Si belles, si sœurs
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Biquette
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Re: Si belles, si sœurs
Sinon, tu postes la suite ?
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
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DeLsEp9
Re: Si belles, si sœurs
Propos de Sabine ma femme
Propos de Magalie ma belle sœur
Mes propos Jacques
Mes pensées,
24)
Ce n’est pas en une journée que tu arriveras à l’assimiler, à l’accepter. Il te faudra du temps.
C’est simple, où que tu sois, quelque soit la personne avec qui tu es, quelque soit la façon dont tu es habillé tu doits te comporter de cette manière, comme quand tu es avec moi,.
-.-
Ne t’inquiète pas, tu apprendras ma puce, je t’apprendrais.
Son pubis se pose sur la bosse de mon jeans, son ventre, ses seins. J’ai l’impression qu’elle déroule son corps contre moi, qu’elle veut s’incruster en moi. Ses lèvres s’arrêtent à quelques centimètres des miennes, sa langue caresse mes lèvres, s’immisce entre elles.
D’un seul coup c’est une furie que j’ai dans les bras, qui m’embrasse. Elle frotte son pubis comme si elle voulait me faire l’amour, que je la pénètre à travers mon jeans, sa robe. Ses seins, s’écrasent sur mon torse, ses mains griffent mon dos à travers la chemise. Et aussi soudainement, elle se calme. Pose sa tête sur mon épaule et pleure.
Je lui caresse les cheveux, l’embrasse partout, ses yeux, ses pommettes, ses joues, son cou, enfin partout doucement tendrement.
Je suis dingue de toi, de ce que je ressens quand tu m’embrasses, quand je sens ton corps contre le mien.
Tu es tellement jeune, mais tu en as tellement envie, que tout ton corps me le dit, me le fait ressentir.
Chaque chose en son temps ma petite puce.
Pour l’instant, on continue, tu continue à apprendre, à apprendre à te comporter en femme. Dans ta tête tu es presque une femme. Montre le, démontre le.
Elle se redresse sort les épaules, gonfle sa poitrine, j’ai l’impression que ses seins vont jaillir de la robe, le début de ses aréoles apparaissent à la bordure du bustier. Elle s’assume, elle assume sa poitrine qui la dérange tant.
Elle me suit, ses yeux fixés dans les miens. Je remarque que ses tétons pointent à travers le tissu fin de sa robe.
Nous faisons comme cela deux ou trois fois le tour de la pièce. Elle s’habitue à ses chaussures. Je la ramène prés de la porte de la chambre, l’embrasse doucement sur ses lèvres, et repart m’asseoir dans le fauteuil.
Elle me sourit du fond de la pièce, Je la vois s’avancer, elle s’applique, elle applique ce que je viens de lui expliquer. Elle commence à montrer, à exposer ce qu’elle est. Une femelle dans toute la subtilité du terme.
Tu es tant…., tu es sublime ma puce.
Je souris de voir sa joie sa fierté.
Bon sang, mais qu’elle est belle, elle va faire des ravages. Déjà moi je suis complètement ravagé, accro, mordu. Alors les autres. Ca va tomber comme à Gravelotte.
Je me rappelle mon épouse, au début ou nous nous sommes connues. Je lui ai appris à marcher, se déplacer, être femme à se comporter en femme.
Encore aujourd’hui souvent dans la rue je la laisse partir de quelques pas devant moi, et je m’amuse de voir les hommes se retourner sur son passage.
Je fais la même chose, avec sa petite sœur maintenant. Mais elle, elle a un petit quelque chose en plus. Elle a la hargne, comme si elle voulait faire mieux que sa sœur.
Tu as faits la même chose avec ma sœur. A l’époque je la voyais essayer, s’entrainer à la maison. Quand elle venait.
Je ne comprenais pas. A l’époque je croyais que tu voulais être fier à son bras.
Pas du tout, je voulais pour ta sœur à l’époque, et pour toi aujourd’hui que vous vous rendiez compte que vous êtes des femmes, plus des gamines.
Que cela soit ancré en vous. Et que vous soyez fière en tant que telle.
Qu’en toute occasion, vous soyez femme, des femelles, dans le sens littéral du mot, et ça, jusqu’au bout des ongles.
Elle a les yeux humides. Elle se penche pour m’embrasser. Mes mains se posent sur ses hanches. Un de ses seins jaillit du bustier et je ne peux m’empêcher d’embrasser le téton qui s’offre à ma bouche.
Propos de Magalie ma belle sœur
Mes propos Jacques
Mes pensées,
24)
Ce n’est pas en une journée que tu arriveras à l’assimiler, à l’accepter. Il te faudra du temps.
C’est simple, où que tu sois, quelque soit la personne avec qui tu es, quelque soit la façon dont tu es habillé tu doits te comporter de cette manière, comme quand tu es avec moi,.
-.-
Ne t’inquiète pas, tu apprendras ma puce, je t’apprendrais.
Son pubis se pose sur la bosse de mon jeans, son ventre, ses seins. J’ai l’impression qu’elle déroule son corps contre moi, qu’elle veut s’incruster en moi. Ses lèvres s’arrêtent à quelques centimètres des miennes, sa langue caresse mes lèvres, s’immisce entre elles.
D’un seul coup c’est une furie que j’ai dans les bras, qui m’embrasse. Elle frotte son pubis comme si elle voulait me faire l’amour, que je la pénètre à travers mon jeans, sa robe. Ses seins, s’écrasent sur mon torse, ses mains griffent mon dos à travers la chemise. Et aussi soudainement, elle se calme. Pose sa tête sur mon épaule et pleure.
Je lui caresse les cheveux, l’embrasse partout, ses yeux, ses pommettes, ses joues, son cou, enfin partout doucement tendrement.
Je suis dingue de toi, de ce que je ressens quand tu m’embrasses, quand je sens ton corps contre le mien.
Tu es tellement jeune, mais tu en as tellement envie, que tout ton corps me le dit, me le fait ressentir.
Chaque chose en son temps ma petite puce.
Pour l’instant, on continue, tu continue à apprendre, à apprendre à te comporter en femme. Dans ta tête tu es presque une femme. Montre le, démontre le.
Elle se redresse sort les épaules, gonfle sa poitrine, j’ai l’impression que ses seins vont jaillir de la robe, le début de ses aréoles apparaissent à la bordure du bustier. Elle s’assume, elle assume sa poitrine qui la dérange tant.
Elle me suit, ses yeux fixés dans les miens. Je remarque que ses tétons pointent à travers le tissu fin de sa robe.
Nous faisons comme cela deux ou trois fois le tour de la pièce. Elle s’habitue à ses chaussures. Je la ramène prés de la porte de la chambre, l’embrasse doucement sur ses lèvres, et repart m’asseoir dans le fauteuil.
