Yann a écrit :
non c'est po juste parce que demain je pourrais pas le lire!!!!!
Trois suites postés ce jour.
Faut pas demander le rouge cerise à tout moment.
Si belles, si sœurs
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DeLsEp9
Re: Si belles, si sœurs
Trois suites postés ce jour.
Faut pas demander le rouge cerise à tout moment.
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XjEd9a1
Re: Si belles, si sœurs
Ca commence a sérieusement me travailler cette affaire là !
Si il faut attendre demain en plus
Si il faut attendre demain en plus
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Invité
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Invité
Re: Si belles, si sœurs
pareil c'est un peu etroit dans le jeanManue a écrit :Ca commence a sérieusement me travailler cette affaire là !
Si il faut attendre demain en plus
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DeLsEp9
Re: Si belles, si sœurs
Yann a écrit :
non c'est po juste parce que demain je pourrais pas le lire!!!!!
J'attends lundi alors ..........................
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BjEd9a10
Re: Si belles, si sœurs
pas du tout..Jak67 a écrit : En complète opposition avec tes mots précédents
]
je suis vraiment une personne timide et réservée, je n'irai pas vers les autres... quand je connais c'est plus pareil.. il est où le blème..
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Invité
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DeLsEp9
Re: Si belles, si sœurs
Yuna a écrit :dédiou... ouskelé la suite..
Mel29440 a écrit : je me suis dit pareil yuna
bon ben a voir
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DeLsEp9
Re: Si belles, si sœurs
Bonne Matinée 
Propos de Sabine ma femme
Propos de Magalie ma belle sœur
Mes propos Jacques
Mes pensées,
28)
Fou de risquer que vous vous fâchiez pour toujours et que je ne vous revoie plus ni toi ni elle.
Enfin simplement fou de vouloir être avec toi, de te prendre ta jeunesse, ta sensibilité, ton cœur plus simplement.
-.-
Nous nous jetons dans les bras l’un de l’autre et nous embrassons comme des fous.
Elle passe ses bras autour de ma nuque. Je la soulève, ses cuisses m’enserrent et se nouent dans mon dos, je sens mon sexe dure comme de la pierre commencer à pénétrer sa vulve brulante.
Elle mouille tellement. Mon sexe commence à glisser tout seul en elle. Mes cuisses s’écartent pour la bloquer. En même temps mes mains se posent sous ses fesses, et la soulève. Mon sexe sort de sa vulve brulante, et humide. Ses yeux hagards m’interrogent.
Pas maintenant, tu t’offres, je veux que tu te donnes.
Je la repose au sol.
Je me donne à toi, j’en ai envie, je le veux, je ne comprends pas.
Justement, tu en as envie, tu le veux, ta tête le veut.
Mais ton corps lui en a-t-il envie? Tes hormones te crient t’elles, « je le veux ! »
Ne brule pas les étapes. Ce soir nous ne ferons pas l’amour au sens ou tu l’entends. Je ne te pénétrerai pas avec mon sexe. Et pourtant tu verras ton corps le voudra. Tu me supplieras.
Tu m’as dit « apprends-moi ».
oui
Alors je vais t’apprendre.
T’apprendre à écouter ton corps, à le ressentir, et surtout à le comprendre.
T’apprendre à écouter et ressentir tes émotions, tes envies.
T’apprendre à assumer. Assumer ton corps, assumer tes émotions et principalement assumer tes envies.
Je la retourne, prends le gel douche, m’en verse sur la main, la pose sur son dos. Je commence en lui massant la nuque, la racine des cheveux, doucement, par de petits mouvements circulaires du bout des doigts. Elle pose ses deux mains contre le mur bras tendus.
Je passe sous ses bras et la masse des aisselles vers ses clavicules pour un massage des sous-clavières.
Je passe au dos, lui masse le long de la colonne vertébrale. Ensuite moment de détente, je lui masse les dorsaux. Je sais que ce n’est pas toujours agréable, mais le bonheur arrive après, on se sent soudainement détendu.
Les mouvements circulaires m’amènent de ses flancs aux hanches puis aux fesses.
Je me penche et lui dépose des petits bisous sur la nuque. Elle frissonne, se retourne, m’embrasse goulument.
Tu as des doigts magiques, je me sens détendue, bien dans ma peau, et je ressens des envies au fond de moi, mes seins gonflent, mes tétons sont droits comme des I, je mouille comme pas possible, et pourtant tu n’as pas encore touché un seul des "endroits interdits" comme le dit maman.
Elle rigole de bon cœur.
Je me penche et dépose un baiser sur ses tétons qui il est vrai sont bien apparents et dressés. Je les mordille gentiment. Magalie plaque son dos contre le mur. Ses mains remontent, me présentent ses seins, comme pour la téter. Je m’empare de l’un de l’autre, pendant que j’en suce un, je titille l’autre entre deux doigts, et inversement. Je n’arrête pas de passer de l’un à l’autre.
Cela dure depuis quelques minutes lorsque je vois les mains de Magalie descendre et se poser sur son pubis. Une de ses mains écarte ses grandes lèvres, pendant que l’autre se pose sur son clito. Je la laisse commencer à se caresser puis lui enlève doucement les mains.
Non s’il te plait, je voudrais que tu ressentes ce qu’un homme peut te donner sans te pénétrer avec son sexe, sans que tu te caresses, uniquement que tu écoutes ton corps, que tu ressente ton corps, plus simplement que tu sois ton corps.
