INGRID

Des récits qui ne manqueront pas de réveiller vos sens et votre imagination...
DeLsEp9

Re: INGRID

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Cedille92 a écrit :je suis sage comme une image moua :sol:

Quand tu lis. :mdr: :mdr: :mdr: :mdr:
DeLsEp9

Re: INGRID

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Je lui ai tout dit dans le détail, n’omettant rien. Même pas ma douche, mon récurage, mes lavements, pour être comme vierge à son contact, s’il daigné me toucher. Même si ce n’était que de ses yeux.

Maitre Pierre m’a écouté, ne disait mot. Il m’a juste demandait de confirmer mon âge quand je suis arrivé chez le notaire, et qu’il m’a violé pour la première fois.

« Quinze ans et trois mois exactement, je m’en souviendrais toute ma vie maître Pierre. »

Quand je lui ai parlé des polaroids, ses yeux ont brillés.

« Sais tu où ils sont rangés ? »

« Dans son coffre-fort, sur l’étagère tout en bas, à gauche, dans une chemise cartonnée mauve. Il est écrit « succession à régler » sur le dossier.

*****************************************


Maitre Pierre, le notaire est un homme d’un certain âge, qui a des habitudes. »

« Bien va dans la voiture, il y a un sac, sur le siège passager avant, ramène le. »

Je suis sorti, je ne sentais pas les gravillons sous mes pieds nus. Je n’avais pas mal, je ne les sentais pas, j’avais l’impression de les survoler. J’ai reporté le sac. Le lui ai tendu avec respect.

Il l‘a posé à côté de lui.

« Immonde que veux tu, que penses tu mériter pour ce que tu as fait, ce que tu as voulu faire. »

« Maitre Pierre, quoi que vous décidiez, je m’y plierais. J’accepterais tout. Je ne veux plus être entre les mains du notaire, de ses amis. Quoique vous me demandiez, je le ferais. »

A ce moment une voiture s’est garée dans la cour.

« Retourne dans ton cagibi, et attends que je t’appelle. »

Je suis allé dans mon cagibi, plus le temps passé, plus ma décision était prise, plus jamais le pervers, plus jamais ses amis ne me toucheraient.

Environ une heure après maître Pierre m’a appelé. Je suis arrivé comme toujours à quatre pattes.

« Regarde et tu ne dis mots. »

J’ai levé la tête, Ingrid était là nue devant son maître, bras écartés, tête baissée, offerte. Il a fermé les yeux.

Elle s’est agenouillée, et là quelque chose d’irréelle devant mes yeux, dame Ingrid, faisait tout pour lui donner du plaisir.

Je voyais qu’elle le faisait avec envie, avec joie. Elle voulait satisfaire son maître. Elle était belle, quand elle se donnait à lui.

Pendant plus d’une heure, j’ai regardé dame Ingrid sucé avec délectation, se faire prendre, se faire sodomiser. Elle faisait tout pour son maître avec plaisir, pour que son maître ait du plaisir.

J’ai vue les mains du maître, prendre les cheveux de dame Ingrid. Il l’a arrêté, ses yeux brillaient.

« Fait ce que je t’ai dit ma petite chienne. »

Ingrid s’est approchée de moi, a pris ma main, m’a relevé. Je tremblais, j’avais peur.

« Mon maître m’a expliqué ce qui t’es arrivé. Il m’a demandé mon accord, je le lui ai donné, avec joie. Viens. »

Dame Ingrid était douce, dans ses mots, douce dans ses actes. Nous sommes approchés de son maître, elle m’a agenouillée à ses pieds.

Elle s’est agenouillait à coté de lui, la main de maître Pierre, la caressait, la flattait.

Maitre Pierre m’a regardé.

« Odile, tu as dit que tu es prête à tout pour ne plus être dans les mains de cet odieux personnage.

Je te comprends, j’en ai parlé à ma petite chienne, qui est d’accord. Pour l’instant tu seras Immonde, ma chose, ma putain mon sac à foutre.

Il faut que nous te libérions de l’emprise de cette ordure, qu’il ne puisse plus jamais t’atteindre, atteindre ta tante.

Tu travail dans l’étude le vendredi après midi ? »

« Oui maître Pierre, je suis dans le petit bureau à côté de celui du notaire. C’est moi qui prépare les papiers pour les placements des clients de l’étude, comme vous le savez.

Chaque fois, qu’un client veut placer de l’argent, le notaire m’appelle, pour me donner tous les renseignements, pour établir tout de suite le contrat. »

« Bien. Vendredi, à 17h juste avant la fermeture de l’étude, je viendrais, pour faire un petit placement, en complément de ceux que j’ai déjà.

Ingrid, sera avec moi, un moment, elle va s’évanouir, tu prendras ton dossier dans le coffre, qui sera ouvert, et tu le glisseras dans ma sacoche qui sera sur ou à côté du bureau.

Pour la suite, pour tous les détails Ingrid et toi, vous avez deux jours, pour voir cela, pour vous préparer.

Ces deux jours, il ne faut pas, que le notaire se doute de quoi que ce soit, je te demande d’attendre encore deux jours. Dans deux jours, tu seras libre de l’emprise de cette ordure.

Acceptes-tu, de ne rien montrer, de rester, telle que tu es avec lui, d’attendre encore deux jours, pour être totalement libéré de cette ordure, et malheureusement, quoi qu’il te demande ? »

J’ai regardé maître Pierre, il allait, avec dame Ingrid, prendre des risques pour moi. Il m’acceptait comme sa chose, sa putain, comme son sac à foutre.

Ils allaient tout faire pour me libérer de l’emprise du pervers, empêchait qu’il ne fasse du mal à ma tante.

« Maitre Pierre, j’ai une totale confiance en vous, en dame Ingrid. Quoiqu’il se passe ces deux jours, quoiqu’il me demande, il ne remarquera rien. Je vous le promets.

Qu’est-ce deux jours par rapport aux années où j’ai eut à le subir. A subir la perversité de cet être nauséabond.

De savoir ce que vous voulez faire, vous mon bon maître, et dame Ingrid, pour moi, votre chose, votre putain, votre sac à foutre. J’accepte, avec humilité. »

Dame Ingrid m’a tendu la main, je me suis approché, elle a pris ma main, m’a embrassé. Je tremblais, je croyais rêver.

« Immonde, honore ton nouveau maître, notre maître. »
Invité

Re: INGRID

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pfiouuuu encooooooooooooooooooooooooore
DeLsEp9

Re: INGRID

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Cedille92 a écrit :pfiouuuu encooooooooooooooooooooooooore
A ce point ................. :heink:
DeLsEp9

Re: INGRID

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-28-


Ils allaient tout faire pour me libérer de l’emprise du pervers, empêchait qu’il ne fasse du mal à ma tante.

« Maitre Pierre, j’ai une totale confiance en vous, en dame Ingrid. Quoiqu’il se passe ces deux jours, quoiqu’il me demande, il ne remarquera rien. Je vous le promets.

Qu’est-ce deux jours par rapport aux années où j’ai eut à le subir. A subir la perversité de cet être nauséabond.

De savoir ce que vous voulez faire, vous mon bon maître, et dame Ingrid, pour moi, votre chose, votre putain, votre sac à foutre. J’accepte, avec humilité. »

Dame Ingrid m’a tendu la main, je me suis approché, elle a pris ma main, m’a embrassé. Je tremblais, je croyais rêver.

« Immonde, honore ton nouveau maître, notre maître. »

*****************************************


J’ai regardé maître Pierre il a fermé les, yeux. Je n’ai pas réfléchi. Je me suis précipité, mon corps s’est précipité. Ma bouche l’a gobé, ma langue, tout mon corps se donnait, jamais je n’avais ressenti une telle envie, de donner du plaisir à un homme.

