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Vintage a écrit :
Hahaha, très drôle... :valfa: :valfa: :valfa:


V., contrit :bicho:
:sweet: :sweet: :sweet:
DeLsEp9

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Cedille92 a écrit : :sweet: :sweet: :sweet:

t'es pas gentille avec ce tit bouchon. :hein:


arrête de le titiller. :blabla:
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moi pas gentille, tu déconnes, je suis un ange :ange:

et je titille rien, même si perso...
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Un de mes doigts dessine des ronds sur elles, en remontant progressivement vers mon abricot que je sens humide malgré le bain chaud dans lequel je me trouve. Une de mes mains continuent ses caresses sur mes seins, pendant qu’une de mes jambes se pose sur le rebord de la baignoire, mes cuisses bien ouvertes, je commence a me caresser, mes grandes lèvres, que je cajole en repensant a la langue de Jérôme, puis les petites.
Mon doigt dessine les contours de mon sexe avant de s’introduire profondément en moi pour ressortir, un deuxième vient s’enfoncer aussitôt, je n’ai plus l’impression que c’est les miens mais ceux de Jérôme, je commence un va et vient puissant, tout en posant le pouce sur mon clitoris et que je fais tourner.
Mes doigts sortent de mon antre brûlante pour venir sur mon clitoris, je le caresse, le pince, les frissons qui parcours mon corps tranchent avec la chaleur de cette salle de bain, mes pointes sont tendues à leur maximum, je commence a haleter, ma bouche s’ouvre légèrement, tout mon corps a faim de cette jouissance et de ces caresses que je me donne.

Je redescends l’un de mes doigt sur mon œillet que je sens palpiter contre la pulpe de mon doigt, j’attaque un doux massage, se qui ne fait qu’accroitre mon plaisir et l’orgasme qui monte en moi. J’introduis une de mes phalanges pas plus et reste ainsi en moi juste a sentir mon corps vibrer sous mes caresses. Mon autre main alterne sein droit puis sein gauche dans un rythme désordonné. Puis délicatement je remonte sur mon clitoris gorgé de sang et gonflés, je commence a le faire rouler, le caresse de haut en bas et inversement avant de le maltraiter de plus en plus fort au rythme de la chaleur qui m’envahit. J’entends la voix de Jérôme m’accompagnant dans les caresses que je me donne, j’ai la sensation de sentir ses mains sur mon corps, ma vulve se contracte, un dernier soupir et 3 cris s’échappent de ma gorge, je continue mes caresses pour profiter pleinement des spasmes violents qui déchaînent mon corps, de l’orgasme que je viens de m’accorder.

Je desserre doucement la pince que deux de mes doigts forme sur mon téton, pendant que mon autre main vient se poser sur mon bas ventre, pour ressentir les spasmes de ma vulve.
Je me laisse glisser sous l’eau pour profiter de l’apesanteur dans la quelle je règne, avant de ressortir la tête et de sentir nettement un sourire s’accrocher sur mes lèvres. Je regarde l’heure, 20h45 « il est temps de mettre le turbo ».
Je finis mon bain et attrape des sous vêtement en dentelles noirs, soutien gorge pigeonnant et tanga, jean et haut légèrement décolleté laissant apparaître le galbe de mes seins et deviner le reste.
En me postant devant ma glace pour me maquiller, je regarde le sourire gravé sur mon visage « l’orgasme est le plus beau produit de beauté qui existe au monde » et commence a me maquiller.

Jérôme me bip quand il arrive, j’enfile mes talons, attrape ma veste et sors direction sa voiture.
Lorsque j’arrive la portière est fermée, je me baisse alors pour le laisser admirer mon décolleté avant de faire un tour sur moi-même lui présenter mes fesses que je cambre légèrement.
La portière se déverrouille, je monte dans sa voiture, nous démarrons direction le restaurant.

Jérôme : « croupe toujours aussi délicieuse »

Moi : « merci »

Jérôme : « et ce décolleté, humm je mangerai bien dessus »

Moi : « re-merci »

Arrêté à un feu rouge, Jérôme me scrute, lorsque je le regarde à mon tour, je sens mon sourire s’étendre sur mes lèvres, légèrement honteuse je baisse les yeux, je rougis presque.

Jérôme : « je le crois pas… »

Moi : « quoi ? » essayant de prendre un air de détaché

Jérôme : « tu t’es caressée »

Moi : « euh… joker »

Jérôme : « mais t’es une sacrée perverse »

Moi : « tu n’as pas dit que tu me voulais sexy ? »

Jérôme : « j’ai dit désirable pas puant le sexe à des kilomètres à la ronde »

Moi : « ça ne te plait pas ? »

Jérôme : « si j’aurai aimé voir ça c’est tout, mais tu vas m’allumer tout le restaurant »

Moi : « et alors ? C’est toi qui m’aura au final ? »

Jérôme : « certes mais je pense à Alex et sa copine »

Moi : « Alex est un ami et tu le sais, et sa copine, elle ne le verra sans doute pas »

Jérôme : « ça m’étonnerai… on verra… pauvre Alex… »
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Nous arrivons devant le restaurant, Jérôme me laisse descendre pendant qu’il va chercher une place, je lui demande si il veut que je reste, mais non, il me dit qu’il me rejoint, déposant un baiser chaste sur mes lèvres.

Lorsque j’arrive devant l’hôtesse cette expression : "puer le sexe" tourne dans ma tête, je regarde autour de moi et effectivement les hommes et certaines femmes me regardent. Je sens leur regard sur mon corps lorsqu’elle me conduit vers la table où Alexandre et Rosalie sont déjà installés. Le regard d’Alex est sans équivoque, il n’est pas très ravie de ma tenue, mais lui aussi ne peut s’empêcher de me déshabiller un bref instant du regard.

Alex : « Marine, je te présente Rosalie. Rose je te présente Marine »

Rose : « Enchantée Marine, vu comme il me parle de toi, je suis contente, vraiment »

Moi : « Merci, moi aussi ravie de te connaitre Rose c’est ça ? »

Rose : « Oui je préfère »

Alex : « Et Jérôme ? »

Moi : « il gare la… Ah bah non le voilà »

Alex : « Rose-Jérôme, Jérôme-Rose »

Jérôme : « Ravi »

Rose : « moi aussi »

Je vois Rose nous détailler du regard, ma tenue, mon décolleté sur lequel elle reste un moment et Jérôme surtout, je suis sûre qu’elle aussi ressent le magnétisme qui se dégage de lui.
Alexandre aussi me regarde, m’interroge des yeux comme pour savoir se qu’il m’a pris de mettre un tel décolleté. Je n’essaye même pas de relever et commence à me concentrer sur Rose. Très jolie petite blonde vénitienne, taille mannequin pour ne pas changer des conquêtes d’Alex, un magnifique regard vert émeraude et une douceur naturelle qui se dégage d’elle « il a peut être enfin trouvé la bonne… ». A cette pensée je sens mon cœur se serrer.

Rose : « et donc vous êtes ensemble depuis longtemps ? »

Moi : « quoi ? Qui ? Nous deux ? disons que… »

Jérôme : « c’est tout récent »

Je suis interloqué par la réponse de Jérôme, il me regarde et me lance un clin d’œil, puis se penche a mon oreille et me susurre « tu veux que je lui explique se que nous faisons en salle de réunion »
A cet évocation je redresse le dos au fil du frisson qui me parcours, imposant un peu plus mes seins aux regard de tous et il n’a pas tord, autant lui faire croire que nous sommes en couple cela est beaucoup moins compliqué. Au même moment Jérôme pose sa main sur la mienne et nos doigts s’entremêlent « c’est marrant comme jeu après tout ». Je resserre notre lien en pressant sa main dans la mienne.
Alexandre reproduit exactement le même geste avec Rose, c’est curieux de le voir se comporter ainsi avec une fille. Je me rends compte que jamais je n’ai vu Alexandre avec quelqu’un, je le voyais partir de soirée avec une de ses conquêtes, mais jamais je ne l’avais vu attentionné, séducteur, doux. Cela change de son mode dragueur et c’est appréciable.

La serveuse arrive enfin pour prendre notre commande alors que Rose nous explique son boulot de comptable dans une petite société, visiblement elle ne s’éclate pas mais comme elle dit : « il faut bien payer les factures » elle est justement à la recherche d’un nouveau poste mais sa patronne lui fait du chantage affectif en lui disant que sans elle la société s’écroulera. Au fur et à mesure de la soirée, j’apprécie Rose a tel point que je ne peux me dire que si Alexandre merde avec elle c’est à moi qu’il aura a faire. Nous rigolons d’une serveuse qui fait tomber des assiettes, d’un couple qui s’engueulent, chantons lorsqu’un gâteau d’anniversaire arrive pour une table voisine, une soirée sympathique en somme.
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Message par Biquette »

:clea: :clea: :clea:
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
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Message par Laphoenix75 »

:love: :love:
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Bikette a écrit ::clea: :clea: :clea:
Merci jolie biquette :timide:

Laphoenix75 a écrit ::love: :love:
:barbidule: :barbidule: my beloved light :barbidule: :barbidule:
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Message par Vintage »

Cedille92 a écrit : Alex : « Rose-Jérôme, Jérôme-Rose »
J'illustre mes compliments comme je peux avec ce que j'ai sous la main.

Enfin, quand je dis la main... :cinglé:


V., voir le post à mecs :court:
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Vintage a écrit : J'illustre mes compliments comme je peux avec ce que j'ai sous la main.

Enfin, quand je dis la main... :cinglé:


V., voir le post à mecs :court:
:jap: oui oui j'ai bien vu, merci :love: :miam:
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Je me lève pour aller aux toilettes, mon idée bien en tête « c’est sympa de jouer les couples, mais pimentons un peu la soirée ». Une fois enfermée à double tour, je retire mon jean puis mon tanga, rien de plus marrant à faire, et la sensation du denim sur la peau est pour le moins stimulant.
De retour à la table, je glisse l’objet du délit dans la poche de pantalon de Jérôme, qui s’empresse de regarder se que j’y ai mis. Sa réaction est sans équivoque, aussitôt son sourire en coin se dessinent sur ses lèvres, il se penche vers moi et me dit :

Jérôme : « parce que tu crois pouvoir m’allumer ainsi ? »

Moi : « loin de moi cette idée, chéri »

Jérôme : « fais la mariolle mais tu rigoleras moins tout à l’heure.

Moi : « miam j’ai hâte »

Jérôme : « profites en Marine »

Je pose une main sur sa cuisse comme n’importe quel couple, nous nous regardons dans les yeux et nous embrassons simplement. Lorsque je me retourne vers Alexandre, je le vois surpris, et je réalise que ça doit être la première fois qu’il me voit embrasser Jérôme.

