C'est tout ce qui me vient sur l'instant, ceci dit, je ne prendrais pas mal s'il n'y a rien qui t'inspire hein
poèmes
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Biquette
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Re: poèmes
la naissance d'un enfant, un projet enfin réalisé aprés des années de galère, retrouver un ami perdu de vue, un soleil couchant, une réconciliation familiale
C'est tout ce qui me vient sur l'instant, ceci dit, je ne prendrais pas mal s'il n'y a rien qui t'inspire hein
C'est tout ce qui me vient sur l'instant, ceci dit, je ne prendrais pas mal s'il n'y a rien qui t'inspire hein
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
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Jundow
Re: poèmes
Je peut éssayer mais je promet rien; si j'y arrive, je le posterai iciBikette a écrit :la naissance d'un enfant, un projet enfin réalisé aprés des années de galère, retrouver un ami perdu de vue, un soleil couchant, une réconciliation familiale
C'est tout ce qui me vient sur l'instant, ceci dit, je ne prendrais pas mal s'il n'y a rien qui t'inspire hein
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Supprimé
Re: poèmes
Je me re-quote, puisque tu n'as peut-être pas vu ma réponse avec le changement de page.Emily a écrit :Belles choses (même si ta réponse est destinée à Bikette) ... Je ne sais pas à vrai dire. La sensualité, l'art ... L'esthétique n'est-il pas aussi la souffrance ?
Du coup, j'ose vraiment pas poster les miens.
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Biquette
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Re: poèmes
Mais poste donc les tiens Emily, où as-tu vu qu'il y a des règles en matière de poèmes ? t'es chiante à te dévaloriser !
Poste les !
Poste les !
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
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Jundow
Re: poèmes
En effet, je n'avais pas vu ta réponse.Emily a écrit : Je me re-quote, puisque tu n'as peut-être pas vu ma réponse avec le changement de page.
La sensualité, l'art sont de belle chose en effet. Par contre, je vois mal comment faire passer la souffrance comme une belle chose dans un poème
Mais, merci pour ta réponse, je vais travailler là-dessus
-
Supprimé
Re: poèmes
Bah, à la base j'voyais pas trop l'intérêt puisque déjà sur mon blog ... Et puis, avec le recul, je les trouve trop prétentieux, trop stylisés, trop froids (même si j'en use et en abuse).Bikette a écrit :Mais poste donc les tiens Emily, où as-tu vu qu'il y a des règles en matière de poèmes ? t'es chiante à te dévaloriser !
Poste les !
La souffrance n'est pas belle, mais on peut l'exprimer de façon sublime et éclatante, comme s'il n'y avait rien de plus beau et de plus précieux au monde. C'est le cas par exemple de Baudelaire et Rimbaud. C'est bien entendu un exemple, aucune comparaison avec quiconque.Jundow a écrit :
En effet, je n'avais pas vu ta réponse.
La sensualité, l'art sont de belle chose en effet. Par contre, je vois mal comment faire passer la souffrance comme une belle chose dans un poème
Mais, merci pour ta réponse, je vais travailler là-dessus
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Jundow
Re: poèmes
Je pense que ca dépend de la personne qui écrit, de son vécu et de ses goût. Moi, je ne saurais décrire la souffrance comme une belle chose car je déteste la souffrance (qu'elle soit physique ou mental).
On est souvent plus difficile avec sois qu'avec les autres; poste en un ou deux, et tu verras bien ce que les autres en pense. Enfin, c'est toi qui vois, personne ne t'oblige.
On est souvent plus difficile avec sois qu'avec les autres; poste en un ou deux, et tu verras bien ce que les autres en pense. Enfin, c'est toi qui vois, personne ne t'oblige.
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Supprimé
Re: poèmes
Je vais y réfléchir.
La souffrance, puisque j'suis vouée à vivre dedans, autant la sublimer.
La souffrance, puisque j'suis vouée à vivre dedans, autant la sublimer.
