Alex : « Marine, c’est la dernière fois que je te le dis »
Moi : « Que vous me dites quoi, Monsieur le chef ? »
Les mains d’Alex s’abattent sur mes cuisses, passent sous ma robe, agrippent mes fesses et me plaquent contre lui. Sa langue vient dans mon décolleté et remonte dans mon cou, un frisson me parcours, je me sens humide tout d’un coup.
Ses lèvres embrassent longuement mon cou et reviennent sur mon décolleté, mes mains naviguent sur son torse d’éphèbe et un soupir m’échappe. Alors mon bassin commence à imprimer un mouvement suggestif, je sens son sexe durcir contre le mien, et ma langue vient gouter son cou, et jouer avec le lobe de son oreille, je l’entends soupirer à son tour. Je redresse la tête, nos yeux sont rivés dans ceux de l’autre, nos lèvres qu'a quelques centimètres l'une de l'autre, un long moment nous restons ainsi, moi bougeant légèrement, ses mains sur mes hanches pour accompagner le mouvement de mon bassin.
Moi : « on fait une connerie si on fait ça »
Alex : « je le pense aussi »
Moi : « je ne devrai peut être pas dormir ici alors »
Alex : « c’est moi qui te l’ai proposé et puis je sais me contrôler MOI »
Moi : « moi aussi je te signale »
Alex : « c’est ça, ton problème Marine est que tu es joueuse, autant que moi, mais tu as du mal à te maitriser une fois lancée »
Moi : « peut être effectivement, je suis désolée »
Alex : « t’excuses pas, moi aussi j’aurai peut être pas du… enfin bon on arrête ok ? »
Moi : « Oui on s’arrête là, je ne voudrais pas gâcher notre amitié »
Alex : « Moi non plus »
Je me redresse sur mes jambes et Alexandre en fait de même. Nous dormirons dans le même lit, son canapé étant un peu pourri. Il me passe un de ses t-shirt pour dormir, n’ayant pas prévu de ne pas rentrer chez moi. Puis nous nous couchons mais contrairement à l’autre fois, nous sommes chacun dans un coin du lit. Nos restons un moment à discuter avant que je m’endorme au son de sa voix.
Lorsque j’ouvre les yeux, je mets un moment avant de réaliser où je suis, je suis allongée sur le ventre et la gueule de bois est bien présente. Alexandre dort sur moi, sa tête repose sur mon dos, un de ses bras me maintient comme dans un cocon. Ce contact est agréable, sentir son corps contre le mien, nos peaux collées l’une à l’autre « allez Marine faut que tu bouges ».
J’essaye de bouger, mais le poids d’Alexandre m’en empêche, quand soudain je sens sa main commencée à caresser mes côtes.
Moi : « Alex ouvre les yeux »
Alex : « mmmm… Marine ?... Oh pardon excuse-moi»
Moi : « y’a pas de mal »
Alex : « ouah ouh, mais j’ai dormi longtemps comme ça ? Enfin je veux dire sur toi? »
Moi : « je sais pas je viens de me réveiller »
Alex : « café ? »
Moi : « non mais une aspirine avec grand plaisir, et un verre de jus d’orange ira très bien »
Alex : « oui moi aussi je vais en prendre une »
Nous petit déjeunons, il est 13h, moi qui ne suis pas une grosse dormeuse d’habitude, il faut croire que j’étais bien. Je quitte Alexandre, direction chez moi, je prévois de passer le reste du week-end tranquillement chez moi, pour une fois que je n’ai rien de prévu.
Laisse mon divin popotin prendre des vacances toi, déjà qu'il y est que depuis ce matin... Quand j'aurai décompressé du mois de folie à faire garde-chiourme pour trolls adolescents on en recausera, des suites.
J'ai affreusement envie de dormir là, et c'est un peu tout.
Kireseth a écrit :Laisse mon divin popotin prendre des vacances toi, déjà qu'il y est que depuis ce matin... Quand j'aurai décompressé du mois de folie à faire garde-chiourme pour trolls adolescents on en recausera, des suites.
J'ai affreusement envie de dormir là, et c'est un peu tout.
Je peux te comprendre.
Mais vais je prendre le temps de te plaindre,
Là est toute la question....
Que tu me plaigne ou pas de toute façon t'auras pas la suite tout d'suite. Quand j'suis pas motivée ni inspirée j'écris, disons le franchement, de la merde. Donc, je préfère m'abstenir.
Kireseth a écrit :Que tu me plaigne ou pas de toute façon t'auras pas la suite tout d'suite. Quand j'suis pas motivée ni inspirée j'écris, disons le franchement, de la merde. Donc, je préfère m'abstenir.
Je te comprends, si l'inspiration n'est pas là, il est mieux de ne rien écrire.
Samedi 18h.
Après avoir passée la moitié de la journée dans mon canapé, sous la couette, la boule de poils dans mes bras, je me rends compte qu’au final, j’aimerai bien sortir « vu le programme télé de merde ». Je repense au texto de Jérôme et décide d’y répondre : Rentrée hier soir mais soirée chez Alex jusqu'à pas d’heure. Dispo ce soir ?
Quinze minutes plus tard, je reçois une réponse : Vernissage d’une amie si tu veux m’accompagner ? Nous verrons pour la suite…
« Ouais y'a plus fun qu’un vernissage un samedi soir », mais voyons le coté positif : open bar petit fours et champagne et puis la suite m’intrigue.
Je lui réponds que c’est ok, il passe me prendre pour 19h30.
Je file sous ma douche et viens le moment cruciale du choix de la tenue, décontracte mais chic, sexy mais pas trop « il y a vraiment des jours où je préfèrerai être un mec, plus facile de trouver une tenue correcte » . J’opte pour le jean, petit top noir décolleté mais pas trop et sandales compensées. Pour une fois je laisse mes cheveux libres, mes lunettes de soleil en serre tête finiront ma tenue.
19h25 - Je sors et je le trouve entrain de fumer une cigarette à m’attendre, je m’approche de lui, « il est très sexy », jean et col roulé beige qui fait ressortir son regard de braise. Il m’attrape par la taille et m’embrasse simplement.
Jérôme : « bonsoir charmante demoiselle »
Moi : « bonsoir, comment tu vas ? »
Jérôme : « pas mal et toi ? »
Moi : « ça peut aller »
Jérôme : « tu veux m’en parler ? »
Moi : « non je préfère pas »
Jérôme : « ok, on y va ? »
Nos montons dans sa voiture, direction le vernissage de son amie. Il m’explique qu’elle est photographe et que c’est sa première exposition, c’est une amie de longue date, un amie d’enfance « intéressant » qu’il considère plus ou moins comme sa petite sœur puisqu’elle est légèrement plus jeune que lui.
Sa main vient se poser sur ma cuisse et la remonte lentement jusqu'à mon sexe. Une fois calée, dans mon aisne, il ne la bouge plus. Sentir cette chaleur directement contre mon sexe, me fait légèrement mouillée et je ne peux pas m’empêcher de me dire que j’aimerai bien passer à la suite maintenant.
