Actus potentiellement intéressantes

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Re: Actus potentiellement intéressantes

Message par Ten »

Le Conseil économique et social préconise une légalisation encadrée du cannabis récréatif


Devant l'"inefficacité" des politiques françaises sur le cannabis en termes de santé publique, le Conseil économique et social (Cese) préconise une légalisation encadrée de cette drogue dite douce.


Cet organe consultatif de la société civile, où siègent notamment associations et syndicats, a créée une commission ad hoc pour ouvrir les débats "souvent caricaturés sur le sujet". Il fait le constat que "du point de vue de la santé publique, les actions de prévention menées sont globalement inefficaces, notamment auprès des jeunes consommateurs qui sont de plus en plus exposés à des produits non contrôlés".


Face à "l'échec cuisant de la politique suivie depuis cinquante ans" en France


La prohibition annihile tout message de prévention, ajoute le Cese, et "mobilise fortement les services de police et de la justice, sans réel effet sur l'ampleur du trafic et du niveau de consommation qui demeure le plus élevé d'Europe". En s'inspirant de la légalisation du cannabis récréatif au Canada, à Malte ou encore d'ici 2024 en Allemagne, et face à "l'échec cuisant de la politique suivie depuis cinquante ans" en France, comme l'a résumé son vice-président Jean-François Naton, le Cese suggère l'autorisation encadrée de la production, distribution et consommation de cette plante psychoactive.

"90% du cannabis est fumé, c'est le plus mauvais des usages"

Le Cese préconise une distribution dans des points de vente légaux soumis à licence, interdits aux mineurs et où un fort message de prévention serait diffusé. Aujourd'hui en France, "90% du cannabis est fumé, c'est le plus mauvais des usages", explique Florent Compain, un des rapporteurs. L'idée est de créer une filière de production et de distribution françaises où "la logique de santé publique prime sur les profits avec un encadrement des volumes de production".

Outre la création d'une taxe spécifique affectée aux politiques de prévention, le Cese recommande de ne plus sanctionner pénalement l'usage et la culture de cannabis à usage personnel et de permettre la culture individuelle en "collectifs" en prenant exemple sur les cannabis social clubs.

Le cannabis reste la drogue illicite la plus diffusée dans la population française, selon une étude de l'Observatoire français des drogues et des toxicomanies (OFDT). Menée auprès de 23.661 adultes âgés de 18 à 64 ans, cette étude sur la consommation de cannabis en 2021 rapporte que 10,6% de la population en a fumé dans l'année.

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Message par Ten »

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Re: Actus potentiellement intéressantes

Message par Nimois-ni-toi »

la vie de nos appareils photos argentique n'est pas fini.
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Re: Actus potentiellement intéressantes

Message par Jessy »

Nimois-ni-toi a écrit : 15 octobre 2023, 19:21 la vie de nos appareils photos argentique n'est pas fini.
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Mais Kodak me semble-t-il avait fabriqué un tel système il y a 20 ans avec un capteur 24x36 mm (format des pellicules argentiques ) et la memoire et la batterie dans le rouleau ...
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Re: Actus potentiellement intéressantes

Message par Ten »

Tarn : « On marche sur la tête », les centaines de panneaux inversés enfin revendiqués

monde à l’envers En l’espace d’une petite semaine, quelque 200 communes tarnaises ont retrouvé leurs panneaux d’entrée de ville à l’envers. Un coup astucieux du monde agricole pour symboliser les injonctions contradictoires auxquelles il est soumis.

Depuis dimanche dernier, des automobilistes tarnais ou touristes de passage se demandent s’ils n’ont pas trop forcé sur le Gaillac ou s’ils n’ont pas confondu cèpes et champignons hallucinogènes. Mais, non, ils n’ont pas la tête à l’envers. Ce sont les panneaux d’entrée de ville qui sont inversés après avoir été déboulonnés nuitamment et remis à leur place. De Castres à Albi, de la montagne Noire au Carmausin, le « gang des panneaux » a opéré dans environ 200 communes avant de dévoiler son identité jeudi soir sur les réseaux sociaux.