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Jundow
Re: poèmes
Il nous fait voir la vie en rose
Et transforme le banal en merveille
Il nous frappe tous un jour ou l'autre
L'amour nous emmène au 7ème ciel
On le rencontre un peu partout
Au coin d'une rue ou dans un resto
Sous la forme d'une jolie rousse
Ou d'un homme un peu rétro
Qu'il dure un jour ou une vie
Il reste dans nos souvenirs
C'est aussi ça l'amour
On voudrait qu'il dure toujours
Mais il a un côté plus sombre
Une sorte de folie
On en perd notre raison
Lorsqu'elle surgit
Certains deviennent des assassins
Quand cette folie les touchent
D'autre précipitent leur fin
L'amour peut rendre fou
L'amour est la plus belle des folies
Et la pire des bénédictions
L'amour c'est ça aussi
Une merveilleuse confusion
Et transforme le banal en merveille
Il nous frappe tous un jour ou l'autre
L'amour nous emmène au 7ème ciel
On le rencontre un peu partout
Au coin d'une rue ou dans un resto
Sous la forme d'une jolie rousse
Ou d'un homme un peu rétro
Qu'il dure un jour ou une vie
Il reste dans nos souvenirs
C'est aussi ça l'amour
On voudrait qu'il dure toujours
Mais il a un côté plus sombre
Une sorte de folie
On en perd notre raison
Lorsqu'elle surgit
Certains deviennent des assassins
Quand cette folie les touchent
D'autre précipitent leur fin
L'amour peut rendre fou
L'amour est la plus belle des folies
Et la pire des bénédictions
L'amour c'est ça aussi
Une merveilleuse confusion
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Jundow
Re: poèmes
Il nous fait voir la vie en rose
Et transforme le banal en merveille
Il nous frappe tous un jour ou l'autre
L'amour nous emmène au 7ème ciel
On le rencontre un peu partout
Au coin d'une rue ou dans un resto
Sous la forme d'une jolie rousse
Ou d'un homme un peu rétro
Qu'il dure un jour ou une vie
Il reste dans nos souvenirs
C'est aussi ça l'amour
On voudrait qu'il dure toujours
Mais il a un côté plus sombre
Une sorte de folie
On en perd notre raison
Lorsqu'elle surgit
Certains deviennent des assassins
Quand cette folie les touchent
D'autre précipitent leur fin
L'amour peut rendre fou
L'amour est la plus belle des folies
Et la pire des bénédictions
L'amour c'est ça aussi
Une merveilleuse confusion
Et transforme le banal en merveille
Il nous frappe tous un jour ou l'autre
L'amour nous emmène au 7ème ciel
On le rencontre un peu partout
Au coin d'une rue ou dans un resto
Sous la forme d'une jolie rousse
Ou d'un homme un peu rétro
Qu'il dure un jour ou une vie
Il reste dans nos souvenirs
C'est aussi ça l'amour
On voudrait qu'il dure toujours
Mais il a un côté plus sombre
Une sorte de folie
On en perd notre raison
Lorsqu'elle surgit
Certains deviennent des assassins
Quand cette folie les touchent
D'autre précipitent leur fin
L'amour peut rendre fou
L'amour est la plus belle des folies
Et la pire des bénédictions
L'amour c'est ça aussi
Une merveilleuse confusion
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Supprimé
Re: poèmes
( bon, c'est pas vraiment un poème, c'est plus une impulsion à l'écriture, spontanée...Enfin, je ne savais pas trop où le mettre...Bikette, tu verras )
( peut-être que je l'éditerai pour le supprimer car l'exposition de mes écrits n'est pas une confiance en soi, enfin on verra, je me lance )
La sculpture
Si j'étais une sculpture,
Si tu étais mon sculpteur,
J'autoriserai tes mains à me façonner,
tel que l'harmonie se verrait à mille lieux.
J'accepterai de ressentir à travers ce modelage,
les étoiles qui brillent de mille feux chaque nuit.
Je m'accrocherai aux branches du soleil,
afin qu'il éclaire mon côté obscur.
Je laisserai mes organes vivre,
Je me préserverai de toutes poussières.
Je vibrerai aux sons de tes envies,
de ta joie, de ton amour.
Je guiderai mon cœur vers toi,
lui accordant ce droit d'aimer.
La courbe de mes fesses seraient le reflet de ma sensualité,
Celle de mes seins, le reflet de l'offrande.
La longévité de mes jambes exprimerait mon envie de vivre longtemps,
Celle de mes bras d'un besoin d'enlacer un être cher et unique.