Jérôme : « sous vêtements ? »
Moi : « uniquement un soutien gorge »
Jérôme : « mais tu te dévergonde Marine »
Moi : « à ton contact oui »
Jérôme : « bien alors vire moi ce soutif, ne soit pas ridicule, c’est tout ou rien »
Moi : « tu sais c’est vraiment pénible pour moi de ne pas en porter »
Jérôme : « je sais, mais je veux voir tes tétons pointés »
A cette phrase je sens mes seins prendre du volume et je me rends compte qu’effectivement mes tétons ont durcis « il m’énerve ». Je me débrouille au mieux pour retirer mon soutif pendant que Monsieur conduit, un fois retiré je lui jette sur le tableau de bord.
Jérôme : « non franchement des seins aussi charmants et voluptueux se seraient dommage de ne pas en faire profiter tout le monde. »
Il accompagne ses paroles du geste, englobant mon sein gauche avant de le faire rouler entre ses doigts, puis sa main revient se reposer sur ma cuisse.
Jérôme : « caresses toi Marine »
Moi : « Quoi ? »
Jérôme : « caresses toi, caresses tes seins, fait les gonfler, tends moi ces petites pointes »
Je réfléchie trente seconde à sa requête et m’exécute. Chacune de mes mains prends possession d’un de mes seins, je dessine leur forme du plat de ma main lentement, avant de remonter sur mes tétons érigés et d’appuyer légèrement sur leur extrémités pour les faire rouler. Un soupir m’échappe, je ferme les yeux pour profiter pleinement de mes caresses.
Jérôme m’accompagne de sa voix, m’encourageant à me donner du plaisir, je sens mon entrecuisse s’humidifier un peu plus « il a le don pour me mettre dans des états impossibles ». Il se gare dans un parking, je le remarque à peine tellement je suis concentrer sur mes caresses et le plaisir qu’elles me donnent.
Il détache sa ceinture et vient me lécher le cou et me masturber a travers mon jean. Mon bassin se mets en mouvement, mes mains et mes doigts deviennent fous sur mes seins et mon ventre. Mon souffle commence a se faire plus court. Mes lèvres s’agrippent à celles de Jérôme, pendant qu’une de ses mains vient prendre le relais d’une des miennes. Il me pince franchement le téton droit, se qui déclenche des ondes électriques dans tout mon corps, je commence a gémir.
Jérôme : « t’aimes ça ? »
Moi : « Oui c’est bon »
Jérôme : « t’aimes que je te donne du plaisir comme ça »
Moi : « Oui »
Jérôme : « Parfait alors allons y parce que sinon on va être en retard »
Je suis scotchée par son attitude, me laisser dans un état comme ça « s’est inhumain et tellement bon à la fois ». Je sais que c’est intentionnel de sa part, je dois maintenant avoir un regard légèrement lubrique, les yeux pétillants et je sens que tout mon corps bouge différemment plus sensuellement. Ma cyprine a légèrement humidifiée mes cuisses, je me sens chaude, bouillante et plus désirable que jamais.
Nous arrivons au vernissage et immédiatement une jolie petite blonde vient se jeter a son cou.
Jérôme : « Marine, je te présente Amélie. Amélie voici Marine »
Amélie : « Enchantée Marine, et merci de venir ce soir, c’est une soirée très importante pour moi »
Marine : « Oui je me doute, et alors vous vous connaissez depuis longtemps tout les deux ? »
Jérôme : « je vous laisse discuter entre filles, moi je vais me chercher à boire, Marine, je te ramène une coupe ? »
Marine : « oui merci »
Amélie : « on a grandit ensemble, les parents de Jé et les miens étaient voisins, on habitait un petit village, alors... Mais il ne t’a jamais parlé de ça, tu es pourtant sa copine, non ? »
A ces mots, je réalise qu’on a jamais réellement discuté de cela, pour moi, Jérôme était plus un fuck-friends mais peut être que les choses ne sont pas pareils pour lui.
Moi : « euh, je ne sais pas trop si on peut dire ça de nous deux, disons que c’est peut être un peu précipité. Tu l’as appelé comment ? Jé ? »
Amélie : « oui, c’est un petit surnom, un truc de gosse, vient je vais te faire visiter »
Amélie me tire par le bras et m’emmène, m’explique chacune des photos, sur certaines il me semble reconnaître Jérôme enfant. Je ne suis pas sûre, elle me répond par la positive, elle a commencé jeune a prendre des photos et effectivement certaine d’entre elle ont plus de 15 ans.
Je suis stupéfaite par quelques unes, des paysages qui vous donnent envie de plonger dans la photo et certains portraits qui vous amènent a réfléchir sur la vie du sujet. J’aime beaucoup son style.
Elle me laisse continuer a faire le tour de l’expo, sollicité par d’autres personnes, quand au fond de la troisième salle, à l’écart, je tombe sur une photo de Jérôme devant laquelle je reste scotchée. Son regard transpire la souffrance, exactement la faiblesse qu’on ne peut pas lui imaginer.
Jérôme : « je venais de perdre mon père et ma copine quand Amélie a pris cette photo »
Tellement absorbée je n’avais pas sentie sa présence dans mon dos, je sursaute au son de sa voix.
Jérôme : « désolée je ne voulais pas te faire peur... Champagne ? »
Moi : « non c’est bon. Euh oui merci. C’est… enfin… ce regard, cette souffrance et se qui en découle »
Jérôme : « Amélie voulait me faire un électrochoc pour que je me rende compte de l’image que je renvoyais aux autres. Au décès de mon père, je venais d’avoir 20 ans, la vie s’offrait à moi sur un plateau d’argent, grande école, j’avais une copine avec qui j’avais des projets... Et malheureusement le destin en a choisi différemment, je me suis retrouvé du jour au lendemain l’homme de la maison, j’ai eu du mal a m’en remettre. Cette photo a été prise 6 mois après son décès, ma copine ne comprenant pas que je faisais une légère dépression, que j’avais des responsabilités et plus vraiment le temps pour la fête venait de me quitter pour un autre gars. »
Moi : « je ne savais pas… je suis désolée »
Jérôme : « il n’y a pas a être désolé, c’est la vie, et puis ça m’a permis d’être celui que je suis aujourd’hui ».
A cet instant, il se colle à moi et passe sa main sous mon top sur mon ventre, avant d’insinuer l’un de ses doigts sur mon pubis. Je sursaute, je suis surprise par ce changement de comportement si soudain. Ses lèvres viennent fouiller mon cou, se qui me déclenche un frisson.
Jérôme : « et toi je peux te dire que ce soir ça va être ta fête »
Comme toute réaction je frotte mes fesses à son sexe que je sens légèrement gonfler. Sa main continue son parcours et remonte sur l’un de mes seins, qu’il vient caresser et sous peser généreusement, branlant mes tétons pour les gonfler encore plus.
