Si belles, si sœurs

Des récits qui ne manqueront pas de réveiller vos sens et votre imagination...
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Invité

Re: Si belles, si sœurs

Message par Invité »

ben oui carement tu devrai etre fier qu'on soit si gourmand
DeLsEp9

Re: Si belles, si sœurs

Message par DeLsEp9 »

Mel29440 a écrit :ben oui carement tu devrai etre fier qu'on soit si gourmand

Une suite pour le weekend.


Propos de Sabine ma femme
Propos de Magalie ma belle sœur
Mes propos Jacques
Mes pensées,

31)

Les rôles sont inversés. Je me dis que c’est un sacré bout de femme que j’ai dans mes bras.

Elle se redresse légèrement et je sens mon sexe s’enfoncé en elle. Je la regarde surpris.

Chut surtout ne bouge surtout pas.

-.-

Elle continu doucement de se redresser sans que nos regards ne se quittent. Ses jambes soulèvent en même temps son bassin, tout en gardant le contact entre nos deux sexes.
Je sens sa vulve monté et descendre sur mon gland. Elle laisse juste pénétrer mon gland en elle. Je sens ses petites lèvres s’écarter pour laisser passer mon gland, son petit fourreau qui m’enserre comme si elle ne voulait pas que je la quitte. Je sens sa mouille qui coule le long de mon sexe, et m’inonder le bas-ventre. Je voie ses yeux qui pétillent de joie.


Tu triches.

Mais quel salop je suis, je me retiens de m’enfoncer en elle de sentir son hymen se déchirer au passage de mon sexe, de la voir ouvrir de grand yeux lorsqu’elle sentira mon sexe au fond de son ventre.

Elle bascule sur le côté.

Je sais, mais j’avais envie de sentir ton sexe dans mon ventre. J’ai fait attention de ne pas aller trop loin, de me maitriser. Des respecter ce que tu as dit. Je voulais simplement avoir le bonheur de te sentir dans mon ventre.

J’ai compris que ce soir mon hymen restera intact, je ne voulais pas que ça vienne de moi. C’est toi qui décideras quand je serais prête.

Sous la douche je t’ai donné, non c’est vrai offert mes fesses, mon anus et tu as respecté ce que tu avais dit.

Mais je voulais te sentir en moi, le ressentir.

Je n’ai plus peur maintenant, plus peur d’avoir mal, plus peur en voyant la taille de ton sexe et du mien.

Tout simplement j’ai envie, de te sentir en moi au plus profond de moi, de sentir ton sexe butter au fond de moi, te sentir, te ressentir vibrer au fond de mon ventre. Au fond au plus profond de mon sexe, au plus profond de mes fibres.

Et là je ne m’offre pas, je me donne à toi ce n’est pas ma tête qui parle mais ma bouche, mon vagin, mon hymen, mes fesses. Toutes ces parties de mon corps te veulent en elle.

De toute façon je t’ai donné ma bouche, et tu es le premier, le premier que je fais jouir, qui a jouie dans ma bouche. Jamais je n’aurais cru oser le faire aussi naturellement, sans apriori.


Elle a les yeux humides et moi aussi.


Elle se lève et va prendre les paquets cachés prés du clic-clac. Elle m’expose son adorable fessier, je voie des petits poils qui apparaissent ainsi que la fin de sa vulve. L’intérieur de ses cuisses, brillent de cyprine. Une vrai gargoulette cette petite puce. Je me penche et dépose un baiser sur ses fesses adorables. Un de mes doigts caresse ses grandes lèvres. Sa mouille est tellement abondante que mon doigt commence à se perdre en elle.

Elle me regarde, je la voie se faire violence pour se relever et elle part en courant, en direction notre chambre à coucher, elle ouvre la porte, jette les paquets sur le lit et fait demi tour.


Il faut que j’aille me calmer. T’es pas gentil, je coule comme une fontaine. Je vais tout salir.

Je l’entends entrer sous la douche et l’eau commence à couler. Je me lève doucement, passe la tête et la regarde. Elle passe sur sa petite chatte, le jet de la douche, qui est réglé sur eau froide. Sa main gauche écarte ses grandes lèvres pendant qu’elle dirige un jet pas très puissant dessus.
Elle ferme le robinet. Je me sauve et me recouche. Je l’entends s’essuyer. Elle sort toute pimpante, sa peau est légèrement granuleuse comme si elle avait la chair de poule. Elle passe en souriant et se dirige vers la chambre. Elle se retourne.


Osé ou très osé ?

Osé puis très osé soyons logique.

Logique dans la monté d’adrénaline, dans la montée de tes envies.

Non de nos envies, de notre plaisir.

Bon j’éteins la lumière du salon.

Elle appuie sur l’interrupteur.

Humm elle prépare bien sa mise en scène. .

J’ouvre un peut plus le volet, pour laisser entrée la clarté de la lune qui brille.
Je m’installe confortablement en mettant deux coussins derrière mon dos pour être bien calé.

La porte de la chambre s’ouvre, la lumière y est restée allumée.

La petite puce apparait à contre jour. Elle s’avance, et remarque que j’ai ouvert le volet, elle me voie éclairer par la lune. Elle s’arrête à quelques pas du lit. La lune l’éclaire soudainement. C’est magnifique, elle est sublime.

Elle a passé, un déshabillé vaporeux noir, qui est noué entre les deux seins par un ruban en satin. Je devine sous le bandeau de satin ses aréoles. Le déshabiller s’arrête sur ses hanches au niveau d’une petite toute petite culotte noire mais totalement transparente. Je voie sa toison blonde à travers, ainsi que ces grandes lèvres qui se dessinent en arrière plan.

Je ne peux que me lever, je m’approche, la porte dans mes bras et m’assied sur le bord du lit, elle sur mes genoux.


Tu es sublime, magnifique, cet ensemble te va à ravir. Il te met tellement en valeur, enfin il met tellement ton corps en valeur, tu es tellement belle dedans.

Je ne peu empêcher mon sexe de se redresser. Il vient se positionner entre ses jambes contre sa toute petite culotte. Je la voie baisser les yeux et sourire, un sourire malicieux, qui en dit long sur ses pensées.

Elle se relève et s’agenouille, prend mon sexe en main, embrasse mon gland qu’elle a décalotté, tout en me regardant droit dans les yeux. Elle le gobe. Elle se relève et part dans la chambre sans un mot.


Ais je fais, dit quelque chose qui l’a vexée. Je me pose des questions, je suis en train de réfléchir, à ce qui s’est passé, ce que j’ai bien put faire, dire ou ne pas dire.

Cinq minutes passent, qui me semblent durer une éternité. Pas un mot, pas un bruit, rien. Inquiet je suis en train de me lever, quand la porte de la chambre s’ouvre.

Biquette
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Re: Si belles, si sœurs

Message par Biquette »

La suiiiiiiiiiiiiiiiiiiittttttttttttteeeeeeeeeeeeee :evanoui:
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
BjEd9a10

Re: Si belles, si sœurs

Message par BjEd9a10 »

la suite... :valfa:
DeLsEp9

Re: Si belles, si sœurs

Message par DeLsEp9 »

Bikette a écrit :La suiiiiiiiiiiiiiiiiiiittttttttttttteeeeeeeeeeeeee :evanoui:
Yuna a écrit :la suite... :valfa:


P'tain l'éducation,


et le mot magique.
Biquette
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Re: Si belles, si sœurs

Message par Biquette »

S'il te plait :ouimaitre: :emu:
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
Invité

Re: Si belles, si sœurs

Message par Invité »

s'il te plait la suite :hornet:
DeLsEp9

Re: Si belles, si sœurs

Message par DeLsEp9 »

Mel29440 a écrit :s'il te plait la suite :hornet:
Bikette a écrit :La suiiiiiiiiiiiiiiiiiiittttttttttttteeeeeeeeeeeeee :evanoui:
Yuna a écrit :la suite... :valfa:


exceptionnellement, vue le jour.

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Mes pensées,

32)


Ais je fais, dit quelque chose qui l’a vexée. Je me pose des questions, je suis en train de réfléchir, à ce qui s’est passé, ce que j’ai bien put faire, dire ou ne pas dire.

Cinq minutes passent, qui me semblent durer une éternité. Pas un mot, pas un bruit, rien. Inquiet je suis en train de me lever, quand la porte de la chambre s’ouvre.
-.-

La lumière de la chambre est éteinte. Elle avance doucement vers le lit. Magalie apparait soudainement dans la clarté lunaire.

Et là je suis éberlué, sans voix, aucun son ne sort de ma bouche. Abasourdi, scotché, baba, cloué au pilori le Jacques.

Elle est, nue, avec pour seul et unique vêtement un filet de pêche, enfin une nuisette faite avec un filet de pêche rouge. Pas n’importe quoi comme filet de pêche, pas une petite maille, du style bichette, non un filet à grande mailles du style filet de traîne.

Tout se voie, saute aux yeux, t’explose à la figure. Sa gorge, ses seins, ses tétons, son ventre, son pubis, ses cuisses parfaite.

Remis de ma surprise, je me rends compte qu’elle est juste en face de moi à quelques centimètres. Elle me regarde, je l’admire, je suis encore interloqué.

Elle s’agenouille, prend ma tête dans ses mains et m’embrasse doucement, tendrement comme pour me réveiller. Elle ne prononce pas un mot. Je voie ses yeux m’interroger. Elle a l’air à la foi surprise et peureuse de ma réaction.

Elle m’embrasse les épaules, descend sur mon torse, me suce un téton pendant que sa main titille l’autre.

Je voie son regard plonger vers mon sexe, Il n’est plus aussi fier, est-ce la surprise, le choc de cette apparition, mais mon érection est retombée. Je la voie se pencher, immiscer son corps entre mes cuisses, s’asseoir sur les talons.

Elle prend délicatement mon sexe en main, sa bouche s’approche, je voie un petit bout de langue rose qui apparait entre ses lèvres. Elle passe rapidement la pointe de sa langue sur le bout de mon gland qu’elle a décalotté. C’est divin.

Je sens mon sexe reprendre consistance. Elle se déchaine sur mon sexe, j’ai l’impression qu’elle est à la limite de perdre tout contrôle d’elle-même. Je veux me laisser glisser au sol. J’ai envie de la manger, de manger ses grandes lèvres, de lui lécher ses grandes lèvres, ses petites lèvres. De mordiller son clitoris. Tout simplement j’ai envie de la faire jouir. Elle me retient.


Le osé a était court, très court ….

Le très osé sera long, très long et merveilleux je le sais, je le sens, je le veux.


Je comprends maintenant quand je t’ai vue t’agenouiller, prendre mon sexe en bouche en le gobant, puis partir sans un mot, mon cerveau a cogité.

J’ai cogité comme un malade. Je me suis demandé, si j’avais fais, dit quelque chose qui t’a vexée. J’ai cherché des réponses sans rien comprendre à ce qui se passé.

Tu as joué avec moi. Je doits reconnaitre que tu m’as superbement décontenancé.


Je la voie sourire, elle est heureuse, heureuse du tour qu’elle m’a fait, et surtout que je le comprenne. Que je la comprenne.

Je ressens une grande complicité avec elle en ce moment précis.
Ce n’est plus la gamine que j’ai connu il y a trois ans, ni une simple jeune fille, immature qui est en face de moi.

C’est une femme réfléchi, qui sait ce qu’elle fait.
Qui se donne, qui donne de sa personne, qui provoque des envies sans être vulgaire.
Qui pousse son partenaire à se donner, à lui donner.

Elle est simplement une femme épanouie qui est bien dans sa peau et qui s’accepte.