Ces « dévissages » sont l’œuvre des exploitants tarnais de la FDSEA et des Jeunes agriculteurs, qui plutôt « que de barrer une autoroute » ont choisi ce happening pour expliquer au gouvernement que « le bon sens » vient souvent du terroir. « Notre message, c’est qu’on marche sur la tête », explique à 20 Minutes, Cédric Vaute cosecrétaire général de la FDSEA 11.

Augmentation du carburant agricole

Les exploitants sont « lassés » qu’on leur demande « tout et son contraire ». Par exemple, explique l’agriculteur, « on nous augmente les taxes sur le gazole non routier [GNR] en nous demandant d’en consommer moins. D’un autre côté, on nous demande d’utiliser moins de produits phytosanitaires. Mais le désherbage mécanique consomme forcément davantage de carburant ». Le responsable syndical n’est pas contre les tracteurs électriques. « Mais ils ont trois à quatre heures d’autonomie. Qui travaille trois à quatre heures par jour ? »…

L’opération symbolique s’avère en tout cas efficace pour labourer le terrain des revendications. D’ailleurs, des communes rurales ont choisi de laisser les panneaux à l’envers.


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Re: Actus potentiellement intéressantes

Message par Mikadoc »

Bizarre à Toulouse Agen et Bordeaux qui sont pas très loin ils ont tout bloqué devant les péages et ses les mêmes.
Panneaux à l'envers c'est pas mal.

Mais oui le GNR connaît une forte hausse et l'année prochaine + de taxe.
Les agriculteurs comme les transports routiers sont impactés. On met dans le transport frigo du gazole non routier pour faire tournée le frigo de la caisse.
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Re: Actus potentiellement intéressantes

Message par Ten »

ENQUETE. La corruption de "basse intensité" : comment des agents du service public cèdent aux sirènes de l'argent.

Cette corruption se déroule à bas bruit dans les couloirs des services publics. Des élus et des fonctionnaires rendent des services à des délinquants contre rémunération, notamment en divulguant des informations sensibles contenues dans des fichiers administratifs.

C'est une réalité qui inquiète les autorités. La corruption dite de "basse intensité" qui concerne les élus, fonctionnaires ou contractuels travaillant pour l'État, comme pour ce policier parisien placé en détention provisoire car il est soupçonné d’avoir revendu des centaines de fichiers de police. Quand on évoque cette corruption, il s'agit de services payants rendus à des délinquants voire au grand banditisme. On l'appelle aussi "corruption du quotidien" ou "corruption de facilitation".

Des données à haute valeur ajoutée


Ces fichiers sont au cœur de la corruption comme les fichiers d'immatriculation, du permis de conduire, des antécédents judiciaires ou des personnes recherchées. Il s'agit de données à haute valeur ajoutée. "Les richesses de l'administration, en France ou ailleurs, ce sont les bases de données, explique le commissaire Thomas de Ricolfis, numéro 3 de l'Inspection générale de la police nationale (IGPN), la police des polices, et ancien patron de l'office anticorruption. Donc on a les fichiers de police, les fichiers des impôts ou le casier judiciaire. Donc tout ça, ce sont des informations qui ont une très forte valeur pour les groupes criminels. Parce qu'à travers ces informations, ils peuvent savoir si on travaille sur eux, si on prépare des opérations sur eux ou s'ils font l'objet de recherches. C'est un peu comme un délit d'initié boursier."

"Ce sont des informations qui ont une très forte valeur qu'ils sont prêts à acheter pour se prémunir des actions répressives des services de police ou de gendarmerie ou des poursuites de la justice."