Tu es le diable personnifié, je commence à comprendre ce que ma sœur voulait me dire.
Tu vas m’apprendre, et je ne pouvais pas tomber sur un meilleur professeur que toi.
Tu as dit que tu ne me pénétrerais pas avec ton sexe? Je prends la pilule.
Pour moi la pénétration n’est pas l’acte sexuel. Il est le final d’une osmose, d’une symbiose sexuelle.
L’acte sexuel se décompose en plusieurs moments. Il n’y aucune obligation de faire tout.
Ce sont des bases que chacun adapte à ses envies à son plaisir, au moment.
Il y a :
Les préliminaires, où chacun amène l’autre à avoir des envies, du désir, de la frustration. Pour moi ce moment est primordial, et amène naturellement, instinctivement à :.
La jouissance des mains, ou chacun fait jouir l’autre sans autre aide, que ses mains.
La jouissance buccale, ou chacun fait jouir l’autre sans autre aide, que ses lèvres sa bouche sa langue.
Et enfin la pénétration, vaginale et/ou anale. Comme les partenaires l’entendent.
Et s’ils en ont encore envie.
Je sais ça fait un peut médical mais tu verras, tu commenceras à comprendre quand tu seras passée par toutes ces étapes.
Donc pour l’instant, je n’en suis qu’aux prémices, je te laisse le choix de la suite.
Le mieux, tu fais comme tu le sens, le ressens au moment voulu.
Je ne veux rien t’imposer, ni t’obliger à quoique ce soit.
Propos de Sabine ma femme
Propos de Magalie ma belle sœur
Mes propos Jacques
Mes pensées,
28)
Fou de risquer que vous vous fâchiez pour toujours et que je ne vous revoie plus ni toi ni elle.
Enfin simplement fou de vouloir être avec toi, de te prendre ta jeunesse, ta sensibilité, ton cœur plus simplement.
-.-
Nous nous jetons dans les bras l’un de l’autre et nous embrassons comme des fous.
Elle passe ses bras autour de ma nuque. Je la soulève, ses cuisses m’enserrent et se nouent dans mon dos, je sens mon sexe dure comme de la pierre commencer à pénétrer sa vulve brulante.
Elle mouille tellement. Mon sexe commence à glisser tout seul en elle. Mes cuisses s’écartent pour la bloquer. En même temps mes mains se posent sous ses fesses, et la soulève. Mon sexe sort de sa vulve brulante, et humide. Ses yeux hagards m’interrogent.
Pas maintenant, tu t’offres, je veux que tu te donnes.
Je la repose au sol.
Je me donne à toi, j’en ai envie, je le veux, je ne comprends pas.
Justement, tu en as envie, tu le veux, ta tête le veut.
Mais ton corps lui en a-t-il envie? Tes hormones te crient t’elles, « je le veux ! »
Ne brule pas les étapes. Ce soir nous ne ferons pas l’amour au sens ou tu l’entends. Je ne te pénétrerai pas avec mon sexe. Et pourtant tu verras ton corps le voudra. Tu me supplieras.
Tu m’as dit « apprends-moi ».
oui
Alors je vais t’apprendre.
T’apprendre à écouter ton corps, à le ressentir, et surtout à le comprendre.
T’apprendre à écouter et ressentir tes émotions, tes envies.
T’apprendre à assumer. Assumer ton corps, assumer tes émotions et principalement assumer tes envies.
Je la retourne, prends le gel douche, m’en verse sur la main, la pose sur son dos. Je commence en lui massant la nuque, la racine des cheveux, doucement, par de petits mouvements circulaires du bout des doigts. Elle pose ses deux mains contre le mur bras tendus.
Je passe sous ses bras et la masse des aisselles vers ses clavicules pour un massage des sous-clavières.
Je passe au dos, lui masse le long de la colonne vertébrale. Ensuite moment de détente, je lui masse les dorsaux. Je sais que ce n’est pas toujours agréable, mais le bonheur arrive après, on se sent soudainement détendu.
Les mouvements circulaires m’amènent de ses flancs aux hanches puis aux fesses.
Je me penche et lui dépose des petits bisous sur la nuque. Elle frissonne, se retourne, m’embrasse goulument.
Tu as des doigts magiques, je me sens détendue, bien dans ma peau, et je ressens des envies au fond de moi, mes seins gonflent, mes tétons sont droits comme des I, je mouille comme pas possible, et pourtant tu n’as pas encore touché un seul des "endroits interdits" comme le dit maman.
Elle rigole de bon cœur.
Je me penche et dépose un baiser sur ses tétons qui il est vrai sont bien apparents et dressés. Je les mordille gentiment. Magalie plaque son dos contre le mur. Ses mains remontent, me présentent ses seins, comme pour la téter. Je m’empare de l’un de l’autre, pendant que j’en suce un, je titille l’autre entre deux doigts, et inversement. Je n’arrête pas de passer de l’un à l’autre.
Cela dure depuis quelques minutes lorsque je vois les mains de Magalie descendre et se poser sur son pubis. Une de ses mains écarte ses grandes lèvres, pendant que l’autre se pose sur son clito. Je la laisse commencer à se caresser puis lui enlève doucement les mains.
Non s’il te plait, je voudrais que tu ressentes ce qu’un homme peut te donner sans te pénétrer avec son sexe, sans que tu te caresses, uniquement que tu écoutes ton corps, que tu ressente ton corps, plus simplement que tu sois ton corps.
Tu es le diable personnifié, je commence à comprendre ce que ma sœur voulait me dire.