Mon corps voulait donner du plaisir à mon nouveau maître, je lui ai tout donné, je me suis donné à lui. J’avais confiance, une totale confiance.

Ma bouche, ma vulve, mes fesses, je lui ai tout donné. Je le voulais. Il m’a baisé, m’a sodomisé, a éjaculer dans ma bouche, dans mon ventre, dans mes fesses.

Il me remplissait de son foutre, chaque goutte de son foutre était un océan de bonheur pour moi.

Dame Ingrid, s’est rapprochée, quand il m’a sodomisée, je l’ai regardé, je rayonnais de bonheur, son maître avait accepté, dame Ingrid avait dit oui.

J’ai tendu la main, je ne savais plus ce que je faisais. Je voulais être leur chose, leur putain. Je voulais, qu’ils comprennent que j’étais totalement d’accord.

Elle a regardé notre maître, j’ai tournée la tête, il a fait oui de la tête.

Elle s’est approchée, s’est retournée, je l’ais léchée, je lui ai dévoré, sa vulve, ses fesses. Pendant que notre maître me sodomiser, je voulais donner du plaisir à dame Ingrid.

Je me savais capable de le faire, je le voulais, je voulais que les deux ai du plaisir par moi. Par la chose, par la putain que j’étais.

Je me suis concentré, sur dame Ingrid, je voulais, son plaisir, mes fesses, mon anus, se devait à maître Pierre. Je refusais que mon corps ait du plaisir. Je me devais à leurs plaisirs, à leurs jouissances.

Mon plaisir, par mon plaisir, était bloqué dans un coin de mon cerveau.

Mon cerveau qui ne sentait que la verge, le vit, le chibre de mon maître en moi. Mon cerveau qui ne voyait que la vulve, les fesses, qui ne voyait que la chatte, le cul, de dame Ingrid devant ses yeux.

Dame Ingrid a jouie, j’ai bu sa jouissance avec plaisir, avec délectation.

Peut de temps après, l’impensable est arrivée. Je l’ai vue, l’ai lut, dans les yeux de dame Ingrid.

J’ai entendu maître Pierre jouir, l’ai senti jouir dans mes entrailles.

Il a hurlé sa jouissance, en se vidant en moi.

Mes fesses, mon cul, mon anus, mes entrailles étaient arrivées à faire jouir maître Pierre.

Quand il s’est retiré, de mes fesses, je me suis retourné, ma langue ma bouche voulait le nettoyer. Voulait encore savourer ce délicieux membre, qui avait jouie, qui s’était vidé en moi.

Dame Ingrid, était en train de le faire. Les yeux de maître Pierre brillaient.

Je sentais le foutre de mon maître qui doucement s’écouler de moi. Je me suis contracté. Mon anus, délicieusement ouvert comme un fruit trop mur, par le sexe de mon maître, doucement se refermait.

Trop doucement à mon gout. Je voulais garder en moi la jouissance de maître Pierre. De sentir, sa jouissance s’enfuir de moi, de la sentir s’écouler doucement, je me voyais mourir à petits feux, au rythme de l’échappée de son divin foutre de mes entrailles.

« Aller vous laver, je vais dans la voiture chercher les provisions. Vous préparerez le repas, pendant que je me doucherais.

Immonde, donne moi le sac. »

Je me suis approché, lui ai tendu le sac,

Il l’a ouvert, m’a tendu une robe.

« Elle devrait être à ta taille.

Va te laver maintenant, petite putain. »

J’ai pris la robe, lui ai embrassé les mains en le remerciant. Je pleurais de bonheur, du bonheur, d’avoir enfin un bon maître, maître Pierre.

J’ai rejoint dame Ingrid dans la salle de bain. Elle m’a tendu les bras.

Elle m’a embrassé.

« Immonde, je suis fière de toi, tu es la deuxième femme qui a pu faire jouir notre maître.

Quand mon maître m’a demandé mon avis sur toi, qu’il m’a raconté ce que le notaire t’avais fait, mon sang n’a fait qu’un tour.

J’ai immédiatement accepté, je ne pouvais pas te laisser dans les mains de cette ordure.

Raison de plus, qui fait que je n’ai aucun regret. »

Nous nous sommes lavées mutuellement, comme deux collégiennes, nous rigolions, comme deux adolescentes. Nous nous sommes séchées.

Dame Ingrid, m’a tendue comme un tablier de serveuse. Elle avait le même. Il cachait, enfin, cachait est un bien grand mot, tant le tablier se résumé à un demi cercle d’environ, 20 centimètres de diamètre.

J’ai coiffée dame Ingrid avec soins, elle m’a coiffée.

Nous sommes revenues dans la cuisine, je suivais dame Ingrid. Elle s’est approchée de maître Pierre qui buvait un verre d’eau.

« Immonde viens à côté d’Ingrid. »

Il s’est penché, en nous regardant.

« Voyons si ma petite chienne, et ma putain sont propres. »
Invité

Re: INGRID

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Han trop bien :clea:

j'adore Jak
DeLsEp9

Re: INGRID

Message par DeLsEp9 »

Cedille92 a écrit :Han trop bien :clea:

j'adore Jak

que de l'inédit maintenant...................


Content que cela te plaise.
Invité

Re: INGRID

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Oui t'arrive très bien a transmettre le ressenti d'Odile et Ingrid :jap:
DeLsEp9

Re: INGRID

Message par DeLsEp9 »

Cedille92 a écrit :Oui t'arrive très bien a transmettre le ressenti d'Odile et Ingrid :jap:


Je pense leur envoyer le récit.
Invité

Re: INGRID

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Tu devrais oui
Laphoenix75

Re: INGRID

Message par Laphoenix75 »

et on pourrait leur parler ? :)
Invité

Re: INGRID

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Laphoenix75 a écrit :et on pourrait leur parler ? :)
Han moi je pourrai jamais, je serai trop impressionnée quoi
Laphoenix75

Re: INGRID

Message par Laphoenix75 »

Cedille92 a écrit : Han moi je pourrai jamais, je serai trop impressionnée quoi
bah je sais pas si je bafouillerai pas, mais j'aimerai beaucoup pouvoir leur parler... :jap:
Invité

Re: INGRID

Message par Invité »

Laphoenix75 a écrit : bah je sais pas si je bafouillerai pas, mais j'aimerai beaucoup pouvoir leur parler... :jap:
Et moi donc :jap:
DeLsEp9

Re: INGRID

Message par DeLsEp9 »

Cedille92 a écrit : Et moi donc :jap:

Elles sont mariées toutes les deux, heureuse, de leurs vies actuelles, d’après ce que Ingrid m'a dit il y a quelques temps.

Pour le reste, ce n'est pas moi qui vais leur demander quoi que ce soit.

Ce qui est logique pour moi, une page de la vie est tournée.

.
Invité

Re: INGRID

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Et on peut avoir une suite :d
Supprimé

Re: INGRID

Message par Supprimé »

Eh bien dit moi...

:hi:

je suis connecter chez ma soeur, alors un ptit coucou en passant

moi je n'aimerais pas les rencontrer, elles ont une vie ordinaire et leurs faire revivre leurs passer n'est peu être pas une bonne idée... Pour leurs remettent le récit, je trouve qu'elles doivent choisir... C'est très personnel et peu déranger leurs vies actuelles... cela dit elles ont aimé cette parenthèse de leurs vie... Mais parfois le passer doit dormir à jamais


bisous a vous tous :love: :love:
DeLsEp9

Re: INGRID

Message par DeLsEp9 »

-29-


Nous nous sommes lavées mutuellement, comme deux collégiennes, nous rigolions, comme deux adolescentes. Nous nous sommes séchées.

Dame Ingrid, m’a tendue comme un tablier de serveuse. Elle avait le même. Il cachait, enfin, cachait est un bien grand mot, tant le tablier se résumé à un demi cercle d’environ, 20 centimètres de diamètre.

