Dites-le avec des fleurs. [BDSM]

[Topmaso]

Dédié à une copine du forum.

Je prends délicatement ton menton, je le soulève et sous ton regard surpris, j'aplatis sur ton beau visage une onctueuse tarte dégoulinante de crème. Puis je prends un œuf et je l'écrase au sommet de ton crâne, au milieu de la forêt drue de tes superbes cheveux roux. Puis un autre, et un autre encore. J'y ajoute le contenu d'un sachet de farine, un peu d'huile aussi, et je termine en aplatissant une nouvelle tarte. Je malaxe un peu cette matière. Et, hop, un bon verre d'eau pour te dégager le visage.

Je m'amuse de ton expression mi-médusée, mi-courroucée, mais pas longtemps.
Une paire de claque retentissante me ramène à la réalité. Tu me saisis par ma cravate et m'attires vers toi.

D'une main experte, tu saisis mes lunettes, me les ôte, puis tu m'écrases une tarte sur la figure. Tu prends bien ton temps, fais tourner ton poignet, puis remonte la tarte jusqu'au sommet de mon crâne. Elle laisse un sillon de crème blanche dans mes cheveux noirs. "On dirait un putois", t'esclaffes-tu. Tu écartes la crème de mes yeux afin que je ne perde rien du spectacle, puis me remets mes lunettes.

Tu captures un œuf que tu m'introduis de force dans la bouche. Puis tu me lèves en me tirant par ma cravate, pose deux trois œufs sur une chaise et m'oblige à m'asseoir dessus. Les coquilles s'écrasent et le contenu imprègne mon fond de culotte.

Tu éclates d'un petit rire argentin en croisant mon regard surpris et apeuré. Que me réserves-tu ? Je sens que d'un doigt, tu dégage le haut de mon crâne avec ton ongle, découvrant ma raie médiane puis, le long de cette gouttière, tu verses le contenu d'une bouteille de chocolat liquide. Il me goutte sur le front, le long de l'arête du nez, sur les lunettes... Tu prends une photo avec ton portable, récupères l'œuf et me le brises sur la tête. Tu passes ensuite derrière moi, écarte mon col de chemise et me vide le reste de la bouteille dans le dos. Je frissonne. Tu aplatis la crème avec ta main.

Puis, avec un rouleau de papier transparent, tu m'enveloppes la tête mais tu me laisses un orifice pour respirer et un pour ma bouche. En effet, je dois m'incliner et reconnaître ma défaite en léchant à quatre pattes les chaussures que tu as délibérément souillée de nourriture. Tu fais une nouvelle photo.

Nous choisirons laquelle servira d'avatar sur internet.

[Topmaso]

Ma copine a écrit sa version...
M'a-t-elle bien descendu ? Je dirai ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.​



Tu m'avais dit que tu aimerais changer les rôles un moment.. Mais je ne t'ai pas fait plaisir avec ma coiffure.. J'ai le don d'être contrariante. J'ai laissé mes cheveux lâchés, la raie sur le côté, ma crinière de lionne. Chevelure indomptable. Mais je serais sage. Tu soulèves mon menton, je pensais que j'avais un peu plus de temps pour m'y préparer, prendre mon souffle. Mais tu aplatis sans ménagement une tarte dégoulinante de crème sur mon visage. C'est froid. J'ai fermé les yeux et froncé les sourcils. D'un revers de la main, je me dégage la bouche, reprendre un peu d'air sous cette couche épaisse de crème fouettée. Je tente d'ouvrir un œil, et je vois ta main venir au dessus de ma tête. C'est un œuf que tu écrases sur mon crâne.. On en avait parlé, ce n'est pas mauvais pour les cheveux.. un autre, bon. Encore un? J'ai du mal à rester assise, la crème goutte et coule entre mes seins, les œufs, visqueux, glissent le long de ma nuque, c'est froid et désagréable, mais je ne dis rien.
Qu'est ce que c'est maintenant? De la farine, ça ce n'est pas fairplay.. Je pense à l'après, une bonne douche me fera du bien. Je suis interrompue dans mes pensées, je sens l'odeur de l'huile d'olive avant de la sentir glisser sur moi, depuis le haut de ma tête, sur mes épaules, sur mon visage déjà sali.. Mais à quoi je dois ressembler? Je me dis que je verrais bientôt. J'ouvre la bouche pour protester, mes vêtements vont être abîmés! Pas le temps qu'un son ne sorte, et tu écrases à nouveau une tarte sur ma figure. Je reste immobile un moment, la bouche ouverte, je me lèche les lèvres pour en goûter un peu.. Et alors que je tente de dégager mes yeux, je reçoiq un plein verre d'eau au visage. Je sursaute. Je soupire, je serre les dents.