La pose de mes mains vers l'extérieur te ferait voir l'avenir,
un avenir lointain encore peu perceptible.
La stature de mes pieds seront synonymes de pas, d'avancement,
sur des chemins si différents, si imprévisibles.
La formation de ma vue se ferait sous tes doigts délicats,
laissant imaginer une rétine si persistante, si puissante.
L'aspect sentimental deviendrait palpable,
au sens inné de mon odorat.
Mes oreilles prendront une forme inattendue,
d'une écoute certaine.
Tes doigts s'attarderont sur mes lèvres,
imaginant de tendres baisers.
La chute de mes reins,
deviendrait un point de chute, un endroit sécurisant.
Cependant le meilleur de cette sculpture,
c'est ce que le sculpteur façonnera avec passion.
Celui qui me rendra vivante,
et dont j'aurai la chance de voir à travers tes yeux , une étoile brillante.
( je viens de lire tes écrits Jundow, j'aime beaucoup
)
)( peut-être que je l'éditerai pour le supprimer car l'exposition de mes écrits n'est pas une confiance en soi, enfin on verra, je me lance )
La sculpture
Si j'étais une sculpture,
Si tu étais mon sculpteur,
J'autoriserai tes mains à me façonner,
tel que l'harmonie se verrait à mille lieux.
J'accepterai de ressentir à travers ce modelage,
les étoiles qui brillent de mille feux chaque nuit.
Je m'accrocherai aux branches du soleil,
afin qu'il éclaire mon côté obscur.
Je laisserai mes organes vivre,
Je me préserverai de toutes poussières.
Je vibrerai aux sons de tes envies,
de ta joie, de ton amour.
Je guiderai mon cœur vers toi,
lui accordant ce droit d'aimer.
La courbe de mes fesses seraient le reflet de ma sensualité,
Celle de mes seins, le reflet de l'offrande.
La longévité de mes jambes exprimerait mon envie de vivre longtemps,
Celle de mes bras d'un besoin d'enlacer un être cher et unique.
La pose de mes mains vers l'extérieur te ferait voir l'avenir,
un avenir lointain encore peu perceptible.
La stature de mes pieds seront synonymes de pas, d'avancement,
sur des chemins si différents, si imprévisibles.
La formation de ma vue se ferait sous tes doigts délicats,
laissant imaginer une rétine si persistante, si puissante.
L'aspect sentimental deviendrait palpable,
au sens inné de mon odorat.
Mes oreilles prendront une forme inattendue,
d'une écoute certaine.
Tes doigts s'attarderont sur mes lèvres,
imaginant de tendres baisers.
La chute de mes reins,
deviendrait un point de chute, un endroit sécurisant.
Cependant le meilleur de cette sculpture,
c'est ce que le sculpteur façonnera avec passion.
Celui qui me rendra vivante,
et dont j'aurai la chance de voir à travers tes yeux , une étoile brillante.
( je viens de lire tes écrits Jundow, j'aime beaucoup
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Biquette
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Re: poèmes
C'est trés beau Volup
Et il est trés bien là ton poème
Et il est trés bien là ton poème
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
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sirhup
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Supprimé
Re: poèmes
sirhup a écrit :C'est magnifique volup' !
Tu as raison de laisser libre cours à ta spontanéité.
-
Supprimé
Re: poèmes
Humble courtisane impudique
Sur l'autel de Vos frasques impétueuses
Je m'offre à Vous ; insolente et lubrique
Telle une indécente catin sulfureuse.
Sous l'emprise de Vos entraves implacables,
Je m'abandonne, décadente et suppliante
A Vos terribles vices insatiables,
Telle une putain et perverse amante.
Lorsque, comblés de Vos licencieuses envolées,
Je me fais femelle caressante et gracile
Je me jette, adoratrice, à Vos pieds
Telle une chienne assouvie et docile.
Sur l'autel de Vos frasques impétueuses
Je m'offre à Vous ; insolente et lubrique
Telle une indécente catin sulfureuse.
Sous l'emprise de Vos entraves implacables,
Je m'abandonne, décadente et suppliante
A Vos terribles vices insatiables,
Telle une putain et perverse amante.
Lorsque, comblés de Vos licencieuses envolées,
Je me fais femelle caressante et gracile
Je me jette, adoratrice, à Vos pieds
Telle une chienne assouvie et docile.
