INGRID

Des récits qui ne manqueront pas de réveiller vos sens et votre imagination...
Supprimé

Re: INGRID

Message par Supprimé »

Jak67 a écrit :
Comme ils disent en Alsace

Là où il y a de la chaine,

il y a du plaisir.

je croyais que tu ne réclamais jamais de suite :batte:

AH ben comme tu dis dans la gène il n'y a pas de plaisir....Et là c'est pas Alsacien mais Auvergnat ... Que veut tu nous ne vivons pas chez nous avec des chaines....encore que avec la chaine des puys !!
Laphoenix75

Re: INGRID

Message par Laphoenix75 »

Tu es vers où toi ? :d je connais un peu l'auvergne :d
DeLsEp9

Re: INGRID

Message par DeLsEp9 »

le pire qu'il pouvait arriver.
Supprimé

Re: INGRID

Message par Supprimé »

Laphoenix75 a écrit :Tu es vers où toi ? :d je connais un peu l'auvergne :d
je te dirais actuellement entre vichy et Nevers...
DeLsEp9

Re: INGRID

Message par DeLsEp9 »

-6-


Un serveur, nous ramène les cartes, Ingrid la pose sur la table sans la regarder.

« Tu ne regarde pas Ingrid, tu n’as pas faim ? »

« Je prends la même chose que toi, enfin si tu le veux, sinon tu choisie pour moi. »

Plus le temps passe, moins je comprends ce qui se passe. Je regarde discrètement Ingrid, elle semble songeuse.

« Foie gras de canard, en entrée, et truites meunières. Un Tokay comme vin, cela te va Ingrid ? »

Elle sort doucement de ses songes, me regarde. Ses yeux, sont à la fois heureux, et exprime une certaine tension.

*****************************************


« Ce que vous avez choisi, me conviens Jacques. »

« Ingrid, tu peux m’expliquer ce qui se passe, je ne comprends pas ton comportement. »

« Jacques je préférerais en parler plus tard, quand nous serons dans la chambre, enfin si vous en êtes d’accord. »

Je passe les commandes, je regarde Ingrid qui est tête baissée.

Maintenant elle me vouvoie, mais qu’est ce qui se passe.

« Ingrid s’il te plait, peux tu me regarder ? »

Elle lève doucement la tête, je voie ses grands yeux verts qui me regardent, enfin qui regardent mon torse. J’ai l’impression, qu’elle n’ose aller plus loin. Comme si elle avait peur. Comme si soudainement, elle voyait quelqu’un d’autre en moi.

Je ne sais plus, ne sais pas quoi penser.

Elle a l’air de sortir d’un songe. Je vais pour lui poser une question, quand le serveur apporte le foie gras. Ingrid baisse le regard.

Je goute le foie gras qui est délicieux, la gelée au Marc de Gewurtz est sublime. Ingrid ne change pas de comportement. Toujours tête baissé, j’ai l’impression qu’elle n’ose plus me regarder, et même quand je le lui demande, ses yeux évitent mon regard.

Je ne comprends pas, je n’arrête pas de réfléchir à ce qui se passe. Pourquoi elle me vouvoie maintenant, pourquoi ce comportement effacé, comme si elle se reposait intégralement sur moi. Je ne comprends rien à ce qui se passe.

« Jacques puis je me permettre. »

Sans me laisser le temps de lui répondre, elle poursuit.

« Vous n’y est pour rien, Jacques, c’est moi.

Je préférerais si cela ne vous dérange pas que nous remontions dans votre chambre.
Je vous sens contracté, je remarque humblement, que vous n’êtes pas à l’aise en ce moment, tout est de ma faute, je suis impardonnable.

Je ne voudrais d’aucune façon que vous soyez, mal à l’aise. Je vous dois des explications. Je désirerais le faire, le plus tôt sera le mieux, bien sur, si vous en êtes d’accord.

Si vous décidez, de finir votre repas, ici dans la salle, j’attendrais que vous ayez fini, et que nous remontions dans votre chambre. »

Le serveur, arrive pour débarrasser.

« Serait il possible d’être servi dans la chambre, madame, ne se sent pas bien. »

En même temps, que je dis cela au serveur, je regarde Ingrid, qui pour une foi, a presque la tête relevé. Ses yeux brillent, je voie, comme une folie, comme un éclair de folie briller dans ses yeux.

Le serveur confirme que cela est faisable. Je me lève, Ingrid me suit. Nous rentrons dans la chambre. Je m’assieds sur un des fauteuils. Ingrid s’approche doucement. Je lui montre le fauteuil à côté de moi.

« Assieds toi, et dis moi ce qui se passe. »

« Je préférerais m’installer autrement si cela ne vous gêne pas. Là où je considère être à ma place, là où est ma place. »

Elle s’agenouille face à moi, à mes pieds, pose ses fesses sur ses talons, ses mains sur ses cuisses.

« Jacques je vais tenter de vous expliquer ce qui se passe, je vous demande de me laisser finir.

Ensuite quoi qu’il se passe, je répondrais à vos questions, je ferais ce que vous déciderez. »

J’acquiesce de la tête.

« Cela fait presque deux ans que nous nous fréquentions avec Pierre, quand cet accident, ce stupide accident, est venu tout détruire.

Quand nous nous sommes connus avec Pierre, je sortais d’une relation très difficile avec un homme, qui me battait.

Il me battait, par pur plaisir, par pur sadisme, par jalousie, bref, tout était bon pour me frapper. Un début d’après midi, mes deux frères par hasard, sont passés à la maison, juste après qu’il m’ait frappé.

J’avais le nez en sang, deux dents de cassées, et un œil presque complètement fermé, par le coup de poing que j’avais pris.

Quand ils ont vue l’état où j’étais, ils on vue rouge. Il lui on sauté dessus, l’on ligoté, et on voulu aller le jeter dans la Moselle. Je ne savais pas s’ils étaient sérieux ou pas.

Je leur ai demandé d’appeler la Polizeï, qui est arrivé très vite. Les policiers, ont appelés le médecin de garde, de l’hôpital, qui a demandé à ce que je sois transporté à l’hôpital pour y être examiné.

La Polizeï a emmené tout le monde, à l’hôpital.

Les policiers lui ont mis un marché en main, à mon compagnon. C’était très simple. Ou il payé l’ensemble des soins, reconnaissait m’avoir frappé, signait le procès verbal de constations et quittait définitivement la ville.

Ou alors il allé passer deux nuits à la prison de Tréves, en attendant de passé devant le juge.

Vue le manque de place, les policiers, ne pourraient faire autrement que de le mettre dans une cellule commune.

Les autres détenus, toujours intéressés de savoir ce qu’avaient fait les nouveaux arrivants, ne manqueraient pas de le demander.

En sachant ce qu’il avait fait, ils ne pouvaient lui garantir, son intégrité physique. Il a accepté le marché sans discuter.

Les policiers, l’ont accompagnés à sa banque, il a retiré 3.000 Dm, me les a ramené. Pendant que le médecin, me soignait, les policiers, ont établis le procès verbal de constations, qu’il a signé sans discuter.
Supprimé

Re: INGRID

Message par Supprimé »

ET ??? :sweet:
DeLsEp9

Re: INGRID

Message par DeLsEp9 »

-7-


Ou alors il allé passer deux nuits à la prison de Trèves, en attendant de passé devant le juge.

Vue le manque de place, les policiers, ne pourraient faire autrement que de le mettre dans une cellule commune.

Les autres détenus, toujours intéressés de savoir ce qu’avaient fait les nouveaux arrivants, ne manqueraient pas de le demander.

En sachant ce qu’il avait fait, ils ne pouvaient lui garantir, son intégrité physique. Il a accepté le marché sans discuter.

Les policiers, l’ont accompagnés à sa banque, il a retiré 3.000 Dm, me les a ramené. Pendant que le médecin, me soignait, les policiers, ont établis le procès verbal de constations, qu’il a signé sans discuter.

*****************************************


Accompagnés de mes deux frères ils sont allés à l’appartement, pour qu’il prenne ses affaires. Il a rendu les clefs, à mes frères, nous ne l’avons jamais revue. »

Je regarde Ingrid, elle tremble, sa peau est moite, elle transpire.

Je ne sais pas pourquoi, mais ma main caresse sa joue, des larmes apparaissent presque immédiatement, noyant ses magnifiques grands yeux vert.

« Jacques je ne vous demande ni compassion, ni pitié.

Puis-je me permettre, sans que cela ne vous dérange.»

Elle fait glisser ses fesses de ses talons, se retrouve assise perpendiculairement à moi, pose sa tête sur mes genoux, ses bras encerclent mes mollets.

« Jacques si cela ne vous dérange pas, j’aime être comme cela, Pierre aimait tant, quand je me mettais comme cela à ses pieds. »

Ma main se pose sur sa tête, je lui caresse les cheveux, je la voie, la sent frémir. Elle tourne doucement sa tête, me regarde. Je lis un bonheur indescriptible dans ses yeux.

Elle semble complètement changée, complètement transformée, comme si elle attendait ce geste qui ressemble presque à la caresse que je fais à mon chien.

On toque à la porte,

« Puis-je aller ouvrir, Jacques ? »

J’acquiesce de la tête.

Elle se redresse, se dirige vers la porte, l’ouvre. Un serveur, est là avec une table roulante.

Il entre, en poussant la table. Ingrid referme la porte. Il y a deux assiettes sous cloche, le seau à Glace avec la bouteille de tokay et deux bouteilles d’eau.

Il positionne, la table, prends les deux chaises de la chambre, les disposent face à face, repositionne les couverts. Il écarte les deux chaises, nous nous asseyons. Il enlève les deux cloches.