Je peux te voir maintenant, tu contemples, tu souris un peu.. Tu hésites à dire un mot quand je te gifle sèchement. Tu restes planté là. Je te tire vers moi en agrippant ta cravate.. Une cravate? C'est que tu t'es mis sur ton 31.. Je souris aussi maintenant. Je retire tes lunettes, tu sais ce qui t'attends. Je prends une tarte d'une main et te l'écrase sur la figure. Je ne te la jette pas, non, je l'appuie consciencieusement sur ton visage. Je me demande si tu étouffes là dessous, je prends mon temps pour remonter le long de ton visage jusque sur tes cheveux noirs, impeccablement plaqués, gominés.. Tu sembles ne pas oser bouger. D'un doigt, j'enlève la crème de tes yeux, puis je remets tes lunettes en place. Je recule d'un pas. "On dirait une moufette!" dis-je en riant!

Je regarde tes yeux qui brillent.. Je passe mes mains dans mes cheveux mouillés et huileux pour qu'ils ne me tombent pas dans la figure. Il ne reste plus rien d'indomptable dans ma crinière, je les plaque en arrière, lissés par l'huile et la crème. Je te regarde. Il manque quelque chose à ce tableau. Je saisis un œuf et le plaque contre la bouche pour que tu le prennes. Tu es docile. C'est facile.
Je te fais te lever en tirant sur ta cravate, et je pose derrière toi le reste des œufs. Je te tire vers moi, je te toise, j'imagine de quoi nous avons l'air tous les deux, dégoulinants de crème, d’œufs frais..
"Assis."
Tu t'exécutes. Les coquilles se brisent sous toi. J'imagine ton inconfort, le liquide gluant imprégnant ton pantalon. Je te regarde avec délectation.. Tu baisses les yeux et je ris.. "On a pas prévu assez de tartes, tu vois, tu t'es trop fait plaisir avec moi.." Je tourne autour de toi, je me place dans ton dos, je fais durer le plaisir.. Tu as envie de te retourner, je le sens. Mais avant que tu ne bouges, je trace un sillon du bout de mon ongle le long de ton crâne, je me débarrasse de l’excédent de crème d'une pichenette en direction de ton oreille.. tu frémis. Je verse copieusement un délicieux sirop de chocolat le long de cette ligne que j'ai tracée, et il dégouline sur toi, piquant tes yeux, ruisselant dans ton dos.. Ma petite revanche pour l'huile qui m'a donné des frissons.. Je m'essuie les mains sur ta cravate, avant de fouiller dans mon sac. Je sors mon appareil et capture l'instant.
Je repasse devant toi et je tends ma main ouverte. Délicatement, tu me rends l'oeuf que je t'avais confié et je le brise sur ton crâne. Je te contemple, tu souris discrètement.. Je te rends ton sourire avant de vider le reste de la bouteille de sirop dans ton dos, en tirant sur le col de ta chemise déjà trempée..
Je passe ma main dans ton dos, sur ta tête, j'étale la mixture, je passe doucement ma main sur ta joue pleine de crème, caresse.. Puis je lève ma main et abat sur ta joue une gifle monumentale. Je ricane quand je vois ton air perdu et tes lunettes qui ont volé à l'impact..
"Allez, va les chercher" dis-je dans un rire..
Quand tu te penches pour les ramasser, je pose mon pied sur ton derrière tout imprégné d’œufs et maculé de coquilles écrasés, et je pousse pour te faire tomber en avant.
"Attends".
J'empoigne un rouleau de film plastique et je t'enroule la tête dedans. Tu as l'air inquiet. Je m'accroupis et perfore de mon ongle une ouverture pour ta bouche. Je te gratifie d'une petite tape sur le sommet du crâne.
"Tu sais, avec tes délires, on gâche pas mal.."
Je pointe du doigt les tâches de crème et de chocolat sur le sol
"Lèche." Ma voix et sèche mais un long sourire parcoure mon visage.