Elle me sourit du fond de la pièce, Je la vois s’avancer, elle s’applique, elle applique ce que je viens de lui expliquer. Elle commence à montrer, à exposer ce qu’elle est. Une femelle dans toute la subtilité du terme.
Tu es tant…., tu es sublime ma puce.
Je souris de voir sa joie sa fierté.
Bon sang, mais qu’elle est belle, elle va faire des ravages. Déjà moi je suis complètement ravagé, accro, mordu. Alors les autres. Ca va tomber comme à Gravelotte.
Je me rappelle mon épouse, au début ou nous nous sommes connues. Je lui ai appris à marcher, se déplacer, être femme à se comporter en femme.
Encore aujourd’hui souvent dans la rue je la laisse partir de quelques pas devant moi, et je m’amuse de voir les hommes se retourner sur son passage.
Je fais la même chose, avec sa petite sœur maintenant. Mais elle, elle a un petit quelque chose en plus. Elle a la hargne, comme si elle voulait faire mieux que sa sœur.
Tu as faits la même chose avec ma sœur. A l’époque je la voyais essayer, s’entrainer à la maison. Quand elle venait.
Je ne comprenais pas. A l’époque je croyais que tu voulais être fier à son bras.
Pas du tout, je voulais pour ta sœur à l’époque, et pour toi aujourd’hui que vous vous rendiez compte que vous êtes des femmes, plus des gamines.
Que cela soit ancré en vous. Et que vous soyez fière en tant que telle.
Qu’en toute occasion, vous soyez femme, des femelles, dans le sens littéral du mot, et ça, jusqu’au bout des ongles.
Elle a les yeux humides. Elle se penche pour m’embrasser. Mes mains se posent sur ses hanches. Un de ses seins jaillit du bustier et je ne peux m’empêcher d’embrasser le téton qui s’offre à ma bouche.
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DeLsEp9
Re: Si belles, si sœurs
Yuna a écrit :y aurait-il une suite ce soir siouplé....
t'es une keukine toi la la
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DeLsEp9
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Invité
Re: Si belles, si sœurs
serait'il possible que tu poste chapitre par jour stp histoire qu'on soit pas couper dans l'euphorie trop vite 
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Laphoenix75
Re: Si belles, si sœurs
Cedille92 a écrit :Moi je connais la suite, moi je connais la suite
ok je sors
moi aussiiii
et je sors pas
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DeLsEp9
Re: Si belles, si sœurs
Le passage que tu préfères entre autre.Cedille92 a écrit :Moi je connais la suite, moi je connais la suite
ok je sors
Toi t'es une gourmandeLaphoenix75 a écrit :moi aussiiii
et je sors pas
Toi, le tout est de savoir d'oùManue a écrit :Hé dis donc ... Vous trouvez qu'on salive pas assez ?!?
Je n’appâte pas,Cedille92 a écrit :On fidélise le lecteur en l'appatant ché po pareil
je livre,
je met certaine chose à nue. :siffle2:
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DeLsEp9
Re: Si belles, si sœurs
En complète opposition avec tes mots précédentsYuna a écrit :parfaitement.. je suis timide moi Monsieur..
Mel29440 a écrit :serait'il possible que tu poste chapitre par jour stp histoire qu'on soit pas couper dans l'euphorie trop vite
C'est ce que j'essaie de faire, dans la mesure de mes modestes moyens.
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DeLsEp9
Re: Si belles, si sœurs
Propos de Sabine ma femme
Propos de Magalie ma belle sœur
Mes propos Jacques
Mes pensées,
25)
Que cela soit ancré en vous. Et que vous soyez fière en tant que telle. Qu’en toute occasion, vous soyez femme, des femelles, dans le sens littéral du mot, et ça, jusqu’au bout des ongles.
Elle a les yeux humides. Elle se penche pour m’embrasser. Mes mains se posent sur ses hanches. Un de ses seins jaillit du bustier et je ne peux m’empêcher d’embrasser le téton qui s’offre à ma bouche.
-.-
Je sens ses deux mains se poser sur mes épaules. Ma bouche joue avec ce téton qui maintenant se dresse. L’aréole autour est contractée, d’un rose pale. Je passe ma langue sur l’aréole qui se contracte encore plus. Je lèche, aspire, mordille ce téton qui s’offre.
Ses mains veulent écarter son corps de moi, je la maintiens, et continue de jouer, de pincer son téton avec mes lèvres.
Une de mes mains quitte sa hanche et empaume l’autre sein, à travers le tissu je pince doucement son téton.
Je lève les yeux. Elle a les yeux fermés. Sa main remonte. Doucement elle écarte ma main, fait glisser le haut de son bustier, elle prend délicatement son sein dans sa main, me le présente, ma bouche se précipite dessus. Elle gémit.
Ses yeux s’ouvrent, elle me regarde, des larmes dans les yeux.
Mon dieu que tu es doux, prévenant, dire que la première fois que je t’ai vu j’ai été jalouse de ma sœur.
Je me rends compte aujourd’hui de la chance qu’elle a, que j’ai qu’elle te rencontre.
A l’époque tu ne me voyais pas, j’étais une enfant, et moi je n’avais que toi devant les yeux.
Elle s’assied sur mes genoux, pose sa tête sur mon épaule, sanglote doucement. Je lui caresse les cheveux, écarte sa tête embrasse délicatement ses yeux, sa bouche. Je remonte délicatement son bustier. Elle repose sa tête, elle est détendue, je l’entends soupirer.
Elle me mordille le lobe de l’oreille, ça me rend dingue quand on me fait cela.
Je la regarde, elle sourit.
Je t’avais dit, je sais beaucoup de choses.
J’ai eu de longues discussions avec ma sœur, elle ne voulait pas que je sois surprise, par le comportement des hommes.
Elle m’a expliqué beaucoup de choses sur la sexualité féminine et masculine. Sur les envies, les besoins des hommes, des femmes.
J’ai compris au bout de peu de temps qu’elle me racontait un peu votre relation sans me le dire vraiment.
Elle m’a expliqué comment je devais me comporter, et surtout que je devais faire très attention, et me protéger.
Elle m’a emmené chez son médecin il y a 3 mois pour me faire prescrire la pilule. Je lui avais dit qu’un garçon me tournait autour au lycée, celui que tu as vu avant. Elle m’a même acheté des préservatifs. Ne compte que sur toi pour ta protection m’a-t-elle dit en me donnant la boite.
Comme tu as remarqué il ne s’est rien passé.