J’ai coiffée dame Ingrid avec soins, elle m’a coiffée.

Nous sommes revenues dans la cuisine, je suivais dame Ingrid. Elle s’est approchée de maître Pierre qui buvait un verre d’eau.

« Immonde viens à côté d’Ingrid. »

Il s’est penché, en nous regardant.

« Voyons si ma petite chienne, et ma putain sont propres. »

*****************************************


Ses doigts, nous fouillaient, nous trituraient, nous pinçaient le clitoris. J’ai vue dame Ingrid se raidir, deux secondes après il pinçait mon clitoris, qui était énorme. Je me suis raidi, je ne bougeais plus. Des décharges parcouraient mon ventre, mes reins.

Pendant quelques temps, il a joué avec nous. Il pinçait, relâchait, nous fouillait, jouer avec nos muqueuses. Au bout de six minutes, j’ai hurlé mon plaisir, ma jouissance dans ses doigts. J’avais la pendule de la cuisine, devant les yeux.

Dame Ingrid a tenue plus longtemps, beaucoup plus longtemps. Presque 25 minutes, j’ai jouie 6 fois, alors que dame Ingrid n’a joui qu’une foi, mais une fois qui valait toutes les miennes.

Elle a hurlée, j’entendais la louve qu’elle était en ce moment, hurlait à la lune, pour appeler son mâle. Elle s’est écroulée au sol, sans force.

Il m’a attiré, vers lui m’a embrassée, sa langue fouillée ma bouche, je coulais de le sentir m’embrasser, de sentir sa langue qui cherchait la mienne, de sentir ses doigts en moi, qui me fouillaient, qui jouaient avec mon clitoris. Timidement, ma langue a osée répondre, s’est laissée caresser par la langue du maître.

Ma langue s’est enhardi, est devenue coquine, elle s’est enroulée autour de celle du maître, a essayée, de la capturer. La langue du maître, se battait pied à pied, refusait de se rendre aux assauts de plus en plus volontaires, de plus en plus espiègles de ma langue.

Il m’a porté sa botte secrète, sa botte contre laquelle je ne pouvais rien.

Il m’a embrochait sur sa verge, qui m’a perforait jusqu’au cerveau. J’ai fondu, rendu les armes, me suis effondré dans ses bras, en hurlant ma jouissance comme une folle.

En quinze minutes montre en main, j’avais jouie sept fois, sept orgasmes dévastateurs, j’étais sans force.

J’ai entrevue dame Ingrid, nous regardait. Le maître qui me maintenait embroché sur son vit, au plus profond de mon ventre, moi hurlant ma jouissance, comme jamais je ne l’avais ressenti.

Jamais un homme, en si peut de temps, avec autant de simplicité ne m’avait transporté, ne m’avais autant fait jouir, sans un mot, par pur plaisir, pour mon plaisir.

Il m’a pris dans les bras, m’a porté sur le canapé dans le salon. M’a allongé. Il m’a couverte. Il était doux, il était prévenant.

« Repose toi vingt minutes, tu en as besoin. »

Vingt minutes plus tard la louve hurlait de nouveau à la lune appelant son mâle. Le maître est rentré, dans le salon, portant dame Ingrid, il m’a regardé.

« Lève toi, elle doit se reposer vingt minutes, elle aussi, elle en a besoin. »

Je me suis levé, il m’a claqué les fesses.

« Commence à faire à manger, je me repose aussi.

Dans vingt minutes tu viens me réveiller, pour que je prenne ma douche. Et qu’Ingrid t’aide en cuisine. »

J’ai préparé la table, j’ai du chercher partout, je ne connaissais pas le rangement. J’ai tout trouvé.

Je ne quittais pas la pendule des yeux. Dix minutes déjà.

Puis j’ai regardé dans le frigo, trois belles escalopes de veau, des morilles, quelques tomates. Une bouteille de pinot noir.

J’ai sorti les tomates, la moutarde. Les escalopes. J’ai posé les escalopes sur une assiette.

En cherchant un saladier, j’ai trouvé le seau à glace, je l’ai posé sur la table.

Je ne quittais pas la pendule des yeux. Quinze minutes déjà.

Sous l’évier, j’ai trouvé l’huile, le vinaigre, les échalotes.

J’ai préparé la vinaigrette, émincés les échalotes.

Je ne quittais pas la pendule des yeux. Vingt minutes.

Je me suis lavé les mains, me suis dirigé vers le salon. Je me suis agenouillé au pied du canapé maître.

Il dormait, il était magnifique. Je l’admirais, le contemplait, il était si beau dans son sommeil.

« Maitre cela fait vingt minutes. »

Il n’a pas bougé. J’ai regardé dame Ingrid, ils dormaient tous les deux.

Je me suis relevé, ma bouche a capturé délicatement le membre endormi du maître, je l’ai sucé, pompé, avec douceur, ma langue jouait avec son gland. Je sentais son sexe prendre vie, grossir, durcir, entre mes lèvres.

Une main s’est posée sur mon épaule.

Dame Ingrid était réveillé, elle était à genou à côté de moi.

« C’est bien de réveiller le maître de cette façon, il sera de bonne humeur. »

Je continuais, ma main a pris sa verge, ma langue jouait, avec son gland. J’ai gobé ses bourses, l’une après l’autre, doucement. La main du maître s’est posée sur ma tête, m’a caressé.

Pendant qu’il s’étirait, je le pompais plus vigoureusement, ma main, caressait ses bourses, les massait.

« Merci ma petite putain le réveil a était agréable. Je vais prendre ma douche. »

Il s’est levé, il est parti dans la salle de bain.

Nous sommes rentrés dans la cuisine avec dame Ingrid. Elle a vue que la table était mise.
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:love: :cinglé: :love: :cinglé: :love: :cinglé:
DeLsEp9

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-30-


Dame Ingrid était réveillé, elle était à genou à côté de moi.

« C’est bien de réveiller le maître de cette façon, il sera de bonne humeur. »

Je continuais, ma main a pris sa verge, ma langue jouait, avec son gland. J’ai gobé ses bourses, l’une après l’autre, doucement. La main du maître s’est posée sur ma tête, m’a caressé.

Pendant qu’il s’étirait, je le pompais plus vigoureusement, ma main, caressait ses bourses, les massait.

« Merci ma petite putain le réveil a était agréable. Je vais prendre ma douche. »

Il s’est levé, il est parti dans la salle de bain.

Nous sommes rentrés dans la cuisine avec dame Ingrid. Elle a vue que la table était mise.

*****************************************


« Immonde tu penses faire quoi, comme repas. »

« Salade de tomates, les escalopes de veau aux morilles, le pinot noir, qui est dans le frigidaire comme boisson. »

« D’accord, je nettoie les morilles. »

Je coupe les tomates, en quartier, les mets dans la vinaigrette, je mélange doucement. Ne pas remuer les tomates, trop violement, qu’elles gardent leurs saveurs.

Nous préparions les escalopes, quand le maître entre dans la cuisine.

« C’est bien, l’odeur est agréable, et deux cuisinières dans cette tenue, cela me détend. »

Il s’est assit, nous a regardé finir de préparer le repas. Ingrid a sorti le vin du frigidaire, l’a mit dans le seau à glace, qu’elle avait préparé auparavant devant l’assiette du maître, a posé le tire bouchon à côté.

J’ai arrêté le gaz, mit un couvercle sur la sauteuse.

Ingrid a cherché le pain l’a posé à côté du maître. J’aie posé le saladier, servit le maître. Il nous a regardés. Son regard brillait.

« Exceptionnellement, vue l’arrivée d’Immonde, vous mangerez à table. Ce sera la seule et unique fois.

Assoyez-vous. »

Avec dame Ingrid, on s’est regardé, nos yeux brillaient de reconnaissance pour notre maître.