Tu vas m’apprendre, et je ne pouvais pas tomber sur un meilleur professeur que toi.
Tu as dit que tu ne me pénétrerais pas avec ton sexe? Je prends la pilule.
Pour moi la pénétration n’est pas l’acte sexuel. Il est le final d’une osmose, d’une symbiose sexuelle.
L’acte sexuel se décompose en plusieurs moments. Il n’y aucune obligation de faire tout.
Ce sont des bases que chacun adapte à ses envies à son plaisir, au moment.
Il y a :
Les préliminaires, où chacun amène l’autre à avoir des envies, du désir, de la frustration. Pour moi ce moment est primordial, et amène naturellement, instinctivement à :.
La jouissance des mains, ou chacun fait jouir l’autre sans autre aide, que ses mains.
La jouissance buccale, ou chacun fait jouir l’autre sans autre aide, que ses lèvres sa bouche sa langue.
Et enfin la pénétration, vaginale et/ou anale. Comme les partenaires l’entendent.
Et s’ils en ont encore envie.
Je sais ça fait un peut médical mais tu verras, tu commenceras à comprendre quand tu seras passée par toutes ces étapes.
Donc pour l’instant, je n’en suis qu’aux prémices, je te laisse le choix de la suite.
Le mieux, tu fais comme tu le sens, le ressens au moment voulu.
Je ne veux rien t’imposer, ni t’obliger à quoique ce soit.
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DeLsEp9
Re: Si belles, si sœurs
Mel29440 a écrit : :cinglé:
Manue a écrit :Chaaaaaleuuur
Cedille92 a écrit :Caliente
Comme personne ne demande de suite
à Lundi. :moonie:
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Invité
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DeLsEp9
Re: Si belles, si sœurs
Cedille92 a écrit :LA SUITEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEe
Too late ............
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Invité
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DeLsEp9
Re: Si belles, si sœurs
Cedille92 a écrit :Siteplé
c'est pour mon bien être
Ton bien être,
et le mal être de ta chaise.
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Invité
Re: Si belles, si sœurs
Mais ouiiiiiii c'est pour ma santé 
et ma chaise va très bien, arrêtes de te faire des films
et ma chaise va très bien, arrêtes de te faire des films
-
DeLsEp9
Re: Si belles, si sœurs
Cedille92 a écrit :Mais ouiiiiiii c'est pour ma santé
et ma chaise va très bien, arrêtes de te faire des films
Me fait aucun film.
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Invité
Re: Si belles, si sœurs
un chouillat keumêmeJak67 a écrit : Me fait aucun film.
et une petite suite c'est possible ou pas
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DeLsEp9
Re: Si belles, si sœurs
Propos de Sabine ma femme
Propos de Magalie ma belle sœur
Mes propos Jacques
Mes pensées,
29)
Donc pour l’instant, je n’en suis qu’aux prémices, je te laisse le choix de la suite.
Le mieux, tu fais comme tu le sens, le ressens au moment voulu.
Je ne veux rien t’imposer, ni t’obliger à quoique ce soit
-.-
Main, je ne sais pas pour la bouche si je pourrais. Si j’oserai.
De toute façon ce soir tu subis si je peu dire, Tu interviens si tu as envie, te sent pas obligé. Quoique tu fasses, que tu veuille faire ce soir, tu le fait comme tu le sens, comme tu en a envie.
Ne t’inquiète pas. Tu apprendras, maintenant c’est ton initiation. Si quelque chose te dérange, te choque dit le, j’arrêterais.
Dits toi bien que quoi qu’il se passe, je ne serais pas déçu. Mon plaisir ne compte pas ce soir.
C’est toi qui es importante, toi seule. C’est ta première fois, je veux que ça se passe bien pour toi, pour ton corps, pour ta tête, pour ta vie de femme.
Je voie ses yeux qui me regardent ébahis, elle a l’air à la foi apeurée, surprise, heureuse, mais surtout étonnée.
Je l’embrasse tendrement, la tiens serré contre moi. Je sens son cœur qui bat lentement. Elle est apaisée. Je la mets face au mur.
Je lui masse à nouveau le dos.
Mes mains se posent sur ses fesses. Je les pétries, les malaxent. Puis je commence doucement en partant du rachis, à masser une fesse après l’autre.
Mes doigts s’insinuent entre ses fesses dans le sillon culier.
Mes mains écartent ses fesses, je les sens se contracter. Un de mes doigts passe doucement sur son petit œillet. Il est petit et se contracte. Il se détend au fur et à mesure que je le caresse. Petit à petit je remarque qu’elle se détend, se laisse aller. J’embrasse, et passe ma langue sur son anus. Elle frémi.
Mes mains glissent entre ses cuisses, elle écarte ses pieds. Je griffe doucement ses cuisses, en partant de son pubis, en descendant sur l’intérieur de sa cuisse. Je passe d’une jambe à l’autre. Je l’entends gémir.
Je prends un de ses pieds et le relevant, le pose sur le dessus d’une de mes cuisses. Ses orteils touchent mon sexe qui est dans un état incroyable. Le Gland turgescent apparait, mon sexe est dur et pointé vers les orteils de Magalie, je sens ses doigts de pieds bougés et pianoter sur mon gland. Je l’imagine sourire du tour qu’elle me fait.
Je prends chaque orteil et les masse doucement l’un après l’autre. Puis je passe à la plante des pieds que je masse. Je passe à l’autre pied.