Notre soirée continue, rythmée avec les animations des salles, quand soudain, à quatre tables de nous, un homme laisse tomber un genou à terre, c’est Rose qui nous le fait remarquer, je regarde cette demande en mariage avec une froideur qui m’étonne moi-même. Je trouve cela ridicule de faire une demande ainsi dans un restaurant plein de monde et qui est tout sauf romantique, mais plutôt grande chaîne.
Jérôme, lui, en profite pour sortir fumer une cigarette et me laisser seule avec Alexandre et sa copine. En le regardant partir je regarde Alexandre, qui à la même réaction que moi puisqu’il en profite pour continuer de manger son entrecôte et mes yeux se portent sur Rose. Là je suis stupéfaite, on dirait une adolescente en adoration devant sa première paire de chaussures à talons. L’expression "des étoiles dans les yeux" prends tout son sens, Alexandre a toujours le nez dans son assiette et je ne peux m’empêcher de lui envoyer un coup de pieds sous la table pour qu’il me regarde. Son regard parle de lui-même, visiblement c’est "la partie" qui coince avec Rose. Je continue à la regarder vouer une admiration sans borne pour cet acte qui me révulse, certainement parce que je suis passée par là mais sans la fin heureuse escomptée. Le « oui » prononcé Rose est la première à applaudir et se tourne vers moi, mais change pour une posture interrogative lorsqu’elle s’aperçoit de mon attitude. Jérôme revient s’assoir à ce moment là et semble lui aussi troublé par moi.

Rose : « tu ne trouves pas ça romantique Marine ? »

Moi : « romantique ? Une demande en mariage dans un restaurant comme ça ? Non »

Rose : « ah bon ? Pourtant t’es une fille, et au fond de nous, on a toute notre rêve avec le mariage et la robe de princesse… »

Moi : « disons que mon rêve a finit aux abîmes et c’est transformé en cauchemar »

Rose : « oh ! Désolée je ne savais pas, Alex ne m’avait pas dit que… »

Moi : « et je l’en remercie. Oui j’ai déjà eu une demande en mariage et vécu ce moment où on a l’impression que le monde entier t’appartient. Mais le retour à la réalité a été brutale »

Rose : « ah… je suis désolée, je ne savais pas, je suis un peu une gamine sur ce plan »

Moi : « et je te comprends, je l’étais… c’est juste qu’aujourd’hui c’est différent pour moi. Je ne crois pas que le mariage soit vitale a un couple qui s’aime c’est tout. »

Rose : « et bien moi je vois ça comme l’acte d’amour ultime. D’ailleurs je ne me vois pas faire des enfants sans être mariée »

Moi : « chacun son point de vue Rose, je le comprends j’avais le même, ça a changé c’est tout. Si vous voulez bien m’excusez je vais fumer »

Alex : « Marine, tu veux que… »

Moi : « Non Alex… »
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Les larmes montent, ma gorge se serre et une brèche dans mon cœur vient de se rouvrir. Je n’avais pas pensé à cette demande en mariage depuis bien longtemps : ce matin de mon anniversaire où il m’avait réveillé avec cette petite boite. Plus que quelques mètres et je serai sauve, loin de cette foule qui soudainement m’oppresse, je pourrai exploser, laisser sortir ces larmes « non je ne dois pas pleurer, j’ai assez versé de larmes pour lui », à ce moment là une main m’attrape le bras, je ne regarde pas qui s’est et cache mon visage contre cette épaule réconfortante.

Jérôme : « je ne savais pas je suis désolé »

Moi : « il n’y a pas à être désolé, c’est la vie »

Je reste un instant sans bouger essayant d’avaler tant bien que mal cette boule, j’inspire par le nez histoire de maîtriser mes larmes et laisser le parfum de Jérôme m’envahir. Enfin je sens la boule descendre et disparaitre en moi, la douleur de ma poitrine s’allège, je suis devenue reine en se qui est de maîtriser ces émotions.

Jérôme : « il t’avait demandé en mariage, alors ? »

Moi : « et oui… »

Jérôme : « et il te trompait déjà »

Moi : « oui »

Jérôme : « mais pourquoi alors ? »

Moi : « pour faire diversion certainement, je commençais à me douter de quelque chose »

Jérôme : « oh ! »

Moi : « fin de la discussion, je ne veux plus en reparler »

Nous finissons notre cigarette dans un silence de mort, je n’ose pas lever mes yeux et croiser son regard et pourtant au moment où je relève la tête je tombe sur son regard noir, sévère et dure. Je ne veux pas savoir se qu’il en pense, je veux oublier ça et refermer la boite dans laquelle ce souvenir était enterré toute ces années.

Lorsque nous retournons à notre table, Alexandre et Rose sont entrain de s’embrasser, un nouveau pincement se fait ressentir dans mon cœur et malgré cet acte d’affection touchant, je ne peux m’empêcher de penser que cela sonne faux. Je sais qu’Alexandre n’est pas du genre a vouloir se marier absolument et prévoir sa vie comme elle la prévoit elle. Elle est douce attentionnée, intelligente mais elle attend beaucoup trop d’un homme à mon sens, elle a encore ces rêves de petites filles « quelque part je l’envie ». Rose ne peut s’empêcher de me présenter une nouvelle fois ces excuses que j’accepte, après tout elle ne pouvait pas savoir. Les desserts arrivent et j’entame un nouveau sujet, histoire de redynamiser l’ambiance de la soirée.

Moi : « alors Alex, les prochaines vacances c’est pour quand ? »

Alex : « je ne sais pas faut que je regarde, j’ai Titi, tu te souviens de lui ? »

Moi : « Titi ? Euh non je ne vois pas, attends ah si le grand brun ? »

Alex : « ouais c’est ça et bah figures toi qu’il bosse en Irlande maintenant et qu’il m’invite quand je veux à passer une semaine là bas. »

Moi : « super ça comme plan, tu crois que je peux me taper l’incruste ? »

Alex : « bien sûre, qu’il n’y aura aucun problème, au contraire il sait qu’on rebosse ensemble alors… »

Moi : « alors il faut qu’on s’organise ce voyage alors »

Jérôme reste impassible comme si il s’en foutait royalement que sa copine se casse à l’étranger avec un mec, alors que Rose reste interloqué du fait que pas à un seul moment Alexandre lui demande de venir avec nous.
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Alors que je mange mon tiramisu, je sens la main de Jérôme sur ma cuisse, en signe de satisfaction j’ouvre un peu plus mon compas jusqu'à se que ma jambes se colle à la sienne, ses doigts dessinent des arabesques sur l’intérieur de mes cuisses, en remontant lentement sur mon sexe.
Je sens ma vulve s’ouvrir, ma cyprine couler et un courant électrique me traverser, discrètement j’ouvre ma braguette afin de laisser le champ libre à Jérôme qui y introduit un doigt. Du bout de celui-ci il vient caresser mon clitoris, je ne peux m’empêcher de soupirer et je dois rassembler mes forces pour ne rien laisser paraître. Jérôme est imperturbable, il continue à se mêler à la conversation tout en me masturbant. De mon côté je continue de manger mon gâteau, jouant avec ma cuillère sur mes lèvres instinctivement comme je le ferai avec son sexe dont j’ai envie.
Alexandre nous regarde, je n’arrive pas a savoir si il devine se qui se déroule sous table ou si il se dit juste que ce soir j’ai décidé de chauffer simplement Jérôme.
Les doigts de Jérôme pince mon clitoris avant de le décapuchonner et de l’exciter un peu plus, je mouille comme jamais, je sens mon désir naitre au creux de mon ventre, mes seins deviennent dure, malgré mes sous vêtements mes tétons sont bien apparent sous mon haut. Un instant je ferme les yeux afin de ressentir un peu mieux ces caresses mais la voix d’Alexandre me fait revenir à moi, pendant trente secondes le doute s’installe en moi, est ce que je ne me suis pas laissée emporter par mon plaisir.

Alex : « ça va Marine ? Tu es bizarre »

Moi : « oui, un coup de chaud c’est tout » sans le regarder je sais que Jérôme sourit à cette réflexion de ma part.

Ma fente dégouline de plaisir sous les caresses de Jérôme et je dois me contenir au maximum pour ne pas me laisser glisser vers la volupté de la jouissance qui point son nez.

Jérôme : « on va y aller, Marine ? C’est pas tout ça mais demain journée chargée, n’est ce pas Alex ? »

Moi : « euh… Oui… Bien sûre »

Alex : « nous aussi on va décoller, c’est vrai que demain on a le séminaire alors autant être d’attaque »

Un long moment il me regarde, mes yeux doivent transpirer le désir que Jérôme me donne sous la table, ma respiration est plus courte, je sens mon jean humide de mon jus et ce doigt inquisiteur qui ne cesse de maltraiter mon clitoris. Je vois le regard d’Alexandre se poser sur le bras de Jérôme, je sais qu’il a compris se qu’il se passe actuellement et après l’étonnement, c’est une forme de curiosité perverse que je lis dans son regard. Sans s’en rendre compte, il se mord même les lèvres, voir d’un coup un tel désir sexuel à mon égard dans les yeux d’Alex m’enflamme un peu plus.
La main de Jérôme se retire de mon jean, Rose remarque ce geste et me regarde choqué par mon attitude, le plus discrètement possible je referme mon jean et nous nous levons.
Arrivés devant le restaurant, nous nous faisons la bise et discrètement Alexandre me dit qu’on en reparle demain « en même temps c’est réunion plénière donc on aura que ça a foutre de la journée ».
Jérôme me prends la main comme un couple ferait, si je sursaute au premier abord, je me laisse pourtant faire. En me retournant je vois Alexandre prendre Rose tendrement dans ces bras « je sais combien il est agréable d’y être blottie », mais mon esprit lubrique reprend le dessus, je suis trempée et je ne compte pas attendre d’être arrivée au parking pour sauter sur Jérôme.

Après 10 bonnes minutes de marche, je n’en peux plus, un feu consume mon corps tout entier et à la première petite ruelle, je pousse Jérôme dedans.

Jérôme : « Marine, qu’est ce que tu fais ? »

Moi : « j’ai envie de toi, là tout de suite maintenant »

Jérôme : « décidément il en faut peu pour réveiller la chienne en toi »

Le mot « chienne » explose dans mon cerveau, je saisie la ceinture de son pantalon que je fais valser en moins d’une seconde.
Je m’accroupie, fesses sur mes talons et sors ce sexe qui me fait tant envie. Je le lèche pour lui faire prendre forme, gobe uniquement son gland et le suçote. Sentir le sexe d’un homme gonfler et durcir sous mes caresses buccales a quelque chose de gratifiant. Il m’attrape les cheveux pour m’obliger a me relever, je me laisse faire et une fois face à lui il me dit :

Jérôme : « tu es vraiment une salope quand tu t’y mets, et je te préviens ce soir je jouie sur tes seins »

Pour toute réponse je lui souris et l’embrasse, tout en continuant de le masturber. A aucun moment ma main n’a quitter son vît qui durcit entre mes doigts.
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Message par Biquette »

Oh nom de zeus de nom de zzzeeeeuuusssssssssssss :tombe: :tombe: :tombe:
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
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Bikette a écrit :Oh nom de zeus de nom de zzzeeeeuuusssssssssssss :tombe: :tombe: :tombe:
Nan moua c'est Cédille :sol:
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Notre fougueuse étreinte terminée, je me réinstalle face à cette queue que j’avale, je la lubrifie le mieux possible, je veux le sentir glisser sur mes lèvres, alors que je le pompe ma langue s’active dans ma bouche pour lui donner le plus de plaisir. Je le retire de ma bouche et le regarde avec envie, ma langue vient jouer avec sa petite fente avant de descendre et de lécher tant bien que mal ses bourses lourdes gonflées de désir. Je les gobes, les fait rouler avec ma langue dans ma bouche, puis les prends une à une pour les sucer et je repars vers son gland cramoisi en léchant le long de sa hampe.
Une fois à l’extrémité je l’avale, l’aspire, ma main accompagnant mes lèvres dans le rythme effréné que je prends, je le sens commencer a palpiter et les caresses qu’il faisait sur mes cheveux deviennent plus fermes.
Il me donne le rythme en agrippant mes cheveux d’une main de maître, il baise mes lèvres, ma main s’active toujours sur son chibre chaud et luisant pendant que l’autre malaxe ses couilles.
Il retire ma bouche, je tire instinctivement la langue et un premier jet atterri dessus et mon menton, les suivants sur ma gorge et mon décolleté, je me relève, lui sourit satisfaite du bonheur que je viens de lui procurer. Du bout du doigt il étale son sperme sur mon décolleté, alors que du bout de la langue je nettoie mon menton.
Il me regarde droit dans les yeux et nous nous embrassons, nos langues se mêlent tendrement puis plus fougueusement, j’aimerai qu’il me prenne là maintenant, mais se sont des applaudissements qui nous tirent de notre baiser. Nous n’avions pas remarquer du moins moi, mais un voisin au 4ème étage de l’immeuble n’a visiblement pas perdu une miette de la fellation que je viens de faire à Jérôme. Nous repartons, moi le décolleté couvert de sa semence lui un sourire accroché aux lèvres.