Le très osé sera long et tu vas devoir rester passif. Tu n’as pas le droit de faire quoi que ce soit.

Je me donne à ton plaisir, qui est aussi le mien. Je te le redis je me donne.

De te voir quand je suis entré j’ai eut d’abord peur très peur. J’ai mal choisi, me suis-je dis.

Puis j’ai vue ton regard. Tu me mangeais, me dévorais des yeux, j’ai vue tes yeux ébahis descendre le long de mon corps, le détaillant millimètre par millimètre.

S’arrêter sur mes seins, fixer mes tétons, les dévorés des yeux. Passer doucement, comme une caresse sur mon ventre. S’arrêter sur mon pubis, j’ai vue le bout de ta langue apparaitre, je te sentais me lécher mon petit bouton, mordiller mes grandes lèvres laper mes petites lèvres.

Cela m’a tellement excité que j’ai cru jouir sur place, mes cuisses sont trempées de la mouille tellement cet instant a été fort, puissant.

Je n’ais jamais ressenti cela, je ne sais pas si c’est un orgasme, mais je n’ai jamais rien ressenti d’aussi violent.

Même quand je me caresse en pensant à toi je n’ai jamais eut de telles sensations.


Quel description, mais comment elle qui est, aussi jeune sans expérience, peut elle déjà ressentir tout cela, peut elle en si peut de temps avoir évolué aussi vite.

Je me redresse, en la prenant dans mes bras, j’ai les yeux humides. Je la pose dans le lit, m’allonge sur le coté prés d’elle passa mon bras gauche sous sa nuque.

Tu sais, je comprends maintenant ta question au début osé très osé ?

Après ce que tu m’as montré, non pas montré, mais fait exploser à la figure, je dirais magnifique ou sublime.

Je n’en reviens pas, tu as su exactement décrire ce que j’ai ressenti, ce que je t’aurais fait si je n’avais pas était aussi surpris, estomaquais.

Un moment pareil se vie, se partage. Il n’est pas juste que tu te donne pour mon plaisir, et que je ne fasse rien si ce n’est resté passif. J’ai envie de me donner aussi à ton plaisir. Tu es jeune mais tellement faites pour l’amour. Tu m’épates.
XjEd9a1

Re: Si belles, si sœurs

Message par XjEd9a1 »

:cinglé: :cinglé: :love: :love:
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Re: Si belles, si sœurs

Message par Invité »

:cinglé: :love:
BjEd9a10

Re: Si belles, si sœurs

Message par BjEd9a10 »

Si vous seriez bien aimable cher Jak que vous postiez le chapitre suivant... si cela vous sied bien évidemment.. :jap: je ne voudrais point que vous vous sentiez obligé à quoi que ce soit.... :jap: je serais votre obligé.. :bik:
bordel ce qu'il faut pas faire ici.. :sweet:
DeLsEp9

Re: Si belles, si sœurs

Message par DeLsEp9 »

Yuna a écrit :Si vous seriez bien aimable cher Jak que vous postiez le chapitre suivant... si cela vous sied bien évidemment.. :jap: je ne voudrais point que vous vous sentiez obligé à quoi que ce soit.... :jap: je serais votre obligé.. :bik:
bordel ce qu'il faut pas faire ici.. :sweet:
Le Jak il fête en ce moment

Malgré ta presque politesse il ne peut pas poster


A Rosheim pour celle qui connait
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Re: Si belles, si sœurs

Message par Invité »

j'ai cru voir que cetait ton jour aujourd'hui donc bon anniversaire en passant
Biquette
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Re: Si belles, si sœurs

Message par Biquette »

Jak67 a écrit : exceptionnellement, vue le jour.

Ouais ben on t'a pas oublié hein, j'suis sûre que t'as même pas été voir sur Métro Boulot Fofo :valfa: :valfa:
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
DeLsEp9

Re: Si belles, si sœurs

Message par DeLsEp9 »

Mel29440 a écrit :j'ai cru voir que cetait ton jour aujourd'hui donc bon anniversaire en passant

Ben oui,

un grand nombre de printemps.

Bikette a écrit :
Ouais ben on t'a pas oublié hein, j'suis sûre que t'as même pas été voir sur Métro Boulot Fofo :valfa: :valfa:

Tain la mauvaise langue c'te meusienne, bien sur que j'ai vue.

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Mais pas là, tout le temps alorssss pas eut le temps de remercier, la rikiki bikette.
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Re: Si belles, si sœurs

Message par Invité »

Et maintenant que le jour est passé, on peut avoir une suite :bik:
DeLsEp9

Re: Si belles, si sœurs

Message par DeLsEp9 »

Propos de Sabine ma femme
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Mes pensées,

33)

Un moment pareil se vie, se partage. Il n’est pas juste que tu te donne pour mon plaisir, et que je ne fasse rien si ce n’est resté passif. J’ai envie de me donner aussi à ton plaisir. Tu es jeune mais tellement faites pour l’amour. Tu m’épates.
-.-

Tout en disant cela ma main droite à travers le filet caresse son sexe, un doigt titille son petit bouton qui est énorme, un vrai petit pénis.

Je me penche, et embrasse sa bouche, je lèche ses lèvres. Elle entre-ouvre ses lèvres sa langue joue avec la mienne.

Je la sens détendue, relâché, en confiance ses yeux sont fermés. Sa main s’est saisi délicatement de mon sexe et me masturbe maladroitement mais ce n’est pas grave. Je ne veux pas gâcher la plénitude de ce moment.

J’enlève mon bras de sous sa nuque elle ouvre les yeux. Me regarde, ses yeux sont remplis d’amour, de bien être. Je glisse entre ses jambes en remontant sa nuisette.

Soudainement elle se relève fait passer par-dessus sa tête sa nuisette, l’envoi sur un des fauteuils, s’agenouille, m’embrasse tendrement.

Sa main glisse comme par inadvertance sur mon pénis, ses doigts caressent doucement mes bourses. Ses ongles les griffent légèrement


On sera mieux sans, je n’ai pas envie que nous l’abimions en plus. Cela suffit avec la robe.

Elle se remet dans la même position, glisse ses jambes de part et d’autres des miennes.

Remonte un peut sur les coussins. Tu seras mieux.

Elle le fait sans rien dire. Elle me regarde, regarde le moindre de mes mouvements. Je suis entre ses cuisses, assis sur mes mollets, mon sexe pointe vers son sexe.

Elle se redresse légèrement sur les coudes, ses yeux descendent, elle regarde son sexe, mon sexe. Ils sont si proches que je sens ses poils pubiens qui frôlent mon gland.

Je bascule mon bassin, mon gland pénètre ses Grandes lèvres, puis ses petites lèvres. Je ne bouge plus. Ses yeux remontent et ne lâchent plus les miens.


Que pense-t-elle en ce moment, Il va me pénétrer?
Je sais qu’elle le veut, que tout son corps le lui demande. Elle me l’a dit, non, son corps me le dit. Son corps hurle de désir.


Je recule mon bassin, mon sexe sort. Mes mains passent sous ses fesses. Je fais attention à son regard qui ne m’a pas lâché. Ses yeux n’expriment aucune peur, aucune appréhension, elle est en total confiance.

Je glisse mes genoux sous ses fesses, son dos. Je pose ses mollets sur mes épaules, ses fesses reposent sur mon thorax. Ma tête s’abaisse vers son pubis tout en soutenant son regard.

Mes mains écarte ses grandes lèvres, ma langue s’approche de son bouton et commence doucement à le lécher.

Mes doigts jouent avec ses petites lèvres, en même temps ma bouche se décolle de son bouton, et j’embrasse l’intérieur de ses cuisses, doucement, tendrement.

Je la sens frissonner. Ses paupières sont closes. Je continue, tout en mordillant de temps en temps l’intérieur de ces cuisses.

Je reviens à ses grandes lèvres, un de mes doigts joue avec son clito pendant que le pouce de l’autre main la pénètre. Il reste à l’entrée de son vagin, et caresse le haut du vagin. Je la sens qui se contracte comme pour empêcher mon doigt de la quitter.

Je la sens bouger. Ses yeux s’ouvrent en grand, elle se redresse sur les coudes, je la sens qui descend vers moi, elle attrape un de mes genoux et le tire vers elle. Je commence à pivoter sur le côté, elle me fait comprendre que je doits m’allonger sur le côté.

Ma tête se pose sur sa cuisse, tout en continuant à lui mordiller son clito. Je sens sa main prendre mon sexe et sa bouche m’aspire.

Sa langue se déchaine, elle mordille mon gland, l’aspire, le lèche. Elle l’embrasse sur toute la longueur, arrivé à la base de mon sexe je sens ses mains caressé doucement mes bourses. Sa langue passe sur mes bourses, elle les embrasse, les aspire. C’est divin, merveilleux de tendresse.

Je caresse son petit œillet avec un doigt, j’écarte ses fesses lui lèche son petit trou, ma langue s’immisce légèrement en elle. Je le sens complètement détendu.
Je la fait doucement basculer sur le dos et passe ses deux jambes sous mes aisselles. En même temps je me retrouve au dessus d’elle tête bêche.

Je lui mordille son clito. Un de mes doigts après l’avoir légèrement pénétrer, pour bien recueillir sa mouille, s’égare sur son anus. Je commence doucement à appuyer, je sens mon doigt qui glisse doucement dans son sphincter complètement relâché. Je l’entends gémir, craignant de lui faire mal je retire mon doigt. Elle écarte mon sexe de sa bouche, et me dit dans un souffle :


Continue, sil te plait continue.

Mon doigt se repositionne, et doucement la pénètre, je faits jouer l’articulation de la première phalange. Je la sens serré son anus sur mon doigt. Ses gémissements discret au départ, s’amplifie. De mon côté je suis au bord d’explosé. J’augmente le mouvement de ma phalange, tout en aspirant goulument son clitoris qui est énorme.
Je me retire de sa bouche, tout en continuant à faire jouer ma phalange de plus en plus vite en faisant tourner mon doigt. Mon pouce de son côté n’est pas resté inactif et je sens une mouille de plus en plus abondante m’inonder la figure.

Je la sens se contracter et un feulement sort de sa gorge. Son vagin se contracte tellement que je ne bouge plus mon pouce, il en est bien incapable. Mon majeur se retrouve également captif de ses fesses. Le feulement devient plus rauque et elle se détend.

Je m’écarte, elle est groggi, les yeux dans le vide.

Je me remets à côté d’elle, de sa poitrine à la pointe des pieds nous sommes peau contre peau. Mon torse et sa poitrine, nos ventres, nos sexes, nos jambes, tout se touche, se ressent, comme si nous voulions nous fondre l’un dans l’autre. Je la sers dans mes bras. Elle m’embrasse avec passion.


C’est super, j’ai cru devenir folle. Je n’ai jamais ressenti cela. Pourquoi tu n’as pas éjaculé en moi? J’en avais envie, ma bouche se donnait à toi, elle te voulait.

Je suis allongé à côté d’elle un peut vider.

J’ai voulu que ce moment soit pour toi, ton corps s’est donné. Tout ton corps. Tu m’a déjà tellement offert et donné depuis si peut de temps que je voulais que ce moment de jouissance ne soit que pour toi.

Elle se love contre mon épaule. Après une dizaine de minutes je l’entends dire doucement :

Quand tu m’as dit de remonter sur les coussins, et que tu t’es mis entre mes cuisses, Que j’ai vue ton sexe, mon sexe si proche. Que j’ai senti ton gland effleuré mes poils. Quand tu as basculé ton bassin, que j’ai senti ton sexe me pénétrer.

