Et oui j'ai décidé de le reposter en intégralité ici et peut être même qu'il y aura une fin alternative :siffle2:
Pour la petite histoire de ceux qui ne l'ont pas lu : c'est mon premier (et seul) récit pour le moment, écrit presque quotidiennement pendant 7 mois presque jour pour jour : du 25 aout 2010 au 23 mars 2011.
7 mois qui font celle que je suis aujourd'hui, autobriographique non même si je suis Marine autant qu'elle est moi et nous sommes pourtant totalement différente. Il ne s'agit en aucun cas de mon histoire personnelle.
Toute les phrases en italique dans le texte, sont les réfléxions personnels de notre héroïne
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6h50 : « il est bientôt 7h et avant les infos de la rédaction, un petit Indochine suivi de knocking on heaven's door des Guns’, bon réveil à tous »
Les premières notes débutent, et la voix de Nicola Sirkis chante : J’ai demandé à la lune… Mon cauchemar ne pouvait pas être pire, voilà 2 ans qu'on s'est séparés et cette putain de chanson (notre chanson) ranime la douleur dans ma poitrine.
« Est-ce qu’un jour elle s’effacera ? » Je commence a désespérer, a me dire que je devrai la porter comme une marque au fer chaud en moi, je me retourne dans ce grand lit vide, je sens des petites pattes de chat s’approcher en ronronnant, un peu de réconfort avant de commencer la journée.
Je me lève, et comme une automate j’allume la télé qui couvre le silence ambiant, et vais me préparer mon petit déjeuner qui se résume en tout et pour tout en un verre de jus d’orange.
Je sors dehors pour fumer ma première cigarette de la journée, lève les yeux sur la grisaille parisienne « mon dieu mais qu’est ce que je fous a vivre dans cette ville où 10 mois de l’année on est en automne ? » J’ai envie de sentir le soleil caresser ma peau, du bruit des vagues… Fin de la cigarette, direction salle de bain pour affronter mon reflet dans la glace.« Aïe, c’est pas gagné » Une douche et c’est parti…
Aujourd’hui nouveau job : check des affaires préparées la veille « potables mais sans plus », je m’entraîne au sourire que je vais devoir faire toute la journée lorsqu’on va me présenter « pff, mon lit m’appelle, je pourrais faire croire a une crise de foie » non il faut que je me bouge.
Les transports en commun, « toujours aussi agréable », toujours un pervers pour vous mettre une main aux fesses ou se frotter contre vous en prétextant qu’il n’a pas le choix, qu’on le pousse…
Note pour plus tard : "il faut vraiment que je me casse de cette ville et de tous ces barges". Pour tant c’est ma ville, j’y suis née et y ai grandie, premiers flirts à Montparnasse, première découverte du désir à Montmartre, première fois Porte de Versailles, Première rupture aux Invalides…
Consultante....
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Invité
Re: Consultante....
9h : Mon commercial, Julien, m’attend déjà devant le bâtiment, avec ce sourire qui m’exaspère sur ses lèvres. Je m’approche de lui mais je n’aime pas commencer une nouvelle mission, cette 1ère semaine où tu n’as rien à faire, personnes te parle ou au contraire tu es harcelée de questions et où tu dois être agréable avec tout le monde.
Ju : « Putain tu pourrais faire un effort et sourire Marine, merde, t’as vu la gueule que tu tires »
Ah la vache, je déteste quand il me fait ce genre de réflexion « t’as qu’a m’augmenter et je sourirais, connard », sérieux et pourquoi il est là lui, c’est moi qui me suis trouvé cette mission, j’ai l’impression d’être à la rentrée des classes avec mon père.
Moi : « moi aussi ça me fait plaisir de te voir, Ju, tu sais que j’ai du mal le matin, et comme ça, c’est bon ? » lui réponds-je en lui faisant le sourire commerciale
Ju : « Parfait mais n’en fait pas trop quand même, tu sais ce client… »
Moi : « Commences pas, je te rappelle que c’est moi qui me suit trouvé cette mission, et que c’est parce que je me casse le cul chez ce client depuis 5 ans, qu’aujourd’hui on est ici. »
Ju : « Oui je sais mais bon tu pourrais faire un effort, tu… »
Moi : « Toi aussi, n’oublies pas de me verser ma prime cette fois dans les temps… je finis ma clope et on y va ! »
Il a réussi à m’énerver, j’étais déjà pas motivée, mais là c’est le pompon. On se dirige vers l’accueil, Ju demande à l’hôtesse d’appeler son client…
L’hôtesse : « Désolée mais il ne répond pas, je vous propose de patienter, jusqu'à se que j’arrive a le joindre » nous dit elle d’une voix nasillarde.
Ju : « Bon bah on va s’assoir en attendant qu’il soit disponible. »
« Non on a qu’a aller se faire golf, un 9 trou par exemple » mais qu’il est con, il faut absolument que j’appelle le patron pour qu’il me change de commercial, il est hors de questions que se soit ce gringalet tout juste sorti des jupes de sa mère qui me gère.
Moi : « Laisses-moi faire... »
Je dégaine mon portable, j’essaie un premier numéro, répondeur, un deuxième, tiens ça sonne
Alex : « Eh Marine, t’es où, là ? En bas ? Bouges pas j’arrive »
Moi : « C’est bon Ju, on vient nous chercher », en lui jetant un regard dédaigneux, il va falloir qu’il apprenne que je suis ici chez moi, nouvelle mission certes, mais cette société est mon client depuis 5 ans.
Alexandre arrive, toujours aussi impeccable, j’avais oublié qu’il était aussi beau : tailleur sur mesure, 1m80 pour 75 kilos,32 ans, baraqué, châtain et un regard bleu azur à se noyer dedans, un frisson me parcoure quand son regard rencontre le mien.
Avec Alexandre on a travaillé il y a 2 ans ensemble, un lourd projet informatique qui nous faisait faire des horaires de folies. Il n’était pas rare qu’on se retrouve tard le soir en tête à tête dans le bureau, et un soir, une bouteille de vin aidant, on s’était embrassés, mais ce n’était jamais aller plus loin. Je venais de me faire larguer et même si ce baiser était agréable, l’idée de coucher avec quelqu’un m’était tout bonnement insupportable, par contre maintenant…
Ju : « Putain tu pourrais faire un effort et sourire Marine, merde, t’as vu la gueule que tu tires »
Ah la vache, je déteste quand il me fait ce genre de réflexion « t’as qu’a m’augmenter et je sourirais, connard », sérieux et pourquoi il est là lui, c’est moi qui me suis trouvé cette mission, j’ai l’impression d’être à la rentrée des classes avec mon père.
Moi : « moi aussi ça me fait plaisir de te voir, Ju, tu sais que j’ai du mal le matin, et comme ça, c’est bon ? » lui réponds-je en lui faisant le sourire commerciale
Ju : « Parfait mais n’en fait pas trop quand même, tu sais ce client… »
Moi : « Commences pas, je te rappelle que c’est moi qui me suit trouvé cette mission, et que c’est parce que je me casse le cul chez ce client depuis 5 ans, qu’aujourd’hui on est ici. »
Ju : « Oui je sais mais bon tu pourrais faire un effort, tu… »
Moi : « Toi aussi, n’oublies pas de me verser ma prime cette fois dans les temps… je finis ma clope et on y va ! »
Il a réussi à m’énerver, j’étais déjà pas motivée, mais là c’est le pompon. On se dirige vers l’accueil, Ju demande à l’hôtesse d’appeler son client…
L’hôtesse : « Désolée mais il ne répond pas, je vous propose de patienter, jusqu'à se que j’arrive a le joindre » nous dit elle d’une voix nasillarde.
Ju : « Bon bah on va s’assoir en attendant qu’il soit disponible. »
« Non on a qu’a aller se faire golf, un 9 trou par exemple » mais qu’il est con, il faut absolument que j’appelle le patron pour qu’il me change de commercial, il est hors de questions que se soit ce gringalet tout juste sorti des jupes de sa mère qui me gère.
Moi : « Laisses-moi faire... »
Je dégaine mon portable, j’essaie un premier numéro, répondeur, un deuxième, tiens ça sonne
Alex : « Eh Marine, t’es où, là ? En bas ? Bouges pas j’arrive »
Moi : « C’est bon Ju, on vient nous chercher », en lui jetant un regard dédaigneux, il va falloir qu’il apprenne que je suis ici chez moi, nouvelle mission certes, mais cette société est mon client depuis 5 ans.
Alexandre arrive, toujours aussi impeccable, j’avais oublié qu’il était aussi beau : tailleur sur mesure, 1m80 pour 75 kilos,32 ans, baraqué, châtain et un regard bleu azur à se noyer dedans, un frisson me parcoure quand son regard rencontre le mien.
Avec Alexandre on a travaillé il y a 2 ans ensemble, un lourd projet informatique qui nous faisait faire des horaires de folies. Il n’était pas rare qu’on se retrouve tard le soir en tête à tête dans le bureau, et un soir, une bouteille de vin aidant, on s’était embrassés, mais ce n’était jamais aller plus loin. Je venais de me faire larguer et même si ce baiser était agréable, l’idée de coucher avec quelqu’un m’était tout bonnement insupportable, par contre maintenant…
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DeLsEp9
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Supprimé
Re: Consultante....
Pour toi toujours tu le sais très bien.... Humm à tes genoux ? peut-être pas encore...je reste sur le canapéJak67 a écrit :
Il y a de la place sur le canapé?
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Invité
Re: Consultante....
Je lui souris, naturellement pour une fois, il s’approche de moi et me claque chaleureusement la bise.
Alex : « Ouah, ça fait plaisir de te voir, toujours la même, alors tu attaques ici ? Alors c’est vraiment toi ma nouvelle assistante sur le projet ? »
Moi : « Quoi ? se sera toi mon client et mon chef de projet ? Arrêtes tu me fais marcher… »
Alex : « Et oui, je te rassure, je ne le sais que depuis hier, quand j’ai vu ton nom, je voulais t’appeler hier soir mais je n’ai pas eu le temps, on va de nouveau travailler ensemble, sauf que maintenant je suis ton client et ton chef de projet… »
Moi : « C’est super ça… »
Alex : « On est reparti comme en 40 alors ? Et puis tu vas voir, l’équipe est super, ils sont jeunes, ils en veulent, bon il va falloir que tu t’imposes mais je sais que tu y arriveras sans soucis », me dit-il en me faisant un clin d’œil
Moi : « Tu sais que j’aime ça maté du petit jeune. »
On part alors dans un éclat de rire, « depuis combien de temps, n’ai-je pas rigolé ainsi ? » Bien trop longtemps.
Finalement ma mauvaise humeur vient de s’effacer comme par enchantement, je me sens même soulager d’un poids.
Je me retourne vers mon commercial et le congédie, j’ai 30 ans, ça fait 10 ans que je travaille, je n’ai pas besoin qu’il m’accompagne ou me présente. Alexandre étant mon client, je saurais m’en sortir. Il essaye tout de même d’insister mais je lui dis que je passe à la boite ce soir « il peut toujours se gratter » et que je lui ferai un débriefing.
Alexandre me précède, me fait monter dans l’ascenseur, me dit qu’il me trouve toujours aussi « en forme », en me faisant un clin d’œil, je lui réponds que mes seins le remercient. Je fais un 95B, et je suis petite 1m55, se qui donne l’impression que j’ai des seins énormes.
J’ai toujours aimé mes seins et les mets toujours en valeur, un beau décolleté peut être d’une force de persuasion non négligeable dans certaines situations… d’ailleurs mes potes ont pour la plupart mon décolleté en photo sur leur téléphone quand je les appelle. C’est Alexandre qui avait lancé la mode à l’époque, il voulait me prendre en photo, j’avais refusé (ne me supportant en photo) et lui avait répondu : « tu n’as qu’a prendre mon décolleté ».
Tout en reparlant du bon vieux temps, on traverse les couloirs, austères, de mon nouveau lieu de travail.
Il me présente à l’assistante de direction qui me remet mon badge et mon PC, à son patron qui ne m’a pas regarder dans les yeux et a 2/3 de ces collègues.
Puis il m’amène jusqu'à un open-space d’une dizaine de personnes, tout au fond du bâtiment, immédiatement je reconnais Abdel, un ancien du projet d’il y a 2 ans.
Abdel : « Non mais dites-moi que je rêve, ma princesse ici ? Marine comment tu vas ma belle ? »
Moi : « Abdel mon chéri, mais ça va bien, et toi ? Ta femme ? Les enfants ? »
Abdel : « ça va, ça va la famille, le 3ème est en route. Et toi les amours ? Me dis pas qu’un homme a volé ton cœur sans me demandé la permission, hein ? »
Moi : « et non, toujours célibataire »
Alexandre : « quoi ? Tu déconnes ? Faut que tu me racontes ça. Tu fais quoi ce soir ? Ça te dit un petit verre, comme au bon vieux temps ? »
Moi : « ok pas de soucis »
Alexandre continues à me présenter le reste de l’équipe, il y a :
- Angelo : italien, petit accent craquant, 25 ans, mat, brun les yeux noirs, célibataire mais que je pense gay, « il faudra que je pose la question à Alex »
- Maxime : châtain clair presque blond, des yeux d’un vert intense, 28 ans, marié au vu de son alliance, dommage…
- Emmy : 30 ans, style working-girl , maitresse femme, châtain, les yeux marrons et un sourire éclatant, je sens immédiatement qu’on va bien s’entendre toutes les 2.
- Sabine : jolie black de 22 ans, premier job, toute timide
- Alan : brun, les yeux bleus, marié, 3 enfants à la vue de la photo trônant sur son bureau, la quarantaine bien avancée
- Et Jérôme : 34 ans, brun, les yeux marrons, un regard de braise, mon cœur a eu un loupé lorsqu’il a levé les yeux sur moi et m'a tendu la main pour me saluer.
Alexandre annonce la pause café et c’est tous ensemble que nous nous dirigeons vers le lieu incontournable de toute entreprise qui se respecte : la machine a café.
La journée se passe, réunion d’équipe, histoire de mettre en place le rôle de chacun, les enjeux du projet, autant dire que se n’est pas le travail qui va manquer « ça tombe bien je suis d’une efficacité redoutable sous la pression ».
Et aux vues des restrictions budgétaires pas question d’agrandir l’équipe avant les 6 prochains mois. Je sens que les sandwichs et les nocturnes au bureau vont être de mises si on veut y arriver dans le temps imparti.
19h : Alexandre débarque dans l’open-space et me demande où j’en suis, je lui réponds :
Moi : « bientôt finies pour une première journée c’est déjà pas mal, et toi ? »
Alexandre : « oui moi aussi, un dernier coup de fil a passer et je suis à toi »
Moi : « ok j’éteins mon poste et passe te prendre dans ton bureau ? »
Alexandre : « ça me va bien »
Une fois mon poste éteint je me dirige vers le bureau d’Alexandre, sa porte est ouverte, j’entends sa conversation : "… mais oui bébé, tu n’as rien a craindre, c’est juste une amie, tu sais bien que c’est avec toi que je suis… arrêtes… mais non tu te fais des films…" il m’aperçoit et me fais signes de rentrer et de fermer la porte.
Une fois dans son bureau je m’installe et l’attends, essayant au minimum d’écouter sa conversation téléphonique, mais c’est tellement drôle.
Lui qui était le tombeur de ses dames, il y a encore 2 ans, l’imaginer en couple « ah la blague », je souris et essayes d’imaginer comment elle peut être : grande, brune, il a toujours adoré, certainement les cheveux longs, une bouche pulpeuse…
"bébé puisque je te dis que je ne rentrerai pas tard… mais non… tu te fais des films… tu veux que je te la passes au téléphone…"
Je lui fais des grands signes que non, se n’est franchement pas une bonne idée.