En octobre, deux policiers de la région parisienne ont été condamnés à de la prison avec sursis pour consultation illégale de fichier au profit d'un tiers. L'un d'eux a même géolocalisé une femme pour rendre service à un amoureux éconduit après avoir transmis un faux document au procureur...

Cette corruption ne concerne pas que les policiers et gendarmes, loin de là et les exemples ne manquent pas. Un officier d'état civil qui délivre de faux certificats de naissance pour une filière de sans-papiers à Lille. Un fonctionnaire préfectoral à Bayonne qui manipule le fichier des permis de conduire en ajoutant des points. Une greffière à Saint-Nazaire qui est soupçonnée d'avoir transmis des informations à des trafiquants de drogue alors qu'elle travaillait pour un juge d'instruction.

Et même, cas extrêmes : les dockers du Havre qui aident à faire passer de la cocaïne avec la technique du "Rip-Off" : ouverture des containers pour récupérer la drogue avant de replacer un scellé contrefait. Ou encore un douanier de Roissy qui ferme les yeux sur au moins dix valises chargées de coke et 40 000 à 50 000 euros reçus par bagage.

Une corruption à bas bruit

Ces faits passent souvent sous les radars car il s'agit d'une corruption à bas bruit qui apparaît en général dans d'autres enquêtes. "C'est une infraction qu'on va découvrir à l'occasion d'une enquête sur une procédure principale, indique Jean-Michel Bolusset est le patron de la police judiciaire à Reims. Ce commissaire a écrit un rapport sur le sujet pour l'Institut des hautes études du ministère de l'Intérieur (IHEMI). On va prendre un trafic de stupéfiants, par exemple pour un trafic de faux documents ou d'armes, et on va se rendre compte à l'occasion de l'enquête qu'un individu compromis intervient à tel ou tel degré du processus criminel pour faciliter ou rendre possible la commission de l'infraction principale."

Cette corruption concerne souvent des personnes mal payées, cibles privilégiées du crime organisé, et à laquelle n'échappent pas les élus. Il y a les nombreuses affaires de favoritisme dans l'attribution de logements sociaux, marchés publics ou permis de construire, mais pas seulement. La maire de Canteleu en Seine-Maritime a été mise en examen pour complicité de trafic de stupéfiants, soupçonnée de liens avec des dealers d'héroïne.

Un manque de transparence


Les collectivités doivent désormais élaborer un plan de prévention de la corruption mais sans réelle obligation. Il n'y a ni vérification ni sanction. La France a en plus du chemin à faire sur le droit d'accès aux documents administratifs pour l'ONG anticorruption Transparency International. "Lutter volontairement contre la corruption, c'est aussi accepter de communiquer des documents administratifs communicables, rappelle Kevin Gernier, de Transparency International. L'exemple canonique, c'est le temps qu'il a fallu à la mairie de Paris pour communiquer les documents relatifs aux frais de représentation de la maire de Paris. La Ville de Paris a fini par se plier à l'avis du Conseil d'Etat."

"Juridiquement, la mairie de Paris ne s'est pas retrouvée dans une situation hors-la-loi mais elle a quand même mis beaucoup de temps. Elle a utilisé tous les recours possibles et imaginables pour contester la communication de ses notes de frais à un journaliste néerlandais qui en faisait la demande."

Dans le dernier classement de Transparency International sur la perception de la corruption, la France est 21e sur 180 pays. Il n'y a rien de dramatique mais le pays peut mieux faire car il est loin derrière les pays d'Europe du Nord. Selon les chiffres officiels, les atteintes à la probité ont augmenté de 28% entre 2016 et 2021. Mais difficile de savoir si c'est la corruption qui s'étend ou les enquêtes qui progressent. En clair, si la température augmente ou si c'est le thermomètre qui est plus efficace.

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Re: Actus potentiellement intéressantes

Message par Ten »

Naissances en France : comment expliquer la baisse et peut-elle être freinée ?

