Pour un switch avec toi
Publié : 16 juillet 2020, 19:49
[CHAPITRE 1] –AU PIED DU MUR
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C’est une large pièce entièrement carrelée, les murs en ciment laissent ici et là des impressions d’impact. Une large pièce, à droite une petite cuisine aménagée sans superflue, la créance fait à partir du restant du sol. Peu meublé, et dans le noir, il est possible de deviner la poignée de porte brillante et argenté. Au-delà, bien au-delà de cette grande pièce et juste après cette poignée… l’extérieur, la sortie, l’arrêt du jeu. Elle tente de ne faire aucun geste, car au moindre mouvement un petit cliquetis lui rappellera. Au moindre geste le cliquetis la ramènera à son état de captive. Elle vient de perdre toute sa concentration et à présent elle ressent à nouveau tout le poids des chaines tout le poids du silence tout son poids à elle. Ses jambes sont engourdies et un frisson la parcours. Ici il n’y a aucun rappel au temps. Cela aussi porte un poids. Il ne faut pas y songer, il faut respiré profondément, calmement, se laisser envahir par la représentation du temps et de son absence c’est prendre le risque de le perdre. Et cela en ce jour pour elle, c est inenvisageable, car ce jour, ce jeu est particulier. Aujourd’hui en cette nuit et dans ces lieux fait de ciment et d carrelage, l’épreuve est en cours. C est içi que cela se joue. Sera-t-elle digne de ce fantasme ? Viendra-t-il à elle d’un pas lent et décidé ? Lui agrippera-t-il sa longue chevelure, l’obligeant à plonger son regard dans ses yeux en prononçant cette décision tant attendue : « Je te choisis et te garder à présent tu seras miennes et je serais à tes cotés. » ?
Pour ce faire, pour que cela arrive, il faut tenir, passé au-delà des monstres enfouis, survivre à l’introspection. Ce face à face redoutable. Elle entrouvre les yeux. La pénombre semble diminuée. Elle observe à nouveau les murs, ils ne sont pas en ciment, ils sont béton, le béton crée les aspérités, comme des impacts. Elle s’agrippe aux chaines, et les utilises pour se relever, péniblement, plusieurs tentatives seront nécessaires. L’engourdissement étant plus avancé que penser. Sentir tout son poids tout en n’ayant plus ses jambes ; comme un état second.
Les chaines résonnent. Ce système d chaines fonctionne-t-il comme les fils d’une toile d’araignée ? Si elle les remues assez longtemps, si elle en joue, finira-t-il par arrivé ? Elle observe la poignée de porte si loin. Rien ne bouge hormis elle. Elle tient timidement sur ses jambes, bouge doucement, ondule. Oui elle ondule, pour réveiller son corps sans réveiller les fers. Chevilles poignées cou. Tout est reliée. La musique des chaînes les bracelets et le collier le mur et son corps. Tout est à lui. Livrée a son désir. Elle cherche en elle, une musique lui vient. Une musique d’ouverture, Paint in black, des Rolling Stone. La mélodie du sitar. Le sitar semblable au bruit des chaines. Ou peut etre l’allusion à la porte rouge. La porte et la poignée. Immobiles. Le maître cette fois ne lui a laissé que peu de lest. Elle plies et déplies ses genoux. S’étire de son mieux. Les Rolling Stone ont laissé la place au Beatlles.. La restriction. L’enchainement, l’absence et le temps. Elle a besoin de trouvé une sortie. Alors elle ondule de nouveau. Elle se projette sur ces routes sans fin. En journée ensoleillé, à bord d’une voiture fenêtre ouverte. Respire. Evade toi. Les Beattles ; « Baby You Can drive my car and maybe I love You » . Son balancement lui a rappeler le poid du collier en tirant sur ses cheveux. A nouveau le grand frisson. Sur son corps nu, de sa nuque au bas de son ventre là ou il ne fait plus jamais froid.
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[Vous devez vous connecter ou vous inscrire pour voir ce lien] Emilie Simon i wanna be your dog.
Comme un rappel à nouveau, mais cette fois de sa présence volontaire et consciente. De ce choix qu’elle assume Haut et Fort et Clair. Pour l’honneur de ce statut il faut en passé par là, alors l’introspection, la vaste pièce, les pincements, le huis clos, les chaines, et le mur ne sont plus des choses à fuir. Ce sont des choses auxquelles il faut se rattachées. Il lui faut s’attaché, même si cela la terrifies .Il faut s’attacher à tout. Tout ce qui est içi et tout ce qui est Lui. Le poid de ce collier, comme une extension de la main du Maitre. Le chaud le froid la pénombre la lumière. Ses mains, ses marques, ces marques dont elle a tant besoin. Comme une preuve de chaque épreuve passée. Parcequ’elle, c’est une survivante. C est une entité. Inspirée et expirée, le dos au mur qu’elle longe pour se ré-asseoir. Sérrée les jambes, les étendres. Inspirée et Expirée. Refermée les yeux et se focalisé à nouveau sur le silence pour ne pas ceder à la tentation de se touchée. Ses mots à lui comme des Dogmes.
*Durant le jeu tu m’appartiens, entièrement, je serai le seul à décidé, de ce à quoi tu auras le droit, même les caresses, de ta main ou de la mienne, Tu m’appartiens*
C’est drôle quand même, quand elle y pense. Ce bout de femme qui aura apprit ce qu’est la masturbation sans honte, au travers du BDSM et qui douze ans plus tard se retrouve a apprendre la chasteté.