J’en sais quelque chose, mon ex m’a trompé avec une de ces collègues, qui était même devenue une amie par la suite, et plus d’une fois je l’ai eu au téléphone et elle se chargeait de me confirmer qu’ils avaient un dossier 'urgent' à traiter le soir même, « franchement se que je peux être conne quand je veux »
"… mais oui je t’aime… mais oui il n’y a que toi… je t’embrasse…"
Il raccroche, me regarde et lâche : «putain, faut que je la quitte, j’en peux plus »
Alex : « Ouah, ça fait plaisir de te voir, toujours la même, alors tu attaques ici ? Alors c’est vraiment toi ma nouvelle assistante sur le projet ? »
Moi : « Quoi ? se sera toi mon client et mon chef de projet ? Arrêtes tu me fais marcher… »
Alex : « Et oui, je te rassure, je ne le sais que depuis hier, quand j’ai vu ton nom, je voulais t’appeler hier soir mais je n’ai pas eu le temps, on va de nouveau travailler ensemble, sauf que maintenant je suis ton client et ton chef de projet… »
Moi : « C’est super ça… »
Alex : « On est reparti comme en 40 alors ? Et puis tu vas voir, l’équipe est super, ils sont jeunes, ils en veulent, bon il va falloir que tu t’imposes mais je sais que tu y arriveras sans soucis », me dit-il en me faisant un clin d’œil
Moi : « Tu sais que j’aime ça maté du petit jeune. »
On part alors dans un éclat de rire, « depuis combien de temps, n’ai-je pas rigolé ainsi ? » Bien trop longtemps.
Finalement ma mauvaise humeur vient de s’effacer comme par enchantement, je me sens même soulager d’un poids.
Je me retourne vers mon commercial et le congédie, j’ai 30 ans, ça fait 10 ans que je travaille, je n’ai pas besoin qu’il m’accompagne ou me présente. Alexandre étant mon client, je saurais m’en sortir. Il essaye tout de même d’insister mais je lui dis que je passe à la boite ce soir « il peut toujours se gratter » et que je lui ferai un débriefing.
Alexandre me précède, me fait monter dans l’ascenseur, me dit qu’il me trouve toujours aussi « en forme », en me faisant un clin d’œil, je lui réponds que mes seins le remercient. Je fais un 95B, et je suis petite 1m55, se qui donne l’impression que j’ai des seins énormes.
J’ai toujours aimé mes seins et les mets toujours en valeur, un beau décolleté peut être d’une force de persuasion non négligeable dans certaines situations… d’ailleurs mes potes ont pour la plupart mon décolleté en photo sur leur téléphone quand je les appelle. C’est Alexandre qui avait lancé la mode à l’époque, il voulait me prendre en photo, j’avais refusé (ne me supportant en photo) et lui avait répondu : « tu n’as qu’a prendre mon décolleté ».
Tout en reparlant du bon vieux temps, on traverse les couloirs, austères, de mon nouveau lieu de travail.
Il me présente à l’assistante de direction qui me remet mon badge et mon PC, à son patron qui ne m’a pas regarder dans les yeux et a 2/3 de ces collègues.
Puis il m’amène jusqu'à un open-space d’une dizaine de personnes, tout au fond du bâtiment, immédiatement je reconnais Abdel, un ancien du projet d’il y a 2 ans.
Abdel : « Non mais dites-moi que je rêve, ma princesse ici ? Marine comment tu vas ma belle ? »
Moi : « Abdel mon chéri, mais ça va bien, et toi ? Ta femme ? Les enfants ? »
Abdel : « ça va, ça va la famille, le 3ème est en route. Et toi les amours ? Me dis pas qu’un homme a volé ton cœur sans me demandé la permission, hein ? »
Moi : « et non, toujours célibataire »
Alexandre : « quoi ? Tu déconnes ? Faut que tu me racontes ça. Tu fais quoi ce soir ? Ça te dit un petit verre, comme au bon vieux temps ? »
Moi : « ok pas de soucis »
Alexandre continues à me présenter le reste de l’équipe, il y a :
- Angelo : italien, petit accent craquant, 25 ans, mat, brun les yeux noirs, célibataire mais que je pense gay, « il faudra que je pose la question à Alex »
- Maxime : châtain clair presque blond, des yeux d’un vert intense, 28 ans, marié au vu de son alliance, dommage…
- Emmy : 30 ans, style working-girl , maitresse femme, châtain, les yeux marrons et un sourire éclatant, je sens immédiatement qu’on va bien s’entendre toutes les 2.
- Sabine : jolie black de 22 ans, premier job, toute timide
- Alan : brun, les yeux bleus, marié, 3 enfants à la vue de la photo trônant sur son bureau, la quarantaine bien avancée
- Et Jérôme : 34 ans, brun, les yeux marrons, un regard de braise, mon cœur a eu un loupé lorsqu’il a levé les yeux sur moi et m'a tendu la main pour me saluer.
Alexandre annonce la pause café et c’est tous ensemble que nous nous dirigeons vers le lieu incontournable de toute entreprise qui se respecte : la machine a café.
La journée se passe, réunion d’équipe, histoire de mettre en place le rôle de chacun, les enjeux du projet, autant dire que se n’est pas le travail qui va manquer « ça tombe bien je suis d’une efficacité redoutable sous la pression ».
Et aux vues des restrictions budgétaires pas question d’agrandir l’équipe avant les 6 prochains mois. Je sens que les sandwichs et les nocturnes au bureau vont être de mises si on veut y arriver dans le temps imparti.
19h : Alexandre débarque dans l’open-space et me demande où j’en suis, je lui réponds :
Moi : « bientôt finies pour une première journée c’est déjà pas mal, et toi ? »
Alexandre : « oui moi aussi, un dernier coup de fil a passer et je suis à toi »
Moi : « ok j’éteins mon poste et passe te prendre dans ton bureau ? »
Alexandre : « ça me va bien »
Une fois mon poste éteint je me dirige vers le bureau d’Alexandre, sa porte est ouverte, j’entends sa conversation : "… mais oui bébé, tu n’as rien a craindre, c’est juste une amie, tu sais bien que c’est avec toi que je suis… arrêtes… mais non tu te fais des films…" il m’aperçoit et me fais signes de rentrer et de fermer la porte.
Une fois dans son bureau je m’installe et l’attends, essayant au minimum d’écouter sa conversation téléphonique, mais c’est tellement drôle.
Lui qui était le tombeur de ses dames, il y a encore 2 ans, l’imaginer en couple « ah la blague », je souris et essayes d’imaginer comment elle peut être : grande, brune, il a toujours adoré, certainement les cheveux longs, une bouche pulpeuse…
"bébé puisque je te dis que je ne rentrerai pas tard… mais non… tu te fais des films… tu veux que je te la passes au téléphone…"
Je lui fais des grands signes que non, se n’est franchement pas une bonne idée.
J’en sais quelque chose, mon ex m’a trompé avec une de ces collègues, qui était même devenue une amie par la suite, et plus d’une fois je l’ai eu au téléphone et elle se chargeait de me confirmer qu’ils avaient un dossier 'urgent' à traiter le soir même, « franchement se que je peux être conne quand je veux »
"… mais oui je t’aime… mais oui il n’y a que toi… je t’embrasse…"
Il raccroche, me regarde et lâche : «putain, faut que je la quitte, j’en peux plus »
Dernière modification par Invité le 06 juin 2011, 11:16, modifié 1 fois.
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Invité
Re: Consultante....
J’éclate de rire, lui aussi, il prend ses affaires et c’est en parlant de son couple qu’on se dirige vers le café du coin. Il commande une pinte de Leffe et je prends mon traditionnel verre de Pouilly.
Il l’a rencontré il y a un an, au cours d’une soirée chez des amis, contrairement a se que je pensais, elle est petite et blonde, elle s’appelle Caroline et a 27 ans. Ils habitent depuis 3 mois ensemble mais Caroline connaissant le passé de Dom Juan d’Alexandre ne peut s’empêcher de lui faire crise de jalousie, sur crise de jalousie.
Il m’avoue être attaché à elle, moins qu’au début, mais que ces crises a répétition ne font que l’éloigner et le fatigue. « Sa vie est devenu un enfer » comme il dit.
Il a failli l’a tromper, il y a 2 semaines avec une stagiaire lors d’un séminaire (seulement un baiser). Il me confie même que c’est lui qui a réclamer de prendre ce projet afin d’être le moins possible à la maison.
En amie, je lui dit que si il en est arrivé a s’enfermer dans le travail pour éviter d’être chez lui, c’est que le point de non retour est atteint ; il faut qu’il la quitte et plus il repoussera l’échéance plus se sera dure pour elle et pour lui. Il me dit que j’ai raison et que de toute façon il y songe plus que sérieusement...
Alex : « Et toi alors ? Toujours célibataire ? »
Moi : « Et oui, toujours célib, boulot, boulot, boulot »
Alex : « Et en 2 ans, rien du tout ? Ce n’est pas possible ! Au moins pour l’hygiène ? »
Moi : « Non, enfin si un soir mais avec le frère d’une ancienne collègue, on était saoul, soirée très arrosée, les fiançailles de ma collègue. Je me suis réveillée le lendemain en me souvenant de rien, uniquement cette certitude de l’avoir fait, c’était y’a 4 mois… »
Alex : « oh putain je le crois pas, c’est pas possible, sérieux 2 ans sans rien faire, parce qu’on le compte pas l’autre... là... le frère de ta collègue, non t’es entrain de nous péter un record ? S'il vous plait la même...»
Moi : « Alex, est il nécessaire que je te rappelle comment c’est fini ma dernière relation ? Franchement j’ai juste mis plus de temps pour m’en remettre que je ne le pensais, et reprendre le contrôle de ma vie, mais maintenant ça va mieux et je me sens plus que jamais prête. »
Alex : « T’en est sûre ?»
Moi : « La blessure sera toujours là en moi, certaine chansons me sont insupportables a entendre, ou lieu où me balader, mais je commence à regarder les hommes alors ça va mieux, d’ailleurs le Jérôme… »
Alex : « Ouh la ma belle, tout doux avec Jérôme, il est comment dire spécial… Sérieux je n’ai jamais vu quelqu’un comme ça, un aimant à gonzesse, pire que moi à l’époque, elles sont toutes folles de Jérôme au boulot… Et je crois que son truc c’est la domination… »
Moi : « Intéressant… j’ai jamais essayé et je t’avoue que je ne compte pas me remettre en couple, alors il faudrait tester, je ne veux pas mourir idiote… Et puis ça me changera du bureau où je dois m’imposer toute la journée, pour ne pas me faire bouffer, me laisser aller dans les bras d’un homme, un maître… et Angelo, gay ? »
Alex : « Ange ? et oui Marine, et tu verrais son copain, franchement je suis pas gay mais il a un style et il est plutôt beau gosse... D’ailleurs maintenant que c’est moi ton chef, je compte bien a se que tu répondes a mes moindres désirs… »
Moi : « Mais bien sûre, tu sais que la satisfaction clientèle est ma spécialité…, sinon comment je ferai pour tourner en tant que consultante depuis 5 ans chez le même client… » lui répondis-je avec une voix chaude et sensuelle.
Alex (en éclatant de rire) : « t’es super, se que tu m’as manqué… Et si je te demande de m’appeler Patron ou Monsieur tu le fais ? »
Moi : « rêves pas trop non plus !!! Je ne vais pas non plus me mettre de jupe, tu sais que je déteste ça, et je ne passerai pas sous le bureau, il faut arrêter avec le mythe de l’assistante cochonne »
Alex : « Plus sérieusement, jamais tu n’as couché avec un client ? Même pas une petite pipe ? Rien ? »
Moi : « non ! J’ai eu des propositions, disons des suggestions, mais non rien… »
Nous continuons à nous raconter nos vies, je rentre chez moi un peu saoule, mais ravie de la soirée que je viens de passer ; mon abruti de commercial m’a laissé 4 messages, que je m'empresse d’effacer, je lui dirai que j’étais en soirée clientèle, en même temps je ne mens qu’a moitié, d’ailleurs j’aurai du faire passer la note, en frais, « je suis vraiment la reine des connes des fois ».
Je me couche en repensant à Jérôme puis Alexandre et me surprends à sentir mon entre jambe légèrement humide, ma main droite s'aventure sur mon sexe et mon bouton déjà gonflé.
J’adore d’avance ce projet.
Il l’a rencontré il y a un an, au cours d’une soirée chez des amis, contrairement a se que je pensais, elle est petite et blonde, elle s’appelle Caroline et a 27 ans. Ils habitent depuis 3 mois ensemble mais Caroline connaissant le passé de Dom Juan d’Alexandre ne peut s’empêcher de lui faire crise de jalousie, sur crise de jalousie.
Il m’avoue être attaché à elle, moins qu’au début, mais que ces crises a répétition ne font que l’éloigner et le fatigue. « Sa vie est devenu un enfer » comme il dit.
Il a failli l’a tromper, il y a 2 semaines avec une stagiaire lors d’un séminaire (seulement un baiser). Il me confie même que c’est lui qui a réclamer de prendre ce projet afin d’être le moins possible à la maison.
En amie, je lui dit que si il en est arrivé a s’enfermer dans le travail pour éviter d’être chez lui, c’est que le point de non retour est atteint ; il faut qu’il la quitte et plus il repoussera l’échéance plus se sera dure pour elle et pour lui. Il me dit que j’ai raison et que de toute façon il y songe plus que sérieusement...
Alex : « Et toi alors ? Toujours célibataire ? »
Moi : « Et oui, toujours célib, boulot, boulot, boulot »
Alex : « Et en 2 ans, rien du tout ? Ce n’est pas possible ! Au moins pour l’hygiène ? »
Moi : « Non, enfin si un soir mais avec le frère d’une ancienne collègue, on était saoul, soirée très arrosée, les fiançailles de ma collègue. Je me suis réveillée le lendemain en me souvenant de rien, uniquement cette certitude de l’avoir fait, c’était y’a 4 mois… »
Alex : « oh putain je le crois pas, c’est pas possible, sérieux 2 ans sans rien faire, parce qu’on le compte pas l’autre... là... le frère de ta collègue, non t’es entrain de nous péter un record ? S'il vous plait la même...»
Moi : « Alex, est il nécessaire que je te rappelle comment c’est fini ma dernière relation ? Franchement j’ai juste mis plus de temps pour m’en remettre que je ne le pensais, et reprendre le contrôle de ma vie, mais maintenant ça va mieux et je me sens plus que jamais prête. »
Alex : « T’en est sûre ?»
Moi : « La blessure sera toujours là en moi, certaine chansons me sont insupportables a entendre, ou lieu où me balader, mais je commence à regarder les hommes alors ça va mieux, d’ailleurs le Jérôme… »
Alex : « Ouh la ma belle, tout doux avec Jérôme, il est comment dire spécial… Sérieux je n’ai jamais vu quelqu’un comme ça, un aimant à gonzesse, pire que moi à l’époque, elles sont toutes folles de Jérôme au boulot… Et je crois que son truc c’est la domination… »
Moi : « Intéressant… j’ai jamais essayé et je t’avoue que je ne compte pas me remettre en couple, alors il faudrait tester, je ne veux pas mourir idiote… Et puis ça me changera du bureau où je dois m’imposer toute la journée, pour ne pas me faire bouffer, me laisser aller dans les bras d’un homme, un maître… et Angelo, gay ? »
Alex : « Ange ? et oui Marine, et tu verrais son copain, franchement je suis pas gay mais il a un style et il est plutôt beau gosse... D’ailleurs maintenant que c’est moi ton chef, je compte bien a se que tu répondes a mes moindres désirs… »
Moi : « Mais bien sûre, tu sais que la satisfaction clientèle est ma spécialité…, sinon comment je ferai pour tourner en tant que consultante depuis 5 ans chez le même client… » lui répondis-je avec une voix chaude et sensuelle.
