Ma première expérience en soumission
Publié : 22 juin 2019, 15:05
Je suis certaine que le topic existe cependant impossible de le retrouver donc mille excuses par avance pour le doublon.
Une soumission se ressent à travers un jeu où les règles visent un dépassement de soi. J'aime le jeu sous toutes ses formes et un jour, je me suis dit que cette soumission est attirante. Je l'observe, je l'analyse à travers blog, forum ou images tirées du net. Je m'instruis à travers eux et je me passionne pour cet état d'esprit qui libère de tout. J'entre dans une bulle protectrice du monde extérieur, d'une quelque réalité quotidienne et je deviens une autre le temps d'un jeu. Même si la relation est primordiale, cela ne peut se vivre à livre ouvert aux yeux de tous.
Comment choisit-on son dominant ?
Car même si c'est paradoxal, je pense profondément que c'est le choix premier de la soumise. En acceptant d'être celle soumise à un dominant, elle choisit. La confiance est la base de cette relation hors du commun. Viens ensemble un sens inné de la communication. La précision et la clarté peuvent être écrite de manière concise.
Le choix d'une écriture d'un carnet intime :
ce dernier a pour but d'établir les limites de la soumise ainsi que le code établit entre un dominant et sa soumise.
Le dominant par de nombreux dialogues va apprendre à être dans l'esprit de sa soumise.
Et arrive la première fois :
Celle où va se mettre en place, les toutes premières règles établies entre les deux parties.
Je me souviens de ce lieu neutre où je m'y rends seule afin de me préparer.
Mes genoux rejoignent le sol, vêtue d'une jupe et d'un corset en cuir noir ajustés avec des bas aux bottes très hautes. Mes seins pénètrent dans l'ouverture qu'offre ce corset. Mes yeux sont recouverts d'un masque.
J'attends et je patiente.
Viens ensuite son arrivée, entendre ses pas se diriger vers moi, sentir ses lèvres embrasser les miennes.
Des palpitations au creux de mon coeur se bousculent à m'en faire perdre la tête.
Il passe ce collier autour de mon cou, il lui ai personnel et gratifié de son initiale.
Dans le cadre du jeu, nous devenons des acteurs avec des pseudos établis.
Je deviens Sienne sous soumise Volupté et il devient Mister-Y.
La privation des yeux, des mains, des pieds, devenir et subir ses envies, remplir sa satisfaction est une réelle excitation pour moi. Il suscite chez moi des plaisirs interdits , des plaisirs au delà d'une société.
La sexualité en est décuplé et la lâcher prise vers une confiance absolue.
Cette soumission devient assumée et rend l'expérience plus riche.
Je ne vais pas entrer dans le détail de cette première séance qui s'est arrêté à des fessées furtives sans trop de marques. Cependant je reste convaincue que tout est question d'évolution et d'envie de la soumise.
Un dominant ne peut aller au-delà de ces limites, il peut les frôler et sentir si c'est possible, être à l'écoute du corps, de la parole ou du signe qui alertera l'arrêt du jeu.
Comme le libertinage, chaque couple établit ses propres règles en domination et soumission.
On n'est pas plus une soumise si au pratique le sm proprement dit et purement violent.
Je pense que l'on devient soumise quand on est prête à évoluer en confiance auprès de son dominant que ce chemin mène ou non à du SM HARD.
Une soumise en confiance est heureuse car son évolution sera respectée car la relation Ds demande respect l'un envers l'autre.
Une soumission se ressent à travers un jeu où les règles visent un dépassement de soi. J'aime le jeu sous toutes ses formes et un jour, je me suis dit que cette soumission est attirante. Je l'observe, je l'analyse à travers blog, forum ou images tirées du net. Je m'instruis à travers eux et je me passionne pour cet état d'esprit qui libère de tout. J'entre dans une bulle protectrice du monde extérieur, d'une quelque réalité quotidienne et je deviens une autre le temps d'un jeu. Même si la relation est primordiale, cela ne peut se vivre à livre ouvert aux yeux de tous.
Comment choisit-on son dominant ?
Car même si c'est paradoxal, je pense profondément que c'est le choix premier de la soumise. En acceptant d'être celle soumise à un dominant, elle choisit. La confiance est la base de cette relation hors du commun. Viens ensemble un sens inné de la communication. La précision et la clarté peuvent être écrite de manière concise.
Le choix d'une écriture d'un carnet intime :
ce dernier a pour but d'établir les limites de la soumise ainsi que le code établit entre un dominant et sa soumise.
Le dominant par de nombreux dialogues va apprendre à être dans l'esprit de sa soumise.
Et arrive la première fois :
Celle où va se mettre en place, les toutes premières règles établies entre les deux parties.
Je me souviens de ce lieu neutre où je m'y rends seule afin de me préparer.
Mes genoux rejoignent le sol, vêtue d'une jupe et d'un corset en cuir noir ajustés avec des bas aux bottes très hautes. Mes seins pénètrent dans l'ouverture qu'offre ce corset. Mes yeux sont recouverts d'un masque.
J'attends et je patiente.
Viens ensuite son arrivée, entendre ses pas se diriger vers moi, sentir ses lèvres embrasser les miennes.
Des palpitations au creux de mon coeur se bousculent à m'en faire perdre la tête.
Il passe ce collier autour de mon cou, il lui ai personnel et gratifié de son initiale.
Dans le cadre du jeu, nous devenons des acteurs avec des pseudos établis.
Je deviens Sienne sous soumise Volupté et il devient Mister-Y.
La privation des yeux, des mains, des pieds, devenir et subir ses envies, remplir sa satisfaction est une réelle excitation pour moi. Il suscite chez moi des plaisirs interdits , des plaisirs au delà d'une société.
La sexualité en est décuplé et la lâcher prise vers une confiance absolue.
Cette soumission devient assumée et rend l'expérience plus riche.
Je ne vais pas entrer dans le détail de cette première séance qui s'est arrêté à des fessées furtives sans trop de marques. Cependant je reste convaincue que tout est question d'évolution et d'envie de la soumise.
Un dominant ne peut aller au-delà de ces limites, il peut les frôler et sentir si c'est possible, être à l'écoute du corps, de la parole ou du signe qui alertera l'arrêt du jeu.
Comme le libertinage, chaque couple établit ses propres règles en domination et soumission.
On n'est pas plus une soumise si au pratique le sm proprement dit et purement violent.
Je pense que l'on devient soumise quand on est prête à évoluer en confiance auprès de son dominant que ce chemin mène ou non à du SM HARD.
Une soumise en confiance est heureuse car son évolution sera respectée car la relation Ds demande respect l'un envers l'autre.