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Le point de départ, c'est un homme que j'appellerai Rolland, qu'elle a croisé brièvement lors d'un mariage duquel j'étais absent pour raisons professionnelles. Quelques semaines après, il a réussi a se procurer le numéro de téléphone de ma compagne et l'a contactée... (le cuistre!)
Il est plutôt bel homme d'après elle, et fraichement divorcé. Passé l'étonnement de cette prise de contact, elle n'est pas dupe de ses intentions (qu'il peine a dissimuler). Et bien qu'ayant été claire sur notre engagement, le gars continue d'alimenter la conversation... Elle m'en avait parlé aussitôt, mais cette situation l'amuse et se elle se demande jusqu'ou le gars voudra aller (ce sera peut être l'objet d'un futur récit?). Nous avons évoqué la possibilité qu'elle accepte une de ses nombreuses invitations, mais tout ne se passera pas comme il le désire
"Rolland"
"Elle"...
Je marcherai d'un pas mesuré, presque lent, c'est comme cela que vous me reconnaîtrez. J'aurais l'air de flâner, mais je sais très bien où je vais. Dans cette rue piétonne où chacun va et vient, je me démarquerai, vous me remarquerez. Nous aurons arrangé implicitement ce rendez-vous, mais notre rencontre aura l'air fortuite et inattendue.
Je marcherai seule. Vous, posté devant une vitrine, regarderez mon reflet passer, ce sera votre signal. Vous m' aurez vue arriver au loin, bien sûr, mais vous savez que je ne veux pas que nos regards se croisent encore. Vous suivrez donc cette silhouette.
Là, marchant quelques mètres devant vous, je sentirai vos yeux sombres se poser sur moi. Vous contiendrez votre envie dévorante, et suivrez la ligne de mes bas à couture, vous appréciez le galbe de mes mollets, remontant maintenant vers la jupe que vous jugez probablement trop longue. Vous vous rêvez déjà remontant le long de mes cuisses, mais n'allons pas trop vite en besogne. Mon blouson ne vous laisse pas deviner autre chose de moi, mais je sais que vos yeux sont rivés sur le balancement de mes hanches. Malgré l'hiver, je suis réchauffée par la sensation de votre regard caressant. Je sais que votre imagination vagabonde déjà, et je veux prolonger ces instants où je perçois votre carrure dans le reflets des vitrines, votre allure, vos cheveux poivre et sel, votre démarche souple. Furtivement que je vous épie, je vous observe, je vous scrute. Intérieurement, je souris, je frissonne.
J'avance à mon rythme, et vous m'accompagnez en gardant vos distances. Je vous précéderai ainsi jusqu'à la terrasse d'un café. C'est là que je vais retrouver mon homme, mon amant, mon Amour. Il se lève pour m'accueillir, m'embrasse comme lui seul peut le faire, passionnément. Je lui offre ma bouche sans retenue, sachant que vous m'observez. Il m'enlace et j'aime me serrer contre lui, je suis si bien dans ses bras. Pendant ce temps, vous vous installez, non loin. Il sait aussi que vous êtes là, nous vous avons choisi ensemble. Il me laisse cette liberté que d'être désirée par vous, ne l'oubliez pas. Je le respecte pour cela, je l'aime pour cela.
Nous commandons un café, je fouille dans mon sac pour en sortir mon paquet de cigarette, mais je ne trouve pas de briquet, c'est à ce moment que vous trouverez le moyen d'engager la conversation, de manière légère, spontanée, peut être spirituelle, en m'offrant du feu...
je protège la flamme en effleurant vos mains. Je vois votre regard porté sur le gonflement du blouson occasionné par mes seins, il est en cuir suffisamment souple pour que vous vous rendiez compte de leurs volumes
"Lui"
Elle relève la tête en tirant la première bouffée de sa cigarette. elle souffle la fumée et me remercie , je lui réponds :"Avec plaisir..." dans un large sourire.
-"Un plaisir partagé est un plaisir double..." enchaîne t'elle d'un air taquin.
Je suis stupéfait de sa réponse qui ressemble presque à une "attaque frontale".
-"Dans ce cas, me permettrez vous de me joindre à vous?" et joignant le geste à la parole, j'attrape une chaise et m'installe à leur table, et j’enchaîne
-"Moi aussi je suis adepte de ces plaisirs coupables..." dis je en sortant mon paquet de cigarettes de la poche de ma veste, "mais avec un café, c'est dur de résister".
