Ludivine entre à la fac 2

[Alice]

Voilà maintenant deux semaines que ma première « journée de cuisses  ouvertes » a eu lieu, comme l’appelle Mag. J’en garde un très bon souvenir, mais j’ai aussi quelques fois honte quand j’y repense. Surtout quand je suis en cour avec Mr Liar. Je dois dire que les leçons de Mag portent leurs fruits, que je sois en jupe ou en pantalon, Mr Liar me regarde très souvent je trouve, et me glisse quelques sourires ! Je dois dire que j’aime ça, capter son regard, mais je me demande toujours ce qu’il pense de moi. Sais t il que j’ouvrai les cuisses intentionnellement ? Je me dis qu’elles étaient quand même très ouvertes ! Comment pourrait il penser que je ne le faisait pas exprès ? Comme dit Mag : « Tout est dans l’attitude ! Si tu as l’air naturelle, personne ne pensera que c’est volontaire ! ». Tout est là ! Dans cette phrase. Mag me le répète souvent : « Tu dois apprendre à être naturelle quand tu m’obéis ma coquine ! »

Jeudi soir, juste avant que nous allions nous coucher, Mag me rappela enfin ma coquine ! J’attendais tellement ce moment ! Depuis mon expérience de l’amphi, Mag a continué de me mettre en confiance. Elle n’est plus seule à se balader en petite culotte ou nue dans l’appartement ! Et je dois dire que j’aime ça, passer nue devant les fenêtres ! Je ressens de plus en plus l’envie de me montrer et d’attirer le regard. Alors qu’elle me dit « Ma coquine, demain, je reprends ton éducation en main ! » mon cœur se met à battre très fort d’un coup, j’ai chaud. « Je te mettrai tes vêtements sur le fauteuil, tu les découvriras demain matin juste avant d’aller en cours, après ta douche. Puis nous partirons directement. » J’étais tellement heureuse, je ne répondis qu ‘un « oui maîtresse ».

Toute la nuit j’ai pensé et rêvé à quelle tenue elle aller me prévoir ! Demain, j’ai peu de cours. 1H d’amphi le matin, et 2h l’après-midi. Entre temps, nous mangeons ensemble au restaurant universitaire avec Mag. Je devrai donc pouvoir gérer facilement… Je suis presque sûr quelle va me demander de porter la mini jupe vert foncé en trapèze qu’elle m’a fait acheter samedi dernier ! Elle sait qu’elle me met mal à l’aise. Elle est courte, et avec sa forme, je ne la sens pas sur mes cuisses, ce qui me stresse… Et je n’y avais pas pensé, mais je suis sûr qu’elle va me l’imposer sans culotte. Mince, j’avais oublié ! Je n’ai encore jamais osé ! Je m’endors entre un sentiment de stress et d’excitation.

8h20. Je me réveille. Je dois faire vite, comme tous les matins. A 8h45 on dois être parties !
Je me lève d’un coup, je reste en culotte, et file dans la cuisine prendre un truc à manger. Je croise Mag, elle est déjà prête ! Elle porte son costume noir : jupe et veste, avec une petite chemise blanche. Elle est magnifique. 2 petits gâteaux avalés et je fonce sous la douche ! Mag me crie qu’on va encore être en retard et que mes habits m’attendent sur le fauteuil dans le salon. Je me douche, a une vitesse grand V, je sors de la douche, et je vois qu’il est déjà 8h40 ! Punaise, non ! Déjà ! Je prends la serviette, me sèche un peu, et fonce dans le couloir puis le salon, encore à moitié mouillée. J’ai tellement hâte de voir ma tenue. Mais là, grande surprise, alors j’arrive nue tout en m’essuyant, je découvre que David est dans le salon avec un café ! « Oops, je ne t’avais pas dit que David passait nous prendre ce matin ! » Punaise, la salope, elle l’a fait exprès ! Elle était sûr que je me pointerais nue pour venir chercher mes vêtements. Je mets au plus vite cette petite serviette autours de moi, puis attrape mes vêtements, et fonce dans la salle de bain, exposant ainsi mes fesses à David…

De retour dans la salle de bain, j’étais toute rouge. Mais fière et excitée. Je me suis pointée à poil devant le mec qui ne cesse de me draguer et me reluquer depuis le coup de l’amphi. L’idée me plaît en fait ! Je regarde mes vêtements. Mon gros pull en laine gris, et ma mini jupe vert foncé en trapèze. Pas de culotte. Pas de collant ou bas. Pas de soutif. Juste 2 vêtements… J’enfile ma jupe, puis mon pull. Je me sens tellement coquine comme ça.
Je ressors de la salle bain, avec un grand sourire, le cœur qui bat à 200, et m’excuse auprès de David d’être arrivée comme ça dans le salon. Évidemment, il me répond que c’était son meilleur café depuis bien longtemps !

Nous voilà parti. David conduit, et évidemment Mag m’invite à monter devant. Je garde les cuisses les plus serrées possible. En fait, j’ai envie de m’exhiber aujourd’hui, mais je ne sais pas. Avec David c’est différent. Je ne veux pas qu’il sache que je vais en cours sans culotte. Mag me laisse tranquille dans la voiture, alors qu’elle sait que j’ai hâte d’entendre « ma coquine »… Nous arrivons juste à temps. Une fois sur le parking, nous marchons très vite vers l’entrée, et convenons avec Mag de nous retrouver à midi au RU.