« Madame, Monsieur, bon appétit. Si vous désirez un dessert et, ou un café, vous appelez le 902. C’est le numéro direct de la cuisine. »

Il sort de la chambre en refermant la porte. Ingrid me regarde désappointé.

« Nous mangeons, puis tu me racontes ce que tu dont tu voulais me parler. »

Nous mangeons, les truites meunières sont excellentes, et le vin se marie très bien avec.

« Ingrid, tu désires un dessert, un café ? »

« Jacques, c’est vous qui décidez. »

Je chiffre le 902, commande deux cafés. Je m’assois sur un des fauteuils.

Ingrid ne bouge pas de sa chaise. Ses mains sont posées à plat sur la table, elle a les yeux fermés, la tête baissée. Au bout de cinq minutes, on toque à la porte, Ingrid relève la tête, me regarde.

J’acquiesce de la tête, elle se lève, et va ouvrir.

Un serveur, est là, devant la porte, avec un plateau, deux tasses à café, et quelques petits sablés.

Il entre, pose le plateau, sur le guéridon, qui est entre les deux fauteuils.

« Vous avez fini avec le vin, je vous laisse la bouteille ? »

« Veuillez laisser la bouteille de vin, ainsi que les bouteilles d’eau. Merci. »

Le serveur, prend le seau à glace, avec la bouteille de Tokay, les bouteilles d’eau, les quatre verres et pose le tout, sur la petite table basse, puis en poussant la table roulante, se dirige vers la porte où Ingrid est restée.

Elle ouvre la porte, le serveur, sort, en la refermant.

Je m’installe sur un des fauteuils, Ingrid se dirige vers moi, regarde le sol a mes pieds, s’accroupis, et se remet dans la même position, où elle était auparavant. Elle me regarde.

« Jacques, puis je poser à nouveau, ma tête sur vos genoux, s’il vous plait ? »

J’acquiesce de la tête, n’osant parler. Je ne comprends pas son comportement.

Ingrid, pose sa tête sur mes genoux, inconsciemment, ma main se pose sur sa tête. Elle frémi. Je prends une tasse à café, la lui tend, elle me regarde, ses yeux brillent, elle a l’air si heureuse.

Et moi je ne comprends rien, mais alors rien à rien de ce qui se passe.

Elle prend délicatement la tasse à café, attends que je prenne la mienne, me regarde, avec ses grands yeux verts, où la joie de ce moment que nous partageons, est si visible.

Je trempe mes lèvres dans la tasse et la repose, elle fait de même.

« Jacques, puis je me permettre de continuer. Je tiens à préciser, que quoi qu’il se passe, quelque soit votre décision, vous êtes, et vous resterez l’ami, le frère de Pierre.

Rien ne pourra changer cela au fond de moi.

Mais avant, de continuer, si vous en êtes d’accord, je voudrais me mettre à l’aise, me mettre dans la tenue où je me sens si bien, où je ne suis que moi-même, où je ne suis que celle que j’étais pour Pierre, qui me manque tant, qui nous manque tant.

Je ne vous demande que cette seule et unique chose, attendais que j’aie fini ce que j’ai à vous raconter. Cela sera la seule exigence que je puisse me permettre.

Et encore, ce sera à vous de juger, ce sera à vous de me dire, lorsque j’aurais fini mes explications, si j’avais le droit de l’exiger de vous. »

Ingrid, a mes pieds, attend ma réponse, ses yeux, me fixent, me supplient.
Supprimé

Re: INGRID

Message par Supprimé »

Eh bien elle n'y va pas par quatre chemin et le jacques vas tomber sur les fesses ou pas de sa tenue ???
Ptidav69007

Re: INGRID

Message par Ptidav69007 »

Superbe, génial!!!
Vivement une suite....
DeLsEp9

Re: INGRID

Message par DeLsEp9 »

Mclm a écrit :Eh bien elle n'y va pas par quatre chemin et le jacques vas tomber sur les fesses ou pas de sa tenue ???


si ce n'était que de la tenue.....


ptidav69007 a écrit :Superbe, génial!!!
Vivement une suite....


t'enflamme pas, il n'y a rien de spécial,

enfin presque.
DeLsEp9

Re: INGRID

Message par DeLsEp9 »

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« Jacques, puis je me permettre de continuer. Je tiens à préciser, que quoi qu’il se passe, quelque soit votre décision, vous êtes, et vous resterez l’ami, le frère de Pierre.

Rien ne pourra changer cela au fond de moi.

Mais avant, de continuer, si vous en êtes d’accord, je voudrais me mettre à l’aise, me mettre dans la tenue où je me sens si bien, où je ne suis que moi-même, où je ne suis que celle que j’étais pour Pierre, qui me manque tant, qui nous manque tant.

Je ne vous demande que cette seule et unique chose, attendais que j’aie fini ce que j’ai à vous raconter. Cela sera la seule exigence que je puisse me permettre.

Et encore, ce sera à vous de juger, ce sera à vous de me dire, lorsque j’aurais fini mes explications, si j’avais le droit de l’exiger de vous. »

Ingrid, a mes pieds, attend ma réponse, ses yeux, me fixent, me supplient.

*****************************************


Et moi je ne comprends rien. Rien au comportement d’Ingrid, rien aux propos d’Ingrid, rien à ce qu’elle sous-entend. Ni pourquoi elle me vouvoie.

Pour simplifier, je me demande ce qui se passe, ce qui va se passer, je suis complètement largué.

J’acquiesce de la tête.

Elle se lève, prend son sac de voyage, le pose sur le lit. Tout en me regardant, elle défait lentement les boutons de son chemisier, l’enlève. Sa poitrine, apparait, à contre jour. Elle est magnifique. Ses seins sont fermes, ses tétons pointent.

Ses mains glissent sur sa mini-jupe, dans son dos, j’entends le zip, elle remue légèrement les hanches. La jupe glisse le long de ses cuisses fuselées.

Elle est complètement nue, en dehors du porte-jarretelles, de ses bas et de ses cuissardes.

Elle est sublime, complètement rasée, aucun poil ne vient ternir la lumière qui parcours son corps, ne vient perturber la lumière qui flirte avec ses courbes, si généreuses, si sensuelles.

Je voie son regard briller à la limite de la folie de ce qu’elle ressent, quand elle ouvre son sac, et sort une boite en cuir rectangulaire. Elle la pose précautionneusement sur le lit, sort une autre boite plus longue et plus fine.

Elle prend la plus fine des deux, la pose sur l’autre, vérifie leurs positions, l’emplacement des ouvertures, prend les deux boites sur les paumes de ses mains, et s’avance, vers moi, le regard baissé.

Elle s’agenouille, à mes pieds, son regard se baisse, sa tête s’incline. Ses mains me présentent les deux boites.

« Jacques pourriez vous accepter ces présents. Je vous demande humblement d’ouvrir la plus grande des deux boites, et de fixer sur la modeste personne que je suis, un des objets qui s’y trouve.

La deuxième boite, je vous demande de ne l’ouvrir, que lorsque j’aurai fini ce que je vais vous narrer. Si vous daignez accepter ce que je vais humblement vous demander.

Le fait que vous ouvriez la deuxième boite sera pour le signe de votre acceptation.

Je regarde Ingrid, elle tremble, tout son corps frémis. Elle est dans l’attente de ma réponse.

Je prends les deux boites de ses mains, les posent précautionneusement, sur le fauteuil à côté de moi.

Je me penche, mes deux mains se posent de chaque côté de sa tête, elle relève ses yeux, qui brillent. Je dépose un léger baiser sur son front, je l’entends soupirer. Mes lèvres se posent sur ses paupières et les embrassent, l’une après l’autre.

Je pose délicatement, la plus longue des boites, à côté de l’autre, et prend la plus grande des deux, sur mes genoux. Ingrid est face à moi.

Je la voie trembler, ses yeux sont presque révulsés de bonheur. J’ai l’impression qu’elle est à la limite de jouir, tant elle vibre de me voir commencer à ouvrir la boite en cuir.

Une chainette retient le couvercle, l’empêchant de se rabattre sur mes genoux.

Mon regard se pose dans la boite. L’intérieur est en velours rouge, un foulard en soie noir, recouvre le fond. Je le prends en main, et au fur et à mesure qu’il glisse, apparaissent, une laisse, ainsi que plusieurs colliers.

Ingrid tend la main.

« Puis je me permettre, Jacques. »

Elle effleure mes doigts, elle sursaute.

« Veuillez m’excuser Jacques. »

Elle prend doucement le foulard en soie, qui glisse entre mes doigts. Elle le noue autour de ses cheveux. Tout en tenant ses cheveux écartés de sa nuque, elle se redresse sur les genoux, me présente son cou.

Ses yeux suivent mes doigts qui passent sur les colliers, les uns après les autres. Je les caresse, les touches, les yeux d’Ingrid s’affolent.

De voir mes doigts effleurer, caresser ces colliers de chiens, elle tremble. Je voie ses mains qui tiennent la natte écartée de son corps trembler. J’ai comme l’impression qu’elle est pour ainsi dire en transe.

Il y a quatre colliers en tout.

Un clouté en cuir rouge, doublé de fourrure, un autre qui me rappelle, ceux que j’ai vus dans un livre sur l’esclavage. Un U en métal, qui se termine par deux anneaux. Une barre qui s’enfile dans les deux anneaux, et qui se verrouille par une clef.

Un clouté en cuir noir avec un seul anneau, un autre en cuir noir avec trois anneaux. Les deux ont un petit cadenas, qui sert à les verrouiller.

Je la regarde, pendant que mes doigts passent doucement d’un collier à l’autre. Arrivé sur le collier noir avec un anneau, ses paupières se baissent. Je le prends dans mes doigts.