J'ai tiré une chaise à moi, je m'assois pour te regarder, ridicule à quatre pattes, à lécher le sol, ton fond de pantalon mouillé, avec ta tête enrubannée dans le film plastique, on devine en dessous tes cheveux poisseux, mais tu me plais ainsi.
Je voudrais te rappeler à moi, mais je ne sais pas siffler.. Je claque des doigts, tu te retournes. Je te fais signe de te lever et de venir vers moi. Tu te redresses, debout devant moi, tu me domines de ta hauteur. Je lis dans tes yeux les questions qui se bousculent.. Je t'attrape par l'entrejambe. J'empoigne, je serre.
"Siffle maintenant!"
Je souris de toutes mes dents, tu fais de ton mieux pour siffler, le plastique rendant la chose compliquée, et la pression sur tes parties amplifiant la difficulté. Je dodeline de la tête sur ton petit air joyeux.. je fredonne..
Je tire vers le bas et tout en tendant la jambe je désigne d'un mouvement de tête le bout de mes Dr maculées de crème.
Je te lâche, tu t'agenouilles, pas besoin de mots, tu as perdu, et tu lèches mes chaussures avec application. Je saisis mon appareil. Clic, clic, clic.
"Ça te fera un bel avatar.."

[Topmaso]

Le chien d'Elle.

Elle ne fait qu'1m60 et la moitié de mon poids.
Pourtant, elle me domine et me gouverne sans problème.
Je suis à genoux, dans son salon, en caleçon, têtedecuïsé et pentoïsé (elle a apprécié) et elle m'a dit "pas bouger".
Alors je ne bouge pas.
J'ai l'air d'un con.
ça aussi elle me l'a dit.
Elle revient.
Elle porte une guêpière et une jupe en cuir.
Et de longues bottes.
Nous avons choisi ensemble cette tenue.
Elle me met un collier qu'elle attache à une laisse.
Elle ordonne "debout".
Une gifle pour apprendre à obéir plus vite.
Je me laisse attacher les pieds.
Elle ordonne "à genoux".
J'obéis vite cette fois.
Puis elle apprend à son chien à marcher.
Entravé.
Dans son salon.
Nous tournons en rond.
Jamais le chien ne dépasse sa maîtresse.
Il obéit.

[Mad'O]

sympa. j'imagine bien la tenue en plus

[Topmaso]

Merci Mad'O.

Là, c'est du vrai.
ça remonte à deux ans.

[Topmaso]

Après m'avoir fait marcher, tu m'as donné l'ordre de m'immobiliser.
Je suis à quatre pattes, dans ton salon.
Ridicule et soumis.
Je baisse la tête.
J'ai honte.
Tu examines mon carnet.
Chaque fois que je me suis touché, j'ai dû faire une croix sur un post-it.
Ordre de Toi.
Tu comptes.
Il y en a beaucoup.
J'ai encore plus honte.
Tu colle un post-it sur mon épaule.
Tu me montres ton martinet.
Un ami à Toi te l'as confectionné.
Du beau travail.
Je vais recevoir treize coups.
Je dois les compter.
A chaque coup, je dois en demander un autre et rajouter "s'il te plait".
A la fin, je dois dire "merci".
Au début, j'oublie.
Le coup est décompté.
Alors je me discipline.
Je trésaille et à chaque fois, je demande "encore un coup, s'il te plait".
Je sens que tu t'amuses.
Tu me domines.
Je me soumets.