Jérôme : « tu veux peut être un mouchoir pour t’essuyer »

Moi : « pfff dans 20 minutes je serai chez moi et je prendrai une douche »

Jérôme : « ou chez moi à te faire prendre sous la douche »

Moi : « oh perspective intéressante »

Jérôme : « je n’en n’ai pas encore fini avec toi »

Moi : « c’est toi qui décide de toute façon non ? »

Jérôme : « excellente réponse, décidément tu cartonnes ce soir »

Moi : « on passe juste chez moi, le temps que j’attrape des affaires pour demain, parce que je pense que je vais dormir chez toi ? Tu ne comptes pas me ramener ensuite ? »

Jérôme : « exacte »

Une fois dans la voiture, j’allume l’autoradio et me laisse bercer par la musique jusque chez moi. Dans mon appartement je passe en coup de vent le temps d’attraper un nouveau haut, un pull, un string de rechange et ma trousse de toilette. Je prends la bête poilue dans les bras et lui explique que ce soir je ne dors pas là mais que demain je serai de retour. Un baiser déposer sur sa truffe, je la dépose à terre et ressort direction l’appartement de Jérôme.

Arrivés chez lui il lance un CD de Jazz, il m’embrasse, me demande si j’ai besoin de quelque chose « oh oui j’ai besoin de quelque chose… » se que je décline tout en retirant mon top. Je continue de me déshabiller en me dirigeant vers la salle de bain, le jean saute en suivant, puis mon soutien gorge, une fois que je suis uniquement vêtu de mon string, je me retourne, il m’a suivi et visiblement ça commence a s’agiter dans son pantalon.

Une fois dans la salle de bain, je retire mon string en le faisant rouler sur mes jambes que je ne plis pas, lui offrant ainsi une vue imprenable sur mon abricot trempé. Je me glisse sous la douche, ouvre l’eau, la chaleur électrise ma peau et fait durcir un peu plus mes tétons déjà rosis de désir, je ferme les yeux et me laisse aller contre Jérôme qui m’a rejoint.

Ses mains viennent galber mes seins et pincer mes tétons, pendant que sa bouche fouille mon cou, je suis brulante, ardente, son sexe grossit contre mes fesses, j’ai envie qu’il me prenne maintenant, mais il continue de me caresser, d’embrasser et mordiller ma peau.
Sa langue parcours ma colonne vertébrale de haut en bas et vient jouer à l’entrée de ma raie culière, je n’ai d’autre choix que de me coller au carrelage, dont la fraicheur me fait gémir, pour me cambrer et lui offrir mes fesses, chacune de ses mains écartent mes globes et sa langue vient me lécher, passant et repassant sur mon étoile que je sens palpitante et réactive.
DeLsEp9

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Message par DeLsEp9 »

Bikette a écrit :Oh nom de zeus de nom de zzzeeeeuuusssssssssssss :tombe: :tombe: :tombe:
:soupir: ˙dnoɔ ǝl ʇnɐʌ ɐç sıɐɯ 'ʇuǝɯǝlıɔıɟɟıp

:modo: ˙ʇǝɯǝɹ uǝ,s uo sɐd ǝʇèınbuı,ʇ ǝu

:oups: ˙ǝllıpéɔ ǝp sʇıɹɔé sǝl ʇuɐsɹǝʌuǝɹ



Renversant les écrits de Cédille. :oups:

Ne t'inquiète pas on s'en remet. :modo:

Difficilement, mais ça vaut le coup.
:soupir:
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Message par Invité »

Il joue longuement dessus, y enfonçant la pointe de sa langue, puis de la masser en douceur, je sens ma dernière barrière céder quand son doigt s’enfonce en moi, ma tête tourne, son autre main vient s’attaquer maintenant à mon clitoris, alors qu’il me mordille les fesses, me lèche, m’encourage à m’abandonner. J’ai froid et chaud en même temps, ma peau n’est plus que frissons et je me cambre toujours plus, lorsqu’un deuxième doigt vient rejoindre le premier, je hoquette de surprise « pas de douleur, uniquement du plaisir », il commence un doux va et vient entre mes fesses, et je ne peux m’empêcher de couiner un peu plus sous ce traitement.
Il me fait soulever une jambe pour passer sous moi, et sa bouche s’abat sur mon clitoris. Je n’en reviens pas de la situation, il va me faire exploser encore plus fort que la fois précédente, mes mains essayent de s’agripper à la paroi lisse devant moi, je perds pieds, je sens ma cyprine couler le long de mes cuisses, sa langue la lèche, il me boit, agace mon clitoris avant de l’abandonner pour mes petites lèvres qu’il mordille.
Des râles remontent de ma gorge, et je sens deux autres doigts inquisiteurs prendre possession de mon antre. Je vais jouir je lui dit et se retire de partout, me laissant une impression de vide insupportable, il se redresse et dans son mouvement attrape l’arrière de mes cuisses, il me soulève et me plaque fermement contre l’autre paroi de sa douche et me pénètre d’un coup sec.
Nos bouches s’unissent, et il commence des lents va et vient, je le supplie, j’en veux plus, je veux le sentir me pilonner, et pour toute réponse, il introduit de nouveau ces doigts dans mon petit trou. Je suis prise comme jamais, un ouragan naît en moi je vais certainement succomber à mon orgasme tellement il s’annonce puissant.
Il nous sort de la douche et me plaque cette fois ci contre le mur continue son lent va et vient un instant, et me porte ainsi jusqu'à sa chambre « empalée sur son chibre et ses doigts ». Je me sens comme une poupée de chiffon et c’est divin, je m’abandonne totalement dans ces bras. Ma bouche dévore son coup, je joue avec le lobe de son oreille avant de rejoindre ses lèvres.
Il s’assied sur le lit, je peux désormais contrôler le rythme de notre étreinte que je veux infernal, je veux le sentir en moi plus haut que jamais, il tape contre ma matrice mais j’en veux plus. Il me chuchote de ralentir la cadence, je m’exécute essaie de m’accorder avec le va et vient de ses doigt, je me sens posséder comme jamais cela m’est arrivé et j’en veux encore, je lui susurre que je veux qu’il prenne mon œillet, il me regarde sondant mon regard a la recherche de je ne sais quoi, je lui souris .

Jérôme : « t’es sûre de toi ? »

Moi : « j’en ai envie »

Il retire en douceur ses doigts, la sensation de vide insupportable s’empare à nouveau de moi, je suis sereine, jamais je n’ai autant désiré de sentir un homme me prendre ainsi.
Je me soulève de son vît ruisselant de ma mouille, il m’aide a me positionner et me laisse m’enfoncer sur son pieu, mes yeux se ferment et je pose ma tête sur son épaule. Je sens chaque centimètre me transpercer, m’ouvrir et après la courte douleur, un bonheur intense m’envahit : je me sens enfin prise.
Je commence de doux mouvements, il m’embrasse pour m’encourager, caresse mes seins d’une main et me maintient coller contre lui de l’autre. La première sensation désagréable passée, je sens une nouvelle forme de plaisir naître au creux de mes reins, il m’aide dans mes mouvements, ses mains sur mes hanches me soulèvent un petit peu au début, puis plus haut au fur et a mesure que le plaisir grandit, une boule brulante a envahit mon bas ventre que chaque mouvement fait grossir un peu plus.
Une plaisir intense m’envahit, je me surprend moi-même de me laisser prendre ainsi.
Jérôme commence a soupirer de plus en plus fort alors que ma respiration se fait plus courte, je sens son corps commencer à se tendre, et quand à moi, je suis proche de la jouissance également. Les coups de buttoir se font secs, dures, ses mains se font plus ferme et ses doigts s’enfoncent dans ma peau, je le sens exploser en moi, son orgasme déclenche le mien, les spasmes qui me traversent sont d’une violence rare, les bras de Jérôme m’enserrent fermement et je hurle de bonheur comme jamais.

Nous restons ainsi collés l’un à l’autre sans bouger, je sens sa queue dégonflée peu à peu. Il se laisse tomber sur son lit, mon corps suit le mouvement, avachie sur lui mais toujours pénétrée je sens les larmes qui coulent sur mes joues pour atterrir sur son torse. Mon oreille est collé à sa poitrine, j’écoute les battements de son cœur, seul bruit qui me ramène peu à peu à la réalité et calme les derniers soubresauts de mon corps. Je me redresse et le retire de mes fesses, j’essaie de marcher mais mes jambes ne me tiennent plus, Jérôme attrape ma main et me tire doucement à lui.
Je me laisse tomber sur le lit, m’allonge pendant qu’ils nous couvrent de la couverture, l’odeur de sexe qui règne dans sa chambre est impressionnante, nos visages se trouvent, nos lèvres s’agitent les unes contre les autres, nous restons ainsi un moment uniquement en se bécotant comme des enfants. Puis dans un chuchotement il rond la solennité de l’instant :

Jérôme : « ça va ? »

Moi : « oui »

Jérôme : « tu me promets ? »

Moi : « oui, ne t’inquiètes pas, ça va même très bien, je me surprends moi-même d’ailleurs »

Jérôme : « je peux te demander pourquoi ? »

Moi : « disons que la dernière fois que j’avais pratiquer la sodomie, ça ne s’était pas bien passé et j’en gardais un mauvais souvenir, se qui n’est pas le cas ce soir, merci »

Jérôme : « tu n’as pas a me dire merci, remercie toi, je n’ai rien fait d’autre que répondre à tes envies »

Moi : « en tout cas tu sais comment les attiser »

Jérôme : « peut être oui »

Pour seule réponse je l’embrasse, mon cerveau est anesthésié par l’orgasme que je viens de vivre, j’ai du mal a réfléchir.

Je me tourne, et son corps vient envelopper le mien, ses lèvres jouent sur ma nuque, une de ses jambes se glisse entre les miennes et son bras enrobe le mien, nos doigts s’entrelacent. C’est dans cette position que je sombre bercée par ses baisers et son souffle.
Invité

Re: Consultante....