Je me suis dit, mon corps a dit ouiiiiiiiiiii il va te prendre, son sexe va te pénétrer, il a compris que mon corps, mon vagin le veut. Tu es resté immobile ton gland dans mon sexe, j’ai pleinement apprécié ce moment d’attente, de fusion entre nous deux.

J’attendais de sentir ton sexe me pénétrer en douceur, me dilater mon fourreau, je mouillais comme pas possible. J’étais détendu, sereine.

Tu t’es retirer et tu as soulevé mes fesse pour les poser sur ton thorax, j’ai vue ta tête se pencher et j’ai senti tes mains, qui me caresser les grandes lèvres, ta bouche qui sucé mon clitoris, mon cerveau a chaviré.

Mon cerveau attendait un sexe et ce sont dix doigts, une langue une bouche qui s’occupait de mon sexe. Il ne savait plus, je ne savais plus ou j’en étais.

Quand ton pouce m’a pénétré, que je t’ai senti me caresser, me lécher mon petit trou, qu’un de tes doigts m’a pénétré mes fesses. Je ne maitrisais plus rien, je ne commandais plus rien. J’ai gémi de bonheur.


Jai cru que je te faisais mal c’est pour cela que j’ai retiré mon doigt.

J’ai senti ton doigt revenir, dilater mon anus, j’ai serré, je ne voulais plus qu’il parte, je le voulais en moi, profondément en moi. Le coup de grâce m’a était donné par ta bouche que j’adore. Lorsque tu m’as aspirais mon clito, j’ai cru mourir.

Heureusement que tu as retiré ton pénis de ma bouche, je ne savais plus ce que je faisais. D’ailleurs je ne sais plus ce que j’ai faits après. Je crois avoir ressenti une énorme boule explosé dans ma tête, dans mes reins.


Je la sens s’endormir. Il est 2 heures du matin. Je plonge dans les bras de Morphée peut de temps après.

Je me réveille, elle est toujours endormi, la tête sur mon épaule. Ces cheveux brillent dans la lumière du jour naissant. Je regarde ma montre il est 6h30.


Invité

Re: Si belles, si sœurs

Message par Invité »

:tombe: :tombe: :tombe: :tombe:
cLEg7

Re: Si belles, si sœurs

Message par cLEg7 »

voilà... autant j'adore ce que tu écris Jak, autant ce récit là, j'peux pas vraiment, j'aime pas.

je vais pas pourrir ton topic, mais je tiens quand même à t'expliquer pourquoi, et écrire mes questions, sans doute que ça peut pas me faire de mal, de faire ce bilan là...

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Invité

Re: Si belles, si sœurs

Message par Invité »

une tite suite pour ne pas nous laisser dans cette état quand meme :d
sil te plait :wahoo:
Invité

Re: Si belles, si sœurs

Message par Invité »

Le dernier récit , il convient bien a ce que je fais régulièrement Non ? :hornet:
DeLsEp9

Re: Si belles, si sœurs

Message par DeLsEp9 »

Kireseth a écrit :voilà... autant j'adore ce que tu écris Jak, autant ce récit là, j'peux pas vraiment, j'aime pas.

je vais pas pourrir ton topic, mais je tiens quand même à t'expliquer pourquoi, et écrire mes questions, sans doute que ça peut pas me faire de mal, de faire ce bilan là...

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J'apprécie ta franchise, et le fait que tu oses, du fait de mes mots, te poser ces questions.

Chacun voie la vie à travers son éducation, son vécu, le tout est de ne pas juger l'autre, mais d'essayer de le comprendre.
DeLsEp9

Re: Si belles, si sœurs

Message par DeLsEp9 »

Propos de Sabine ma femme
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34)

Je la sens s’endormir. Il est 2 heures du matin. Je plonge dans les bras de Morphée peut de temps après.

Je me réveille, elle est toujours endormi, la tête sur mon épaule. Ces cheveux brillent dans la lumière du jour naissant. Je regarde ma montre il est 6h30.


-.-

Comme d’hab je me réveille toujours à la même heure. Merde on est samedi. Je ne bosse pas, j’ai une petite puce adorable dans mes bras et je me réveille à 6h30

Je me détends profitant pleinement des sensations que je ressens au contact de ce jeune, de ce merveilleux corps. Je commence à somnoler. Le lit bouge légèrement, je ne fait pas attention.

Je suis dans mes rêves, dans mes rêves de cette nuit, de cette mémorable nuit, de cette merveilleuse nuit d’amour avec une petite puce, ma petite puce.

Bien, que débutante elle a très vite appris, a très vite compris, très vite sut, ce que donner et se donner en amour signifie.

Elle a sut donner, me donner un plaisir, et je dois humblement le reconnaitre ; Cela fait longtemps que je ne l’avais ressenti avec une telle intensité.

Pourvu que pour elle ce soit pareil, j’ose le croire, l’espérer, le désirer ardemment. Je serais tellement déçu que cela ne soit que du sens unique.

Elle a sut m’amener, m’obliger à me donner entièrement. Pas de comédie, de simulacre, de faux semblant. Que du vrai, de l’intense, du concret. Bref le bonheur.

Je bande ou je rêve ?

Je suis humide, bizarre.


J’entrouvre les yeux et je voie Magalie qui est réveillé et qui me regarde. Elle a l’air heureuse, elle irradie le bonheur. Je remarque comme une petite flamme dans son regard. Elle est allongée à l’inverse, sa tête prés de mon sexe.

Elle lèche mon sexe, le sussotte. Me voyant réveiller, elle décalotte mon gland, prend mon sexe dans sa bouche. Elle m’aspire, me lèche, me mordille, elle monte et descends avec sa bouche, se sert de sa bouche comme si s’était un vagin.


Mon dieu que s’est agréable de se faire réveiller de si belle manière.

Elle regarde mon sexe qui avec les soins qu’elle vient de lui prodiguer est plus que réveillé. Je suis dans un état, que la morale réprouve.

Elle me regarde, son regard est soudain presque froid, glacial. Elle a l’air décider, mais décider à quoi ?

J’en suis presque impressionné. Non, c’est plus que cela, ses yeux ont l’air vide d’un seul coup, comme si elle était autre part, si elle était quelqu’un d’autre.


Pour mon vagin, mon sexe mon hymen tu décides, tu décideras quand je serais prête. Je suis d’accord, il n’y a aucun souci, tu le veux, je le veux.

Je sais que quand tu décideras, que le moment est venu, je ne serais qu’une chose dans tes mains, pas un objet, non. Mais ta chose pour mon seul et unique plaisir, car je le veux et toi aussi. Tu veux que ce moment soit merveilleux pour moi. Et je te remercie d’avance, car je sais que ce sera intense, délicieusement sublime.

Mais là je n’en peux plus. Je deviens folle, tu m’as rendu folle. Je veux te sentir en moi. Ta bouche, tes mains, tes doigts m’ont fait jouir comme une damnée.

Maintenant je veux sentir ton sexe en moi, au plus profond de moi. Qu’il me laboure, me perfore, me pénètre. Plus simplement que ton sexe me fasse jouir, que tu me fasses jouir.

Je te veux, mon corps te veux, mes fesse te veulent.

Pour mes fesses j’ai décidé que s’est maintenant, je suis prête, je te les donne. Je me donne.

Je le sais, je le sens, ce sera merveilleux.


Bon sang, elle sait ce qu’elle veut ma puce. Elle est décidée, pas évident de lui tenir tête, de lui résister.

Elle ne l’accepterait pas. Et de toute façon j’en ai envie aussi.

Mais il fallait que sa vienne d’elle, que son corps le décide, qu’elle passe outre sa tête, son esprit.


Elle se redresse, me chevauche. Je la voie, s’asseoir sur mon sexe, elle dirige mon gland vers son vagin, une mouille abondante s’en échappe, elle frotte mon gland sur ses grandes lèvres. Je voie ses yeux heureux. Je sens sa mouille coulée, sur mon sexe.

Je me redresse, elle est surprise. Mon sexe s’est enfoncé en elle. je sens son hymen contre le gland de mon sexe.

Je la voie hésiter. Pendant quelques minutes elle est prête à se laisser tomber sur mon sexe, à faire exploser son hymen, à se déflorer, ses yeux me le disent.

Je la regarde intensément, comme pour lui faire comprendre que non il ne faut pas. Nous n’échangeons pas un mot, tout se passe par les yeux, comme si nous nous parlions avec nos yeux.

Je la voie enfin battre des paupières comme pour me dire oui. Elle se reprend, se ressaisie. Je sens mon sexe quitter doucement son ventre. C’est comme une déchirure pour moi de quitter ce nid, si chaud, si accueillant.

Elle se soulève, sa main prend mon sexe délicatement, et le positionne entre ses fesses, face à son petit œillet. Elle descend doucement au contact. Mon sexe est en appui sur son anus.

Il est totalement détendu. Je voie son ventre se tendre, ses cuisses prêtent à laisser son corps s’abaisser sur mon sexe.

Elle est prête à s’empaler quand je passe mes mains sous ses fesses et je la soulève. La repose derrière mon sexe.

Je me penche la prends dans mes bras, l’embrasse tendrement et en décollant légèrement mes lèvres des siennes, nos souffles mélangés, je lui murmure.


Laisse-moi faire, laisse toi faire.

Ses yeux ont l’air plein de reconnaissance. Elle a l’air d’apprécier que je prenne, reprenne les choses en mains.

Je commence à me redresser, elle me précède. Nous sommes face à face, à genoux sur le lit à quelques centimètres l’un de l’autre.
Mes mains attrapent délicatement ses joues, mes lèvres se posent sur ses pommettes, ses paupières, son front. Je ne l’embrasse pas, c’est comme si je voulais la réconforter, la conforter dans ses choix.

Tout en posant ma main sur son épaule je me redresse et passe derrière elle. Ma main glisse et empaume délicatement le sein à proximité. Son téton est érigé, droit comme un I. Mon autre main empaume l’autre sein, et joue, titille l’autre téton. Elle plaque son dos sur mon torse, ses mains attrapent mes fesses et elle se plaque, se colle complètement contre moi. Mon sexe est entre ses fesses.

J’embrasse sa nuque, ses omoplates, et la colonne vertébrale. Des petits bisous rapides qui lui donnent la chair de poule. En même temps j’appuie doucement sur son dos, pour qu’elle abaisse son torse. Elle pose ses mains sur le lit.


Non ma puce, sur tes coudes s’il te plait, on appelle cela la position de la levrette.
Dans le kamasoutra je n’aime pas comment elle est nommée. Pourtant ils ont des noms très imagés pour d’autres positions, des noms très sensuels.


Bon sang, je ne vais pas lui dire qu’ils appellent cette position « la position de la vache ». Ce serait se moquer d’elle. Et puis je n’aime pas ce nom, je ne comprends pas qu’ils choisissent ce nom. Enfin si je sais pourquoi, mais je n’aime pas. C’est comme ça.


Comme cela dans cette position, tes fesses, sont à la bonne hauteur.

Elle tourne sa tête et sourit

Je passe derrière elle, j’empaume ses fesses, et les écarte. Ma bouche s’approche, ma langue lèche son anus, son œillet, son petit trou. Elle s’immisce dans son anus, je le mouille abondamment. Il est complètement détendu, souple sous ma langue.


ça me change de ma femme qui n’aime pas ces caresses, qui se contracte, dés que je touche son anus.

