journal sm
Publié : 20 mai 2015, 18:03
"Une fois arrivée à la gare, rejoint le centre ville, prends place assise sur le banc et attend, obéis"
Une fois arrivée à la gare, je me change, je sais que je vais devoir affronter le regard d 'autrui, en même temps à choisir entre affronté les foudres de Maître, ou le regard d autrui, je prends le regard, tant pis. Jupe en cuir, corset, botte à talon, pour ne pas me sentir trop épier, je garde ma robe en laine jusqu’à destination, je sais bien que je vais devoir l'enlever, je sais bien que je vais devoir être sur ce banc, en corset et jupe. J'avance, je vérifies que je suis sur le bon chemin auprès de passant, le banc en vu, j'enlève la robe en laine, si maître me voit ainsi, çà risque de le froissé, mon but étant de lui plaire, je range ce qui me servait de cache, referme mon sac et me redresse, quelques pas et je suis au banc, je prends place assise, faites que dans cette ville pas un chat ne passe, je vous en pries.
Bon de toute évidence les vœux ne fonctionnent pas. Je me sens travestie et nue à la fois, je dois attendre, je dois attendre, et je ne sais pas ou maître se trouve je sens juste qu'il n'est pas loin, va t il apparaitre de derrière les buissons? Non il n'apparait pas, maître est présent m’envoie des messages, m'invite à me préparer les seins, je regarde à gauche, une mamie, à droite un enfant en vélo, je me regarde, sans rien faire habillée ainsi je suis déjà presque une hors la loi pour outrage à la pudeur, sur son message est inscrit "si tu peux", c'est rare que maître parle au conditionnel, et là dans ces conditions, non je ne peux pas. L'enfant en vélo à une dizaine d'année, il vient s'asseoir près de moi le plus naturellement du monde, il me regarde les yeux curieux et me demande,
"Bonjour tu fais quoi? "
Bon si il avait 20 ans je lui aurais répondu
"ben ca se voit non je fais le trottoir évidement, maintenant arraches toi."
Sauf qu'il en a dix, alors je sourie d'avec mon super sourire gênée et je lui répond :
"J'attends quelqu'un, et toi tu es tout seul? T'es pas censé être chez toi? "
"Moi j'attends mes parents. Celui que t'attends c'est ton mari? "
"euh non, non c'est .. un ami"
"C est ton petit copain?"
"Tes parents ils sont loin??"
Les parents sont arrivés, le môme m'a demander de regarder comment il savait faire du vélo, whaou tu sais bien faire du vélo , et plus tu t"éloigne plus je me calme.
mes lecteurs vont me demander à quoi sert cette introduction, cela s'appelle une mise en condition, c'est ce que j'appelle la mise en place de la honte.
Maître m'autorise une cigarette, à la condition que je marche le long du trottoir. Quel goût aura ma cigarette ? Dans cette tenue à cet instant? Le mieux est il de se sentir gênée sur le banc à attendre que maître tombe du ciel ou est ce fumer en marchant sur le trottoir? Je souffle, oui je souffle beaucoup, je souffle et puis j'y vais, je me prête au jeu, je me prête beaucoup à leur jeux je trouve, ça ne me ressemble pas tellement, mais à présent que j'y suis, et bien, j'y suis on ne fait pas demi tour. J'aspire la nicotine je m'accroche à cela pour essayer de ne pas faire paraitre mon mal-aise. Aller regarde devant toi, et marche. D'une main la cigarette de l'autre le téléphone, le téléphone qui m'unis à mon propriétaire, mon Maître. Voilà je me raccroche à ma nicotine, et à mon maître. Le téléphone me sonne, un message:
"Joli bustier"
Et bien j'ai bien fait de me mettre en tenue avant d arriver sur le banc, j'ai bien fais de ne faire ce qu'il me demandait, il est là quelque part, me garde à l œil, me garde à vue. Je le remercies du compliment. Ce qui est rare parce que d'ordinaire, lorsque on me dit, quelque chose de ce style je rétorque, "oui c'est ça, fiche toi de moi, je préfère que tu te taise" enfin bon, dire tais toi à son maître ça fait pas vraiment parti du jeu ni des règles . Je veux miser sur eux, je me fais violence, je fais des choses auxquelles je ne suis pas habituée, je fais en sorte de faire mon possible pour eux. Marcher le long du trottoir dans cette tenue, ça lui plaît à lui, si ça lui plaît alors ça me plaît. Je préfère lorsque j'ai quatre murs autour de moi et qu'il n'y a que les participants présents, mais si pour lui plaire je dois affronté ce genre de chose, alors je le fais après tout, cette ville n'est pas la mienne je n'ai rien à perdre.
