucoup de la tournure prise par les évènements, la blondasse conduisit Sylvie vers de redoutables instruments de torture. Les cuisses rougies, le pantalon sur les genoux, je suivis ma Maîtresse. Mes yeux se firent suppliants. « Je ne veux pas le mutiler non plus » dit-elle. « Ah ? », répondit la garce, manifestement déçue. « Prenez celui-ci, alors, souple et confortable, » elle débuta un laïus de vendeuse : « une forme douce et ondulatoire et un diamètre de seulement 3.5 cm afin de concéder un maximum de plaisir et de confort à vos partenaires sans les blesser. La couleur "raisin" est un hommage au dieu Bacchus, aux vignes et aux fêtes des vendanges. Quant au harnais, il est transparent car il fait office de culotte "invisible". On pourrait croire que ce sexe est le prolongement physique de celle qui le porte. Les yeux de Sylvie brillèrent : « on peut l'essayer ? » La blonde indiqua les cabines au fond du magasin : « vous trouverez le lubrifiant à l'intérieur. »
Ignorant mes suppliques muettes, Sylvie me saisit l'oreille, indifférente à mes sanglots étouffés, me jeta à quatre pattes dans la cabine, puis ajusta l'engin sur elle... Elle lubrifia et commença son office. Un contact rude, d'abord. Puis un lent mouvement pendulaire qui me blessait les chairs... A ce moment, mon portable sonna. « Tu ne l'as pas débranché, me reprocha ma partenaire... Quelle négligence ! Je vais devoir te punir davantage. » Elle défit mon bâillon. « Réponds. Allez. » « Oui... C'est toi chérie... Non, non, ça va... (ma cruelle Maîtresse faisait exprès de me besogner intensément ) Tout va bien, je te dis... Il faut que je te laisse... Quoi ? Mais je ne sais pas où elles sont rangées (Aie !) Je suis sur un gros dossier avec ma chef de service. » Je coupai la communication et éteignis ce satané portable qui me valait un supplément de traitement. Sylvie glissa ses doigts dans ma bouche et me tira la tête en arrière pour m'achever en beauté. Elle était satisfaite. L'odeur fine de sa sueur emplissait la cabine, se mêlant à la mienne... moins fine.
« Mais nous ne pouvons rendre l'objet dans cet état, même si je vais l'acquérir. » Elle me souleva le menton. « Tu comprends ce que ça veut dire. » Résigné, j'inclinai la tête, ouvris la bouche, sortis ma langue pour nettoyer soigneusement l'objet. Du coin de l'œil, j'entrevis une petite fente dans la paroi de la cabine, derrière laquelle l'œil bleu de la petite salope blonde n'avait rien perdu du spectacle et se régalait de la suite. Je continuai à lécher... Ma chef trouvait que c'était ce que je faisais de mieux !
Sylvie récupéra les accessoires emballés et paya avec sa carte bleue. Je portais les sacs et me dirigeais vers la sortie lorsque l'insupportable voix de la gourde retentit : « désirez-vous une carte de fidélité, Madame ? »
Sylvie s'arrêta.
Elle en prit deux.
Shopping.
Jeune de moins de 18 ans, n'oublie pas que la mode est éphémère et que tes enfants, à ton âge, se foutrons des fringues que tu portais. En attendant ce jour, dégage d'ici, ce topic n'est pas pour les porteurs de culottes courtes. Les majeurs vous pouvez entrer.
Sylvie avait exigé que je l'accompagne pour faire une course en ville. Auparavant, elle avait voulu refaire mon make-up. J'avais bien eu quelques velléités de refuser mais deux claques me ramenèrent à de plus dociles sentiments. Elle m'appliqua un peu de kohl sur les paupières, de mascara sur les cils et de rouge sur les lèvres... « Te voilà, un peu plus sortable, me dit-elle, quant à tes cheveux... » Elle ne termina pas sa phrase avec une moue mi-dégoutée, mi-accablée.