J'ai pris treize coups et je te remercie.

[Topmaso]

NDA : récit corrigé par Elle. (Rédacteur aussi.)

Elle a compté dix-sept croix dans mon carnet puis a enlevé le premier feuillet et me l'a collé sur l'épaule. Elle m'a baissé le caleçon aux genoux et a commencé à me donner des coups de cravache.
Je me suis mis à compter.
Subitement, Elle demande : "Est-ce que je t’ai demandé de compter ?"
Je suis surpris. Je balbutie une réponse mais Elle insiste : "Est-ce que je t’ai demandé de compter ?"
Je reconnais que non.
Elle déclare : "Alors tu ne comptes pas."

Je perds mon peu de moyens.
Ma précédente dresseuse me faisait compter et remercier pour chaque coup.
Elle le savait.
Elle m'enlève mes repères, je ne sais comment agir pour éviter d'être puni.
Elle me tient.

Elle frappe.
Constate que ma chair marque.
Caresse.
Puis frappe encore.
Je suis désorienté.
A sa merci.

Elle ne voulait pas que je compte.

Plus tard, après que je me sois occupé de ses bottes (une manière de me récompenser), Elle me rappelle toutes les fois où je l’avais titillée, provoquée, bien à l’abri derrière mon écran.
Je sens brusquement un froid qui suit ma récompense.
J'essaye de me défendre, de protester...
J'ai peur de la sanction...
Mais c'est Elle qui commande.

Elle fixe son tarif.
"Treize coups. Le nombre est donné, tu devras cette fois les compter. C’est compris ?"
J’acquiesce : "oui."
Subitement, elle me demande : "C’est comme ça qu’on répond ?"
Je suis de nouveau pris au dépourvu.
L'ancienne me giflait si j'oubliais de lui donner son titre.
Elle ne l'exigeait pas.
Jusqu'ici.
J'hésite.
Trop longtemps.
Je prends un coup de martinet.
Je lâche un "Oui Maîtresse" hâtif.
Mais elle me dit : "garde tes Maîtresses, je m’en moque, on répète. C’est compris ?
Je répète : "C’est compris."
Elle me manipule à sa guise.
Elle me tient.
Un premier coup tombe.
Je compte : "Un."
Elle me dit : "Tu vas me demander le suivant, et ce jusqu’au dernier."
J'acquiesce en un soupir craintif.
Je ne la ramène plus.
Je ne pense même plus.
Je demande : Est-ce que je peux en avoir un autre ?
Elle me fait répéter et ajouter : "S’il vous plait."
Elle m'oblige à quémander les coups, et poliment.
Du grand art !

"Est-ce que je peux en avoir un autre s’il vous plait ?"
La question rythme les douze coups suivants.
Je la sens qui s'amuse.
J'essaye de jouer le jeu tant que je peux supporter.
ça va, elle frappe juste assez fort pour que ce soit douloureux mais supportable.

Je voulais être humilié et dominé ?
Je suis comblé.

[Supprimé]

J'aime beaucoup celui çi

[Topmaso]

Merci.
Moi j'ai aimé le vivre.

[Topmaso]

NDA : Elle m'a fait corriger et corrigé de nouveau.

Après les coups, Elle me baisse mon froc et je me laisse docilement attacher les couilles.
Je la regarde, menue et blonde, s'affairer.
Mais le cordon ne serre pas assez.
Elle est un peu dépitée.
Très vite, Elle reprend les choses en main (!)
Elle m'ordonne de me mettre à quatre pattes.
Je m'exécute.
Elle étale alors de la mousse savonneuse sur mon anus et décide de me raser la rondelle.
Je reste ainsi, à quatre pattes, dans son salon, immobile pendant qu'Elle s'occupe de moi.
Je suis profondément rabaissé, mais je ne bouge pas.
Je devine qu'Elle doit bien s'amuser.
Je sens le contact du rasoir.
Elle me dit que je suis un bon chien.
Je ne remue pas la queue.
Pour me récompenser, sa besogne achevée, Elle va chercher une écuelle, elle la dépose derrière-moi et l'emplit de crème fouettée.
"Lèche", lâche-t-Elle.
Je dois me retourner, jambe entravée, froc baissé, cul rasé, et m'incliner pour laper ma pitance.
Je lèche.
C'est un peu écœurant.
Je n'y met donc pas tout mon cœur.
Elle m'enfonce la tête dans l'écuelle.
Elle aurait pu me l'écraser plus franchement mais je la sens qui se modère.
C'est une première fois.
Nous cherchons nos marques (!)
J'en ai partout sur le museau.
Elle prend un miroir pour que je contemple ma bouille lamentable.
Elle rit, de son petit rire léger.
J'ai gagné un ou deux post-it.
Elle va maintenant m'inviter à prendre soin de ses bottes..