Un soupir de bonheur sort de ma gorge, nous continuons ainsi notre manège, me frottant beaucoup plus fort contre son sexe, pendant que sa main est maintenant sur mon autre sein avec lequel il joue sur mon aréole. Mon cerveau s’est arrêté de tourner, il a rallumé la flamme dans mon ventre, j’ai envie de plus, toujours plus.
Jérôme : « mais t’es sacrément lubrique ce soir. J’aimerai beaucoup voir la tête du mecs qui est derrière la vidéo surveillance »
Moi : « je suis sûre qu’il a autant envie de moi que toi »
Jérôme : « mademoiselle est joueuse ce soir ? Ca tombe vraiment bien, parce que j’ai des projets, je suis sûre que ça va te plaire» me dit-il en me mordant le lobe de l’oreille.
Moi : « tu as donc des projets pour mon petit cul ? »
Jérôme : « oh que oui et pas que ton cul, je vais te faire jouir comme jamais »
Moi : « humm »
Jérôme : « Mais avant j’ai une correction a te donner »
Moi : « et qu’est ce que j’ai fait ? »
Jérôme : « tu n’as pas répondu à mon texto hier soir... Et comme ça tu as passé la nuit chez Alexandre. »
Moi : « oui, j’avais besoin de mon ami Alex pourquoi ? »
Jérôme : « et tu as dormi chez lui, et il ne s’est rien passé ?»
Au moment où il dit ça, des images de notre petite scène "caliente" avec Alexandre hier soir me traverse l’esprit. Tout mon corps se tend comme un i. Jérôme arrête immédiatement ses caresses et passe face moi.
Jérôme : « il s’est donc passé quelque chose ? »
Moi : « non rien, on a failli déraper mais on s’est vite arrêtés »
Jérôme : « failli déraper ? Racontes moi ça ? »
Moi : « on jouait, je le provoquais en l’appelant Monsieur et voilà… »
Jérôme : « et voilà, quoi ? En détail »
Moi : « je me suis assise à califourchon sur lui et j’ai bouger mon bassin comme je le faisais a l’instant, il m’a lécher dans le cou, mais on s’est arrêté »
Jérôme : « et tu aimes ça, te frotter comme une petite chienne ? »
Aussitôt sa main se pose sur mes fesses et me plaque à lui. Ce mot a déclenché de l’électricité dans tout mon corps. Je me sens coulée le long de mes cuisses « humm, oui ça m’excite, et ce mot… ». Et je me frotte lentement, sensuellement en douceur, imperceptiblement pour les personnes autour de nous.
Nos bouches se trouvent, nos lèvres se soudent, nos langues jouant l’une avec l’autre.
C’est Amélie, qui vient desserrer notre étreinte enflammée.
Amélie : « dis donc vous deux, y’a des endroits pour faire ça »
Jérôme : « excuses nous mais on a des fois du mal a se contrôler »
Amélie : « heureusement que vous êtes dans cette salle un peu à l’écart des autres »
Moi : « excuses nous Amélie »
Amélie : « ça va je sais se que sait quand on s’aime, la passion et la fougue du début » nous lance t elle avec un clin d’œil.
A cette phrase Jérôme, comme moi nous écartons l’un de l’autre. Cela me rassure, je pense que nous sommes d’accord tout les deux sur l’aspect physique de notre relation.
Amélie a du déceler notre réaction puisqu’elle me regarde au fond des yeux, puis passe à Jérôme, interloquée.
Amélie : « vous n’êtes pas ensemble, enfin en couple ? »
Moi : « non pas vraiment, enfin… »
Jérôme : « disons que notre relation est purement physique »
Moi : « tout à fait, très bien dit, j’aurai pas fait mieux »
Jérôme : « quoi, c’est vrai non ? »
Moi : « absolument »
Nous nous regardons et explosons de rire, finalement nous avions tous les deux la même vision de notre relation sans même en parler franchement.
Nous essayons de nous tenir un peu a l’écart l’un de l’autre, le moindre contact déclenchant des frissons aussi bien pour lui que pour moi. Amélie nous propose de rester manger avec elle et certains de ces amis, mais Jérôme décline, prétextant un dossier brûlant sur lequel il doit travailler avec moi « très fin mais j’adooore ».
Aussitôt dans le parking Jérôme me colle contre le premier poteau venu, me remonte mon top pour déguster mes seins, qu’il lèche et aspire avant de les mordiller. Je suis comme folle, je plaque sa tête contre mes seins, le traitement qu’il leur administre est à la fois doux et violent, les sentiments se mélangent en moi pour ne renforcer que mon désir… C’est une voiture qui nous arrête et nous filons dans la sienne. Une fois à l’intérieur je me jette sur lui, j’ai envie de le gouter, de l’aspirer, d’administrer à son chibre chaud le même traitement qu’il a fait subir à mes tétons.
Je sors son vît, le prend en main et commence a le branler doucement avant de gouter du bout de ma langue son gland turgescent. Sa main vient caresser mes cheveux et mon dos, se qui m’encourage a continuer… Je commence a gober son gland, continue de le lécher puis j’avale centimètre par centimètre cette queue donc j’avais tant envie. Ma main continue a le branler pendant que ma bouche s’active pour la lubrifier.
Je l’aspire, le lèche, ma langue découvre les moindres contours de cette verge qui durcit sous mes assauts. Puis je me mets à le pomper toujours plus vite et plus fort, je l’entends soupirer, et me demander de continuer, je m’applique, je veux lui rendre le plaisir qu’il m’a donné jusqu'à présent, le faire jouir dans ma bouche. Sa main agrippe légèrement mes cheveux pour me donner le rythme qu’il souhaite en bonne élève je m’exécute tout en essayant de le prendre encore plus loin et en entier dans ma bouche. Il émet un râle, les premiers jets arrivent au fond de ma gorge, avant de remplir ma bouche, j’avale le tout avec délectation, il n’a pas mauvais gout, bien au contraire. D’habitude je n’avale pas aussi facilement mais là j’en avais juste envie. Une fois son sexe bien nettoyé, je me redresse et le regarde, il me sourit et me remercie. Il m’embrasse avec toute la délicatesse que mettent les hommes dans leur baiser quand une femme vient de les avaler, et je lui propose de passer à la suite.
Il s’allume une cigarette, me regarde et continue a me caresser les cheveux de sa main, pendant que moi aussi je fume une cigarette. Nous restons ainsi sans dire un mot, bercé par le bruit que l’on fait en fumant.