Je positionne un doigt, après l’avoir humidifié dans ma bouche. Il pénètre facilement, tant elle est décontractée. Je lui masturbe son petit trou, je le sens, qui accepte mon doigt. J’introduis un deuxième doigt qui a plus de mal à la pénétrer. Je lui embrasse les fesses et me lève.

Je reviens dans 2 secondes, je ne veux pas que tu ais mal, que tu souffres.

Je vais dans la salle de bain chercher de la vaseline. Je reviens, m’enduit les deux doigts avec la vaseline. Je les introduits doucement. Cela se passe bien, je lui masturbe son petit cul, et je fais tourner mes doigts en les écartant doucement pour bien dilater son anus.

Je voie Magalie qui me regarde, elle souri, elle est détendue, elle vie pleinement le moment présent, l’homme qu’elle aime, son beau-frère lui masturbe ses fesses.

J’enduis mon gland de vaseline. Je voie sa main se soulever, et se tendre. Elle regarde le tube à côté de moi. Je le prends, lui en met sur la paume de la main, elle prend mon sexe en main et enduit tout mon sexe de vaseline en faisant tourner délicatement sa main autour.

Elle se retourne et se mets sur dos.


Je veux être dans tes yeux quand tu me pénétreras, quand tu me prendras.

Je prends un coussin soulève ces adorables fesses, et le pose sous ses reins.

Tu seras mieux comme cela.

Je relève ses jambes, les embrasse de haut en bas l’une après l’autre et les poses sur mes épaules. Une de mes mains s’égare sur son pubis. Mes doigts caressent ses grandes lèvres, passent en douceur sur ses petites lèvres et son clitoris. Une mouille abondant s’écoule de son adorable petite chatte.

Ses mains descendent et écarte ses fesses. Je positionne mon sexe sur son anus. Nous nous regardons droit dans les yeux. Mes yeux doivent lui demander si je continue, elle acquiesce de la tête.


Pousse comme si tu allé à la selle, tu ne devrais pas avoir mal.

Je sens ses fesses qui poussent, son anus se dilate.

Je pousse doucement, mon gland commence à disparaitre dans ses fesses. Ses yeux ne montrent aucune peur. Ma main droite posé sur son ventre ne sent aucune crispation la parcourir. J’attends un peu, que son anus s’habitue.

Je la sens pousser, en même temps que moi. Mon sexe s’enfonce de plus en plus profondément en elle. Ses mains lâchent ses fesses et prennent appuis sur le mur.
Je repousse ses jambes pour les rabattre vers sa poitrine. Mon avant bras gauche se positionne derrière ses genoux, pour bloquer ses jambes. Je dégage de cette manière ses fesses. Je pousse doucement, je voie les bras de la petite puce poussée en même temps sur le mur. Je suis presque entièrement en elle.


Je te faits pas mal ?

Non, je te sens divinement bien et je n’ai pas mal, pas du tout.

Je suis en elle et ne bouge plus. Je la voie sourire, quand elle sent ma main droite caresser son pubis. Mes doigts s’immiscent entre ses grandes lèvres, et massent ses petites lèvres. Mon pouce joue avec son clito. Il grossi. Deux doigts le prennent et commence doucement à le titiller, à le masturber comme un petit pénis. Un de mes doigts la pénètre et arrive à son hymen, et tout doucement d’un mouvement circulaire le caresse, le masse.

Elle ne m’a pas lâchée des yeux. Ses yeux d’abord interrogateurs, effrayés se ferment. Elle à l’air d’apprécier la caresse.

Son anus commence doucement à serrer et se relâcher, pendant que je recommence à caressé son petit bouton.

J’embrasse ses mollets, elle frissonne. Je commence à bouger, ses yeux s’ouvrent et me fixent. J’amplifie le mouvement, sans être brusque, tout en continuant de caresser sa vulve. Les mains de Magalie poussent sur le mur, quand je m’enfonce en elle. Je sors presque mon gland, et le renfonce en douceur.

Magalie ne quitte pas mes yeux. Je vais plus vite, mais pas trop, je ne veux pas la brusquer. Tout en douceur.


Invité

Re: Si belles, si sœurs

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c'est beau :love:
Invité

Re: Si belles, si sœurs

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:cinglé: la suite :bik: stp
DeLsEp9

Re: Si belles, si sœurs

Message par DeLsEp9 »

Propos de Sabine ma femme
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35)
J’embrasse ses mollets, elle frissonne. Je commence à bouger, ses yeux s’ouvrent et me fixent. J’amplifie le mouvement, sans être brusque, tout en continuant de caresser sa vulve. Les mains de Magalie poussent sur le mur, quand je m’enfonce en elle. Je sors presque mon gland, et le renfonce en douceur.

Magalie ne quitte pas mes yeux. Je vais plus vite, mais pas trop, je ne veux pas la brusquer. Tout en douceur.
-.-


Je la voie redresser sa tête, ses coudes se poser sur lit, son buste se relever. Elle regarde mon sexe qui la pénètre. Je m’enfonce doucement complètement en elle, j’écarte ses jambes, me penche et l’embrasse doucement.

Sa langue vient au devant de la mienne. Je m’écarte de sa bouche, et suce un de mes doigts dégoulinant de sa mouille. Elle prend ma main et suce lentement sensuellement mes doigts l’un après l’autre. Je sens mon sexe gonfler dans ses fesses. Elle m’embrasse passionnément, en même temps elle pose ses deux mains sur le bas de mon dos et m’attire violement vers elle, en elle. Mon sexe la pénètre encore plus profondément.

Je l’entends murmurer :


Je t’aime, je veux te sentir au fond de moi, au plus profond de moi. Que nous ne soyons qu’un.

Elle redescend son torse et remets ses mains contre le mur. Ses yeux brillent dans la lumière du soleil levant.

Je vais un peut plus vite, mes cuisses commencent à claquer sur ses fesses. Ses mains poussent toujours sur le mur quand elle me sent m’enfoncer en elle. Je la pénètre sans retenue, je vais de plus en plus vite, mon sexe sort presque entièrement de ses fesses avant de se renfoncer en elle.

Les doigts de ma main droite ont repris le chemin de sa vulve qui dégouline de sa mouille. Je la voie s’écouler sur son ventre. J’accélère le mouvement, les mains en appuis sur le mur, les bras tendus, elle me regarde, souri, et me fait oui de la tête.

Mon pubis claque de plus en plus vite, de plus en plus violemment sur ses fesses. Mon sexe la pénètre totalement, aussi profondément qu’il peut. Elle est tellement ouverte que mon sexe sort complètement d’elle avant de replonger dans ses entrailles. Je baise ses fesses. Elle est radieuse. J’ai pris un rythme de croisière, afin qu’elle puisse pleinement comprendre ce qu’elle ressent.

Je sens son anus se resserrer quand je heurte ses fesses et se détendre quand je recule, et la pénètre. A ce rythme je ne vais pas tenir longtemps. J’augmente la vitesse et l’amplitude de mes allers retour. Je sens mon sexe gonflé, l’anus se resserre, j’ai l’impression d’être dans le ventre d’une pucelle. Je voie Magalie elle a le visage tendu, elle me regarde sans me voir. Je sens que je vais éjaculer.


Je vais jouir

Je sens grossir ton sexe, je je . . . . .

Je m’enfonce profondément et violemment dans ses fesses, j’éjacule dans ses entrailles. Je sens son anus, se contacter si violemment que je me demande si j’arriverais à sortir de ses fesses. Je m’écroule sur elle, elle me prend dans ses bras, m’embrasse violemment.

Doucement, tendrement, amoureusement elle dit après quelques minutes où je sens son cœur battre la chamade :


Je t’ai donné mes fesses, tu as joui dans mes fesses, j’ai joui.

Je la voie reprendre doucement pied, sa respiration se calme.

Je ne contrôlais plus rien tellement s’était divinement bon. Je suis tellement heureuse de t’avoir donné mes fesses, je te dis bien,. . . donner.

C’est pour cela que j’ai voulu participer, quand je t’ai vue mettre la vaseline sur ton gland. J’ai voulu moi aussi t’enduire, pour que tu comprennes que je le voulais, que je le voulais vraiment, que j’étais totalement consciente de ce qui aller se passer.

J’ai voulu me retourner, pour te voir quand tu me pénétrais, voir tes yeux, que tu voies mes yeux, que tu comprennes que je le voulais, te voulais au plus profond de moi.

Et toi tu es la douceur même. Je n’ai pas eut mal, Je n’ai ressenti que du bonheur, et un bien être merveilleux.


Elle me sert contre elle ses seins s’écrasent contre ma poitrine. Je voie des larmes perlées.

Quand tes doigts tout en ayant ton sexe en moi, on commencé à me caresser, j’étais bien.

Quand j’ai senti un de tes doigts qui caressait mon hymen, le masser. J’ai paniquée, je me suis dit, non il ne va pas me déflorer avec un doigt. C’est son sexe que je veux dans mon ventre.
Puis j’ai senti que tu continué à me caresser l’hymen, et mon clitoris.

J’ai fermé les yeux, j’étais bien, j’ai compris que tu le faisais pour moi, pour mon plaisir, pas pour me déflorer.

Quelle chance ta femme a d’avoir un mari, qui est un amant aussi doux que l’on puisse être.

Tu sais dire et faire ce qu’il faut pour amener, une femme à avoir confiance en elle, à te faire confiance, a se lâcher dans tes bras, à attendre tes caresses, les vouloirs, les demander, les quémander.

Jamais je n’aurais cru pouvoir donner aussi vite à un homme ce que je t’ai donné, tout simplement me donner.

Il ya 24 heures jamais j’aurais pensé que je puisse donner ma bouche, qu’elle accepte un sexe d’homme en elle. Le fasse jouir, le laisse jouir en elle. Et encore moins boire son sperme.
Et je dois reconnaitre, surement parce que c’est toi, ça ne m’as pas, ca ne me choque pas.


Elle se tait, me donne l’impression de chercher ses mots.

J’ai l’impression qu’elle veut me dire quelque chose mais ne sait pas par où commencer. Elle n’a pas l’air à l’aise.

Je lui caresse les cheveux, elle me regarde, elle à l’air de m’interroger du regard. Comme si elle voulait que j’aborde le sujet. Mais quel sujet ?

Il ya quelque chose qui t’embête, ou que tu veux me dire et tu ne sais pas comment ?

Ses yeux brillent, elle a presque l’air soulagée.


Il faut que je te dise. Ce n’est pas évident à dire. Je ne sais pas comment tu vas le prendre.

Je me lance, mais tu ne te fâche pas.

J’ai voulu te donner mes fesses, car je sais que ta femme, elle me l’a dit, n’aime pas. Tu n’insiste pas, tu semble l’accepter, mais d’après elle tu es frustré qu’elle ne se donne pas entièrement.

Je t’ai donné ce que ta femme n’aime pas te donner, et moi j’ai aimé, tout simplement j’aime te sentir dans mes entrailles, te sentir jouir en moi, te vider en moi.

Ta femme et ta maitresse sont complémentaires, les deux sœurs qui t’aiment plus que tout au monde, qui t’aime inconditionnellement sont complémentaires.


Je me rends compte de la chance que j’ai et de la galère ou je me suis mis. Je vais avoir sous mon toit ma femme et ma maitresse. Pas évident à gérer.

Ca va être hard, chaud bouillant. Mais j’aime les défis, surtout ceux que je me lance, ceux que je m’impose, se sont les plus durs, mais les meilleurs.

Bizarre quand même que ma femme et sa sœur parle de nos rapports sexuels. Elles ont l’air de vraiment parler de tout. Ce n’est pas que sa me dérange, mais quand même. Enfin plus rien ne m’étonne.