Alex (en éclatant de rire) : « t’es super, se que tu m’as manqué… Et si je te demande de m’appeler Patron ou Monsieur tu le fais ? »
Moi : « rêves pas trop non plus !!! Je ne vais pas non plus me mettre de jupe, tu sais que je déteste ça, et je ne passerai pas sous le bureau, il faut arrêter avec le mythe de l’assistante cochonne »
Alex : « Plus sérieusement, jamais tu n’as couché avec un client ? Même pas une petite pipe ? Rien ? »
Moi : « non ! J’ai eu des propositions, disons des suggestions, mais non rien… »
Nous continuons à nous raconter nos vies, je rentre chez moi un peu saoule, mais ravie de la soirée que je viens de passer ; mon abruti de commercial m’a laissé 4 messages, que je m'empresse d’effacer, je lui dirai que j’étais en soirée clientèle, en même temps je ne mens qu’a moitié, d’ailleurs j’aurai du faire passer la note, en frais, « je suis vraiment la reine des connes des fois ».
Je me couche en repensant à Jérôme puis Alexandre et me surprends à sentir mon entre jambe légèrement humide, ma main droite s'aventure sur mon sexe et mon bouton déjà gonflé.
J’adore d’avance ce projet.
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Invité
Re: Consultante....
Le lendemain, réveille avec Aerosmith - I Don't Wanna Miss a Thing, une bonne journée s’annonce, j'adore cette chanson.
Lorsque j’arrive tout le monde est déjà en pause café, Alexandre a la tête des mauvais jours, je lui demande si tout c’est bien passé quand il est rentré il me répond que non, son retour à la maison avait été un enfer et qu’il avait rompu.
Moi : « Tu veux en parler ? »,
Alex : « Non j’ai juste envie d’une beuverie pour fêter ça dans mon ancien appart, heureusement que je ne l’avais pas lâché et juste sous loué a mon cousin, t’es des nôtres ? ».
Je lui réponds que je suis désolée mais je suis déjà prise ce soir ‘’soirée filles’’, se qui laisse perplexe les autres, mais rire Alexandre.
Je lui promets de payer ma tournée de paracétamol demain matin, je sais que comme moi il ne va pas sucer des glaçons ce soir, il me dit que ça marche et qu’il compte sur moi… Maxime se retourne vers moi et me pose la question :
Maxime : et c’est quoi une soirée fille ?
Moi : champagne, manucure, pédicure, et papotage entre filles, rien de très exaltant pour un mec, mais un incontournable pour les femmes
Maxime : et vous faites ça dans un hammam ou un truc comme ça ?
Moi : Non chez une amie, chacune apporte une bouteille de champagne, c’est le droit d’entrée en quelque sorte, on se commande des sushis, et on parle de tout et de rien, le bonheur quoi…
Maxime : Si tu le dis…
Emmy qui était alors resté a l’écart, s’introduit dans la conversation :
Emmy : « je confirme, c’est comme vos soirée, bière foot ou playstation entre mecs, le champagne et la manucure en plus »
Moi : « toi aussi tu fais ça, soirée fille avec des copines ? »
Emmy : « oui et je ne saurais pas m’en passer » me répond elle avec un clin d’œil
On se regarde toute les deux et éclatons de rire. La dessus nous retournons travailler.
Du coin de l’œil je regarde mes nouveaux collègues, Jérôme a quelque chose d’intrigant, il doit sentir mon regard puisqu’il lève les yeux vers moi, mais je passe directement a quelqu’un d’autre. Emmy, juste en face de lui, elle a vraiment l’air adorable, du peu que je sais d’elle on a la même vision de la vie…
Alan et Maxime ne sont pas d’accord sur la façon de procéder, mais sont très studieux, tandis que Sabine est très concentrée et essayant de faire abstraction d’Abdel qui a tendance a parler « fort » quand il est au téléphone.
J’ai vraiment de la chance avec cette équipe.
Les semaines se passent, déjà 3 mois se sont écoulés et le rythme de travail est vraiment intense.
On est en réunion de crise depuis 2 jours, bref la tension est palpable de tous. Alexandre me charge de commander des sandwichs pour toute l’équipe : pas le temps de manger aujourd’hui encore, il faut qu’on règle ce problème avant ce soir.
Vendredi soir, 19h30 : ça y est, on vient d’avoir le Go de la Direction, Alexandre est soulagé et propose d’aller boire un verre pour fêter ça.
Alan, Abdel, Maxime et Sabine refusent car ils ont déjà quelque chose de prévus ou sont épuisés après les 2 jours que nous venons de passer.
Nous voici donc partis en direction d’un restaurant club au centre de Paris, Alex, Jérôme, Angelo, Emmy et moi.
La bouffe est potable et l’alcool coule à flot, après tout c’est le week-end et on le mérite après les 2 jours de pressions… Les langues se délient et comme souvent dans cette situation, le sexe et nos expériences personnelles deviennent le principal sujet de discussion.
J’apprends ainsi qu’Emmy est en couple depuis quelques mois mais qu’elle se revendique bi, d’ailleurs avant son mec actuel, elle a vécu 2 ans avec une femme.
Jérôme nous explique sa vision des relations sexuelles, il se dit libertin et dominant : « une fessée bien donnée peut amener a une jouissance aussi forte que lors de la pénétration » tout un programme mais j’avoue que je n’y suis pas insensible, je sens même ma culotte s’humidifier quelque peu.
Angel nous apprend qu’il est avec son copain depuis 3 ans maintenant et que c’est l’amour fou et Alex qu’il revit depuis qu’il est célibataire, son appartement ayant repris sa fonction première de garçonnière…
Quant a moi, je leur explique que je me suis séparé, qu’il m’a fallu du temps mais que je suis ouverte a toute proposition tout en regardant intensément Jérôme.
Nous dansons, enfin surtout moi et Emmy, qui a un peu trop bu et très décontractée... Elle a nouer sa chemise au dessu de son nombril, se qui est très sexy.
Nous sommes coller l’une à l’autre, nos bassins bougent à l’unisson, nos mains parcourent nos corps, on a décider de chauffer les garçons pour s’amuser un peu.
J’aime embrasser les femmes, je trouve que les femmes donnent leur baiser avec une tendresse infinie et quoi de plus sensuel dans la vie.
Je décide donc de déposer un baiser dans la nuque d’Emmy qui est dos à moi, puis dans son cou, elle relâche sa tête contre mon épaule, ses mains attrapent mes fesses et les caresse, les miennes s’emparent de ces hanches et de son ventre.
Sa peau est très douce. Je continue de la lécher et de l’embrasser dans le cou tout en remontant vers le lobe de l'oreille, sans oublier de regarder Alexandre et Jérôme dans les yeux.
Alexandre réagit comme je le souhaitais à la vue de la bosse déformant son pantalon « hmmm intéressant ! », Jérôme lui semble s’en foutre éperdument.
Mes mains parcourent le corps d’Emmy, notre danse se fait plus lascive…, dans la salle on entend beaucoup d’hommes réagir à notre danse, se qui nous amène a donner le meilleure de nous même. J’aime ce contact, nos peaux l’une contre l’autre bouillantes, le cerveau embrumé par l’alcool et la fatigue, la musique - Love Sex Magic, Ciara - se finie, Emmy se retourne face à moi, et m’embrasse tendrement, sa langue vient caresser la mienne, j’avais oublié combien un baiser peut être délicieux. Puis elle me fait un clin d’œil et part vers les toilettes…
Lorsque j’arrive tout le monde est déjà en pause café, Alexandre a la tête des mauvais jours, je lui demande si tout c’est bien passé quand il est rentré il me répond que non, son retour à la maison avait été un enfer et qu’il avait rompu.
Moi : « Tu veux en parler ? »,
Alex : « Non j’ai juste envie d’une beuverie pour fêter ça dans mon ancien appart, heureusement que je ne l’avais pas lâché et juste sous loué a mon cousin, t’es des nôtres ? ».
Je lui réponds que je suis désolée mais je suis déjà prise ce soir ‘’soirée filles’’, se qui laisse perplexe les autres, mais rire Alexandre.
Je lui promets de payer ma tournée de paracétamol demain matin, je sais que comme moi il ne va pas sucer des glaçons ce soir, il me dit que ça marche et qu’il compte sur moi… Maxime se retourne vers moi et me pose la question :
Maxime : et c’est quoi une soirée fille ?
Moi : champagne, manucure, pédicure, et papotage entre filles, rien de très exaltant pour un mec, mais un incontournable pour les femmes
Maxime : et vous faites ça dans un hammam ou un truc comme ça ?
Moi : Non chez une amie, chacune apporte une bouteille de champagne, c’est le droit d’entrée en quelque sorte, on se commande des sushis, et on parle de tout et de rien, le bonheur quoi…
Maxime : Si tu le dis…
Emmy qui était alors resté a l’écart, s’introduit dans la conversation :
Emmy : « je confirme, c’est comme vos soirée, bière foot ou playstation entre mecs, le champagne et la manucure en plus »
Moi : « toi aussi tu fais ça, soirée fille avec des copines ? »
Emmy : « oui et je ne saurais pas m’en passer » me répond elle avec un clin d’œil
On se regarde toute les deux et éclatons de rire. La dessus nous retournons travailler.
Du coin de l’œil je regarde mes nouveaux collègues, Jérôme a quelque chose d’intrigant, il doit sentir mon regard puisqu’il lève les yeux vers moi, mais je passe directement a quelqu’un d’autre. Emmy, juste en face de lui, elle a vraiment l’air adorable, du peu que je sais d’elle on a la même vision de la vie…
Alan et Maxime ne sont pas d’accord sur la façon de procéder, mais sont très studieux, tandis que Sabine est très concentrée et essayant de faire abstraction d’Abdel qui a tendance a parler « fort » quand il est au téléphone.
J’ai vraiment de la chance avec cette équipe.
Les semaines se passent, déjà 3 mois se sont écoulés et le rythme de travail est vraiment intense.
On est en réunion de crise depuis 2 jours, bref la tension est palpable de tous. Alexandre me charge de commander des sandwichs pour toute l’équipe : pas le temps de manger aujourd’hui encore, il faut qu’on règle ce problème avant ce soir.
Vendredi soir, 19h30 : ça y est, on vient d’avoir le Go de la Direction, Alexandre est soulagé et propose d’aller boire un verre pour fêter ça.
Alan, Abdel, Maxime et Sabine refusent car ils ont déjà quelque chose de prévus ou sont épuisés après les 2 jours que nous venons de passer.
Nous voici donc partis en direction d’un restaurant club au centre de Paris, Alex, Jérôme, Angelo, Emmy et moi.
La bouffe est potable et l’alcool coule à flot, après tout c’est le week-end et on le mérite après les 2 jours de pressions… Les langues se délient et comme souvent dans cette situation, le sexe et nos expériences personnelles deviennent le principal sujet de discussion.
J’apprends ainsi qu’Emmy est en couple depuis quelques mois mais qu’elle se revendique bi, d’ailleurs avant son mec actuel, elle a vécu 2 ans avec une femme.
Jérôme nous explique sa vision des relations sexuelles, il se dit libertin et dominant : « une fessée bien donnée peut amener a une jouissance aussi forte que lors de la pénétration » tout un programme mais j’avoue que je n’y suis pas insensible, je sens même ma culotte s’humidifier quelque peu.
Angel nous apprend qu’il est avec son copain depuis 3 ans maintenant et que c’est l’amour fou et Alex qu’il revit depuis qu’il est célibataire, son appartement ayant repris sa fonction première de garçonnière…
Quant a moi, je leur explique que je me suis séparé, qu’il m’a fallu du temps mais que je suis ouverte a toute proposition tout en regardant intensément Jérôme.
Nous dansons, enfin surtout moi et Emmy, qui a un peu trop bu et très décontractée... Elle a nouer sa chemise au dessu de son nombril, se qui est très sexy.
Nous sommes coller l’une à l’autre, nos bassins bougent à l’unisson, nos mains parcourent nos corps, on a décider de chauffer les garçons pour s’amuser un peu.
J’aime embrasser les femmes, je trouve que les femmes donnent leur baiser avec une tendresse infinie et quoi de plus sensuel dans la vie.
Je décide donc de déposer un baiser dans la nuque d’Emmy qui est dos à moi, puis dans son cou, elle relâche sa tête contre mon épaule, ses mains attrapent mes fesses et les caresse, les miennes s’emparent de ces hanches et de son ventre.
Sa peau est très douce. Je continue de la lécher et de l’embrasser dans le cou tout en remontant vers le lobe de l'oreille, sans oublier de regarder Alexandre et Jérôme dans les yeux.
Alexandre réagit comme je le souhaitais à la vue de la bosse déformant son pantalon « hmmm intéressant ! », Jérôme lui semble s’en foutre éperdument.
Mes mains parcourent le corps d’Emmy, notre danse se fait plus lascive…, dans la salle on entend beaucoup d’hommes réagir à notre danse, se qui nous amène a donner le meilleure de nous même. J’aime ce contact, nos peaux l’une contre l’autre bouillantes, le cerveau embrumé par l’alcool et la fatigue, la musique - Love Sex Magic, Ciara - se finie, Emmy se retourne face à moi, et m’embrasse tendrement, sa langue vient caresser la mienne, j’avais oublié combien un baiser peut être délicieux. Puis elle me fait un clin d’œil et part vers les toilettes…
Dernière modification par Invité le 07 juin 2011, 12:16, modifié 1 fois.
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Invité
Re: Consultante....
Je l’y rejoins, et la trouve entrain de m’attendre. Elle s’approche de moi, et m’embrasse de nouveau, nos langues se mêlent l’une à l’autre en un ballet sensuel entre nos lèvres. Elle quitte ma bouche pour m’embrasser dans le cou, ces mains empoignent mes seins et les caresses tendrement, les sous pèse, je sens une vague de chaleur s’emparer de mon corps. J’aime les, ses caresses...
Ses lèvres sur ma peau m’incendient littéralement, comment ai-je fait pour tenir si longtemps sans caresses ?, elle continue de descendre vers mes seins, parsemant ma peau de baisers. Elle caresse mes pointes de seins tendues à l’ extrême avec ses mains à travers mes vêtements, je pousse un soupir de plaisir, elle me regarde et me dit : « tu n’imagines pas combien j’ai envie de te faire l’amour là maintenant, mais je suis fidèle et fiancée, je dois donc m’arrêter là… ».
Je sens mon plaisir couler le long de mes cuisses, il y a bien longtemps que ma petite culotte ne fait plus barrière… Mon corps se tend comme un arc, mon cerveau est totalement anesthésié.
Elle crochète deux de ses doigts et s’en sert pour écarter mon chemisier et mon soutien gorge, les boutons de ma chemise saute comme télécommandés, dépose un baiser sur chacun de mes tétons et me ré-embrasse avant d’ajouter : « et Dieu sait qu’en plus j’aimerai sentir ta langue et son piercing jouer avec mon clitoris… ».
Je suis en feu si elle continue ainsi je vais jouir sous ses mots, jamais je n’ai ressentie ça. J’ai déjà fait l’amour avec une femme quand j’étais jeune, mais je n’en garde pas un souvenir aussi brûlant que ce soir…
Emmy : « est ce que je peux te demander quelque chose tout de même ? »
Moi : « tout… tout se que tu voudras ? » je n’arrive pas a réfléchir
Emmy : « j’aimerai te gouter ? je suis sûre que tu as une saveur délicieuse…»
Moi (abasourdie) : « je… euh… si tu me touche... a cet endroit, je… ,un gémissement incontrôlé s'échappe de ma gorge, comment dire… je pense que je vais jouir… »
Emmy : « encore mieux alors… », Me réponds t elle, un sourire coquin sur les lèvres et une étincelle traversant ces yeux.