Message par Invité »

Le buzz du réveil de Jérôme me fait sursauter, je regarde l’heure 6h45 et referme les yeux, je profite des bras qui m’entourent, sa peau est tellement chaude que c’est à la limite du supportable sous la couverture, je sens son souffle sur ma nuque, ses lèvres posées sur ma peau. Je me concentre sur mon corps et la position exacte de celui de Jérôme contre le mien. Je sens son sexe se réveiller contre mes fesses, je ne peux m’empêcher de remuer en douceur le bassin dans l’attente d’une réaction. Mon sexe pour sa part est trempé « visiblement j’ai fait des beaux rêves cette nuit » et j’appui plus fortement mon ondulation lorsque je sens ses lèvres remuer dans mon dos.

La réaction ne se fait pas attendre, Jérôme attrape fermement mon poignet et s’aidant de son poids me bascule sur le ventre. Son autre main passe sous moi pour attraper l’un de mes seins, je suis allongée sans l’être totalement, légèrement sur le coté pour lui permettre un accès plus facile a mes petites pointes dures en manque de ses caresses. Il commence a malaxer et pétrir mes seins, je pousse mes premiers soupirs avec les premiers frissons qui me traversent. Je sens son sexe grossir dans ma raie culière et j’en profite pour me tortiller tant bien que mal sous son corps. Je me cambre au maximum, lui offrant ma petite chatte dégoulinante pour qu’il me pénètre, la sensation de vide a refait son apparition ; Ma peau devient granuleuse lorsqu’il roule mes tétons entre ses doigts, accompagnant son geste de longues léchouilles dans mon cou.
Il commence son ascension vers mon coquillage, me caresse un moment le ventre se qui a pour effet de me faire redresser mes globes fessiers et écarter légèrement les cuisses. Sa bouche continue de me dévorer le cou, je m’abandonne totalement et ferme les yeux pour déguster chaque contact de sa peau contre la mienne.

Lorsque ces doigts rentre en contact avec mes grandes lèvres je soupire, il s’attarde un moment sur le dessin de l’ourlet de mon sexe, le caressant encore et encore avant de le prendre entièrement en main et de le presser avec délicatesse me déclenchant des ondes électriques. Il joue ainsi un moment avant que d’une pression subtile, il insère l’un de ses doigts entre l’interstice de mes lèvres gonflées. Ce doigt fouineur s’aventure dans ma fente et écarte allégrement les petites lèvres avant de ne plus bouger. Je gémis, bouge mon bassin espérant ainsi déclencher les vibrations de la volupté, mais rien. Sentir ce doigt contre moi, reposant sur mon bourgeon me rend folle de désir « y’a pas il sait s’y prendre ». Ses lèvres et sa langue continuent leur jeu dans ma nuque, mon cou ou mes oreilles. Puis avec une délicatesse sans nom, il dessine des ronds appuyés sur mon clitoris je gémis, mon bouton sort de sa capuche et il commence a le titiller plus durement, je ruisselle sous ce traitement bien trop doux pour me faire jouir, mais parfait pour m’amener en douceur aux portes du paradis. Jérôme me chuchote qu’il aime me sentir si ardente dès le matin, mes coups de reins se font plus suggestifs, essayant d’amener son sexe a me pénétrer, mais il est trop bien caler entre mes globes fessiers.

Une transe s’empare de moi, je le sens, mon cerveau s’est perdu depuis bien longtemps sur la route de mon désir et lui demande de me prendre se qu’il refuse. Il se redresse et moi aussi par la même occasion, à quatre pattes sa main toujours enveloppant mon sexe, je m’offre à ses caresses, à sa verge, à lui, il attrape son sexe qu’il fait glisser de ma raie vers mon clito, s’arrêtant à l’entrée de mon antre brulante sans jamais y rentrer.
J’essaie de me pénétrer mais aussitôt il claque mon cul, la surprise passée, je me rends compte que cela m’excite d’autant plus et je gémis plus fort. Ses mains me maintiennent fermement et il continue ce va et vient insupportable, mon jus se répand sur mes cuisses, sa hampe et ses couilles, je gémis, miaule, couine, mais il ne cesse pas ce traitement. Il branle maintenant mon bouton du bout de son gland, je sens ma jouissance arriver mais il ne s’arrête pas, je me tends sous ces caresses, mes mains agrippent les draps, je commence a suffoquer, je rejette ma tête en arrière, le frottement incessant me fait venir et trois râles rauques sortent de ma bouche.

Aussitôt il me pénètre lentement à la limite du supportable, la jouissance que je viens d’avoir se dissout à peine qu'une nouvelle vague m’envahit. Je lui demande d’accélérer mais il prend son temps, centimètre par centimètre son chibre me pénètre avant de se retirer entièrement. Je ne peux pas retenir mes plaintes, ce mouvement est insoutenable, et pourtant l'orage de l'orgasme gronde en moi. Il continue sa danse, ses mains cramponnées à mes hanches m’interdisent tout mouvement mais j’essaie tout de même « on ne sait jamais » d'accélerer le tempo.
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Re: Consultante....

Message par Biquette »

Ppppiiiuuuuufffffffffffffffffff fait chaud :tombe:
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
Meiyov

Re: Consultante....

Message par Meiyov »

très joli texte.
J'adore quand une femme perd pied comme cela. En avant jérôme.
DeLsEp9

Re: Consultante....

Message par DeLsEp9 »

Toujours aussi captivant de relire la cause de mon réveil. :jap:
Invité

Re: Consultante....

Message par Invité »

Pour toute réponse Jérôme m’attrape les cheveux et me pénètre d’un coup sec atterrissant directement contre ma matrice, je hoquette, je ne m’attendais pas à cela, le changement est radical je me sens femme, chienne prise et comblée sous ses coups queue bruts et secs, ses couilles tapant sur le haut de mes cuisses à chaque pénétration. Il me bourre littéralement, ma fente ruisselle, ce bruit de clapotis raisonne dans ma tête, mes gémissements ont été remplacés par des cris de plaisir, je ne peux plus me contrôler, je l’encourage à venir encore plus durement en moi, il s’exécute et je suis terrassée par un nouvel orgasme, mes bras cèdent, je m’affale sur le matelas.
Sans sortir de ma grotte, Jérôme me retourne, installe mes jambes l’une après l’autre sur ses épaules et reprend ses coups de boutoirs. Il me regarde foudroyée par l’orgasme, des ondes de plaisir continuent à se diffuser en moi, je secoue ma tête dans tous les sens, essayant de me rattraper à l’impossible.
J’ai la sensation de jouir sans discontinuer, j’accroche mon regard au sien la seule bouée de sauvetage que je trouve dans cet océan de volupté. Je veux le voir jouir, le regarder perdre pieds à son tour, mes jambes redescendent autour de sa taille que j’enserre, mon bassin accompagnant plus fermement ses coups de reins devenus encore plus rapides et puissants. Je le sens enfin venir, il commence à gémir, son regard se perds dans l’orgasme qui l’envahit, il lève la tête et émet un râle lourd avant de s’affaler sur moi et je sens sa semence brulante se répandre en moi.

Nous ne bougeons plus, nos corps sont luisants de sueur et transpiration, son sperme coulant de mon abricot se mêle à ma cyprine, l’odeur de sexe de sa chambre est honteuse et agréable à la fois.
Nos respirations se ralentissent de concert, et nos cœurs se calment, je sens les battements du sien raisonner dans mon sein droit, je suis incapable de faire le moindre geste sous son poids mais surtout suite à cette baise incroyable au réveil. Puis il soulève la tête et vient m’embrasser tendrement, nos langues se caressent dans un ballet sensuel, un instant hors du temps, ses mains viennent se poser de chaque côté de ma tête, il me regarde en souriant.

Moi : « bonjour toi »

Jérôme : « bonjour à toi également »

Moi : « humm… merci pour ce réveil matin »

Jérôme : « à toi aussi, mais il va falloir y aller »

Je tourne la tête 7h54, « il va effectivement falloir accélérer », il sort enfin de mon antre, et je saute aussitôt du lit, je me retrouve nue face à la glace sur pieds de sa chambre et scrute cette jeune femme, cheveux ébouriffés, corps transpirant, l’intérieur des cuisses outrageusement salie du plaisir qu’elle vient d’avoir, mais c’est son regard qui m’interpelle : des yeux scintillants, brillants encore de la jouissance qu’elle a eu et ce sourire sur ces lèvres.
C’est lorsque Jérôme apparaît derrière moi que je sors de ma contemplation. Il regard mon reflet également je vois son regard dessiner mes courbes avant qu’en me regardant dans les yeux, il me dise : « t’es magnifique Marine ». Je me retourne et ma bouche se jette sur la sienne pour la dévorer, mes bras se referment sur son cou, et j’essaye d’escalader son corps. Je soupire un « encooore », mais il desserre mes bras :

Jérôme : « on va être en retard jeune fille »

Moi : « m’en fout, encoooore, j’ai encore envie de toi »

Jérôme : « Marine apprends à te contrôler, files sous la douche, je vais faire couler le café »

Moi : « encooooore sous la douche ? S’il te plaît ? Allez vite fait ! »

Jérôme : « JE ne fais pas dans le vite fait Jeune Fille, et non pas sous la douche, tu veux que je te cravache le cul pour te remettre les idées en place »

Moi, le sourire éblouissant : « hummm »

Jérôme : « tu feras moins la mariole quand tu vas découvrir se que c’est vraiment »

Il a raison, même si l’idée m’excite au premier abord, je me souviens des marques et de la douleur uniquement de la fessée qu’il m’avait donnée, un souffle glacial calme mes ardeurs.
J’abandonne de toute façon il a gagné et puis j’ai vraiment besoin d’une douche.

Une fois sous l’eau j’attends que tout mes muscles se réchauffent et se détendent, les mains appuyées contre le carrelage frais, je laisse l’eau glisser sur ma peau. Je repense à hier soir, à la violence de l’orgasme que j’ai vécu, instinctivement l’un de mes doigts se pose sur mon œillet, lorsque j’appuie une légère douleur comme une courbature se fait ressentir mais pas plus. Je continue a parcourir mon corps avec mon doigt, mon clitoris qui est encore sensible puis je passe à ma vulve dont le sperme de Jérôme continue de s’écouler quand soudain un éclair de lucidité me frappe « Merde, oh putain de merde, oh non... ah si ».
Je sais que je vais casser cet instant de bien être dans lequel Jérôme doit être mais je ne suis plus sous pilule, et si mon calcul est bon on est parfaitement dans la mauvaise période. Un vent de panique s’empare de moi. Je me lave en 4ème vitesse, sort de la salle de bain enroulée dans une serviette « mon sac, il me faut mon sac », je regarde dans la chambre et les souvenirs de la vieille me reviennent, « il doit être sur le canapé », je le trouve enfin.
J’attrape mon IPhone pour revérifier le calcul que je viens de faire de tête. Jérôme me regarde surpris, je suis penchée sur le dos du canapé, la taille ridiculement petite de la serviette rend la position certainement provocante mais je ne pense absolument pas à ça, j’ouvre le calendrier « ouch ! Et ba on va passer à la pharmacie ».
Invité

Re: Consultante....