Invité

Re: Si belles, si sœurs

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:gigi: :tombe:
Biquette
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Re: Si belles, si sœurs

Message par Biquette »

Mel29440 a écrit ::gigi: :tombe:
:+1:
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
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Re: Si belles, si sœurs

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Encooooooooooooooooooooore
DeLsEp9

Re: Si belles, si sœurs

Message par DeLsEp9 »

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36)


Ta femme et ta maitresse sont complémentaires, les deux sœurs qui t’aiment plus que tout au monde, qui t’aime inconditionnellement sont complémentaires.

Je me rends compte de la chance que j’ai et de la galère ou je me suis mis. Je vais avoir sous mon toit ma femme et ma maitresse. Pas évident à gérer.

Ca va être hard, chaud bouillant. Mais j’aime les défis, surtout ceux que je me lance, ceux que je m’impose.

Bizarre quand même que ma femme et sa sœur parle de nos rapports sexuels. Elles ont l’air de vraiment parler de tout. Ce n’est pas que sa me dérange, mais quand même. Enfin plus rien ne m’étonne.


-.-


Bien que je préfère et de loin passer ma journée au lit avec toi, il faut que l’on se lève. On doit monter chez ta mère.

Elle se love contre moi. Sa main emprisonne mon sexe, et le caresse doucement. Elle se penche, m’embrasse les yeux, les commissures des lèvres, les lèvres.

Je t’aime, comme une folle. Tu m’as donné tant en deux jours. Tu me fais comprendre mon corps.

Je voudrais aussi rester toute la journée avec toi au lit, mais on doit y aller.


On change les draps de ton lit, prends les miens aussi ainsi que les taies d’oreiller. On mettra tout dans la machine en partant, pas la peine de tenter le diable.

On se douche avant de partir?

Ensemble. Dit-elle en riant.

Ta femme va se demander pourquoi tu es sur les rotules. Et elle éclate de rire, un rire cristallin qui me rappelle étrangement celui de sa sœur.


Nous nous levons, elle regarde le lit, éclate de rire.

Effectivement il vaut mieux laver les draps.

Je regarde, le drap est parsemé d’auréoles, il est trempé à l’endroit ou nous étions.

Si ta femme le voie je ne pense pas que tu arriveras à lui faire croire que j’étais avec un petit copain, tout en s’asseyant sur le lit, prise d’un fou rire.

Ben non, tu connais ta sœur,

J’éclate de rire, son fou rire est communicatif.

Après quelques minutes nous nous calmons. J’enlève les draps, heureusement que c’est le lit pour accueillir les amis de passage, ma femme a mis une alèse étanche sous le drap.
Je vais dans la salle de bain chercher une éponge pour essuyer l’alèse. Pendant ce temps la p’tite puce est partie dans ma chambre. Elle sort avec un sachet, le pose prés de la porte, viens vers moi avec un grand sourire.

Elle a les draps de mon lit dans les bras.


C’est en pensant à moi ?

Des taches de sperme maculent le drap.

Je rigole. Je m’assois sur un fauteuil où j’ai jeté les draps, que je lui ai pris des mains. Je tends la main, elle s’assied sur mes cuisses. Je sens ses fesses sur mon sexe. Je recommence à bander. Elle souri de sentir mon sexe se dresser contre ses fesses.


C’est pas possible, dés qu’elle est contre moi, je ne contrôle plus rien, c’est une catastrophe. Un vrai puceau, le jour de son premier rendez-vous.

Bon d’accord on est nu tous les deux, Les fesses, ses fesses qu’elle m’a données ce matin sont contre mon sexe, mais quand même, ce n’est pas une raison, calme toi.

Sa va donner quoi chez la belle mère, en plus elle n’a pas les yeux dans la poche la belle mère.

Mais bon sang que je suis heureux, que je suis bien quand elle est là, dans mes bras, contre moi. J’adore, je l’adore.


Devine ?

Le soir où tu es arrivé, après la douche, tu es venue dans ma chambre avec mon peignoir de bain.


Oui.

Tu t’es assis sur le bord du lit, le peignoir de bain s’est entrebâillé et tu m’as mis gentiment devant les yeux ta magnifique poitrine, tes cuisses, ton pubis.

Je pense que tu en étais consciente vue le petit sourire et le regard que je voyais.


J’ai réalisé en voyant le drap se soulever légèrement que tu devais avoir quelque chose de stimulant devant les yeux. Quand j’ai vue tes genoux se relevés, j’ai vue que mon peignoir s’était entre-ouvert sur ma poitrine et mes cuisses.

Et tu m’as laissé mater ?

Un grand sourire éclaire sa figure.

Oh oui je voulais que tu réalise enfin que je suis une femme, plus la gamine que tu as connue il y a trois ans.

Donc tu m’as aguiché, provoqué ?

Oui et non, depuis trois ans que je rêve de toi, je suis amoureuse de toi. Je me suis dit ou il craque, ou je le laisse en paix. Mais ça n’aurait pas était facile pour moi.

Et ?

Je suis heureuse du moment que je vie. Il durera le temps qu’il durera, ce qui est pris est pris.

Donc tu avais tout calculé, prémédité.

Tu me surestimes. J’ai essayé de t’amener ou je voulais. Sans faire trop d’erreur. Sans que tu ne me prennes pour une allumeuse, une putain.

Et tu voulais m’amener à ?

Dans mes bras, dans mon lit, même si ce n’était que pour dormir au moins une fois dans tes bras. Je savais du fait des discutions avec ma sœur que si quelque chose se passait entre nous se serait beau.

Quand j’ai vue ton sexe dans la glace, j’ai eut peur.


Je m’en suis rendu compte, j’ai vue ton regard dans la glace.

Donc quand tu es revenu avec mon tee-shirt sur le dos, et que tu t’es penchée pour me laisser admirer tes seins, ton pubis, que tu as effleuré mon sexe. S’était voulu.


Oui dit-elle en m’embrassant.

Tu regrettes ?


Non.
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Re: Si belles, si sœurs

Message par Biquette »

:clea: :clea:
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
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Re: Si belles, si sœurs

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:love: :love:
DeLsEp9

Re: Si belles, si sœurs

Message par DeLsEp9 »

Propos de Sabine ma femme
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37) revue et corrigée


Donc quand tu es revenu avec mon tee-shirt sur le dos, et que tu t’es penchée pour me laisser admirer tes seins, ton pubis, que tu as effleuré mon sexe. S’était voulu.[/color]

Oui dit-elle en m’embrassant.

Tu regrettes ?


Non.

-.-


Je regarde ma montre, il est 9h10.

Puce, il faut se dépêcher on a une heure de route. On est attendu pour midi, on décolle à 10h45.

Je fais mine de me relever, la puce me regarde. Elle se lève et se rassoie immédiatement à califourchon sur moi les cuisses posées sur les accoudoirs du fauteuil, de part et d’autre de mon corps.

Ses fesses glissent sur mes cuisses moites. Sa vulve, ses grandes lèvres bloquent contre mon sexe érigé. Elle m’embrasse. Je ne peux empêcher ma main, de repartir à la découverte de son corps. Je ne m’en lasse pas. Son corps est un appel aux caresses, un appel à l’amour, un appel au bonheur.

L’autre main que j’ai passé derrière sa nuque pour la retenir, lui masse doucement, tendrement, les cervicales.

Mes doigts s’égarent sur son pubis. Un trouve immédiatement son clitoris qui comme s’il attendait ma caresse, est en train de frétiller au bout de mon doigt. Je commence à le titiller, le faire rouler autour de mon doigt. Elle gémit.

En même temps, un autre doigt, la pénètre doucement, tout en caressant ses petites lèvres gorgées de sang, s’immisce entre elles, et masse le haut de son vagin juste avant son hymen. Elle se contracte.
Je dois me battre, avec moi-même, avec elle, pour pouvoir continuer à la caresser, tellement elle est contractée. J’essaie de bouger mon doigt, c’est comme si elle s’était refermée. Sa vulve emprisonne mon doigt, rendant presque impossible tout mouvement. Son gémissement est de plus en plus rauque.

Ma main derrière sa nuque laisse partir son corps en arrière pour que je puisse profiter, abuser de sa magnifique poitrine.

Ma bouche lèche suce, mordille ses tétons érigés. Je n’arrête pas, passant de l’un à l’autre.

Elle se rapproche, sa bouche s’entrouvre, elle mange mes lèvres, délicatement, sensuellement. Tète ma langue qui est apparue, croyant qu’elle voulait m’embrasser.

Elle se recule et me présente ses seins. Elle les malaxe, les écrasent l’un contre l’autre pendant que je les embrasses, les lèches, que je mordille, suce aspire ses tétons.

Ce n’est plus un gémissement qui sort de sa gorge, mais un feulement, j’ai l’impression d’entendre une lionne en chaleur appelant son mâle.

Cela me fait un tel effet que je me retrouve sans le vouloir au bord d’une jouissance dévastatrice.

Je la sens partir comme sans vie, dans ma main qui la maintien.

Je l’attire vers moi, pose sa tête sur mon épaule, écoute, ressent les battements de son cœur. Il ne bat pas, il est au triple galop, à la limite de l’emballement. J’ai l’impression qu’elle n’est plus là, qu’elle est partie.

Tendrement je l’embrasse. Sa peau est moite, elle frissonne.

Je vois ses paupières s’entrouvrirent, ses yeux sont hagards, comme sans vie. Elle pose son front contre le mien. Je la vois, non je la sens chercher sa respiration, reprendre ses esprits.

Elle me sourit, radieuse, elle est apaisée. Son corps repart en arrière dans ma main qui ne l’a pas lâchée.

Ses yeux ont retrouvés tout leur pétillant, toute leur flamme. Ils ne lâchent pas les miens.

Elle relève ses cuisses, pose ses pieds sur les accoudoirs. Sa vulve, glisse contre mon sexe, il est complètement entre ses grandes lèvres. Mon gland apparait au dessus de son pubis.

Elle écrase ses petites lèvres contre mon sexe, elle se frotte, je sens sa mouille qui s’écoule abondante.

Elle gémit, m’implore des yeux. Elle se comporte comme si je la pénétrais, elle écrase mon pénis contre mon pubis, contre sa vulve qui dégouline.

Son bassin ondule, me donne l’impression, non me fait l’amour. Pas simplement, comme tout à chacune. Sa tête ne dirige plus rien, sa tête est dans sa vulve, qui me veut en elle, pourquoi me vouloir en elle, pour elle j’y suis. Elle me fait l’amour.

Elle se donne, non pas à l’homme. Elle se donne à elle-même.

En ce moment, elle me prend, je suis sa chose, son objet de plaisir, son sex-toy sur pattes. Elle m’utilise, elle abuse de moi, pour son plaisir, avec une telle simplicité, un tel naturel, une telle indécence, que c’est à la limite du magique. C’est tout simplement, tout bêtement sublime, divinement sublime.

Elle se donne pleinement, entièrement, elle la gamine, la petite puce, ma petite puce se donne, se laisse aller comme peux de femmes savent le faire, osent le faire.

Sans aucune arrière pensé, sans retenue, sans appréhension, sans tabou. Elle aime, elle m’aime, pas besoin de preuves, ses actes parlent d’eux même, son corps est le reflet de ses sentiments.
Elle se donne, avec sa logique, ses envies, elle fusionne avec l’homme qu’elle aime.

Je n’ose bouger, de peur de rompre cet instant irréel. Moi qui pensais avoir déjà beaucoup vue, beaucoup fait, je me retrouve à ne pas savoir que faire, ne pas vouloir faire quoi que ce soit.
Je subis, je l’accepte, ne peut qu’accepter ce moment de plénitude.