Aucun garçon, aucun homme ne m’a jamais touchée. Embrassée oui mais pas plus. Et encore, ce n’est rien par rapport à ce que je ressens quand toi tu m’embrasses.
Elle m’embrasse tendrement,
Tes lèvres ont un drôle de gout bien agréable.
Je suis en train de savourer un whisky japonais digne de la beauté de ce moment, un 22 ans d’âge.
Plus vieux que moi dit elle en riant.
Je réalise effectivement qu’elle est jeune, tellement jeune, mais tellement craquante.
Bon je vais me changer pour te montrer le reste dit-elle.
Je déguste une lampée de whisky.
Elles ont quand même énormément de similitudes les deux sœurs. Elles ont l’air d’être sacrément complices. Et alors les discussions, je me demande jusqu’ou elles sont allées.
La puce entre en ayant revêtu un ensemble noir, un top, avec de fines bretelles, et un pantalon. Elle se rapproche en appliquant ce que je lui ai expliqué avant. Se penche.
Pas de chance j’ai mis un soutien-gorge.
J’en profite pour déposer un baiser sur le dessus de ses seins.
Tu es mignonne comme cela. J’en connais qui vont craquer.
Pour moi l’important est que toi tu craques.
Elle me regarde, prends ma main pour que je me lève, m’attire vers elle, et m’embrasse fougueusement.
J’ai envie de toi. De sentir ton corps contre le mien.
Enlève-moi mon haut s’il te plait.
Elle lève les bras,
Je m’exécute. Une jolie brassière sans bretelle apparait, mettant en valeur sa poitrine. Je devine ses tétons sous la dentelle.
Le bas s’il te plait.
Je fais glisser son pantalon, une petite culotte coordonnée à sa brassière me saute aux yeux. Des poils blonds dépassent de chaque côté de la petite bande de tissu qui cache ses grandes lèvres. J’embrasse la mince bande de tissu, lèche ses grandes lèvres, son clitoris qui apparait.
Ce sont des sous-vêtements qui viennent du même magasin. Avec une voix légèrement changée, plus profonde, comme si elle essayait de retenir son ressenti.
C’est magnifique.
Elle me prend dans ses bras, se colle à moi, pose sa tête sur mon épaule. Nous ne bougeons pas. Au bout de quelques minutes, qui me semblent avoir durée une éternité, tellement j’étais bien, elle s’écarte, dépose un léger baiser sur mes lèvres, repart dans la chambre.
Le défilé continue, ponctué des mêmes baisers, des mêmes moments de tendresse.
Elle vient avec les maillots de bains qui sont très sobres, tout en mettant en évidence ses atouts, ses formes.
Tu as très bien choisi, ils sont discrets et te mettent bien en valeur.
Faudra que je te surveille sur la plage.
Elle sourit.
.Ca y est je me l’approprie, elle va croire que je suis jaloux, Tu te comportes comme un gamin.
Tu aurais adoré ceux qu’elle m’avait montré au début, mais ils étaient limite indécents ? Ils n’auraient pas fait plaisir à ta femme.
On mange, j’ai faim me dit elle.
Vu le timbre de sa voix je me demande ce qu’elle veut manger. Le repas ou moi.
Je me change, je ne vais pas manger en maillot de bain.
Le téléphone de la maison sonne à ce moment, je décroche, ma moitié au bout du fil.
Propos de Magalie ma belle sœur
Mes propos Jacques
Mes pensées,
25)
Que cela soit ancré en vous. Et que vous soyez fière en tant que telle. Qu’en toute occasion, vous soyez femme, des femelles, dans le sens littéral du mot, et ça, jusqu’au bout des ongles.
Elle a les yeux humides. Elle se penche pour m’embrasser. Mes mains se posent sur ses hanches. Un de ses seins jaillit du bustier et je ne peux m’empêcher d’embrasser le téton qui s’offre à ma bouche.
-.-
Je sens ses deux mains se poser sur mes épaules. Ma bouche joue avec ce téton qui maintenant se dresse. L’aréole autour est contractée, d’un rose pale. Je passe ma langue sur l’aréole qui se contracte encore plus. Je lèche, aspire, mordille ce téton qui s’offre.
Ses mains veulent écarter son corps de moi, je la maintiens, et continue de jouer, de pincer son téton avec mes lèvres.
Une de mes mains quitte sa hanche et empaume l’autre sein, à travers le tissu je pince doucement son téton.
Je lève les yeux. Elle a les yeux fermés. Sa main remonte. Doucement elle écarte ma main, fait glisser le haut de son bustier, elle prend délicatement son sein dans sa main, me le présente, ma bouche se précipite dessus. Elle gémit.
Ses yeux s’ouvrent, elle me regarde, des larmes dans les yeux.
Mon dieu que tu es doux, prévenant, dire que la première fois que je t’ai vu j’ai été jalouse de ma sœur.
Je me rends compte aujourd’hui de la chance qu’elle a, que j’ai qu’elle te rencontre.
A l’époque tu ne me voyais pas, j’étais une enfant, et moi je n’avais que toi devant les yeux.
Elle s’assied sur mes genoux, pose sa tête sur mon épaule, sanglote doucement. Je lui caresse les cheveux, écarte sa tête embrasse délicatement ses yeux, sa bouche. Je remonte délicatement son bustier. Elle repose sa tête, elle est détendue, je l’entends soupirer.
Elle me mordille le lobe de l’oreille, ça me rend dingue quand on me fait cela.
Je la regarde, elle sourit.
Je t’avais dit, je sais beaucoup de choses.
J’ai eu de longues discussions avec ma sœur, elle ne voulait pas que je sois surprise, par le comportement des hommes.
Elle m’a expliqué beaucoup de choses sur la sexualité féminine et masculine. Sur les envies, les besoins des hommes, des femmes.
J’ai compris au bout de peu de temps qu’elle me racontait un peu votre relation sans me le dire vraiment.
Elle m’a expliqué comment je devais me comporter, et surtout que je devais faire très attention, et me protéger.
Elle m’a emmené chez son médecin il y a 3 mois pour me faire prescrire la pilule. Je lui avais dit qu’un garçon me tournait autour au lycée, celui que tu as vu avant. Elle m’a même acheté des préservatifs. Ne compte que sur toi pour ta protection m’a-t-elle dit en me donnant la boite.
Comme tu as remarqué il ne s’est rien passé.
Aucun garçon, aucun homme ne m’a jamais touchée. Embrassée oui mais pas plus. Et encore, ce n’est rien par rapport à ce que je ressens quand toi tu m’embrasses.
Elle m’embrasse tendrement,
Tes lèvres ont un drôle de gout bien agréable.
Je suis en train de savourer un whisky japonais digne de la beauté de ce moment, un 22 ans d’âge.