J’ai cherché, nos couverts, les verres. Dame Ingrid, a pris nos deux assiettes qui étaient posaient près de celle du maître, les a placées, où nous devions nous asseoir, le maître nous a servi.

Le repas s’est bien passé.

A la fin du repas, avant de partir. Il s’est approchée de nous deux.

Nous étions agenouillées. Nous étions tristes de voir partir notre maître.

« Préparez bien ce que vous devez faire vendredi soir, je ne peux pas me permettre un loupé.

Je ne l’admettrais pas, ne l’accepterais pas.»

Il a caressé la tête de dame Ingrid.

« Tu es une brave, une belle chienne Ingrid. »

Le maître s’est approché de moi.

« Immonde tu m’as surpris, agréablement surpris.

Tu es une bonne putain.

Tu as fais le bon choix. »

J’ai manqué jouir de l’entendre me dire cela.

Le maître est reparti, pour Trèves.

Nous avons tout rangé, dame Ingrid, m’a emmené dans une chambre où il y a avait deux lits.

« Cette nuit, nous dormons ici. »

« Maintenant, viens avec moi dans le salon, il faut que l’on mette tout au point, que nous étudions tout dans les moindres détails, pour récupérer le dossier de ton pervers.

Tu as entendu notre maître. Nous devons tout envisager, ne rien laissé au hasard.»

Nous avons tout préparé, calculé, pensé. Nous nous sommes couchés à deux heures du matin.

A six heures debout, la douche, café.

Ingrid, m’a déposé, sur le trajet du bus qui me déposait habituellement à l’étude.

Elle est arrivée comme toujours à 9 heures. Le notaire m’a juste demandé ce que j’avais eut.

« J’ai vomis, j’avais des douleurs abdominales insoutenables, maître Wagner. »

Il a acceptait mes excuses, ne m’a rien demandé de plus.

Le soir comme convenue je suis rentré chez moi. Parfois il me téléphonait, on ne sait jamais. Nous étions si près du but.

Le lendemain vendredi, le jour J. la journée s’est bien passé. Arrivé 16 h45 j’ai commencé à angoisser.

A 17h10 le téléphone a sonné dans mon bureau, le pervers, me demandait de ramener le dossier des placements de monsieur Pierre Schmidt.

J’ai pris le dossier, ma main s’est posée sur la poignée de la porte du bureau du pervers. J’ai respiré, me suis calmé, je suis rentré, le notaire était en train de se diriger vers le coffre ouvert avec l’argent.

Je me suis approché de lui, me suis mis entre lui et le coffre.

En même temps que je tendais le dossier au pervers, dame Ingrid qui était debout à côté de maître Pierre s’effondrait au sol. Mon dossier m’a échappée des mains, s’est répandu au sol.

Maitre Pierre, a interpellé le notaire.

« Maitre Wagner, venez m’aider à allonger Ingrid sur le divan. »

Le notaire m’a regardé, m’a tendu l’argent.

« Odile range ceci dans le coffre et ferme le coffre. »
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trop bien j'adore
DeLsEp9

Re: INGRID

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-31-


J’ai pris le dossier, ma main s’est posée sur la poignée de la porte du bureau du pervers. J’ai respiré, me suis calmé, je suis rentré, le notaire était en train de se diriger vers le coffre ouvert avec l’argent.

Je me suis approché de lui, me suis mis entre lui et le coffre.

En même temps que je tendais le dossier au pervers, dame Ingrid qui était debout à côté de maître Pierre s’effondrait au sol. Mon dossier m’a échappée des mains, s’est répandu au sol.

Maitre Pierre, a interpellé le notaire.

« Maitre Wagner, venez m’aider à allonger Ingrid sur le divan. »

Le notaire m’a regardé, m’a tendu l’argent.

« Odile range ceci dans le coffre et ferme le coffre. »

*****************************************


J’ai pris l’argent, me suis tourné vers le coffre, tout en vérifiant que le pervers, allé aider maître Pierre. Ce qu’il a fait.

J’ai posé l’argent, sur l’étagère du haut. Maitre pierre et le pervers, portaient dame Ingrid. Le pervers me tournait le dos.

Je me suis baissé j’ai sorti le dossier mauve, l’ai glissé dans la sacoche de maître pierre, j’ai fermé le rabat de la sacoche.

J’étais à genoux, en train de fermer doucement, comme à mon habitude, la porte du coffre, quand le regard du pervers à croisé le mien.

J’ai baissé les yeux, comme chaque fois que cela se passait.

J’ai ramassé mon dossier. J’étais en train de le trier, quand le pervers est venu se rasseoir.

« Mais quelle gourde tu fais Odile.

Il va falloir que l’on règle cela ce soir. »

En même temps sa main se glissait sous ma jupe.

En me regardant d’un air goguenard, il me pinçait violement les grandes lèvres.

Je ne disais rien, des larmes commençaient à couler, tant il me faisait mal.

J’ai pris mon stylo, j’ai commencé à noté tous les renseignements qu’il me dictait.

Dans le même temps, deux de ses doigts, étaient en train de violer ma vulve.

Stoïquement je ne bougeais pas, il fallait que je réagisse comme toujours, qu’il ne remarque rien.

Maitre Pierre a assis dame Ingrid, elle avait les jambes écartées, la jupe presque remontée jusqu’à la taille.

Le regard du pervers, fixait l’entre jambe de dame Ingrid, il était comme hypnotisé. Maitre pierre me regardait, j’ai fait oui de la tête.

« Maitre Wagner, j’ai tous les renseignements, je vais préparer le contrat. »

« Euh oui, faits, faits, Odile, tu me le ramènes quand il est fini. »

Je suis sorti, j’ai préparé le contrat, enfin avec une modification de taille.

Celle là, c’est moi qui l’avais décidé. C’était mon cadeau à maître Pierre. Je le lui devais bien, il prenait tous les risques pour me sortir des griffes du pervers.


Au lieu des 4.5% d’intérêts imposable, j’ai tout calculé avec 8% d’intérêts net d’impôts. J’ai calculé, cela faisait 12.7% brut.

J’ai également, joint un avenant au nouveau contrat, reprenant les numéros des placements précédents de monsieur Pierre Schmidt.

Cet avenant indiquait que cela s’appliquait à tous les placements depuis la date de départ de chacun.

J’ai joint en annexe, les nouveaux tableaux pour chaque somme placée. J’ai joint également un tableau récapitulatif, qui reprenait tous les placements.

Je jouissais, j’étais en train de ruiner ma jupe, mon siège.

J’ai pris mon téléphone.

« Maitre Wagner, le contrat est prêt. »

« Apporte-le tout de suite. »

Je suis sorti de mon bureau, j’avais l’impression de voler, d’être sur un nuage.

L’heure de ma vengeance avait sonné.

Je suis rentré dans le bureau, comme toujours j’ai tendu le contrat au client en premier.

Maitre Pierre l’a pris, a lu.

Dame Ingrid debout à gauche du siège m’a fait le signe convenue. Je me suis déplacé à la droite de maître Pierre. Me suis agenouillée en fixant le pervers.

Il était blanc, il bavait.

« Odile, qu’est ce que cela signifie. »

Il s’est levé, s’est approché de moi la main levé.

Maitre Pierre, l’a regardé, n’a pas bougé.

« La chose assis, tout de suite. »

Notre maître, ne s’est pas énervé, il était calme, froid, déterminé.

Le pervers a fait encore un pas, avant d’entendre, de réaliser les mots que Maitre Pierre venait de lui asséner en appuyant sur chaque syllabe, sur chaque mot.

Dame Ingrid, s’était agenouillée. Elle présentait à notre maître, entre ses deux mains deux sticks en bambous, qu’elle avait sortis de ses cuissardes.

Les yeux du pervers étaient fous, il bavait, il éructait.

« La chose je ne répéterais pas.

Assis, tout de suite. »

Le pervers, s’est assis, il bavait, il était cireux, il tremblait.