Elle s’écarte, doucement. Une de ses mains saisi délicatement mon sexe en passant entre ses cuisses.

Elle me masturbe doucement, délicatement.
Non, c’est une caresse, un battement d’aile de papillon qui effleure mon sexe, je ne sens pas ses doigts, sa main, je les devine, pense que cela doit être sa main. Je suis dans un état indescriptible. Suis-je réveillé, je ne sais plus, ne sais pas, ne veux pas savoir.

Je redescends de mon nuage brutalement, la réalité me saute aux yeux quand son autre main attrape un des ses tétons.
Elle le tord, le tire violemment, le torture. Quand elle le relâche le sein reprend sa forme parfaite, en vibrant.
Toute la violence de ce qu’elle lui fait subir, se voie dans les vibrations de ses seins, ses aréoles ne sont pas contractées, elles n’existent plus. Elles ne font qu’un avec ses tétons.

Son visage à l’air absent, comme si elle ne ressentait pas la douleur, cette douleur qu’elle s’inflige. Cette douleur qui fait qu’en ce moment elle ne mouille pas, elle coule, en continue, je ne suis pas mouillé, mon sexe mon pubis, mes cuisses sont inondés.

Elle pose sa tête sur mon épaule, sa bouche s’approche de mon oreille. D’une voix rauque que je ne lui connais pas.


Je viens de me donner à mon plaisir, à ton plaisir. Maintenant je te veux, je veux te sentir. Sentir ton sexe, ton pénis, ta verge, dans mon ventre.

S’il te plait mon ventre, mon vagin mon hymen te veulent en eux.

Ils se donnent. Ils en meurent d’envie tout comme moi.

Tout mon corps en a envie, pleure d’envie. Je ne coule pas, je ne mouille pas, ma vulve pleure. Elle pleure de ne pas te sentir en elle.

Mon vagin, ma vulve mon hymen hurle de désir, de l’envie de te sentir entrer en lui, de se faire prendre par toi, par ton sexe.
Que tu jouisses en lui, en moi.

S’il te plait fait moi l’amour, baise-moi, fait de moi ce que tu veux mais me laisse pas dans cet état. Je deviens folle.

Je suis folle, complètement folle de l’envie de sentir ton sexe en moi, qu’il me prenne, me fasse jouir. Je t’en prie, t’en supplie, prends moi.



Ma main glisse de sa nuque sur ses cheveux. Je les caresse. J’essaie de digérer la gifle morale que je prends. Moi qui pensais savoir, connaitre.

La beauté de ce qui vient de se passer, de cette fusion, me laisse sans voix.

Pour elle, à ce stade je n’existe plus, je ne suis pas l’homme qu’elle aime, je suis son homme, l’homme de ses fantasmes, de ses rêves, qui s’est matérialisé devant ses yeux.
Je me méprise de la réponse que je vais lui faire, de la souffrance, du mal être qu’elle va ressentir, mais je le dois.

Pour elle, pour ma petite puce. Je hais les propos que je vais tenir, ce que je vais lui dire, mais en même temps je sais que j’ai malheureusement raison.


Ma petite puce, mon petit cœur, je te l’ai dit. Tu me supplieras.
Je sais que ce que je vais dire est petit, mesquin, ignoble.

Mais il n’est pas encore l’heure. Tu le veux, ton corps le veux, mais chaque chose en son temps.

On pourrait le faire, mais sa serait bâclé, insipide, terne. Après ce qui vient de se passer à l’instant, ce ne serait que bestial, sans aucune saveur, purement sexuel.

Pour ta première fois je veux que tu en profite pleinement, que l’on prenne le temps, que l’on prenne notre temps.

Pour toi, pour ton plaisir, pour ton bonheur,
Que ce que tu ressentais il y a quelques minutes, ne soit qu’un vague souvenir, qui s’effacera doucement quand nous aurons décidé qu’il est temps.

Qu’il est temps, non que je te prenne car tu te donne. Mais que tu me prennes, que je te prenne, car nous nous donnons l’un à l’autre. Que nos corps, nos sexes soit dans une telle envie, une telle osmose, que nous ne puissions plus faire autrement que d’accepter la volonté de l’autre. Notre volonté mutuelle du moment.

Qu’au final tu réalise que la magie du moment que nous venons de vivre n’est rien si ce n’est, un magnifique moment de plaisir mutuel.

Je sais, car tu viens de me montrer de me le démontrer que lorsque cela arrivera, ce sera sublime. Au final ta peau jouira de bonheur.

Et là tu dois maintenant apprendre à maitriser tes envies, à maitriser ton corps.


Je comprends ce que tu me dits, je sais pourquoi tu me le dis, mais j’ai du mal à l’accepter, mon corps ne l’accepte pas.

Tout mon corps se donne, te veux. Mon ventre, mon sexe hurle qu’ils te veulent en eux.

S’il te plait prends moi, donne-toi. Je me donne et tu le sais, au fond de toi tu le sais. Je sais que tu le veux, que tu me veux.


Des larmes apparaissent et coulent sur ses joues. Je m’approche, ma bouche s’approche. Elle aspire tendrement, amoureusement ses larmes sur ses joues.

Je le sais, je comprends ta déception. Mais tu n’en profiterais pas, ce ne seras pas aussi beau, magnifique que ce matin quand tu m’as imposé tes choix. Choix que j’ai respecté. Et là, maintenant je ne le veux pas.

Ta première fois doit être superbe, magnifique, sublime. Mille fois ce que l’on a vécu jusqu’à maintenant.

Que ce soit tout simplement beau, indéniablement beau.


Je sais que tu as raison, mais je n’arrive pas à l’admettre.

J’ai compris, je sais quel merveilleux amant tu es.

Tu n’es là que pour mon plaisir, le tien ne compte pas, n’existe pas.
Tu m’en as donné mille fois la preuve en deux jours.


Sa main lâche mon sexe. Elle me prend dans ses bras. M’embrasse, un baiser posé, langoureux.

Un baiser de femme amoureuse qui se donne. Qui aime. Simplement un baiser qui me chamboule, me retourne, me tourneboule. Ses seins s’écrasent sur mon thorax.


Le diable à côté de toi est un enfant de cœur, un bébé qui vient de naître.

Tu m’as embrasé, tu as allumé la mèche de mon plaisir de mes désirs. Tu as mis le feu dans tout mon corps.

De la lave en fusion coule dans mes veines, dans mon ventre.

J’ai l’impression qu’un volcan se réveille dans mon vagin, qu’il est prêt à entrer en éruption, au bord d’exploser. Je meure d’envie de sentir ton sexe, ton pénis en moi.

Il n’y a que toi pour agir de la sorte. Pour me laisser au milieu de mes envies, de mes désirs, de ma frustration.

N’importe quel autre homme m’aurais déjà prise depuis longtemps sans aucun état d’âme, en me donnant l’impression qu’il me cède.

Mais toi non, tu pense qu’à moi, à mon plaisir, à mon bien être tout simplement tu pense à moi qui t’aime comme une folle.

Et ton plaisir, quand tu y pense, passe après.

Mais dieu que s’est bon d’être avec un homme qui va au devant de mes désirs, mes envies. Que cet homme me fasse ressentir l’amour qu’il éprouve pour moi.

Quoique tu dises, tu viens de me prouver que tu m’aimes.

Ce n’est pas une attirance sexuelle entre nous, c’est de l’amour. Depuis le départ tu te comporte comme un amant, pas l’amant de base, qui vient pour se soulager, non tu es amoureux.

Je viens seulement de le comprendre. Tout vient de me sauter aux yeux. Tu m’aimes, et certainement sans vouloir faire de comparaison autant que je t’aime moi, ta petite puce.

Et là c’est ma plus grande joie, mon cœur est prés d’exploser de bonheur. Même si tu ne me le dis pas. Je sais que tu ne le diras pas. Mais mon cœur lui il sait. Il a compris que tu m’aimes.


Purée l’analyse qu’elle vient de faire. Démonté, au trente sixième dessous le Jacques. Et en plus c’est vrai je crois bien qu’elle a raison. Je crois que je suis amoureux. Non je ne le crois pas, j’en suis certain.

Pas évident à admettre, et encore moins pour moi de le dire.

Mais une puce, ma puce, qui se donne, se lâche, lâche tout pour moi, enfin qui s’offre.
Qui est prête à toutes les concessions, à composer, à me partager pour n’être avec moi que lorsque cela sera possible. A accepter que l’on ne puisse pas s’afficher ostensiblement à la vue de tous.

Qui prends des risques avec ses amies, avec sa famille, ma femme, sa sœur.

Je ne peux que l’aimer, il n’est pas possible que cela soit autrement.

C’est impossible avec ces sensations de plénitude, de bonheur indéfectible, et ce que je ressens au plus profond de moi, ce nœud qui me broie au plus profond de mes entrailles que ce ne soit pas de l’amour que je ressente pour elle, ma puce, ma tendre puce.

Mais lui dire alors là. Ce mot pas moyen qu’il franchisse la barrière de mes lèvres.

Déjà avec ma femme, je n’arrive pas à le lui dire, je préfère lui montrer, lui prouver.

Elle me le reproche assez.



Elle m’embrasse tendrement, sur les lèvres. Je la prends dans mes bras et la sert, l’écrase presque contre moi. Je me redresse la portant dans mes bras.

Ses seins contre mon thorax, ses tétons me donnent l’impression de vouloir entrer en moi, me perforer tellement ils sont dur et pointent.

Nos ventres se frôlent, se touchent, se collent l’un à l’autre.
Mon pénis qui depuis longtemps fait ce qu’il veut, s’est loger entre ses grandes lèvres, comme pour leurs dirent je suis à vous, mais attendez, ce sera sublime quand le moment sera venu, apprécier moi juste pour ce que je vous donne en ce moment.

Nos cuisses sont collées.
Nous ne faisons qu’un, nos deux corps semblent ne faire qu’un comme un être bicéphale, mais les deux vont dans la même direction. L’un vers l’autre.
Magalie me regarde droit dans les yeux. Elle a compris, tout compris. Je suis tout simplement amoureux. Je suis fou d’elle de cette magnifique femme, de cette magnifique plante qu’elle est.

Elle sait qu’elle a raison. Elle sent qu’elle à raison. Elle sait que je l’aime sincèrement. Que tout simplement, tout bêtement je l’aime.

Soudainement elle rompt cet instinct magique, c’est elle l’adulte en ce moment, et moi j’essaie de suivre, de ne pas me noyer.


On se douche ?

Oui mais sérieux.

Je n’ai pas fini ma phrase que la p’tite puce est déjà dans la salle de bain, et à ouvert l’eau de la douche.

Elle m’attend avec un grand sourire, ses yeux sont sublime, sublime de la joie, du bonheur, de l’amour que j’y lis.

Elle a la bouteille de gel douche à la main. Je souri de la voir, de voir ma petite puce si radieuse, si douce si heureuse.

Mon sexe ce coquin est de nouveau dressé, comme s’il la désirait plus que moi, comme s’il voulait lui dire, oui je te veux là maintenant.

Je lui prends le flacon des mains, en mets dans les siennes, les miennes, repose le flacon. Elle me regarde et attends pour voir ce que je vais faire.

Je pose délicatement mes mains sur son cou, lui masse doucement les carotides, sa nuque.

Elle sourit, mon dieu qu’elle a l’air heureuse. Elle copie mes gestes. Ses mains telles deux ailes se posent sur mon cou et me masse, non elles me caressent.

