le petit chemin de terre

[Morseum]

Rendez vous fut pris dans un petit chemin de terre, dans un bois pas loin de chez toi.
Lorsque j arrive tu t déjà engagée dans la forêt. Heureusement le chemin est large tu ne risques pas de griffer ta voiture. J’arrive, je me gare juste derrière toi. J’éteins mon moteur. Il fait frais sous l’ombre de la forêt, c’est agréable.
Tu me fais signe de te rejoindre.
Je m installe à côté de toi, je remarque ta robe d’été légère et un peu transparente, mettant en valeur ton généreux décolleté. Je ne devrais pas le dire, mais à cet instant je rêve déjà de plonger ma main dedans.
Nous nous disons bonjour timidement. Un blanc s’installe. Je t’entends dire…
"Regarde moi"
Tu dégrafe légèrement ta petite robe et j’aperçois tes sous vêtement enfermant tes seins, j’ai l impression que tu veux prendre les choses en main aujourd’hui.
C’est bien le mot, tu avances ta main vers moi et la pose sans hésitation sur mon pantalon. Je suis déjà un peu tendu, la vue de ta gorge appétissante, m’a déjà fait de l’effet.
Tu déboutonnes mon pantalon et glisse derechef ta main dans mon boxer. Ta main me donne des frissons, elle est fraîche et son contact me fait frémir, comme la rosée sur une fleur.
Tu dégages mon sexe et sans un mot tu te places et te penches pour l’embrasser. Tes baisers secs puis humides sur mon sexe qui se tend au fur et à mesure sont comme des décharges électriques. Mon sexe se tend vers tes lèvres comme pour mieux s’offrir à toi. Tes lèvres enserrent mon gland et l’aspirent pour mieux le sentir. Tes mains sous mes bourses, comme pour mieux prendre mon sexe, me serrent délicatement. Je sens ton souffle sur mon entre jambe et tes cheveux me frôler les cuisses. Soudain tu te redresses et m’embrasses passionnément tout en continuant à branler mon sexe. Tu le sens chaud entre tes doigts prêts à partir, mais tu modules tes gestes doucement pour le retenir. Puis tu sors sans prévenir et viens de mon coté, tu ouvres la porte en grand. Moi toujours assis je fais mine de sortir mais tu m interromps et me dis de me mettre sur le bord du siège. Ton bassin au niveau de mon visage, tu soulèves ta robe, enlèves ta culotte et je découvre alors ton sexe appétissant et entrouvert par l’excitation. C’est alors que je t’entends me dire : « à ton tour maintenant » tout en prenant ma tête pour l’approcher de toi. Oui c’est tout à fait ça, aujourd’hui c’est toi qui décides où est ton plaisir.
Tu avances légèrement ton bassin et moi je colle mon visage entre tes cuisses, pendant que mes mains te prennent les fesses, je dépose quelques baisers entre tes cuisses, pour remonter ensuite vers ton sexe lui-même. Ma langue se darde pour percer ton intimité, pour toi aussi ce contact frais te fait gémir. Je sens ton sexe s entrouvrir encore un peu plus et je me mets à goûter ton parfum de femme excitée. Doucement d’abord puis à pleine langue, glissant de ton petit bouton à l’intérieur de tes lèvres. Parfois ma langue s’attarde et insiste pour ton plus grand plaisir, parfois ma langue trouve sur son chemin un de tes doigts qui s’égare sur ton petit bouton que tu titilles tantôt avec délicatesse tantôt avec fougue.
Je ne vois même pas ton visage, toi tu es au desus de la voiture, le regard perdu dans les feuillages des arbres, le regard perdu dans le chemin, goûtant sans pudeur chaque coup de langue que je te prodigue. Parfois tu glisses un doigt en toi car tu désires plus de chaleur en toi. C’est pour cela qu’au bout de quelques minutes tu me demandes de sortir, et tu passes sur les sièges arrière de la voiture. Tu t assieds le long, entrouvres et sors tes seins du soutien gorge, écartes les jambes, l une au sol, l autre sur le dossier et tu me dis, « viens, prends moi »
Je me faufile à l intérieur et me place entre tes cuisses et doucement je te pénètre. Je pénètre ton sexe humide et commence à aller et venir en toi, pendant que tu te caresses les seins à pleine main. Le désir montant tu enserres tes jambes autour de moi et passe tes mains dans mon dos. Je suis tellement excité moi aussi que je ne sens pas tes ongles parcourant mon échine, tantôt agressifs, tantôt tendres. Soudain je te sens gémir de plus en plus fort, de plus en plus rapidement et tu pousses un petit cri d aise, tout timide, tout sensuel, tout féminin.
C’est alors que tu me repousses presque violemment, je me retrouve assis sur le siège le sexe tendu que tu avales goulûment, alors que tu es a quatre pattes ; j’attrape tes seins et les pelotent fermement sentant moi aussi le plaisir monter. Je vois tes formes à travers la robe, j aperçois la rondeur de fesses sous le tissu, je sens ton parfum de femme sous tes cuisses quand soudain je jouis alors que tu avalais mon sexe énergiquement presque entier sous ta langue et entre tes lèvres. Tu ressens alors sur ta langue une douce chaleur liquide se répandre, se répandre en explosant. Tu n en perds pas une goutte, léchant celles qui auraient pu s’échapper.
Je me retrouve ainsi, le sexe pantelant comme mes jambes, exténué pendant que tu enfiles ta culotte, pendant que tu te réajustes. Tu sors de la voiture, te remets au volant et tu me dis : « vas t’en, à la prochaine fois, je t’appelle »
Alors je sors et me rhabille en allant vers ma voiture, je démarre et pars en marche arrière.
Je ne peux même pas te voir en train de me regarder dans ton rétroviseur le sourire aux lèvres et l’œil pétillant.