Le maître a pris sa sacoche il a sorti le dossier mauve, l’a posé, sur ses cuisses.

« La chose vous aller bien m’écouter, je ne répéterais pas. »
Invité

Re: INGRID

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Han c'te suspens... c'est pas humain de couper maintenant :valfa:
DeLsEp9

Re: INGRID

Message par DeLsEp9 »

Cedille92 a écrit :Han c'te suspens... c'est pas humain de couper maintenant :valfa:

Messie, messie.


Oups

mais si.
:mdr: :mdr: :mdr: :mdr:
Invité

Re: INGRID

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siteplé Jak c'est pour mon moral :modo: :modo: :modo:
DeLsEp9

Re: INGRID

Message par DeLsEp9 »

Cedille92 a écrit :siteplé Jak c'est pour mon moral :modo: :modo: :modo:
Dés que je reviens au bureau
Invité

Re: INGRID

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:barbidule: :cecyls: MERCI JAK :barbidule: :cecyls:
DeLsEp9

Re: INGRID

Message par DeLsEp9 »

-32-


Dame Ingrid, s’était agenouillée. Elle présentait à notre maître, entre ses deux mains deux sticks en bambous, qu’elle avait sortis de ses cuissardes.

Les yeux du pervers étaient fous, il bavait, il éructait.

« La chose je ne répéterais pas.

Assis, tout de suite. »

Le pervers, s’est assis, il bavait, il était cireux, il tremblait.

Le maître a pris sa sacoche il a sorti le dossier mauve, l’a posé, sur ses cuisses.

« La chose vous aller bien m’écouter, je ne répéterais pas. »

*****************************************


Il a pris les deux sticks en bambous, que dame Ingrid lui tendait, les a vérifiés. Il en tendu un à dame Ingrid, l’autre à moi-même.

Il nous a fait signe de nous placer, de chaque côté du pervers.

« Premier point, la chose, les mains à plat sur le bureau. »

La chose a obtempéré, sans moufter.

« Si je vous voie bouger, Ingrid, ma chienne, que vous avez voulu me voler, Odile qui m’a demandait protection, ont chacune une consigne, la même.

Si je leur fait un signe, simplement celui là. »

Les deux sticks se sont abattus sur chaque bras du pervers. Pas un coup fort, mais un coup sec, un coup qui faisait mal.

Le pervers a commençait à pleurer.

« Bien la chose, je voie que vous êtes tout ouïe, que j’ai toute votre attention.

Pourriez-vous avoir l’obligeance de me répondre quand je m’adresse à vous, la chose.»

Le maître a refait le signe, les deux sticks ont frappé au même endroit qu’auparavant, de la même façon. Un coup sec, un coup qui faisait mal.

Le pervers tremblait, pleurait, reniflait.

« Oui, oui monsieur Schmidt, je suis tout ouïe, vous avez toute mon attention. »

« Bien, je voie que nous nous comprenons parfaitement. »

« Tout à fait Monsieur Schmidt, tout à fait. »

Maitre Pierre, a ouvert le dossier, il est devenu blanc. Il a regardé tous les polaroids, les uns après les autres.

Par moment il levait la tête, me regardait. Je voyais de la compassion dans son regard, qui se changer en haine quand il regardait le pervers.

Il a prit un des polaroids, qu’il avait mis de côté. L’a regardé avec attention.

Sans lever la tête.

« La chose, une loupe, vite. »

La chose, a ouvert son tiroir central du bureau. J’ai entrevue quelque chose de bizarre. Mon stick, l’a frappé sur le dos de la main, mais là le coup était plus fort, mais pas trop, ne pas lui casser les os.

Lui faire mal, très mal, ne pas l’estropier, telle était la consigne de maître Pierre. La chose a retiré ses mains du tiroir, il m’a regardé, avec des yeux remplis de haine.

Maitre pierre m’a regardé surpris.

« Mon maître pourriez vous venir, s’il vous plait. »

Maitre pierre s’est levé, s’est approché. Dame Ingrid qui ne savait pas ce qui se passé à lever son stick, elle aussi, était prête à frapper, si nécessaire.

J’ai repoussé le siège à roulette de la chose, me suis mit entre la chose et le bureau, entre la chose et mon divin maître. Le stick levé, prête à massacrer la chose, s’il osé bouger, ne serait ce qu’une paupière.

Depuis que j’étais rentré dans le bureau, que maître Pierre m’avait donné le stick, de voir le pervers, qui pleurait, qui gémissait, je coulais en permanence, j’étais à la limite de la jouissance.

Maitre Pierre était derrière moi.

« Veuillez ouvrir le tiroir en grand, mon maître, s’il vous plait. »

J’ai entendu maître Pierre émettre un sifflement de surprise.

« Ingrid, un chiffon, dépêche-toi. »

Ingrid a foncée vers son sac, l’a ouvert.

« Je n’ai qu’une culotte mon maître. »

« Donne »

Elle lui a donné la culotte, il la prise, et a sorti un pistolet du tiroir, en le tenant par le canon.

« Un Lugger, plus qu’intéressant, la chose.

Merci Immonde, très, très bonne réaction. »

Il m’a caressé la joue en me disant cela, je coulais, j’avais l’impression, qu’un torrent s’écoulait de mon intimité. J’ai manqué m’écrouler au sol, tant cela fut intense pour moi.

Moi, sa chose, moi sa putain, son sac à foutre, il me félicitait, il me caressait la joue.

Maitre Pierre s’est rassie. Il a enveloppé le pistolet dans la culotte, l’a mis dans sa sacoche. J’ai vue une loupe dans le tiroir. Je l’ai posé devant lui sur le bureau, j’ai refermé le tiroir.

« Bien la chose, les données ont changées. »

Debout. »

Le pervers, s’est levé.

« Pantalon, slip sur les chevilles. »

Il a vue la main du maître se lever. Il a ouvert sa ceinture, les boutons, son pantalon lui est tombé sur les chevilles, son slip a suivit.

« C’est bien d’obéir, la chose.

Au bord du bureau, le ventre, le torse sur le bureau. Les mains qui tiennent le bord opposé. »
Invité

Re: INGRID

Message par Invité »

Rho nan sérieux... c'est énorme :ouch: :ouch: :ouch:

pinaise arrêteuuuuuuh de faire du sispens keumeuça :hornet:

une suite siteplé, siteplé :ouimaitre:
DeLsEp9

Re: INGRID

Message par DeLsEp9 »

-33-


« Bien la chose, les données ont changées. »

Debout. »

Le pervers, s’est levé.

« Pantalon, slip sur les chevilles. »

Il a vue la main du maître se lever. Il a ouvert sa ceinture, les boutons, son pantalon lui est tombé sur les chevilles, son slip a suivit.

« C’est bien d’obéir, la chose.

Au bord du bureau, le ventre, le torse sur le bureau. Les mains qui tiennent le bord opposé. »

*****************************************


J’ai vue la main du maître qui commençait à égrener les secondes. A huit la chose était dans la position que notre maître lui avait indiquée.

« Bien la chose, vous avez vous-même indiqué, la valeur. »

« Ingrid, huit, officie. »

La main de dame Ingrid, s’est levée et le stick s’est abattu huit fois sur la fesse gauche.

« Immonde, huit, officie. »

J’ai levé la main et le stick s’est abattu huit fois sur la fesse droite.

Avec dame Ingrid, nous sommes regardé, une drôle d’odeur venait de la chose. Nous nous sommes penché, la chose se vidait, il urinait et déféquait en même temps.

Pendant ce temps, notre maître avait pris la loupe, et étudiait avec attention la photo.

« Immonde tu es né quand ? »

« En 1957, mon maître, le 4 juin 1957. »

« Tu es arrivé quand dans l’étude. »

« Fin aout 1972, il m’a violé la première fois le 4 septembre 1972, j’avais 15 ans et 3 mois. »

Notre maître s’est tourné vers la chose.