Ses lèvres sur ma peau m’incendient littéralement, comment ai-je fait pour tenir si longtemps sans caresses ?, elle continue de descendre vers mes seins, parsemant ma peau de baisers. Elle caresse mes pointes de seins tendues à l’ extrême avec ses mains à travers mes vêtements, je pousse un soupir de plaisir, elle me regarde et me dit : « tu n’imagines pas combien j’ai envie de te faire l’amour là maintenant, mais je suis fidèle et fiancée, je dois donc m’arrêter là… ».
Je sens mon plaisir couler le long de mes cuisses, il y a bien longtemps que ma petite culotte ne fait plus barrière… Mon corps se tend comme un arc, mon cerveau est totalement anesthésié.
Elle crochète deux de ses doigts et s’en sert pour écarter mon chemisier et mon soutien gorge, les boutons de ma chemise saute comme télécommandés, dépose un baiser sur chacun de mes tétons et me ré-embrasse avant d’ajouter : « et Dieu sait qu’en plus j’aimerai sentir ta langue et son piercing jouer avec mon clitoris… ».
Je suis en feu si elle continue ainsi je vais jouir sous ses mots, jamais je n’ai ressentie ça. J’ai déjà fait l’amour avec une femme quand j’étais jeune, mais je n’en garde pas un souvenir aussi brûlant que ce soir…
Emmy : « est ce que je peux te demander quelque chose tout de même ? »
Moi : « tout… tout se que tu voudras ? » je n’arrive pas a réfléchir
Emmy : « j’aimerai te gouter ? je suis sûre que tu as une saveur délicieuse…»
Moi (abasourdie) : « je… euh… si tu me touche... a cet endroit, je… ,un gémissement incontrôlé s'échappe de ma gorge, comment dire… je pense que je vais jouir… »
Emmy : « encore mieux alors… », Me réponds t elle, un sourire coquin sur les lèvres et une étincelle traversant ces yeux.
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Invité
Re: Consultante....
D’une main elle dégrafe les quelques boutons de mon jean, et plonge sa main dans ma culotte, lorsqu’elle passe ses doigts sur mon bouton, j’explose, un gémissement se fait entendre, ce bruit vient du plus profond de mes entrailles, jamais je n’avais jouie ainsi, aussi vite… Je sens ses doigts recueillir ma cyprine, elle les porte a sa bouche, les lèches en me regardant droit dans les yeux et me dit dans le creux de l’oreille : « réellement divin… ». Un dernier baiser doux sur mes lèvres et elle sort.
Elle me plante là, le jean encore ouvert, je glisse le long du mur sur le sol, je suis exténuée, heureuse, j’ai encore du mal à réaliser se qu’il vient de se passer.
Au bout de 5 longues minutes, je me redresse, referme mon jean, me passe de l’eau sur le visage et sort, la tête haute, planant légèrement encore de cet orgasme donné par ma collègue et me dirige vers la table.
Là Alex m’attrape et me demande se qu’il s’est passé, je ne réponds pas, je préfère le laisser avec son imagination.
Il insiste et je lui souris et lui fait un clin d'oeil.
Emmy est de nouveau sur la piste de danse, je m’affale sur le canapé, me sert une coupe de champagne et la regarde danser, elle est vraiment belle…
3h du matin : la soirée se termine, je me dirige pour prendre le bus, les autres rentrant en taxi, lorsque je sens une présence, Jérôme est derrière moi et me propose de m’accompagner jusqu'à l’arrêt du bus. Un frisson me parcourt, avec se que je viens déjà de vivre ce soir, je me sens apaisée et électrique, tout mon corps est en alerte.
Je suis seule avec lui, nous discutons de choses et d’autres, j’en profite pour l’observer de plus près, Jérôme a vraiment quelque chose de mystérieux.
Il me demande une cigarette, s’approche de moi pour la prendre, et avant que je n’ai le temps de réaliser, je suis plaquée contre le mur dans la rue.
Elle me plante là, le jean encore ouvert, je glisse le long du mur sur le sol, je suis exténuée, heureuse, j’ai encore du mal à réaliser se qu’il vient de se passer.
Au bout de 5 longues minutes, je me redresse, referme mon jean, me passe de l’eau sur le visage et sort, la tête haute, planant légèrement encore de cet orgasme donné par ma collègue et me dirige vers la table.
Là Alex m’attrape et me demande se qu’il s’est passé, je ne réponds pas, je préfère le laisser avec son imagination.
Il insiste et je lui souris et lui fait un clin d'oeil.
Emmy est de nouveau sur la piste de danse, je m’affale sur le canapé, me sert une coupe de champagne et la regarde danser, elle est vraiment belle…
3h du matin : la soirée se termine, je me dirige pour prendre le bus, les autres rentrant en taxi, lorsque je sens une présence, Jérôme est derrière moi et me propose de m’accompagner jusqu'à l’arrêt du bus. Un frisson me parcourt, avec se que je viens déjà de vivre ce soir, je me sens apaisée et électrique, tout mon corps est en alerte.
Je suis seule avec lui, nous discutons de choses et d’autres, j’en profite pour l’observer de plus près, Jérôme a vraiment quelque chose de mystérieux.
Il me demande une cigarette, s’approche de moi pour la prendre, et avant que je n’ai le temps de réaliser, je suis plaquée contre le mur dans la rue.
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Invité
Re: Consultante....
Jérôme me susurre à l’oreille que je suis une sacrée coquine, j’essaie de m’écarter et de le repousser mais il me maintient plaqué contre le mur. Mon cœur s’accélère lorsque je sens son souffle dans mon cou.
« Que faire ? Se débattre ? » Ca ne sert à rien.
« Crier ? » J’ouvre la bouche mais aucun son n’en sort ?
« Me laisser faire ? Oui, c’est le mieux ». Jérôme me plait, et cette situation est très excitante.
Une de ses mains se pose sur mon sein gauche, commence à le malaxer, ma peau se fait granuleuse sous ses caresses. Je sens un frisson remonter le long de ma colonne.
Jérôme : alors comme ça on aime les filles ?
Moi : je… enfin non… euh… si… enfin je pense, je ne sais pas…
Jérôme : et tu as jouie sous les caresses d’Emmy, petite cochonne ?
Moi : pardon ? Mais je… comment tu viens de m’appeler ?
Jérôme : Cochonne ? Arrêtes je sais que ça te plait, il n’y a qu’a voir combien ta respiration vient de se faire plus courte à ce mot.
Il n’a pas tord, j’aime entendre ce genre de mot, ça a le don de décupler mon plaisir, mais pas comme ça, d’habitude j’attends d’être plus intime avec mon partenaire.
Il dégrafe mon chemisier et je reste sans réagir, je me laisse faire, Jérôme a une sorte de pouvoir sur moi, ses mains passent sur mes seins avant de se rejoindre au niveau de mon sillon mammaire, chacune de ses caresses m’électrisent. Sa langue parcourt mon cou, avant de remonter sur mon lobe. Une nouvelle décharge se fait ressentir lorsqu’il le mordille. Autant dire que ma petite culotte devient de plus en plus humide, décidément c’est ma fête ce soir.
Je suis troublée, je ne sais plus qui je suis, je me laisse porter par mon instinct primaire, c’est tellement bon. Puis il me regarde dans les yeux, approche ses lèvres des miennes, me sourit et m’embrasse. Je suis comme transporté, mes bras se crochètent autour de son cou, je me colle complètement à lui. Nos langues se caressent et s’entremêlent en un ballet divin.
Je me presse contre son corps, j’ai envie de lui, mais il stoppe notre étreinte et me dit.
Jérôme : « Emmy avait raison, t’es sacrément chaude »
Moi : « Quoi ? »
« Que faire ? Se débattre ? » Ca ne sert à rien.
« Crier ? » J’ouvre la bouche mais aucun son n’en sort ?
« Me laisser faire ? Oui, c’est le mieux ». Jérôme me plait, et cette situation est très excitante.
Une de ses mains se pose sur mon sein gauche, commence à le malaxer, ma peau se fait granuleuse sous ses caresses. Je sens un frisson remonter le long de ma colonne.
Jérôme : alors comme ça on aime les filles ?
Moi : je… enfin non… euh… si… enfin je pense, je ne sais pas…
Jérôme : et tu as jouie sous les caresses d’Emmy, petite cochonne ?
Moi : pardon ? Mais je… comment tu viens de m’appeler ?
Jérôme : Cochonne ? Arrêtes je sais que ça te plait, il n’y a qu’a voir combien ta respiration vient de se faire plus courte à ce mot.
Il n’a pas tord, j’aime entendre ce genre de mot, ça a le don de décupler mon plaisir, mais pas comme ça, d’habitude j’attends d’être plus intime avec mon partenaire.
Il dégrafe mon chemisier et je reste sans réagir, je me laisse faire, Jérôme a une sorte de pouvoir sur moi, ses mains passent sur mes seins avant de se rejoindre au niveau de mon sillon mammaire, chacune de ses caresses m’électrisent. Sa langue parcourt mon cou, avant de remonter sur mon lobe. Une nouvelle décharge se fait ressentir lorsqu’il le mordille. Autant dire que ma petite culotte devient de plus en plus humide, décidément c’est ma fête ce soir.
Je suis troublée, je ne sais plus qui je suis, je me laisse porter par mon instinct primaire, c’est tellement bon. Puis il me regarde dans les yeux, approche ses lèvres des miennes, me sourit et m’embrasse. Je suis comme transporté, mes bras se crochètent autour de son cou, je me colle complètement à lui. Nos langues se caressent et s’entremêlent en un ballet divin.
Je me presse contre son corps, j’ai envie de lui, mais il stoppe notre étreinte et me dit.
Jérôme : « Emmy avait raison, t’es sacrément chaude »
Moi : « Quoi ? »
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DeLsEp9
Re: Consultante....
J'adore le relire.
Toi chasse cette main, et concentre toi sur le texte,
tu va adorer
Yuna a écrit :vite la suite...
Toi chasse cette main, et concentre toi sur le texte,
tu va adorer
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Invité
Re: Consultante....
Moi aussi Jak, j'adore le relire en le repostant : c'est tellement.... fort de relire ça aujourd'hui
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Invité
Re: Consultante....
Yuna a écrit :J'en veux encore...
c'est pas keumeuça kon demande 
c'est vrai ça te plait
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Invité
Re: Consultante....
Alors pour faire plaisir au deux MDF : Yuna et Marie
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Jérôme : « oui on a discuté de toi, tout a l’heure avec Emmy et elle me disait qu’elle était sûre que tu étais une sacrée chaudasse, derrière tes airs… Que tu avais juste besoin et que quelqu’un rappelle à ton bon souvenir combien on peut prendre du plaisir avec son corps…»
Moi : « Pardon ? Vous avez discuté de ça avec Emmy, de moi ! Donc tout était planifié depuis le début ? »
Jérôme : « Non, enfin en partie, et ne me dit pas que tu n’as pas aimé quand elle t’a touché, elle m’a fait sentir ses doigts »
Je me sens à la fois honteuse et verte de rage, oui c’était bon, mais quand même, avoir été le jeu de ces deux là m’exaspère au plus au point. Et puis elle lui a fait sentir ses doigts parfumés de mon odeur, non franchement c’est…. C’est troublant, je m’étonne même a trouver ça plaisant, avoir été ainsi manipulée pendant une soirée.
Moi : « et toi tu ne pensais pas que je pouvais être chaude ? »
Jérôme : « je n’ai pas dit ça, juste qu’il faudrait qu’un maitre te fasse découvrir le plaisir qu’on peut donner et recevoir… et vu la facilité avec laquelle Emmy t’as caressé et moi déshabillé ainsi, je sur certain que c’est quelque chose qui te plairait»
Moi : « ah et c’est une proposition »
Jérôme : « a toi de voir, se n’est pas tout ça, mais si on reste là, tu ne risque pas d’attraper ton bus et moi je suis claqué, j’irai bien me coucher »
Je reste abasourdie par cette proposition et cette façon d’agir. Il commence a marcher en direction de l’arrêt du bus en me laissant planté là.
Le temps de remettre mes idées en place, je referme mon chemisier et le rattrape.
Pas un mot n’est échangé, jusqu'à se que mon bus arrive enfin. Je le salue, lui lance le traditionnel : « bon week-end ».
Je m’écroule sur la première place vide, enfonce mes écouteurs dans les oreilles et ferme les yeux en essayant de me repasser le film de la soirée.
Comment tout cela a pu basculer en une soirée, c’est de la folie. Les doigts d’Emmy, sa peau chaude, douce, son parfum enivrant. Me rappeler tout ça me fait mouiller une nouvelle fois.
Mon esprit navigue entre la douceur des baisers d’Emmy et la force de celui de Jérôme. Mon corps brule à nouveau de désir.
J’ai l’envie de vérifier l’état de ma culotte, là maintenant, le bus est presque vide, il est tard «est ce que je suis aussi trempée que j’en ai l’impression ?»
J’ouvre ma braguette, et glisse un doigt sous l’élastique de ma culotte, j’effleure mon clitoris, c’est divin, je suis la courbe de mon sexe et m’enfonce un peu plus : « Oh mon dieu, je suis trempée, une vrai cochonne, aucun homme n’aurai le moindre souci pour me prendre là tout de suite ».
Je remonte doucement mon doigt et en profite pour faire des ronds autour de mon clitoris, je soupire et continue à me caresser tout en maintenant une certaine convenance enfin j'en ai l'impression...
Le chauffeur, derrière qui je me suis assise, profite d’un feu rouge pour me préciser qu'il apprécie le charmant le spectacle que je lui offre, mais qu’on reste dans un transport en commun.
Oupss mon esprit a vraiment divagué, dans 10 minutes je suis chez moi et mon fidèle vibro m’attend.
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Jérôme : « oui on a discuté de toi, tout a l’heure avec Emmy et elle me disait qu’elle était sûre que tu étais une sacrée chaudasse, derrière tes airs… Que tu avais juste besoin et que quelqu’un rappelle à ton bon souvenir combien on peut prendre du plaisir avec son corps…»
Moi : « Pardon ? Vous avez discuté de ça avec Emmy, de moi ! Donc tout était planifié depuis le début ? »
Jérôme : « Non, enfin en partie, et ne me dit pas que tu n’as pas aimé quand elle t’a touché, elle m’a fait sentir ses doigts »
Je me sens à la fois honteuse et verte de rage, oui c’était bon, mais quand même, avoir été le jeu de ces deux là m’exaspère au plus au point. Et puis elle lui a fait sentir ses doigts parfumés de mon odeur, non franchement c’est…. C’est troublant, je m’étonne même a trouver ça plaisant, avoir été ainsi manipulée pendant une soirée.
Moi : « et toi tu ne pensais pas que je pouvais être chaude ? »
Jérôme : « je n’ai pas dit ça, juste qu’il faudrait qu’un maitre te fasse découvrir le plaisir qu’on peut donner et recevoir… et vu la facilité avec laquelle Emmy t’as caressé et moi déshabillé ainsi, je sur certain que c’est quelque chose qui te plairait»
Moi : « ah et c’est une proposition »
Jérôme : « a toi de voir, se n’est pas tout ça, mais si on reste là, tu ne risque pas d’attraper ton bus et moi je suis claqué, j’irai bien me coucher »
Je reste abasourdie par cette proposition et cette façon d’agir. Il commence a marcher en direction de l’arrêt du bus en me laissant planté là.