Jérôme : « je peux te demander quelque chose ? »
Moi : « oui bien sûre ? »
Jérôme : « est ce que tu attends plus de notre relation Marine ? »
Moi : « quoi ? Non bien sûre que non, ça me va très bien »
Jérôme : « t’es sûre parce que j’ai répondu à Amélie sans t’en avoir parlé alors… »
Moi : « Jérôme, il n’y a pas de soucis, je ne veux pas de vie de couple, je veux juste du cul… Pour l’instant je ne suis pas prête a me mettre en couple, crois moi et je trouve que physiquement on s’entend bien, non ? »
Jérôme : « on est donc sur la même longueur d’ondes tous les deux alors ? »
Moi : « oui je pense »
Jérôme : « et ça te prends souvent de faire des fellations comme ça ? »
Moi : « dis-moi que tu n’as pas aimé »
Jérôme : « non bien au contraire, mais ça m’a surpris, c’est tout »
Moi : « je suis pleine de surprise comme fille, tu apprendras à le découvrir. En attendant j’attends la suite ? »
Jérôme : « tu as un peu chamboulé se qui était prévu, je ne peux délibérément pas te punir autant que je le voulais avec la pipe que tu viens de me faire, mais pour la forme, je te fesserai tout de même »
Moi : « humm j’ai hâte »
Jérôme : « ça t’excite ? »
Moi : « oui, bizarrement j’ai beaucoup aimé la dernière fois, alors… »
Jérôme : « ne perdons pas de temps »
Jérôme démarre sur les chapeaux de roues et nous partons en direction de son appart.
Il rentre dans le parking d’un immeuble neuf du 20ème arrondissement, puis se gare. Nous prenons un ascenseur qui atterrie directement dans son appart au dernier étage. Je découvre son appartement, version loft new yorkais, grande surface, grandes baies vitrées, cuisine américaine, décoration dans les tons, rouge, noir et métal « comme dans les magazines, je suis sûre qu’il a fait appel à une décoratrice ».
Jérôme : « je t’en prie fais comme chez toi »
Moi : « eh bah ça va être un beau bordel si je fais comme chez moi »
Jérôme : « oui c’est vrai, oublies se que je viens de te dire, poses tes affaires sur le fauteuil, tu bois un verre ? »
Moi : « qu’est ce que tu me propose ? »
Jérôme : « les classiques : martini, whisky, bourbon, vin rouge ou blanc, champagne ? »
Moi : « vin blanc alors »
Jérôme « bien mademoiselle, tu as faim ? Tu veux qu’on se commande un truc ? »
Moi : « non ça va les petits fours m’ont suffit »
Jérôme « oui moi aussi, Amélie avait vu les chose en grand, comme toujours »
Jérôme arrive dans le salon et me rejoint sur le canapé en me tendant mon verre. Lui s’est servi un verre de rouge, nous trinquons et il me raconte sa semaine de travail. Le fait que c’est lui qui a repris ne partie de mes tâches en mon absence. Il me fait un pseudo point de la situation, c’est marrant, je suis samedi soir et pas a un seul moment je me suis demandé qui s’était chargé de mes tâches. La vieille Alexandre m’avait expliqué sa vision mais plus version "client".
Alors qu’on discute de tout et de rien, je me lève et vais voir la vue que l’on a de chez lui « tout simplement magnifique » : Paris à ses pieds. La nuit extérieure reflète son appart dans la vitre, et ainsi je le vois arriver dans mon dos. Je ne bouge pas, nous nous regardons à travers la baie vitrée, son visage plonge dans ma nuque qu’il lèche et ses mains s’installent sur mes hanches. Je me laisse faire, chaque baiser rallume le feu qui me brulait tout à l’heure.
Je commence a soupirer, il pose un doigt sur mon visage qu’il tourne vers le sien. Nos langues rentrent en contact bien avant nos lèvres, nos bouches se mangent, mes mains se posent sur les siennes pour les guider vers mes seins. Il s’insinue dans mon décolleté, le contact de sa main fraîche sur mes globes me déclenche un frisson, ma peau devient granuleuse. Un moment ils jouent avec, les caressent, les malaxes, passent ses doigts sur mes aréoles qui gonflent mais sans jamais touchés mes petites pointes pourtant érigées de désir.
Puis je me retourne, me presse contre lui, continue de l’embrasser tout en caressant de nouveau son sexe à travers son jean d’une main et je coupe là notre étreinte.
Moi : « tu me laisses aller prendre une douche ? »
Jérôme : « très bonne idée »
Moi : « seule si possible »
Jérôme : « bien comme tu veux, tu ne perds rien pour attendre de toute façon »
Il me guide vers la salle de bain, qui donne directement sur la chambre, me donne une serviette et me dit qu’il m’attend dans le salon.
Pendant que je me déshabille, je découvre sa chambre, bien rangée, 2 photos sont posées en exposition sur la commode, un couple « ses parents certainement » et le même couple avec un jeune garçon de 14 ans environ « ouah comme il a changé, même si son regard est toujours le même ».
Je file sous la douche, se qui me permets de me délasser, et de me sentir plus fraiche que dans mon jean trempée par ma mouille.
Lorsque je réapparais devant lui c’est uniquement vêtue de la serviette « de toute façon je vais finie nue alors autant ne pas perdre de temps ». Lui aussi c’est mis à l’aise, il n’a plus que son boxer, je crois que c’est la première fois que je le vois ainsi, je redécouvre son torse recouvert d’une toison brune, à travers laquelle on devine ses muscles, sa carrure vraiment imposante, ses épaules paraissent encore plus large ainsi dénudée. Ses jambes très musclées, des cuisses larges et puissantes « belle bête ».
Moi : « merci, mais je me suis dit que cela ne servait à rien que je me rhabille »
Jérôme : « très bonne initiative »
Moi : « oui autant t’éviter des tâches inutiles »
Jérôme : « approches toi »
Je m’approche de lui, mon cœur bat a tout rompre, j’ai l’impression de le sentir battre dans mes tempes, et qu’il peut l’entendre sans soucis, à la fois je connais la finalité de se qu’il va se passer, mais je n’en connais pas le déroulement.
Jérôme, posant une main sur ma poitrine : « t’as peur ? on a l’impression que ton cœur va éclater »
Moi : « non, enfin un peu, un subtil mélange de peur et d’excitation »
Jérôme : « bien. Tu me fais confiance ? »
Moi : « oui, enfin je crois, pourquoi ? »
Jérôme : « Marine est ce que tu as confiance ou non, c’est aussi simple que ça ? »
Moi : « alors oui »
Jérôme : « bien, très bien, tu te rappelles que si jamais ça ne va pas tu as juste a me le dire ? »
Moi : « oui »
Son regard a changé, à l’instant même où j’ai répondu oui, c’est ce regard de mâle dominateur affamé devant sa proie qui vient de réapparaître, et malgré le frisson de peur qui me parcours, je sens mon sexe éclore comme une rose.
Jérôme : « donnes moi tes mains »
Mon cœur a un loupé mais je m’exécute, j’ai hâte de connaître la suite, « qu’est ce qu’il va me faire, comment va-t-il me faire jouir cette fois ci ». Il attache fermement mes poignées avec une corde mais sans que ça me fasse mal non plus. Puis il me bande les yeux, sur le moment je panique, mais il me rassure en me répétant que je dois avoir confiance en lui.