« Bien la chose, j’ai trouvé ce que je voulais. Tu voies cette photo, je vais la faire agrandir.

On voie le calendrier. Tu sais ce beau calendrier que tu as au mur, derrière toi. Avec les rondelles magnétiques.

Sur la photo, sur cette photo, où tu es en train de t’occuper d’Odile, enfin, je pense que tu es en train de la sodomiser.

Tu sais quelle date il ya d’indiqué.

Allez la chose, réfléchie un peu.

Je vais te donner un indice.

6 jours

Espèces d’immondice, d’ordure, tu l’as violé elle avait à peine plus de 15 ans, et tu l’as sodomisé six jours plus tard.

La date indiquée sur le calendrier, est le 10 septembre 1972. »

La chose a gémi.

« Oui Monsieur Schmidt, je suis une immondice. »

« Dorénavant, tu traiteras Dame Ingrid, et dame Odile, avec déférence. Tu devras les appeler comme je viens de le faire.

A la moindre incartade, au moindre faux pas, ces photos, les tiennes du moins, car à ce que je voie, il y a d’autre personnes qui ont abusé de la jeunesse de cette pauvre Odile.

Donc tes photos atterrissent chez mes amis des R.G.

Tu as bien compris gros tas de merde. »

« Oui, oui monsieur Schmidt, j’ai bien compris, dame Ingrid, et dame Odile. »

« Ne t’avise jamais, de lever, ne serais ce qu’un cil sur une des deux.

La tante, de cette pauvre Odile, fait partie intrinsèque des conditions.

Si elle subit le moindre désagrément, les photos sortent.

Tu m’as bien compris.»

« Oui oui monsieur Schmidt, j’ai bien compris. »

« Passons aux affaires, assieds toi.

Immonde, le siège. »

J’ai glissé le siège à roulettes sous les fesses du notaire. Quand il s’est assit, nous avons entendu, comme un splash, puis un bruit de ventouse. Avec Ingrid nous nous sommes regardés, au bord d’éclater de rire.

« Maitre il s’est fait dessus. »

« Raison de plus de l’appeler, tas de merde.

Non dorénavant pour vous deux, toi ma chienne, et toi ma putain, il sera la chose. »

« Bien mon maître, il en sera fait selon vos ordres. »

« Bien mon maître, il en sera fait selon vos ordres. »

« Bon le tas de merde, voila le contrat, j’ai vue qu’Immonde, Dame Odile pour toi, a apporté des modifications, elle me semble justifié, au vue de ce que je viens de découvrir.

Tu relis, tu signes les deux exemplaires.

Si tu n’honores pas le contrat, cela te coutera le double et les photos sortent.

Tu as bien compris. »

« Oui Monsieur Schmidt, j’ai compris, le double si je n’honore pas, les photos sortent. »

Nous avons vue le notaire lire, se tétaniser, quand il a lut les taux d’intérêts. Il a suffoqué à moitié, quand il a vue, les avenants, les annexes.

Il a pris son stylo, a paraphé chaque feuille, a signé aux emplacements adéquats. Il a tendu les liasses à notre maître. Qui a fait de même.
Invité

Re: INGRID

Message par Invité »

:bravo: :bravo: :bravo: :bravo:
trop bien ce Pierre, lé trop balaise :love:
DeLsEp9

Re: INGRID

Message par DeLsEp9 »

-34-


« Bon le tas de merde, voila le contrat, j’ai vue qu’Immonde, Dame Odile pour toi, a apporté des modifications, elle me semble justifié, au vue de ce que je viens de découvrir.

Tu relis, tu signes les deux exemplaires.

Si tu n’honores pas le contrat, cela te coutera le double et les photos sortent.

Tu as bien compris. »

« Oui Monsieur Schmidt, j’ai compris, le double si je n’honore pas, les photos sortent. »

Nous avons vue le notaire lire, se tétaniser, quand il a lut les taux d’intérêts. Il a suffoqué à moitié, quand il a vue, les avenants, les annexes.

Il a pris son stylo, a paraphé chaque feuille, a signé aux emplacements adéquats. Il a tendu les liasses à notre maître. Qui a fait de même.

*****************************************


« Pour éviter toutes contestation ultérieur, mon cher tas de merde, tu vas rajouter qu’il y a deux témoins, Dame Ingrid, et dame Odile, tu connais ce qu’il faut écrire, alors officie. »

Il a complété, a tendu les deux liasses à dame Ingrid, puis a moi, avec un sourire, qui ne me disait rien qui vaille, mais mon maître était là, il ne pouvait rien m’arriver.

Nous avons toutes les deux signées, et paraphées.

J’ai tendu les liasses à maître Pierre, qui m’a fait un clin d’œil. J’ai manqué m’écrouler sur place, à la limite de la jouissance.

« J’aime que les affaires soient rondement menées.

Dernière chose, ma chienne, et ma putain, viennent travailler, de lundi à mercredi, dorénavant, elles seront dans le même bureau.

Jeudi et vendredi, elles sont en congés.

Bien compris monsieur le notaire. »

« Oui oui monsieur Schmidt, j’ai bien compris, dame Ingrid, et dame Odile sont en congé jeudi et vendredi. Lundi dame Odile rejoindra dame Ingrid dans son bureau. »

« Juste une dernière chose. J’emmène votre Lugger, j’adore les armes anciennes. Je vous remercie du fond du cœur, de me l’avoir offert. »

Je regarde Immonde, elle semble épuisée.

Je lui tends la bouteille d’eau.

« Bois, tu en as besoin. »

« Puis je me permettre mon maître. »

« Pour quelle raison Immonde ? »

« Pourriez-vous vérifier que l’objet que vous avez introduit en moi fonctionne encore. »

Elle se rapproche de moi, s’allonge sur la banquette, écarte ses cuisses, ses deux mains se posent de part et d’autres de sa vulve glabre, écartant ses grandes lèvres. Elle dégouline, sa vulve sécrète en permanence, je voie que la couverture est trempée.

L’extrémité du vibro qui est introduit dans sa vulve apparait entre ses petites lèvres. Je pose mon doigt dessus il vibre, je sens un changement de fréquence de vibration, à ce moment précis.

Je regarde Immonde, qui baisse son regard, mais j’ai eut le temps de voir l’éclair de joie, un éclair de fierté dans son regard.

Je regarde la montre de la voiture il est 12 h 30.

« Cela fait 1 h30 que vous avez toutes les deux un vibro en vous, et que vous vous contrôlez, que vous gérez votre jouissance. »

Le regard d’Ingrid me fixe un moment dans le rétroviseur. Il est aussi fier que celui d’Immonde.

« Oui mon maître, votre putain et moi-même sommes heureuse que vous l’ayez remarqué.

Mon maître, il serait bon que vous rhabilliez, nous allons arriver dans Thionville. »

« Immonde mes habits. »

Immonde se penche par-dessus, le dossier avant pour récupérer mon pantalon, et mon slip.

Je la bloque, examine ses fesses. La pommade, fait de l’effet, il n’y plus que des traces légèrement bleues, même pas deux heures après.

C’est bien Immonde, tu peux t’asseoir, tes fesses cicatrisent bien.

« Mon maître, vos mains sont si douces, et si dur quand il le faut. »

Immonde s’agenouille, essuie le siège avec la couverture, pose mon pantalon et mon slip. Elle se penche, m’enlève mes chaussures. Elle enfile mon slip, en me faisant lever les pieds.

Au moment, de passer mes fesses, elle arrête, me regarde, sa main, prend délicatement ma verge, ses lèvres l’embrasse, sa langue me caresse. Elle joue quelques minutes avec.