Le temps de remettre mes idées en place, je referme mon chemisier et le rattrape.
Pas un mot n’est échangé, jusqu'à se que mon bus arrive enfin. Je le salue, lui lance le traditionnel : « bon week-end ».
Je m’écroule sur la première place vide, enfonce mes écouteurs dans les oreilles et ferme les yeux en essayant de me repasser le film de la soirée.
Comment tout cela a pu basculer en une soirée, c’est de la folie. Les doigts d’Emmy, sa peau chaude, douce, son parfum enivrant. Me rappeler tout ça me fait mouiller une nouvelle fois.
Mon esprit navigue entre la douceur des baisers d’Emmy et la force de celui de Jérôme. Mon corps brule à nouveau de désir.
J’ai l’envie de vérifier l’état de ma culotte, là maintenant, le bus est presque vide, il est tard «est ce que je suis aussi trempée que j’en ai l’impression ?»
J’ouvre ma braguette, et glisse un doigt sous l’élastique de ma culotte, j’effleure mon clitoris, c’est divin, je suis la courbe de mon sexe et m’enfonce un peu plus : « Oh mon dieu, je suis trempée, une vrai cochonne, aucun homme n’aurai le moindre souci pour me prendre là tout de suite ».
Je remonte doucement mon doigt et en profite pour faire des ronds autour de mon clitoris, je soupire et continue à me caresser tout en maintenant une certaine convenance enfin j'en ai l'impression...
Le chauffeur, derrière qui je me suis assise, profite d’un feu rouge pour me préciser qu'il apprécie le charmant le spectacle que je lui offre, mais qu’on reste dans un transport en commun.
Oupss mon esprit a vraiment divagué, dans 10 minutes je suis chez moi et mon fidèle vibro m’attend.
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Invité
Re: Consultante....
Et la dernière de la journée
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Le week-end se déroula tranquillement, Alex m’appela le samedi soir pour avoir un debriefing et si j’avais passé une bonne nuit « une vrai gonzesse quand il s’y mets celui là ». Je lui répondis que contrairement a se qu’il pensait j’étais rentrée seule chez moi.
Le dimanche je suis allé me ressourcer au hammam, rien de tel pour attaquer une nouvelle semaine avec un corps neuf et un esprit purifié.
Lundi - 6h40 : «…et la météo : couvrez vous parce que ça caille aujourd’hui sur Paris, il fera 16°C cet après-midi. Toute de suite on continue en musique, avec Muse - Uprising, bon réveil à tous ». J’ouvre un œil, caresse la jolie bête poilue venu se blottir contre moi en ronronnant. « Mmm, je resterais bien dans mon lit », je referme les yeux et laisse la voix de Matthew m’envahir. Petit à petit mon corps ressent les notes et se bouge au rythme de cette chanson « They will not force us… They will stop degrading us… They will not control us… » Je chante, mon corps est réveiller, je me lève et continue de bouger en rythme sur cette chanson. Allez il faut que je m’active, petit déjeuner, cigarette, douche, habillage, maquillage et en route pour le travail.
Lorsque j’arrive, seul Alexandre est là, il prépare notre réunion d’équipe, et me propose qu’on descende à la cafétéria pour un petit café-clope. Je le suis, il me raconte son week-end et la belle plante qu’il a rencontré samedi soir, mais qui avait filé dimanche à son réveil.
Décidément le célibat lui réussi, je le trouve en forme, son sourire est radieux et son regard bleu azur pétille. Alex est vraiment le stéréotype du jeune cadre dynamique, mignon, charmeur, sûre de lui, même si je sens une faille qu’il cache sous cette carapace.
Il me demande comment c’est passé le mien en insistant fortement sur vendredi soir :
Alexandre : « alors toi et Jérôme ? qu’est ce qu’il s’est passé quand vous êtes parti ensemble ? »
Moi : « rien on a juste papoter, il m’a raccompagné au bus et voilà »
Alexandre : « et même pas un petit bisou ? parce qu’en tant qu'a ami, je dois te le dire, tu étais chaude vendredi soir, j'avais oublié tes mouvements de bassins quand tu danses et comme on dit tu transpirais le sexe »
Moi : « Quoi ? Putain t’en loupe pas une… » je risque de m’étouffer en buvant mon café.
Alex : « Pardon mais c’est vrai, t’étais vraiment chaude, très désirable… » Argumente il avec une voix de velours en plongeant ses yeux dans les miens.
Pendant un instant je repense a se qu’il s’est passé dans les toilettes avec Emmy, un frisson parcours mon corps « Non, on est lundi matin, Marine, ne repense pas a ça ma fille, t’es au boulot »
Alex : « Alors tu ne m’as pas répondu ? Avec Jérôme ? »
Moi : « Oui »
Alex : « Oui, quoi ? »
Moi : « Oui on s’est embrassés »
Alex : « cool alors vous êtes ensemble ou juste comme ça en plan cul »
Moi : « je ne sais pas, non on est pas ensemble et le PC… je ne sais pas, on est collègue et sur un projet comme ça je ne suis pas sûre que se soit une bonne idée… » Je repense à la proposition de Jérôme et un nouveau frisson se fait ressentir.
Alex : « Arrêtes Marine, t’as le droit de vivre aussi, vas y éclates toi, je suis sûre qu’il peut te faire découvrir des trucs si tu vois se que je veux dire… » dit-il en me lancant un clin d’œil appuyé.
Moi : « Alex, t’es mignon, mais je ne sais pas, et j’ai franchement pas le temps de penser a ça, je te rappelle qu’on est en réunion à 10h30 et j’ai pas encore dépiler ma boite mail. »
Sur ce on remonte, le temps du trajet en ascenseur, Alex n’arrêtes pas de me titiller, en me lançant des « allez Marine, tu veux pas me refaire un de tes coups de reins légendaires comme vendredi soir ». Je me colle a Alex, bouge mon bassin en dessinant un huit très lentement, mes fesses contre son bas ventre, je le sens durcir, le regarde et lui réponds : « quoi comme ça? ».
Alex : « ok c'est bon t'as gagné, et c'est pas sympa de me mettre dans des états comme ça »
Moi : « tu m'as cherché et tu sais que quand on me cherche, on me trouve »
Alors Alex me prends par la taille, me retourne face à lui, pendant une peut-être une ou deux minutes, on reste ainsi immobile, nos regards plongés dans celui de l’autre, mes mains sur ses épaules, les siennes sur mes hanches. C’est l’ouverture des portes de l’ascenseur qui nous fait reprendre nos esprits.
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Le week-end se déroula tranquillement, Alex m’appela le samedi soir pour avoir un debriefing et si j’avais passé une bonne nuit « une vrai gonzesse quand il s’y mets celui là ». Je lui répondis que contrairement a se qu’il pensait j’étais rentrée seule chez moi.
Le dimanche je suis allé me ressourcer au hammam, rien de tel pour attaquer une nouvelle semaine avec un corps neuf et un esprit purifié.
Lundi - 6h40 : «…et la météo : couvrez vous parce que ça caille aujourd’hui sur Paris, il fera 16°C cet après-midi. Toute de suite on continue en musique, avec Muse - Uprising, bon réveil à tous ». J’ouvre un œil, caresse la jolie bête poilue venu se blottir contre moi en ronronnant. « Mmm, je resterais bien dans mon lit », je referme les yeux et laisse la voix de Matthew m’envahir. Petit à petit mon corps ressent les notes et se bouge au rythme de cette chanson « They will not force us… They will stop degrading us… They will not control us… » Je chante, mon corps est réveiller, je me lève et continue de bouger en rythme sur cette chanson. Allez il faut que je m’active, petit déjeuner, cigarette, douche, habillage, maquillage et en route pour le travail.
Lorsque j’arrive, seul Alexandre est là, il prépare notre réunion d’équipe, et me propose qu’on descende à la cafétéria pour un petit café-clope. Je le suis, il me raconte son week-end et la belle plante qu’il a rencontré samedi soir, mais qui avait filé dimanche à son réveil.
Décidément le célibat lui réussi, je le trouve en forme, son sourire est radieux et son regard bleu azur pétille. Alex est vraiment le stéréotype du jeune cadre dynamique, mignon, charmeur, sûre de lui, même si je sens une faille qu’il cache sous cette carapace.
Il me demande comment c’est passé le mien en insistant fortement sur vendredi soir :
Alexandre : « alors toi et Jérôme ? qu’est ce qu’il s’est passé quand vous êtes parti ensemble ? »
Moi : « rien on a juste papoter, il m’a raccompagné au bus et voilà »
Alexandre : « et même pas un petit bisou ? parce qu’en tant qu'a ami, je dois te le dire, tu étais chaude vendredi soir, j'avais oublié tes mouvements de bassins quand tu danses et comme on dit tu transpirais le sexe »
Moi : « Quoi ? Putain t’en loupe pas une… » je risque de m’étouffer en buvant mon café.
Alex : « Pardon mais c’est vrai, t’étais vraiment chaude, très désirable… » Argumente il avec une voix de velours en plongeant ses yeux dans les miens.
Pendant un instant je repense a se qu’il s’est passé dans les toilettes avec Emmy, un frisson parcours mon corps « Non, on est lundi matin, Marine, ne repense pas a ça ma fille, t’es au boulot »
Alex : « Alors tu ne m’as pas répondu ? Avec Jérôme ? »
Moi : « Oui »
Alex : « Oui, quoi ? »
Moi : « Oui on s’est embrassés »
Alex : « cool alors vous êtes ensemble ou juste comme ça en plan cul »
Moi : « je ne sais pas, non on est pas ensemble et le PC… je ne sais pas, on est collègue et sur un projet comme ça je ne suis pas sûre que se soit une bonne idée… » Je repense à la proposition de Jérôme et un nouveau frisson se fait ressentir.
Alex : « Arrêtes Marine, t’as le droit de vivre aussi, vas y éclates toi, je suis sûre qu’il peut te faire découvrir des trucs si tu vois se que je veux dire… » dit-il en me lancant un clin d’œil appuyé.
Moi : « Alex, t’es mignon, mais je ne sais pas, et j’ai franchement pas le temps de penser a ça, je te rappelle qu’on est en réunion à 10h30 et j’ai pas encore dépiler ma boite mail. »
Sur ce on remonte, le temps du trajet en ascenseur, Alex n’arrêtes pas de me titiller, en me lançant des « allez Marine, tu veux pas me refaire un de tes coups de reins légendaires comme vendredi soir ». Je me colle a Alex, bouge mon bassin en dessinant un huit très lentement, mes fesses contre son bas ventre, je le sens durcir, le regarde et lui réponds : « quoi comme ça? ».
Alex : « ok c'est bon t'as gagné, et c'est pas sympa de me mettre dans des états comme ça »
Moi : « tu m'as cherché et tu sais que quand on me cherche, on me trouve »
Alors Alex me prends par la taille, me retourne face à lui, pendant une peut-être une ou deux minutes, on reste ainsi immobile, nos regards plongés dans celui de l’autre, mes mains sur ses épaules, les siennes sur mes hanches. C’est l’ouverture des portes de l’ascenseur qui nous fait reprendre nos esprits.
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Invité
Re: Consultante....
Nous arrivons dans l’open-space, ils sont tous arrivés, je passe dire bonjour et faire la bise à tous. Une fois à ma place, j’ouvre ma boite mail : 128 nouveaux messages, « super, par où attaquer ? Pfff, ça c’est encore à cause des répondre à tous massifs », lorsqu’une fenêtre clignote en bas de l’écran (nos PC sont tous équipés d’une messagerie instantanée, une sorte de MSN…).
Emmy : salut toi, comment ça va ? J’ai eu Jérôme samedi au téléphone, il m’a dit qu’il t’avait tout dit, j’espère que tu m’en veux pas ? Je voulais t’appeler hier, mais je n’ai pas eu le temps, et puis avec mon mec a côté enfin tu comprends ?
Moi : Hello toi, non c’est bon, il n’y a pas de soucis, mais ça fait bizarre d’avoir été votre jouet en quelque sorte.
Emmy : tu sais Marine, tu es très belle et très désirable, il fallait juste que tu en prennes conscience
Moi : Merci mais je ne suis pas convaincue par le très désirable… enfin pour être honnête, il y avait longtemps que je n’avais pas jouie ainsi ;-)
Emmy : je n’ai pourtant rien fait de spécial, ton corps le réclamait c’est tout, je n’ai fais que l’écouter ;-))
Moi : … alors merci
Emmy : Et alors avec Jérôme ?
Moi : Quoi Jérôme ?
Emmy : Arrêtes Marine, tu ne vas me dire qu’il ne te plait pas, t’as vu le morceau - lol ?
Moi : Si mais enfin, on est collègue, alors bon c’est un peu compliqué
Emmy : Pfff, excuse rejeté, il te plait et je pense qu’il ne dirait pas non si tu vois se que je dire ;-)
Moi : Quoi ? Comment t’es au courant de ça aussi ?
Emmy : Oui je suis au courant de ça, écoute si j’étais célibataire, moi ça ferait longtemps que se serait fait.
Moi : Oui mais tu sais, je…
A ce moment là, une nouvelle fenêtre s’ouvre :
Jérôme : Salut
Moi : Salut
Jérôme : quand tu auras fini d’échanger des mess avec Emmy, tu pourras me dire si tu as réfléchi a ma proposition
Moi : merci ça va bien et toi ? Passé un bon week-end ? Et comment tu sais que je discute avec Emmy ? Il a vraiment le don de me faire partir au quart de tour.
Jérôme : … Bon alors tu y as réfléchi ou non ?
Moi : et toi, c’est ta spécialité de ne pas répondre au question qu’on te pose ?
Jérôme : et toi d’esquiver les réponses ?
Moi : je ne sais pas, voilà t’es content
Jérôme : tu as 1h pour me donner la réponse. Avant la réunion d’équipe de 10h30 je veux ta réponse.
Moi : Mais tu te prends pour qui, pour me donner des ordres comme ça ?
Jérôme : ton futur maître Marine
Moi : aaaaaaaaaaaaaaaaaah…
Jérôme : je sais que tu en as envie, je sais même que la tout de suite, tes tétons se dressent rien qu’a l’idée que je te donne du plaisir et te fasse jouir
Moi : ….
Je ferme la fenêtre de discussion, il m’énerve au plus haut point. « Comment fait-il ? » Il a raison, effectivement au moment où je lis ces mots, un nouveau frisson remonte de mes reins à ma nuque, je me redresse et je sens instantanément ma poitrine se gonfler et mes tétons se tendre.
Je regarde l’horloge, 9h40, que faire ? Il me faut une cigarette et que je pèse le pour et le contre.
A ce moment là, il m’envoie un nouveau mess :
Jérôme : je suis sûre que t’aimerais que je te prenne là maintenant dans les toilettes, comme un chienne ?
Pour toute réponse je lui lance un regard noir, me lève, attrape ma veste, mes cigarettes et mon badge.
En passant devant la porte des toilettes, je sens une boule de feu naitre au creux de mes reins « oui j’aimerai ça, j’en ai même très envie ». Je secoue la tête, il me faut de l’air frais pour remettre mes idées en place.
Une fois dehors, j’inspire un grand coup, j’allume une cigarette et commence a réfléchir. Comment fait il ? On dirai qu’il est télépathe et qu’il sait d’avance se dont j’ai envie, qu’il connait mon corps, même mieux que moi.
C’est pas possible, il va me rendre folle, mais j’ai tellement envie de sexe, alors lui ou un autre ? Mon portable vivre, je regarde un sms évidement Jérôme :
Une de mes mains sur tes hanches, l’autre pinçant tes tétons, je te pilonne et je te mords la nuque… ; à la lecture du sms je sens ma culotte s’humidifier.
