Je suis une vraie exhibitioniste...

[GVb6lO6]

Exhibitioniste

Je suis une vraie exhibitioniste. Je précise "vraie" car je n'hésite pas à scénariser soigneusement mes exhibitions.
J'ai découvert que j'aimais ça lorsque j'étais toute jeune fille. Durant mes années lyçée déjà.
Je partais en bicyclette pour aller "explorer" des endroits particuliers qui pouvaient se prêter à mes désirs d'être "vue".
Des endroits où je pouvais "voir", car je suis, pour certaines situations, très voyeuse. Mais c'est un autre domaine.
J'avais ainsi établi une série d'endroits où je me rendais durant mon circuit habituel.
J'avais établi une règle immuable. Il fallait que, en cas de souci, je puisse filer le plus vite possible sur mon vélo de course.
J'ai toujours été très prudente. Aucun de mes actes n'était irréfléchi ou improvisé. Tout était méthodiquement élaboré.
J'ai compris très jeune que beaucoup d'hommes avait un sexe à la place du cerveau.
Ce qui pousse ces derniers à avoir des attitudes absurdes, relevant le plus souvent de la pulsion plutôt que la réflexion.
Une de mes "astuces" favorites, est de savoir qu'il y a un grillage ou une clôture entre moi et l'individu qui me "surpend".
La rivière ou le torrent, l'étang ou le mur, sont autant de "protections" que je sais mettre au service de mes exhib.
Longuement je mets au point l'exhib à laquelle je vais me livrer. Aujourd'hui, à 26 ans, je suis une grande "spécialiste".
J'ai toujours mes endroits idéaux. J'ai toujours un circuit habituel que je parcours en vélo en été, en voiture en hiver.
Je prends toujours les mêmes imparables précautions.
Mon "truc" préféré, est de me frotter lentement sur la barre supérieure de mon vélo. De me faire surprendre ainsi, m'excite !
Aussi, je suis souvent en jupe. Mais le short clair est très bien aussi. Surtout lorsqu'il montre l'auréole humide entre mes cuisses.
Accroupie dans les fourrés, entre deux voitures ou encore au près des terrains de sports, est toujours source de plaisirs indiscibles.

Depuis deux ans que j'ai avoué mon vice à mon compagnon, doucement, il commence à entrer en complicité avec moi.
Il ne refuse plus de m'accompagner, de se cacher, afin de surveiller si tout se passe bien. Car c'est un grand gaillard athlétique.
Sa simple présence physique, n'importe où, est très dissuasive. Alors qu'il est le plus merveilleux des nounours.
L'exhib et le voyeurisme, ce n'est pas trop son "truc". Mais il fait son maximum afin que je trouve mon plaisir où j'aime le trouver.
De plus, de m'exhiber m'apporte tant de plaisir et d'excitation qu'il est le premier à pouvoir partager tout cela avec moi dans l'amour.
Je suis très vicieuse, je le revendique et cela participe à mon épanouissement de femme.
Le simple fait de l'avouer ici, est déjà, en quelque sorte, une exhibition. Sans risques...

Cet après-midi, par exemple, je vais aller essayer des paires de chaussures de ville dans une hall aux chaussures.
Dans ces halls de chaussures, il y a de nombreuses opportunités de s'exhiber, en jupe, à essayer encore et encore.
Mon compagnon, lui, est dans le centre commercial voisin. J'ai mon portable, il a le sien. Il sait où je suis. Il sait ce que je fais.
Dans ces lieux publics, je suis toujours d'une discrétion absolue. Je choisi mes "cibles". Toujours des quidams "quelquonques".
Je suis une grande "spécialiste" des situations où je suis accroupie à choisir des articles derrière des présentoirs ajourés.
L'homme qui est de l'autre côté ne se rend pas toujours compte, de suite, de la salope qui est entrain de choisir ses slips, accroupie.
Mais, lorsqu'il a capté, le jeu, que je ne fais jamais durer plus de quelques minutes, c'est souvent un enchantement.
Ce qui m'excite, c'est lorsque, discrètement, je récidive, en ayant changé de rayon. Devant le même individu.
Là, le type comprend à quelle genre de fille il a affaire...

Je suis une exhibitioniste, une "vraie", et je l'assume...