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C’est une large pièce entièrement carrelée, les murs en ciment laissent ici et là des impressions d’impact. Une large pièce, à droite une petite cuisine aménagée sans superflue, la créance fait à partir du restant du sol. Peu meublé, et dans le noir, il est possible de deviner la poignée de porte brillante et argenté. Au-delà, bien au-delà de cette grande pièce et juste après cette poignée… l’extérieur, la sortie, l’arrêt du jeu. Elle tente de ne faire aucun geste, car au moindre mouvement un petit cliquetis lui rappellera. Au moindre geste le cliquetis la ramènera à son état de captive. Elle vient de perdre toute sa concentration et à présent elle ressent à nouveau tout le poids des chaines tout le poids du silence tout son poids à elle. Ses jambes sont engourdies et un frisson la parcours. Ici il n’y a aucun rappel au temps. Cela aussi porte un poids. Il ne faut pas y songer, il faut respiré profondément, calmement, se laisser envahir par la représentation du temps et de son absence c’est prendre le risque de le perdre. Et cela en ce jour pour elle, c est inenvisageable, car ce jour, ce jeu est particulier. Aujourd’hui en cette nuit et dans ces lieux fait de ciment et d carrelage, l’épreuve est en cours. C est içi que cela se joue. Sera-t-elle digne de ce fantasme ? Viendra-t-il à elle d’un pas lent et décidé ? Lui agrippera-t-il sa longue chevelure, l’obligeant à plonger son regard dans ses yeux en prononçant cette décision tant attendue : « Je te choisis et te garder à présent tu seras miennes et je serais à tes cotés. » ?
Pour ce faire, pour que cela arrive, il faut tenir, passé au-delà des monstres enfouis, survivre à l’introspection. Ce face à face redoutable. Elle entrouvre les yeux. La pénombre semble diminuée. Elle observe à nouveau les murs, ils ne sont pas en ciment, ils sont béton, le béton crée les aspérités, comme des impacts. Elle s’agrippe aux chaines, et les utilises pour se relever, péniblement, plusieurs tentatives seront nécessaires. L’engourdissement étant plus avancé que penser. Sentir tout son poids tout en n’ayant plus ses jambes ; comme un état second.
Les chaines résonnent. Ce système d chaines fonctionne-t-il comme les fils d’une toile d’araignée ? Si elle les remues assez longtemps, si elle en joue, finira-t-il par arrivé ? Elle observe la poignée de porte si loin. Rien ne bouge hormis elle. Elle tient timidement sur ses jambes, bouge doucement, ondule. Oui elle ondule, pour réveiller son corps sans réveiller les fers. Chevilles poignées cou. Tout est reliée. La musique des chaînes les bracelets et le collier le mur et son corps. Tout est à lui. Livrée a son désir. Elle cherche en elle, une musique lui vient. Une musique d’ouverture, Paint in black, des Rolling Stone. La mélodie du sitar. Le sitar semblable au bruit des chaines. Ou peut etre l’allusion à la porte rouge. La porte et la poignée. Immobiles. Le maître cette fois ne lui a laissé que peu de lest. Elle plies et déplies ses genoux. S’étire de son mieux. Les Rolling Stone ont laissé la place au Beatlles.. La restriction. L’enchainement, l’absence et le temps. Elle a besoin de trouvé une sortie. Alors elle ondule de nouveau. Elle se projette sur ces routes sans fin. En journée ensoleillé, à bord d’une voiture fenêtre ouverte. Respire. Evade toi. Les Beattles ; « Baby You Can drive my car and maybe I love You » . Son balancement lui a rappeler le poid du collier en tirant sur ses cheveux. A nouveau le grand frisson. Sur son corps nu, de sa nuque au bas de son ventre là ou il ne fait plus jamais froid.
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Comme un rappel à nouveau, mais cette fois de sa présence volontaire et consciente. De ce choix qu’elle assume Haut et Fort et Clair. Pour l’honneur de ce statut il faut en passé par là, alors l’introspection, la vaste pièce, les pincements, le huis clos, les chaines, et le mur ne sont plus des choses à fuir. Ce sont des choses auxquelles il faut se rattachées. Il lui faut s’attaché, même si cela la terrifies .Il faut s’attacher à tout. Tout ce qui est içi et tout ce qui est Lui. Le poid de ce collier, comme une extension de la main du Maitre. Le chaud le froid la pénombre la lumière. Ses mains, ses marques, ces marques dont elle a tant besoin. Comme une preuve de chaque épreuve passée. Parcequ’elle, c’est une survivante. C est une entité. Inspirée et expirée, le dos au mur qu’elle longe pour se ré-asseoir. Sérrée les jambes, les étendres. Inspirée et Expirée. Refermée les yeux et se focalisé à nouveau sur le silence pour ne pas ceder à la tentation de se touchée. Ses mots à lui comme des Dogmes.
*Durant le jeu tu m’appartiens, entièrement, je serai le seul à décidé, de ce à quoi tu auras le droit, même les caresses, de ta main ou de la mienne, Tu m’appartiens*
C’est drôle quand même, quand elle y pense. Ce bout de femme qui aura apprit ce qu’est la masturbation sans honte, au travers du BDSM et qui douze ans plus tard se retrouve a apprendre la chasteté.