« Mais quel connard… non mais pour qui il se prend… En même temps j’aimerai qu’il me prenne… Non c’est un collègue et en plus un sale con arrogant… mais ce pouvoir qu’il a sur moi… non les relations au bureau… surtout sur le projet, ça pourrait affecter tout l’équilibre de l’équipe… Hmmm ces mains sur mon corps… non je ne dois pas penser a ça. Marine, relaxe, vide toi la tête… ferme les yeux et inspire un grand coup… me sentir de nouveau femme sous ses coups de reins… je ne peux pas faire ça… »
Mon cœur s’emballe j’ai l’impression que la décision que je dois prendre relève d’une question de vie ou de mort alors qu’il s’agit juste d’une histoire de cul. Mais comment Emmy a-t-elle rallumer en moi ce désir enfouie pendant tellement de temps ?
Je finis ma cigarette, remonte a mon bureau, une fois a ma place, je regarde mon pc et essayes de me concentrer sur mes mails, je sens le regard de Jérôme sur moi et mon esprit se porte sur Alexandre « Qu’est qui nous est arrivés dans l’ascenseur, c’est vraiment troublant. Alex n’est qu’un ami, mais ces yeux… ce regard… non, non, non… si il avait du se passer quelque chose se serait déjà arrivé… oui, comme il y a 2 ans, ce baiser… »
10h24, une nouvelle fenêtre clignote :
Jérôme : je savais que tu ne pourrais pas résister à la tentation
Moi : je n’ai pas encore pris ma décision je te précise
Jérôme : mais bien sûre, je vais te croire
Moi : arrêtes tu m’énerves et j’ai encore 5 minutes, tu m’influences c’est pas du jeu
Jérôme : je te prendrais tellement fort que tu vas enfin connaitre se que c’est de crier de plaisir
Moi : …. Stop ça MAINTENANT !
Jérôme : alors dis le
Moi : 3 minutes encore et mon choix n’est pas fait
Jérôme : se n’est pas bien de mentir
Moi : je ne mens pas !!!!
Jérôme : alors pourquoi tu t’es maintenant redressée dans ton fauteuil et légèrement cambrée à la lecture de mes mots ?
Je ne peux rien répondre, il a raison, je ne m’étais même pas rendu compte de ma position et des mouvements de mon corps. Je ne peux rien faire, je suis comme tétanisée tout d’un coup.
Alexandre apparait, il vient nous chercher pour la réunion. Il me regarde curieusement, je lui demande si tout va bien, il me réponds que oui, c’est plutôt moi qui ai une drôle de tête.
Tout le monde se dirige vers la salle de réunion, je me lève, attrape mes affaires lorsque Jérôme balance a haute voix : Marine tu peux venir voir 2 minutes, stp ? c’est urgent, on vous rejoint tout de suite.
Emmy : salut toi, comment ça va ? J’ai eu Jérôme samedi au téléphone, il m’a dit qu’il t’avait tout dit, j’espère que tu m’en veux pas ? Je voulais t’appeler hier, mais je n’ai pas eu le temps, et puis avec mon mec a côté enfin tu comprends ?
Moi : Hello toi, non c’est bon, il n’y a pas de soucis, mais ça fait bizarre d’avoir été votre jouet en quelque sorte.
Emmy : tu sais Marine, tu es très belle et très désirable, il fallait juste que tu en prennes conscience
Moi : Merci mais je ne suis pas convaincue par le très désirable… enfin pour être honnête, il y avait longtemps que je n’avais pas jouie ainsi ;-)
Emmy : je n’ai pourtant rien fait de spécial, ton corps le réclamait c’est tout, je n’ai fais que l’écouter ;-))
Moi : … alors merci
Emmy : Et alors avec Jérôme ?
Moi : Quoi Jérôme ?
Emmy : Arrêtes Marine, tu ne vas me dire qu’il ne te plait pas, t’as vu le morceau - lol ?
Moi : Si mais enfin, on est collègue, alors bon c’est un peu compliqué
Emmy : Pfff, excuse rejeté, il te plait et je pense qu’il ne dirait pas non si tu vois se que je dire ;-)
Moi : Quoi ? Comment t’es au courant de ça aussi ?
Emmy : Oui je suis au courant de ça, écoute si j’étais célibataire, moi ça ferait longtemps que se serait fait.
Moi : Oui mais tu sais, je…
A ce moment là, une nouvelle fenêtre s’ouvre :
Jérôme : Salut
Moi : Salut
Jérôme : quand tu auras fini d’échanger des mess avec Emmy, tu pourras me dire si tu as réfléchi a ma proposition
Moi : merci ça va bien et toi ? Passé un bon week-end ? Et comment tu sais que je discute avec Emmy ? Il a vraiment le don de me faire partir au quart de tour.
Jérôme : … Bon alors tu y as réfléchi ou non ?
Moi : et toi, c’est ta spécialité de ne pas répondre au question qu’on te pose ?
Jérôme : et toi d’esquiver les réponses ?
Moi : je ne sais pas, voilà t’es content
Jérôme : tu as 1h pour me donner la réponse. Avant la réunion d’équipe de 10h30 je veux ta réponse.
Moi : Mais tu te prends pour qui, pour me donner des ordres comme ça ?
Jérôme : ton futur maître Marine
Moi : aaaaaaaaaaaaaaaaaah…
Jérôme : je sais que tu en as envie, je sais même que la tout de suite, tes tétons se dressent rien qu’a l’idée que je te donne du plaisir et te fasse jouir
Moi : ….
Je ferme la fenêtre de discussion, il m’énerve au plus haut point. « Comment fait-il ? » Il a raison, effectivement au moment où je lis ces mots, un nouveau frisson remonte de mes reins à ma nuque, je me redresse et je sens instantanément ma poitrine se gonfler et mes tétons se tendre.
Je regarde l’horloge, 9h40, que faire ? Il me faut une cigarette et que je pèse le pour et le contre.
A ce moment là, il m’envoie un nouveau mess :
Jérôme : je suis sûre que t’aimerais que je te prenne là maintenant dans les toilettes, comme un chienne ?
Pour toute réponse je lui lance un regard noir, me lève, attrape ma veste, mes cigarettes et mon badge.
En passant devant la porte des toilettes, je sens une boule de feu naitre au creux de mes reins « oui j’aimerai ça, j’en ai même très envie ». Je secoue la tête, il me faut de l’air frais pour remettre mes idées en place.
Une fois dehors, j’inspire un grand coup, j’allume une cigarette et commence a réfléchir. Comment fait il ? On dirai qu’il est télépathe et qu’il sait d’avance se dont j’ai envie, qu’il connait mon corps, même mieux que moi.
C’est pas possible, il va me rendre folle, mais j’ai tellement envie de sexe, alors lui ou un autre ? Mon portable vivre, je regarde un sms évidement Jérôme :
Une de mes mains sur tes hanches, l’autre pinçant tes tétons, je te pilonne et je te mords la nuque… ; à la lecture du sms je sens ma culotte s’humidifier.
« Mais quel connard… non mais pour qui il se prend… En même temps j’aimerai qu’il me prenne… Non c’est un collègue et en plus un sale con arrogant… mais ce pouvoir qu’il a sur moi… non les relations au bureau… surtout sur le projet, ça pourrait affecter tout l’équilibre de l’équipe… Hmmm ces mains sur mon corps… non je ne dois pas penser a ça. Marine, relaxe, vide toi la tête… ferme les yeux et inspire un grand coup… me sentir de nouveau femme sous ses coups de reins… je ne peux pas faire ça… »
Mon cœur s’emballe j’ai l’impression que la décision que je dois prendre relève d’une question de vie ou de mort alors qu’il s’agit juste d’une histoire de cul. Mais comment Emmy a-t-elle rallumer en moi ce désir enfouie pendant tellement de temps ?
Je finis ma cigarette, remonte a mon bureau, une fois a ma place, je regarde mon pc et essayes de me concentrer sur mes mails, je sens le regard de Jérôme sur moi et mon esprit se porte sur Alexandre « Qu’est qui nous est arrivés dans l’ascenseur, c’est vraiment troublant. Alex n’est qu’un ami, mais ces yeux… ce regard… non, non, non… si il avait du se passer quelque chose se serait déjà arrivé… oui, comme il y a 2 ans, ce baiser… »
10h24, une nouvelle fenêtre clignote :
Jérôme : je savais que tu ne pourrais pas résister à la tentation
Moi : je n’ai pas encore pris ma décision je te précise
Jérôme : mais bien sûre, je vais te croire
Moi : arrêtes tu m’énerves et j’ai encore 5 minutes, tu m’influences c’est pas du jeu
Jérôme : je te prendrais tellement fort que tu vas enfin connaitre se que c’est de crier de plaisir
Moi : …. Stop ça MAINTENANT !
Jérôme : alors dis le
Moi : 3 minutes encore et mon choix n’est pas fait
Jérôme : se n’est pas bien de mentir
Moi : je ne mens pas !!!!
Jérôme : alors pourquoi tu t’es maintenant redressée dans ton fauteuil et légèrement cambrée à la lecture de mes mots ?
Je ne peux rien répondre, il a raison, je ne m’étais même pas rendu compte de ma position et des mouvements de mon corps. Je ne peux rien faire, je suis comme tétanisée tout d’un coup.
Alexandre apparait, il vient nous chercher pour la réunion. Il me regarde curieusement, je lui demande si tout va bien, il me réponds que oui, c’est plutôt moi qui ai une drôle de tête.
Tout le monde se dirige vers la salle de réunion, je me lève, attrape mes affaires lorsque Jérôme balance a haute voix : Marine tu peux venir voir 2 minutes, stp ? c’est urgent, on vous rejoint tout de suite.
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Supprimé
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Invité
Re: Consultante....
Je fais demi tour en direction de son bureau où il est encore assis, j’arrive a sa hauteur.
Moi : « Qu’est ce que tu VEUX ? » d’un ton réellement agressif.
Il ne répond rien, il me regarde fixement, attrape mon pantalon, l’ouvre et le baisse légèrement avant de glisser un doigt dans ma culotte sur ma fente luisante. Il me regarde dans les yeux, tout en commençant un mouvement de va et vient sans jamais me pénétrer, mais mon sexe s’ouvre sous ce traitement.
Je ne peux rien faire et si je bouge ou essaye de me débattre, je risque de faire tomber mon pc, que je tiens dans mes bras, à terre. Mon corps tout entier ressent et apprécie ce contact, je me surprends même rejeter la tête en arrière et fermer les yeux pour mieux en profiter.
Il attrape ma culotte qu’il baisse juste sur le devant et je le sens insister sur mon clitoris, je rouvre les yeux pour regarder, c’est sa langue, son visage est entièrement collé a mon sexe, je suis au travail debout entrain de me faire lécher par Jérôme. Un gémissement m’échappe, il s’arrête, me rhabille, se lève, prenant ses affaires il me lâche : « Je voulais ta réponse, je pense qu’une fois de plus j’avais raison ».
Je reste ainsi stoïque devant tant de prétention, je n’arrive pas a y croire et même temps je suis frustré, j’ai encore envie de sa langue, j’ai envie de lui, qu’il me fasse jouir. Ma tête est ailleurs, et c’est lorsqu’il me donne une tape sur les fesses en me disant : « allez en réunion » que je reprends mes esprits.
Mon corps vient de lui dire oui sans que je ne puisse rien y faire. Nous arrivons en réunion, je m’assois a coté d’Emmy et il vient se placer a coté de moi : « Concentres toi Marine, concentres toi, t’es au boulot ».
J’essaye de me focaliser sur la réunion et Alexandre qui nous explique les nouveaux objectifs de la Direction, et la mise en place de réunion Go/NoGo tous les vendredis matin auxquels chacun devra participer a son tour, mais la seule présence de Jérôme à mets cotés me déclenche des frissons. Il y a bien longtemps que ma petite culotte ne sert plus à rien, mes seins sont gonflés et mes pointes tendues à l’extrême, quand je sens ses doigts parcourir l’extérieur de cuisse.
Alexandre marque un temps d’arrêt en voyant la scène qui se joue sous notre table de réunion, je rougis, et il reprend son exposé.
La main de Jérôme s’aventure désormais sur le haut de ma cuisse avant de passer dans mon dos, je sens la chaleur de son corps a travers le tissu de mon pantalon, il est chaud, très chaud. Mon cerveau me dit de me redresser et m’installer au fond de ma chaise pour stopper sa course mais rien n’y fait mon corps n’est plus mien.
Il remonte sa main sur mon dos, qui a pour effet de me faire me cambrer. Je sens l’un de ces doigts sur ma peau et forcer la ceinture de mon pantalon, mon souffle se fait plus court, je lutte pour me concentrer et ne rien laisser paraître.
Je dois baisser ma tête de peur de regarder si les autres nous regarde ou non. Il continue ainsi a me caresser comme si de rien n’était, l’un de ses doigts est désormais a la naissance de mon sillon fessier, avant d’y plonger à la recherche de mon petit trou. Je sens la vague de la jouissance croitre en moi, ce mec est démoniaque, mais j’adore ça.
Alexandre hausse la voix et a force de concentration, je trouve la force de me redresser et d’emprisonner sa main dans mon dos. Je redresse la tête et regarde Alex qui me lance un regard noir. Je pense que notre jeu ne l’amuse plus depuis un petit moment et je sens que je suis bonne pour l’engueulade du siècle.
Jérôme retire sa main et me chuchote a l’oreille, que c’est lui qui décide quand il arrête, que je suis une vilaine fille et que je suis bonne pour une punition. Ce mot me donne la chair de poule, me fait peur et m’excite à la fois.
La réunion se termine, Alexandre me demande de passer dans son bureau, telle une enfant prise en flagrant délit de bêtise, je le suis sans un mot, la tête basse.
Une fois la porte fermée, il s’installe dans son fauteuil et d’une voix douce, en totale opposition avec le masque froid de son visage :
Alex : « Marine écoutes, on se connait depuis combien de temps ? »
Moi : « 2 ans. Ecoutes Alex je suis désolée pour tout à l’heure, mais… »
Alex : « laisses-moi parler, s’il te plait. Je pense être plus qu’un simple collègue de travail, je t’ai connu a une période assez dure de ta vie, et je te considère comme une amie. Aujourd’hui je suis ton responsable et ton client, mais c’est en tant qu’ami que je te parle. »
Moi : « OK »
Alex : « je connais les mecs comme Jérôme, même si mon coté mâle dominant l’admire, en tout honnêteté j’aimerai avoir le pouvoir qu’il a sur les femmes mais je veux que tu fasses attention à toi. »
Moi : « Ah, mais pourtant je croyais que… »
Alex : « tu as besoin de t’éclater, de passer l’éponge après ton ex et te retrouver en tant que femme, mais prends garde à toi, la soumission peut être un jeu dangereux. J’ai une copine pour qui ça a mal tourné et son maître lui a vraiment fait faire des trucs dégradants. »
Moi : « …. »
Alex : « je dis juste ça parce que je t’aime bien, et même si c’était très troublant de te voir prendre du plaisir comme ça sous ses caresses tout à l’heure, tu es sur un lieu de travail et je ne veux pas que ta réputation soit détruite à cause des choses qu’il te ferait faire. Je sais que tu es joueuse, que Jérôme est ton type d’homme et que tu aimes les sensations fortes, mais promets moi de faire attention a toi. »
Moi : « … je ne sais pas quoi te dire, je suis désolée pour tout a l’heure mais j’étais totalement paralysée, j’étais incapable de faire le moindre mouvement et… Tu as dit que tu trouvais ça troublant ? »
Alex : « oui Marine je reste un mec, et voir une femme prendre du plaisir, est excitant et troublant surtout comme ça au milieu d’une réunion. Mais tu vois justement, c’est là que cela devient dangereux c’est quand ton maître a un contrôle total de ton cerveau, tu dois être capable de lui dire non. Tu devrais en discuter avec lui tout de même. »
Moi : « Ok c’est noté. »
Je me lève, attrape la poignée de la porte :
Moi : « Alex, merci, et bien sûre que tu es plus qu’un simple collègue pour moi, un ami auquel je tiens »
Alex : « Je sais pour moi aussi, et dis à Jérôme de venir, il faut que je lui dise 2 mots à lui aussi »
Moi : « Qu’est ce que tu VEUX ? » d’un ton réellement agressif.