Je me relève, en lui embrasse les fesses, et je remonte en l’embrassant le long de la colonne vertébrale, pour finir dans la nuque. Mon sexe ce coquin, s’est logé entre les fesses de Magalie. Je la sens serrer les fesses comme pour le garder en elle, bien que je ne l’aie pas pénétré. Elle tourne la tête avec un grand sourire et m’embrasse. Ses yeux sont joyeux. Elle me dit doucement :
Je te tiens je ne te lâche plus.
Je souri. Mes mains empaume ses seins, et titille ses tétons. Je commence à lui faire faire un demi-tour, mais ses fesses me tiennent toujours.
J’essaie de participer comme je peux. J’adore sentir ton sexe contre moi, et là c’est presque comme s’il est en moi.
En effet je sens au bout de mon gland, son œillet qui appuie, comme si elle voulait que je la pénètre. Je descends mes mains et écarte ses fesses. Je pousse doucement, et je sens son anus se dilater, mon gland commence à le pénétrer.
Je me retire et je représente mon sexe. Je le tiens en main et je le passe sur son anus. Ses mains sont venues écartées ses fesses, pour me présenter son petit trou. Elle se cambre, pour mieux me le présenter.
Nous continuons comme cela de longues minutes, je présente mon sexe, elle pousse comme si elle voulait que je la pénètre. Quand ces mouvements sont trop amples je recule. Pour ne pas la pénétrer.
Elle se retourne, me prends dans ses bras, et m’embrasse fougueusement. Elle m’embrasse, le menton, le cou descends sur mes tétons, les suces l’un après l’autre. Elle continue de descendre, tout en m’embrassant lentement le corps. Elle s’arrête sur mon nombril, je sens sa langue qui le caresse le lèche. Elle continue à déposer de petits baisers tout en s’agenouillant.
Elle prend mon sexe en main et me regarde dans les yeux.
Ils me disent, je veux, j’ai envie d’essayer. Je m’adosse contre le mur tout en la regardant.
Je voie sa bouche s’approcher, elle dépose des petits baisers sur mon gland.
Elle l’embrasse, je la voie déplacer sa tête et déposer des petits baisers le long de la hampe. Elle recule sa tête me regarde et prends mon sexe en bouche. Je sens ses lèvres se serrer au passage de mon gland. Une langue malhabile le lèche le titille. Ses yeux brillent, elle commence un lent va et vient avec sa bouche.
Je pose mes mains sur ses épaules. Elle me regarde tout en continuant ses va et viens. Ses yeux me disent laisse toi faire, laisse moi faire. Elle sort mon sexe de sa bouche et le lèche comme une glace, en insistant sur le méat et le frein. Une de ses mains et posée sur mes fesses. Elle sent les contractions de mon corps. Elle comprend que j’apprécie ce qu’elle est entrain de faire, de me faire.
Elle le reprend en bouche et ses mouvements s’accélèrent, je butte dans le fond de sa gorge, sa bouche heurte mon pubis, quand elle l’enfonce trop profondément.
Je sens les prémices de la jouissance arrivé, elle aussi je pense. Elle sent mes contractions j’essaie de me retenir, ne pas jouir maintenant, pas encore. Ne pas arrêter ce moment divin.
Je vais jouir, écarte toi.
Elle me regarde sa bouche reste collée à mon sexe, sa bouche m’aspire comme si elle tétait mon sexe. Elle continue en me regardant dans les yeux. Nos regard sont accrochés l’un à l’autre, ne se lâchent pas. Je sens la jouissance explosé dans mes reins. Elle me garde en bouche, je voie son regard surpris, elle déglutit.
Elle sort mon sexe de sa bouche, le lèche, la pointe de sa langue joue avec mon sexe, comme si elle voulait s’immiscer dans le méat. Elle tête mon sexe. Je sens ma jouissance revenir au triple galop. Je la regarde, elle sent de nouveau les contractions de mon corps. Elle ouvre la bouche, retire mon sexe, Mon sperme jailli sur son visage. Je la relève, et l’embrasse à pleine bouche. Je sens ma saveur sur sa bouche. Je prends la pomme de douche et lave sa figure ses cheveux.
Je ne sais pas ce qui m’a pris. J’ai voulu sentir ton sexe en moi. Ma bouche te voulait.
Sentir ton sexe, entre mes fesses, contre mon anus, commencer à me pénétrer, m’a excité comme jamais je l’aurais imaginé. Je ne ressentais aucune peur, ni de l’interdit, ni d’avoir mal.
Te sentir qui commence à me pénétrer doucement, et toi qui recule quand il va trop loin, a commencé à me faire comprendre ce que tu m’a dis. La montée du plaisir, l’envie, la frustration.
J’ai voulu te prendre, te donner ma bouche, te faire jouir avec ma bouche. Que nous ne soyons plus qu’un.
C’est gentil de m’avoir prévenu, mais je voulais te sentir jouir. Ton corps s’est tendu, juste avant que tu éjacules, je ne m’y attendais pas. Je ne savais pas.
J’ai adoré que nos regard restent l’un dans l’autre quand tu as joui,
De te sentir dans ma bouche, de te faire ce que j’ai fait, je n’étais plus là.
Faire l’amour n’est pas une fin en soit.
Faire l’amour ce n’est que le plaisir de deux corps qui se cherche, se trouve, s’explore pour le plaisir des deux, rien que le plaisir.
Si on aller au lit ?
Quelle maturité en si peut de temps. Elle commence à ressentir ce que je veux lui faire comprendre, ce que son corps, ses sens expriment, sans que sa tête ne le dirige.