J'ignorais à quelle boutique elle voulait m'amener et je la suivis docilement ignorant les sifflements et les réflexions des passants dans la rue. « Tu vois ce que doivent supporter les femmes à cause des pourceaux de ton espèce ? », me lança-t-elle.
Nous arrivâmes devant un magasin... A ma grande surprise, je constatais qu'il s'agissait d'un sex-shop. Sans marquer d'hésitation, Sylvie entra. Une petite blonde se tenait à l'accueil. Elle sourit en me regardant puis, devinant qui commandait, demanda à Sylvie ce qu'elle désirait. « Je souhaite acheter quelques articles afin d'égayer un peu les longues soirées, lorsqu'il n'y a rien d'intéressant à la télévision. », répondit ma Maîtresse. « Hé, bien... Il va vous falloir une grosse provision ! » s'amusa la petite gourde qui voulait faire de l'esprit.
L'attention de Sylvie se porta sur un lot de baillon-boule. « Approche, me dit-elle, nous allons faire un essai. » J'eus un mouvement de recul. Elle plaisantait ? « Obéis » me fit-elle. Elle me gratifia d'une paire de claques sonore. J'obtempérai. Elle plaça un premier bâillon dans ma bouche. « Que pensez-vous de celui-là ? » demanda-t-elle à la vendeuse. « Le rouge est un peu criard, je vous conseille le noir, plus sobre » déclara la petite gourde. Sylvie me plaça un deuxième bâillon, regarda, minauda, repris le premier, réessaya. « M'oui, je crois que je vais me ranger à votre avis. »concéda-t-elle. « Puis-je voir votre choix de cravaches ? »
La petite conne la conduisit vers les cravaches. Le bâillon toujours dans la bouche, je suivis le mouvement. Sylvie cueillit une cravache et fouetta l'air avec un mouvement souple du poignet. « Pas mal. » Elle se tourna vers moi : « baise ton pantalon et penche-toi. » Et si quelqu'un entrait ? Je voulu protester mais le bâillon m'en empêchait. « Allons. » Je m'exécutais et ressentit une vive douleur sur les cuisses. « Pas mal, pas mal » répéta ma tortionnaire. Je vais en essayer une autre. Nouveau coup, plus cinglant encore. Des larmes me montèrent aux yeux. « Essayez celle-ci » lui conseilla la peste blonde. Un nouveau coup encore plus fort. Puis un autre... Sylvie essaya une dizaine de cravaches avant de fixer son choix. « Très bon » aux dires de la petite grognasse qui m'horripilait. « Je voudrais maintenant voir les godemichés. »
En se divertissant beaucoup de la tournure prise par les évènements, la blondasse conduisit Sylvie vers de redoutables instruments de torture. Les cuisses rougies, le pantalon sur les genoux, je suivis ma Maîtresse. Mes yeux se firent suppliants. « Je ne veux pas le mutiler non plus » dit-elle. « Ah ? », répondit la garce, manifestement déçue. « Prenez celui-ci, alors, souple et confortable, » elle débuta un laïus de vendeuse : « une forme douce et ondulatoire et un diamètre de seulement 3.5 cm afin de concéder un maximum de plaisir et de confort à vos partenaires sans les blesser. La couleur "raisin" est un hommage au dieu Bacchus, aux vignes et aux fêtes des vendanges. Quant au harnais, il est transparent car il fait office de culotte "invisible". On pourrait croire que ce sexe est le prolongement physique de celle qui le porte. Les yeux de Sylvie brillèrent : « on peut l'essayer ? » La blonde indiqua les cabines au fond du magasin : « vous trouverez le lubrifiant à l'intérieur. »
Ignorant mes suppliques muettes, Sylvie me saisit l'oreille, indifférente à mes sanglots étouffés, me jeta à quatre pattes dans la cabine, puis ajusta l'engin sur elle... Elle lubrifia et commença son office. Un contact rude, d'abord. Puis un lent mouvement pendulaire qui me blessait les chairs... A ce moment, mon portable sonna. « Tu ne l'as pas débranché, me reprocha ma partenaire... Quelle négligence ! Je vais devoir te punir davantage. » Elle défit mon bâillon. « Réponds. Allez. » « Oui... C'est toi chérie... Non, non, ça va... (ma cruelle Maîtresse faisait exprès de me besogner intensément ) Tout va bien, je te dis... Il faut que je te laisse... Quoi ? Mais je ne sais pas où elles sont rangées (Aie !) Je suis sur un gros dossier avec ma chef de service. » Je coupai la communication et éteignis ce satané portable qui me valait un supplément de traitement. Sylvie glissa ses doigts dans ma bouche et me tira la tête en arrière pour m'achever en beauté. Elle était satisfaite. L'odeur fine de sa sueur emplissait la cabine, se mêlant à la mienne... moins fine.