En recul de 6,8% sur les onze premiers mois de 2023 par rapport à la même période de 2022, le nombre de naissances devrait atteindre un nouveau point bas historique sur l'ensemble de l'année, selon des données de l'Insee publiées jeudi 4 janvier 2024. Comment s'explique cette baisse et peut-elle être freinée ?

1. Où en est la natalité française ?

Depuis 2011, le nombre de naissances a reculé chaque année en France, à l'exception de 2021, qui a connu un léger rebond après les confinements liés au Covid-19. Entre janvier et novembre 2023, on comptabilise 621.691 naissances.
Sur l'ensemble de l'année 2022, 726.000 bébés ont vu le jour, soit le plus faible nombre sur un an depuis la fin de la Seconde guerre mondiale. Cette année-là, on a observé un recul des naissances dans toutes les régions françaises, sauf à Mayotte et en Corse.

Bien qu'il soit en repli, le taux de fécondité de la France reste le plus élevé de l'Union européenne, avec 1,84 enfant par femme en 2021, selon Eurostat. La moyenne de l'UE atteint 1,53.

2. Comment expliquer cette baisse ?

L'Insee met en avant un facteur démographique : le nombre de femmes de 20 à 40 ans, soit en âge de procréer, a diminué.

En outre, les générations de femmes moins nombreuses procréent moins, peut-être en raison de facteurs sociaux. "Pour fonder une famille, il faut avoir de l'espoir. Or les jeunes générations sont peut-être plus habitées par l'inquiétude quant à leur avenir", commente auprès de l'AFP Catherine Scornet, maîtresse de conférence à l'Université d'Aix-Marseille.

La conjoncture économique incertaine, marquée par une forte inflation, le contexte de guerre en Ukraine et au Moyen-Orient ainsi que le réchauffement climatique créent ainsi un "climat d'incertitude" qui peut freiner l'envie d'avoir un enfant, ajoute-t-elle.

La sociologue démographe relève aussi des changements d'aspirations : certains décident d'avoir moins ou pas d'enfant du tout pour des "raisons libertaires", liées à "l'émancipation individuelle". Ils préfèrent rester libres pour prioriser d'autres projets. "Les femmes diplômées sont celles qui se projettent le plus en dehors de la maternité, elles s'investissent et s'épanouissent dans d'autres domaines personnels ou professionnels", précise Catherine Scornet.


3. Quelles sont les conséquences d'un recul de la natalité ?

Une modification de la structure de la population demande aux Etats d'adapter leurs politiques publiques.

Dans un premier temps, la présence d'un moindre nombre d'enfants a un effet "positif" sur les finances publiques puisque cela signifie "moins de dépenses en matière d'éducation, de soins et d'allocations", dit à l'AFP Hippolyte d'Albis, professeur à l'Ecole d'économie de Paris. Le pays peut alors investir dans d'autres domaines.

La situation peut se complexifier lorsque ces générations atteignent l'âge adulte : la part de la population active, dont dépend le "dynamisme d'une économie et l'équilibre des comptes sociaux", risque de diminuer.

"On peut toutefois jouer sur d'autres leviers pour accroître la population active : par exemple, favoriser l'emploi des seniors, des femmes ou avoir recours à l'immigration", ajoute l'économiste. Aujourd'hui, la population active représente quelque 40% de la population totale en France.


4. Peut-on modifier la tendance ?

Les démographes estiment qu'il existe un lien entre mesures natalistes et fécondité mais qu'il reste difficilement mesurable.

A l'heure actuelle, la question de l'articulation vie professionnelle et familiale est un élément-clé. "Les politiques publiques efficaces sont celles qui rendent la vie plus facile aux parents. Ainsi, les personnes qui hésitent à franchir le pas et à avoir un enfant voient que cela n'implique pas un sacrifice insurmontable", indique à l'AFP Laurent Toulemon, directeur de recherche à l'Institut national d'études démographiques (Ined).