Pendant toute l’heure de cour, je suis restée très sage à côté de David. Je voyais bien qu’il regardait souvent mes cuisses, mais cette fois ci mes cuisses sont restée croisées. Mais je n’aime pas cette jupe. Elle est vraiment courte et volante. Quand je marche, je ne la sens pas. J’ai l’impression de montrer mes fesses en permanence… Et quand je suis assise, c’est à peine s’il reste du tissus sous mes fesses…

Enfin, il est midi. Je laisse David pour retrouver Mag devant le RU. Elle arrive avec son plus grand sourire, et me glisse à l’oreille : « Prête ma coquine pour ta deuxième journée cuisses ouvertes ? » Je n’arrive pas à répondre, je souris simplement. Je suis tellement stressée. Nous prenons nos plateaux, l’attente dans la file d’attente me semble interminable. J’ai tellement envie de m’asseoir. Enfin nous payons, puis regardons si nous voyons une place. Et là, juste devant nous, il y a 2 places sur le comptoir, sur des chaises hautes qui font face aux caisses. Elle ne va pas oser ! On est en mini jupe toutes les deux ! Bien sûr que si, elle s’empresse de s’y diriger, et nous voilà assise sur des chaises hautes, en face des caisses, et nous ne pouvions pas croiser les cuisses. J’ai tellement chaud. Je suis tellement excitée, mais aussi très effrayée.

A peine assise, Mag me demanda de me lever à peine, et d’enlever le dessous de ma jupe sous mes fesses. Elle voulais que je sente le froid métallique de la chaise sur mon cul directement. Oui Maîtresse, je me leva discrètement, puis me rassoie d’un coup en ayant retiré le dessous de ma jupe. Je sens le métal froid d’un coup. Quelle sensation. Je suis encore plus excitée. Puis, elle me dit que la partie commence.
« Tu vas ouvrir tes cuisses ma coquine. Tu n’as le droit de les refermer que si je te le dis. Même si les gens en face te regardent. Est ce bien compris ? »
Oui Maîtresse… Mais heu…
« Ouvre tes cuisses, je te dirai stop ! »
J‘ouvre les cuisses, lentement, très lentement. Je sens les regards sur nos cuisses depuis qu’on est assises. Je bloque. Je ne peux les ouvrir vraiment…
Désolée, maîtresse, ce n’est pas possible ici !
« Comment ça, ce n’est pas possible ici ! Tu n’es pas encore coquine, c’est tout ! Tu ne sais pas faire comme si de rien était ! Rien de plus facile que d’ouvrir ses cuisses ici. En mangeant ça passe inaperçu ! »
« Non, je ne vais pas pouvoir maîtresse ! »
« Alors laisse moi te montrer ! On inverse les rôles. Aller je te laisse 20/25 minutes. Disons le repas. Fais moi faire ce que tu n’oserais pas ! Mais la prochaine fois, tout ce que tu m’as imposé, tu devras savoir le faire ! Je suis en jupe comme toi, je n’ai pas de culotte comme toi, et je n’ai pas le droit de dire non, comme toi ! »

Je ne savais pas quoi faire, je ne m’y attendais pas. Me voilà à devoir lui imposer des positions. « Bien, 5 minutes sont déjà passées, et tu n’as pas encore utilisé ton pouvoir de maîtresse ! Qu’attends tu ma coquine ? »
Je n’osais pas, les étudiants arrivés tous face à nous. Et déjà qu’il mataient nos jambes en passant… Tant pis, je dois jouer le jeu. Voir jusqu’où elle ira. Je lui fit ouvrir doucement ses cuisses, juste assez pour qu’elle ne soient lus collées. Je l’enviais… Elle avais l’air si naturelle. Elle ouvrait ses cuisses immédiatement tout en papotant et souriant. Je sentais les regards des garçons sur nous, et cela m’excitait tellement. Alors je lui demanda de les ouvrir plus. Elle me fit un petit sourire, puis les ouvra vraiment. Sa jupe remonter doucement lorsqu’elle ouvrait ses cuisses. Ses cuisses étaient maintenant vraiment décollées. Je suis sûr que tout le monde pouvais voir sous sa jupe… Mais elle restait comme ça, tout en discutant bien 5 minutes… Elle m’impressionnait. Nous avions fini nos repars, et alors que je lui proposais de partir, en lui disant que j’étais impressionnée et que j’avais compris la leçon, elle me coupa la parole et me dis : « Tiens Mr Liar arrive. Regarde il est dans la file. Et je n’ai pas encore vraiment ouvert les cuisses. C’est dommage non. Tu veux que je te montre un truc ? »

Comment dire non. Mais que voulait elle me montrer ! Cela fait déjà plus de 5 minutes que ses cuisses sont bien ouvertes, à la vue de tous ceux qui rentrent ! Je la regarde faire. Tout en gardant ses cuisses ouvertes, elle cherche du regard Mr Liar. Une fois celui-ci croisé, il ne nous quitte plus du regard. Elle joue avec ses cuisses, les ouvrant et les refermant mais jamais entièrement. Puis, alors qu’il est 2eme à la caisse, elle se tourne vers moi en ouvrant grandement sa cuisse gauche pour se tourner, ses cuisses sont vraiment grandes ouvertes ! Je peux voir sa chatte toute lisse ! Je tourne la tête vers Mr Liar, il fixe sous notre table, il ne vois même pas que je le regarde. Elle reste comme ça bien 1 à 2 minutes puis descend en me disant qu’on pouvait y aller. Je la suis, tout en regardant une dernière fois Mr Liar qui me renvoie un petit sourire. Comment a t elle osée ? Comment a t elle pu ? Comment pourrais faire ça un jour ?
Une fois dehors, il était l’heure de nous séparer de nouveau après une petite clope. Le temps que Mag me précise bien que c’était la seule fois ou je dirigeait. Elle reprenait son rôle de maîtresse à plein temps. Et les leçons vont s’accélérer !

[Ray-J]

C'est très bien écrit et ton récit est captivant ! Merci du partage.

[nico859]

Tu me ferais presque regretter le RU... @Alice