Je referme le couvercle de la boite, la pose sur le fauteuil. Ingrid a les yeux fixés sur le collier que je tiens. Elle me voit ouvrir le petit cadenas.

Mes yeux se posent sur sa poitrine, ses tétons qui pointent sont énormes. Sa poitrine tressaute au rythme de sa respiration saccadée. Ses seins sont tendus vers moi, j’ai l’impression qu’ils appellent mes mains, pour les caresser.

Elle est dans l’attente de ce qui va se passer, de ce moment qui a l’air de la transcender.

Mes mains écartent les deux extrémités du collier, s’approchent de son cou. Dés qu’elle sent le cuir contre son cou, elle se penche, pose son front sur mes genoux, écarte sa natte, pour dégager sa nuque.

Je ferme le collier, met le cadenas en place, le verrouille. Le petit clic qui se fait entendre à ce moment tétanise Ingrid. Ses mains se posent sur mes genoux en tremblant.
Ptidav69007

Re: INGRID

Message par Ptidav69007 »

je ne m emballes pas, mais ayant deja lu de tes recits, simplement tres heureux que tu reiteres....
Et dans un choix qui me plait personnellement beaucoup...

Tres jolie suite pleine de douceur et d une tension qui s accumule petit a petit....
DeLsEp9

Re: INGRID

Message par DeLsEp9 »

Ptidav69007 a écrit :je ne m emballes pas, mais ayant deja lu de tes recits, simplement tres heureux que tu reiteres....
Et dans un choix qui me plait personnellement beaucoup...

Tres jolie suite pleine de douceur et d une tension qui s accumule petit a petit....


Effectivement, je n'avais pas fait le rapprochement du pseudo.


petit à petit, pour l'instant.
Supprimé

Re: INGRID

Message par Supprimé »

déjà soumise avant que tu la dresse....T'en gagne du temps là !! :bik:
DeLsEp9

Re: INGRID

Message par DeLsEp9 »

Mclm a écrit :déjà soumise avant que tu la dresse....T'en gagne du temps là !! :bik:

Une soumise ne se dresse pas.


Son maître l'éduque.

Nuance substantielle.

Il faut reconnaitre que dans certain cas,

il est vrai,

que cela s'apparente à du dressage.
DeLsEp9

Re: INGRID

Message par DeLsEp9 »

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Je referme le couvercle de la boite, la pose sur le fauteuil. Ingrid a les yeux fixés sur le collier que je tiens. Elle me voit ouvrir le petit cadenas.

Mes yeux se posent sur sa poitrine, ses tétons qui pointent sont énormes. Sa poitrine tressaute au rythme de sa respiration saccadée. Ses seins sont tendus vers moi, j’ai l’impression qu’ils appellent mes mains, pour les caresser.

Elle est dans l’attente de ce qui va se passer, de ce moment qui a l’air de la transcender.

Mes mains écartent les deux extrémités du collier, s’approchent de son cou. Dés qu’elle sent le cuir contre son cou, elle se penche, pose son front sur mes genoux, écarte sa natte, pour dégager sa nuque.

Je ferme le collier, met le cadenas en place, le verrouille. Le petit clic qui se fait entendre à ce moment tétanise Ingrid. Ses mains se posent sur mes genoux en tremblant.

*****************************************


Elle redresse péniblement sa tête, elle est transformée, elle halète, comme si elle était en apnée. Je lis comme une adoration dans ses yeux.

Elle prend le temps, de se calmer, à sa respiration de se calmer.

« Merci Jacques.

Je me permet de continuer mon récit, si cela ne vous dérange pas.»

Tout en me disant cela, elle prend mes mains, et tout en me regardant, les embrasse. Elle s’accroupi à mes pieds, pose sa tête sur mes genoux. Ses bras enserrent mes mollets, je sens sa poitrine, qui se gonfle au rythme de sa respiration, qui appuis sur mes jambes.

Je sens mon sexe qui commence, à se réveiller. Il est vrai que malgré l’incongruité de la situation, le fabuleux corps nu d’Ingrid devant mes yeux, me met dans un état indescriptible.

« Donc mon ancien compagnon a disparu, après que la Polizeï et mes frères l’ai accompagné, récupérer ses affaires dans l’appartement. Un mois plus tard mes frères, m’ont avoué, qu’ils lui avaient dit.

« Si ont revoie à Trèves, on te fait la peau. On verra si tu es aussi fort, aussi sur de toi, face à deux hommes. »

Je me suis remise doucement, ma famille a était très présente. Elle m’a soutenue, m’a épaulée. Au début ma sœur est même venue habiter avec moi. Je n’arrivais pas à dormir seule dans l’appartement, j’avais trop peur.

J’ai déménagé, cela devenait invivable.

C’est comme cela que j’ai connu Pierre. J’étais en train d’emménager. J’étais dehors, devant mon nouvel appartement, en train de sortir un carton de la voiture, je me retourne, je heurte Pierre, on se retrouve tous les deux, les quatre fers en l’air.

On a éclatait de rire. Je l’ai invité à boire un verre pour me faire pardonner.

De fil en aiguille, on a commencé à s’apprécier. Il a était très doux, avec moi, il comprenait par là où j’étais passé. Lui-même avait des soucis avec les femmes, il n’arrivait pas a garder ses petites amies. Il n’arrivait pas à avoir du plaisir avec les femmes.

Au bout d’une semaine, on se voyait tous les soirs, au bout de trois semaines, je lui ai demandé d’emménager chez moi. Tout se passait merveilleusement bien entre nous.

Nous avions confiance l’un en l’autre, je me lâchais avec Pierre, je recommençais à avoir confiance dans un homme. Pierre commencé lui aussi à se libérer avec moi.

Un soir, je suis rentré, j'avais eu un accrochage en voiture, rien de grave, juste de la tôle froissée, trois fois rien. Pierre m'a grondée en me disant que je méritais une fessée.

Je l’ai regardé droit dans les yeux, plus par jeux, que par envie, j'ai dits.

« Oui Pierre, tu as raison. »

Je me suis mise sur ses genoux, j’ai remonté ma jupe, j’ai baissé ma culotte sur mes cuisses, je coulais comme une folle. Il a hésité, puis sa main qui s’était posée sur mes fesses offertes, a commencé à me fesser. D’abord doucement, puis il s’est pris au jeu, nous nous sommes pris au jeu.

A la fin, j’avais les fesses en feu, j'en ai jouis. Une jouissance comme jamais je n’avais connu, que jamais aucun de mes quelques amants, n’avaient jamais su me donner.

Il m’a prise ensuite, m’a fait l’amour. Non, Pierre ne m’a pas fait l’amour.

Pierre, m’a baisé comme jamais, comme jamais il l’avait fait. Il a joui dans mon ventre, il a joui dans ma bouche, il a joui dans mes fesses. Je découvrais un autre homme, un homme qui me prenait, un homme qui me baisait, un homme qui me laisser pantelante, qui me laisser, avide de son sexe, qui me laisser avide de ses mains qui me fouillaient.

Je découvrais un homme qui me laissait au bord de ma jouissance, qui me laissait frustré. Mais il avait joui. Moi la jeune femme inexpérimentée, avait fait jouir Pierre. Je l’avais fait jouir, lui qui n’avait jamais connu la jouissance avec aucune femme.

Ses yeux brillant de ce plaisir, qu’il venait d’avoir, était ma joie, était ma récompense. Voir son corps, allongé, vidé de toute énergie, le voir chercher sa respiration, moi agenouillé à côté de lui.

Avoir le gout de sa semence dans ma bouche, sa semence que je venais d’avaler avec délectation.

Pierre avait eut son plaisir et j’avais aimé. J’aimais me sentir sienne, j’aimais me sentir sa chose. J’aimais ce que je découvrais en moi.

Pierre, venait enfin de découvrir la jouissance, de découvrir le plaisir. J’avais donné du plaisir à mon homme, donner du plaisir à l’homme qui venait d’extraire de moi, mes inhibitions, mes peurs.

Et j’aimais ce que je découvrais de moi, j’aimais ce que Pierre me faisait découvrir de moi.

Cet homme qui venait de s’ouvrir à la jouissance, à sa jouissance, prenait enfin plaisir, prenait enfin du plaisir avec une femme, prenait plaisir avec moi. Moi si peut expérimenter, moi petite chose, moi l’amante insignifiante, j’arrivais à le faire jouir.

Pierre avait joui comme jamais, il avait joui, comme jamais il ne l’avait fait. Il m’avait baisé, il m’avait baisée comme une chienne, comme la chienne que j’étais en ce moment pour lui, pour son unique plaisir.

J’ai adoré ce que j’ai ressenti sur le moment, adoré le sentir jouir de mon corps, jouir en moi. Son plaisir a était le mien.

Peu à peu, j’ai eut l’impression, que son métier de militaire, le fait de donner des ordres, transpirer au fur et à mesure dans notre relation. J'ai aimé, et lui aussi. Nous avons progressé ensemble.

Mon travail fini, je rentrais directement. J’avais besoin de Pierre, besoin de me sentir sous sa coupe, besoin de sentir sa main embraser mes fesses, embraser mon désir de lui plaire, mon plaisir de le faire jouir.

Petit à petit, nous avons évolué. De soumise, je me suis retrouvée chienne, la chienne, de Pierre. Je ne vivais que pour lui, que pour son plaisir, que pour qu’il ait du plaisir par moi.
Supprimé

Re: INGRID

Message par Supprimé »

l'histoire s'installe et la suite ? :sweet:
DeLsEp9

Re: INGRID

Message par DeLsEp9 »

-10-


J’ai adoré ce que j’ai ressenti sur le moment, adoré le sentir jouir de mon corps, jouir en moi. Son plaisir a était le mien.