[Topmaso]

Dernière partie

Elle décide de tester sur moi les pinces à linge.
Fixées aux tétons.
J'appréhende.
J'ai déjà essayé une fois.
La pince a mordu très fort et la douleur a porté au cœur.

Elle les pose.
Elles ne pincent pas trop fort.
C'est désagréable mais pas trop douloureux.
Je m'essaie à mon regard plaintif.
Elle les laisse un peu mais, clémente, les retire assez vite.
Elle me commande d'aller jeter à la poubelle les emballages des accessoires que nous sommes allés chercher ensemble plus tôt au BHV.
Je demande si je dois, en bon chien, les prendre à la bouche pour les y déposer.
Elle me le défend par souci d'hygiène : on ne sait pas qui les a tripotés.
Mais elle se satisfait que je l'ai demandé.
ça me gagne un post-it.
Elle consulte le carnet.
Décompte un post-it puis me fait mettre à quatre patte.
Elle s'absente un court instant puis revient avec de quoi me raser.
Elle s'occupe alors de ma rondelle tandis que je reste immobile, humilié et soumis.
Précautionneusement, elle me rase.
Juste assez pour que ça ne se voit pas trop.
J'ai vraiment l'air con.
Elle sait que je le sais.
ça fait partie de son plaisir.
Pour me récompenser, Elle s'assoit devant moi et m'autorise à lécher ses bottes.
Un de mes fantasmes.
J'en profite, j'attaque par la pointe, remonte vers le talon, mais je n'arrive pas à bien en faire le tour car elle ne bouge pas ses pieds.
Elle profite du spectacle de ce grand échalas, à quatre pattes, pieds et couilles entravés qui essaie de lécher de son mieux ses bottes de cuir.
Je remonte le long de la botte vers son genoux mais je me garde de lécher la chair sans son autorisation.
Le contact n'est pas particulièrement agréable, ni désagréable.
C'est la situation qui procure le plaisir.
Je lèche ensuite l'autre botte.
Comme Elle ne dit rien, je demande si ça va.
Elle me répond que oui, qu'Elle apprécie.
Alors je poursuis ma besogne.
Puis elle me commande d'aller chercher le nécessaire pour les nettoyer.
Je rampe vers une petite sacoche qui contient du cirage, un chiffon, une brosse.
Et je cire ses bottes.
A genoux, les pieds et les couilles entravées.
Je cire, je m'applique et j'utilise la brosse pour la faire reluire (la botte).
Elle m'adresse ses compliments.
J'embrasse la pointe de sa botte pour exprimer ma soumission et ma satisfaction.
Elle me gronde : le cirage, c'est toxique.
C'était juste du bout des lèvres.
Elle réclame alors un verre d'eau.
Je la sers.
Elle boit.
Et m'en recrache une partie au visage.

C'est le pourboire.

J'aime son inventivité.

[Topmaso]

Je n'ai pas mis la suite par écrit.

[Ag7Wr10]

Je n'ai pas mis la suite par écrit.

C'est mal

[Topmaso]

C'est mal

Ben oui.

Si quelqu'une pouvait me punir sévèrement, ça alimenterait le topic...