[Supprimé]

Ce doit être gênant et excitant de tomber sur une exhibitionniste comme vous!! Cela ne m'est jamais arrivé, j'ai déjà aperçu une femme au cul nue qui pensait être seule de bon matin pour récupérer quelque chose dans le coffre de sa voiture qui donnait sur la rue. Une autre fois dans le cadre de mon travail, j'ai surpris une femme qui faisait du mono kini près de sa piscine mais rien d'autre..

[Ag7Wr5]

Une exhibitionniste qui poste dansla section dédiée aux photos et qui ne montre rien. Un drôle de paradoxe non ? ...cela ne m'inspire qu'une réflexion : prouve le !

[Supprimé]

Une exhibitionniste qui poste dansla section dédiée aux photos et qui ne montre rien. Un drôle de paradoxe non ? ...cela ne m'inspire qu'une réflexion : prouve le !

PLUZUN

[Supprimé]

Fake ou pas Fake telle est la question....

[Mad'O]

ouais, je me demande aussi

[Wooki]

Isabelle a les yeux bleus , Isabelle à les yeux bleus ......

bon l'exhib .... il manque la preuve par l'image d'accord avec les autres .....................

[Patron]

Mais on peut s'exhiber en public "en face à face" dans une mise en scène arrangée et pas forcément se montrer en photo... les deux ne vont pas forcément de pair ?

[Mad'O]

Mais on peut s'exhiber en public "en face à face" dans une mise en scène arrangée et pas forcément se montrer en photo... les deux ne vont pas forcément de pair ?

toutafé.....


non mais on a un doute sur l'identité d'Isa en fait....... troll ou pas, habitué caché ou pas.... délire ou pas.....


on cherche des indices bordel

[Wooki]

Loulou c'est toi ????

[Supprimé]

Y a pas 36 questions à se poser hein

[DeLsEp12]

Mais on peut s'exhiber en public "en face à face" dans une mise en scène arrangée et pas forcément se montrer en photo... les deux ne vont pas forcément de pair ?

tout à fait

mais des images seraient cependant bienvenues

[BcxCa2]

j'aime bien tes histoires…je ne sais pas si elles sont vraies mais ç'est plaisant et ça me plairait de tomber sur une petite vicieuse comme toi…!
en tout cas, tu aimes écrire …la-dessus , y'a aucun doute…!

[GVb6lO6]

j'aime bien tes histoires…je ne sais pas si elles sont vraies mais ç'est plaisant et ça me plairait de tomber sur une petite vicieuse comme toi…!
en tout cas, tu aimes écrire …la-dessus , y'a aucun doute…!

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Bonjour

Merci pour votre gentil commentaire.

Oui, je suis une petite vicieuse.
Par contre, maintenant, pour mes 26 ans, je deviens doucement une grande vicieuse.
Je le revendique et je m'y applique avec ruses, intelligence et stratégies.
Il faut que cela me procure du plaisir.

Mais, nous sommes quelques unes à êtres des "petites" vicieuses.
Simplement, toutes les autres ne l'avouent pas.
Moi, de l'avouer, sur les forums que je fréquente, c'est un peu comme de m'exhiber, anonymement.

Je vous invite à découvrir mes "aventures" dans la rubrique "Récit", (Les récits d'Isa-Belle), ici, sur ce même forum.
Vous pourrez y découvrir mes vices, mes tendances et les situations que j'apprécie.
Ma vie, toutefois, n'est pas faite que de ces moments-là.
Ce ne sont que de petits intermèdes que je m'offre, comme une récompense, de temps en temps.
Edit modération : La publicité pour les sites personnels est interdite sur le forum

Isa

[BcxCa2]

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Bonjour

Merci pour votre gentil commentaire.

Oui, je suis une petite vicieuse.
Par contre, maintenant, pour mes 26 ans, je deviens doucement une grande vicieuse.
Je le revendique et je m'y applique avec ruses, intelligence et stratégies.
Il faut que cela me procure du plaisir.

Mais, nous sommes quelques unes à êtres des "petites" vicieuses.
Simplement, toutes les autres ne l'avouent pas.
Moi, de l'avouer, sur les forums que je fréquente, ainsi que sur mon Blog, c'est un peu comme de m'exhiber, anonymement.