Peu à peu, j’ai eut l’impression, que son métier de militaire, le fait de donner des ordres, transpirer au fur et à mesure dans notre relation. J'ai aimé, et lui aussi. Nous avons progressé ensemble.

Mon travail fini, je rentrais directement. J’avais besoin de Pierre, besoin de me sentir sous sa coupe, besoin de sentir sa main embraser mes fesses, embraser mon désir de lui plaire, mon plaisir de le faire jouir.

Petit à petit, nous avons évolué. De soumise, je me suis retrouvée chienne, la chienne, de Pierre. Je ne vivais que pour lui, que pour son plaisir, que pour qu’il ait du plaisir par moi.

*****************************************


Son plaisir, sa jouissance était mienne. J’avais trouvé mon maître. Le maître qui me faisait vivre, qui me rendait heureuse, Pierre.

J’étais prête à tout, pour son plaisir. Il me l’aurait demandé, je me serais livré à n’importe qui. Pour son seul plaisir. Il n'a jamais voulu de tierce personne et mon fantasme s'est affiné, s’est exacerbé.

Je suis parti en stage chez votre notaire, le vieux pervers, celui où nous étions avant, la chose.

Un dépravé. Il a compris au bout de peu de temps ce que j’étais, ce que j’aimais être. La chienne de Pierre. Il a voulu abuser de moi, il a voulu supplanté Pierre, supplanté mon défunt maître. J’ai refusé.

Une des stagiaires, une toute jeune fille, elle devait avoir à peine 19 ans, Odile, qui était sa soumise, qui était son sac à foutre, a voulu me pervertir.

Odile m’a fait jouir, ses doigts m’ont fait jouir. Mais Odile et son maître, n’y sont pas arrivés, ils ne sont pas arrivé à me détourner de mon maître. L’image de mon maître était toujours présente devant mes yeux.

Quand mon maître est venu me voir, comme tous les mercredis, je me lui ais expliqué ce qui s’était passé. Il m’a fessé, avec sa ceinture. Puis il a coupé une badine de noisetier, m’a fessée avec. J’avais les fesses en sang. S’était la première fois.

J’ai joui, je hurlais, non de douleur, mais de plaisir. Mon défunt maître me punissait, car j’avais osé me laisser aller sous les doigts d’une soumise, sous les doigts d’un sac à foutre. Et cela sans qu’il ne m’y autorise.

« Tu dois afficher ce que tu es. Tu es ma chienne et tu dois en être fière. C’est toi qui aurait dut la faire jouir, la faire plier à ton désir. Je te donne jusqu’à mercredi prochain, pour y arriver.

Mercredi, je reviens, je la veux à mes pieds, je la veux obéissante, je la veux putain. »

Il est parti sans m’avoir touché. Il est parti sans m’avoir baisé. Il est parti, en me laissant vide, vide de son sexe, vide de ce plaisir que lui seul arrivait à me donner. Sa jouissance, sa jouissance, qui était mon plaisir, mon seul plaisir.

Il est parti, me laissant, m’abandonnant dans les champs, à cinq kilomètres de la maison où je logeais, de la maison, qu’il m’avait loué. Il m’a laissé dans ma torpeur, il m’a laissé dans mes peurs. Dans ma peur que mon maître ne soit déçu. J’avais déçu mon maître.

Je suis rentré à pied, nue sous mon manteau, j’avais la rage, j’avais la hargne. Mes fesses me brulaient, non de douleurs, mais de bonheur, le bonheur que mon maître, m’accordait.

J’avais huit jours pour la faire plier, j’avais huit jours pour la faire putain. La putain de mon maître. Jamais je ne décevrais mon maître.

En quatre jours, elle a plié, en quatre jours elle était à mes pieds. En quatre jours, la stagiaire du pervers, réclamé mes mains, réclamé la jouissance que je lui donné, la jouissance qui la laissé inanimé, pendant de longues minutes.

Tant ma rage, tant ma hargne me portait.

Jamais je ne décevrais mon maître, jamais il ne pourrait douter de ma soumission à ses désirs. Le moindre de ses désirs était un ordre, que je me devais d’accomplir.

Le cinquième jour, quand elle est arrivée dans la maison.

« Déshabille-toi.

Maintenant. »

Elle l’a fait en tremblant. Elle a enlevée sa robe, elle était nue en dessous, comme je l’avais exigé. J’ai tendu la main, elle y a déposé sa robe, s’est agenouillée devant moi.

Je lui ai tendu le téléphone.

« Appelle le notaire, et dis lui que pendant trois jours, tu n’iras pas travailler. Trouve n’importe quelle excuse, mais tu le fais. »

« Mais je n’ai pas le droit de lui téléphoner. Lui seul peut m’appeler. »

Je me suis dirigé vers la porte, l’ai ouverte. J’ai jeté sa robe sur gravier de la cour. Je suis revenu vers elle, je l’ai prise par les cheveux, l’ai trainé sur le sol, elle pleurait, elle geignait.

« Sort d’ici, dehors, tu ne mérite même pas de lever les yeux sur mon maître, même pas de nettoyer ses chaussures avec ta langue. »

Je l’ai frappé, je l’ai battu, elle s’accrochait à mes chevilles, elle pleurait, elle gémissait.

A quatre pattes elle s’est dirigée vers le téléphone. Elle a composé le numéro du domicile du notaire, qui a décroché.

« Maitre, je suis malade, je m’excuse, mais je ne pourrais pas venir travailler, pendant trois jours. »

Sans attendre sa réponse, elle a raccroché. Elle est restée à genoux, elle a baissé la tête. Elle avait plié. Je l’avais fait plier, non pour moi, mais pour mon maître. Jamais je ne décevrais mon maître.

« Va chercher ta robe, comme la putain que tu es, et referme la porte. Il fait froid.»

Elle est partie à quatre pattes. Elle a ramassé sa robe avec ses dents. Je la voyais, les paumes de mains, les genoux sur le gravier de la cour, elle gémissait, elle avait mal, et moi je coulais, de la voir souffrir, j’étais à la limite de la jouissance.

Elle souffrait pour le plaisir de mon maître, pour le plaisir qu’il allait, par elle avoir.

Elle, a fermé la porte. S’est approché de moi, à relever la tête pour me tendre la robe. Je l’ai regardé, l’ai toisée, elle cette chose insignifiante avait voulu me détourner de mon maître, elle a osé penser qu’elle pourrait me faire abandonner mon maître.

Elle avait du gravier de collé aux lèvres.

« Va te laver la bouche, et après reviens ici, à mes pieds. Tu as dix secondes »
Supprimé

Re: INGRID

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purée pas facile la nana :modo:
DeLsEp9

Re: INGRID

Message par DeLsEp9 »

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« Va chercher ta robe, comme la putain que tu es, et referme la porte. Il fait froid.»

Elle est partie à quatre pattes. Elle a ramassé sa robe avec ses dents. Je la voyais, les paumes de mains, les genoux sur le gravier de la cour, elle gémissait, elle avait mal, et moi je coulais, de la voir souffrir, j’étais à la limite de la jouissance.

Elle souffrait pour le plaisir de mon maître, pour le plaisir qu’il allait, par elle avoir.

Elle, a fermé la porte. S’est approché de moi, à relever la tête pour me tendre la robe. Je l’ai regardé, l’ai toisée, elle cette chose insignifiante avait voulu me détourner de mon maître, elle a osé penser qu’elle pourrait me faire abandonner mon maître.

Elle avait du gravier de collé aux lèvres.

« Va te laver la bouche, et après reviens ici, à mes pieds. Tu as dix secondes »

*****************************************


Elle se dirigeait vers la salle de bain à quatre pattes. Je l’ai suivi. Ma main s’est abattue sur ses fesses. Une, deux, …… dix fois, ma main a claqué sur ses fesses.

Ma main était chaude, j’en avais presque mal, tant j’avais frappé avec violence. Ses fesses portaient la marque de mes mains, je voyais distinctement les traces que mes doigts y avaient laissés.

« Non ici dans la cuisine. »

Elle s’est dirigé vers l’évier en pierre, s’est passé la figure sous l’unique robinet d’eau glacée, m’a regardé, elle pleurait.

Je suis retourné, où j’étais, près de la table. Elle s’est approchée toujours à quatre pattes, m’a regardé. J’ai soulevé ma robe.

« Tu voies, je mouille, je coule de plaisir, le plaisir de t’avoir vue souffrir, de savoir que tu es là pour le plaisir de mon maître. »

Ses yeux brillaient, quand je me suis approché d’elle, ma main a attrapé ses cheveux, j’ai plaqué, sa bouche sur mon sexe en feu.

« Nettoie moi, nettoie cette mouille, qui me sali en pensant à toi. Je t’interdis de me faire jouir, de jouir toi même. »

Sa langue s’est activée, elle est passée et repassée sur l’intérieur de mes cuisses, elle s’est approchée de ma chatte en feu. Elle s’est immiscée entre mes grandes lèvres. J’ai reculé, l’ai giflé à toute volée. Elle est tombée, sa tête a heurté le sol.

« Nettoyer, pas me lécher, sale putain. »

Elle s’est redressée, sa langue s’est appliquée doucement, à me nettoyer. Elle a reculé, je l’ai regardé, elle baissait les yeux, baissait la tête. J’ai laissé ma robe retomber.

« Odile, tu vas rester ici, tu dormira par terre, sur la couverture qui est dans le cagibi, derrière cette porte. Tu ne pourras que t’abreuver, aller aux toilettes. Ce que tu as voulu faire à mon maître, mon maître ne l’accepte pas.

Il arrive mercredi. Pendant ces deux jours, tu vas rester dans ce cagibi, je rentre, tous les soirs à 18 heures, je ne veux pas te voir, ne veux pas t’entendre.

