Quetzalcoatl

Des récits qui ne manqueront pas de réveiller vos sens et votre imagination...
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Ashanee/chance
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Quetzalcoatl

Message par Ashanee/chance »

en attendant que je réussisse a organiser l autre écrit comme je l aimerai voila une petite interlude :lol:


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J’associes souvent des partenaires a des Dieux, se soumettre a des maitres ou a des dieux c est un peu la même chose, ça demande beaucoup de soi. Leur lois, désirs et décisions ne sont pas toujours comprises à l’instant. Sans Dieux pas d adoratrices, sans adoratrices pas de Dieux.
On associe le grand Quetzalcoatl à l’image d’un serpent a plume. Dieu de connaissance, de force et de renouveau. Les espèces de serpents sont souvent mal perçu, beaucoup vont les associe à une sorte de fourberie. Ce n’est pas le cas ici. De nos jours encore il existe des cultes les vénérant. Quand bien même il ne serait pas histoire de mythologie, grâce a certains de leurs venins des chercheurs ont créer des médicaments.
J’ai croisé Chronos qui m’a enseigné que le temps était insaisissable et au combien précieux, j’ai survécu à Lamia et a son vampirisme, j’ai flirté avec Némésis et Mars qui m’ont fait comprendre que la vengeance avait plusieurs visages. J’ai croisé d’autres Dieux et j’ai appris. Je pensais être las d’apprendre. Cette quête ne se suffit jamais à elle-même et est exigeante. Et pourtant, c’est plus fort que moi, je veux comprendre, ou à défaut je veux croire.
Lorsque votre rendez-vous m’a été donné, au moment de vous quitter, en rentrant du centre-ville, je n’ai pas senti la pluie, il n’y avait que votre parfum dans mes narines, et ce cœur battant comme une nouvelle donne, je ne m’attendais à rien, j’étais en hibernation, et il vous a suffi d’apparaitre pour réveiller mes sens. Je vous ai senti très à l’aise avec vous-même et quand on doit se livrer auprès de quelqu’un autant que ce dernier soit bien ancré. Vous m’avez laisser beaucoup parler, de chose qui peuvent paraitre insignifiantes. Je savais déjà que vous ne seriez pas un Dieu semblable a ceux que j’ai pu croiser. J’en ai rencontré peu dans la ville des Sacre et encore moins en plein jour.