Maître surveille Maître me guide, il me demande de revenir au banc, et puis, finalement me demande de traverser la rue, ne pas tomber, essayer de garder un semblant de dignité. Sur ordre je dois regarder les vitrines, alors, je monte la rue, je descends la rue, je regarde les affichages publiques et puis je salue un serveur,
"ne vous en faites pas je regarde juste votre carte"
"Pas de souci mademoiselle"
Bénis sois tu serveur, bénis sois tu, de me parler comme si j'étais en jean et pull.
à nouveau un message, un message de mon propriétaire, qui me rappelle que je ne suis pas seule, il m'indique une porte, me demande d 'entrée.. J'y vais, je suis venue pour cette raison, pour le retrouver, j'ai affronter la jungle des passants, j'ai affronté les regards, j'ai été patiente, j'ai été obéissante, maintenant que je porte cet accoutrement j'y vais. Assit près d 'un petite table ronde, il est là, maître..
"Pose tes affaires"
J'obéis, je me déleste de mon sac, et avec mal, me déleste de mon manteau, avec du mal, parce que le bout de mes doigts piquent déjà, parce je n'arrive pas à ouvrir les boutons. Maître ne souffle pas, Maître ne s'en agacent pas, Maître est bon. Je suis sans manteau, encore plus nue, que dehors, mais je ne crains plus rien, je suis avec maître. Il me fait descendre des escalier en métal, je précise, parce qu’à chacun de mes pas, ça fait du bruit, alors qu'a chacun de mes pas j’essaie d'en faire le moins possible. Maudit soit celui qui les a inventés. Au bas des escalier, petite pièce, l'escalier et une porte, les murs dénudés, et le sol en béton, à sa demande je tourne le dos à mon maitre. Il vient près de moi et sauvage me mord le lob de l oreille. Je suis une sensitive du lob de l oreille, il me mords le lob de l oreille et je me liquéfies, je me fiche de l'endroit, je me fiche de l heure, je me fiche de mon apparence, je n'ai plus envie que d'une chose, je veux le sucer. A sa demande, je me retourne, me met à genoux il me gratifie en m'autorisant à le porter à ma bouche, sa voix est grave, son sexe généreux et moi je ne suis plus moi, moi je suis sienne.
"T'en avais tout envie que moi."
" oui maître"
Oui j'aime faire des fellations, j'aime faire des gorges profondes, parce que lorsque je sens grandir, grossir, durcir le sexe de mon maître, alors j'ai cette fierté de faire bien la chose, de faire presque l'affaire.
Sucer pour moi c'est plus naturel qu'embrasser, c'est même moins gênant.
Sucer son maître, c'est comme dire, voilà je me livre je suis à vous maître.
Arrive ce moment que j'aime moins, lorsque le maître ordonne " ça suffit"
Selon moi ça ne suffit jamais.
Il me fait me relever et s'approche dangereusement de moi, mon cœur s’accélère, je le ré-entends me dire au téléphone, à présent que tu es à nous, ton corps nous appartient on fait ce que l'on en veut, si on veut t'embrasser, on t'embrasse.
en moi il y a comme un moment de panique, je n'embrasse pas je n'embrasse jamais, je ne sais pas embrasser, j'embrasse mal, je ne veux pas embrasser. Ses lèvres s'avancent, ne pas paniquée, ne plus paniquée, ne pas fuir ne pas le giflée. Maître n'a pas conscience de tout ce que ça fait en moi.
"Je vais t'apprendre à embrasser, tu veux apprendre à embrasser?"
J'étais bien moi là entrain de le sucer, son sexe ferme grand, large dans ma bouche, à vouloir l'avaler jusqu'au fin fond de ma gorge. Là je dois lui répondre, je me vois mal lui répondre, euh non, les cours de langue c'est pas mon truc, alors, un peu désemparée, j'ai presque la larme à l œil, avec ma voix qui tremble, avec ma voix craintive, avec ma voix, celle que j'ai quand je ne sais plus réfléchir je m'entends lui répondre:
-Oui Maître.
sa bouche à ma bouche, sa langue au dedans, tourne la langue dans le sens des aiguilles du montre. Je suis malhabile, mal à l aise, maladroite, je ne sais même plus comment tourne les aiguilles d une montre. Je sais juste qu'à ce moment là, il a eut ce que je ne donne jamais à personne.