Il me prend dans ses bras, me câline, m’embrasse tendrement le cou, les épaules, ses mains commencent a caresser mon corps, passant le long de mes épaules puis sur mes bras pour remonter sur mon sillon mammaire. Un premier soupir est lâché, je me sens de plus en plus humide. Privée de mes mains et de ma vue, j’ai la sensation que tout mes autres sens se développent comme jamais.
Il m’encourage a me laisser faire, me détendre, je me laisse envouter par ses caresses qui maintenant remontent de mon genou à l’intérieur de mes cuisses mais sans jamais atteindre mon mont de vénus pourtant ardent. Il continue ce petit jeu, je l’entends tourner autour de moi et en me concentrant j’arrive même a capter la chaleur de son corps, je la laisse m’envahir, ses doigts passent et repassent sous cette serviette, jusqu'à se que je lui demande de me la retirer. Mes seins gonflés sont engoncés dedans, mes tétons durcis frottent contre l’éponge, alors qu’ils aimeraient se dresser fièrement devant lui et qu'il les titille.
Jérôme : « pas tout de suite, souviens toi que c’est moi qui décide »
Moi : « humm »
A cette affirmation, je sens nettement un filet de cyprine couler le long de ma cuisse, « se n’est pas possible », et mes reins se cambrer comme pour s’offrir un peu plus à lui, à ses caresses.
Jérôme : « c’est ça Marine, présente moi un peu ta jolie croupe, que je la fesse »
Moi : « comme ça ? »
Jérôme : « oui comme ça, mais je suis sûre que tu peux faire mieux ».
Il me fait bouger, tourner, avancer, je sens son regard sur moi qui m'observe. Jérôme vient contre mes fesses, et je me cambre au maximum contre son sexe que je sens a peine gonflé, pour répondre à son attente, quand il me soulève les bras au dessus de la tête. Je me laisse faire, pour suivre le mouvement quand il me tire vers le haut, je me mets sur la pointe des pieds, quand je sens quelque chose de dure et froid entre mes poignées, avec mes mains je le touche. Il m’a accroché, « je le crois pas » certainement a espèce d’anneau, mais je n’en ai pas vu dans son salon. Mes yeux bandés m’empêchent de me repérer dans l’espace, un nouveau vent de panique m’envahie, mais il se presse contre moi et le fait disparaître aussitôt.
Ses mains continuent de me caresser et détachent enfin la serviette, la position doit être celui d’une belle femme, entièrement nue, seins et pointes érigées vers le plafond, cambrée, cul tendu et offert, incapable de faire quoique se soit. Je me visualise dans ma tête et me trouve pas mal « sexy en diable», j’en profite pour me cambrer un peu plus.
Jérôme : «que tu es belle ainsi Marine en salope offerte »
Ses mains parcourent mes seins, en redessinent la forme, puis il fourre délicatement ses doigts dans ma bouche, je les lèche avidement mais il les retire avant de faire rouler mes tétons entre ses doigts humidifiés de ma salive, je sens une fraicheur persistée quand il les relâche « humm ». Il me plaque en douceur contre le mur, se qui fait monter en moi la vague du plaisir, la fraicheur de la pierre, me fait couler un peu plus. Quelque chose d’humide parcours mon dos, « un doigt ?» du haut vers le bas et lorsqu’il atteint ma raie culière le doute n’est plus permis « c’est sa langue ».
Il s’insinue, s’attarde sur mon œillet, le force en douceur avant de plonger vers ma fente, le gémissement est la seule chose qui exprime réellement le plaisir que je ressens, quand la pointe de sa langue rentre en contact avec mon clitoris. Je me cambre encore plus, pour lui donner le meilleur accès tout en écartant les jambes. Malheureusement il remonte repassant sur mon étoile, je ne peux retenir un feulement de contestation et la réplique est immédiate, une première claque tombe.
Jérôme : « on ne râle pas Marine, combien de fois il va falloir que je te répète que c’est moi qui décide »
Moi : « mais… »
Une seconde fessée s’abat sur mon cul, la surprise passée, je sens mes fesses qui chauffent et la boule du plaisir montée en moi. J’ai honte de me trouver dans cet état là et à la fois je sens ma fente détrempée.
Jérôme : « je pensais t’en donner 10 mais au vue de la pipe de tout à l’heure on va redescendre à 6, naturellement les 2 premières ne comptent pas »
Je ne sais pas quoi répondre, je préfère me taire et attendre qu’elles tombent chacune leur tour. La première me surprends, je pousse une sorte de couinement, elle est un peu plus forte que celle de la dernière fois et je sens nettement la marque brûlante laissée par ses doigts et sa paume. Puis la deuxième tombe, j’ai à peine le temps de reprendre mon souffle que la troisième suit.
Il parcourt d’un doigt ma fente ruisselante, je sens que tout mon sexe est ouvert, mes grandes lèvres sont gonflés, mon clitoris gorgé à souhait. Il me pénètre d’un doigt puis deux, ses doigts trouvent sans son soucis mon point G et entament un massage divin. Je recommence a gémir de plaisir, je pourrais jouir ainsi sur ses doigts si il le voulait mais je sais, je sens que se n’est que le début d’un long chemin vers un nouvel orgasme encore plus fort que le précédent. Il se retire de ma grotte.
Jérôme : « franchement Marine, tu verrais dans quel état tu es, tu devrais avoir honte »
Et il a raison, je me sens un peu honteuse de ne pouvoir retenir de tels gémissements et d’y prendre du plaisir. La quatrième claque sur les marques déjà laissées par les précédentes, un hoquet m’échappe ; La cinquième tombe sur l’arrière de ma cuisse gauche, je ne peux retenir un cri cette fois ci. Et c’est la sixième qui tombe sur l’arrière droite, j’ai à la fois honte et je suis plus excité que jamais, il caresse longuement et doucement les marques brûlantes de ses doigts, se qui a pour effet d’apaiser le feu laissé par celles-ci. Puis sa bouche vient embrasser mes fesses, j’ai la sensation que la chaleur est aspirée par ses lèvres même si elle reste présente, puis il remonte le long de ma colone, je frissonne à nouveau.
Il passe entre moi et le mur, m’embrasse fougueusement et relève le bandeau de mes yeux, je le vois, un sourire resplendissant sur les lèvres à la réponse que je viens de lui donner, puis il me le remet. Ses lèvres embrassent les moindres parties de mon cou et mon décolleté avant de s’attaquer à mes seins, ses mains sont sur mes hanches. Sa bouche joue avec mes tétons, sa langue parcoure mes aréoles gonflées, se retire pour laisser sa bouche aspirer mes pointes. Je gémis, lui dit que c’est trop bon. Mais il ne s’arrête pas, il passe sur mon ventre, qu’il embrasse, mordille par touche, insère sa langue dans mon nombril puis descend inexorablement vers mon sexe.
Aucun son ne résonne dans la pièce autre que celui de ma respiration qui se fait plus forte, plus saccadée, et de ses baisers sur ma peau, il passe de mon ventre à mes hanches puis mes cuisses, les embrasses, les lèches. Les marques fraîches laissées par sa salive sur ma peau déclenchent de nouveau frissons, la chaleur et la fraîcheur tout se mélange dans mon esprit… je ne suis qu’une boule de plaisir prête à exploser.