Message par Invité »

Jérôme : « tu crois vraiment que c’est comme ça que je vais céder Marine ? »

Moi : « quoi ? Hein ? Ah euh non j’ai d’autres problèmes en tête là »

Jérôme : « qu’est ce qu’il se passe ? » sur un ton très sérieux

Moi : « je ne prends plus la pilule Jérôme… Et vu qu’on a pas mis de capote ce matin, il va falloir qu’on se trouve une pharmacie »

Jérôme : « merde, je suis désolé, mais… »

Moi : « STOP ! Les tords sont partagés, je n’aurai jamais du te laisser me pénétrer sans capote, mais c’est venu comme ça et c’était très bien »

Jérôme : « c’est vrai, mais… »

Moi : « écoutes on ne va pas en parler pendant trois plombes non plus. On a plus douze ans, et je ne suis pas enceinte, mais je pourrais l’être se qui fait une différence énorme. Donc on va passer à la pharmacie, je vais prendre la pilule du lendemain et rendez vous chez mon gynéco pour reprendre une contraception… »

Jérôme : « ouah ouh doucement Marine, je n’ai pas encore pris ma douche moi donc pas encore super réveillé »

Moi : « oui bah on ferait mieux de se bouger si on ne veut pas se faire remarquer d’ailleurs la réunion commence à 10h, ok il y a l’accueil croissant et compagnie qui va certainement durer mais je te rappelle que c’est pas à coté »

Jérôme : « oui t’as raison, ta tasse est servie, je file sous la douche »

Au moment où Jérôme s’approche de moi pour m’embrasser le front, nous sursautons tous les deux. On se regarde et on éclate de rire.

Moi : « trop… »

Jérôme : « … couple oui »

Je bois une gorgée de café qui m’écœure il est beaucoup trop fort pour moi « ça réveillerait un mort », j’attrape le reste de mes affaires qui jonche le sol et me dirige dans la chambre pour m’habiller, pendant que Jérôme file sous sa douche.
Une fois habillée, je passe dans la salle de bain pour me maquiller, Jérôme est entrain de se raser quand je rentre dedans et pour la première fois je me sens troublée en regardant son corps. Le désir est là intense mais c’est comme si quelque chose avait changé, j’ai envie de me blottir contre ce torse chaud et d’un instant de tendresse « Marine tu flanches ».
Je me reprends, rentre et squatte un morceau de miroir pour me maquiller, je me penche afin de ne pas me louper dans mon trait de crayon, offrant ainsi une magnifique vue plongeante sur mon décolleté et ma croupe à Jérôme, qui ne peux s’empêcher de venir s’y coller.
J’ondule mon bassin, et il vient caresser mes seins et exciter mes petites pointes que je sens automatiquement se tendre, je me redresse et d’un geste de la main défait sa serviette, il bande a moitié, au moment où je vais m’emparer de son sexe, il attrape mon poignet.

Jérôme : « Marine, qu’est ce que j’ai dit ? »

Moi : « Une petite pipe vite fait ? Allez ? Offert par la maison »

Jérôme : « J’ai dit non, c’est NON »

Moi : « c’est toi qui a commencé, regarde dans quel état je suis, super classe le téton apparent pendant une journée de séminaire »

Jérôme : « dois-je te rappeler les règles ? »

Moi : « Non c’est bon ! C’est toi qui décide, bla bla bla»

Jérôme : « et CHANGE DE TON ! »

Je lève les yeux aux ciels devant cette menace même si je sens ma peau se hérisser, mon cœur accélérer et ma petite culotte s’humidifier : « mon fantasme de la petite écolière punie pour mauvaise conduite, mmmm » et je sens un sourire narquois se dessiner sur mes lèvres. Jérôme attrape mes cheveux, me retourne et me plaque durement contre le mur.

Jérôme : « ne joue pas l’arrogante avec moi Marine, ça pourrait chauffer pour toi »

Moi : « bien Monsieur »

Jérôme : « c’est mieux comme ça. Mais tu pointes ma cochonne, ça t’excite que je te parle comme ça ? »

Moi : « oh oui… Monsieur »

Agrippant l’un de mes seins et le pétrissant avec fermeté, il m’embrasse sauvagement, sentir son corps et sa peau nue contre mes habits, me rends encore plus brulante de désir, j’ai envie de lui, là maintenant. Mais il stoppe net notre baiser et relâche mes cheveux et mon poignet par la même occasion, me laissant là exalté. Je reprends mes esprits « il a le don de mettre mon cerveau en off », rassemble mes affaires d’hier soir trainant encore dans le couloir. Il me rejoint, il a mis cette chemise rose qui fait ressortir si bien sa peau « miam miam ». Un dernier coup d’œil sur l’horloge : 8h47 à la limite du retard.

Nous quittons son appartement et avant de refermer la porte, je m’assure qu’il trouvera bien mon string où je l’ai laissé sur la table basse « un joli cadeau souvenir pour lui ce soir ».
Jérôme pilote plus qu’il ne conduit pour rattraper notre retard, j’allume la radio et tombe sur David Bowie – Let’s Dance, je chantonne dans la voiture, quand une main de Jérôme se pose sur ma cuisse relançant mon ardeur de plus belle, un frisson parcours mes seins.

Moi : « tu ne voudrais pas arrêter de me toucher, mon corps réagit immédiatement ? »

Jérôme : « pourquoi tu dis ça, c’est charmant de voir tes tétons ainsi, en tout cas moi ça me plait »

Moi : « je n’en doute pas mais tu ne seras pas seul aujourd’hui au séminaire »

Jérôme : « aurais-tu peur qu’Alex trouve cela aussi excitant ? »

Moi : « t’es pénible avec Alex c’est un ami et tu le sais »

Jérôme : « oui un ami qui n’aurait pas dit non hier soir quand il a compris se qu’il se passait sous la table et l’état de lubricité dans lequel tu étais »

Moi : « ah…euh quoi ? Mais non, t’as rêvé »

Jérôme : « même toi tu l’as remarqué et tu le sais, ne te mens pas Marine »

Je regarde par la fenêtre tout en repensant au regard d’Alex hier soir, je ferme les yeux et commence un monologue cérébral « il a raison, Alex n’aurait pas dit non même avec Rose a coté… Rose ! Oh mon dieu qu’est ce que je vais lui dire a propos d’elle : la fille parfaite mais qui attends trop de sa relation avec lui ? Qui fait déjà des plans sur la comète ? Et en même temps elle est adorable quand j’y réfléchie bien. Bon ok encore un peu gamine, mais si ça se trouve… Est-ce qu’ils se sont envoyés en l’air hier soir eux ? Et qu’est ce qu’ils ont bien pu faire : fellation ? Non je ne la vois pas faire… quoiqu’avec ces airs de ne pas y toucher si ça se trouve c’est une grosse cochonne… Missionnaire ? Certainement, classique parmi les classiques… soixante neuf ? Ah oui…mmmm… pourquoi pas… Levrette ? Non je ne pense pas… Sodomie ? Négatif… mmmm, hier soir… cet orgasme, son sexe dans mon fondement, mmmm… et ce cunni…mmmm… »

Une voix au loin m’appelle : « Marine, Marine, oh eh, t’es parti où ? » Je sursaute, rouvre les yeux, on est toujours dans la voiture mais à l’arrêt sur un parking.

Moi : « hein ? Quoi ? Qu’est ce qu’il se passe ?

Jérôme : « Marine je ne sais pas où tu étais partie mais regarde un peu ta position »

Je me regarde, c’est honteux, une main posé sur mon entre cuisse et l’autre englobant l’un de mes seins, je sens un feu dans mon ventre qui n’est pas prêt de se calmer.

Jérôme : « je peux savoir a quoi tu pensais ? »

Moi : « oups !!! A hier soir, toi et moi, se qu’on a fait, mon orgasme »

Jérôme : « et t’as aimé visiblement ? »

Moi : « oui, c’est se que je trouve surprenant. Enfin je ne pensais pas qu’on pouvait y prendre autant de plaisir, en même temps la seule expérience que j’avais dans ce domaine était assez catastrophique alors… »

Jérôme : « et, tu aurais envie de recommencer ? »

Moi : « si c’est aussi bien amener qu’hier soir certainement, je vais peut être y prendre gout qui sait »

Jérôme : « lubrique avec ça… parfait, c’est noté, mais je ne veux en aucun cas que tu te forces »

Moi : « est ce que j’avais l’air de me forcer ? »

Jérôme : « allez on est arrivé jeune Sodome, il est tant d’aller bosser »
Invité

Re: Consultante....

Message par Invité »

Nous nous embrassons une dernière fois avant très longtemps vu le programme de la journée, un baiser tendre et fougueux à la fois , j’ai tellement envie de lui, que je serai capable de me faire prendre n’importe où quand il le voudra dans la journée. Quand on frappe à la vitre, je me retourne : Alexandre. Il m’ouvre la portière, en me présentant sa main pour que je descende.

Alex : « à quinze minutes prêt vous étiez en retard »

Moi : « moi aussi ça me fait plaisir de te voir Alex »

Jérôme : « j’y suis pour rien c’est à cause de Marine »

Moi : « quoi ? tu manques pas d’air toi, tu… »

Jérôme en m’imitant : « Encoooore »

Moi : « Pffff »

Alex : « ouh la, désolé si j’ai abordé un sujet qu’il ne fallait pas »

Moi : « c’est bon Alex, y’a pas de mal, café-clope ? »

Jérôme : « je vous laisse, il faut que je vois Abdel pour un truc, a plus tard »

En partant Jérôme se permet de passer une main sur mes fesses, se qui déclenche à nouveau un frisson.

Alex : « ça va tout les deux ? »

Moi : « oui tout va bien »

Alex : « dis donc toi, tu n’avais pas le même jean hier soir, et le même gilet ? »

Moi : « oui inspecteur j’avoue tout : j’ai dormi chez Jérôme! »

Alex : « hein hein, en couple alors ? »

Moi, agacée par la stupidité de la question : « non c’est toujours un plan cul ! Mais vous êtes bouchés les mecs en ce moment »

Alex : « attends c’est quoi ton problème Marine ? »

Moi : « rien désolée, mais ça va pas top ce matin »

Alex : « t’es malade ? »

Moi : « pas envie d’en parler, non je ne suis pas malade mais il va falloir que je trouve une pharmacie, tu sais si il y en a une dans le coin ? »

Alex : « alors là je ne sais pas si tu veux ce midi on prendra ma voiture et on ira voir ça ? »

Moi : « ok, désolée, allez on va se le prendre ce café parce que celui que Jérôme m’a fait ce matin était imbuvable »

Alex : « et ta fin de soirée, bien passée ?

Moi : « délicieuse, c’était… pfff j’ai pas de mots pour décrire ça » un sourire éblouissant éclair mon visage je le sens.

Alex : « ah ce point là ? Je me doutais que Jérôme était un bon coup mais là, racontes »

Moi : « disons que… non je peux pas te dire ça Alex, c’est trop perso »

Alex : « allez imagines que je suis une fille »

Moi : « oui mais tu ne l’es pas » dis je en regardant son bas ventre

Alex : « allez un mot, vas-y Marine sois sympa, franchement entre ami, une lettre, juste une lettre »

Moi : « S… » En baissant les yeux vers le sol, impossible de regarder Alexandre

Alex : « attends c’est se que je pense ? Je croyais que tu n’étais pas pour… »

Moi : « il n’y a que les cons qui ne changent pas d’avis non ? »

Alex : « oui mais »

Moi, le coupant net dans sa phrase : « Alex, je n’ai franchement pas envie d’avoir cette conversation avec toi, alors laisses tomber. Et toi ta fin de soirée ? »

Alex : « nous dirons "caliente" »

Moi : « racontes »

A ce moment précis, le directeur nous invite a prendre place dans l’auditorium « c’est partie pour 2h de torture cérébrale » pour la présentation et le planning du déroulement de la journée.
J’ai juste le temps de m’attraper un café et nous rentrons prendre place. Je m’installe aux côtés d’Alex et Emmy vient à ma droite et commence a me harceler de questions sur ma relation avec Jérôme. En bonnes filles que nous sommes, nous nous lançons dans un papotage avec détails croustillants.