Il ne répond rien, il me regarde fixement, attrape mon pantalon, l’ouvre et le baisse légèrement avant de glisser un doigt dans ma culotte sur ma fente luisante. Il me regarde dans les yeux, tout en commençant un mouvement de va et vient sans jamais me pénétrer, mais mon sexe s’ouvre sous ce traitement.
Je ne peux rien faire et si je bouge ou essaye de me débattre, je risque de faire tomber mon pc, que je tiens dans mes bras, à terre. Mon corps tout entier ressent et apprécie ce contact, je me surprends même rejeter la tête en arrière et fermer les yeux pour mieux en profiter.
Il attrape ma culotte qu’il baisse juste sur le devant et je le sens insister sur mon clitoris, je rouvre les yeux pour regarder, c’est sa langue, son visage est entièrement collé a mon sexe, je suis au travail debout entrain de me faire lécher par Jérôme. Un gémissement m’échappe, il s’arrête, me rhabille, se lève, prenant ses affaires il me lâche : « Je voulais ta réponse, je pense qu’une fois de plus j’avais raison ».
Je reste ainsi stoïque devant tant de prétention, je n’arrive pas a y croire et même temps je suis frustré, j’ai encore envie de sa langue, j’ai envie de lui, qu’il me fasse jouir. Ma tête est ailleurs, et c’est lorsqu’il me donne une tape sur les fesses en me disant : « allez en réunion » que je reprends mes esprits.
Mon corps vient de lui dire oui sans que je ne puisse rien y faire. Nous arrivons en réunion, je m’assois a coté d’Emmy et il vient se placer a coté de moi : « Concentres toi Marine, concentres toi, t’es au boulot ».
J’essaye de me focaliser sur la réunion et Alexandre qui nous explique les nouveaux objectifs de la Direction, et la mise en place de réunion Go/NoGo tous les vendredis matin auxquels chacun devra participer a son tour, mais la seule présence de Jérôme à mets cotés me déclenche des frissons. Il y a bien longtemps que ma petite culotte ne sert plus à rien, mes seins sont gonflés et mes pointes tendues à l’extrême, quand je sens ses doigts parcourir l’extérieur de cuisse.
Alexandre marque un temps d’arrêt en voyant la scène qui se joue sous notre table de réunion, je rougis, et il reprend son exposé.
La main de Jérôme s’aventure désormais sur le haut de ma cuisse avant de passer dans mon dos, je sens la chaleur de son corps a travers le tissu de mon pantalon, il est chaud, très chaud. Mon cerveau me dit de me redresser et m’installer au fond de ma chaise pour stopper sa course mais rien n’y fait mon corps n’est plus mien.
Il remonte sa main sur mon dos, qui a pour effet de me faire me cambrer. Je sens l’un de ces doigts sur ma peau et forcer la ceinture de mon pantalon, mon souffle se fait plus court, je lutte pour me concentrer et ne rien laisser paraître.
Je dois baisser ma tête de peur de regarder si les autres nous regarde ou non. Il continue ainsi a me caresser comme si de rien n’était, l’un de ses doigts est désormais a la naissance de mon sillon fessier, avant d’y plonger à la recherche de mon petit trou. Je sens la vague de la jouissance croitre en moi, ce mec est démoniaque, mais j’adore ça.
Alexandre hausse la voix et a force de concentration, je trouve la force de me redresser et d’emprisonner sa main dans mon dos. Je redresse la tête et regarde Alex qui me lance un regard noir. Je pense que notre jeu ne l’amuse plus depuis un petit moment et je sens que je suis bonne pour l’engueulade du siècle.
Jérôme retire sa main et me chuchote a l’oreille, que c’est lui qui décide quand il arrête, que je suis une vilaine fille et que je suis bonne pour une punition. Ce mot me donne la chair de poule, me fait peur et m’excite à la fois.
La réunion se termine, Alexandre me demande de passer dans son bureau, telle une enfant prise en flagrant délit de bêtise, je le suis sans un mot, la tête basse.
Une fois la porte fermée, il s’installe dans son fauteuil et d’une voix douce, en totale opposition avec le masque froid de son visage :
Alex : « Marine écoutes, on se connait depuis combien de temps ? »
Moi : « 2 ans. Ecoutes Alex je suis désolée pour tout à l’heure, mais… »
Alex : « laisses-moi parler, s’il te plait. Je pense être plus qu’un simple collègue de travail, je t’ai connu a une période assez dure de ta vie, et je te considère comme une amie. Aujourd’hui je suis ton responsable et ton client, mais c’est en tant qu’ami que je te parle. »
Moi : « OK »
Alex : « je connais les mecs comme Jérôme, même si mon coté mâle dominant l’admire, en tout honnêteté j’aimerai avoir le pouvoir qu’il a sur les femmes mais je veux que tu fasses attention à toi. »
Moi : « Ah, mais pourtant je croyais que… »
Alex : « tu as besoin de t’éclater, de passer l’éponge après ton ex et te retrouver en tant que femme, mais prends garde à toi, la soumission peut être un jeu dangereux. J’ai une copine pour qui ça a mal tourné et son maître lui a vraiment fait faire des trucs dégradants. »
Moi : « …. »
Alex : « je dis juste ça parce que je t’aime bien, et même si c’était très troublant de te voir prendre du plaisir comme ça sous ses caresses tout à l’heure, tu es sur un lieu de travail et je ne veux pas que ta réputation soit détruite à cause des choses qu’il te ferait faire. Je sais que tu es joueuse, que Jérôme est ton type d’homme et que tu aimes les sensations fortes, mais promets moi de faire attention a toi. »
Moi : « … je ne sais pas quoi te dire, je suis désolée pour tout a l’heure mais j’étais totalement paralysée, j’étais incapable de faire le moindre mouvement et… Tu as dit que tu trouvais ça troublant ? »
Alex : « oui Marine je reste un mec, et voir une femme prendre du plaisir, est excitant et troublant surtout comme ça au milieu d’une réunion. Mais tu vois justement, c’est là que cela devient dangereux c’est quand ton maître a un contrôle total de ton cerveau, tu dois être capable de lui dire non. Tu devrais en discuter avec lui tout de même. »
Moi : « Ok c’est noté. »
Je me lève, attrape la poignée de la porte :
Moi : « Alex, merci, et bien sûre que tu es plus qu’un simple collègue pour moi, un ami auquel je tiens »
Alex : « Je sais pour moi aussi, et dis à Jérôme de venir, il faut que je lui dise 2 mots à lui aussi »
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Invité
Re: Consultante....
19h30 : La journée se finit pour ma part et je ne peux m’empêcher de penser a se que m’a dit Alex, « parler à Jérôme absolument ».
Avant de partir, je décide de lui en parler en lui envoyant un mess via notre messagerie instantanée.
Moi : faudrait qu’on discute toi et moi
Jérôme : pas de soucis, de toute façon je te rappelle que j’ai une punition à te donner
Moi : c’est ça mon gars, mais avant j’aimerai te parler
Jérôme : je suis tout ouï
Moi : quels sont limites que tu t’imposes dans ton jeu dominant/dominé ?
Jérôme : aucunes…
Cette réponse me glace le sang, et si Alex avait raison, si cela était réellement dangereux, trop dangereux pour moi, vu comme il a déjà pris le contrôle d’une partie de mon être.
Jérôme : … du moment que tu prends du plaisir naturellement, je ne te ferai pas souffrir inutilement. Se que je veux c’est te faire découvrir une nouvelle forme de plaisir, que tu ressentes ton corps comme objet de plaisir, laisser ton instinct ressortir en quelque sorte mais en aucun cas te faire mal pour te faire mal.
Moi : ah ok… je ne suis tout de même pas super rassurée, mais tellement intriguée
Jérôme : Marine, tu n’es pas la première que je vais initier en quelque sorte, et si tu as mal, et que la douleur surpasse le plaisir, dis le moi et j’arrêterai immédiatement. Avec le temps, lorsque je te connaitrais par cœur, que tu auras une totale confiance en moi et inversement, tu n’auras certainement même plus a me le dire.
Moi : d’accord, c’est que je n’ai jamais fait ça, alors bon… enfin je ne sais pas trop a quoi m’attendre en fait.
Jérôme : ça tombe bien parce que j’ai une punition a te donner, je te rappelle…
Moi : ah bon ? J’avais complètement oublié…
Jérôme : pas de ça avec moi, ma coquine, je vais te ramener chez toi ce soir, tu vas monter te laver, te changer, mettre une robe et on va au resto, par contre interdiction de mettre des sous-vêtements, uniquement ta robe et des talons.
Je ne peux m’empêcher de hurler tout fort sur le plateau : « Quoi ? ». Maxime lève la tête et me demande se qu’il se passe et Jérôme, également en profite pour s’enquérir de mon état comme si il en n’était pas la cause.
Je reste sans voix, Jérôme me dit qu’il me trouve plutôt pâlotte et qu’il va me ramener chez moi. Pas un seul son sort de ma bouche, j’ai envie de le gifler pour le petit numéro qu’il joue et en même temps, ma garde robe défile dans ma tête. Est-ce qu’au moi j’ai une robe ? Je dois en avoir une mais où ?
Nous nous dirigeons vers la sortie, en passant devant le bureau d’Alex, je lui souhaite une bonne soirée, il ne relève pas, me lance juste un clin d’œil dont il a le secret « oh il doit être au courant ! »
Une fois dans l’ascenseur, Jérôme me plaque contre une des parois, m’embrasse tout en passant sa main sur mon entre jambes :
Jérôme : « mmm mais tu es trempée ma cochonne »
Moi : « ah… je… »
Jérôme : « t’aimes ça hein que je frotte ma main sur ton sexe… »
Un soupir de plaisir est ma seule réponse. Les portes de l’ascenseur s’ouvrent, nous sommes dans le parking. Nous nous dirigeons vers sa voiture, je suis en alerte, personnes aux alentours, « si ça se trouve il va me prendre là comme ça », j’en suis excitée d’avance, et je me cambre un peu histoire de l’appâter.
Nous arrivons à sa voiture, je me dirige vers la portière passagère, quand il arrive dans mon dos, tout mes muscles se bandent, je retiens mon souffle… mais non il m’ouvre la portière en me disant « la galanterie, si mademoiselle veut bien se donner la peine ».
J’en suis presque déçue, le petit film que je me montais dans la tête commençait à me plaire de plus en plus et je ne peux m’empêcher d’afficher une mine renfrognée.
Il monte sur le siège conducteur, mets le contact et démarre. Je découvre sa voiture : une magnifique Volvo C30 orange métallisée, intérieur cuir gris foncé et crème, console centrale alu, elle en jette. La voiture typique du playboy mais j’aime bien, elle a quelque chose de sauvage…
Nous sortons du parking et il me demande mon adresse, qu’il rentre dans son GPS. Il allume l’autoradio : Kid Rock – All Summer Long, « pas mal ». Je me détends et me laisse porter par cette chanson.
Il me demande de me raconter ma vie, je ne sais pas quoi lui répondre, il me demande comment nous nous sommes rencontrés avec Alexandre.
Moi : « sur un projet il y a 2 ans, il y avait Abdel aussi »
Jérôme : « et entre vous, il ne s’est jamais rien passé ? »
Moi : « non, nous sommes amis »
Jérôme : « mais bien sûre, peut être pour toi ma belle »
Moi : « pardon »
Jérôme : « au vu du petit laïus que m’a servie Alexandre tout à l’heure, je pense que pour lui il y a certainement un peu plus »
Moi : « je ne crois pas non, il essaye juste de me protéger, il m’a connu tellement au fond du gouffre quand j’avais découvert que mon ex me trompait depuis des années avec sa collègue, qu’il ne veut pas que je replonge c’est tout »
Jérôme : « peut être mais je pense tout de même, qu’il y a plus entre vous, mais que vous n’êtes pas prêt a le vous l’avouer et se n’est pas moi qui vais m’en plaindre si tu vois se que je veux dire»
Moi : « je te promets que non, tu te fais des films, Alex est comme un frère pour moi rien de plus »
Tout de même, cette discussion fait naître en moi, une sensation bizarre. Après tout, c’était étrange ce matin dans l’ascenseur, son regard, ses mains sur mes hanches, le temps qui se suspend... Je balaye cette idée de mon esprit, pas le temps de m’encombrer avec ce genre de conneries, je vais mettre mon cerveau en pause ce soir, se qui me fera le plus grand bien.
Avant de partir, je décide de lui en parler en lui envoyant un mess via notre messagerie instantanée.
Moi : faudrait qu’on discute toi et moi
Jérôme : pas de soucis, de toute façon je te rappelle que j’ai une punition à te donner
Moi : c’est ça mon gars, mais avant j’aimerai te parler
Jérôme : je suis tout ouï
Moi : quels sont limites que tu t’imposes dans ton jeu dominant/dominé ?
Jérôme : aucunes…
Cette réponse me glace le sang, et si Alex avait raison, si cela était réellement dangereux, trop dangereux pour moi, vu comme il a déjà pris le contrôle d’une partie de mon être.
Jérôme : … du moment que tu prends du plaisir naturellement, je ne te ferai pas souffrir inutilement. Se que je veux c’est te faire découvrir une nouvelle forme de plaisir, que tu ressentes ton corps comme objet de plaisir, laisser ton instinct ressortir en quelque sorte mais en aucun cas te faire mal pour te faire mal.
Moi : ah ok… je ne suis tout de même pas super rassurée, mais tellement intriguée
Jérôme : Marine, tu n’es pas la première que je vais initier en quelque sorte, et si tu as mal, et que la douleur surpasse le plaisir, dis le moi et j’arrêterai immédiatement. Avec le temps, lorsque je te connaitrais par cœur, que tu auras une totale confiance en moi et inversement, tu n’auras certainement même plus a me le dire.
Moi : d’accord, c’est que je n’ai jamais fait ça, alors bon… enfin je ne sais pas trop a quoi m’attendre en fait.
Jérôme : ça tombe bien parce que j’ai une punition a te donner, je te rappelle…
Moi : ah bon ? J’avais complètement oublié…
Jérôme : pas de ça avec moi, ma coquine, je vais te ramener chez toi ce soir, tu vas monter te laver, te changer, mettre une robe et on va au resto, par contre interdiction de mettre des sous-vêtements, uniquement ta robe et des talons.
Je ne peux m’empêcher de hurler tout fort sur le plateau : « Quoi ? ». Maxime lève la tête et me demande se qu’il se passe et Jérôme, également en profite pour s’enquérir de mon état comme si il en n’était pas la cause.
Je reste sans voix, Jérôme me dit qu’il me trouve plutôt pâlotte et qu’il va me ramener chez moi. Pas un seul son sort de ma bouche, j’ai envie de le gifler pour le petit numéro qu’il joue et en même temps, ma garde robe défile dans ma tête. Est-ce qu’au moi j’ai une robe ? Je dois en avoir une mais où ?