Un contact d’une douceur extrême, comme si elle avait peur de me casser, de briser le sentiment qu’elle a extrait du fin fond de mon âme.

Mes mains descendent doucement vers ses seins. Elle ferme les yeux, je la voie trembler, frémir.
Mes doigts glissent dans le sillon mammaire, sa peau est légèrement granité, une chaire de poule la prends des pieds à la tête. Ses mains se posent sur mes hanches, je sens ses doigts qui m’agrippent. Et qui glissent vers mes fesses. Elle m’attire vers elle. Mon sexe effleure son pubis. Ses mains quittent mon corps. Elle monte sur le rebord de la douche, arrête l’eau de la douche. Une de ses mains écarte ses grandes lèvres, l’autre glisse mon pénis entre ses petites lèvres. Elle se penche vers moi m’embrasse.


Je veux que tu sentes ma vulve pleurer de ne pas t’avoir en elle.

Effectivement un flot continu m’inonde. Elle repose ses mains sur mes fesses, elle serre les doigts, je comprends qu’elle se retient de m’attirer en elle, elle se fait violence pour ne pas le faire

Chacune de mes mains glissent doucement sous un de ses merveilleux seins, et comme en catimini rampent vers ses tétons qui les attendent, qui attendent mes doigts pour leurs plaisirs. Ces tétons sont monstrueusement durs, des vrais bouts de bois. Je passe un doigt dessus ils roulent comme des billes

Elle ouvre les yeux, je sens ses bras se contracter, ses yeux me disent je te veux maintenant, là tout de suite.
Elle sent que je ne résiste pas, que je me laisse faire. Elle m’attire vers elle, mon sexe glisse doucement en elle, je sens son hymen. Mon gland commence à s’introduire doucement, lentement. Elle me repousse, gentiment, avec autant de douceur que lorsqu’elle m’a attirée en elle. Mon sexe reste positionné à l’entrée de sa vulve. Comme pour garder le contact entre eux.



Mon dieu que j’en ai envie, que c’est bon de te sentir en moi. De sentir ton sexe commencer à pénétrer mon hymen. J’ai cru ne pas arriver à me retenir, à ne pas pouvoir m’empêcher de t’attirer complètement en moi. Et toi qui me laisse faire.

Quand je voie mon bonheur en ce moment, comment mon sexe te veux en lui, t’accepte, te désir, je me demande ce que cela donnera quand nous le ferons réellement. Je n’ai pas les mots pour décrire ce que ce sera, sublime au minimum.


Mes doigts qui pendant ce temps sont restés à jouer avec ses tétons, glissent sous ses seins. Elle écarte brusquement mes mains, me présente ses seins.

Tète moi, ils veulent ta bouche, mange les, martyrisent les, qu’ils se souviennent à jamais de toi.

Je me jette dessus, ne peut me retenir, j’ai l’impression de plus pouvoir me retenir, contenir ma bestialité.

je pince doucement ses tétons avec les dents.


Plus fort, fait leur mal. Marque-les de ton empreinte.

Mes yeux la regarde, elle n’est plus là, ses yeux ne me voient pas, ne me voient plus. Elle est comme dans un état second. Mes dents serrent, doucement, ses mains se posent sur ma tête, la plaque contre sa poitrine. Une main me caresse tendrement les cheveux. Je n’ose pas serré plus, je ne peux pas, j’ai trop peur de la faire souffrir. J’ai du mal à respirer, tellement sa main plaque ma tête sur sa poitrine.
Elle ouvre les yeux, elle pleure.


Est-il possible de s’aimer plus que nous en ce moment. Je suis prête à tout pour toi.
Et toi qui n’ose pas me faire souffrir. Qui a peur pour moi. Je pleure de joie, de bonheur, du bonheur que l’on soit ensemble.
Même si je dois te partager avec ma sœur, que j’aime, je comprendrais, j’accepterais tout de toi, de ma sœur, par amour pour toi.


Je la prends dans mes bras. J’ai du mal à me retenir de pleurer devant une telle déclaration, une telle acceptation de la situation, une telle abnégation.

Aucun des deux ne bouge, comme si le temps était figé. Je prends délicatement sa tête entre les mains, et l’embrasse doucement, avec énormément de tendresse.

Elle ouvre l’eau de la douche. M’entoure de ses bras et m’attire violemment vers elle. J’ai juste le temps de reculer mon bassin. Mon sexe toujours en elle, manque de la pénétrer.

Je te hais, je te déteste. Je n’y arriverais pas. Je ne peux pas m’en empêcher. J’ai tellement envie de te sentir en moi.

Je souris, j’adore ce jeu du chat et de la souris. Elle aussi il me semble. Malgré la violence de ses propos elle me sourit.

Elle reprend le flacon de gel douche, en verse dans nos mains.
Elle prend l’initiative, elle me savonne le thorax, je tends mes mains vers ses seins, et commence à les savonner, elle sourit.

Je sens ses tétons se dresser sous les paumes de mes mains. Je me retiens de les embrasser.
Ses mains descendent sur mon ventre, je fais de même. Je copie le moindre de ses mouvements. Elle sourit, elle est radieuse.

Après m’avoir, l’avoir savonner, ses doigts glissent vers mon pubis, jouent avec mes poils pubiens.
Je fais de même.

Ma main glisse comme par inadvertance sur ses grandes lèvres, elle décalotte mon gland. Je masse son clito, elle caresse mon gland, un de ses doigts me masse le méat. J’insinue un doigt puis deux pour savonner ses petites lèvres, elle me masturbe. Elle sourit.


Si on continue, je pense que la douche va durer très, très longtemps. De sentir tes doigts en moi me mets dans un état pas possible. Et toi ce n’est pas mieux.

Elle se baisse et embrasse mon sexe. Elle prend mon sexe en bouche, manque de s’étouffer, elle s’est jetée dessus, ses lèvres sont contre ma toison pubienne.
Ses mains caressent délicatement mes bourses. Elle soulève mon sexe, sa langue lèche mon sexe, mes bourses.
Je la voie mettre du gel douche sur ses mains. Tout en reprenant mon sexe en bouche ses mains, partent en exploration. Elles explorent mes fesses. Ses mains écartent mes fesses, un de ses doigts me masse l’anus, elle me regarde, sourit. Son doigt me pénètre doucement. Je ferme les yeux. Mon sexe dans sa bouche, un de ses doigts dans mes fesses, je suis au bord d’exploser.

Elle doit le sentir. Son doigt qui progressé doucement, en moi, soudain me pénètre violemment. C’est tellement brutal, inattendu, que je joui instantanément. Je sens ma verge tressauter dans sa bouche. Je sens ses lèvres se resserrer autour de mon gland.
Nos regards se retrouvent.
Je la voie avaler. Elle avale ma jouissance, mon sperme. Pas une goutte ne lui échappe, tout au long de ma jouissance que je trouve interminable, ses yeux sont heureux, ils me transmettent sa joie, son bonheur de m’avoir offert cet instant inimaginable.

Je m’agenouille devant elle, l’embrasse violemment, intensément et en même temps je m’entends lui dire.


Je t’aime.

Tout bêtement sans que je le veuille, il est sorti, je m’étonne moi-même avec quelle simplicité ce petit, ce simple mot a franchi ce mur que sont mes lèvres. Je le croyais infranchissable.
Elle me regarde et pleure. Se jette dans mes bras. M’embrasse avec une passion telle que nos dents se heurtent.


Tu as dit quoi ? Tu me l’a dis. C’est le plus beau jour de ma vie.

Mon Jacques à moi m’aime. Et je sais que c’est vrai. Ce n’est pas un mot en l’air. Ca vient de tes entrailles. Du plus profond de ton être de ton âme. Tu ne peux pas savoir comment se simple mot me réchauffe le cœur, mon corps qui se langui déjà de toi, de tes caresses de ton amour tout simplement.


Nous nous redressons dans les bras l’un de l’autre. Nous ne bougeons pas, comme anesthésié.

Je me rends soudainement compte de la portée d’un si petit mot, de ce qu’il peut faire quand on l’entend, que l’on s’entend le dire.

Nous avons du mal à nous détacher l’un de l’autre. Inconsciemment je prends le gel douche, elle me tend les mains. Nous sommes dans un autre monde. Nos corps agissent nos tête sont ailleurs.
Nous nous lavons mutuellement. Ce n’est pas que ce soit plus sérieusement, mais j’ai l’impression qu’aucun des deux ne veux casser l’intensité de ce moment, la magnificence de ce ressenti, de cette plénitude. Je n’arrive pas à réaliser ce qui s’est passé, ce qui se passe en ce moment. Ce que nos têtes pensent. Aucun geste équivoquent ne vient troubler la quiétude de ce moment oh combien sublime.

Je m’approche d’elle, mes lèvres se posent sur ses lèvres, elle semble se réveiller. Tout comme moi.




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Re: Si belles, si sœurs

Message par Invité »

la suite stp stp stp stp stp :hornet:
DeLsEp9

Re: Si belles, si sœurs

Message par DeLsEp9 »

Propos de Sabine ma femme
Propos de Magalie ma belle sœur
Mes propos Jacques
Mes pensées,

38)


Nous nous lavons mutuellement. Ce n’est pas que ce soit plus sérieusement, mais j’ai l’impression qu’aucun des deux ne veux casser l’intensité de ce moment, la magnificence de ce ressenti, de cette plénitude. Je n’arrive pas à réaliser ce qui s’est passé, ce qui se passe en ce moment. Ce que nos têtes pensent. Aucun geste équivoquent ne vient troubler la quiétude de ce moment oh combien sublime.

Je m’approche d’elle, mes lèvres se posent sur ses lèvres elle semble se réveiller. Tout comme moi.

-.-

Une impression bizarre comme si je sortais d’un rêve, d’un songe me prend. Je me sens vider physiquement, mais tellement bien moralement. Tout est réel ou bien ai-je rêvé.

Je réalise que la petite puce est face à moi, comme hébétée. Je tends mes mains sans m’en rendre compte, elle les prend doucement dans les siennes.

J’ai l’impression d’être un enfant qui émerge, qui vient de naître. Cela me ressemble si peut. Mes certitudes, mais convictions, tout s’est effondré, balayé, englouti.

Elle m’a balayé comme un fétu de paille, son amour m’a fait exploser, imploser, je ne sais. Je ne me reconnais pas.

Elle s’approche, je lui souri, je suis heureux. Heureux de me redécouvrir, heureux de la ou elle m’a amené. Malgré son jeune âge, elle m’a amené ou elle voulait, où jamais j’aurais osé penser, un jour aller.

Aimer deux femmes. Etre fol amoureux de deux femmes, comble de l’ironie, comble du désespoir de deux sœurs. De deux sœurs qui s’adorent.

Comment cela va-t-il finir, en ce moment je n’en ai aucune idée, égoïstement seul le moment présent m’importe.

Je réalise soudain que Magalie est face à moi à quelques centimètres, ses yeux cherchent désespérément à comprendre. J’ai l’impression qu’ils m’interrogent se demande, me demande ce qui m’arrive.

J’écarte mes bras, elle se loge délicatement contre moi. Ses bras m’enserrent, se posent sur mes hanches, mes fesses, avec un naturel qui me trouble. Nos deux corps se touchent, la moindre parcelle de ma peau me donne l’impression de chercher son équivalent chez ma petite puce.

C’est tellement fort, que s’en est obscène. Obscène de sensualité. Obscène de ce désir qui s’exprime au travers de notre peau. J’ai l’impression que nos deux peaux se frôlent, se cherchent, se trouvent pour au final faire l’amour. Nous sommes moites, nos peaux coulent.
Je me plais à penser que c’est de plaisir, que nos peaux jouissent de se toucher.