La pause de midi arrive vite finalement, j’ai écouté d’une oreille distraite la présentation et lorsque je me retourne vers Alexandre je m’aperçois qu’il n’a pas loupé un mot de notre conversation. Je me sens rougir, son regard pétille « est ce que mes exploits sexuels de ces derniers jours lui auraient donnés des idées », je regarde son pantalon et la bosse qu’il essaye de dissimuler tant bien que mal avec son bloc note, « visiblement oui ».
Je me lève pour me diriger vers l’extérieur pour fumer une cigarette quand je sens un doigt se poser sur ma nuque et la parcourir, a ce contact je me redresse gonfle ma poitrine et mes reins se cambrent d’eux-mêmes. Il se penche à mon oreille :

Jérôme : « c’est se qu’il s’appelle réagir au doigt et à l’œil, et ça me plaît beaucoup »

Je me retourne lui lance un regard de braise mais continue ma route, je me doute que lui aussi va sortir fumer une cigarette, quand Alexandre me rejoint, m’offrant une cigarette.

Alex : « j’ai pas pu m’empêcher d’écouter, je suis désolé »

Moi : « qu’est ce que tu veux que je te dise »

Alex : « il t’a vraiment bandé les yeux et tout…le crochet et… »

Moi : « oui, pourquoi ? Envie de tester ? »

Alex : « je ne sais pas, je pense oui, avoir une femme ainsi offerte, ça ouvre des perspectives »

Moi : « alors tu devrais demander conseil à Jérôme »

Alex : « ou continuer à écouter tes conversations »

Je ne peux m’empêcher de lui tirer la langue, quand mon regard se pose sur Jérôme au loin qui me fixe tout en bavardant avec Alan et Maxime. Son regard me déshabille, je sens un frisson me parcourir, ma peau se réveille sous ses caresses visuelles « mais comment il fait ça ». Je continue ma discussion avec Alexandre pendant que ma petite culotte s’humidifie sérieusement.

Moi : « sérieusement Alex, ça m’arrangerait si tu pouvais éviter d’écouter se que je dis »

Alex : « ok, promis, mais j’ai pas pu m’en empêcher »

Moi : « ma vie sexuelle est si passionnante que ça ? »

Alex : « t’as pas idée, tu devrais l’écrire et le vendre comme guide »

Moi : « très drôle. Au fait toi et Rose alors ? »

Il sourit instantanément à ma question, je comprends que la soirée c’est plutôt bien finie pour eux.
Mon feu intérieur me consume au fur et a mesure que Jérôme continue de poser les yeux sur moi, il porte sa cigarette à sa bouche après avoir tirer dessus, la fait rouler entre ses doigts comme il fait avec mes tétons. Je les sens se tendre sous mon haut, il faut que j’arrête de le regarder.

Alex : « caliente, certainement pas aussi torride que la tienne mais pas mal du tout »

Moi : « vous avez couchez ensemble ? »

Alex : « oui et même si Rose n’est pas le meilleur coup de ma vie, c’était pas mal »

Moi : « ok je ne veux pas de détails, non merci »

Alex : « ok pas de détails. Au fait alors tu en penses quoi ? »

Moi : « de quoi ? Que tu couches avec elle ? Ou d’elle ? »

Alex : « ah ah ah. D’elle évidement »

Moi : « Elle… Comment te dire ça… Je ne sais pas Alex »

Alex : « Ouh la c’est pas bon signe »

Moi : « Non se n’est pas ça. Disons que si j’étais convaincu que tu cherches une femme pour une relation posée voir la femme de ta vie absolument, je te dirais fonce. Mais je ne suis pas sûre que tu sois prêt. J’ai vu comment tu as réagis lorsqu’elle a parlé mariage. Je ne crois pas qu’au fond de toi, tu es réellement envie de te poser. Est-ce que je me trompe ? »

Alex : « je ne sais pas, tu as raison, je suis bien avec elle, c’est une gentille fille, mais quelque chose au fond de moi me dit que se n’est pas elle la bonne. »

Moi : « tu sais se que j’en pense, si tu attends de trouver la bonne, tu finiras seul, a toi de provoquer le destin Alex. Mais si ton instinct te dire le contraire alors… »

Alex : « alors ? »

Moi : « écoutes, je n’ai pas suivi mon instinct quand il me disait qu’Olivier me trompait. Si je l’avais fait, je me serai certainement épargnée des mois de souffrances. Maintenant je suis mon instinct, mais ça reste ta décision »

Alex : « Ouah et bah maintenant je ne sais plus où j’en suis, mais je crois tu as raison, j’ai encore envie de profiter de la vie et des femmes. La perspective mariage et compagnie, pfff, et puis avec toute les idées que tu m’as données se serait dommage de me caser »

Moi : « très drôle. Alors soit franche et dis lui, je sais que se n’est pas facile, mais quand les bases sont posées c’est plus facile »

Alex : « comme toi avec Jérôme ? »

Moi : « oui, on en a discuté et je lui ai expliqué que la seule chose que je voulais c’était du sexe, et on est d’accord la dessus »

Alex : « tu en es sûre ? »

Moi : « certaine, je te dis qu’on en a parlé, même si »

Alex : « même si quoi ? »

Moi : « je ne sais pas, ce matin quand je le regardai j’ai eu une envie de tendresse, alors je ne sais pas »

Alex : « et pourquoi tu ne te mettrais pas en couple avec lui »

Moi : « parce que je n’ai pas envie de revivre se que j’ai vécu, je sais se que c’est quand quelqu’un te brise le cœur. Je me suis promis : plus jamais ça, alors je m’y tiens »

Alex : « tu as tant souffert que ça ? »

Le regard que je lance à Alexandre répond à sa question.
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Moi : « écoutes je ne veux plus en parler, Olivier à casser quelque chose en moi que je ne pense pas réparable, je me trompe peut être, je l’espère même au fond de moi parfois, mais en attendant je me tiens à la promesse que je me suis faite. Pour moi le jeu n’en vaut pas la chandelle »

Alex : « c’est triste, tu ferais un joli couple avec Jérôme, tu es rayonnante depuis que… »

Moi : « Parce qu’il me baise comme jamais je ne l’ai été, des orgasmes a répétition ça aide à rayonner »

Alex : « effectivement vu sous cet angle là, je m’incline »

Moi : « Et oui. On va manger, j’ai faim et les ateliers de cet après midi s’annoncent chiants »

Alex : « Bonne idée, allons nous trouver une table sympathique »

Quand nous arrivons dans la salle du restaurant, toute l’équipe est attablée et nous fait signe de les rejoindre « cohésion d’équipe super », je m’installe à la chaise libre à coté de Jérôme et Alexandre prends place de l’autre côté. Jérôme se penche et me chuchote « au doigt et à l’œil », a ces mots je me redresse sur mon siège « wahou se que c’est bon ».

Emmy me lance un clin d’œil, Abdel m’interroge du regard, Angelo me sourit « lui il sait se qu’il se passe ». J’essaie de faire bonne impression quand je sens un doigt courir le long de l’extérieur de ma cuisse, je prends une grande respiration pour diminuer l’effet du frisson qui remonte de ma cuisse à mon sexe. Ma petite culotte est trempée et je sens mon clitoris se tendre.
Je croise les jambes « hors de question qu’il continue son petit jeu avec moi ». Alexandre se penche vers moi.

Alex : « au fait tu veux qu’on aille maintenant trouver une pharmacie ? »

Moi : « euh, au dessert non ? »

Alex : « si on veut s’éclipser discrètement je pense que c’est maintenant le meilleur moment »

Moi : « ok alors let’s go »

Nous nous levons, et j’explique que j’ai besoin d’une pharmacie, personne ne réagit à part Jérôme qui me lance un regard compatissant.

Une fois dans la voiture, Alexandre lance son GPS à la recherche d’une pharmacie et prends la route.

Alex : « je peux te demander pourquoi Jérôme, t’as lancé ce regard ? »

Moi : « Alex… s’il te plait »

Alex : « quoi je n’ai jamais vu Jérôme lancer un tel regard de chien battu alors je me pose la question et te la pose par la même occasion »

Moi : « ok, puisque tu veux tout savoir petite commère, on ne s’est pas protégé et je ne prends plus la pilule don :, mieux vaut prévenir que guérir, non ? »

Alex : « QUOI ??? Marine ! Tu déconnes putain »

Moi : « ça va c’est pas la fin du monde se sont des choses qui arrivent, je ne suis pas enceinte, et vu que je ne suis pas conne, regardes je vais appeler maintenant ma gynéco, ça te va PAPA ? »

Alex : « bien, regardes il y en a une, juste là bas »

Je sors mon téléphone et m’aperçois que j’ai un appel en absence et un nouveau message « Ju, mon manager, oh mon dieu, qu’est ce qu’il me veut celui là ». J’écoute ma messagerie :
« salut Marine, c’est Julien, je reçois un nouveau candidat demain et j’aimerai que tu le rencontres je pense qu’il pourrait intervenir sur ta mission mais je voudrais ton avis. Rappelles moi vite. Bisous ».

Moi : « bisous ? Non mais il m’a pris pour sa copine ce con ? »

Alex : « quoi ? »

Moi : « rien mon manager, qui veut que je rencontre un candidat pour te le proposer ensuite »

Alex : « cool, justement je vais enfin savoir à la fin de la semaine prochaine si je vais pouvoir renforcer l’équipe »

Moi : « super moi qui ne voulait pas y aller, je suis condamnée »

Alex : « arrêtes Marine, et puis tu ne sais pas si ça se trouve c’est l’homme de ta vie qui t’attends »

Moi : « ah ah ah, très drôle. Allez je reviens tout de suite, ne me laisse pas en plan »

En rentrant dans la pharmacie en demandant la pilule du lendemain, je me sens comme une adolescente ayant fait une connerie monumentale. Naturellement je tombe sur un vieux pharmacien qui me dévisage et ne peut s’empêcher de me faire un laïus sur la contraception. Je le remercie, sors aussi vite que je suis rentré et grimpe dans la voiture d’Alexandre garé en double file.
Il me dévisage lui aussi, comme si il attendait quelque chose de moi.

Moi : « quoi ? Qu’est ce qu’il y a ? »

Alex : « t’avais pas un coup de fil à passer ? »

Moi : « oui Papa »

J’appelle ma gynéco et prends rendez vous. Sur le trajet la radio diffuse : Il était une fois – j’ai encore rêvé d’elle et on chante a tue-tête en faisant un pseudo chorégraphie.

Lorsqu’on arrive Jérôme est dehors entrain de fumer une cigarette avec Emmy.

Emmy : « qu’est ce qui vous fait marrer comme ça ? »

Moi : « Rien on a chanté : j’ai encore rêvé d’elle »

Emmy : « je rêve aussi »

Tout les quatre nous rigolons, même si je sens le regard lourd de Jérôme sur moi.