Propos de Magalie ma belle sœur
Mes propos Jacques
Mes pensées,
29)
Donc pour l’instant, je n’en suis qu’aux prémices, je te laisse le choix de la suite.
Le mieux, tu fais comme tu le sens, le ressens au moment voulu.
Je ne veux rien t’imposer, ni t’obliger à quoique ce soit
-.-
Main, je ne sais pas pour la bouche si je pourrais. Si j’oserai.
De toute façon ce soir tu subis si je peu dire, Tu interviens si tu as envie, te sent pas obligé. Quoique tu fasses, que tu veuille faire ce soir, tu le fait comme tu le sens, comme tu en a envie.
Ne t’inquiète pas. Tu apprendras, maintenant c’est ton initiation. Si quelque chose te dérange, te choque dit le, j’arrêterais.
Dits toi bien que quoi qu’il se passe, je ne serais pas déçu. Mon plaisir ne compte pas ce soir.
C’est toi qui es importante, toi seule. C’est ta première fois, je veux que ça se passe bien pour toi, pour ton corps, pour ta tête, pour ta vie de femme.
Je voie ses yeux qui me regardent ébahis, elle a l’air à la foi apeurée, surprise, heureuse, mais surtout étonnée.
Je l’embrasse tendrement, la tiens serré contre moi. Je sens son cœur qui bat lentement. Elle est apaisée. Je la mets face au mur.
Je lui masse à nouveau le dos.
Mes mains se posent sur ses fesses. Je les pétries, les malaxent. Puis je commence doucement en partant du rachis, à masser une fesse après l’autre.
Mes doigts s’insinuent entre ses fesses dans le sillon culier.
Mes mains écartent ses fesses, je les sens se contracter. Un de mes doigts passe doucement sur son petit œillet. Il est petit et se contracte. Il se détend au fur et à mesure que je le caresse. Petit à petit je remarque qu’elle se détend, se laisse aller. J’embrasse, et passe ma langue sur son anus. Elle frémi.
Mes mains glissent entre ses cuisses, elle écarte ses pieds. Je griffe doucement ses cuisses, en partant de son pubis, en descendant sur l’intérieur de sa cuisse. Je passe d’une jambe à l’autre. Je l’entends gémir.
Je prends un de ses pieds et le relevant, le pose sur le dessus d’une de mes cuisses. Ses orteils touchent mon sexe qui est dans un état incroyable. Le Gland turgescent apparait, mon sexe est dur et pointé vers les orteils de Magalie, je sens ses doigts de pieds bougés et pianoter sur mon gland. Je l’imagine sourire du tour qu’elle me fait.
Je prends chaque orteil et les masse doucement l’un après l’autre. Puis je passe à la plante des pieds que je masse. Je passe à l’autre pied.
Je me relève, en lui embrasse les fesses, et je remonte en l’embrassant le long de la colonne vertébrale, pour finir dans la nuque. Mon sexe ce coquin, s’est logé entre les fesses de Magalie. Je la sens serrer les fesses comme pour le garder en elle, bien que je ne l’aie pas pénétré. Elle tourne la tête avec un grand sourire et m’embrasse. Ses yeux sont joyeux. Elle me dit doucement :
Je te tiens je ne te lâche plus.
Je souri. Mes mains empaume ses seins, et titille ses tétons. Je commence à lui faire faire un demi-tour, mais ses fesses me tiennent toujours.
J’essaie de participer comme je peux. J’adore sentir ton sexe contre moi, et là c’est presque comme s’il est en moi.
En effet je sens au bout de mon gland, son œillet qui appuie, comme si elle voulait que je la pénètre. Je descends mes mains et écarte ses fesses. Je pousse doucement, et je sens son anus se dilater, mon gland commence à le pénétrer.
Je me retire et je représente mon sexe. Je le tiens en main et je le passe sur son anus. Ses mains sont venues écartées ses fesses, pour me présenter son petit trou. Elle se cambre, pour mieux me le présenter.
Nous continuons comme cela de longues minutes, je présente mon sexe, elle pousse comme si elle voulait que je la pénètre. Quand ces mouvements sont trop amples je recule. Pour ne pas la pénétrer.
Elle se retourne, me prends dans ses bras, et m’embrasse fougueusement. Elle m’embrasse, le menton, le cou descends sur mes tétons, les suces l’un après l’autre. Elle continue de descendre, tout en m’embrassant lentement le corps. Elle s’arrête sur mon nombril, je sens sa langue qui le caresse le lèche. Elle continue à déposer de petits baisers tout en s’agenouillant.
Elle prend mon sexe en main et me regarde dans les yeux.
Ils me disent, je veux, j’ai envie d’essayer. Je m’adosse contre le mur tout en la regardant.
Je voie sa bouche s’approcher, elle dépose des petits baisers sur mon gland.
Elle l’embrasse, je la voie déplacer sa tête et déposer des petits baisers le long de la hampe. Elle recule sa tête me regarde et prends mon sexe en bouche. Je sens ses lèvres se serrer au passage de mon gland. Une langue malhabile le lèche le titille. Ses yeux brillent, elle commence un lent va et vient avec sa bouche.
Je pose mes mains sur ses épaules. Elle me regarde tout en continuant ses va et viens. Ses yeux me disent laisse toi faire, laisse moi faire. Elle sort mon sexe de sa bouche et le lèche comme une glace, en insistant sur le méat et le frein. Une de ses mains et posée sur mes fesses. Elle sent les contractions de mon corps. Elle comprend que j’apprécie ce qu’elle est entrain de faire, de me faire.
