Yuna a écrit :ce qui est bien et mal avec des petits morceaux d'histoire.. c'est que ça nous fait monter crescendo.. et flop.. on retombe.. parce qu'on a pas la suite.. c'est frustrant... du mal à me remettre dans le bain à chaque fois..
Les trois parties du récit sont intégralement écrites.
oui mais quand on lit.. on s'excite... (enfin moi... ) j'attends la suite.. et comme faut attendre des heures voire des jours.. ben entre-temps.. je me suis refroidie...
Yuna a écrit :oui mais quand on lit.. on s'excite... (enfin moi... ) j'attends la suite.. et comme faut attendre des heures voire des jours.. ben entre-temps.. je me suis refroidie...
Yuna a écrit :oui mais quand on lit.. on s'excite... (enfin moi... ) j'attends la suite.. et comme faut attendre des heures voire des jours.. ben entre-temps.. je me suis refroidie...
Propos de Sabine ma femme Propos de Magalie ma belle sœur Mes propos Jacques Mes pensées,
21)
Elle me dit cela d’une voix calme, et posée.
Je n’ai plus la même personne en face de moi. Je ne la reconnais pas, elle a passé un cap, et elle m’effraie. Va falloir que tu l’assume cette puce. . -.-
Je règle la note et nous sortons. Je l’emmène dans une boutique de lingerie que j’avais repérer en me promenant, où je pense que ma femme n’achète pas.
Nous entrons, et une dame d’un certain âge se présente devant nous. « Bienvenue chez « Darjeeling Chantelle » dit-elle, qu’y a-t-il pour votre service. »
Je comprends immédiatement que nous avons à faire à la patronne, et que deux jeunes filles, qui ont à peut près de l’âge de ma puce la regardent faire.
Des apprenties?
Oui, je deviens folle, elles ne connaissent même pas la politesse, je me demande ce que fond les parents. Pa moyen de trouver du personnel sérieux.
Je me retourne vers Magalie qui a entendu la discussion.
Tu voies madame cherche une apprentie, c’est bien la branche que tu voudrais faire ?
Oui répond elle intimidée.
Bien nous sommes venus pour des achats, mais ma belle sœur cherche une place d’apprentie.
Elle part en vacances en corse et elle a besoin de maillot de bains. Vous regardez avec elle.
Je vais passer à la banque qui est à côté je reviens dans 20 minutes.
La patronne me regarde surpris et dit : 20 minutes un vendredi après midi, il y a un monde fou dans l’agence bancaire, vous en aurais pour plus d’une heure.
Je parts chercher des espèces je me suis rendu compte que j’avais oublié ma pince à billets.
J’arrive dans l’agence, mon responsable de compte me voie me salut, et me fait signe de venir. « Que se passe-t-il ? Un souci » ?
Non rien de grave, je n’ai pas un centime sur moi et vous me connaissais, je n’aime pas me balader sans avoir de cash sur moi. J’ai vue qu’il y a un monde fou.
Pas de soucis signé moi l’ordre de prélèvement, je cherche les espèces. Je signe, le papier qu’il me tend, il le prend et part à la caisse chercher les espèces. Il revient, me tend les liasses que je glisse dans ma poche. « Vous ne comptez pas ? »
Nous sommes entre gens de confiance. De plus je suis pressé, ma belle sœur et dans la boutique « Darjeeling », toute seule, c’est une fille de la montagne et elle ne connait pas la ville, je n’ai pas envie qu’il lui arrive quoique ce soit.
Darjeeling ! La patronne qui est une aussi bonne cliente que vous, m’a dit qu’elle cherche une apprentie me dit’ il.
Oui ma belle sœur cherche une place d’apprentie, mais nous sommes là pour des achats.
Je le quitte en lui serrant la main.
De retour au magasin je voie la patronne au téléphone, et elle me regarde surprise.
Je me dirige vers Magalie.
Il y a de belles choses ici, et la patronne est super sympa.
Tu as choisi ?
Oui elle a tout avec elle à la caisse.
J’arrive à la caisse, la patronne en a fini avec le téléphone. Elle me regarde et me dit : Elle est bien votre belle sœur, polie, et correct. Je lui ai présenté des modèles assez osés, que les jeunes de son âge aiment, elle m’a répondu poliment mais fermement:
Vous n’y pensez pas madame, je parts en vacances avec ma sœur, et mon beau-frère, je ne peux pas porter ce genre de maillots. Montrer moi quelques choses de plus discret s’il vous plait.
J’avais monsieur Pierre au téléphone, mon responsable de compte, il vous connait bien. Il m’a dit que vous étiez quelqu’un de correct, et que votre belle sœur cherche une place d’apprentie.
Vue ce qu’elle m’a montrée et son comportement, si elle est intéressée, je lui fais passer un essai de deux jours, si c’est concluant elle a le poste. J’en ai marre de ces gamines qui ne savent pas ce qu’elles veulent dit elle en fixant les deux jeunes filles à côté de la caisse.
Et bien au moins pour une fois mon banquier me sert à quelque chose.
Magalie qui est derrière moi a tout entendu.
Je te l’ai dit avant, la boutique est super, et madame est très gentille, bien que sévère. Dit oui, s’il te plait.
Bien, elle passe la semaine prochaine, et vous régler avec elle les modalités de l’essai. Je passerais jeudi pour voir si tout c’est bien passé. Nous partons les 3 premières semaines d’Aout en vacances. Je me porte garant pour elle, elle logera chez nous. Je vous laisse mes coordonnées, s’il y a le moindre souci vous me prévenez.
J’aimerai que ce soit régler avant me dit’ elle.
Elle se tourne vers Magalie et lui dit : « Lundi à 8h30 tu es là, pour commencer ton essai. Tenue correct, pour le reste on en parlera quand tu viendras ».
Ma belle-mère va me tuer. Je dis oui, je ne sais même pas si elle est d’accord. De toute façon, je me débrouillerais avec elle. Sa va être encore la guerre. Pas grave, c’est pour la puce, ma petite puce.
Je vais pour régler la note des deux maillots de bain, la patronne me dit : « non pas la peine, si l’essai et concluant c’est mon cadeau de bienvenue, sinon vous me réglerez plus tard, on est entre gens de confiance ».
Je lui sers la main, en la remerciant, et nous sortons.
Nous nous éloignions, je remarque que Magalie ne me colle pas, et n’a pas pris ma main.
Je la regarde, elle lève les yeux.
Elle pourrait nous voir, je veux cette place.
Avec tout çà on n’a pas ce que pourquoi on est rentré dans le magasin.
Un joli sourire malicieux s’affiche sur ses lèvres.
Nous sortons du « Centre Halles » et marchons sans but.