Emmy : « allez nous on va se rentrer Alexandre. On peut vous laisser tout les deux, vous n’avez pas besoin d’aide ? »

Jérôme : « je pense que oui »
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Je fusille Emmy du regard, « la garce, comment a t elle a osé ». Alexandre et elle sont bidonnés de cette réflexion, même Jérôme sourit.

Moi : « parce que tu trouves ça drôle toi ? »

Jérôme : « oh, elle était bonne »

Moi : « ok je te l’accorde »

Jérôme : « et se n’est pas moi qui racontes ma vie sexuelle à Emmy »

Moi : « QUOI ??? »

Jérôme : « parce que tu pensais sincèrement qu’on n’allait pas en parler ? Tu en parles bien à Alexandre non. »

Moi : « justement c’est la où tu te goures mon pote, je ne raconte pas ma vie sexuelle à Alex »

Jérôme : « pardon alors »

Il me lance son regard de braise et aussitôt mon corps réagit, je me redresse, mes pointes durcissent, ma culotte est définitivement foutue « heureusement que j’ai un jean »

Jérôme : « humm au doigt et à l’œil »

Moi : « comment tu fais ça, tu m’as drogué cette nuit ou quoi ? »

Jérôme : « non ça ne marche qu’avec les cochonnes de ton espèce »

Moi : « ravie, mais arrêtes s’il te plait, c’est horrible »

Jérôme : « pourquoi ? »

Moi : « parce que c’est pas sympa, ma culotte est foutue et il n’est que midi »

Jérôme : « et tu as envie de quoi là ? Que je te prenne ? » en se rapprochant de moi, tout en laissant une distance raisonnable.

Moi : « oui » dans un souffle presque un gémissement de plaisir

Jérôme : « alors dis le »

Moi : « quoi ? »

Jérôme : « DIS LE que tu as envie de moi »

Moi : « j’ai envie de toi »

Jérôme : « mieux que ça Marine, souviens toi ce matin »

J’accroche mon regard au sien, mon cerveau embrumé par l’envie et mon feu intérieur

Moi : « j’ai envie de toi Jérôme, envie de te sentir entre mes cuisses, envie que tu me prennes et que tu me fasses jouir encore une nouvelle fois. Tu veux que je te supplie ? »

Jérôme : « pourquoi pas… »

Je m’approche un peu plus de lui, quelques centimètres seulement nous sépare, je peux sentir son souffle sur mes lèvres et la chaleur que son corps dégage.

Moi : « je te supplie : baises moi, fais moi jouir comme toi seul sait le faire. Réveilles la chienne qui dort en moi avide de ton vit brulant qui sait si bien me combler »

Jérôme : « ok t’as gagné, tu me fais bander »

Moi : « humm » en me mordant les lèvres

Jérôme : « vas voir l’équipe, dis leur que le pharmacien s’est trompé en te donnant le médicament et que je t’emmène à la pharmacie pour l’échange »

A peine a-t-il fini sa phrase que je me précipite à notre table et leur sort le laïus que Jérôme viens de me faire. Alexandre semble plus que surpris et me demande si je souhaite qu’il vienne, il sursaute et en regardant Emmy, je comprends qu’il vient certainement de se prendre un magistral coup de pieds dans la jambe.

Je pars rejoindre Jérôme qui a déjà sorti la voiture, je grimpe dedans, attache ma ceinture et il démarre. Il conduit prudemment mais je ne peux me retenir devant cette bosse, j’ouvre sa braguette, fait sortir son chibre bandé, et le prends en bouche sans même un mot de Jérôme. Je l’aspire du mieux que je peux sans prendre le risque d’un accident, quand je sens la voiture s’arrêter nette. Je redresse la tête quand il m’attrape le bras, je m’installe sur lui.

Jérôme : « allez viens par là ma petite chienne »

Moi : « t’as envie de me baiser ? »

Jérôme : « oh que oui j’en ai envie et je vais te baiser très chère »

Moi : « alors prends-moi »

Nos bouches se soudent l’une à l’autre, je sens sa langue tiède caresser la mienne, ces lèvres la suçoter comme si il s’agissait de mon bouton, je fonds devant ce baiser torride.
Je le regarde dans les yeux, je peux lire ce désir qu’il a de moi, cette envie presque bestiale de mon corps, ses mains commence a courir sur mon corps, je n’en peux plus, je retourne sur mon siège, retire mon jean et ma culotte ainsi que mon haut, seul mon soutien gorge reste, Jérôme lui baisse son pantalon, recule son siège et se capuchonne et je viens m’empaler sur lui. Je ne peux m’empêcher de pousser un gémissement de satisfaction. Je me fouille de son sexe bien dur et chaud qui me comble entièrement, j’aime cette sensation et il me laisse faire, me claquant le cul et m’encourageant en me disant des mots plus crus les uns que les autres. Mon cerveau ne réponds plus, ma bouche dévore la sienne avant qu’il ne vienne me manger les seins.
Je suis aux anges, comblée, satisfaite même si le feu se fait plus intense dans mon corps, je commence des doux va et vient sur toute sa longueur remontant de manière a ne laisser que son gland en moi, pour me laisser retomber en douceur. Je mesure ainsi chaque centimètre de ce pieu qui me donne tant de plaisir. Ses lèvres suçotent mes tétons, à la limite ou douleur et plaisir ne font plus qu’un, et pendant que sa bouche joue avec l’un, ses doigts pincent violemment l’autre, je gémis, le regarde faire, son geste est exacte, d’une précision d’horloger comme si il savait exactement la pression à exercer pour m’amener vers l’orgasme.
Ses mains viennent se poser sous mes fesses pour m’aider dans mes mouvements, quand je sens un doigt s’approcher de ma rondelle. Sous les effets du désir, je me cambre plus, et de la pulpe il vient masser mon œillet, je gémis de plus belle, tout en continuant mes coups de reins qui se font plus fermes.
La boule incandescente qui grossie dans mes reins est un supplice, le feu qui me consumait devient un brasier ardent et mon souffle se fait plus court. Je lui dis combien j’aime me sentir prise ainsi, et Jérôme m’encourage encore à prendre et me donner du plaisir alors que ma tête commence à tourner. Il mord maintenant savamment mes tétons durs et mes aréoles et même si chaque morsure est douloureuse j’en ressens tout de même un certain plaisir. Je me pilonne sur son pieu de chair, son doigt toujours à l’entrée de mon petit trou mais jamais il ne le pénètre.

Jérôme : « oui Marine, c’est ça prends ton pieds, cris ta jouissance, je veux t’entendre gueuler »

Ces encouragements me font lâcher prise, je gémis fort, vraiment fort, me laissant totalement aller aux vagues de plaisir qui me transpercent de toute part. Jérôme me mord par touche sur le buste, les seins, les épaules, sentir ses dents s’enfoncer dans ma chair a quelque chose de bestial qui me transporte un peu plus vite au paradis. La boule incandescente est au niveau de mon sternum et m’empêche de respirer, je suffoque, me tends dans cet habitacle minuscule à la recherche d’une goulée d’air, et c’est l’odeur de sexe qui arrive à mes narines, augmentant un peu plus mon plaisir. Mes fesses reposent sur le volant et c’est Jérôme qui me lime puissamment, tapant contre ma matrice.

Je m’accroche tant bien que mal une main contre sa nuque l’autre sur la vitre, la tête dans le plafond, la boule continue son ascension et est désormais dans ma gorge proche de son expulsion. Tout mon corps s’arque boute, je me noie dans mon propre plaisir, quand je sens ma vulve se contracter violemment, a m’en faire presque mal, et j’exulte, je hurle comme jamais, mon cri résonne dans ma tête alors que je sens comme des jets chaud sortir de mon sexe et couler le long de mes cuisses pour finir leurs courses sur celles de Jérôme. Les battements de mon cœur frappent mes tempes fortement, a bout de force je retombe sur le chibre palpitant de Jérôme qui explose a son tour, mon corps s’affale sur le sien.
Je pars loin, très loin, beaucoup trop loin mais je ne peux résister à la tornade qui m’emporte.
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Une voix lointaine m’appelle et je me sens secouer dans tous les sens, je m’accroche à cette voix et reprends conscience peu à peu qu’elle appartient à Jérôme.

Jérôme : « Marine, reviens s’il te plait… Marine… Allez ma belle… réveilles toi»

Moi : « humm… »

Je suis incapable de sortir le moindre mot, des sons juste des sons, alors des phrases. Ma tête tourne toujours, ouvrir mes yeux me semblent surhumain, au-delà de mes forces, je suis bien là abandonnée contre son corps. Je me blottis un peu plus contre lui.

Jérôme : « allez Marine… s’il te plait… ouvre les yeux »

Moi : « … Mmm… je… suis bien là…chut… »

Jérôme : « tu m’as fait peur Marine, est ce que tu te rends comptes que tu as perdu connaissance »

Moi : « …chut… laisses moi le temps… »

Jérôme : « ok ma belle mais n’oublies pas qu’il va falloir qu’on rentre »

Je suis toujours contre lui, au fur et a mesure, je me rappelle cet orgasme violent que j’ai vécu, tellement violent que j’ai perdu connaissance « que c’est bon », mais je suis toujours engluer dans mon bonheur personnel, Jérôme me caresse, ses doigts parcourent mon dos sans discontinuer, je suis contre son torse brulant, l’air de la voiture est chaud et lourd. Mes lèvres remuent dans son cou et remonte sur l’angle de sa mâchoire pour finir sur ses lèvres.
Je soulève avec difficulté mes paupières et le regarde.

Jérôme : « ça va ? »

Moi : « humm… oui je n’ai jamais connu ça »

Jérôme : « tu m’as fait vraiment peur Marine »

Moi : « désolée… je ne savais pas que c’était possible »

Jérôme : « j’en avais entendu parler, c’est la première fois que cela m’arrive »

Moi : « n’appelles t’on pas l’orgasme : la petite mort ? »

Jérôme : « effectivement, mais c’est impressionnant »

Moi : « pour moi aussi »

Nous nous ré-embrassons, nos langues se caressent longuement, sensuellement, quand je me soulève pour mieux me plaquer contre son corps, ses mains m’y aidant je sens une humidité nouvelle sur mes cuisses, ma fente, je baisse mon regard interloqué par cette sensation.

Jérôme : « tu as éjaculé Marine »

Moi : « quoi ? Oh mon dieu, c’est honteux, pardon, je... »

Jérôme : « ne t’excuses pas, tu deviens fontaine c’est tout, et l’éjaculation est uniquement la marque de la puissance de l’orgasme que tu as eu. Tu devrais en être fière plutôt »

Moi : « oui enfin, quand même… »

Jérôme : « Marine, j’ai eu des partenaires, mais
peu sont arrivées à ce niveau de félicitée dans le sexe, je te promets que tu dois en être fière. »

Moi : « si tu le dis » une moue sur mes lèvres.

Je me réinstalle sur mon siège et attrape des mouchoirs dans mon sac pour m’essuyer, et en passe à Jérôme qui en fait de même, avec son sexe, ses bourses, ses cuisses mais également le siège.
Je rougis, même si mon esprit est encore légèrement embrumé, mon cœur bat encore fort et résonne dans mes tempes, je n’ai que quelques minutes pour reprendre mes esprits et faire bonne figure.
Je regarde par la vitre, nous sommes dans une impasse, visiblement personne n’a remarqué se que nous faisions dans cette voiture. Jérôme me caresse la joue et je me retourne vers lui, ses yeux me scrutent, et je sens de l’anxiété dans son regard.