Tu vas méditer sur ce que tu as voulu faire de moi. Ce que tu as voulu me faire. Ce que tu as voulu faire à mon maître. Tu vas te préparer à le rencontrer. Te préparer tant mentalement, que physiquement.

Il doit arriver, à 15 heures.

A 13 heures, tu prendras une douche, tu te laveras, tu te dois d’être impeccable. Les cheveux, attachés par un lien, pour former une queue de cheval. Pas de maquillage.

Quand il arrivera, tu seras à ses pieds, tu seras sa putain. Quoi qu’il dise, quoi qu’il te demande tu le feras. »

Je me suis assise, lui ai fait signe de s’approcher. Elle s’est avancée à quatre pattes.

« Va chercher ta robe. »

Elle est parti à quatre pattes, a pris sa robe entre les dents, est revenu face à moi.

« Déchire ta robe, réduit la en lambeau, si tu acceptes. »

Elle m’a regardé, ses yeux étaient fous. Elle l’a prise avec ses mains, et tout en la gardant entre ses dents, elle a tiré. Quand elle a entendu le tissu cédé, qu’elle a entendu le bruit du tissu qui se déchirait, elle est devenue folle.

Elle a complètement réduit sa robe en lambeaux. Elle pleurait, elle hurlait, elle gémissait. Elle se roulait à mes pieds sur les lambeaux de sa robe. Elle s’est fait dessus, elle était hystérique.

Je me suis levé, j’ai pris un seau d’eau qui était sur l’évier, l’ai renversé sur elle. L’eau était glacée. Elle s’est tétanisée, je l’ai prise par les cheveux, l’ai emmené a l’évier.

« Prends la serpillère, et nettoie ta saleté. Ramasse ta pisse, tu mériteras que je te fasse nettoyer le sol avec ta langue. »

Elle a nettoyée, a ramassée ses lambeaux de tissus. A tout jeté dans la poubelle dehors.

Elle s’est approchée.

« J’ai tout nettoyé, tout est propre. »

« Va sentir, si la moindre odeur persiste, si je trouve la moindre odeur, tu laveras le sol avec ta langue. »

Elle y est retournée, a reniflé, a senti sol. Elle s’est dirigé vers l’évier, a pris la serpillère, le seau, a recommencé à frotter, elle a frotté, frotté. Pendant quarante cinq minutes elle n’a fait que cela, frotter, encore et toujours frotter le sol.

Elle a rincé la serpillère, rangé le seau, s’est couchée à mes pieds, à même le carrelage.

Nous avons attendu, que ce soit sec.

« Va sentir. »

Elle s’est lever, et à quatre pattes, a recommencer à sentir, le sol, le nez à deux centimètres du sol, elle se promenait et renflait, sentait, elle cherchait la moindre odeur.

Elle m’a regardé, l’œil brillant, est revenue, s’est accroupi.

« Il n’y a plus la moindre odeur, tout est impeccable. »

Je l’ai emmené dans la douche.

« Lave toi, tu n’es pas une soumise, même pas une putain, tu es Immonde. Dorénavant ton nom sera Immonde.

Quand mon maître te le demandera, te demandera ton nom, tu lui diras.

Votre chienne, m’a appelée Immonde, voilà quelle est mon nom, Immonde.

Maintenant, Immonde, tu te laves, tu pues la pisse. »
Supprimé

Re: INGRID

Message par Supprimé »

Ben fusil :valfa:
DeLsEp9

Re: INGRID

Message par DeLsEp9 »

-12-


Elle m’a regardé, l’œil brillant, est revenue, s’est accroupi.

« Il n’y a plus la moindre odeur, tout est impeccable. »

Je l’ai emmené dans la douche.

« Lave toi, tu n’es pas une soumise, même pas une putain, tu es Immonde. Dorénavant ton nom sera Immonde.

Quand mon maître te le demandera, te demandera ton nom, tu lui diras.

Votre chienne, m’a appelée Immonde, voilà quelle est mon nom, Immonde.

Maintenant, Immonde, tu te laves, tu pues la pisse. »

*****************************************


Je réalise, en entendant le zip de ma braguette, qu’Ingrid a arrêtait de parler. Elle est à genoux devant moi. Elle me regarde, regarde mon pantalon, où mon sexe vient d’apparaitre.

« Jacques vous bandez, comme un taureau, voulez vous que je vous soulage, que je soulage l’homme que je veux pour maître. »

Sa main est à quelques centimètres de ma hampe qui se dresse, roide, devant les yeux d’Ingrid.

Je la regarde, je suis figé, je ne bouge pas, aucun son n’arrive à franchir mes lèvres.

La bouche d’Ingrid s’approche, sa main me décalotte doucement, ses lèvres se posent sur mon gland, l’embrasse.

Ses lèvres s’entrouvrent, elle fait glisser mon gland entre se lèvres. Sa langue passe doucement sur mon gland, s’enroule, autour, le caresse. Son autre main avec beaucoup de douceur, a pris mes bourses, les caresses, les masses.

Ma main, sans que je le veuille s’est posé sur sa tête, et caresse ses cheveux. Elle se déchaine, elle plonge su mon vit, mon gland butte sur sa glotte, elle l’aspire, le mord.

Elle le sort de sa bouche, sa langue le lèche, elle l’embrasse, sa langue joue avec le méat, avec le frein, ses lèvres s’amusent à le prendre entre elles, et le tire, me provoquant comme des décharges électrique.

Ses lèvres se posent sur mes bourses, elle les aspire, les mordilles doucement. Je sens ma jouissance arrivée, Ingrid aussi, elle me reprend en bouche, sa langue, me caresse, elle m’aspire tout en retenant, ma verge entre ses doigts, si doux.

Je me tétanise, je joui en longues saccades. Tout en me regardant, elle déglutit, elle avale, elle lèche mon sexe, le nettoie, me donne l’impression de se délecter.

« Votre foutre a bon gout, mon maître. J’aime le boire, j’aime que vous déchargiez dans ma bouche. J’ai aimé que vous preniez du plaisir dans ma bouche. »

Je la regarde, je ne réalise pas encore complètement ce qui se passe. Ne réalise pas les mots qu’elle vient de prononcer.

« Pendant que je vous racontez, mon histoire, que je vous racontez ma vie, j’ai remarqué que vous commenciez à bander. Je ne pouvais pas vous laisser ainsi. Je me devais de vous soulager, de soulager votre sexe, des tensions qu’il ressentait.

Je suis là pour votre plaisir, uniquement votre plaisir. »

Ma main qui est resté sur sa tête caresse ses cheveux, elle pose sa tête sur mes genoux.

« Merci maître, votre caresse est presque une acceptation. »

Je voie son regard fixé sur l’autre boite, la boite longue et fine.

« Si vous daigniez accepter d’être mon maître, m’accepter comme la chienne que je suis, pouvez vous prendre ce qui est dans la deuxième boite. »

Elle voie ma main la prendre, la poser sur mes genoux.

Elle tremble des pieds à la tête, ses mains qui se sont posées sur mes genoux, sont crispées. Je regarde la boite, la regarde.

Ses yeux verts, magnifique, ont virés au gris, tant elle est excitée, tant elle presque en train de jouir.

Sans la quitter des yeux, mes mains se posent sur la boite, l’ouvre. J’ai l’impression qu’Ingrid va défaillir, elle tremble, comme si il faisait soudainement – 50° dans la pièce. Elle me regarde, elle pleure, ses grands yeux sont noyés de larmes.

Mes mains prennent ce qui se trouve à l’intérieur, une magnifique cravache noir ébène. Je pose la boite, sur le guéridon.

Ingrid tout en baissant la tête.

« Mon maître voyez vous-mêmes, vérifiez par vous mêmes. »

Elle se lève, écarte les cuisses. Prend ma main, la pose sur sa vulve. Elle coule comme une fontaine.

« Vous, vous devez de me punir. Je viens de jouir, comme une catin. Et cela sans que vous me l’autorisiez.

La joie de votre acceptation, m’a provoqué un orgasme, je n’ai pas pu me contrôler. Je vous pris de bien vouloir me punir, pour cette faute inexcusable. »

Elle se tourne, s’agenouille, pose ses coudes au sol, me présente ses fesses, jambes écartées, ne bouge plus. Je regarde la cravache, la prend à son autre extrémité, la plie, elle est souple, flexible.

Je revoie nos « amis les cavalos », quand ils arrivaient au mess officiers, avec leur cravache sous le bras, toujours tiré à quatre épingles. Avec Pierre, au début, on ne pouvait pas s’empêcher de sourire.

Au bout de quelques temps, il ne disait plus rien. Un jour il m’a même dit.

« Jacques, si tu savais le bonheur qu’une cravache peu apporter. »

Je n’avais pas compris sur le moment. Maintenant je comprends toute la portée de sa phrase.

Je regarde le fessier d’Ingrid, qui s’expose dans toute sa nudité devant mes yeux.

Bon sang, mais quel un cul elle a, il est magnifique. Ah si ce n’était pas Ingrid.

La cravache siffle quand je fouette l’air pour la tester. Je voie Ingrid se contracter, ne sentant rien, sa tête se tourne, elle me regarde.

Je pose délicatement l’extrémité de la cravache, sur une de ses fesses. Je n’arrive pas à m’imaginer fouetter Ingrid, la compagne de mon défunt ami. Cela me semble impossible.

Ingrid, tourne la tête, me regarde. Ces yeux verts me transpercent, ils ont l’air de me dire, Jacques, je t’en supplie fait-le.
DeLsEp9

Re: INGRID

Message par DeLsEp9 »

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« Jacques, si tu savais le bonheur qu’une cravache peu apporter. »

Je n’avais pas compris sur le moment. Maintenant je comprends toute la portée de sa phrase.