Une fois arrivée à la gare, je me change, je sais que je vais devoir affronter le regard d 'autrui, en même temps à choisir entre affronté les foudres de Maître, ou le regard d autrui, je prends le regard, tant pis. Jupe en cuir, corset, botte à talon, pour ne pas me sentir trop épier, je garde ma robe en laine jusqu’à destination, je sais bien que je vais devoir l'enlever, je sais bien que je vais devoir être sur ce banc, en corset et jupe. J'avance, je vérifies que je suis sur le bon chemin auprès de passant, le banc en vu, j'enlève la robe en laine, si maître me voit ainsi, çà risque de le froissé, mon but étant de lui plaire, je range ce qui me servait de cache, referme mon sac et me redresse, quelques pas et je suis au banc, je prends place assise, faites que dans cette ville pas un chat ne passe, je vous en pries.
Bon de toute évidence les vœux ne fonctionnent pas. Je me sens travestie et nue à la fois, je dois attendre, je dois attendre, et je ne sais pas ou maître se trouve je sens juste qu'il n'est pas loin, va t il apparaitre de derrière les buissons? Non il n'apparait pas, maître est présent m’envoie des messages, m'invite à me préparer les seins, je regarde à gauche, une mamie, à droite un enfant en vélo, je me regarde, sans rien faire habillée ainsi je suis déjà presque une hors la loi pour outrage à la pudeur, sur son message est inscrit "si tu peux", c'est rare que maître parle au conditionnel, et là dans ces conditions, non je ne peux pas. L'enfant en vélo à une dizaine d'année, il vient s'asseoir près de moi le plus naturellement du monde, il me regarde les yeux curieux et me demande,
"Bonjour tu fais quoi? "
Bon si il avait 20 ans je lui aurais répondu
"ben ca se voit non je fais le trottoir évidement, maintenant arraches toi."
Sauf qu'il en a dix, alors je sourie d'avec mon super sourire gênée et je lui répond :
"J'attends quelqu'un, et toi tu es tout seul? T'es pas censé être chez toi? "
"Moi j'attends mes parents. Celui que t'attends c'est ton mari? "
"euh non, non c'est .. un ami"
"C est ton petit copain?"
"Tes parents ils sont loin??"
Les parents sont arrivés, le môme m'a demander de regarder comment il savait faire du vélo, whaou tu sais bien faire du vélo , et plus tu t"éloigne plus je me calme.
mes lecteurs vont me demander à quoi sert cette introduction, cela s'appelle une mise en condition, c'est ce que j'appelle la mise en place de la honte.
Maître m'autorise une cigarette, à la condition que je marche le long du trottoir. Quel goût aura ma cigarette ? Dans cette tenue à cet instant? Le mieux est il de se sentir gênée sur le banc à attendre que maître tombe du ciel ou est ce fumer en marchant sur le trottoir? Je souffle, oui je souffle beaucoup, je souffle et puis j'y vais, je me prête au jeu, je me prête beaucoup à leur jeux je trouve, ça ne me ressemble pas tellement, mais à présent que j'y suis, et bien, j'y suis on ne fait pas demi tour. J'aspire la nicotine je m'accroche à cela pour essayer de ne pas faire paraitre mon mal-aise. Aller regarde devant toi, et marche. D'une main la cigarette de l'autre le téléphone, le téléphone qui m'unis à mon propriétaire, mon Maître. Voilà je me raccroche à ma nicotine, et à mon maître. Le téléphone me sonne, un message:
"Joli bustier"
Et bien j'ai bien fait de me mettre en tenue avant d arriver sur le banc, j'ai bien fais de ne faire ce qu'il me demandait, il est là quelque part, me garde à l œil, me garde à vue. Je le remercies du compliment. Ce qui est rare parce que d'ordinaire, lorsque on me dit, quelque chose de ce style je rétorque, "oui c'est ça, fiche toi de moi, je préfère que tu te taise" enfin bon, dire tais toi à son maître ça fait pas vraiment parti du jeu ni des règles . Je veux miser sur eux, je me fais violence, je fais des choses auxquelles je ne suis pas habituée, je fais en sorte de faire mon possible pour eux. Marcher le long du trottoir dans cette tenue, ça lui plaît à lui, si ça lui plaît alors ça me plaît. Je préfère lorsque j'ai quatre murs autour de moi et qu'il n'y a que les participants présents, mais si pour lui plaire je dois affronté ce genre de chose, alors je le fais après tout, cette ville n'est pas la mienne je n'ai rien à perdre.