Je vous invite à découvrir mes "aventures" dans la rubrique "Récit", (Les récits d'Isa-Belle), ici, sur ce même forum.
Vous pourrez y découvrir mes vices, mes tendances et les situations que j'apprécie.

…quelques unes oui mais pas toutes non plus….ma femme a comme ton compagnon ou mari , je ne sais plus , des envies conventionnelles…moi , je suis beaucoup plus dans le désir de scénarios , de jeux plus ou moins coquins , raffinés et vicieux …le plaisir cérébral qu'ils procurent est très intéressant..!
Tu parles de ton blog ? comment le trouve-t-on ?

[Supprimé]

Et les photos ?

[DeLsEp12]

Et les photos ?

c'est vrai, oui
les photos ?

[GVb6lO6]

Bonjour

Mercredi, en soirée, je quitte la faculté pour retourner à ma voiture garée dans une petite rue adjacente, le parking de l'université étant en travaux.
Je suis encore dans mes cours et mes pensées sont encore tournées vers la matière que j'enseigne.
Là, je m'apprête à faire démarrer mon automobile lorsque deux ouvriers sortent d'une maison avec des outils et une échelle.
Leur camionnette est garée devant ma voiture. A cinq ou six mètres.
Je suis en jupe et, comme presque tous les jours, je ne porte que des bas maintenus par un porte-jarretelle.
L'occasion est trop belle.
Je laisse le moteur tourner tout en faisant semlant de chercher quelque chose dans mon sac à main.
Grace au rétroviseur que j'ai orienté vers le trottoir, je peux voir les regards d'un des deux hommes. Le plus jeune.
Le gaillard d'environ trente cinq ans a remarqué mon petit "manège".
J'ai les jambes écartées, la jupe à mi-cuisses.
L'ouvrier passe plusieurs fois derrière la camionnette pour y entrer et en sortir par les portes arrières grandes ouvertes. Autant de prétextes.
A présent, dans son véhicule, il est debout dans ma direction en se touchant le sexe au travers du tissus de son pantalon.
Il a un sourire étrange et vicelard.
Je suis pressée, il me faut rentrer car nous avons un projet en soirée avec mon compagnon.
Je commence la manoeuvre pour dégager ma voiture.
Juste avant que je parte, il peut voir ma jupe complètement relevée. J'ai une main entre les cuisses.
Il a la main devant sa bouche. Il fait une bosse contre sa joue avec sa langue. Il bouge la main qui est sur son sexe.
Je disparais en laissant ce nouvel épisode derrière moi.
Le lendemain, à huit heure quarante cinq du matin, je pris soin de ne pas me garer dans les environs immédiats...

Isa

[Supprimé]

[Y7MyE1]

[Dannymccoy]

toujours le même """récit"". Aucune preuve.

[GVb6lO6]

Bonjour

Depuis deux semaines, en quittant la faculté, en fin d'après-midi, je passe devant un chantier.
Ce chantier est dans une petite rue déserte de la banlieue, dans laquelle je passe pour accéder plus rapidement au périphérique.
Je n'y ai jamais vu plus de deux ouvriers. Un jeune et un homme mûr. J'ai commencé à m'y amuser lundi soir.
Rapidement, j'arrête la voiture. Je descends. Je retrousse ma jupe entre deux cabanons de chantier, je m'accroupie je me cambre et je pisse.
Avec le froid, le jet fumant vient se briser, dans la vapeur, loin devant moi. Je fais vite. Le tout dure une minute. Puis je file.
Depuis mercredi soir, il y a un ouvrier qui a repéré mon manège. L'homme mûr.
Hier soir, il était derrière moi et m'a dit < Bonsoir >. J'ai répondu gentiment avec un sourire qui a dû le troubler.
En me redressant et en me réajustant, je filais rapidement.
En partant, de la voiture, je lui ai fait un signe de la main. Il m'a fait le même signe en retour.
Lundi soir, je vais étudier son comportement. Je pense qu'une complicité vicieuse peut s'établir assez rapidement.

Je m'amuse beaucoup de ces situations...

Isa

[Supprimé]

Ah oui pour çà

Et en quoi est ce que çà c'est digne d'intérêt ?