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Supprimé
Re: poèmes
J'en ai quelques uns du genre sur l'un de mes deux blogs (dont celui-ci), mais il n'est pas tout nouveau, je l'ai écrit il y a quelques temps déjà. Merci.
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Biquette
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Re: poèmes
Ah ben moi aussi, j'aime même beaucoup 
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
-
Supprimé
Re: poèmes
Ainsi poétesse devint poétasse asservie
Lorsque la morsure s'abattit sur ses voluptés
D'une vile impudence châtiée et rougie,
Faisant frémir cette fervente débauchée.
Ainsi poétasse devint pétasse desservie
Lorsque celle-ci, honteuse et marquée,
Se délecta de cette puissante virilité assouvie
Comblant les tréfonds de ses licencieux excès.
Mais que devint l'humble poétesse
Alors qu'elle s'abandonna, luxurieuse,
Que son antre savoura de vicieuses ivresses,
En indigne pécheresse audacieuse ?
Lorsque la morsure s'abattit sur ses voluptés
D'une vile impudence châtiée et rougie,
Faisant frémir cette fervente débauchée.
Ainsi poétasse devint pétasse desservie
Lorsque celle-ci, honteuse et marquée,
Se délecta de cette puissante virilité assouvie
Comblant les tréfonds de ses licencieux excès.
Mais que devint l'humble poétesse
Alors qu'elle s'abandonna, luxurieuse,
Que son antre savoura de vicieuses ivresses,
En indigne pécheresse audacieuse ?
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Jundow
Re: poèmes
poème nommé "la pauvreté":
La pauvreté est comme une maladie
Qui se répand à travers le monde
Elle a contaminée tout les pays
Ses effets sont immondes
Elle est la cause de bien des délits
La cause de tant de folies
Des vols pour nourrir une famille
D'autres pour dormir à l'abris
Chaque jour à travers le monde
Des centaines de pauvres meurent de faim
Alors que des riches, sans honte
Dépensent leur argent à rien
La mort est presque une délivrance
Pour ces êtres qui vivent dans la misère
Ils ont perdu toute espérances
Chaque jour est un nouvel enfer
Certains sombrent dans la violence
Leurs coeur n'est plus que colère
D'autres cherchent à oublier
L'injustice de cette misérable existence
En buvant de l'alcool jusqu'à sombrer
Ou en s'aidant de stupéfiant
Mon coeur saigne pour tout ces pauvres
J'aimerai pouvoir les aider
Mais les seuls qui pourraient faire quelque chose
Ne pensent qu'as les mépriser
La pauvreté est comme une maladie
Qui se répand à travers le monde
Elle a contaminée tout les pays
Ses effets sont immondes
Elle est la cause de bien des délits
La cause de tant de folies
Des vols pour nourrir une famille
D'autres pour dormir à l'abris
Chaque jour à travers le monde
Des centaines de pauvres meurent de faim
Alors que des riches, sans honte
Dépensent leur argent à rien
La mort est presque une délivrance
Pour ces êtres qui vivent dans la misère
Ils ont perdu toute espérances
Chaque jour est un nouvel enfer
Certains sombrent dans la violence
Leurs coeur n'est plus que colère
D'autres cherchent à oublier
L'injustice de cette misérable existence
En buvant de l'alcool jusqu'à sombrer
Ou en s'aidant de stupéfiant
Mon coeur saigne pour tout ces pauvres
J'aimerai pouvoir les aider
Mais les seuls qui pourraient faire quelque chose
Ne pensent qu'as les mépriser
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Supprimé
Re: poèmes
Ce miroir
Ce miroir aux formes différentes d'une maison à l'autre.
Ces maisons aux formes différentes d'un être à l'autre.
Ces êtres aux formes différentes d'une personne à l'autre.
Ce miroir sous son air froid et rigide partage beaucoup avec son reflet.
Un reflet si difficile à accepter car il est pure vérité.
Une vérité parfois crue et insurmontable de l'image de Soi.
Une image de Soi, reflet de la vie depuis la naissance à aujourd'hui.
Face à ce miroir, le jugement est dur parfois tellement rigide.
La cause n'est pas le miroir,
lui si neutre,
si muet,
n'a pas le droit à la parole.