Il embrasse l’intérieur de mes cuisses, les lèches remontant vers mon puits, mais l’évite tournant autour avec sa langue et ses lèvres. Je gémis, couine, j’ai envie de sa langue. Mais il joue, continue, la moindres de ses caresses est décuplées par la privation de certains de mes sens.
Moi : « lèche moi Jérôme… je veux sentir ta langue »
Jérôme : « on ne réclame pas Marine, tu le sais, mais j’aime t’entendre me supplier… »
Moi : « s’il te plait, j’ai envie de ta langue »
Alors il prend ma jambe gauche qu’il passe sur son épaule, je sens la chaleur de son visage tout près de mon sexe glabre. Il lèche du bout de sa langue mes grandes lèvres, les embrasses, les suçotes, je soupire. Il repasse sur mon pubis avant de se jeter sur ma fente, il me mange, me déguste, je le sens partout sur moi, deux de ses doigts me pénètrent pendant qu’il s’acharne sur mon clitoris.
Son autre main a agrippé une de mes fesses pour m’empêcher de me décoller son visage de mon abricot ruisselant. Mes gémissements se font désormais cris de plaisir, jamais un cunnilingus n’a été aussi bon, je suffoque, une décharge puissante remonte de mes reins à ma gorge, je hurle, mes mains se resserrent autour du crochet, dernière chose a laquelle me raccrocher face au ravin de plaisir dans lequel je m’abandonne.
Je me sens couler presque éjaculer, et il ne s’arrête que quand mes tremblements se transforment en spasmes violents. Il se relève et m’enserre dans ses bras, prends chacune des mes cuisses et les referme sur sa taille, ainsi soulevée je peux retirer mes poignées de l’anneau pour les passer autour de son cou. La notion de petite mort prend enfin tout son sens, je ne suis plus qu’une poupée de chiffon dans ses bras. Jérôme me porte et m’allonge sur son lit en douceur, il défait mes poignées, me couvre d’une couverture et me prends dans ses bras, me câline tendrement. Mon visage contre son torse je me rends alors compte que je pleure tellement cette jouissance a été forte, bonne et inimaginable.
Je mets un long moment avant de pouvoir rouvrir les yeux, calmer les spasmes qui me parcourent et reprendre une respiration normale.
Jérôme : « ça va ? »
Moi : « oui » dans un chuchotement
Jérôme : « tu veux quelque chose ? »
Moi : « non… si qu’on reste encore comme ça un moment »
Il ne me répond rien, il ne fait que resserrer notre étreinte, mes lèvres viennent à la rencontre des siennes, et nous nous embrassons juste nos lèvres remuent jamais nos langues se mêlent à ce doux baiser.
Jérôme tout doucement commence à sombrer dans un demi sommeil, je me lève et me dirige vers la salle de bain, j’ai besoin d’une douche pour me remettre de cette soirée.
Je retourne dans le salon pour récupérer la serviette et découvre l’anneau auquel j’étais attachée pendant cette douce séance de plaisir que je n’oublierai jamais, et je file sous l’eau chaude.
Je reste longtemps, la tête contre le carrelage a laisser l'eau ruisseler sur mon corps sans bouger. Je sens mes muscles reprendre vie petit à petit.
Doucement Jérôme se glisse sous la douche également et vient contre moi. Il me prend le savon des mains, et m’en enduit tout le corps, s’attardant sur mes seins, faisant durcir mes pointes, mon ventre et mon clito, je sens un nouveau plaisir naitre sous ses caresses. Il me regarde m’embrasse, presse mon corps contre le sien pour me malaxer les fesses.
De même je prends son gel douche et caresse longuement son corps, son torse, ses fesses « quel joli petit cul », et sa hampe que je branle doucement pour l’amener à une taille convenable. Il nous rince, masse mon clito avec le jet du pommeau de douche, je soupire, il sort de la douche, me tends la main pour m’aider a en sortir, je dégouline, pardon nous dégoulinons sur le tapis, puis il attrape mes fesses, me soulève et me pose sur le rebord du lavabo.
Sans un mot il s’enfonce en moi, ni trop brusquement, ni trop lentement, mes jambes se verrouillent autour de sa taille, mon bassin se mets en mouvement pour l’aider à monter encore plus haut en moi. Nous nous regardons dans les yeux, pour voir le plaisir de l’autre monter inexorablement. Nos corps claquent l’un contre l’autre, pour une fois nous faisons l’amour, la première fois. Aucun mots n’est prononcés, nos soupirs parlent d’eux même. Jérôme se retire et va s’assoir par terre contre le mur, je réponds à cette invitation en venant m’empaler sur son vît et je commence une douce danse. Il me presse contre lui, embrasse mon cou, me lèche les seins de temps à autres.
Pour ma part je ne m’arrête pas, il passe ses mains sous mes fesses, pour m’aider a me soulever plus haut, je me retire entièrement pour retomber plus fort, les va et vient se font plus lourd, plus puissant, nous nous embrassons dans une infinie tendresse, ma bouche suce sa langue comme si c’était son sexe avant de la mordiller. Il ferme les yeux, mon plaisir monte, ses doigts caressent mon œillet palpitant qui s’ouvre. Il enfonce délicatement un doigt, je rejette ma tête en arrière, a moi d’imposer le rythme que je veux, je l’enfonce plus profondément en moi, le pouce de son autre main vient caresser mon bouton déjà gorgé de plaisir.
Mes soupirs se font gémissements, « c’est doux, tendre, parfait ». Je sens mon jus couler sur lui, il me chuchote qu’il me trouve magnifique, pour toute réponse je l’embrasse puis ma tête se cale dans son cou, mon bassin devient incontrôlable, mes mouvements sont guider par mon unique plaisir et la jouissance qui m’envahit, plus discrète que la précédente mais tout aussi meilleure.
Il fait tourner mon clitoris du bout du doigt et je sens toute ma vulve se contracter sur lui, il me mordille l’oreille, soupire, et je le sens se rependre en moi quand j’explose, nos cris se conjuguent à merveilles.
Il retire délicatement son doigt et me plaque contre lui pour m’embrasser, ses mains caressent mon dos, les miennes son torse.
Moi : « je vais rentrer »
Jérôme : « laisses moi te raccompagner »
Moi : « je peux reprendre une douche ? »
Jérôme : « oui, je vais me fumer une clope »
Il sort ainsi de la salle de bain, pendant que je rentre sous la douche.
Il me raccompagne et me pose des questions sur mon ressentie concernant la soirée de ce soir, est ce que j’ai aimé, se que j’ai moins aimé. En parler ainsi avec lui me fait du bien. Lorsque nous arrivons devant chez moi, il se gare. Je m’allume une cigarette et reste la fumer dans sa voiture.