Plus vieux que moi dit elle en riant.
Je réalise effectivement qu’elle est jeune, tellement jeune, mais tellement craquante.
Bon je vais me changer pour te montrer le reste dit-elle.
Je déguste une lampée de whisky.
Elles ont quand même énormément de similitudes les deux sœurs. Elles ont l’air d’être sacrément complices. Et alors les discussions, je me demande jusqu’ou elles sont allées.
La puce entre en ayant revêtu un ensemble noir, un top, avec de fines bretelles, et un pantalon. Elle se rapproche en appliquant ce que je lui ai expliqué avant. Se penche.
Pas de chance j’ai mis un soutien-gorge.
J’en profite pour déposer un baiser sur le dessus de ses seins.
Tu es mignonne comme cela. J’en connais qui vont craquer.
Pour moi l’important est que toi tu craques.
Elle me regarde, prends ma main pour que je me lève, m’attire vers elle, et m’embrasse fougueusement.
J’ai envie de toi. De sentir ton corps contre le mien.
Enlève-moi mon haut s’il te plait.
Elle lève les bras,
Je m’exécute. Une jolie brassière sans bretelle apparait, mettant en valeur sa poitrine. Je devine ses tétons sous la dentelle.
Le bas s’il te plait.
Je fais glisser son pantalon, une petite culotte coordonnée à sa brassière me saute aux yeux. Des poils blonds dépassent de chaque côté de la petite bande de tissu qui cache ses grandes lèvres. J’embrasse la mince bande de tissu, lèche ses grandes lèvres, son clitoris qui apparait.
Ce sont des sous-vêtements qui viennent du même magasin. Avec une voix légèrement changée, plus profonde, comme si elle essayait de retenir son ressenti.
C’est magnifique.
Elle me prend dans ses bras, se colle à moi, pose sa tête sur mon épaule. Nous ne bougeons pas. Au bout de quelques minutes, qui me semblent avoir durée une éternité, tellement j’étais bien, elle s’écarte, dépose un léger baiser sur mes lèvres, repart dans la chambre.
Le défilé continue, ponctué des mêmes baisers, des mêmes moments de tendresse.
Elle vient avec les maillots de bains qui sont très sobres, tout en mettant en évidence ses atouts, ses formes.
Tu as très bien choisi, ils sont discrets et te mettent bien en valeur.
Faudra que je te surveille sur la plage.
Elle sourit.
.Ca y est je me l’approprie, elle va croire que je suis jaloux, Tu te comportes comme un gamin.
Tu aurais adoré ceux qu’elle m’avait montré au début, mais ils étaient limite indécents ? Ils n’auraient pas fait plaisir à ta femme.
On mange, j’ai faim me dit elle.
Vu le timbre de sa voix je me demande ce qu’elle veut manger. Le repas ou moi.
Je me change, je ne vais pas manger en maillot de bain.
Le téléphone de la maison sonne à ce moment, je décroche, ma moitié au bout du fil.
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Invité
Re: Si belles, si sœurs
Jak67 a écrit : Le passage que tu préfères entre autre.
:cinglé: :cinglé: :cinglé: Non moi je raccole mon Jak, je raccole et je fidélise ton récit est tellement bienJak67 a écrit :Je n’appâte pas,
je livre,
je met certaine chose à nue. :siffle2:
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XjEd9a1
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DeLsEp9
Re: Si belles, si sœurs
Plante les crocs, tu va tomber de la chaise.Manue a écrit :Fidéliser ?
Mais J'suis accro arrête !!! :cinglé:
Cedille92 a écrit :Et c'est que le début ma belle
hummmm, traitresse,
mao=is il est vrai, quand c'est bon, c'est bon.
Manue a écrit :Atta que je m'attaque aux tiens ma louloutte ... Ça va vibrer chez la manue
Si tu savais,
vas y grimpe aux arbres.
Seulement vibrer?
Sans en permanence sur "récits", cela est presque obligatoire,Cedille92 a écrit :vires ton string, ça t'économisera une machine
Surtout toi la ruineuse, la destroyeuse de chaise.
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Invité
Re: Si belles, si sœurs
même plus que çaJak67 a écrit :
hummmm, traitresse,
mao=is il est vrai, quand c'est bon, c'est bon.
Tidisuite, c'est de votre faute si je ruine mes chaisesJak67 a écrit :
Sans en permanence sur "récits", cela est presque obligatoire,
Surtout toi la ruineuse, la destroyeuse de chaise.
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La chaise de
Re: Si belles, si sœurs
Manue a écrit :tant que ça ???
Mmmmmwwwwouuuuaaaaa
Tu ne connais pas ici, siege en cuir ou rien du tout, disons peau de Zebu ou rien.
Tu crois que je vais faire réparer toutes les chaises, pour des ingenues qui ne savent pas se contenir.
Cedille92 a écrit : Tidisuite, c'est de votre faute si je ruine mes chaises
Tain, tu changes pas, tu ruines toujours autant.
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Supprimé
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DeLsEp9
Re: Si belles, si sœurs
Yann a écrit :Je suis comme Manue.... accroc... La suite!!!!!
superbement écrit ...
La chance des innocents.................
C'est le premier récit que j'ai écrit.
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DeLsEp9
Re: Si belles, si sœurs
Dites merci à Yann
Propos de Sabine ma femme
Propos de Magalie ma belle sœur
Mes propos Jacques
Mes pensées,
26)
Vu le timbre de sa voix je me demande ce qu’elle veut manger. Le repas ou moi.
Je me change, je ne vais pas manger en maillot de bain.
Le téléphone de la maison sonne à ce moment, je décroche, ma moitié au bout du fil.
-.-
Alors comment sa se passe avec ton amoureuse ?
Je ne relève pas l’allusion.
Très bien, elle est adorable.
Et le petit, sa va ?
Oui mais tu sais l’allaitement m’épuise, mais lui est en pleine forme, il me prend toute mon énergie. Bon passe moi ma sœur.
Je tends le téléphone à Magalie qui vient de revenir, avec sa magnifique robe bustier.
Ta sœur.
Elle prend le téléphone, je m’éclipse dans la cuisine, pour mettre à réchauffer les plats chinois. J’entends ma tendre belle sœur dire à mon épouse (j’ai laissé la porte de la cuisine ouverte).
Tu sais ton mari est adorable, tu es adorable, vous m’avez gâtée comme pas possible. Et tu sais quoi, lundi je dois me présenter à 8h30 au Centre Halles chez Darjeeling Chantelle la patronne veut me faire passer un essai de deux jours pour mon apprentissage.
Non il n’est pas allé au sauna, je l’ai accaparé toute la journée. Il a l’air épuisé d’ailleurs.