« J’en avait envie mon maître, par pure gourmandise. Je souhaite ardemment ne pas vous avoir frustré, ni éveillé d’envie, sinon je me ferais une joie de vous soulager, immédiatement. »

« Allons faire ce que nous avons à faire, Immonde, ton maître comprend. Il comprend, que du fait du décès de maître Pierre tu sois chamboulé. Mais ne recommence jamais, sans y avoir était invité.

Pour la peine, viens ici, écarte. »

Elle s’agenouille, écarte ses cuisses. Je sors brusquement le god, le met sur 9, le remet en place aussi vite.

« Il est 12 h 40. Si tu jouies, avant 13 h 10, chaque minute en moins, tu auras, 2 coups de fouet ou de cravache.

Chaque dizaine de minute, dix coups supplémentaires. »

Comme ton maître comprends que tu sois troublé par tous ces événements, si tu jouis avant 13 h 10, ta punition sera divisé par deux.»

Tu as compris Immonde ? »

« Oui mon maître. »

« Je te dirais seulement qu’il n’est pas sur 10.

Maintenant, fini de m‘habiller. »

Immonde m’enfile mon slip, mon pantalon, le ferme, me met mes chaussure, les lace.
Laphoenix75

Re: INGRID

Message par Laphoenix75 »

:love: :love: :love: encooooore s'iiil te plaaaîîîît
DeLsEp9

Re: INGRID

Message par DeLsEp9 »

Laphoenix75 a écrit ::love: :love: :love: encooooore s'iiil te plaaaîîîît

J'en connais deux qui se relais pour demander. :mdr:
Laphoenix75

Re: INGRID

Message par Laphoenix75 »

Jak67 a écrit :
J'en connais deux qui se relais pour demander. :mdr:

:hornet: à peine :miam:
DeLsEp9

Re: INGRID

Message par DeLsEp9 »

-35-


« Il est 12 h 40. Si tu jouies, avant 13 h 10, chaque minute en moins, tu auras, 2 coups de fouet ou de cravache.

Chaque dizaine de minute, dix coups supplémentaires. »

Comme ton maître comprends que tu sois troublé par tous ces événements, si tu jouies avant 13 h 10, ta punition sera divisé par deux.»

Tu as compris Immonde ? »

« Oui mon maître. »

« Je te dirais seulement qu’il n’est pas sur 10.

Maintenant, fini de m‘habiller. »

Immonde m’enfile mon slip, mon pantalon, le ferme, me met mes chaussure, les lace.

*****************************************


« Bien Immonde, enfile ton manteau, ferme le. »

« Maitre il y a un boucher charcutier traiteur, qui est ouvert. »

« Gare toi, nous y allons. »

Ingrid, se gare, nous sortons de la voiture, entrons dans le magasin. Il y a deux ou trois mamies, qui me dévisagent, leurs regards, passent d’Ingrid, à Immonde, à moi.

J’entends leurs pensé, les devine du moins, enfin les lis dans le dédain qui s’affiche dans leurs yeux.

Encore un maquereau avec deux putes.

« Odile, ma chérie regarde avec cette pauvre Ingrid, pour ce dont nous avions parlé. »
« Pardon mesdames, savez vous où nous pourrions trouver une grande surface, notre amie ici présente a hérité de son défunt mari, une maison, et nous ne connaissons pas du tout la région. »
« Ah bon, c’est dans le secteur sa maison ? »
« Non mesdames, c’est un peu plus loin, à Sheuerwald. »

« Mais je suis de Sheuerwald, dit une des mamies. Quelqu’un est décédé, je sais que le monsieur, qui a acheté la maison du maître des Forges, s’est tué, mais personne d’autre, enfin pas à ma connaissance. »

« Justement, la maison du maître des Forges, c’est de celle là, dont il s’agit. »

La dame âgée me prend à part et discrètement.

« Vous ne le savez certainement pas. Mais cette maison porte malheur, il parait que trois soubrettes ont disparues. Le lendemain tous les bâtiments brulaient.

Le maître des Forges, celui qui a construit la Forge, était un vicieux, enfin tous les mâles de cette famille l’ont été. Ils se promenaient toujours avec un fouet à la ceinture.

Même ceux qui ont reconstruits l’étaient. Une branche parallèle, à ceux qui ont construits au départ.

Vous savez, c’est ce que ma mère disait, elle l’a connue, le maître des Forges, celui qui a reconstruit les bâtiments, a reconstruit la Forge du diable. »

« La Forge du diable ? »

« Oui c’est le nom que nous avons toujours donné, à cette demeure. La Forge du diable.

Tout en parlant, avec la mamie, je ne lâche pas des yeux Immonde. Je regarde ma montre il est 12h50. Je voie Immonde, adossé contre un poteau, qui se mord les lèvres, les jambes croisées.

« Veuillez m’excuser deux minutes, madame, ma compagne ne se sent pas bien. Je reviens tout de suite. »

Je me dirige vers Immonde, qui me voyant m’approcher se redresse, son visage redevient presque normal, avant de se décomposer à nouveau dans les cinq secondes qui suivent.

Je le prends par le bras, l’accompagne dehors, j’ouvre la voiture, la fait asseoir, lui montre ma montre. Il est 12h55.

« Je, je je sais mon maître, je n’arrive presque plus à contenir cette jouissance qui s’insinue en moi, qui me dévore presque entièrement. »

Je ferme la porte de la voiture, j’entends Immonde commencer a hurler sa jouissance. Elle mord dans la couverture, pour étouffer son hurlement.

Je regarde ma montre, il est 12h58. Elle me regarde, je lui montre ma montre, elle baisse la tête.

Je calcul rapidement 12h 58 à 13h10 cela fait 12 minutes donc (24+10)/2, cela fait 17 coups de fouet ou de cravache.

J’ouvre la porte.

« Tu le mets sur 6 et tu nous rejoints. »

« Bien maître. »

Je reviens dans le magasin, la mamie, est en train d’essayer de parler avec Ingrid. Je m’approche.

« Jacques mein Freund, den diese Frau will ? (Jacques mon ami, que veut cette femme?) »

« Veuillez l’excuser, mais elle comprend très mal le français.

Donc, vous l’appeliez la Forge du Diable.

Et pour quelle raison, si je ne suis pas trop indiscret. »

« Il y avait toujours des loups, ou des chiens loups, qui étaient lâchés en permanence, dans la parc.

Parfois la nuit on apercevait la forge, du maître des forges, qui rougeoyait, lui torse nu, en train de fabriquer je ne sais quoi. Quand il avait fini, on entendait son rire, un rire démoniaque, le rire du diable. »

Entre temps, Immonde est revenue, elle s’occupe avec Ingrid, des achats.

« Au faites monsieur, j’ai oublié, vous prenez la route de Sierck-les-Bains, à la sortie de Thionville il y a une grande surface, sur la gauche. »

Elle s’approche, je me penche.

« Mon fils qui est le boucher de Sierck-les-Bains, fait une tournée le mardi et le vendredi matin à Sheuerwald, vous voulez que je lui demande de passer à la Forge ? »

« Pourquoi pas, surtout que la Forge va être occupé maintenant. Ce serait très gentil de votre part. »
Invité

Re: INGRID

Message par Invité »

:clea: trop bien, trop bien, trop bien :clea:

vite vite vite la suiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiite
DeLsEp9

Re: INGRID

Message par DeLsEp9 »

-36-


Parfois la nuit on apercevait la forge, du maître des forges, qui rougeoyait, lui torse nu, en train de fabriquer je ne sais quoi. Quand il avait fini, on entendait son rire, un rire démoniaque, le rire du diable. »

Entre temps, Immonde est revenue, elle s’occupe avec Ingrid, des achats.

« Au faites monsieur, j’ai oublié, vous prenez la route de Sierck-les-Bains, à la sortie de Thionville il y a une grande surface, sur la gauche. »

Elle s’approche, je me penche.