[Dannymccoy]

Attention, homme mur = ne se lave pas la kekette :s ça va encore être une épreuve

[Supprimé]

Attention, homme mur = ne se lave pas la kekette :s ça va encore être une épreuve

Ah ben la Isa ne rencontre que des pisseux

[Dannymccoy]

D'ailleurs question con, mais que fous ce topic dans exhib, je vois pas beaucoup d'exhib perso, plutôt récits nop?

[Ten]

Je pense que des écrits peuvent être de l'exhibe, quand on raconte des choses dites "inavouables" et que ça excite l'auteur, c'est de l'exhibe.
L'exhibe c'est d'être excité par ce que l'on montre, être excité parce qu'on se "dévoile" dans tous les sens du terme.

[GVb6lO6]

Bonjour

J'ai donc récidivé lundi, en fin d'après-midi. C'était le 9 février. La durée des journées augmente, aussi, il fait à nouveau jour plus longtemps.
Cette lapalissade pour souligner que l'on peut profiter de certaines opportunités avec un plus large éventail horaire.

J'ai garé ma voiture devant la grille provisoire du chantier.
J'ai enlevé ma culotte et je suis entrée pour me glisser discrètement entre les deux cabanons.
Dissimulée, je guettais l'arrivée d'un ouvrier afin de me faire "surprendre" dans ma situation préférée.
Je suis restée ainsi, dans le froid assez vif, avec une envie de pisser de plus en plus forte.
Je serrais mes cuisses l'une sur l'autre.
Ce n'est pas du chantier qu'est arrivé un quidam mais de la rue.
Ce dernier s'est arrêté à la hauteur d'un des deux cabanons pour dialoguer au téléphone.
Une conversation animée avec une familière. Je pouvais en saisir des bribes.

L'occasion était trop bonne. Et je suis une "larrone".
Je me suis avancée, éclairée par un réverbère du trottoir.
Je me suis accroupie, cambrée en avant, une main contre l'angle du cabanon pour préserver mon équilibre.
J'ai écarté mes cuisses plus que nécessaire. Bien face à l'inconnu.
Je crois que je me suis rarement soulagée avec tant de plaisir.
Un plaisir double. Celui de pouvoir enfin pisser et celui d'être "vue".

Le jet vint se briser sur un amas de cartons avec un bruit sourd.
Ce qui attira l'attention du passant, debout derrière la grille, à trois mètres de moi.
Tout en téléphonant et en parlant, il me regardait avec un certain étonnement.
Je lâchais plusieurs jets fumants, qui vinrent se briser, dans la vapeur causée par le froid, loin devant moi.

Le type me regardait tout en étant occupé par sa conversation.
Une situation "idéale". Je l'appréciais à sa très juste valeur. Un vrai plaisir.
Une fois mon "numéro" terminé, je me redressais et réajustais ma jupe. J'avais vraiment froid. Je refermais mon manteau.
Je retournais à ma voiture non sans adresser un sourire à l'inconnu qui téléphonait toujours.
Je démarrais et, par la fenêtre, j'adressais un signe à mon "regardeur" .
Ce dernier, sans vraiment avoir encore vraiment compris ce qui venait de lui arriver, m'adressa un signe de la main en retour.

J'ai récidivé jeudi soir.
Hélas, pas un promeneur et le chantier est resté vide...

Isa

[GVb6lO6]

Bonjour

Mercredi, en soirée, j'ai encore pû m'offrir quelques frissons dont je suis friande.
En rentrant, je passe toujours sur la petite départementale 28.
Cette petite route se dédouble sur une portion d'environ cinq cent mètres pour permettre l'accès à un ensemble industriel.
J'avais quelques fois remarqué la présence de camions garés sur le bas côté.

Mercredi soir, il y avait un de ces gros camions garé sur le côté.
Je ralentissais pour voir un homme occupé à vider une caisse, devant le véhicule.
Plus loin, je fis demi-tour pour revenir dans l'autre sens.
Entre les deux routes, séparées d'une trentaine de mètres, il a un long plan d'eau entouré d'arbres et de fourrés.
Je revenais donc par l'autre route.
Arrivée à la hauteur du camion, je garais ma voiture.
La route et les environs étaient parfaitement déserts. Il faisait encore jour.