-"Vous résistez aussi à la tentation?" me lance alors son compagnon? Essaierait 'il de me désarçonner? J’éclate de rire, et je réponds qu'avec le café je préfère le sucre, mais que mettre du piment me parait une bonne idée. sourires entendus, je frissonne moi aussi.
Pendant que nous devisons gaiement, je la regarde croiser et décroiser ses jambes, chacun de ces mouvement fait remonter sa jupe légèrement. Elle a sa main posée dans la sienne, elle le lâche seulement pour se réajuster, afin de continuer à croiser et décroiser les jambes. Je suis déjà en train de la désirer, mes yeux caressent ses mollets et remontent, frôlent l’intérieur des ses cuisses jusque là où mon regard peut porter. J'imagine ses seins lourds et volumineux, je voudrais déjà les presser, les palper, les embrasser, les sucer... J'imagine qu'elle le devine un peu, elle me sourit, et mon désir s’accroît encore! A tel point que je dois m'excuser pour me rendre aux toilettes. Je me lève aussi prestement que possible en essayant de dissimuler au mieux la bosse de mon pantalon, mais leurs rires alors que je m’éloigne me laisse penser qu'ils ont remarqué mon trouble. J'ai juste besoin de libérer mon sexe tendu de sa gangue et de le replacer afin qu'il ne soit pas compressé. j'ai observé sa bouche lorsqu'elle buvait son café, j'ai imaginé ses baisers, le gout de ses lèvres, ses mains sur ma poitrine, les miennes autour de sa taille, sur ses hanches pour la presser contre moi...
je ferme ma braguette et sort des toilettes, mais quelle n'est pas ma surprise lorsque je la trouve appuyée contre le lavabo de ce vestibule.
-"j'attends mon tour." me dit elle d'un ton ironique en me montrant la porte voisine. la situation devient presque incongrue mais je décide de m'avancer vers elle. Elle glisse sur le coté pour que je puisse me laver les mains, mais je peux sentir son parfum capiteux, enivrant. Elle se contente de sourire et de me regarder. je romps le silence elle lui avouant que je la trouve très belle, très désirable... Comme seule réponse, je sens sa main qui parcours mon pantalon, ses doigts qui glissent sur le tissu, qui devinent ma queue raidie. le rouge me monte aux joues, je me tourne vers cette femme pour l'embrasser quand le son d'un verrou qui se libère nous fait tressaillir, sa main se dérobe, quelqu'un sort, elle disparaît derrière cette porte qui venait à peine de s'ouvrir.
Je rejoins son compagnon à terrasse du café. Je suis un peu gêné et peine à faire redescendre la tension en moi.
-"Je suis épaté par votre couple, vous avez l'air très amoureux..."
-"Merci, J’espère qu'on continuera à vous étonner" Dit il d'un ton laconique.
J'avale ma salive...
-"Votre compagne est délicieuse".
-"C'est bien ce que je me suis dit lorsque je l'ai goûtée"...
Ses allusions font vagabonder mon imagination, j'imagine leurs étreintes. Comment gémit-elle lorsqu'il enfouit sa tète entre ses jambes? J'aimerais aussi qu'elle s'offre à moi... Je lève les yeux, et je la vois revenir vers nous, la démarche assurée, presque désinvolte. Elle n'a pas refermé son blouson, je suis presque hypnotisé par le balancement de sa poitrine. Comme je voudrais passer mes mains sous son chemisier... Elle s'installe en croisant ses jambes gainées de nylon. un téléphone sonne, c'est celui de son homme, il regarde l’écran avec une mine contrariée, il dit qu'il est désolé mais il doit répondre, se lève et s’éloigne. Je décide d’être direct.
-"J'ai très envie de vous..."
Elle rallume une cigarette
-" C'est très agréable à entendre, mais je l'avais remarqué!"
Elle me taquine. Je la regarde dans les yeux. En reposant son briquet, elle fait tomber la petite cuillère de sa tasse, je me baisse pour la ramasser sans oublier d'effleurer ses jambes. Délicatement, mais suffisamment pour qu'elle comprenne que j'ai envie de la toucher.
-"Vous savez ce que peux éprouver un homme lorsqu'il a une femme telle que vous entre les bras?"
-"Il me semble que nous pourrions continuer cette conversation ailleurs". C'est la voix de l'homme qui a terminé sa conversation téléphonique...
-"Avec plaisir, mon chéri" dit-elle. Je repense à ce qu'elle m'a dit qques minutes plus tôt. J’appelle le serveur pour régler les consommations.
Je sens qu'elle aime se faire désirer, être convoitée ... En quittant la terrasse, je leur ai proposé de venir chez moi , ils ont accepté. j'en suis presque surpris. à chaque instant je m'attend à ce qu'ils prennent la tangente, qu'ils esquivent...