Je regarde le fessier d’Ingrid, qui s’expose dans toute sa nudité devant mes yeux.

Bon sang, mais quel un cul elle a, il est magnifique. Ah si ce n’était pas Ingrid.

La cravache siffle quand je fouette l’air pour la tester. Je voie Ingrid se contracter, ne sentant rien, sa tête se tourne, elle me regarde.

Je pose délicatement l’extrémité de la cravache, sur une de ses fesses. Je n’arrive pas à m’imaginer fouetter Ingrid, la compagne de mon défunt ami. Cela me semble impossible.

Ingrid, tourne la tête, me regarde. Ces yeux verts me transpercent, ils ont l’air de me dire, Jacques, je t’en supplie fait-le.

*****************************************

Ma main, comme si elle lui obéissait, comme si elle était aux ordres d’Ingrid, se lève retombe une, deux…. Dix fois sur chaque fesse. Je suis dans un état indescriptible, Ingrid, pas un seul moment, n’a bougé, n’a gémit.

Elle me regarde, comprend ce qui passe en moi, ce qui me trouble en ce moment précis.

Je pose la cravache sur le guéridon, en même temps que je me redresse, Ingrid se tourne, ouvre la ceinture de mon pantalon, le fait glisser sur mes jambes, fait de même avec mon slip, m’enlève mes chaussures, j’enlève mon pantalon, mon slip.

Elle caresse tendrement mon sexe qui pointe comme un fou, qui se dresse roide devant elle.

Je me positionne derrière Ingrid qui s’est agenouillée, jambes légèrement écartées, ses mains écartant les deux magnifiques globes de son fessier. Je prends mon sexe en main le positionne à l’entrée de sa vulve.

La pénètre violement, je ne sais pas, je ne sais plus ce que je fais. Je la pilonne comme un fou, à un rythme d’enfer, je la sens haleter, je sens sa vulve qui se contracte sur ma verge. Je m’arrête, tétanisé.

Merde Jacques tu baises la veuve de ton ami, de ton frère, tu es une ordure.

Je sens Ingrid onduler, ne me sentant plus bouger, d’elle-même elle m’oblige à la baiser, elle fait claquer son fessier, pour ne pas dire son cul divin, contre mon bassin.

Mes mains se raffermissent sur ses hanches, je me déchaine, n’arrive plus à me contrôler, dans un rugissement je me vide, je joui comme un fou.

Ingrid se retourne, prend ma verge en bouche, me lèche, nettoie mon vit avec sa langue, embrasse ma verge. S’accroupi sur ses talons, baisse la tête.

« Merci mon maître, de m’avoir puni, merci de m’avoir baisé. Je ne méritais bien plus comme punition.

Mon maître, vous avez eut votre plaisir, vous avez joui dans votre chienne, joui de la chienne que je suis.

Merci mon maître. »

Je m’approche d’Ingrid, ma main prend son menton. Relève sa tête. Elle me regarde, elle est fière, elle est heureuse.

« Ingrid, je ne connais pas, je ne sais pas. Veux-tu m’apprendre. »

Elle me regarde, elle commence à pleurer, elle prend mes mains, les porte à ses lèvres, embrasse mes mains, les posent sur son sein, sur son cœur.

Elle prend mes mains, les poses de part et d’autre, sur le collier, prés du cadenas. Je regarde sur le guéridon, je prends la petite clef, ouvre le cadenas, enlève le collier, repositionne le cadenas.

Pendant que je prends la grande boite, la pose sur mes cuisses, Ingrid enlève le foulard en soie noir de ses cheveux. Je pose le collier à sa place, dans la boite, Ingrid me tend, le foulard qu’elle a plié. Je le pose sur les colliers, et la laisse.

Je referme la boite. Regarde Ingrid. Elle tend les mains, je pose la boite. Je me retourne prend la cravache, la glisse dans sa boite, la referme, puis la pose sur l’autre boite.

Ingrid se lève, range les boites dans son sac, revient vers moi en ondulant. Elle s’arrête face à moi, m’embrasse comme une folle.

« Merci Jacques, merci, d’avoir accepté. »

Elle ouvre les boutons de ma chemise, de mes manches, la fait glisser, le long de bon corps. Je me retrouve nu, nu devant Ingrid, nu devant la veuve de Pierre. Je me fais horreur.

Mais je ne sais pas lui résister, je dirais que je n’ai pas envie de lui résister.

Ingrid me prend dans ses bras, me serre contre elle. Sa poitrine s’écrase contre mon torse, mon sexe vient se nicher entre ses cuisses, et glisse le long de sa vulve qui dégouline de cyprine.

Mes mains se posent sur son porte-jarretelles, l’ouvre. Elle s’assied, au bord du fauteuil, enlève ses cuissardes, ses bas.

Tout en me regardant, avec un petit sourire aux lèvres, sa main, passe sur sa vulve. Un de ses doigts glisse entre ses grandes lèvres et tout en me fixant elle remonte lentement sa main vers sa bouche.

Elle glisse doucement ce doigt qui brille de sa mouille, de mon sperme, entre ses lèvres gourmandes, le suce, le fait tourner, entre ses lèvres.

Elle souri en voyant mon sexe qui commence à se dresser. Elle est si impudique, si provocante dans cette position. Cuisse écartée, sa vulve qui palpite, qui frémit, en train de sucer un de ses doigts, comme elle m’a sucé, il y a encore peu.

Je m’approche, son regard est fixé sur mon sexe, qui malgré les jouissances qu’il vient d’avoir, se dresse droit vers les lèvres d’Ingrid.

Je prends sa main, qui aller se saisir de mon sexe. Je tire doucement, elle se lève, je la regarde.

Je regarde, j’admire, la femelle, la bête de course, qui est devant moi. Je regarde cette femme, cette femelle hors norme, que tout homme rêverait d’avoir dans son lit. Et elle, cette femme, Ingrid, m’a choisi.

« Viens Ingrid, allons prendre une douche, nous en avons besoin tous les deux. »

Tout en lui tenant la main, je rentre dans la salle de bain. Le temps de me retourner, Ingrid est entrée dans la douche, a ouvert l’eau, me tends les bras. Je rentre dans la douche, elle m’embrasse, sa langue, fouille ma bouche, joue avec ma langue.

Sa main se pose sur le robinet, ferme le robinet d’arrivée d’eau qui est brulante, mais qui m’a un tant soit peu détendue.
Ptidav69007

Re: INGRID

Message par Ptidav69007 »

finalement qui va apprendre a qui?

jolies suites en tous les cas.
Vintage
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A été remercié : 7 times

Re: INGRID

Message par Vintage »

franchement, la couleur, faut être motivé quoi, c'est tjrs galère, même en gras... pfff... :cry:
Invité

Re: INGRID

Message par Invité »

Hummmmmmmmmmmm mon Jak :love:
DeLsEp9

Re: INGRID

Message par DeLsEp9 »

Ptidav69007 a écrit :finalement qui va apprendre a qui?

jolies suites en tous les cas.

Je m’approche d’Ingrid, ma main prend son menton. Relève sa tête. Elle me regarde, elle est fière, elle est heureuse.

« Ingrid, je ne connais pas, je ne sais pas. Veux-tu m’apprendre. »



Quand on découvre, un nouveau monde,

parfois il faut le reconnaitre, l'admettre humblement.
DeLsEp9

Re: INGRID

Message par DeLsEp9 »

Vintage a écrit :franchement, la couleur, faut être motivé quoi, c'est tjrs galère, même en gras... pfff... :cry:


Tout dépend du fond que tu as.
DeLsEp9

Re: INGRID

Message par DeLsEp9 »

Cedille92 a écrit :Hummmmmmmmmmmm mon Jak :love:

tien, une révélatrice....
Invité

Re: INGRID

Message par Invité »

Jak67 a écrit :
tien, une révélatrice....
non une rikiki révélée
Laphoenix75

Re: INGRID

Message par Laphoenix75 »

wuhuu la suite :clea:
DeLsEp9

Re: INGRID

Message par DeLsEp9 »

Laphoenix75 a écrit :wuhuu la suite :clea:


demain
DeLsEp9

Re: INGRID

Message par DeLsEp9 »

-14-


Je m’approche, son regard est fixé sur mon sexe, qui malgré les jouissances qu’il vient d’avoir, se dresse droit vers les lèvres d’Ingrid.

Je prends sa main, qui aller se saisir de mon sexe. Je tire doucement, elle se lève, je la regarde.

Je regarde, j’admire, la femelle, la bête de course, qui est devant moi. Je regarde cette femme, cette femelle hors norme, que tout homme rêverait d’avoir dans son lit. Et elle, cette femme, Ingrid, m’a choisi.

« Viens Ingrid, allons prendre une douche, nous en avons besoin tous les deux. »

Tout en lui tenant la main, je rentre dans la salle de bain. Le temps de me retourner, Ingrid est entrée dans la douche, a ouvert l’eau, me tends les bras. Je rentre dans la douche, elle m’embrasse, sa langue, fouille ma bouche, joue avec ma langue.

Sa main se pose sur le robinet, ferme le robinet d’arrivée d’eau qui est brulante, mais qui m’a un tant soit peu détendue.

*****************************************


Ses mains caressent mes fesses. Mon sexe s’est logé entre ses cuisses, contre sa vulve, humide. Je sens sa mouille qui commence doucement à s’écouler sur ma verge. Une de ses mains prend mon sexe le guide dans sa vulve.

Sa fente est bouillante, j’ai l’impression qu’Ingrid brûle, tant elle est chaude. Ses mains poussent mes fesses, mon sexe la pénètre. Ingrid ne bouge pas, me regarde.