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Alors je suis rentrée, sans avoir eu vent de la pluie, votre parfum me faisant déjà une révélation. Durant ce court mais rapide trajet, j’ai reçu un message de votre part, une seule phrase, à l’intérieur un compliment, j’ai éveillé quelque chose en vous, et une opportunité, celle de vous faire une première offrande. Un peu sanguine, dans le sens d instantanée, j’ai essayé de tout retrouver, et j’ai procédé à l’envoi. J’aurai pu tricher en triant au préalable, mais je suis trop attaché à l’authenticité. Lorsque vous m’avez fait cadeau de l’autre directive cela m’a couté plus que je ne l’aurai songée. Est-ce par ce que confronté à mon propre reflet ? ou par ce qu’il ne fallait pas qu’un regard puisse être mal interpréter. Ou peut-être l’idée que ces photos seraient partagées pour d’autres yeux qui n’aurait eu que mon enveloppe pour se faire une première idée. Qu’importe je l’ai fait, quand même, ce n’est rien mais c est un tout, l’important ce n’est pas trop l’image de toute façon c’est juste une façon de prouvé ma bonne volonté.
Je mise énormément sur ma volonté propre. Depuis des années, sur les bulletins scolaires c’était déjà noté, élève de bonne volonté malgré des difficultés.
Comme il s’agit d’une offrande je dois vous avouer que je n’ai que très peu dormi, et si j’étais rouillée ? Si j’étais trop fragilisé ? Si j’étais trop ou pas assez ? Bref j’ai mis un film d’horreur en fond sonore pour m endormie, en France ces dernières années une étude a démontré que nous étions nombreux a nous endormie devant des films d’horreur ou des podcasts de criminel, ça me fait sentir moins étrange de savoir cela.
Le mercredi vous étiez omni présent. Le rendez vous étant prévu chez moi, il fallait le rendre, convenable, présentable, de standing dirons-nous. L’aéré aussi, pour un non-fumeur c est mieux. Avec toujours dans cette petite tête des susurres de choses et d’autre « tout ça, si cela ne se trouve pour rien il peut ne pas venir, oui bah au moins cela sera fait pour moi. Imagine-toi, pire, il vient, et la hop tu bloques tu n’as plus rien, hein t imagine ça hein ? Oui, on ne saura rien si on ne tente pas et au pire, je pourrai lui proposer le service minimum, un thé et une fellation, t en connais bcp qui dirait non ? La honte sur nous quand même si on n’est capable de rien. Tais-toi tu veux ? Qui vivra verra, je ne lui ai pas promis la meilleure prestation de tous les temps. Petit sourire nerveux a mes lèvres, non pas explicitement, mais quand même ça nous mettrait mal si on devait s en réduire au service minimum.
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Faire de son mieux, offrir les meilleures conditions. Être attentive au détail de la Divinité, non-fumeur, pas trop café, tu lui dois un thé glacé au fruit rouge. Il est élégant, ambidextre, il a parlé de fouet non ? peu de chance qu’il commence par la, dans le doute, un espace assez large pour qu’il puisse tourner autour de toi. L’appréhension, c’est presque un talent.
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Vos messages en fin de journée, m’ont fait comprendre que vous étiez le genre de personne à faire ce que vous dites. La nuit suivante, je n’ai pas beaucoup dormi non plus. Cette fois perturbée par les seules informations dont je disposais, attendre dans la salon nue, en position de soumise, le chat enfermer, dans l’attente l’espoir et l’appréhension d’une gifle.
Votre voix à l’interphone m’a semblé différente de notre première entrevue. Une phrase, et dedans de la détermination, comme quelque chose d’implacable. J’ai pris la position, en fonction du Dieu, parfois cela varie, mais disons qu’a défaut, il faut bien choisir quelque chose. Les trois étages n’ont jamais paru si court. J’entend la porte se fermée et les clefs verrouillées, l’implacable, est là, tout l’air est déjà différent, l’incarnation ne s’est jamais faite si vite, peut-être est ce dû a la très longue période d’inactivité.
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Dans de nombreuse religion, il faut faire bien attention à ne pas croiser les yeux du divin, Méduse ou les Dieux même danger. Celui d’être transformé en pierre ou de disparaitre en poussière devant tant de pouvoir. Je n’ai qu’un bref aperçu de vos chaussures. Déjà des choses m’échappe, c’est ainsi on ne peut pas être et incarnée et enregistré chaque détail. Me voici en position, m accrochant à votre voix délicieusement intraitable, je crois percevoir gagner des points, « ah tu vois que le ménage le rangement, l’aménagement ce n’était pas pour rien ». La gifle promise arrive, étendue, forte, précise, ma tête reste sur la nuque, le bourdonnement a l’oreille chasse l’appréhension, ce genre de gifle c’est plutôt une gifle de clôture, suite a une série plus ou moins rapide et lente plus ou moins forte, mais non chez Quetzalcoatl c’est ainsi, il ne fait pas comme les autres. Est-ce du au fait que j’ai préciser que dans les gifles il y avait une proximité déconcertante ? Une façon, de tout de suite impacté ? Une volonté farouche d’être incomparable ? Les dieux ont des raisons.
A quel moment m’avez-vous demandé de vous regarder dans les yeux, avant ou après ? le temps et la mémoire deux choses qui nous définissent mais sur lesquels je n’ai pas d’emprise. Il y a longtemps je m’étais créer des règles pour avoir l’impression de conserver un peu de ma superbe, et puis j’ai compris que mes règles étaient devenues, non pas des marges, mais des prisons, alors, je tente, je tente de vivre sans règle, mais elles me manquent, mes règles et ma mauvaise foi. Elles m’auraient conseillé, de ne pas avouer que des détails m’ont déjà échappé. Elles m’auraient murmuré de ne pas faire d offrande parce que cela pourrait me poser problèmes, mais je suis en mue, alors je fais taire mes anciennes règles et ma mauvaise foi. Une gifle pourrait me mettre ko, mais comme dit plus haut, je m’en remets à ma volonté. Alors allons-y, jouez comme il vous plait, je vais faire de mon mieux.
