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Nous nous préparions, Sucrette et moi, à notre duel de tarte à la crème. Comme une bonne humiliation se devait d'être publique, l'ensemble des étudiants était convié et l'amphi était plein.
Je me coiffais afin d'avoir un look slapstick : j'appliquais dans mes cheveux noirs de la crème capillaire et, à l'aide du peigne, les plaquait en arrière de part et d'autre d'une raie médiane.
Sucrette avait elle aussi discipliné son indomptable chevelure blonde avec du gel. Elle les plaquait en arrière et, dans son costume noir, elle avait l'allure d'un superbe androgyne aux yeux cernés de noir.
Elle parue la première sur scène, sous les applaudissements, et se mit en devoir d'organiser les tartes disposées sur une table.
J'arrivais alors par derrière puis, la saisissant pas la nuque, lui mis le nez dans une tarte sous les rires de l'assistance.
Elle se redressa, l'air courroucé, rejeta en arrière deux mèches de cheveux qui encadraient son front souillé de crème et se remit à ordonner les tartes.
Je m'approchais alors et, tout en maintenant sa tête d'une main, je lui écrasais sur le visage une seconde tarte en insistant bien. De nouveaux rires saluèrent cette action.
Cette fois, elle me regarda, pris une tarte et me l'aplatit sur le visage dans un jaillissement de crème. Rire général.
J'écartais la crème de mes yeux, pris une nouvelle tarte et, comme me tournait le dos, lui tapais sur l'épaule. Elle fit volte face et je la coiffais de la tarte que j'écrasais lentement, répandant de la chantilly sur ses cheveux. Nouveaux rires.
Cette fois, Sucrette était décidée à me châtier de ma témérité : elle pris une tarte puis la plaquant contre mon menton, me l'écrasa sur le visage la faisant remonter jusqu'au sommet de mon crâne. Je restais immobile, sujet aux quolibets de l'assistance.
Pendant ce temps, elle s'empara de deux nouvelles tartes, passa derrière moi et les abattit sur ma tête, la prenant en sandwich. L'assistance, hilare, applaudit à tout rompre.
Aveuglé, je me laissais guider par Sucrette jusqu'à une chaise sur laquelle elle déposa une nouvelle tarte. D'une pression sur mes épaules, elle me fit asseoir dessus. Nouveaux rires du public tandis que mon fond de culotte s'imbibait de crème.
Mais ce n'était pas tout : la blonde était décidée à m'achever en beauté. Prenant à pleine main de la chantilly et me redressant la tête en m'empoignant par la chevelure, elle me l'étala consciencieusement sur le visage, puis, passant derrière moi, elle ramena la crème au sommet de mon crâne comme pour m'en faire un chignon. Là, elle me coiffa d'une nouvelle tarte, comme une auréole. Ainsi couronné, je pensais être fini... Mais ma tourmenteuse n'en avait pas terminé avec moi...
Elle traça un sillon dans la crème, à l'emplacement de ma raie médiane, dévoilant la chair et, prenant un flacon de concentré de chocolat, le vida le long de cette gouttière de manière à ce qu'il me ruisselle sur le visage. Cette fois, l'assistance applaudit.
Il ne lui restait plus qu'à apporter une dernière touche à son œuvre : elle pris un œuf, le présenta devant moi et j'ouvris docilement la bouche pour qu'elle l'y plaçât. Tonnerre d'applaudissement devant le triomphe de la blonde qui saluait tandis que j'inclinais piteusement ma tête couverte de crème et de chocolat.
En guise de finale, elle me fit ramper jusqu'à ses bottines sur lesquelles elle avait malicieusement laisser couler des gouttes de crème. Elle me les fit lécher consciencieusement. Nouvelles ovations de la salle. Jamais plus je ne critiquerais ses photos.
Toute la séquence avait été filmée et le lendemain, je serai sur internet.
Une bonne humiliation se doit d'être publique.