« Jacques là en ce moment, tu as Ingrid, tu es dans le ventre d’Ingrid. Je te veux, je le veux. C’est toi que j’ai choisi pour remplacer Pierre. Je te veux comme amant pour cette nuit, je te veux comme maître, pour ma vie.

Tu es le seul homme en qui j’ai confiance. Tu es le seul homme à qui je confierais ma vie, les yeux fermés. »

Elle pose sa tête sur mon épaule, et pleure.

« Jacques, tu veux apprendre, tu veux connaitre. Tu veux le vivre.

Je vais t’apprendre.

Je vais t’apprendre à être mon maître, t’apprendre à jouir de moi, t’apprendre à te servir de la chienne que je suis.

Je vais t’apprendre, à être l’air que je respire.

Quand nous aurons fini, tu vivras et moi par toi, par ta présence, je vivrais.

Ce soir, sera notre première et notre dernière nuit en tant qu’amant. Demain, nous commençons. »

Je sens Ingrid bouger, elle me regarde, son bassin oscille d’avant en arrière. Je la prends par les épaules, la retourne face au mur de la douche. Elle se retourne d’elle-même face à moi. Me souri.

« Jacques mon amant d’un seul soir.

Je te veux partout. Je veux ta verge partout en moi.

Je veux ton vit dans ma bouche.

Je veux ta hampe dans mon con.

Je veux ton chibre dans mon fondement.

Je veux ton foutre en moi, dans ma gorge, dans ma chatte dans mon cul.

Je veux ta jouissance partout sur moi.

Voila ce que je veux, voila ce que ton amante veut ce soir.»

Jamais au grand jamais, une femme ne m’a dit de pareils mots, ne m’a parlé comme cela. De l’entendre, d’entendre ces mots d’entendre les mots que Ingrid vient de prononcer, m’amène dans un monde que je ne connais pas, dans un monde qui me surprend, mais qui me fait bander à en avoir mal.

Ingrid, s’agenouille, je voie le bout de sa langue qui commence à léchouiller mon gland.

Elle passe du méat au frein. Elle lèche mon sexe sur toute sa longueur. Une de ses mains est sur mes fesses, l’autre joue avec mes bourses, un de ses doigts passe de mes bourses à mon anus, qu’elle s’amuse par moment à gratouiller avec un ongle.

Elle mordille mon sexe sur toute la longueur. Elle n’arrête pas. Passe de mes bourses à mon pénis avec sa bouche, ses dents, sa langue. Elle est déchainée, du moins m’en donne l’impression.

Elle fait durer le plaisir, elle m’amène au bord de la jouissance, arrête pour laisser retomber la pression, recommence. Elle me rend fou de désir, me rend fou tout simplement.

Quand elle sent que je vais jouir, elle arrête, me caresse doucement, embrasse mes bourses, passe mon sexe dans ses cheveux, dés qu’elle voie que je me suis calmé, elle recommence.

Elle n’arrête pas, quatre cinq, dix fois au moins, elle m’amène au bord de la jouissance et arrête juste avant que je ne jouisse, avant que je n’explose, avant que mon sexe ne se répande dans sa bouche.

Son regard est espiègle, ses yeux rient de me voir désappointé, rient de me voir perdu dans mes jouissances qu’elle contrôle parfaitement.

J’en arrive à croire que j’ai mal tant je suis frustré, tant cette envie de jouir me prend aux tripes. C’en est presque douloureux.

C’est douloureux. Jamais au grand jamais je ne me suis retrouvé dans un état pareil, à naviguer comme cela, entre le désir et la frustration, entre le plaisir et la frustration, entre la douleur et le plaisir.

Ingrid contrôle, me contrôle. Elle gère mon plaisir. Plus simplement elle me contrôle totalement, je ne suis que désir, je ne suis qu’envie, je ne suis que frustration, entre ses lèvres.

Je suis entre ses mains, et me laisse faire, je n’ai pas le choix, je n’ai pas d’autre choix.

Elle ferme les yeux,

Ingrid prend violemment mon sexe en main et me masturbe. Elle prend à nouveau mon sexe en bouche, j’ai l’impression qu’elle veut l’avaler, tellement elle l’enfonce dans sa bouche. Mon gland, au fin fond de sa gorge, je sens sa luette, contre mon gland, en appui sur mon gland.

Elle recule doucement, sa bouche m’aspire me tète, me rend encore plus fou, que je ne le suis déjà. Elle sait que je suis comme électrisé, elle sait que je veux éjaculer, elle sait que je veux jouir. Je sens les contractions de mon sexe, elle aussi.

Elle me regarde, ses yeux me fixent. Un regard où sa joie se voie, un regard où son bonheur brille. Elle cligne des yeux, comme pour me dire, vas y joui, laisse toi aller dans ma bouche, tu vas voir ce sera sublime pour toi.

Je joui, non j’explose. Ce n’est pas mon sexe, mais tout mon corps qui éjacule, qui joui, qui se libère. Mon foutre, ma semence jaillie me libérant, libérant mon corps, libérant ma tête, libérant mon cerveau d’une pression intolérable.
Supprimé

Re: INGRID

Message par Supprimé »

eh bien en voilà des suites

arfff un ptit peu même je dirais un peu..... :mum1:
DeLsEp9

Re: INGRID

Message par DeLsEp9 »

Pour ton retour ma petite souris.


-15-


Elle ferme les yeux,

Ingrid prend violement mon sexe en main et me masturbe. Elle prend à nouveau mon sexe en bouche, j’ai l’impression qu’elle veut l’avaler, tellement elle l’enfonce dans sa bouche. Mon gland, au fin fond de sa gorge, je sens sa luette, contre mon gland, en appui sur mon gland.

Elle recule doucement, sa bouche m’aspire me tète, me rend encore plus fou, que je ne le suis déjà. Elle sait que je suis comme électrisé, elle sait que je veux éjaculer, elle sait que je veux jouir. Je sens les contractions de mon sexe, elle aussi.

Elle me regarde, ses yeux me fixent. Un regard où sa joie se voie, un regard où son bonheur brille. Elle cligne des yeux, comme pour me dire, vas y joui, laisse toi aller dans ma bouche, tu vas voir ce sera sublime pour toi.

Je joui, non j’explose. Ce n’est pas mon sexe, mais tout mon corps qui éjacule, qui joui, qui se libère. Mon foutre, ma semence jaillie me libérant, libérant mon corps, libérant ma tête, libérant mon cerveau d’une pression intolérable.

*****************************************


Ingrid à créer, à entretenue, ce stress qu’elle a installer en moi, qu’elle a fait monter progressivement en moi.

Et là d’un seul coup elle me libère, elle laisse exploser ma jouissance. Cette jouissance, qui me laisse pantelant, qui me laisse, vidé de toute énergie.

Une jouissance irréelle, qui me laisse proche d’un état comateux, tant l’impression de flotter entre deux eaux, est présente en moi en ce moment.

Ingrid se redresse, prend ma tête entre ses mains, souri.

« Voilà un homme plus que prometteur, un amant qu’il m’aurait fait plaisir de rencontrer, bien plus tôt. »

J’entends ces mots, ne réalise pas, tant je suis sans force, en ce moment.

Elle ouvre l’eau, fait pivoter le pommeau au dessus de nous deux. Je voie sa main, qui progressivement ferme l’eau chaude.

La fraicheur de l’eau me fait un bien fou, me ramène progressivement su terre, me sort de la torpeur, où Ingrid m’avait plongé.

Elle ferme l’eau, prend un drap de bain, me frotte, me sèche. J’ai l’impression de ne plus avoir de peau, tant elle frotte, me frotte pour me sécher. Elle me tend une serviette, en souriant.

« A toi mon amant d’une nuit.

Essuie, étrille, bouchonne ton amante, ta pouliche d’une nuit.

Stimule le corps de la femme, de l’amante. Assume là comme tu viens de le faire. Soit mon amant d’une nuit.

Demain je serais ta chienne, la chienne qui ne vivra que par toi. Tu seras mon maître pour ma vie. »

Elle pose ses mains contre la faïence murale, je prends le drap de bain, je frotte son dos, ses fesses, ses cuisses, pas suffisamment, il me semble.

Ingrid vient au devant de mes mains, de la serviette. Elle, se retourne, je continue, à la frotter, à la sécher. Elle souri en me regardant faire.

« Jacques, va te reposer, pendant que je me sèche les cheveux. »

Je m’allonge, m’endors presque instantanément.

J’entrouvre les yeux et je voie Ingrid, qui me regarde. Elle a l’air heureuse, détendue. Je remarque comme une petite flamme dans son regard. Elle est allongée à l’inverse, sa tête près de mon sexe.

Elle lèche mon sexe, me branle vigoureusement maintenant qu’elle a vue que j’étais réveillé. Elle décalotte mon gland, prend mon sexe dans sa bouche. Elle m’aspire, me lèche, me mordille, elle monte et descends avec sa bouche, se sert de sa bouche comme si s’était un vagin.

Ingrid, regarde mon sexe qui avec les soins qu’elle vient de lui prodiguer est plus que réveillé. Je suis dans un état, que la morale réprouve. Mais la morale en ce moment est le cadet de mes soucis.

« Jacques pourrais tu me passer ta ceinture qui est proche de ta tête, à ta gauche. S’il vous plait. »

Pendant que ma main droite, part à la recherche de ma ceinture, je voie Ingrid qui mouille abondamment ma verge avec sa salive.

Je lui tends la ceinture, elle souri.

« Mon amant d’un seul soir, il y a un orifice que tu n’as pas honoré, cet endroit est réservé à mon maître. Ce sera la seule fois que je dérogerais à la règle.

Je veux ton chibre dans mon fondement. »

Tout en me parlant, elle se met à cheval au-dessus de moi, positionne, mon sexe dure comme de la pierre, sur sa petite étoile, met la ceinture entre ses dents.