J'enlevais ma culotte dans la voiture.
Je sortais de celle-ci pour venir m'accroupir entre deux bosquets.
Malgré l'absence de feuillage, en ce début du mois de mars, le branchage offre quand même une certaine protection.
Je pouvais voir le type qui ne m'avait pas encore remarqué.
Entre lui et moi, trente mètres d'eau, infranchissables et sécurisants.
Il me vit enfin. Toute affaires cessantes, il se redressa pour m'observer avec attention.

Je me cambrais en avant, les mains en appuis sur mes cuisses et je lâchais quantité de petits jets brefs et puissants.
Je restais ainsi, laissant un petit moment entre chaque jet.
Le type me fit un signe amical. Je lui souriais, espiègle et effrontée, comme j'aime à le faire.
Il regarda à gauche et à droite. A l'abri de son camion il sortit son sexe.
Un sexe long et fin qu'il agita dans ma direction en criant des choses incompréhensibles dans une langue qui m'est inconnue.

Je restais cinq bonne minutes à m'exhiber en tortillant des hanches, tout en restant accroupie.
Je versais un dernier jet qui vint mourir lentement, de plus en plus près de moi, car, vidée, j'avais tout lâché.
Le type se masturbait de plus en plus vite en me faisant signe de le rejoindre.
Je restais encore une petite minute avant de me redresser, non sans quelques crampes, pour entrer dans ma voiture.
J'écartais une dernière fois mes cuisses devant lui avant de refermer la porte.
Je démarrais et je m'en allais en lui adressant un signe amical de la main.

En rentrant, lorsque j'ai raconté ma petite espièglerie à mon mari, il m'a encore regardé avec ce sourire mystérieux qui me fait fondre.
Je l'aime...

Isa

[Supprimé]

Bon je m'ennuie alors je vais lire

[Supprimé]

ah oui ... bon ben comme d'hab quoi

Oups j'édite à la différence que maintenant Dame ISa-Belle est mariée
Pardon mais c'est trop bon

[Wooki]

mais dites moi !!! ?????


elle est espiègle tout comme Maya l'abeille et Candy la petite Isabelle .........................

[Dannymccoy]

Bon bah voila, on reprend encore la même situation, on change le lieu, on met un peu de chauffeurs roumain ou polonais pervers pis voila, on à notre nouvelle histoire.

[GVb6lO6]

Bonjour

Jeudi soir, 19 mars, j'ai accompagné une collègue enseignante chez son médecin.
Nous étions seules toutes les deux dans la salle d'attente entrain de bavarder.
Au bout d'une dizaine de minutes, un monsieur plutôt élégant, la cinquantaine athlétique, est venu s'asseoir face à nous.
S'étant emparé d'un magazine, l'inconnu feuilletait avec attention tout en relevant les yeux sur nous de temps en temps.
Nous étions toutes les deux en jupe. J'avais ma jupe "bleue-nuit" et mes bas noirs retenus par mon porte-jaretelle de même couleur.
La porte du cabinet s'ouvrit soudain . Le docteur apparut pour inviter ma collègue à le suivre.
Je restais seule assise devant cet homme qui, discrètement, m'observait en "louchant".

J'ouvrais mon sac à main pour me saisir de mon I-phone.
Je consultais mes messages. Dans le reflet de l'appareil, je pouvais observer le regard de l'inconnu sur mes jambes.
Tout en feignant d'être concentrée sur mon activité, j'écartais très légèrement mes cuisses.
Je restais ainsi, curieuse de voir les réactions du quidam.
Il était certain qu'il avait une vue parfaite sur le minuscule triangle de ma culotte.
De plus, la peau nue, entre mes bas et cette dernière, devait être une opportunité attractive.

J'écartais encore un peu plus mes jambes en m'inclinant sur le côté afin de fouiller dans mon attaché-case.
< C'est magnifique ! > me fit l'inconnu d'une voix très douce.
< Quoi donc ? > lui demandais-je, ingénue en me redressant.
Il me montra mon entre-jambe qu'il pouvait admirer puisque je restais volontairement ainsi.
Je devais surmonter une inhibition bien naturelle et je lui souriais d'un air effrontée.

A ce moment, ma collègue sortit du cabinet du docteur pour me faire signe de la rejoindre.
Je me levais rapidement avec une dernière "éxagération" et saluais l'homme qui me fit un ravissant sourire.
Avant de quitter la salle d'attente, je me retournais une dernière fois.
L'inconnu, le pouce de sa main droite levé, me fit un salut amical de la main gauche.