Elle le reprend en bouche et ses mouvements s’accélèrent, je butte dans le fond de sa gorge, sa bouche heurte mon pubis, quand elle l’enfonce trop profondément.
Je sens les prémices de la jouissance arrivé, elle aussi je pense. Elle sent mes contractions j’essaie de me retenir, ne pas jouir maintenant, pas encore. Ne pas arrêter ce moment divin.
Je vais jouir, écarte toi.
Elle me regarde sa bouche reste collée à mon sexe, sa bouche m’aspire comme si elle tétait mon sexe. Elle continue en me regardant dans les yeux. Nos regard sont accrochés l’un à l’autre, ne se lâchent pas. Je sens la jouissance explosé dans mes reins. Elle me garde en bouche, je voie son regard surpris, elle déglutit.
Elle sort mon sexe de sa bouche, le lèche, la pointe de sa langue joue avec mon sexe, comme si elle voulait s’immiscer dans le méat. Elle tête mon sexe. Je sens ma jouissance revenir au triple galop. Je la regarde, elle sent de nouveau les contractions de mon corps. Elle ouvre la bouche, retire mon sexe, Mon sperme jailli sur son visage. Je la relève, et l’embrasse à pleine bouche. Je sens ma saveur sur sa bouche. Je prends la pomme de douche et lave sa figure ses cheveux.
Je ne sais pas ce qui m’a pris. J’ai voulu sentir ton sexe en moi. Ma bouche te voulait.
Sentir ton sexe, entre mes fesses, contre mon anus, commencer à me pénétrer, m’a excité comme jamais je l’aurais imaginé. Je ne ressentais aucune peur, ni de l’interdit, ni d’avoir mal.
Te sentir qui commence à me pénétrer doucement, et toi qui recule quand il va trop loin, a commencé à me faire comprendre ce que tu m’a dis. La montée du plaisir, l’envie, la frustration.
J’ai voulu te prendre, te donner ma bouche, te faire jouir avec ma bouche. Que nous ne soyons plus qu’un.
C’est gentil de m’avoir prévenu, mais je voulais te sentir jouir. Ton corps s’est tendu, juste avant que tu éjacules, je ne m’y attendais pas. Je ne savais pas.
J’ai adoré que nos regard restent l’un dans l’autre quand tu as joui,
De te sentir dans ma bouche, de te faire ce que j’ai fait, je n’étais plus là.
Faire l’amour n’est pas une fin en soit.
Faire l’amour ce n’est que le plaisir de deux corps qui se cherche, se trouve, s’explore pour le plaisir des deux, rien que le plaisir.
Si on aller au lit ?
Quelle maturité en si peut de temps. Elle commence à ressentir ce que je veux lui faire comprendre, ce que son corps, ses sens expriment, sans que sa tête ne le dirige.
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DeLsEp9
Re: Si belles, si sœurs
Cedille92 a écrit : un chouillat keumême
et une petite suite c'est possible ou pas
Manue a écrit :Ouiiiii pleine de chaleur encore
Pfff, vous postez quand j'envoie la suite,
Perdu 15 secondes
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XjEd9a1
Re: Si belles, si sœurs
Bon alors je peux définitivement poser mon stylo ou autre... J'peux plus bosser c'pa possible dans ces conditions.
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DeLsEp9
Re: Si belles, si sœurs
Manue a écrit :Bon alors je peux définitivement poser mon stylo ou autre... J'peux plus bosser c'pa possible dans ces conditions.
Poser,
donc pas autant d'effet que cela.
autre, mais encore, tu fait croire que tu travail en sussottant autre chose.
Tu réclames une suite, assume tes envies.
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Invité
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XjEd9a1
Re: Si belles, si sœurs
J'assume !!!! mais comme je n'assouvit pas ... Et bien je réagis un peu trop vite au moindre stimulis
Donc je bosse pu et pi c tout... J'suis cro déconcentrée.
Pour la peine pause cloppe !!!
Donc je bosse pu et pi c tout... J'suis cro déconcentrée.
Pour la peine pause cloppe !!!
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DeLsEp9
Re: Si belles, si sœurs
Cedille92 a écrit :encooooooooooooooooooooore encore encore encore une suite siteplé
Manue a écrit :J'assume !!!! mais comme je n'assouvit pas ... Et bien je réagis un peu trop vite au moindre stimulis
Donc je bosse pu et pi c tout... J'suis cro déconcentrée.
Pour la peine pause cloppe !!!
Ce n'est même plus de la gourmandise.
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DeLsEp9
Re: Si belles, si sœurs
Propos de Sabine ma femme
Propos de Magalie ma belle sœur
Mes propos Jacques
Mes pensées,
30)
Faire l’amour ce n’est que le plaisir de deux corps qui se cherche, se trouve, s’explore pour le plaisir des deux, rien que le plaisir.
Si on aller au lit ?
Quelle maturité en si peut de temps. Elle commence à ressentir ce que je veux lui faire comprendre, ce que son corps, ses sens expriment, sans que sa tête ne le dirige.
-.-
Elle sort de la douche me tends une serviette.
J’ai envie de dormir dans tes bras, même s’il ne se passe rien, même si tu ne me pénètre pas, j’ai compris que c’est mon plaisir que tu veux, et que ce soir, je serais ta chose pour mon plaisir.