Elle me tend les mains, que je prends entre les miennes et avant que je n’aie le temps de réaliser, se laisse tomber en s’empalant sur mon sexe, sans aucune autre forme de procès.

Elle mord la ceinture, je voie les muscles de ses mâchoires se tétaniser, ses yeux qui se révulsent. Un hurlement qui s’étouffe entre ses dents. Elle ne bouge plus. Je la regarde, surpris, elle est radieuse. Elle enlève la ceinture me la tend.

« Jacques, ne t’inquiète pas, j’aime être prise comme cela. J’aime sentir le sexe de mon maître, me prendre sauvagement dans ma voie secrète, dans mon fondement.

A partir de demain, quand tu le voudras, ton sexe, ton vit, ton chibre en abusera à sa convenance. »

Que ce soit ma chatte, ou mon cul, l’un est l’autre le veulent, l’un et l’autre aiment cette bestialité, tout comme moi.

Maintenant mon amant d’un seul soir, fais moi jouir, baise moi, défonce mes fesses, encule moi, déchire moi, mais emporte moi.

Fait une boucle avec la ceinture, et tend la moi.»

Je ferme la boucle de la ceinture, la lui tend. Elle prend la boucle ainsi formée, crochète ses mains, dessus, cale bien ses pieds en les passant dans les creux de mes reins, me regarde, en tirant sur la ceinture. Ma deuxième main, attrape la ceinture au moment ou elle commence à tirer dessus.

Son corps remonte, elle souri, pendant quelques minutes ou plus je ne réalise plus depuis un moment ayant décidé de la laisser faire, elle monte et descends sur mon sexe en se servant de la ceinture comme appuis.

Elle s’arrête me regarde, se penche, pose ses genoux sur le lit. Ses lèvres déposent délicatement de tendres baisers sur mes paupières, sur mes lèvres. Sa langue, caresse doucement mes lèvres, qui s’entrouvrent, elle part à la recherche de ma langue, elle joue avec.

Sa bouche s’approche de mon oreille, elle mordille le lobe de l’oreille.
Supprimé

Re: INGRID

Message par Supprimé »

pour une fois que la ceinture ne sert pas pour les fesses... encore que :sweet:
DeLsEp9

Re: INGRID

Message par DeLsEp9 »

Mclm a écrit :pour une fois que la ceinture ne sert pas pour les fesses... encore que :sweet:

Une ceinture a plein d'utilité................

et ce n'est qu'un début.
S comme

Re: INGRID

Message par S comme »

Je viens de lire tout d'un trait... J'adore... encore Maitre Jak... encore
DeLsEp9

Re: INGRID

Message par DeLsEp9 »

-16-


Fait une boucle avec la ceinture, et tend la moi.»

Je ferme la boucle de la ceinture, la lui tend. Elle prend la boucle ainsi formée, crochète ses mains, dessus, calle bien ses pieds en les passant dans les creux de mes reins, me regarde, en tirant sur la ceinture. Ma deuxième main, l’attrape.

Son corps remonte, elle souri, pendant quelques minutes ou plus je ne réalise plus depuis un moment ayant décidé de la laisser faire, elle monte et descends sur mon sexe en se servant de la ceinture comme appuis.

Elle s’arrête me regarde, se penche, pose ses genoux sur le lit. Ses lèvres déposent délicatement de tendres baisers sur mes paupières, sur mes lèvres. Sa langue, caresse doucement mes lèvres, qui s’entrouvrent, elle part à la recherche de ma langue, elle joue avec.

Sa bouche s’approche de mon oreille, elle mordille le lobe de l’oreille.

*****************************************


« Jacques, mon amant d’une nuit, ne serait ce qu’une fois, essaie de réveiller la femme, la femme qui se cache au fond de moi, faits moi jouir, du moins essaie, de me faire jouir comme une femme normale. »

Je l’embrasse, en la serrant dans mes bras, nous roulons sur le côté, elle se retrouve sur le dos. Tout en restant en elle, je prends ses jambes, les posent sur mes épaules. Je prends un coussin, le glisse sous ses reins, qu’elle soulève, en prenant appuis sur mes épaules avec ses mollets.

Une de mes mains s’égare sur son pubis. Mes doigts caressent ses grandes lèvres, passent en douceur sur ses petites lèvres et son clitoris. Une mouille abondant s’écoule de sa chatte complètement rasée.

Elle me regarde souri, ferme les yeux.

Mes doigts s’immiscent entre ses grandes lèvres, massent doucement ses petites lèvres. Mon pouce joue avec son clito. Il grossi. Deux doigts le prennent et commence doucement à le titiller, à le masturber comme un petit pénis. Un puis deux doigts la pénètre joue avec ses muqueuses.

Mes mains prennent ses chevilles, poussent sur ses jambes, ses bras passent entre ses jambes, ses coudes se positionnent derrière ses genoux, écartant encore plus ses jambes, faisant basculer son bassin vers le haut.

Mes poings se posent de chaque côté de sa tête sur le matelas. Je m’enfonce, Ingrid souri.

Saleté de matelas trop mou.

Mes bras passent sous ses aisselle, se bloquent dans son dos, je l’attire vers moi, me retrouve à genoux Ingrid dans les bras. Elle passe ses mains derrière ma nuque, je pose un puis le deuxième pied par terre. Pendant se temps Ingrid monte et descend sur mon sexe toujours, en elle.

Je l’allonge sur le sol, elle souri, mon sexe en elle, dans ses fesses, je commence à bouger, ses yeux s’ouvrent et me fixent. Elle me regarde la prendre, me regarde essayer de réveiller la femme qu’elle voudrait être en se moment. Je sors presque mon gland, et le renfonce en douceur.

Elle tient ses jambes écartées, mes doigts jouent avec sa vulve, avec ses petites lèvres. Je les pinces doucement, elle sert son anus sur mon sexe qui est complètement en elle.
Mon pouce martyrise son clito, pendant que deux doigts la fouille.

Je me penche et l’embrasse doucement. Sa langue vient au devant de la mienne. Je m’écarte de sa bouche, et suce un de mes doigts dégoulinant de sa mouille.

Elle prend ma main et suce lentement, sensuellement mes doigts l’un après l’autre. Je sens mon sexe gonfler dans ses fesses. Elle m’embrasse passionnément, en même temps elle pose ses deux mains sur le bas de mon dos et m’attire violement vers elle, en elle. Mon sexe la pénètre encore plus profondément.

Mon pubis claque de plus en plus vite, de plus en plus violemment sur ses fesses. Mon sexe la pénètre totalement, aussi profondément qu’il peut. A chaque aller retour, mon sexe sort complètement d’elle avant de replonger dans ses entrailles, dans son anus ouvert comme un fruit trop mur.

Ses yeux grands ouverts me regardent, j'ai l'impression de les voir réagir, de voir son corps commencer à réagir.

Je sens son anus se resserrer quand je heurte ses fesses et se détendre quand je recule, et la pénètre. A ce rythme je ne vais pas tenir longtemps. Mes allers retours sont de plus en plus rapide, je sens Ingrid venir au devant de mon sexe, ses mains qui tiennent maintenant mes hanches, m’entrainent dans une cadence folle, de plus en plus folle.

Je sens mon sexe gonflé, son anus se resserre. Je voie Ingrid le visage tendu, elle me regarde sans me voir. Je sens que je vais éjaculer.

Je m’enfonce profondément et violemment dans ses fesses, j’éjacule dans ses entrailles. Je sens son anus, se contacter violemment, comme si elle voulait extirper la moindre goutte de ma semence. Je m’écroule sur elle, elle me prend dans ses bras, m’embrasse violemment.

Au bout de quelques minutes Ingrid ouvre les yeux, me regarde.

« Merci Jacques, merci pour le plaisir que mon amant d’une nuit m’a donné. »

Je me redresse la prend par la main, l’entraine dans la douche.

Ingrid, sort, attache ses cheveux dans un chignon rapide, revient dans la douche. Elle prend le gel douche, me lave, avec beaucoup de douceur. Je fais de même. Elle prend la douchette, nous rince. Nous sortons de la douche, nous séchons mutuellement, nous allons nous coucher. Ingrid qui me caresse doucement, s’endort rapidement.

Je me réveille comme toujours il est 6 h00, Ingrid dort encore. Elle est à plat ventre, le drap sur les mollets. Je voie son cul divin, que la lumière d’un réverbère éclaire. Bon sang je mordrais bien dedans, pourquoi je ne sais pas, une envie comme une autre ; qui me prends comme cela.

J’admire son corps, elle et magnifique, ma tête en appuis sur mon poing, je repense à tout ce qui s’est passé depuis 24 heures, surtout, aux conséquences que tout cela va entrainer, conséquences que je ne réalise pas du tout.

Toujours dans mes songes, admirant le corps d’Ingrid, je ne remarque pas qu’elle est réveillée.

Elle se retourne, s’étire comme une chatte. Je sors de mes songes, admirant ses courbes.

« Bonjour, mon maître, vous avez bien dormi ? »

« Bonjour Ingrid, merveilleusement bien. »

« Je m’occupe du petit déjeuner, mon maître, vous restez couché, enfin si vous le voulez. Vous désirez quoi pour le petit déjeuner. »

« Café noir, baguette, charcuterie, œuf à la coque. »

Elle se lève, prends le téléphone, commande le petit déjeuner directement à la cuisine.

Elle va dans la salle de bain, s’installe sur le WC, me regarde, ne semble absolument pas gêner. Je l’entends uriner. Elle se lève, après s’être essuyé.
Supprimé

Re: INGRID

Message par Supprimé »

Ben dit donc t'es une ruine au ptit déj !! :sweet:
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