Une fois seule dans la voiture j'appréciais la douce et chaude impression émanant de mon sexe.

Isa

[GVb6lO6]

Bonjour

Mercredi, sur sa demande, je suis allée visiter une collègue enseignante. En arrêt-maladie.
Cette dernière vit au quatrième étage d'un immeuble résidentiel, dans un quartier calme et bien fréquenté.
J'arrive en fin d'après-midi, après mes cours, vers dix sept heure trente.
Je gare ma voiture sur le parking, au bas de l'immeuble, dans la propriété privée.
Dans le hall de l'immeuble, il y avait un monsieur en tenue de travail qui empilait du matériel.
Il me salua après m'avoir ouvert la porte.

Devant l'ascenseur, je téléphone à ma collègue pour l'informer de mon arrivée imminente.
J'attends l'arrivée de la cabine et je regarde le monsieur qui m'adresse un gentil sourire.
L'ascenseur arrive enfin. Je m'y engouffre pour appuyer sur le bouton du quatrième étage.
L'inconnu m'observe. La porte se referme. La montée est rapide.
Arrivée à l'étage souhaité, j'ai une idée saugrenue. J'appuie sur le bouton rez-de-chaussée et je redescends.
Dans l'ascenseur, je m'accroupie, cuisses écartées, la main dans mon attaché-case ouvert posé au sol.

J'arrive au rez-de-chaussée. La porte s'ouvre. Le monsieur me surprend dans cette position.
Je reste ainsi un instant, le temps de bien le laisser profiter de la vue.
Je lève la tête pour constater son air surpris et plutôt amusé.
Je lui rends son sourire en me redressant. J'appuie à nouveau sur le bouton pour remonter.
Ma collègue, heureuse de me voir, enrhumée, me propose un thé.
Elle m'apprend qu'il y a des travaux dans l'immeuble, ce qui explique la présence du concierge dans le hall d'entrée.

Je reste une trentaine de minutes. Il me faut rentrer. Avec mon mari, nous avons un projet important en soirée.
Je prends congé de ma collègue en lui souhaitant un prompt rétablissement.
Dans l'ascenseur, je reprends ma position exhibitioniste et je descends.
L'arrêt est lent, la porte s'ouvre, le monsieur est toujours là, chargeant un véhicule garé devant la porte.
Il me regarde. Je n'ai aucun prétexte puisque je me suis accroupie par pure envie. Sans préparer une stratégie.
Je reste un instant dans cette position. Le quidam me fait : < Après ma journée de travail, c'est une belle récompense ! >.
< Quoi donc ? > lui fis-je en me redressant. < La vue sur le "paysage" ! > me répondit-il en riant.

Je sors de l'immeuble d'un pas rapide en disant : < Bonsoir monsieur ! >.
< Bonsoir mademoiselle ! > me fait l'inconnu.
Une fois dehors, je me plaçe entre ma voiture et les bosquets.
Je m'accroupie une nouvelle fois. L'homme, une petite échelle sur le dos, s'approche de son véhicule utilitaire.
Là, tournant son visage dans ma direction, il me voit une nouvelle fois. Il leve le pouce de sa main droite.
Le spectacle doit lui plaire car il reste un petit moment à m'observer. Souriant.
Excitée, je n'arrive pas à pisser. Un peu frustrée, je me redresse, mettant un terme à mon exhibition.

Je m'éloignais en roulant doucement. Je regardais le hall de l'immeuble.
A cet instant le monsieur sort avec du matériel. Il me fait un salut de la main auquel je réponds.
En rentrant, je n'arrêtais pas de me toucher. Roulant doucement sous la pluie.

Isa

[GVb6lO6]

Bonjour

Avec le retour du soleil et d'une certaine douceur, ces derniers jours, avec mon mari, nous sommes sortis à bicyclette.
C'est toujours en soirée, après nos cours. Le plus souvent à partir de seize heure trente ou dix sept heure.
Le choix de notre itinéraire se porte le plus souvent sur la piste cyclable, le long du canal.
Cette piste, très bien entretenue, se déroule sur plusieurs centaines de kilomètres. Il y a donc des possibilités infinies.