Il reste là, impuissant face à certains désarrois...
Impuissant face à ces larmes de tristesse...
Impuissant face à l'image qu'il renvoie dans nos yeux.
Ce miroir aimerait hurler ce qu'il voit de beau.
Une beauté différente à chaque fois.
Ce miroir rêve de faire briller ces yeux.
Les yeux de ce miroir sont de toutes les couleurs.
Il aimerait tant que son reflet les aperçoivent.
Ce miroir est prisonnier de sa destiné si matérielle.
Il se démène pour trouver une solution.
Il doute de sa vision jusqu'au jour où il verra une ombre.
Une ombre derrière ce reflet.
Des yeux en retrait qui regarde dans ce miroir.
Ce miroir admire ce nouveau reflet.
Une personne qui pose la main sur l'épaule du reflet.
Deux personnes qui regardent dans la même direction.
Ce miroir constate un changement...
Dans les yeux de l'ombre, il y a tant de couleurs étoilées.
Cela l'éblouie...Il s'interroge ? Que se passe-t-il ?
Ce miroir est le témoin d'une illumination car pour la première fois,
il aperçoit une lueur de couleur dans ce reflet.
Ces yeux de l'ombre renvoie à travers lui, une telle puissance.
Que son reflet commence à prendre confiance.
Qu'il commence son chemin vers l'acceptation.
Ce miroir voit la fierté dans les yeux de l'ombre.
Il voit l'espoir dans son reflet.
Et pour la première fois, il se sent bien et heureux d'exister.
Ce miroir aux formes différentes d'une maison à l'autre.
Ces maisons aux formes différentes d'un être à l'autre.
Ces êtres aux formes différentes d'une personne à l'autre.
Ce miroir sous son air froid et rigide partage beaucoup avec son reflet.
Un reflet si difficile à accepter car il est pure vérité.
Une vérité parfois crue et insurmontable de l'image de Soi.
Une image de Soi, reflet de la vie depuis la naissance à aujourd'hui.
Face à ce miroir, le jugement est dur parfois tellement rigide.
La cause n'est pas le miroir,
lui si neutre,
si muet,
n'a pas le droit à la parole.
Il reste là, impuissant face à certains désarrois...
Impuissant face à ces larmes de tristesse...
Impuissant face à l'image qu'il renvoie dans nos yeux.
Ce miroir aimerait hurler ce qu'il voit de beau.
Une beauté différente à chaque fois.
Ce miroir rêve de faire briller ces yeux.
Les yeux de ce miroir sont de toutes les couleurs.
Il aimerait tant que son reflet les aperçoivent.
Ce miroir est prisonnier de sa destiné si matérielle.
Il se démène pour trouver une solution.
Il doute de sa vision jusqu'au jour où il verra une ombre.
Une ombre derrière ce reflet.
Des yeux en retrait qui regarde dans ce miroir.
Ce miroir admire ce nouveau reflet.
Une personne qui pose la main sur l'épaule du reflet.
Deux personnes qui regardent dans la même direction.
Ce miroir constate un changement...
Dans les yeux de l'ombre, il y a tant de couleurs étoilées.
Cela l'éblouie...Il s'interroge ? Que se passe-t-il ?
Ce miroir est le témoin d'une illumination car pour la première fois,
il aperçoit une lueur de couleur dans ce reflet.
Ces yeux de l'ombre renvoie à travers lui, une telle puissance.
Que son reflet commence à prendre confiance.
Qu'il commence son chemin vers l'acceptation.
Ce miroir voit la fierté dans les yeux de l'ombre.
Il voit l'espoir dans son reflet.
Et pour la première fois, il se sent bien et heureux d'exister.
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Jundow
Re: poèmes
La vie et la mort
On naît, on vit, on meurs
C'est le cycle de la vie
Un jour viendras notre heure
Qu'on la craigne ou qu'on l'envie
Nous ne somme que de passage
Dans ce monde sans âge
La mort est notre dernier rendez-vous
Mais comment l'affronterions-nous?