Nous nous dirigeons vers la sortie, en passant devant le bureau d’Alex, je lui souhaite une bonne soirée, il ne relève pas, me lance juste un clin d’œil dont il a le secret « oh il doit être au courant ! »
Une fois dans l’ascenseur, Jérôme me plaque contre une des parois, m’embrasse tout en passant sa main sur mon entre jambes :
Jérôme : « mmm mais tu es trempée ma cochonne »
Moi : « ah… je… »
Jérôme : « t’aimes ça hein que je frotte ma main sur ton sexe… »
Un soupir de plaisir est ma seule réponse. Les portes de l’ascenseur s’ouvrent, nous sommes dans le parking. Nous nous dirigeons vers sa voiture, je suis en alerte, personnes aux alentours, « si ça se trouve il va me prendre là comme ça », j’en suis excitée d’avance, et je me cambre un peu histoire de l’appâter.
Nous arrivons à sa voiture, je me dirige vers la portière passagère, quand il arrive dans mon dos, tout mes muscles se bandent, je retiens mon souffle… mais non il m’ouvre la portière en me disant « la galanterie, si mademoiselle veut bien se donner la peine ».
J’en suis presque déçue, le petit film que je me montais dans la tête commençait à me plaire de plus en plus et je ne peux m’empêcher d’afficher une mine renfrognée.
Il monte sur le siège conducteur, mets le contact et démarre. Je découvre sa voiture : une magnifique Volvo C30 orange métallisée, intérieur cuir gris foncé et crème, console centrale alu, elle en jette. La voiture typique du playboy mais j’aime bien, elle a quelque chose de sauvage…
Nous sortons du parking et il me demande mon adresse, qu’il rentre dans son GPS. Il allume l’autoradio : Kid Rock – All Summer Long, « pas mal ». Je me détends et me laisse porter par cette chanson.
Il me demande de me raconter ma vie, je ne sais pas quoi lui répondre, il me demande comment nous nous sommes rencontrés avec Alexandre.
Moi : « sur un projet il y a 2 ans, il y avait Abdel aussi »
Jérôme : « et entre vous, il ne s’est jamais rien passé ? »
Moi : « non, nous sommes amis »
Jérôme : « mais bien sûre, peut être pour toi ma belle »
Moi : « pardon »
Jérôme : « au vu du petit laïus que m’a servie Alexandre tout à l’heure, je pense que pour lui il y a certainement un peu plus »
Moi : « je ne crois pas non, il essaye juste de me protéger, il m’a connu tellement au fond du gouffre quand j’avais découvert que mon ex me trompait depuis des années avec sa collègue, qu’il ne veut pas que je replonge c’est tout »
Jérôme : « peut être mais je pense tout de même, qu’il y a plus entre vous, mais que vous n’êtes pas prêt a le vous l’avouer et se n’est pas moi qui vais m’en plaindre si tu vois se que je veux dire»
Moi : « je te promets que non, tu te fais des films, Alex est comme un frère pour moi rien de plus »
Tout de même, cette discussion fait naître en moi, une sensation bizarre. Après tout, c’était étrange ce matin dans l’ascenseur, son regard, ses mains sur mes hanches, le temps qui se suspend... Je balaye cette idée de mon esprit, pas le temps de m’encombrer avec ce genre de conneries, je vais mettre mon cerveau en pause ce soir, se qui me fera le plus grand bien.
Dernière modification par Invité le 22 juin 2011, 10:36, modifié 1 fois.
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DeLsEp9
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Invité
Re: Consultante....
Je ferme les yeux, je sens son regard sur moi, c’est très agréable, je le sens sur mes seins les caresser longuement du regard en remontant sur mes tétons. Mes seins se gonflent, j’ai réellement l’impression de sentir comme un souffle sur ma peau. Il descend sur mon ventre, je le creuse, le souffle est toujours là. Puis il regarde maintenant mes cuisses légèrement ouvertes, je les referme, une claque s’abat dessus. Je rouvre les yeux et lui demande si ça va bien dans sa tête.
Jérôme : « ne t’avises jamais de fermer tes cuisses en ma présence, je les veux ouvertes en permanence»
Moi : « quoi ? »
Jérôme : « tu m’as bien compris, ne m’oblige pas a me répéter ! »
Son ton commence à se faire menaçant, je me demande dans quelle histoire je me suis encore embarquée. J’aurai mieux fait de suivre les conseils d’Alex, peut être que cette histoire va mal tourner. En même temps je suis partagée par l’excitation que je ressens.
On arrive en bas de mon immeuble. Il me regarde et me dit que j’ai 30 minutes pas une de plus
« Alors là c’est pas gagné mon pote ». Je sors, tape le digicode, avance au fond de la cour. J’habite un petit 2 pièces sans prétention en banlieue, mais qui a l’avantage non négligeable d’avoir un petit jardin privatif et sans vis-à-vis direct.
Naturellement je mets 5 bonnes minutes a trouver les clés de mon appart, « classique quand on a pas le temps », me prends les pieds dans la bête poilue que je risque d’écraser au lieu de ça je tombe par terre « oh la gourdasse ! ».
Je vire mes fringues, direction la baignoire pour une bonne douche.
J’en ressors, check épilation : « ok » / check heure : « ouh la encore 14 minutes » / check robe : « aïe la c’est la merde ».
« Bon on se concentre et on repense à la dernière fois que j’ai mis une robe, putain mais c’était quand ? », il y a forcément une robe dans ce bordel ambiant, « concentre toi Marine, tu peux le faire. » Ouverture de l’armoire, check en haut, check en bas « trouvée - sauvée ».
Comme un automate je m’habille, enfile la robe, une petite robe noir classique sans prétention au dessus du genou, en même temps c’est ça ou rien.
J’enfile mes talons aiguilles "je me sens tellement sexy avec eux aux pieds", maquillage. Coiffure : je laisse mes cheveux sécher à l’air libre « comme ça ils boucleront ».
Je sors de chez moi, mon cœur se serre en refermant la porte et si je faisais une connerie ? De toute façon c’est trop tard, et puis tout cela m’intrigue trop…
Je commence à avancer dans ma cour quand je me rends compte que par habitude, j’ai mis des sous-vêtements « alerte rouge Marine, vite une solution », ma boîte aux lettres reste le dernier recours. Je retire donc mon tanga, en équilibre sur les talons, je risque de tomber mais me rattrape in extremis, et mon soutien gorge et les fourres dans ma boite au lettres « il faut absolument que je ne les oublies pas sinon c’est mon gardien qui aura une surprise demain matin ».
Les premiers pas sont étranges… sur mon sexe entièrement épilé, je sens le froid le caresser, rendant la sensation presque agréable. Je m’accorde un aller retour dans la cour, pour m’apercevoir que la sensation se fait de plus en plus agréable, je sens quelques gouttes de cyprine sur le haut de mes cuisses…
Jérôme est toujours là, dans sa voiture, il se grille une cigarette, j’attrape la poignée de la porte passager mais elle est verrouillée. Je frappe à la vitre, il tourne la tête et entre ouvre la vitre.
Jérôme : « soulève ta robe et ton manteau »
Moi : « pardon ? mais ça va pas on est dans la rue »
Jérôme : « je déteste me répéter, soulèves ta robe et ton manteau et je t’ouvrirai la portière, c’est aussi simple que ça »
Moi : « mais Jérôme »
Je reste un moment interdite devant se qu’il exige de moi, « après tout je peux très bien faire demi tour et rentrer chez moi ». Mais le jeu est là, l’envie aussi et l’excitation qui commence à monter se fait plus forte.
Je respire un grand coup et comme le condamné au bûcher, je soulève ma robe et mon manteau d’un coup sec jusqu'à ma taille et redescend le tout en une demi seconde.
Jérôme : « je n’ai pas eu le temps de voir. Recommences plus lentement et fais un tour sur toi-même. »
Je rougis, je suis sûre que même dans la nuit froide d’avril, mon visage s’éclaire comme un phare.
Je scrute la rue, « personnes aux alentours », deuxième grande inspiration, je soulève ma robe et mon manteau plus lentement, les maintient sur mes hanches et commence à tourner sur moi-même.
Avant que j’aie finis mon tour complet, j’entends le verrouillage automatique s’enclencher, et je saute dans la voiture sans demander mon reste.
Une fois à bord, je m’installe bien confortablement, Jérôme a redressé le siège, je suis bien droite, je n’oublie pas de laisser mes cuisses légèrement entre ouverte comme il me l’a précisé précédemment, la claque a travers mon pantalon m’a fait mal alors sur ma cuisse nue. Il démarre la voiture, je vois son regard se poser sur mes cuisses.
Jérôme : « Bien a se que je vois tu commences à comprendre les règles »
Moi : « Oui enfin t’enflammes pas non plus »
Jérôme : « attention a comment tu t’adresses à moi, je ne suis pas ton pote, mais ton Maître, et tu me dois le respect »
Je reste scotché, « j’ai envie de lui démonter sa petite gueule de dominateur a deux sous », mais je suis joueuse et au fond de moi je sais que le jeu en vaux la chandelle, et mon corps a envie de lui. Comme si il sentait ma nervosité, il pose sa main droite sur ma cuisse, sans quitter la route des yeux.
La chaleur de sa main, sur ma cuisse fraîche me fait frissonner, mes cuisses s’ouvrent un peu plus pour lui indiquer mon désir de sentir ses doigts sur mon intimité. Mais non il reste ainsi sans bouger sa main, me laissant apprécier sa chaleur qui irradie ma cuisse, puis ma jambe. Je sens ma cyprine coulée un peu plus sur mon sexe, il est tellement proche moi, tout en étant loin.
Jérôme : « ne t’avises jamais de fermer tes cuisses en ma présence, je les veux ouvertes en permanence»
Moi : « quoi ? »
Jérôme : « tu m’as bien compris, ne m’oblige pas a me répéter ! »
Son ton commence à se faire menaçant, je me demande dans quelle histoire je me suis encore embarquée. J’aurai mieux fait de suivre les conseils d’Alex, peut être que cette histoire va mal tourner. En même temps je suis partagée par l’excitation que je ressens.
On arrive en bas de mon immeuble. Il me regarde et me dit que j’ai 30 minutes pas une de plus
« Alors là c’est pas gagné mon pote ». Je sors, tape le digicode, avance au fond de la cour. J’habite un petit 2 pièces sans prétention en banlieue, mais qui a l’avantage non négligeable d’avoir un petit jardin privatif et sans vis-à-vis direct.
Naturellement je mets 5 bonnes minutes a trouver les clés de mon appart, « classique quand on a pas le temps », me prends les pieds dans la bête poilue que je risque d’écraser au lieu de ça je tombe par terre « oh la gourdasse ! ».
Je vire mes fringues, direction la baignoire pour une bonne douche.
J’en ressors, check épilation : « ok » / check heure : « ouh la encore 14 minutes » / check robe : « aïe la c’est la merde ».
« Bon on se concentre et on repense à la dernière fois que j’ai mis une robe, putain mais c’était quand ? », il y a forcément une robe dans ce bordel ambiant, « concentre toi Marine, tu peux le faire. » Ouverture de l’armoire, check en haut, check en bas « trouvée - sauvée ».
Comme un automate je m’habille, enfile la robe, une petite robe noir classique sans prétention au dessus du genou, en même temps c’est ça ou rien.
J’enfile mes talons aiguilles "je me sens tellement sexy avec eux aux pieds", maquillage. Coiffure : je laisse mes cheveux sécher à l’air libre « comme ça ils boucleront ».
Je sors de chez moi, mon cœur se serre en refermant la porte et si je faisais une connerie ? De toute façon c’est trop tard, et puis tout cela m’intrigue trop…
Je commence à avancer dans ma cour quand je me rends compte que par habitude, j’ai mis des sous-vêtements « alerte rouge Marine, vite une solution », ma boîte aux lettres reste le dernier recours. Je retire donc mon tanga, en équilibre sur les talons, je risque de tomber mais me rattrape in extremis, et mon soutien gorge et les fourres dans ma boite au lettres « il faut absolument que je ne les oublies pas sinon c’est mon gardien qui aura une surprise demain matin ».
Les premiers pas sont étranges… sur mon sexe entièrement épilé, je sens le froid le caresser, rendant la sensation presque agréable. Je m’accorde un aller retour dans la cour, pour m’apercevoir que la sensation se fait de plus en plus agréable, je sens quelques gouttes de cyprine sur le haut de mes cuisses…
Jérôme est toujours là, dans sa voiture, il se grille une cigarette, j’attrape la poignée de la porte passager mais elle est verrouillée. Je frappe à la vitre, il tourne la tête et entre ouvre la vitre.
Jérôme : « soulève ta robe et ton manteau »
Moi : « pardon ? mais ça va pas on est dans la rue »
Jérôme : « je déteste me répéter, soulèves ta robe et ton manteau et je t’ouvrirai la portière, c’est aussi simple que ça »
Moi : « mais Jérôme »
Je reste un moment interdite devant se qu’il exige de moi, « après tout je peux très bien faire demi tour et rentrer chez moi ». Mais le jeu est là, l’envie aussi et l’excitation qui commence à monter se fait plus forte.
Je respire un grand coup et comme le condamné au bûcher, je soulève ma robe et mon manteau d’un coup sec jusqu'à ma taille et redescend le tout en une demi seconde.
Jérôme : « je n’ai pas eu le temps de voir. Recommences plus lentement et fais un tour sur toi-même. »
Je rougis, je suis sûre que même dans la nuit froide d’avril, mon visage s’éclaire comme un phare.
Je scrute la rue, « personnes aux alentours », deuxième grande inspiration, je soulève ma robe et mon manteau plus lentement, les maintient sur mes hanches et commence à tourner sur moi-même.
Avant que j’aie finis mon tour complet, j’entends le verrouillage automatique s’enclencher, et je saute dans la voiture sans demander mon reste.
Une fois à bord, je m’installe bien confortablement, Jérôme a redressé le siège, je suis bien droite, je n’oublie pas de laisser mes cuisses légèrement entre ouverte comme il me l’a précisé précédemment, la claque a travers mon pantalon m’a fait mal alors sur ma cuisse nue. Il démarre la voiture, je vois son regard se poser sur mes cuisses.
Jérôme : « Bien a se que je vois tu commences à comprendre les règles »
Moi : « Oui enfin t’enflammes pas non plus »
Jérôme : « attention a comment tu t’adresses à moi, je ne suis pas ton pote, mais ton Maître, et tu me dois le respect »
Je reste scotché, « j’ai envie de lui démonter sa petite gueule de dominateur a deux sous », mais je suis joueuse et au fond de moi je sais que le jeu en vaux la chandelle, et mon corps a envie de lui. Comme si il sentait ma nervosité, il pose sa main droite sur ma cuisse, sans quitter la route des yeux.
La chaleur de sa main, sur ma cuisse fraîche me fait frissonner, mes cuisses s’ouvrent un peu plus pour lui indiquer mon désir de sentir ses doigts sur mon intimité. Mais non il reste ainsi sans bouger sa main, me laissant apprécier sa chaleur qui irradie ma cuisse, puis ma jambe. Je sens ma cyprine coulée un peu plus sur mon sexe, il est tellement proche moi, tout en étant loin.
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Invité
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BjEd9a10
Re: Consultante....
autant j'aime lire ce récit... 
autant je bous .... envie de lui claquer la gueule à ce mec... et qu'il se la mette derrière l'oreille.. 
c'est pas pour moi ça... 
autant je bous .... envie de lui claquer la gueule à ce mec... et qu'il se la mette derrière l'oreille.. c'est pas pour moi ça... -
cLEg7
Re: Consultante....
Clairement pas le genre de choses qu'un mec devrait s'aviser de me faire... Autant avoir mal j'adore, autant ce genre de petits jeux, il peut se la mettre derrière l'oreille...s'il la retrouve après que je la lui aurai coupée avec les dents 