Mercredi dernier, 15 avril, il a fait si beau, si doux, que j'ai pû me vêtir comme en plein été.
Nous avons garé la voiture sur un des parkings jouxtant le départ de notre itinéraire.
Rapidement, nous avons sorti nos vélos du coffre arrière, c'était leur troisième sortie de cette saison nouvelle.
Quelques minutes suivantes nous pédalions, heureux, avec ce sentiment de liberté unique qu'offre la bicyclette.

J'étais vêtue d'un T-shirt jaune, très moulant. Mes tous petits seins ne nécessitent pas de soutien gorge.
Aussi, j'aime ne rien porter sous mes T-shirt, c'est si confortable.
J'avais ma petite jupe blanche, façon "tennis", pouvant être confondue avec un short.
Chaussée de mes baskets, je pouvais évoluer dans un confort absolu.

Nous avions déjà parcouru une bonne dizaine de kilomètres, croisant quantité de cyclistes.
Près de l'écluse bleue, entre les bosquets encore nus, il y a deux plots permettant d'amarrer les bateaux.
Il suffit de traverser la passerelle au-dessus de l'écluse.
Je connais bien cet endroit car il offre des possibilités très excitantes.
J'invitais mon mari à nous arrêter. Il alla s'asseoir un peu plus loin, les jambes pendantes au-dessus de l'eau.

Je traversais le canal, marchait les trente mètres qui me séparaient des plots.
Là, assise, sur l'un d'entre eux, j'avais une vue discrète et parfaite sur les deux sens de la piste cyclable.
Au bout de quelques minutes, arriva un cycliste pédalant doucement, sur un vélo de course. La soixantaine.
Rapidement, m'accroupissant entre les deux plots, cuisses largement écartées, je lui offrais mon "spectacle".
Ma culotte à la main, je pissais d'un jet puissant.
Cambrée, je visais l'eau du canal. Le jet vint se briser sur la surface de l'eau, loin devant moi.

Le cycliste me vit. Il continua sa route pour faire demi-tour un peu plus loin.
Je restais délibérément dans ma position. Ma tête penchée en avant. Comme si je ne savais pas.
Je lâchais un nouveau jet, droit et dru. C'était le dernier car il perdait en puissance.
L'inconnu, tenant son vélo, à une dizaine de mètres devant moi, sur l'autre rive me fit : < Bonjour ! >.
C'est à ce moment que je relevais la tête. Je me redressais rapidement comme "surprise".
Je lui rendis son < Bonjour >. Me réajustant.

Pour éviter toute prise de contact, que je ne désire jamais dans ces moments-là, arriva mon mari.
Il tenait mon vélo et le sien. Il se mit devant la passerelle à m'attendre.
Le quidam , comprenant, remonta sur son vélo pour disparaître rapidement sur la piste cyclable.
Nous avons continué notre périple. Sur le chemin du retour, avec la fraîcheur du soir, je n'ai pas récidivé.
Le souvenir de ce nouvel épisode me laisse augurer d'une nouvelle saison qui sera "exceptionnelle".

Isa

[GVb6lO6]

Bonjour

Avec ces belles soirées, mon mari et moi, aimons à faire de la bicyclette.
Ce sont toujours d'agréables petites randonnées d'une trentaine de kilomètres.
Sur les pistes cyclables ou sur les petites routes de campagne.
Pour mes petites exhibitions, rapides et fugaces, je peux à nouveau m'en donner à coeur joie.

Pas besoin d'un long récit, une simple image permettra de bien comprendre..

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Il suffit de cliquer sur l'image...

Isa

[Ten]

Je rêve ou tu as laissé ton papier torché parterre ?
Pour quelqu'un qui soit disant aime la nature, possède des chevaux et nous soûle avec les "dignes d'intérêt" ............bin t'es irrespectueuse de la nature au possible !!

[Dannymccoy]

Je rêve ou tu as laissé ton papier torché parterre ?
Pour quelqu'un qui soit disant aime la nature, possède des chevaux et nous soûle avec les "dignes d'intérêt" ............bin t'es irrespectueuse de la nature au possible !!

OMG mais franchement quoi.... Tu as tellement raison.

[BcxCa4]

c'est en effet un peu contradictoire , mais peut-être a t'il été ramassé ensuite