Vous me rappelez les positions, des classiques, a genoux, attentions au main, attention au visage. A quatre pattes les jambes écartées, le dos plutôt a plats, la tête basse. Allongées de tout mon long. Chaque Dieu est unique mais il y aura toujours des choses sur laquelle s’appuyé. Tu n’as pas tout perdu ma poule. Vous faites un rapide tour des affaires mises a votre disposition. S’il y a une prochaine fois peut être devrais je les placer plus à plat, plutôt que dans un sac. Comme les outils pour un chirurgien. C’est cela j’aurai dû décrire la gifle comme chirurgicale. Je n’avais pas deviné dans notre échange, cet aspect-là. Il faut dire que complètement dépasser par cette première rencontre en vrai, j’ai beaucoup trop parler, je n’ai pas posé assez de question, j’ai manqué de vigilance. Et l’heure n’est plus à la vigilance. L’heure est la respiration, détendre au mieux ce corps, afin de prendre chacune de votre attention comme un cadeau précieux. Une des quelques incontournable que j’ai compris avec le temps, c’est aussi, qu’une phase du dominant consiste à préchauffer la peau de la soumise, alors que je vous imaginai travailler à la main comme votre gifle aurait pu me l’indiquer, votre choix se porte sur la cravache ferme, choix intéressant, elle a certains poids et pour l’avoir testé quelques fois je la trouve forte. L’intérêt de cet outil, la forme des marques qu’elle peut laisser lorsqu’on la prend comme objet de frappe, mais vous l’utiliser plus comme objet d’échauffement. Me préparer à quoi ? je ne sais pas je n’ai pas le plan de vol, je ne sais même pas depuis combien de temps cette initiation à commencer ni même pour combien de temps elle est prévenue. Quetzalcoatl est dieu, omniscient vous préciser, que la séance ne durera pas trop dans la durée, puisqu’il s’agit surtout de voir si et comment je réagis, de déterminer le niveau de compatibilité.
J’en arrive à la raison de ce dieu Quetzalcoatl Dieux serpent et de plumes.
-J’ai amené un de mes jumeaux, j’ai été courtois, je n’en ai pris qu’un seul.
Il y avait longtemps que je n’avais pas senti le ligne de froid parcourir tout mon corps comme si ce dernier se préparait. Rien n’est comme je ne pourrais le prévoir, comme j’ai pu connaitre, enfin si certain passage rituel bien sûr, mais la seule chose que je sais, c’est qu’il va falloir que je me concentre, bcp pour tente de décrypter quel sera le mouvement du coup, pour le vide, le coup pour la chauffe, et le coup pour la marque. La seule fois où j’ai embrassé un fouet, c’était il y a longtemps, et ce fouet m’avait fait abandonner. Rien de honteux puisque c’était le but, mais mon égo et ma mauvaise foi… eux … n ont retenue qu’une chose que j’étais lâche face au fouet. Alors ce jour, cette dance fait vibrer tout mon être avant même que de danser dans les airs. Je me serai attendu à une sorte de passage, d’adoration auprès de cette extension de votre être, mais non, pas de manche coller au front, pas d embrassade avec ce qui va me mordre. Juste vous et votre précision de chirurgien
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Allez ASH rappelle-toi, petite joueuse ou pas ? Tu te rappelles ce qu’on a toujours dit ? Quand on joue c est jusqu’au bout. Le pire, c’est ce qu’il y a dans la tête.
Comment dit-on lorsqu’il s’agit d’un fouet, ? Parle-t-on d’une lanière, Je peux m’estimer chanceuse en plus, votre prolongation est plutôt courte et épaisse, la douleur la plus difficile a gérée c est celle qui cingle ça laisse des boursoufflures. N aimes-tu pas être marquer ? N aime tu pas ces marques qui te font te sentir, unique et parée, incomparable ? Si tu les aimes, et tu les veux, et tu as eu l’audace de le lui dire, bienveillant comme il est-il allé te nourrir. Quetzalcoatl est grand, il te laisse encore une brève seconde le temps de chercher encore quelques choses dans ce sac, non vraiment tu aurais du tout mettre à plat.
A genoux
Mais que cette voix est délicieuse.
Vous avez trouvé les pinces à linge en bois, et vous les placer précis en en large sur le sein aligné au téton.
Vous vous amusez de mon calme apparent, tu as eu l’habitude qu’on t’en place
Ce qui compte n’est pas comment on les place, mais comment on les enlevés. J’ai bien compris comment Quetzalcoatl allait les enlevés. Chaque pince va compter tu sais, chaque pince qui va voler, aura un prix, un prix que tu dois livrer. Alors soit brave et pour une fois dans ta vie, essai de ne pas bouger…
Evidement que je vais bouger, c’est plus fort que moi, ce sont des réflexes, quasiment une frappe égale un mouvement de replis. Le fouet me fait penser à une morsure de serpent, vif, fort, brulant. Encore une fois si j’étais en hypervigilance, j’aurais pu vous décrire le nombre de coups reçu, mais je ne peux être incarnée concentrer sur la respiration, et sur l’immobilité, et sur le don, et sur le silence.
Depuis le début de cette partie, je ne sais pas le garder le silence, je rie, je rie à la fois de plaisir, de nervosité, de grâce et de bonne foi. Ce n’est pas moi ça, du moins pas celle que je connais... moi je sers les dents, je pleure en silences, je m’insulte moi-même, voila comment je me connais je me connais comme fille de la colère, et la colère n’est nulle part. La colère n’est pas.
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La colère n’est pas, peut-être, est-ce, cela…c’est quoi le passage ?
« Il y a un temps pour tout, un temps pour chaque chose sous les cieux : Un temps pour naître, et un temps pour mourir ; Un temps pour planter, et un temps pour arracher ce qui a été planté ; Un temps pour tuer, et un temps pour guérir ; Un temps pour détruire, et un temps pour construire ; Un temps pour pleurer, et un temps pour rire ; Un temps pour se lamenter, et un temps pour danser ; Un temps pour jeter des pierres, et un temps pour en ramasser ; Un temps pour embrasser, et un temps pour s'abstenir d'embrasser ; Un temps pour chercher, et un temps pour perdre ; Un temps pour garder, et un temps pour jeter ; Un temps pour déchirer, et un temps pour coudre ; Un temps pour se taire, et un temps pour parler ; Un temps pour aimer, et un temps pour haïr ; Un temps pour la guerre, et un temps pour la paix. »
C’est peut-être cela que Quetzalcoatl peut m’offrir, la mue véritable, la fin du cycle auquel je me tenais si fort, si longtemps.
Elle avait toujours au coin de la bouche
Ce petit sourire qui faisait mouche
Elle laissait le vent emporter tout

*la baraka
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