Jérôme : « pour se qui est arrivé après »
Moi : « quoi ? dans la salle de bain ? »
Jérôme : « oui, je… »
Moi : « c’était parfait et tu le sais aussi bien que moi, mais je n’attends pas de toi, que tu me fasses l’amour, même si de temps en temps c’est agréable »
Jérôme : « … »
Moi : « quoi je n’aurai pas du te dire ça ? »
Jérôme : « tu es la première femme a qui je fais l’amour depuis très longtemps »
Moi : « je suis désolée Jérôme, je ne voulais pas te blesser »
Jérôme : « tu ne me blesses pas, je voulais juste que tu le saches »
Moi : « ah… euh ok, tu sais moi aussi… enfin tu es le premier avec qui je fais l’amour depuis mon ex. Mais je ne veux pas trop de tendresse entre nous, enfin disons une juste dose. La tendresse m’affaiblit alors évitons un maximum, ok ? »
Jérôme : « ok, petite salope, alors prépare toi parce que la prochaine fois… »
Je lui souris, écrase ma cigarette et sors de sa voiture en lui lançant un clin d’œil. En me retournant, je crois apercevoir un trait de tristesse sur son visage, mais j’ai du rêver.
Je rentre chez moi, direction mon lit avec tout ça il est presque 2h du mat.
Dernière modification par Invité le 07 juillet 2011, 11:08, modifié 1 fois.
Je passe le reste du week-end à la maison devant la télé dans mon canapé confortablement installée avec la bête poilue. Jérôme m’envoie un texto pour prendre de mes nouvelles dans l’après-midi, et je lui réponds que tout va bien. Une étrange sérénité s’est emparée de moi depuis la vieille au soir avec Jérôme. J’ai le sentiment que faire le point sur notre relation a été une chose bénéfique que nous aurions peut être du faire depuis un certain temps.
Le lundi lorsque j’arrive au travail, tout le monde me présente ces condoléances, je m’y attendais et même si à chaque fois, j’ai un pincement au cœur, la douleur est plus que tolérable. Alex m’attrape en me demandant si jeudi soir je ne peux pas venir diner avec lui, sa fameuse rencontre : Rosalie (ou Rose comme il l’appelle) sera là et il souhaite me la présenter, j’accepte avec plaisir : il veut mon avis, « pourquoi pas…».
Alex : « tu seras honnête, parce que voilà elle est sympa, elle me plaît mais… »
Moi : « pas de soucis, je te donnerai mon avis objective d’amie »
Alex : « tu peux inviter Jérôme si tu veux, comme ça on sera 4 »
Moi : « …ah euh… oui tiens pourquoi pas, mais tu sais on n’est pas un couple »
Alex : « oui je sais mais ça fera peut être moins tribunal si tu viens accompagnée »
Moi : « bah écoutes je vais lui proposer et on verra »
Alex : « ok ça roule, tu me tiens au courant pour que je réserve le resto »
Moi : « comptes sur moi »
Une fois à ma place, je commence a bosser quand une fenêtre clignote
Jérôme : « particulièrement bandante aujourd’hui, tu l’as fait exprès »
Moi : « de quoi tu parles, c’est une vieille robe que j’ai retrouvé au fond de mes affaires »
Jérôme : « non sérieusement, je te prendrai bien la tout de suite sur ton bureau si je pouvais »
Moi : « Jérôme, arrêtes, j’ai du boulot »
Jérôme : « moi aussi, mais je n’arrive pas a me concentrer avec ton cul a ma porter »
Moi : « bien et qu’est ce que je peux faire, pour te faire plaisir ? »
Jérôme : « je ne sais pas j’y réfléchis encore, tu as cependant de la chance qu’on soit en open-space… De toute façon il faut qu’on se voit pour que je te fasse un point des affaires que j’ai traité pour toi ;-) »
Moi : « yes, tu veux qu’on se voit maintenant ? »
Jérôme : « dans 10 minutes, le temps que je finisse se que je fais et que tu dépiles tes mails »
Moi : « ok »
Un point seul à seul avec Jérôme, ça va être dure de me retenir de le toucher, j’ai envie de lui depuis que je l’ai vu ce matin avec cette chemise bleu, mon corps a immédiatement réagit, mon string a pris cher et ne parlons pas de mes tétons durcis qu’on peut voir même à travers mon soutif. J’essaye de me concentrer sur ma boite mails et les 350 messages qui sont tombés, quand il s’approche de mon bureau.
Jérôme : « t’es dispo pour qu’on se fasse un point, en salle de réunion ? »
Moi : « oui pas de soucis, en salle de réunion ? »
Jérôme : « oui comme ça on sera plus tranquille pour que je t’explique tout les dossiers à voir »
Moi : « ok »
Emmy me lance un clin d’œil en nous voyant partir vers la salle de réunion. Tout en le suivant mon esprit s’enflamme « La salle de réunion, sérieux, il va pas me prendre dans la salle de réunion ? ». Rien qu’a cette idée, je sens sans difficulté mon sexe éclore et ma cyprine humidifier un petit peu plus mon string.
Une fois dans la salle, il prend soin de bien refermer la porte derrière lui, et s’installe consciencieusement alors que je m’attendais a me retrouver plaqué sur la table ou le mur.
Je le regarde interloqué, il y a des fois où son attitude me rend perplexe, je m’assieds à coté de lui.
Jérôme : « tu t’attendais a se que je te prenne là comme ça ? »
Moi : « bah euh… oui enfin je ne sais pas. Dans la salle de réunion ça craint en même temps, non ? »
Jérôme : « petite perverse »
Au même moment, je sens sa main s’infiltrer sous ma robe remontant de mon genou à mon sexe. Il plaque sa main contre mon sexe puis la retire.
Jérôme : « mais t’es déjà trempée, une vraie petite chienne en chaleur »
Je ne sais pas quoi répondre, sa main a déclenché des frissons, ma peau est terriblement granuleuse et mon compas généreusement ouvert en demande de nouvelles caresses. Quand a comment il m’a traité : « petite chienne, humm » mon con ne fait que s’ouvrir un peu plus et je sens ma cyprine perler d’avantage sur ma fente.
Je me lève pour soulever ma robe « hors de question de se retrouver avec une tâche » et me rassoir sur le fauteuil même. La sensation est saisissante et pas agréable au premier abord, le tissu pique légèrement mes fesses mais je m’y fais.
Jérôme : « mais tu es lubrique Marine »
Moi : « je ne suis pas lubrique, je pense juste qu’une jolie tâche sur ma robe serait gênant pour le reste de la journée »
Jérôme : « certes… et t’as position est parfaite »
Moi : « merci »
Jérôme : « on attaque ? parce qu’on ne va pas y passer la journée ? »
Moi : « allez c’est parti »
Jérôme m’expose pendant près d’une heure, les problèmes sur mes dossiers, ceux qu’il a pu clore, les nouveaux, les remontés clientèles. Une réunion de travail typique entre collègue, nous avons presque finit quand soudain il se lève et viens se positionner en face de moi.