Je suis complètement dingue, dingue de ce jeune corps qui se cherche, non qui se donne, de cette jeune-fille qui est déjà une femme dans la tête, et qui comprends si bien à quoi, et où je veux l’amener.
J’acquiesce d’un hochement de tête. Je me commence à avancer pour la sécher, elle me regarde en souriant.
Si tu m’essuie je ne vais pas savoir me tenir, et il y a encore quelque chose que tu n’as pas vue.
La surprise ?
Elle acquiesce de la tête en souriant. Je voie une langue gourmande passé sur ses lèvres, elle se voit déjà dans « sa surprise », et moi la regardant.
Je repense à la boutade de ma femme :
Et ma petite sœur arrive à te faire louper ton sauna, alors que moi je n’y arrive pas, je vais me poser des questions, t’es amoureux ?
Elle a beaucoup d’humour mais souvent, sans que je le reconnaisse, elle m’a percée à jour.
Je me demande ce qu’elle pense en ce moment nous sachant seul à la maison Magalie et moi.
Elle sait elle a compris que sa sœur à plus que flashé sur moi.
A-t-elle réellement compris ce qui m’arrive.
Je ne me pose plus de question, ne veux plus m’en poser.
Sortant de ma songerie, je voie la petite puce qui me regarde, je voie des larmes pointées, je me précipite et la prends dans mes bras, le serre contre moi, l’embrasse, n’arrête pas de l’embrasser partout.
Elle me repousse doucement.
Tu pensais à ta femme ?
Ou a ma sœur ?
Au trois. Tu t’oublie.
Je me souviens que souvent elle a soit employé le terme de :
Ta femme,
Ma sœur,
Ou Sabine.
Pour parler de la même personne.
Comme si elle faisait une distinction, une différence entre sa sœur, mon épouse et une femme qui s’appelle Sabine.
Alors que ce n’est qu’une seule est même personne. Tout cela suivant ce que nous faisions, suivant ce qui était en train de se passer entre nous deux, ou de la discussion du moment.
Comme si elle voulait donner plus de poids de force à son ressenti, plus d’importance, à son amour.
Mais surtout afin de ne pas se mettre en porte à faux avec sa sœur, mon épouse.
Et ?
Je me suis remémoré une phrase qu’elle m’a dit pendant que nous étions assis dans la cuisine, à attendre que les plats chinois soient chaud.
Nous ne faisions pas que attendre me dit-elle avec un sourire pincé. Nous étions plus chauds que les plats.
Je remarque que son sourire a l’air un peut forcé, que elle et moi ne sommes pas aussi à l’aise que cela.
Donc elle a dit :
Et ma petite sœur arrive à te faire louper ton sauna, alors que moi je n’y arrive pas, je vais me poser des questions, t’es amoureux ?
La petite puce me regarde effarée. Elle est désemparée.
Elle a compris ce qui se passe entre nous ?
Non ce n’est pas possible, pas maintenant.
Je la prends dans mes bras et la porte vers le clic-clac, elle me regarde surprise, quand je la pose sur le clic-clac, et rabat le drap sur elle. Ses grands yeux atterrés semblent dirent, que fais tu ? Pourquoi tu me pose dans mon lit? C’est fini nous deux ?
Je la voie se détendre quand je soulève le drap et me glisse dans le lit à côté d’elle.
Elle se précipite dans mes bras, et elle se retrouve sur moi, Ses seins reposent sur mon torse, son ventre contre le mien.
Son sexe, vient à la rencontre du mien et ne bouge plus. Elle a juste laissé pénétrer mon gland à l’entrée de ses grandes lèvres, de ses petites lèvres.
Nos deux sexes sans qu’on ne les dirige se sont retrouvés. Je sens sa mouille qui s’écoule le long de mon gland, de mon sexe.
Mes mains posées sur sa chute de reins ne bougent pas. Elles sont juste posées à plat, j’ai sentis son corps frémir quand mon sexe s’est positionné à l’entrée de sa vulve.
Elle a posé ses coudes sur mon torse, son menton sur ses deux poings, et me regarde dans les yeux, une impression de soulagement, de bonheur se dégage de son regard. Une intensité qui me réchauffe le cœur.
Je te comprends, pas dans le lit conjugal, tu sais là si je voulais je pourrais m’empaler sur toi, je sens que tu me laisserais faire.
Mais je veux apprendre. Je veux que tu m’apprennes, je veux me donner, et là c’est moi qui te prendrais, tu ne te donnerais pas.
Les rôles sont inversés. Je me dis que c’est un sacré bout de femme que j’ai dans mes bras.
Une femme qui malgré les conséquences catastrophiques que cela pourraient entrainer pour nous deux me donne envie.
Envie d’aller plus loin, envie de lui apprendre comme elle le désir tant. Plus simplement envie d’elle, de son corps, de son âme, de son amour.
Elle se redresse légèrement et je sens mon sexe s’enfoncer en elle. Je la regarde surpris.
Chutt surtout ne bouge surtout pas.
Propos de Magalie ma belle sœur
Mes propos Jacques
Mes pensées,
30)
Faire l’amour ce n’est que le plaisir de deux corps qui se cherche, se trouve, s’explore pour le plaisir des deux, rien que le plaisir.
Si on aller au lit ?
Quelle maturité en si peut de temps. Elle commence à ressentir ce que je veux lui faire comprendre, ce que son corps, ses sens expriment, sans que sa tête ne le dirige.
-.-
Elle sort de la douche me tends une serviette.