« Mais nous ne pouvons rendre l'objet dans cet état, même si je vais l'acquérir. » Elle me souleva le menton. « Tu comprends ce que ça veut dire. » Résigné, j'inclinai la tête, ouvris la bouche, sortis ma langue pour nettoyer soigneusement l'objet. Du coin de l'œil, j'entrevis une petite fente dans la paroi de la cabine, derrière laquelle l'œil bleu de la petite salope blonde n'avait rien perdu du spectacle et se régalait de la suite. Je continuai à lécher... Ma chef trouvait que c'était ce que je faisais de mieux !
Sylvie récupéra les accessoires emballés et paya avec sa carte bleue. Je portais les sacs et me dirigeais vers la sortie lorsque l'insupportable voix de la gourde retentit : « désirez-vous une carte de fidélité, Madame ? »
Sylvie s'arrêta.
Elle en prit deux.
Re: Dites-le avec des fleurs.
Es-tu au courant que toutes les femmes ne sont pas des "connes" tortionnaires ...? C'est vraiment dérangeant à lire ...
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Re: Dites-le avec des fleurs.
Bon, j'explique :
Au départ, je me cherchais et je voulais exprimer certaines choses, je ne sais pas quoi au juste.
J'avais certains fantasmes mêlant sadisme et masochisme.
J'ai trouvé amusant d'inverser les rôles, plutôt qu'infliger des tourments à une femme, ce serait elle qui serait dans la peau de "l'homme" et qui se comporterait comme certains sadiques envers leurs soumises.
L'inversion des rôles qui se trouve dans tous mes récits où c'est le "faible" qui tourmente le fort.
Tous ces personnages sont des projections.
Quand je me mets en scène, la "victime" est une projection de moi.
Mais dans ce que je détesterait être.
C'est pour ça que l'auteur (moi) lui en met plein la gueule (à moi) par l'intermédiaire de personnages féminins à qui je prête des traits de femmes que j'ai connues ou fréquentée mais qui sont, d'une certaine façon, aussi des projection.
Je deviens donc souminateur par procuration.
Quand j'ai écrit et posté ces récits, au départ, j'étais dans l'humiliation rigolote (tarte à la crème - le fantasme que j'aimerais le plus volontiers assouvir.) Progressivement, j'y ai introduit de la violence et du fétichisme (la gomina, le wetlook, les chevelures féminines notamment ) et lorsque j'ai posté ces récits sur le forum rose, j'ai eu des retours plutôt favorables de la part de femmes soumises ou dominatrices qui m'ont encouragé par leurs suggestions à aller plus loin.
Si tu regardes, les femmes ne sont pas toujours montrées sous un jour négatif, même si la plupart du temps je mets en scène des méchantes (mais la "victime" mérite ce qu'elle subit) et je signale toujours la part qu'ont eue certaines correspondantes dans le récit.
Il faut voir ça comme un défouloir ludique dont la victime est un "mâle" étroit, veule et arriviste.
Si on trouve ça dérangeant malgré tout, il ne faut pas lire.
Au départ, je me cherchais et je voulais exprimer certaines choses, je ne sais pas quoi au juste.
J'avais certains fantasmes mêlant sadisme et masochisme.