Elle pose sa tête sur mon épaule.

J’ai peur, j’ai peur de ce qui arrive, de ce que tu m’as dit.
De ce tout petit mot, qui me remue le ventre, me noue les entrailles. Qui me tourneboule, à me demander si je ne l’ai pas rêvé.

Je le voulais de tout mon être, de toute mon âme, mais maintenant que je commence à réaliser où nous sommes, où nous en sommes.
Notre folie, ma folie nous a conduit, vers l’impensable, j’en tremble de peur.

Ma sœur, que j’aime, il est hors de question que tu la quitte pour moi. Si tu le fais, je pars aussi.
Sans toi, je ne pourrais pas vivre. Sans elle sans toi, je ne suis rien.


Si tu savais ma puce, comme moi aussi j’ai peur. Peur de ne pas savoir ou nous allons, peur de l’inconnu. Peur de ton amour. Peur de mon amour pour toi.

Que va-t-il se passer, je ne le sais pas. Te quitter il n’en est pas question.
Quitter mon épouse, ta sœur, nullement je ne pourrais l’envisager. Quand à vous quittez toutes les deux, ma vie serait terne, insipide, n’aurait plus de sens.

Je suis dans la panade, dans le brouillard. Je vais naviguer au feeling, à vue, enfin je vais essayer.
Une telle situation, un tel dilemme, est destructeur. Je me sens si heureux, et si malheureux à la fois.


Ma puce, mon petit cœur, ce qui nous arrive, est à la fois magnifique, sublime et d’un commun, d’une normalité dans les couples qui te laisserait pantois.

Pour moi, pour nous, il y a une seule différence, mais elle est d’importance.
Il n’y a que cette différence qui a une valeur, qui décidera de la suite de notre chemin, de nos chemins.

Je vous aime toutes les deux. Il est hors de questions de choisir, de laisser un de mes deux amours sur le bord du chemin. Je ne sais pas où tout cela va me mener, nous mener, nous amener.

Mais je te l’ai dit je ne joue pas avec toi. Lorsque je fais quelque chose, j’assume.
Et je compte bien le faire, assumer, assumer mes deux femmes, les deux sœurs que j’aime.
Sans Sabine je te dis non.
Sans toi, Magalie, ma petite puce, je dis non.

Je ne sais pas encore comment, mais j’y arriverais. La seule question est : Es tu d’accord ?

Je ne te demande pas une réponse maintenant. Il faut que tu assimile bien toutes les conséquences que ta réponse pourrait entrainer. Quelle soit ta réponse.

Si tu me dis, que tu préfère arrêter tout de suite, maintenant, je le comprendrais, ce sera dur, mortellement difficile, mais je respecterais ton choix.

Je. . .


Elle pose un doigt sur mes lèvres, je réalise qu’elle pleure. Elle pleure à chaude larmes sur mon épaule. Je sens des spasmes qui la secouent. Ma main se pose sous son menton, et relève doucement, délicatement sa tête.
Je la voie les yeux noyées de larmes. Ma bouche se pose sur son front et dépose un tendre baiser.
Ma langue lape ses larmes. Ma bouche s’approche doucement de la sienne tout en embrassant ses joues, la commissure de ses lèvres. Je l’embrasse tendrement, délicatement, comme si je ne voulais pas la bousculer, la chambouler.

Ses mains se posent sur ma nuque, elle me rend mon baiser, tendrement. Je ressens, comme une caresse sur mes lèvres. Ses yeux me regardent, ma détaillent. Ils sont si beaux, si vert, noyés dans ses larmes.
Larmes que je souhaite ardemment être des larmes de bonheur.


Je t’aime. Je sais, que tu m’aimes sincèrement, de tout ton cœur.
Ma réponse est oui, mille fois oui. Moi non plus je ne sais pas comment on fera, comment cela se passera, mais oui je veux continuer. Oui je t’aime, oui je refuse que tu quitte ma sœur, oui je te veux.


Je la regarde ébahis, comme si je n'avais pas compris, comme si mon cerveau n'avait pas enregistré sa réponse, n'avait pas enregistré ses mots.

Des mots, qui lorsque je les ai entendus, mon provoqué une montée d'adrénaline, pire que la plus effrayant des peurs, pire que si je m'étais retrouvé dans les bras d'un succube.
Elle me regarde. Elle à l’air de comprendre ce qui m’arrive.
Elle ma petite puce, mon amoureuse, mon amour, est totalement consciente de ce qui se passe.
Moi le sois disant adulte je suis dans mon nuage, en train d’essayer de réaliser, j’attaque la falaise à la pagaie.

Elle souri, elle est heureuse, divinement heureuse. Son corps transpire le bonheur. Elle approche sa bouche de mon oreille.


Ma réponse est oui, mille fois oui. Moi non plus je ne sais pas comment on fera, comment cela se passera, mais oui je veux continuer. Oui je t’aime, oui je refuse que tu quittes ma sœur, oui je veux être avec toi.

Cette décision bien que rapide est celle que je veux, pardon que je souhaiterais, que je désire de tout mon corps, de toute mon âme, de tout mon cœur.


Elle m’embrasse tendrement et dans un souffle, dans nos souffle mélangés.

Je t’aime, je t’aimerais toute ma vie. Je ne pourrais jamais aimer un autre homme que toi. Il est hors de question que j’attende, que je réfléchisse.
Ma décision est prise. Et je le redis, pour que tu l’acceptes, que tu m’acceptes. Je le souhaite, je le veux. Je t’aime.


Ma puce, mon cœur, on ne sait pas de quoi la vie sera faite. Il ne faut jamais dire : Fontaine je ne boirai jamais de ton eau.

Je la regarde droit dans les yeux, mes mains se son posées de chaque côté de sa figure. Je tremble comme un collégien, le soir de son premier rendez-vous amoureux.

Oui je le veux, oui je t’aime.

J’ai l’impression d’être à mon mariage, et de répondre au maire.

Il y a un seul problème est de taille je suis déjà marié avec la sœur de ma petite puce.
Je suis heureux. Et elle aussi. Son corps rayonne de bonheur.


Quelle heure est il ?

Je regarde ma montre, mon regard se fige.

Il est 10 h50.

Je l’embrasse. Je m’empare du pommeau de douche, baisse la température de l‘eau.

Il faut que l’on se calme.

Je la rince rapidement sans profiter de la situation.

Bon dieu que j’aurais envie de me donner à elle en ce moment, et je suis sur que pour elle c’est pareil. Je le lis dans ses yeux. Et si au lieu de monter chez la belle mère on se recouche ? Non sa va être un cirque pas possible.

Elle me prend la pomme de douche des mains et me rince.
Nous sortons de la douche. Elle me tend une serviette en prends une et commence à s’essuyer.


On est pressé, faut être sérieux.

Je m’essuie rapidement. Je me dirige vers ma chambre, elle me suit. Sur le lit fait est posé négligemment un soutien gorge et une petite culotte. J’ouvre mon côté de l’armoire et sort mes habits et un boxer. Elle ouvre l’armoire du côté de ma femme, sort une jupe en jeans, et un tee-shirt de derrière les affaires de ma femme. Je regarde surpris. Elle sourit.

Ma sœur m’a dit de laisser quelques habits ici, au cas où.

C’est une sacré nana, elle avait bien préparé son coup, elle avait un tee-shirt ici et elle me demande un autre sachant qu’il serait trop grand, mais quelle coquine, quelle adorable coquine.

Je m’habille et elle fait de même. En passant je lui dépose un petit baiser sur ses lèvres toutes fraiches.

On ne monte pas les affaires que vous m’avez offertes. Maman ne comprendrais pas.

Si on les emmène. On les laissera dans le coffre, ta sœur décidera si elle veut les montrer ou pas à ta mère. N’oublie pas ta robe dans la salle de bain, elle doit être sèche.

Et nos vêtements je les mets où ?

Suis-moi.

Nous sortons de la chambre, elle prend le paquet devant la porte de la chambre. Je me dirige vers mon bureau, rentre, prends mon trousseau de clef, j’ouvre une des portes de l’armoire ou je range mes documents. Ce côté est vide. Je pose ses affaires sur une des étagères et referme la porte à clef. Je détache une clef et la donne à la puce.

Il n’y a que toi et moi qui avons la clef de cette porte. Sabine vient rarement dans mon bureau.

Elle se jette à mon cou, et m’embrasse.

C’est notre armoire à secret.

Magalie récupère sa robe, dans la salle de bain, prépare les paquets. Je passe, dans tout l’appartement pour vérifier que rien ne traîne.

Elle n’a pas prévue de rentrer avant mardi soir, mais on ne sait jamais.

Je prends les serviettes de bain, mets des propres à la place, me dirige vers la porte de la cave, en prenant au passage la boule de draps sur le fauteuil.

On y va.

Je descends, à la cave mets les draps dans la machine, et lance le programme. J’enfouie les serviettes au milieu du linge sale.

La puce m’a suivie, je prends ses paquets. J’appuie sur le bouton de la télécommande, la porte du garage s’ouvre.
Je place les paquets dans le coffre de la voiture. J’enlève la capote, la glisse derrière les deux sièges.
Je soulève l’imposant capot moteur, vérifie les niveaux. J’ouvre la porte de la voiture à la puce qui s’installe.
Je me pose, m’installe derrière le volant de mon joujou, de mon plaisir, une TRIUMPH SPITFIRE MARK IV rouge de 1973. Je démarre le moteur, l’écoute, le ressent. Je démarre en douceur et sort la voiture du garage.
Je sors de la voiture pour ouvrir le portail, la puce fait de même, elle me sourit elle est radieuse. J’appuis sur le bouton de la télécommande pour fermer la porte du garage, je remonte au volant, et m’arrête à l’extérieur pendant que la puce ferme le portail.
Elle remonte à bord s’installe confortablement, pose sa main sur ma cuisse, me regarde.


On y va ?

Je démarre en douceur, et nous prenons la route pour aller chez belle maman il est 11h10.

Ouf on est presque dans les délais.


La suite «SECRET DE FAMILLE » dans quelques temps.

Invité

Re: Si belles, si sœurs

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DeLsEp9

Re: Si belles, si sœurs

Message par DeLsEp9 »

Mel29440 a écrit :la suite la suite
Secret de famille
( suite de Si belles, si sœurs)


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Supprimé

Re: Si belles, si sœurs

Message par Supprimé »

Oh pinaise, j'ai tout lu d'une traite c'est beau, c'est émoustillant, c'est torride, j'ai hâte de lire le chapitre suivant mais là j'vais rejoindre mon homme qui m'attend sagement depuis une bonne heure!

MERCI
Invité

Re: Si belles, si sœurs

Message par Invité »

Misslililove a écrit :Oh pinaise, j'ai tout lu d'une traite c'est beau, c'est émoustillant, c'est torride, j'ai hâte de lire le chapitre suivant mais là j'vais rejoindre mon homme qui m'attend sagement depuis une bonne heure!

MERCI
ya rien a rajouté et le prochain chapitre est tres emoustillant aussi
DeLsEp9

Re: Si belles, si sœurs

Message par DeLsEp9 »

Misslililove a écrit :Oh pinaise, j'ai tout lu d'une traite c'est beau, c'est émoustillant, c'est torride, j'ai hâte de lire le chapitre suivant mais là j'vais rejoindre mon homme qui m'attend sagement depuis une bonne heure!

MERCI
merci à toi d'avoir pris le temps.

:jap:
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