J’ai envie de dormir dans tes bras, même s’il ne se passe rien, même si tu ne me pénètre pas, j’ai compris que c’est mon plaisir que tu veux, et que ce soir, je serais ta chose pour mon plaisir.
Je suis complètement dingue, dingue de ce jeune corps qui se cherche, non qui se donne, de cette jeune-fille qui est déjà une femme dans la tête, et qui comprends si bien à quoi, et où je veux l’amener.
J’acquiesce d’un hochement de tête. Je me commence à avancer pour la sécher, elle me regarde en souriant.
Si tu m’essuie je ne vais pas savoir me tenir, et il y a encore quelque chose que tu n’as pas vue.
La surprise ?
Elle acquiesce de la tête en souriant. Je voie une langue gourmande passé sur ses lèvres, elle se voit déjà dans « sa surprise », et moi la regardant.
Je repense à la boutade de ma femme :
Et ma petite sœur arrive à te faire louper ton sauna, alors que moi je n’y arrive pas, je vais me poser des questions, t’es amoureux ?
Elle a beaucoup d’humour mais souvent, sans que je le reconnaisse, elle m’a percée à jour.
Je me demande ce qu’elle pense en ce moment nous sachant seul à la maison Magalie et moi.
Elle sait elle a compris que sa sœur à plus que flashé sur moi.
A-t-elle réellement compris ce qui m’arrive.
Je ne me pose plus de question, ne veux plus m’en poser.
Sortant de ma songerie, je voie la petite puce qui me regarde, je voie des larmes pointées, je me précipite et la prends dans mes bras, le serre contre moi, l’embrasse, n’arrête pas de l’embrasser partout.
Elle me repousse doucement.
Tu pensais à ta femme ?
Ou a ma sœur ?
Au trois. Tu t’oublie.
Je me souviens que souvent elle a soit employé le terme de :
Ta femme,
Ma sœur,
Ou Sabine.
Pour parler de la même personne.
Comme si elle faisait une distinction, une différence entre sa sœur, mon épouse et une femme qui s’appelle Sabine.
Alors que ce n’est qu’une seule est même personne. Tout cela suivant ce que nous faisions, suivant ce qui était en train de se passer entre nous deux, ou de la discussion du moment.
Comme si elle voulait donner plus de poids de force à son ressenti, plus d’importance, à son amour.
Mais surtout afin de ne pas se mettre en porte à faux avec sa sœur, mon épouse.
Et ?
Je me suis remémoré une phrase qu’elle m’a dit pendant que nous étions assis dans la cuisine, à attendre que les plats chinois soient chaud.
Nous ne faisions pas que attendre me dit-elle avec un sourire pincé. Nous étions plus chauds que les plats.
Je remarque que son sourire a l’air un peut forcé, que elle et moi ne sommes pas aussi à l’aise que cela.
Donc elle a dit :
Et ma petite sœur arrive à te faire louper ton sauna, alors que moi je n’y arrive pas, je vais me poser des questions, t’es amoureux ?
La petite puce me regarde effarée. Elle est désemparée.
Elle a compris ce qui se passe entre nous ?
Non ce n’est pas possible, pas maintenant.
Je la prends dans mes bras et la porte vers le clic-clac, elle me regarde surprise, quand je la pose sur le clic-clac, et rabat le drap sur elle. Ses grands yeux atterrés semblent dirent, que fais tu ? Pourquoi tu me pose dans mon lit? C’est fini nous deux ?
Je la voie se détendre quand je soulève le drap et me glisse dans le lit à côté d’elle.
Elle se précipite dans mes bras, et elle se retrouve sur moi, Ses seins reposent sur mon torse, son ventre contre le mien.
Son sexe, vient à la rencontre du mien et ne bouge plus. Elle a juste laissé pénétrer mon gland à l’entrée de ses grandes lèvres, de ses petites lèvres.
Nos deux sexes sans qu’on ne les dirige se sont retrouvés. Je sens sa mouille qui s’écoule le long de mon gland, de mon sexe.
Mes mains posées sur sa chute de reins ne bougent pas. Elles sont juste posées à plat, j’ai sentis son corps frémir quand mon sexe s’est positionné à l’entrée de sa vulve.
Elle a posé ses coudes sur mon torse, son menton sur ses deux poings, et me regarde dans les yeux, une impression de soulagement, de bonheur se dégage de son regard. Une intensité qui me réchauffe le cœur.
Je te comprends, pas dans le lit conjugal, tu sais là si je voulais je pourrais m’empaler sur toi, je sens que tu me laisserais faire.
Mais je veux apprendre. Je veux que tu m’apprennes, je veux me donner, et là c’est moi qui te prendrais, tu ne te donnerais pas.
Les rôles sont inversés. Je me dis que c’est un sacré bout de femme que j’ai dans mes bras.
Une femme qui malgré les conséquences catastrophiques que cela pourraient entrainer pour nous deux me donne envie.
Envie d’aller plus loin, envie de lui apprendre comme elle le désir tant. Plus simplement envie d’elle, de son corps, de son âme, de son amour.
Elle se redresse légèrement et je sens mon sexe s’enfoncer en elle. Je la regarde surpris.
Chutt surtout ne bouge surtout pas.
Dernière modification par DeLsEp9 le 02 juillet 2011, 03:04, modifié 2 fois.
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DeLsEp9
Re: Si belles, si sœurs
Mel29440 a écrit :pas de suite ?????
En deux jours 6 suites,
T'es un gourmand.