[cLEg8]

Pourquoi tu ne dessines pas tes fantasmes ?
Je trouve que tu as plus de talent pour dessiner que pour écrire, tu pourrais exploiter ça ...

[Topmaso]

C'est que ça prend beaucoup de temps.
Et que je ne suis pas tout seul...

[Topmaso]

Pourquoi tu ne dessines pas tes fantasmes ?
Je trouve que tu as plus de talent pour dessiner que pour écrire, tu pourrais exploiter ça ...

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[Aspartam_]

Et ben voilà!

[Topmaso]

Mesdames, rien ne vaut une langue agile et travailleuse pour l'éclat de vos bottes. ^^

[Topmaso]

Bonsoir à toutes et à tous.

[Mad'O]

SAlut Top !!! contente de te revoir !!!!!

[Topmaso]

Merci Mad'O.

[Loupdoux]

Bonsoir à toutes et à tous.

Bonsoir et bon retour par ici !

[Topmaso]

Merci

[XjEd9a3]

Bonjour Topmaso,

Merci pour ces récits, j'en ai lu quelque uns, j'aime bien ton style, changeant selon le contexte, rebondissant aussi, et, même si "jouer" avec la nourriture c'est pas trop mon trip je n'avais jamais entendu parler de tarte à la crème de façon si poétique sourire.

[Topmaso]

Merci beaucoup.
(La tarte à la crème, c'est mon fantasme de soumis. )

[Topmaso]

Bonjour Topmaso,

Merci pour ces récits, j'en ai lu quelque uns, j'aime bien ton style, changeant selon le contexte, rebondissant aussi, et, même si "jouer" avec la nourriture c'est pas trop mon trip je n'avais jamais entendu parler de tarte à la crème de façon si poétique sourire.

Une partie est du vécu. Le reste, du fantasme - avec un espoir de concrétisation.

[XjEd9a3]

Et bien cela donne de chouettes textes :-)
(pour la première fois j'ai mixé les deux aussi, dans mon dernier récit... "vécu et réel..." et pourquoi pas !!)

[Topmaso]

Et bien cela donne de chouettes textes :-)
(pour la première fois j'ai mixé les deux aussi, dans mon dernier récit... "vécu et réel..." et pourquoi pas !!)

C'est où ?

[XjEd9a3]

ha... j'en ai posté une partie au dessus "sa nouvelle vie"

[Topmaso]

Parmi les humiliations qu'Ingrid adorait m'infliger, il y avait le port de sous-vêtements féminins. Elle aimait beaucoup voir mon membre compressé dans une petite culotte de fille.
Et elle avait ajouté une variante à cette humiliation.
Sur ses ordres, je devais me tenir devant elle, jambe écartées, et uriner volontairement dans ma culotte.
Ensuite, elle me la faisait enlever, m'obligeait à me mettre à genoux et à pencher la tête en arrière, bouche grande ouverte, langue sortie.
Elle m'introduisait alors de force le vêtement trempé dans la bouche et m'ordonnait de bien le nettoyer pour qu'il soit bien net avant de le porter à nouveau.
Un lavage écologique en somme.
C'était sa contribution au développement durable.

[Topmaso]

Petit fantasme.

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[Topmaso]

Petite colorisation.

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[Topmaso]

J'aimerais être un personnage de dessin animé pour que ma maîtresse puisse me piétiner, me laminer, me tordre, me réduire en poudre et qu'elle puisse à nouveau recommencer

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[Topmaso]

J'aime me faire défoncer en couleurs par une rousse flamboyante.

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[Topmaso]

Parce que j'aime les punkettes et que je suis casse-couilles.

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[Topmaso]

Je reprendrai bien un petit coup...

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Ah, merci Maîtresse !

[Topmaso]

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[Topmaso]

Un hommage à L. qui m'a offert deux des jours les plus intenses de ma vie.
J'aimerais avoir l'honneur d'être de nouveau sa carpette, devenir son défouloir, son crachoir, son cendar...
Je lui offre ma virilité pour qu'elle en dispose à son gré.

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[Topmaso]

Dessins avec couleurs rehaussées.

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