Je vois la tête de Magalie apparaitre dans le cadre de la porte de la cuisine, elle me tend le téléphone et s’assied en face de moi.
J’entends mon épouse dire à sa mère :
Elle l’a mis sur les rotules, il n’ira plus dans les magasins avec moi, déjà qu’il ne venait pas souvent.
Merci de ce que tu viens de dire à ta mère, tu me demandes d’acheter des habits pour ta sœur et maintenant tu critiques.
Je plaisantais tu me connais dit elle en riant. Tu lui as trouvé une place comme apprentie c’est formidable. En plus je connais bien la patronne, elle est super. Cela va bien m’aider dans la discussion avec maman. Elle est un peu braquée sur le fait que Magalie quitte la maison. Elle craint de se retrouver seule.
Et ma petite sœur arrive à te faire louper ton sauna, alors que moi je n’y arrive pas, je vais me poser des questions, t’es amoureux ?
Elle éclate de rire.
A ce moment, je sens un petit pied qui se pose sur mon entrejambe. Je sens les doigts de pied qui pianotent doucement sur la bosse qui commence à grossir.
Mon pied s’immisce sous la robe bustier de Magalie. Je remonte le long de sa cuisse, et arrive à son pubis.
Elle n’a pas mis de sous-vêtement. Je sens ses poils pubiens contre mes orteils. Mon gros orteil se glisse entre ses grandes lèvres et arrive à son clito. Je joue avec son clito qui gonfle et durcit. La cyprine coule le long de ma plante de pied. Mon orteil pénètre entre ses petites lèvres, et la masturbe doucement.
Je lève les yeux et vois Magalie qui a descendu le haut de sa robe, empaumer ses seins, se pincer se maltraiter les tétons, le regard complètement chaviré. Elle se mord la lèvre inférieure, pour ne pas gémir. D’un seul coup ses cuisses serrent mon pied, une goutte de sang perle à la commissure de sa bouche.
Tu es là je ne t’entends plus.
Excuse moi je regardais ce qui cuit, je n’ai pas envie que ça brûle.
Si je comprends elle dort encore à la maison ce soir.
Ben oui, demain je la remonte chez ta mère, mais elle doit être sans faute lundi à 8h30 au magasin.
D’accord, on mange tous demain midi chez maman. Je préparerai quelque chose.
Je raccroche, Magalie est complètement partie, les yeux dans le vague.
Je prends sa main, et l’attire vers moi. Elle s’assied sur mes genoux. Je la sers contre moi. Son cœur bat à cent à l’heure. Mon jeans est trempée par sa mouille.
Je lui caresse les cheveux, l’embrasse doucement, tendrement, un gout de sang se mêle à nos salives. Elle pose sa tête sur mon épaule, elle se calme, se détend.
Tu es un sacré coquin toi, pour ne pas dire autre chose. Pendant que tu téléphones à ta femme tu me fais des choses pas possibles, et tu arrives à me faire jouir. Et moi je t’allume et te laisse en plan. C’est méchant pour ma sœur mais j’ai adoré. Et toi tu ne perds rien pour attendre.
Je n’étais pas tout seul pour te faire jouir, tu as vu ce que tu as fait à tes tétons ?
J’ai remarqué, que tu as joui, tu t’es mordu la lèvre au sang, et regarde mon pied est trempé.
Tu ne mouilles pas, tu coules, une vrai fontaine ma puce. Depuis que tu t’es assise sur moi, mon jeans est trempée de ta mouille, je ne te dis pas l’état où doit être ta robe.
Elle se lève, se penche, attrape mon pied et en me regardant dans les yeux, suce mon gros orteil.
J’ai bon gout dit elle avec un petit sourire.
Elle enlève sa robe, qui effectivement est trempée. Me regarde l’air de dire, on fait quoi ?
Je pense qu’il faudrait la rincer tout de suite à l’eau, et la mettre à sécher.
Elle se dirige vers la salle de bain, je la suis. Elle passe sa robe sous l’eau à peine tiède dans la douche. Je lui tends un cintre, elle l’accroche sur l’étendoir au-dessus de la baignoire. Elle se retourne, écarte les cuisses, passe sa main sur sa petite chatte ses cuisses.
C’est vrai je suis une vrai fontaine, il y en a partout.
Elle rentre dans la douche, règle l’eau sur très froid, et se rince doucement avec la douchette.
Bon sang je suis complètement mordu de cette petite, elle me fait faire, et elle fait des trucs impossibles.
La faire jouir pendant que tu parles au téléphone avec ta moitié, mais t’es taré mec.
Et elle c’est pareil, elle se lâche complètement avec moi, ce n’est pas une gamine, c’est une tornade, une bombe à retardement. Mais qu’est ce que c’est bon.
Elle sort de la douche, me regarde, regarde sa petite chatte.
Au fait, avec tout ce que l’on a fait aujourd’hui, on n’a pas été chez l’esthéticienne, je ne me suis pas épilée le maillot. Tu me le fais ?
Je pense qu’il est plus sage que tu le fasses dans un salon d’esthétique. Elles ont le coup de main pour cela, raser je sais, épiler suis pas très doué.
Dommage j’aurais aimé sentir des mains sur moi dit elle en minaudant.
On mange ?
Si tu restes dans cette tenue, je ne sais pas si ce n’est pas toi que je vais manger. T’es un pousse au crime ma puce.
Elle va vers le clic clac, le déplie, enlève la housse de protection, sort le tee-shirt de sous un coussin et l’enfile tout naturellement.
Dommage j’aurais aimé te voir manger avec moi nue en face. Mais tu as raison, restons un tant soit peu sérieux. Si je peux encore oser le dire.
Elle met la table pendant que je sors les plats du four (heureusement j’ai mis la minuterie).
Elle regarde les plats.
Je ne connais aucun de ces plats, ma sœur m’a dit que c’était excellent, surtout le salé sucré. Je vais essayer.
Je la regarde manger, j’ai mis des couverts, ne voulant pas qu’elle se ridiculise avec des baguettes.
Je croyais que les chinois mangeaient avec baguettes dit-elle ?
Oui mais ce n’est pas facile. Je préfère manger avec des couverts.
Nous finissons le repas, et débarrassons la table.
Propos de Sabine ma femme
Propos de Magalie ma belle sœur
Mes propos Jacques
Mes pensées,
26)
Vu le timbre de sa voix je me demande ce qu’elle veut manger. Le repas ou moi.
Je me change, je ne vais pas manger en maillot de bain.
Le téléphone de la maison sonne à ce moment, je décroche, ma moitié au bout du fil.
-.-
Alors comment sa se passe avec ton amoureuse ?
Je ne relève pas l’allusion.