En revanche, les mesures natalistes qui consistent à donner un bonus financier lors d'une naissance restent peu efficaces. "Les gens savent que faire des enfants impliquent des dépenses sur le long terme", souligne le démographe.

A noter : il y a un enjeu de "confiance" et de "crédibilité" des mesures proposées. En France, où la fécondité reste relativement élevée, il existe une politique familiale "solide" depuis des décennies. En Corée du Sud, malgré une politique volontariste, la fécondité reste basse. "Les femmes savent qu'elles devront quand même effectuer des sacrifices énormes pour élever des enfants, du fait des normes sociales", relève Laurent Toulemon.


Source : [Vous devez vous connecter ou vous inscrire pour voir ce lien]


J'entends bcp de jeunes dire aussi qu'ils ne veulent pas d'enfant parce que la planète est déjà en surpopulation.
C'est le discours de mes fils, de leur potes et aussi des enfants de nos amis.
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Re: Actus potentiellement intéressantes

Message par Jessy »

Discours déjà entendu aussi autour de moi ... pas d'enfant du tout pour certains, un seul enfant pour d'autres ...
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Re: Actus potentiellement intéressantes

Message par Tite-libe »

Chez moi ussi les enfants ne sont pas du tout dans les futurs projets de mes loulous ( 18 ans et 15 ans).
Je ne les encourage pas non plus à en avoir mais plus à profiter de leur vie , à partir à l'étranger.
Si j avais 25 ans actuellement je ne ferai pas d enfants vu la merde qu est devenu le monde.
Que le diable t'emporte
C'est pas l'heure
Et qu'il frappe à ta porte
J'ai pas peur :p
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Re: Actus potentiellement intéressantes

Message par Mikadoc »

Personnellement je ne suis pas dans la même optique. J'ai profité, car j'ai fait le choix d'avoir des enfants tard.
On est en surpopulation, car on vieillit plus longtemps. Donc ce qui veut dire que la population est vieillissante. Si on ne fait pas d'enfant, qui va travailler le 3ème âge?
On peut profiter de la vie en ayant des enfants bien plus qu'avant, même s'il est vrai que c'est pas toujours évident. Surtout pour les parents monoparentale.
Aujourd'hui, je vois plutôt une génération de plus en plus égoïste, vulgaire, et irrespectueuse... mais bon il y a toujours de l'espoir tout l'entende n'est pas dans le même bateaux.
La cause de tout ça, il y en a sûrement plusieurs à commencer par bous prents sûrement...
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Re: Actus potentiellement intéressantes

Message par Biquette »

La Suède a trouvé une façon super écolo de recycler ses sapins de Noël

En Suède, ces arbres ne finissent pas leur vie en déchetterie. Non, en aucun cas ! Les Suédois ont trouvé une manière complètement singulière de leur donner une seconde existence.
Ces sapins sont jetés dans les eaux glacées de Stockholm !

Mais attendez, ce n’est pas un acte de pollution, loin de là.
C’est en réalité une démarche écologique réfléchie et bénéfique pour l’écosystème aquatique.

Vous vous demandez surement comment jeter des arbres dans un lac peut être bénéfique.
Eh bien, c’est là que la magie opère.
Ces sapins servent d’habitat naturel et de zone de frai pour les poissons.
C’est une véritable aubaine pour la biodiversité aquatique.
Les branches des sapins offrent un refuge et un espace de reproduction idéal pour de nombreuses espèces.

Cette initiative contribue donc à la préservation et à l’enrichissement de la faune sous-marine.

La Suède nous offre une leçon précieuse : avec un peu d’imagination et de volonté, nous pouvons transformer nos traditions en actions bénéfiques pour notre planète. Qui sait, peut-être, que cette pratique se répandra dans d’autres pays, ouvrant la voie à différentes méthodes de recyclage tout aussi surprenantes et efficaces.
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
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