« Mon fils qui est le boucher de Sierck-les-Bains, fait une tournée le mardi et le vendredi matin à Sheuerwald, vous voulez que je lui demande de passer à la Forge ? »

« Pourquoi pas, surtout que la Forge va être occupé maintenant. Ce serait très gentil de votre part. »

-/-


J’arrive au comptoir, deux énormes cartons sont remplis. Ingrid, et Immonde me regarde avec un énorme sourire.

Ingrid me tend la facture, elles n’ont pas lésiné, il y a de tout, mais le total est de 1.650FRF.

Ma main plonge dans ma poche, je sors ma pince à billet, où, j’avais mis 2.000FRF en billet de 100 FRF, 2.000 FRF en 500 FRF.

Je demande à la caissière, si je peux régler avec des billets de 500 FRF, elle accepte, je lui donne 4 billets de 500 FRF. Je sais que les commerçants, n’aiment pas trop les grosses coupures, donc j’évite de me démunir du peut de billet de 100 FRF que j’ai.

Je vais pour prendre un des cartons, le boucher me regarde.

« Attendez, j’ai deux commis qui ne se fatiguent pas trop, vous n’allez pas faire porter de si gros cartons, à de si frêles femmes. Ils vont se faire une fierté de porter les cartons à votre véhicule. »

Il arrive, avec un sachet de papier, le pose sur un des cartons. Fait le tour du comptoir, vient me serrer la main.

« Ils disent que demain, il va faire beau. C’est une belle côte de bœuf, pour le barbecue. Cadeau, je n’ai pas tous les jours des clients comme vous. »

Il retourne, dans son laboratoire, je voie deux jeunes de 15 ans environ, qui sortent en courant, qui prennent les cartons. En sortant nous nous retournons.

« Bonne fin de semaine. »

Les commis nous suivent à la voiture, rangent les cartons dans le coffre. Je les voies loucher sur Immonde, qui l’a remarqué et me regarde.

Je lui fais signe, et lui montre deux doigts, vers le haut. Ingrid qui a vue souri, enlève son manteau, me regarde en le rangeant sur le siège avant. J’acquiesce de la tête en m’installant à l’arrière.

Immonde ouvre la porte, arrière droite, et tout en regardant les commis ouvre les deux boutons du haut, sa poitrine commence à apparaitre sans plus. Elle s’assied, une cuisse apparait.

Je regarde les deux commis, par la lunette arrière, ils sont rouge pivoine. Je les voie se diriger vers la boucherie, en contournant le coffre de la voiture.

Ingrid, qui l’a vue également se penche à l’intérieur, comme pour nous demander quelque chose. Le corps à 90° des jambes, cela est imparable, sa mini jupe, remonte, laissant apparaitre légèrement le haut de ses cuisses nues, au-dessus de ses bas. Elle me souri, en s’asseyant, avec lenteur dans la voiture.

Je les regarde, regarde les pantalons des deux commis, qui passent devant ma vitre, ils sont prêts à exploser dans leurs pantalons.

Ils me regardent, me voient sourire, je devine comme un regard envieux chez eux.

« Petite chienne, prend la route de Sierck-les-Bains, il y a une grande surface, à la sortie de Thionville, à gauche. »

« Bien mon maître. »

« Pourquoi, as-tu fais croire à la veille dame que tu ne parlais pas français. »

« Mon maître, ne sachant pas de quoi vous aviez parlé, je ne voulais pas faire d’impair. Je me suis dit que s’était le plus simple. »

« Une chose encore. Ingrid, et Immonde, je ne veux pas que notre type de relation transpire, au dehors pour l’instant.

Pour protéger Ingrid, pour vous protéger toutes les deux. Pour tout Sheuerwald Ingrid est la propriétaire, Immonde sera ma compagne.

Nous sommes venues pour soutenir, et aider Ingrid. Immonde reste pendant la semaine, pour tenir compagnie, s’occuper d’Ingrid, et de la maison, si nous ne sommes pas là.

Si quelqu’un du village, viens, si un étranger, vient ce sera ce qu’il devra voir, et comprendre. Rien d’autres.

Vous avez bien compris toutes les deux.

Cela, n’interfèrera pas entre nous trois, en dehors de la présence des étrangers.

Ingrid tu as compris. »

« Bien mon maître, je vous remercie de me protéger de ce que les étrangers auraient pu penser de ce qui se passe au domaine.

Tant que cela n’interfère pas avec Immonde. »

« Ingrid, tu as voulu que je sois ton maître, votre maître. Tu es ma chienne, et le restera, tant que tu le voudras. Immonde est ma putain, elle le restera, tant que tu le voudras, qu’elle le voudra.

Pour moi tout est clair dans ma tête, je veux que cela le soit pour vous deux. C’est compris. »

« Bien mon maître, je comprends, veuillez excuser l’audace de mes propos. »

« Pour ton audace, nous verrons cela au domaine. »

« Bien mon maître, je comprends parfaitement, je le mérite totalement, quoi que vous décidiez. »

« Immonde tu as compris, en dehors de la présence des étrangers, rien ne change. C’est clair. »

« Oui mon maître, je comprends parfaitement, même en me faisant passer pour votre compagne, je resterais à ma place, à la place qui est la mienne.

Je ne me permettrais pas d’aller à l’encontre une de vos décisions, qui de plus ont pour but de protéger dame Ingrid, de nous protéger toutes les deux.

Je ferais comme vous l’avez dit mon maître. »

« J’ai déjà eut se comportement à Thionville, heureusement d’ailleurs. La vieille dame qui voulait parler avec Ingrid est originaire de Sheuerwald.

De plus, son fils qui a une boucherie à Sierck-les-Bains, fait des tournées, le mardi et le vendredi matin à Sheuerwald. Elle va le prévenir, de passer dorénavant à la Forge. »

« Donc mon maître, le boucher passera deux fois par semaine, à partir de mardi. Avec maître Pierre nous avions voulu boire un café, dans le village, il n’y a aucun commerce. J’espère qu’un boulanger passe aussi. On verra bien. »

Ingrid démarre, prend la direction de Sierck-les-Bains, nous arrivons, à la sortie de Thionville.

« Mon maître la grande surface, est là, je me gare. »

Ingrid se gare à proximité, de l’entrée de la grande surface.

« Ingrid, comme nous allons être tous les trois, au domaine pendant toute la semaine, et vue qu’il n’y a rien, il faudra de tout. On prend trois caddys, et on fait tous les rayons les uns après les autres. On verra bien, ce que cela donnera. »

« Bien mon maître. »

Nous prenons chacun un caddy, cela a duré presque deux heures. Les trois caddys débordaient de partout.

Heureusement, que la voiture, est un break, nous avons tout rangé, dans le coffre, les trois sacs de voyage, sont mis à l’avant, devant et sur le siège passager. Ingrid, s’est mis au volant, m’a tendu une carte routière.

« Mon maître, je ne suis jamais venu, à Sheuerwald, depuis Thionville, je ne connais pas la route, je ne voudrais pas que nous nous perdions.

Je regarde la carte, lui indique la route, il y a 60 kilomètres, nous arrivons à l’entrée de Sheuerwald, il est 16 h45. Nous traversons le village, 2 kilomètres dans les champs, par une route vicinale.

Ingrid se gare devant le portail qui a était refait à l’identique. Nous sortons de la voiture.

Ingrid se tourne, vers nous, tend la main, vers le portail.

« La Forge, mon donjon, mon Antre, comme l’appelait Pierre. »




La suite

Mon Initiation

chapitre II -la Forge-

n'est pas encore fini.
Dernière modification par DeLsEp9 le 12 juillet 2011, 14:01, modifié 1 fois.
Invité

Re: INGRID

Message par Invité »

:love: sublime Jak

vivement la suite
DeLsEp9

Re: INGRID

Message par DeLsEp9 »

Cedille92 a écrit : :love: sublime Jak

vivement la suite
merci ma belle
:jap:
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