Très bien, elle est adorable.
Et le petit, sa va ?
Oui mais tu sais l’allaitement m’épuise, mais lui est en pleine forme, il me prend toute mon énergie. Bon passe moi ma sœur.
Je tends le téléphone à Magalie qui vient de revenir, avec sa magnifique robe bustier.
Ta sœur.
Elle prend le téléphone, je m’éclipse dans la cuisine, pour mettre à réchauffer les plats chinois. J’entends ma tendre belle sœur dire à mon épouse (j’ai laissé la porte de la cuisine ouverte).
Tu sais ton mari est adorable, tu es adorable, vous m’avez gâtée comme pas possible. Et tu sais quoi, lundi je dois me présenter à 8h30 au Centre Halles chez Darjeeling Chantelle la patronne veut me faire passer un essai de deux jours pour mon apprentissage.
Non il n’est pas allé au sauna, je l’ai accaparé toute la journée. Il a l’air épuisé d’ailleurs.
Je vois la tête de Magalie apparaitre dans le cadre de la porte de la cuisine, elle me tend le téléphone et s’assied en face de moi.
J’entends mon épouse dire à sa mère :
Elle l’a mis sur les rotules, il n’ira plus dans les magasins avec moi, déjà qu’il ne venait pas souvent.
Merci de ce que tu viens de dire à ta mère, tu me demandes d’acheter des habits pour ta sœur et maintenant tu critiques.
Je plaisantais tu me connais dit elle en riant. Tu lui as trouvé une place comme apprentie c’est formidable. En plus je connais bien la patronne, elle est super. Cela va bien m’aider dans la discussion avec maman. Elle est un peu braquée sur le fait que Magalie quitte la maison. Elle craint de se retrouver seule.
Et ma petite sœur arrive à te faire louper ton sauna, alors que moi je n’y arrive pas, je vais me poser des questions, t’es amoureux ?
Elle éclate de rire.
A ce moment, je sens un petit pied qui se pose sur mon entrejambe. Je sens les doigts de pied qui pianotent doucement sur la bosse qui commence à grossir.
Mon pied s’immisce sous la robe bustier de Magalie. Je remonte le long de sa cuisse, et arrive à son pubis.
Elle n’a pas mis de sous-vêtement. Je sens ses poils pubiens contre mes orteils. Mon gros orteil se glisse entre ses grandes lèvres et arrive à son clito. Je joue avec son clito qui gonfle et durcit. La cyprine coule le long de ma plante de pied. Mon orteil pénètre entre ses petites lèvres, et la masturbe doucement.
Je lève les yeux et vois Magalie qui a descendu le haut de sa robe, empaumer ses seins, se pincer se maltraiter les tétons, le regard complètement chaviré. Elle se mord la lèvre inférieure, pour ne pas gémir. D’un seul coup ses cuisses serrent mon pied, une goutte de sang perle à la commissure de sa bouche.
Tu es là je ne t’entends plus.
Excuse moi je regardais ce qui cuit, je n’ai pas envie que ça brûle.
Si je comprends elle dort encore à la maison ce soir.
Ben oui, demain je la remonte chez ta mère, mais elle doit être sans faute lundi à 8h30 au magasin.
D’accord, on mange tous demain midi chez maman. Je préparerai quelque chose.
Je raccroche, Magalie est complètement partie, les yeux dans le vague.
Je prends sa main, et l’attire vers moi. Elle s’assied sur mes genoux. Je la sers contre moi. Son cœur bat à cent à l’heure. Mon jeans est trempée par sa mouille.
Je lui caresse les cheveux, l’embrasse doucement, tendrement, un gout de sang se mêle à nos salives. Elle pose sa tête sur mon épaule, elle se calme, se détend.
Tu es un sacré coquin toi, pour ne pas dire autre chose. Pendant que tu téléphones à ta femme tu me fais des choses pas possibles, et tu arrives à me faire jouir. Et moi je t’allume et te laisse en plan. C’est méchant pour ma sœur mais j’ai adoré. Et toi tu ne perds rien pour attendre.
Je n’étais pas tout seul pour te faire jouir, tu as vu ce que tu as fait à tes tétons ?
J’ai remarqué, que tu as joui, tu t’es mordu la lèvre au sang, et regarde mon pied est trempé.
Tu ne mouilles pas, tu coules, une vrai fontaine ma puce. Depuis que tu t’es assise sur moi, mon jeans est trempée de ta mouille, je ne te dis pas l’état où doit être ta robe.
Elle se lève, se penche, attrape mon pied et en me regardant dans les yeux, suce mon gros orteil.
J’ai bon gout dit elle avec un petit sourire.
Elle enlève sa robe, qui effectivement est trempée. Me regarde l’air de dire, on fait quoi ?
Je pense qu’il faudrait la rincer tout de suite à l’eau, et la mettre à sécher.
Elle se dirige vers la salle de bain, je la suis. Elle passe sa robe sous l’eau à peine tiède dans la douche. Je lui tends un cintre, elle l’accroche sur l’étendoir au-dessus de la baignoire. Elle se retourne, écarte les cuisses, passe sa main sur sa petite chatte ses cuisses.
C’est vrai je suis une vrai fontaine, il y en a partout.
Elle rentre dans la douche, règle l’eau sur très froid, et se rince doucement avec la douchette.
Bon sang je suis complètement mordu de cette petite, elle me fait faire, et elle fait des trucs impossibles.
La faire jouir pendant que tu parles au téléphone avec ta moitié, mais t’es taré mec.
Et elle c’est pareil, elle se lâche complètement avec moi, ce n’est pas une gamine, c’est une tornade, une bombe à retardement. Mais qu’est ce que c’est bon.
Elle sort de la douche, me regarde, regarde sa petite chatte.
Au fait, avec tout ce que l’on a fait aujourd’hui, on n’a pas été chez l’esthéticienne, je ne me suis pas épilée le maillot. Tu me le fais ?
Je pense qu’il est plus sage que tu le fasses dans un salon d’esthétique. Elles ont le coup de main pour cela, raser je sais, épiler suis pas très doué.
Dommage j’aurais aimé sentir des mains sur moi dit elle en minaudant.
On mange ?
Si tu restes dans cette tenue, je ne sais pas si ce n’est pas toi que je vais manger. T’es un pousse au crime ma puce.
Elle va vers le clic clac, le déplie, enlève la housse de protection, sort le tee-shirt de sous un coussin et l’enfile tout naturellement.
Dommage j’aurais aimé te voir manger avec moi nue en face. Mais tu as raison, restons un tant soit peu sérieux. Si je peux encore oser le dire.
Elle met la table pendant que je sors les plats du four (heureusement j’ai mis la minuterie).