Ils sont garé à l'autre bout de la ville. Pour leur éviter de marcher, je propose de les amener à leur véhicule, le mien est stationné tout prés... "Si vous faites le taxi, nous monteront derrière" a t'elle dit, j'ai trouvé cela amusant. Ils marchent l'un contre l'autre, il a passé son bras autour de sa taille, il la serre. ils échangent des baisers gourmands, je vois leurs lèvres se joindre , leurs langues se mêler. Elle se met sur la pointe des pieds pour l'embrasser. je regarde ses courbes sans intervenir. Arrivés à ma voiture, elle s'adosse contre la portière coté conducteur et me lance "Chauffeur, vous connaissez le chemin?" en me barrant le passage.
Il ne m'en faut pas plus pour m'approcher d'elle, l'enlacer. je me colle à ce corps que je désire. Je passe mes mains sous son blouson, en partant de ses hanches je remonte vers ses seins généreux, que je pétris lentement par dessus son chemisier. Elle me refuse sa bouche, mais je l'embrasse dans le cou,. son compagnon nous regarde, il a l'air excité, je remarque qu'il caresse son sexe, par dessus son pantalon.
Ma main s’introduit dans son corsage et caresse un sein pendant que l’autre main remonte sa jupe et pour atteindre son entrejambe. je caresse son sexe par dessus le tissus.
Elle dit rien, elle a les yeux fermés, je trouve du plaisir à ce petit jeu. Soudain, elle me repousse... "En route, Chauffeur!"
Comme convenu, ils montent à l’arrière, je m’installe à ma place.
A peine ai-je démarré, je remarque qu'il se jette sur elle, il l'embrasse, lèche sa peau de la naissance de ses seins jusqu’à ses lobes d'oreilles, je le vois mordiller, elle s'abandonne, il chuchote, elle murmure...
Puis elle s'installe au milieu de la banquette, elle me regarde dans le rétroviseur, en soupirant. Au bout de quelques secondes, je comprends qu'il faut que j'incline le rétroviseur pour regarder plus bas. Il a ouvert son chemisier , libérant se seins magnifiques, ils sont là, offerts à ma concupiscence, mais inatteignables. je le regarde les caresser, les titiller du bout de la langue, elle jette sa tète en arrière contre le dossier," Plus bas" souffle t'elle... je descends encore le rétro!
Ses jambes sont largement écartées, il a complètement remonté sa jupe, et caresse son sexe, s'immisce dans sa culotte, je ne distingue rien de précis, mais je discerne qu'il dessine ses lèvres du bout des doigts, elle halète, ondule sous ses caresses ses mains sont partout sur elle... Il lui glisse qques mots à l'oreille, puis elle me demandes : -"Tu bandes?" Je réponds par l'affirmative.
-"Tu me montres?", je n'ai pas le temps de répondre que je vois son reflet disparaître du miroir, elle s'installe derrière mon fauteuil, je sens ses mains qui passent autour de moi, elle palpe mon sexe tendu, puis commence à défaire ma boucle de ceinture et mes boutons... Je sens ses doigts qui glissent sur mon caleçon. Sa paume frotte ma queue en partant de la base jusqu'a mon gland qui boue déjà. puis ses doigts qui viennent remonter mes testicules... "Tu m'aides", me susurre t'elle a l'oreille. Je me redresse pour qu'elle fasse glisser mon pantalon sur mes cuisses... elle s'empare que ma bite , elle tâte, scrute, examine, parcours ma queue et mes couilles...
"Mmmmmm, que c'est bon..." mais je ne sais pas si elle parle de ses explorations tactiles ou de ce que lui fait son homme. Je me concentre sur la conduite, faisant au mieux afin de m’insérer dans le flux de la circulation... mon cœur bat la chamade, je suis terriblement excité par cette femme qui me "visite" sous les yeux de son mec, les deux semblent y trouver du plaisir, leurs baisers sont de plus en plus fougueux...
-"Plus que 300 mètres, et nous devrions voir votre voiture"
Ses mains m'abandonnent a mon grands regret, je regarde ses doigts reboutonner son chemisier, et ses seins disparaître. elle mets de l'ordre dans ses cheveux, dans ses habits. Lorsqu'elle ouvre la portière , le joyeux tumulte qui animait l’arrière de mon véhicule semble s’évaporer subitement... De l'air frais, je reprends mes esprits! Je baisse ma vitre, en ajustant sa jupe, elle me demande :" N'auriez vous pas fait un léger détours? ...