Jérôme : « branles-toi Marine »
Moi : « quoi ? »
Jérôme : « NE ME fais pas répéter s’il te plait, je veux voir comment tu te fais jouir »
Je ne demande pas mon reste, tout mon sexe est en feu, je sens mon clitoris réclamer mes caresses comme jamais. Je défais, quelques boutons de mon chemisier et une de mes mains vient jouer sur l’arrondi de mon sein pendant que l’autre commence à caresser l’intérieur de mes cuisses.
Mes doigts pincent mon téton et aussitôt un courant électrique me parcourt, je rejette ma tête en arrière et fermes mes paupières pour mieux me concentrer sur le plaisir que je me donne.
L’un de mes doigts s’insinue sur ma fente et écarte la ficelle du string et mes lèvres avant de s’enfoncer en moi. Je pousse un premier soupir, deux de mes doigts remontent sur mon clitoris et je commence à me branler frénétiquement, je sens mon jus coulé sur ma raie et sur le fauteuil, mais je ne compte pas m’arrêter dans mon plaisir, Jérôme m’encourage, lâchant de temps à autres quelques mots salaces à mon égard, se qui m’excite encore plus.
Je suis tellement concentrée dans ma jouissance tellement proche que je ne le sens pas arriver derrière moi. Il passe ses doigts dans mon cou, avant de venir attraper fermement mes seins et de m’embrasser.
Il se redresse et me présente son sexe dur et ce gland cramoisi que j’avale en bouche sans demander mon reste. Il vient rejoindre ma main, pour m’amener vers l’orgasme pendant que je l’aspire « une vrai scène de film X » mais c’est bon, je n’ai plus aucune barrière sauf celle de notre jouissance commune. J’explose en première, quand il enfonce deux de ses doigts en moi, je viens ainsi sur ces doigts. Pour retenir mon cri je le prends encore plus fermement et profondément entre mes lèvres, je veux qu’il jouisse dans ma bouche une fois de plus, il me caresse le visage, je plonge mon regard dans le sien, sans cesser mon activité de pompage. Sa hampe lubrifiée à souhait glisse sur ma langue et mes lèvres. Quand il agrippe mes cheveux et repousse ma tête loin de son vît. Instinctivement je sors la langue pour essayer de l’attraper de laper cette queue, ce gland qui me fait envie, mais il est trop loin.
Jérôme me fait me lever et m’installe, mains et avant bras à plat sur le bureau, croupe offerte, il redresse ma robe sur ma taille, et écarte la ficelle trempée de mon string. Il avait prévu son coup depuis le début se que je comprend lorsqu’il sort un préservatif de sa poche. Il passe un doigt le long de ma colonne de haut en bas, se qui me fait cambrer les reins, d’un coup sec il s’enfonce en moi.
Il maintient fermement ma taille d’une main et agrippe mes cheveux de l’autre. Je me sens salope, chienne comme jamais, je suis entrain de me faire prendre en levrette dans cette salle de réunion et je ne peux penser à autre chose qu’au plaisir que ce chibre me donne en coulissant ainsi en moi. Il me pilonne, nos corps claquent brutalement l’un contre l’autre et au moment ou une nouvelle vague de plaisir me submerge, il a le réflexe de plaquer sa main sur ma bouche pour étouffer mon râle. Il continue de me pilonner et chaque va et vient accroît ma jouissance avant de jouir à son tour.
Nous reprenons assez vite nos esprits, nous rhabillons et décidons de lancer la clim et ouvrir la fenêtre pour aérer cette odeur de sexe qui emplie maintenant toute la pièce. Il dépose un baiser sur mon front et nous repartons a notre open-space comme si de rien n’était.
Moi : « au fait, ça m’est complètement sortie de la tête mais tu fais quoi mercredi soir ? »
Jérôme : « ça dépend de se que tu me proposes » me répond t il un sourire délicieusement perverse
Moi : « Alex nous propose un diner pour que je rencontre sa, possible, nouvelle copine »
Jérôme : « toi et moi ? »
Moi : « Oui, il se dit que comme ça, elle aura moins l’impression d’être face à une juge intransigeante »
Jérôme : « alors je ne suis là que pour faire de la figuration ? »
Moi : « le prends pas comme ça, et puis ça pourrait être marrant ? »
Jérôme : « jouer les couples, très peu pour moi… je ne vois pas se qu’il y a de marrant là dedans »
Moi : « Le dessert par exemple ? »
Jérôme : « Le dessert ? Tu deviens affamée Marine »
Moi : « de ta queue ? oui... »
Je pars en lui lançant un clin d’œil vers mon bureau, aussitôt mon poste ouvert il m’envoie un message pour me dire que c’est d’accord mais que j’ai intérêt a me surpasser.
Le début de la semaine file a une vitesse grand v, entre les réunions, les dossiers qui s’empilent, le retard que j’ai a rattraper, je ne prends conscience du diner de mercredi soir que lorsqu’Alexandre me le rappel le matin même.
Alex : « toujours ok pour ce soir ? »
Moi : « ce soir ?! Quoi, ah oui, ça m’était complètement sorti de la tête. Oui bien sûre on sera là »
Alex : « cool, j’ai réservé chez Barlotti pour 21h30 c’est bon pour vous ? »
Moi : « oui ça ira comme ça j’aurai le temps de repasser chez moi »
Alex : « tu as prévu de t’habiller pas trop sexy j’espère »
Moi : « Pourquoi ? Aurais tu peur que je la fasse fuir »
Alex : « pas fuir, mais la mettre mal à l’aise oui, c'est quelqu'un d'assez réservée… »
A ce moment précis, Jérôme passe dans couloir, et Alexandre l’apostrophe.
Alex : « 21h30 chez Barlotti ce soir ça te va ? »
Jérôme : « oui pas de soucis, Marine je passerai te prendre pour 21h, ça te va ? »
Moi : « parfait ça me va très bien »
Je finis ma journée à 20h, c’est Jérôme qui me rappelle que je dois partir si je ne veux pas être en retard et lorsque j’arrive chez moi mon portable vibre, sms de Jérôme : « je te veux très désirable ce soir », je lui réponds : « Alex veux pas trop sexy. Peur que sa copine soit pas a l’aise », il me répond aussitôt : « on s’en fout d’Alex, c moi qui te le dit donc tu fais ».
Je ne prends pas la peine de répondre, ce texto vient de déclencher un frisson dans tout mon corps, et oui je vais m’habiller sexy pour chauffer un peu l’ambiance mais avant tout Jérôme.
Je file dans un bon bain, et aussitôt dans l’eau je repense à Jérôme et la tenue que je pourrais mettre. Sans même m’en rendre compte, mes mains parcourent mon corps, mes doigts jouent avec mes tétons, les excites, les pinces. Un main vient caresser mon ventre puis passe sur l’intérieur de mes cuisses.
Oh c'est trop Jak
merci Jak
Donc, je préfère m'abstenir.
)