Maître surveille Maître me guide, il me demande de revenir au banc, et puis, finalement me demande de traverser la rue, ne pas tomber, essayer de garder un semblant de dignité. Sur ordre je dois regarder les vitrines, alors, je monte la rue, je descends la rue, je regarde les affichages publiques et puis je salue un serveur,
"ne vous en faites pas je regarde juste votre carte"
"Pas de souci mademoiselle"
Bénis sois tu serveur, bénis sois tu, de me parler comme si j'étais en jean et pull.
à nouveau un message, un message de mon propriétaire, qui me rappelle que je ne suis pas seule, il m'indique une porte, me demande d 'entrée.. J'y vais, je suis venue pour cette raison, pour le retrouver, j'ai affronter la jungle des passants, j'ai affronté les regards, j'ai été patiente, j'ai été obéissante, maintenant que je porte cet accoutrement j'y vais. Assit près d 'un petite table ronde, il est là, maître..
"Pose tes affaires"
J'obéis, je me déleste de mon sac, et avec mal, me déleste de mon manteau, avec du mal, parce que le bout de mes doigts piquent déjà, parce je n'arrive pas à ouvrir les boutons. Maître ne souffle pas, Maître ne s'en agacent pas, Maître est bon. Je suis sans manteau, encore plus nue, que dehors, mais je ne crains plus rien, je suis avec maître. Il me fait descendre des escalier en métal, je précise, parce qu’à chacun de mes pas, ça fait du bruit, alors qu'a chacun de mes pas j’essaie d'en faire le moins possible. Maudit soit celui qui les a inventés. Au bas des escalier, petite pièce, l'escalier et une porte, les murs dénudés, et le sol en béton, à sa demande je tourne le dos à mon maitre. Il vient près de moi et sauvage me mord le lob de l oreille. Je suis une sensitive du lob de l oreille, il me mords le lob de l oreille et je me liquéfies, je me fiche de l'endroit, je me fiche de l heure, je me fiche de mon apparence, je n'ai plus envie que d'une chose, je veux le sucer. A sa demande, je me retourne, me met à genoux il me gratifie en m'autorisant à le porter à ma bouche, sa voix est grave, son sexe généreux et moi je ne suis plus moi, moi je suis sienne.
"T'en avais tout envie que moi."
" oui maître"
Oui j'aime faire des fellations, j'aime faire des gorges profondes, parce que lorsque je sens grandir, grossir, durcir le sexe de mon maître, alors j'ai cette fierté de faire bien la chose, de faire presque l'affaire.
Sucer pour moi c'est plus naturel qu'embrasser, c'est même moins gênant.
Sucer son maître, c'est comme dire, voilà je me livre je suis à vous maître.
Arrive ce moment que j'aime moins, lorsque le maître ordonne " ça suffit"
Selon moi ça ne suffit jamais.
Il me fait me relever et s'approche dangereusement de moi, mon cœur s’accélère, je le ré-entends me dire au téléphone, à présent que tu es à nous, ton corps nous appartient on fait ce que l'on en veut, si on veut t'embrasser, on t'embrasse.
en moi il y a comme un moment de panique, je n'embrasse pas je n'embrasse jamais, je ne sais pas embrasser, j'embrasse mal, je ne veux pas embrasser. Ses lèvres s'avancent, ne pas paniquée, ne plus paniquée, ne pas fuir ne pas le giflée. Maître n'a pas conscience de tout ce que ça fait en moi.
"Je vais t'apprendre à embrasser, tu veux apprendre à embrasser?"
J'étais bien moi là entrain de le sucer, son sexe ferme grand, large dans ma bouche, à vouloir l'avaler jusqu'au fin fond de ma gorge. Là je dois lui répondre, je me vois mal lui répondre, euh non, les cours de langue c'est pas mon truc, alors, un peu désemparée, j'ai presque la larme à l œil, avec ma voix qui tremble, avec ma voix craintive, avec ma voix, celle que j'ai quand je ne sais plus réfléchir je m'entends lui répondre:
-Oui Maître.
sa bouche à ma bouche, sa langue au dedans, tourne la langue dans le sens des aiguilles du montre. Je suis malhabile, mal à l aise, maladroite, je ne sais même plus comment tourne les aiguilles d une montre. Je sais juste qu'à ce moment là, il a eut ce que je ne donne jamais à personne.