Elle regarde les plats.
Je ne connais aucun de ces plats, ma sœur m’a dit que c’était excellent, surtout le salé sucré. Je vais essayer.
Je la regarde manger, j’ai mis des couverts, ne voulant pas qu’elle se ridiculise avec des baguettes.
Je croyais que les chinois mangeaient avec baguettes dit-elle ?
Oui mais ce n’est pas facile. Je préfère manger avec des couverts.
Nous finissons le repas, et débarrassons la table.
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XjEd9a1
Re: Si belles, si sœurs
J'suis dans mon bureau ... Toute rouge...
Encore encore !!!!!! Please Please. !!!!
Encore encore !!!!!! Please Please. !!!!
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Supprimé
Re: Si belles, si sœurs
j'ai beaucoup de mal a me concentrer sur le pb qu em'expose mon collégue de boulot là...; :$
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DeLsEp9
Re: Si belles, si sœurs
Toi ealors, me demande l'état de ta chaise.Cedille92 a écrit :
le meilleur arrive
Aprés le tour de cochon, que tu fais en use day, je ne sais pas.Manue a écrit :J'suis dans mon bureau ... Toute rouge...
Encore encore !!!!!! Please Please. !!!!
Tant que tu n'es pas détaché (sans jeux de mots) chez le client, je compatis.Yann a écrit :j'ai beaucoup de mal a me concentrer sur le pb qu em'expose mon collégue de boulot là...; :$
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Invité
Re: Si belles, si sœurs
Besoin d'une Consultante pitêtreYann a écrit :j'ai beaucoup de mal a me concentrer sur le pb qu em'expose mon collégue de boulot là...; :$
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DeLsEp9
Re: Si belles, si sœurs
Cedille92 a écrit : Besoin d'une Consultante pitêtre
Il est pas à Paris,
pi il sera encore moins concentré, si tu es là.
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DeLsEp9
Re: Si belles, si sœurs
Ma journée de bonté.
Propos de Sabine ma femme
Propos de Magalie ma belle sœur
Mes propos Jacques
Mes pensées,
27)
Je croyais que les chinois mangeaient avec baguettes dit-elle ?
Oui mais ce n’est pas facile. Je préfère manger avec des couverts.
Nous finissons le repas, et débarrassons la table.
-.-
Je vais prendre une douche.
On la prend ensemble ?
Elle me lance un regard à faire fondre un iceberg.
Pourquoi pas !
Magalie se précipite, je la suis. Elle s’arrête, se retourne.
Tu es certain que ma sœur ne rentre pas ce soir?
Attends je ferme la porte, à clef et je mets le verrou intérieur, personne ne peut entrer.
Pendant que je ferme la porte Magalie a enlevé son tee-shirt et le jette sur le clic-clac. Elle m’apparait nue, dans la lumière rougeoyante du soleil couchant. Les reflets du soleil couchant se perdent dans sa toison et lui donne des reflets chatoyants.
Je me dirige vers elle, et la prends dans mes bras pour la soulever, elle pose ses bras autour de mon cou et sa tête sur mon épaule.
Je suis bien dans tes bras, c’est comme si tu étais mon amoureux, je sais que tu l’es. Moi je sais que je suis amoureuse de toi.
Je rentre dans la salle de bain, avec elle dans mes bras, et la dépose délicatement au sol devant la douche.
Je commence à vouloir me déshabiller, elle repousse mes mains.
J’ai envie, laisse-moi le faire s’il te plait. Laisse-moi te déshabiller. C’est la première fois, notre première fois.
Elle ouvre un à un les boutons de ma chemise, la fait glisser de mes épaules tout en les caressants. Elle s’approche et embrasse un à un mes tétons qui se redressent.
Elle passe sa langue avec de petits mouvements circulaires, j’adore la sensation qu’elle me procure à ce moment. Mon sexe commence sérieusement à se redresser, je sais ou j’en suis, je ne sais pas ou cela va finir.
Je me disais vu l’effet que cela me fait, que ce serait peut être pareil pour toi.
En même temps elle ouvre ma ceinture, défait un à un les boutons de la braguette.
Je sens ses doigts sur mon sexe, si elle continue, je vais exploser.
Tout en faisant glisser doucement mon jeans le long de mes jambes, elle dépose des petits baisers sur mon torse, mon ventre. Je soulève un à un mes pieds pour qu’elle enlève le jeans. Elle relève la tête et voie la bosse de mon boxer. Elle l’embrasse à l’emplacement de mon sexe.
Je confirme je te fais de l’effet dit-elle en souriant.
Elle place ses deux mains de chaque côte sur mes hanches. Ses yeux se relève, se verrouille dans mon regard.
Je peux ?
Je cligne des yeux, elle glisse ses mains dessous, et en tirant doucement, le fait descendre en me griffant légèrement tout le long de mes cuisses. Mon sexe libéré se redresse et heurte son front.
Elle sourit, me regarde.
Maintenant j’ai le droit de toucher ?
Sa main s’approche maladroitement, et se pose délicatement comme une aile d’oiseau sur un nuage.
Tu sais je ne sais pas trop ce que je fais. C’est la première fois que je vois de si prés et que je touche un sexe d’homme.
Je la prends par les épaules, la sers contre moi, émue par sa candeur.
Je sens ses seins s’écraser contre ma poitrine, mon sexe heurter son pubis, elle passe ses bras dans mon dos et me sert contre elle également.
Tu m’apprendras ?
Tu sais en parler c’est presque facile, mais la je ne sais pas, je ne veux pas mal faire. J’ai peur que tu n’aimes pas. Que je ne sache pas faire ce qu’il faut. Que tu sois déçu.
Je me dirige vers la douche, je règle la température de l’eau, sur 38°. Je retourne vers cette petite puce, ma petite puce qui me regarde avec des yeux apeurés, effrayés.
Il est vrai qu’en me retournant de la voir, nue, à la fois si belle et si apeurée, mon sexe déjà énorme, se redresse encore, le gland vient d’apparaitre complètement.
Je la prends dans mes bras, elle pose sa tête sur mon épaule, ses bras m’enserrent, je la sens se détendre. Je la porte jusqu’à la cabine douche, qui est spacieuse. Je la dépose au sol en l’embrassant tendrement. Elle se colle contre moi.
Je sais que je ne devrais pas le dire tout le temps, mais je t’aime, et depuis des années.
J’ai murement réfléchi, je sais que tu ne quitteras jamais ma sœur pour moi.
Je vivrai intensément les moments ou nous serons ensemble, jamais je ne te pourrirai la vie.
J’attends de toi qu’une seule et unique chose, rends nous heureuses toutes les deux.