J'ai trouvé amusant d'inverser les rôles, plutôt qu'infliger des tourments à une femme, ce serait elle qui serait dans la peau de "l'homme" et qui se comporterait comme certains sadiques envers leurs soumises.
L'inversion des rôles qui se trouve dans tous mes récits où c'est le "faible" qui tourmente le fort.
Tous ces personnages sont des projections.
Quand je me mets en scène, la "victime" est une projection de moi.
Mais dans ce que je détesterait être.
C'est pour ça que l'auteur (moi) lui en met plein la gueule (à moi) par l'intermédiaire de personnages féminins à qui je prête des traits de femmes que j'ai connues ou fréquentée mais qui sont, d'une certaine façon, aussi des projection.
Je deviens donc souminateur par procuration.
Quand j'ai écrit et posté ces récits, au départ, j'étais dans l'humiliation rigolote (tarte à la crème - le fantasme que j'aimerais le plus volontiers assouvir.) Progressivement, j'y ai introduit de la violence et du fétichisme (la gomina, le wetlook, les chevelures féminines notamment ) et lorsque j'ai posté ces récits sur le forum rose, j'ai eu des retours plutôt favorables de la part de femmes soumises ou dominatrices qui m'ont encouragé par leurs suggestions à aller plus loin.
Si tu regardes, les femmes ne sont pas toujours montrées sous un jour négatif, même si la plupart du temps je mets en scène des méchantes (mais la "victime" mérite ce qu'elle subit) et je signale toujours la part qu'ont eue certaines correspondantes dans le récit.
Il faut voir ça comme un défouloir ludique dont la victime est un "mâle" étroit, veule et arriviste.
Si on trouve ça dérangeant malgré tout, il ne faut pas lire.
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Re: Dites-le avec des fleurs.
Si tu veux...
En fait, ces récits ont différentes fonctions, me "purger", m'"exhiber" mais aussi divertir.
Pas de faire éprouver un malaise.
En fait, ces récits ont différentes fonctions, me "purger", m'"exhiber" mais aussi divertir.
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Re: Dites-le avec des fleurs.
Je suis pas du bon côté du manche, mais j'apprécie et j'apprends de ce que tu écris.
Mention spéciale pour le début des textes, référence aux jeunes, je trouve ça très humoristique
Bonne fin de week end, top
Mention spéciale pour le début des textes, référence aux jeunes, je trouve ça très humoristique
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Parfois on regarde les choses telles qu'elles sont en se demandant pourquoi.
Parfois on les regarde telles qu'elles pourraient être en se disant pourquoi pas.
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Re: Dites-le avec des fleurs.
Mad'O, quel dommage que tu ne sois pas du côté du manche, tu aurais certainement été... top !
Merci beaucoup pour tes commentaires.
(OK, je lèche les pompes mais... J'aime tellement ça.
Merci beaucoup pour tes commentaires.
(OK, je lèche les pompes mais... J'aime tellement ça.
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Re: Dites-le avec des fleurs.
Tu es adorable, si je partageais certains delires tu aurais une place de choix !
Parfois on regarde les choses telles qu'elles sont en se demandant pourquoi.
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Re: Dites-le avec des fleurs.
Mais bon voilà, je reste du côté maso, mais...... j'aime bien te lire
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Re: Dites-le avec des fleurs.
J'aimeTopmaso a écrit :Lorsque Sylvie m'emmène faire du shopping, ce n'est pas dans une boutique ordinaire. Encore un récit ou je me fais mettre... minable. La petite pouffe blonde rappellera une certaine Ingrid. (Merci à Mistytt pour ses indications sur certains engins de mort.)
Shopping.
Elle en prit deux.
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
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Re: Dites-le avec des fleurs.
ça tombe bien, j'aime bien être lu.Mad'O a écrit :Mais bon voilà, je reste du côté maso, mais...... j'aime bien te lire
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Re: Dites-le avec des fleurs.
Topmaso a écrit :On partagera peut-être un gâteau.
Si ça arrive, je te le mettrais sur la tête
Parfois on regarde les choses telles qu'elles sont en se demandant pourquoi.
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