Certains l'accueillent à bras ouvert
Car ils ont trop souffert
Durant cette longue existence
Qui n'a été que malheur et souffrance
D'autre veulent repousser l'échéance
Par la prière ou la science
Leur vie leurs tiennent trop à coeur
Car ils y on trouver le bonheur
On vois la mort comme une ennemie
Ou comme une bénédiction
On la considère comme la suite de la vie
Ou comme la fin de toute sensation
Pour ma part
Je ne la craint pas
Mais je préfère vivre
Et continuer d'écrire
Juste pour le plaisir
De vous faire voyager
Dans les méandre de la pensée
On naît, on vit, on meurs
C'est le cycle de la vie
Un jour viendras notre heure
Qu'on la craigne ou qu'on l'envie
Nous ne somme que de passage
Dans ce monde sans âge
La mort est notre dernier rendez-vous
Mais comment l'affronterions-nous?
Certains l'accueillent à bras ouvert
Car ils ont trop souffert
Durant cette longue existence
Qui n'a été que malheur et souffrance
D'autre veulent repousser l'échéance
Par la prière ou la science
Leur vie leurs tiennent trop à coeur
Car ils y on trouver le bonheur
On vois la mort comme une ennemie
Ou comme une bénédiction
On la considère comme la suite de la vie
Ou comme la fin de toute sensation
Pour ma part
Je ne la craint pas
Mais je préfère vivre
Et continuer d'écrire
Juste pour le plaisir
De vous faire voyager
Dans les méandre de la pensée
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Jundow
Re: poèmes
discrimination
Le racisme est un mal, qui reste indétrônable
Il vit depuis des siècles, et est toujours d'actualité
Quand les hommes comprendront-il, que c'est abominable
De condamner des gens, pour une histoire de nationalité
Pendant une longue période, ils ont réduit a l'esclavage
Des peuples entiers, qu'ils considéraient comme des sauvages
Pourquoi tant de cruauté, face à d'autres humains
Dire que ces tyrans, se prenaient pour des saints
Ensuite vint ce despote, que l'on appellait Hitler
De par son inhumanité, un nouveau peuple a souffert
Chassés comme des bêtes, car ils étaient juifs
Obligés de se cacher, pour espérer survivre
De rares hommes, comme le bon Shindler
Se battaient contre, mais ne leur évitèrent pas cet enfer
De nos jours, rien à changer
C'est un autre peuple qui est persécuté
C'est désormais le moyen-orient, qui est devenu la cible
Toutes les excuses sont bonnes, pour se montrer horrible
C'est une dure réalité, mais ce n'est pas prêt de s'arrêter
Demain ce sera peut-être nous, qui deviendrons des proies
Ce sera à notre tour, de fuir comme du gibier
Et de se demander, le comment et le pourquoi
Est ce qu'un jour, les Homme sauront cesser
D'en vouloir à leurs voisins, et de les exterminer
J'en doute fort, mais on peut toujours rêver
Vivrons nous assez longtemps, pour voir ce jour arriver
Le racisme est un mal, qui reste indétrônable
Il vit depuis des siècles, et est toujours d'actualité
Quand les hommes comprendront-il, que c'est abominable
De condamner des gens, pour une histoire de nationalité
Pendant une longue période, ils ont réduit a l'esclavage
Des peuples entiers, qu'ils considéraient comme des sauvages
Pourquoi tant de cruauté, face à d'autres humains
Dire que ces tyrans, se prenaient pour des saints
Ensuite vint ce despote, que l'on appellait Hitler
De par son inhumanité, un nouveau peuple a souffert
Chassés comme des bêtes, car ils étaient juifs
Obligés de se cacher, pour espérer survivre
De rares hommes, comme le bon Shindler
Se battaient contre, mais ne leur évitèrent pas cet enfer
De nos jours, rien à changer
C'est un autre peuple qui est persécuté
C'est désormais le moyen-orient, qui est devenu la cible
Toutes les excuses sont bonnes, pour se montrer horrible
C'est une dure réalité, mais ce n'est pas prêt de s'arrêter
Demain ce sera peut-être nous, qui deviendrons des proies
Ce sera à notre tour, de fuir comme du gibier
Et de se demander, le comment et le pourquoi
Est ce qu'un jour, les Homme sauront cesser
D'en vouloir à leurs voisins, et de les exterminer
J'en doute fort, mais on peut toujours rêver
Vivrons nous assez longtemps, pour voir ce jour arriver