Ne nous fais pas souffrir ni l’une ni l’autre. Je sais que si ta femme apprenait ce qui se passe elle serait malheureuse.
Là je suis égoïste. Je le sais, je le veux, je l’assume.
Même si ce n’est que pour ce soir je veux t’avoir à moi et rien qu’à moi.
Devant une telle déclaration, avec autant de maturité, je la regarde ému et l’embrasse tendrement.
Tu sais j’y ai aussi réfléchi et me suis dit que j’étais, que je suis fou.
Fou de te mettre dans une telle situation vis-à-vis de ta sœur.
Fou de risquer que vous vous fâchiez pour toujours et que je ne vous revois plus ni toi ni elle.
Enfin simplement fou de vouloir être avec toi, de te prendre ta jeunesse, ta sensibilité, ton cœur plus simplement.
Propos de Sabine ma femme
Propos de Magalie ma belle sœur
Mes propos Jacques
Mes pensées,
27)
Je croyais que les chinois mangeaient avec baguettes dit-elle ?
Oui mais ce n’est pas facile. Je préfère manger avec des couverts.
Nous finissons le repas, et débarrassons la table.
-.-
Je vais prendre une douche.
On la prend ensemble ?
Elle me lance un regard à faire fondre un iceberg.
Pourquoi pas !
Magalie se précipite, je la suis. Elle s’arrête, se retourne.
Tu es certain que ma sœur ne rentre pas ce soir?
Attends je ferme la porte, à clef et je mets le verrou intérieur, personne ne peut entrer.
Pendant que je ferme la porte Magalie a enlevé son tee-shirt et le jette sur le clic-clac. Elle m’apparait nue, dans la lumière rougeoyante du soleil couchant. Les reflets du soleil couchant se perdent dans sa toison et lui donne des reflets chatoyants.
Je me dirige vers elle, et la prends dans mes bras pour la soulever, elle pose ses bras autour de mon cou et sa tête sur mon épaule.
Je suis bien dans tes bras, c’est comme si tu étais mon amoureux, je sais que tu l’es. Moi je sais que je suis amoureuse de toi.
Je rentre dans la salle de bain, avec elle dans mes bras, et la dépose délicatement au sol devant la douche.
Je commence à vouloir me déshabiller, elle repousse mes mains.
J’ai envie, laisse-moi le faire s’il te plait. Laisse-moi te déshabiller. C’est la première fois, notre première fois.
Elle ouvre un à un les boutons de ma chemise, la fait glisser de mes épaules tout en les caressants. Elle s’approche et embrasse un à un mes tétons qui se redressent.
Elle passe sa langue avec de petits mouvements circulaires, j’adore la sensation qu’elle me procure à ce moment. Mon sexe commence sérieusement à se redresser, je sais ou j’en suis, je ne sais pas ou cela va finir.
Je me disais vu l’effet que cela me fait, que ce serait peut être pareil pour toi.
En même temps elle ouvre ma ceinture, défait un à un les boutons de la braguette.
Je sens ses doigts sur mon sexe, si elle continue, je vais exploser.
Tout en faisant glisser doucement mon jeans le long de mes jambes, elle dépose des petits baisers sur mon torse, mon ventre. Je soulève un à un mes pieds pour qu’elle enlève le jeans. Elle relève la tête et voie la bosse de mon boxer. Elle l’embrasse à l’emplacement de mon sexe.
Je confirme je te fais de l’effet dit-elle en souriant.
Elle place ses deux mains de chaque côte sur mes hanches. Ses yeux se relève, se verrouille dans mon regard.
Je peux ?
Je cligne des yeux, elle glisse ses mains dessous, et en tirant doucement, le fait descendre en me griffant légèrement tout le long de mes cuisses. Mon sexe libéré se redresse et heurte son front.
Elle sourit, me regarde.
Maintenant j’ai le droit de toucher ?
Sa main s’approche maladroitement, et se pose délicatement comme une aile d’oiseau sur un nuage.
Tu sais je ne sais pas trop ce que je fais. C’est la première fois que je vois de si prés et que je touche un sexe d’homme.
Je la prends par les épaules, la sers contre moi, émue par sa candeur.
Je sens ses seins s’écraser contre ma poitrine, mon sexe heurter son pubis, elle passe ses bras dans mon dos et me sert contre elle également.
Tu m’apprendras ?
Tu sais en parler c’est presque facile, mais la je ne sais pas, je ne veux pas mal faire. J’ai peur que tu n’aimes pas. Que je ne sache pas faire ce qu’il faut. Que tu sois déçu.
Je me dirige vers la douche, je règle la température de l’eau, sur 38°. Je retourne vers cette petite puce, ma petite puce qui me regarde avec des yeux apeurés, effrayés.
Il est vrai qu’en me retournant de la voir, nue, à la fois si belle et si apeurée, mon sexe déjà énorme, se redresse encore, le gland vient d’apparaitre complètement.
Je la prends dans mes bras, elle pose sa tête sur mon épaule, ses bras m’enserrent, je la sens se détendre. Je la porte jusqu’à la cabine douche, qui est spacieuse. Je la dépose au sol en l’embrassant tendrement. Elle se colle contre moi.
Je sais que je ne devrais pas le dire tout le temps, mais je t’aime, et depuis des années.
J’ai murement réfléchi, je sais que tu ne quitteras jamais ma sœur pour moi.
Je vivrai intensément les moments ou nous serons ensemble, jamais je ne te pourrirai la vie.
J’attends de toi qu’une seule et unique chose, rends nous heureuses toutes les deux.
Ne nous fais pas souffrir ni l’une ni l’autre. Je sais que si ta femme apprenait ce qui se passe elle serait malheureuse.
Là je suis égoïste. Je le sais, je le veux, je l’assume.
Même si ce n’est que pour ce soir je veux t’avoir à moi et rien qu’à moi.
Devant une telle déclaration, avec autant de maturité, je la regarde ému et l’embrasse tendrement.
Tu sais j’y ai aussi réfléchi et me suis dit que j’étais, que je suis fou.
Fou de te mettre dans une telle situation vis-à-vis de ta sœur.
Fou de risquer que vous vous fâchiez pour toujours et que je ne vous revois plus ni toi ni elle.
Enfin simplement fou de vouloir être avec toi, de te prendre ta jeunesse, ta sensibilité, ton cœur plus simplement.
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Supprimé
Re: Si belles, si sœurs
Cedille92 a écrit : Besoin d'une Consultante pitêtre
Jak67 a écrit :
Il est pas à Paris,
pi il sera encore moins concentré, si tu es là.
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DeLsEp9
Re: Si belles, si sœurs
Je continue demain, sinon, cela va être intenable................................
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Supprimé