Moi : « ça va aller Jérôme, ne t’inquiètes pas »

Jérôme : « certainement parce que tu as aucune notion des spasmes qui ont traversés ton corps et la façon dont tu as perdue connaissance. C’était vraiment impressionnant »

Moi : « je ne sais pas quoi dire, je me souviens juste de l’apesanteur dans lequel j’étais, je viens de vivre le meilleur orgasme de ma vie Jérôme »

Jérôme : « je sais, pour moi aussi ça a été intense »

Moi : « c’est vrai ? »

Jérôme : « bien sûre ton plaisir et le mien sont intimement liés, je pensais que tu le savais »

Moi : « oui… enfin non je n’avais jamais pensé à ça, il m’est difficile de juger de l’intensité de ton orgasme »

Jérôme : « alors je te le dis, Marine tu es une partenaire formidable, je prends un peu plus de plaisir à chaque fois avec toi »

Devant cette confession, mon sourire ne se fait que plus triomphant, je repense à la bestialité de l’acte que nous venons d’accomplir, au plaisir que j’ai pris et qui m’a fait chavirer comme jamais.
Il démarre et je me laisse bercée par la volupté dans laquelle je me trouve, sa main prend la mienne et nos doigts s’entremêlent. Je profite d’un feu rouge pour l’embrasser, l’étau de nos doigts se desserre quand nous arrivons sur le parking. Nous rentrons le plus discrètement possible dans la salle du restaurant et reprenons nos places, le dessert vient d’être servie « ça tombe bien j’ai une faim de loup ». Alexandre se tourne vers moi et me demande si tout va bien si j’ai pu faire le changement à la pharmacie, je réponds par la positive, un sourire en coin.

Alex : « t’es sûre parce que tu as l’air toute chose ? »

Je sens a cette réflexion mon sourire s’étendre a m’en faire mal sur mon visage, je plonge mes yeux dans ceux d’Alexandre qui rougit à la vue de se qu’il lit certainement dedans.

Moi : « je te promets que ça va »

Alex : « ok je vais pas insister alors ? »

Moi : « non il ne vaut mieux pas »

Il me fait un clin d’œil et je remarque qu’Emmy en fait de même avec Jérôme, je me rends compte qu’elle va certainement me harceler cette après-midi pour savoir se qu’il s’est passé, mais pour une fois j’ai envie de garder cela pour moi, rien que pour moi, ne le partager avec personnes d’autre que Jérôme « l’orgasme de ma vie dans une voiture, elle est bonne celle là ».
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Message par Invité »

L’après midi est barbante au maximum, les ateliers de réflexions d’une perte de temps notoire quand je pense aux mails entrain de s’accumuler dans ma boites aux lettres et au fait que je serai certainement mieux sous une couette à faire des cochonneries de mon corps avec Jérôme.
L’idée me fait sourire, et je pars dans un rêve éveillé, m’imaginant ses mains puissantes sur ma peau, sa bouche dévorant mon sexe, et son chibre me pénétrant encore et encore « oh oui j’ai encore envie de lui ».
Une voix me tire de ma rêverie.

Emmy : « Marine, je ne sais pas où t’es mais reviens sur terre »

Moi : « oh pardon »

Emmy : « se n’est rien, même si c’est agréable de t’entendre soupirer ainsi, je ne pense pas que se soit l’endroit »

Moi : « j’ai soupiré ? »

Emmy : « oui mais rassures toi personne n’y a fait attention »

Moi : « merde, ça craint »

Emmy : « tu peux me dire où tu étais ? »

Moi : « dans les bras de Jérôme »

Emmy : « je m’en doutais, alors vous avez pu faire le changement à la pharmacie ? » un clin d’œil appuyé

Moi : « oh que oui »

Emmy : « racontes »

Moi : « non pour une fois, je veux garder ça pour moi »

Emmy : « sérieux ? »

Moi : « oui c’était tellement… fort »

Emmy : « tu en as dit trop ou pas assez »

Moi : « s’il te plait, pour une fois, j’ai vraiment pas envie d’en parler »

Emmy : « ok je n’insiste pas alors »

Moi : « merci »

Emmy : « je comprends, moi aussi certaine fois avec Thomas c’est tellement fort, que je préfère le garder pour moi, pour nous »

Moi : « je peux te poser une question quand même ? »

Emmy : « oui vas y »

Moi : « tu me promets de ne pas en parler ? Et surtout pas a Jérôme »

Emmy : « tu peux me faire confiance »

Moi : « ça t’es déjà arrivé de… comment dire… d’éjaculer tellement c’était fort ? »

Emmy : « une fois oui ça m’est arrivé vraiment fort. L’orgasme de ma vie… Humm quand j’y repense. Thomas était parti en déplacement, ça faisait 3 semaines qu’on ne s’était pas vu et quand il est arrivé je l’ai limite violé tellement je n’en pouvais plus et avait envie de lui, et je ne sais pas l’expliquer mais c’est arrivé… »

Moi : « et plus jamais après ? »

Emmy : « si de temps en temps mais jamais comme cette fois là »

Moi : « ah. Ok »

Emmy : « pourquoi ça t’es arrivée avec Jérôme ? »

Moi : « bah… oui et c’est la première fois alors je me pose des questions »

Emmy : « bienvenue chez les femmes fontaines ma belle, tu sais que c’est la traduction de la force de ton orgasme »

Moi : « oui c’est se que Jérôme m’a dit, mais c’est bizarre quand même »

Emmy : « arrêtes Marine, tu dois en être fière et surtout pas honteuse. Je comprends moi aussi la première fois ça m’a surpris mais tu n’as vraiment pas à en avoir honte. Et cela c’est produit une seule fois, pas à chaque fois, non ? »

Moi : « oui, mais si maintenant ça m’arrivait à chaque fois ? »

Emmy : « et bien c’est que tu traduirais ainsi le plaisir que tu prends »

Moi : « il y a certains hommes que ça rebute »

Emmy : « oui des connards qui n’ont pas compris que si cela t’arrive c’est que tu prends du plaisir avec eux »

Moi : « pas con »

Nous nous regardons et nous sourions, elle m’a en partie rassurée quand je sens mon téléphone vibrer, un SMS de Jérôme :
je te boufferai bien les seins et le Q là maintenant .

Je rougis en lisant son SMS, même si je ne peux m’empêcher de sentir mon corps réagir et se redresser de lui-même au passage d’un nouveau frisson. Je lui réponds :
sérieux ? ça faisait au moins 4h kon avait pas copuler

Jérôme me réponds : le sex apl le sex, je te prendrai bien contre un arbre dans la forêt juste derrière

Moi : miam miam

Jérôme : mmmm ma petite salope, tu vas prendre cher
DeLsEp9

Re: Consultante....

Message par DeLsEp9 »

J'adore toujours autant me replonger dans ce récit. :miam: :miam: :miam: :miam:
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Re: Consultante....

Message par Invité »

A croire qu'il n'y a que toi qui lit ce récit :(

Merci Jak
BjEd9a10

Re: Consultante....

Message par BjEd9a10 »

ah non non... moi aussi je lis ce récit.. ;) même que je l'adore.. mais je devrais te le dire désolée... :jap:
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Re: Consultante....

Message par Invité »

Yuna a écrit :ah non non... moi aussi je lis ce récit.. ;) même que je l'adore.. mais je devrais te le dire désolée... :jap:
:cecyls: Han je suis trop contente que tu le lises et que ça te plaise.

:aime:
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Re: Consultante....

Message par Invité »

Je ne peux m’empêcher de tourner ma tête et de le chercher du regard, tout en regardant à l’extérieur et la forêt qui s’étale à perte de vue. Je sens mes joues chauffées et mon con s’ouvrir de lui-même a cette pensée « en même temps j’ai encore envie, alors pourquoi pas ? ». Je décide de le chauffer un peu :

Moi : baise sauvage dans la nature ?
Jérôme : peur de ne pas tenir la distance avec ton orgasme de tout à l’heure peut être ?
Moi : peur moi ? On a 1h de libre entre la fin du séminaire et la soirée, t’a intérêt à tenir la distance mon pote !
Jérôme : je vais te faire la misère Marine
Moi : j’espère bien :-o
Jérôme : t’as pas idée de se ke je vais te mettre
Moi : on verra. Fo pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué
Jérôme : tu va regretter se ke tu viens d’écrire
Moi : ;-)

Je sais intérieurement que je viens de dépasser les limites, taquiner un homme sur ses performances sexuelles est risqué mais Jérôme, il ne va pas laisser passer et en même temps je jubile. Cette baise dans la nature s’annonce mémorable, je n’ai jamais fait ça dans la nature et ça me plait. En même temps j’ai l’impression de devenir une obsédée sexuelle « j’adoooore ce séminaire », et paradoxalement je suis obsédée par son corps, ses bras, cette façon qu’il a de me pousser toujours plus loin dans l’acte et la jouissance.
Je ne crois pas avoir déjà autant jouie avec un partenaire, même Olivier pourtant avec qui je suis resté longtemps ne m’a jamais autant fait vibrer que Jérôme « Emmy avait raison, quand je pense que j’ai failli dire non, quelle conne ! »

Je piaille intérieurement comme une gamine durant le discours de fin du directeur nous expliquant les festivités de la soirée. Jérôme s’est installé juste derrière moi, et je sens son corps chaud si prêt du mien. De temps à autre il souffle sur ma nuque, cela me déclenche des courants électriques dans tout le corps, ma culotte est sacrifiée sur l’autel de mon plaisir, mon entre cuisse est prête, en feu alors que mes seins se gonflent comme par enchantement.
Enfin ils annoncent la coupure, je me lève, suivi d’Alexandre pour fumer une cigarette.

Alex : « t’as l’air pressée Marine ? »

Moi : « hein, quoi ? Euh non ? Pourquoi tu dis ça ? »

Alex : « la vitesse à laquelle tu fumes peut être »

Moi : « non non franchement tu te fais des idées »

Alex : « Marine je te connais et je peux te dire que si tu attends quelque chose, regardes tu tiens à peine en place »

Je me rends, regarde Alexandre droit dans les yeux

Moi : « ok peut être que oui »

A ce moment là Emmy débarque

Emmy : « Marine tu devrais aller voir Jérôme, il est parti un peu plus loin par là bas, je crois qu’il te cherche »

Moi : « ah merci, je vais aller voir alors »

Alex : « c’est pas vrai, je le crois pas, mais vous être pire que des lapins tout les deux »

Je ne relève même pas la réflexion qu’il vient de faire, je ne vois franchement pas en quoi ma vie sexuelle le regarde, si je ne le connaissais pas aussi bien, je le penserai jaloux alors qu’il devrait être content pour moi, je suis épanouie comme jamais, « certes avide de sexe mais épanouie, voluptueuse, c’est tout de même bien », même lui le reconnait. Et puis il a Rose dans sa vie après tout.

Je m’enfonce dans le chemin que m’a indiqué Emmy, mais sans lampe se n’est pas aisé. Je dégaine la super application lampe torche de l’IPhone mais je dois me rendre à l’évidence qu’elle n’éclaire pas si bien que ça.
Je ne suis pas franchement rassurée voir un début de peure, mais l’envie est trop forte, je suis intriguée, je m’enfonce un peu plus quand soudain une main m’attrape le bras et me plaque contre un arbre. Je mets tout de même une bonne minute pour me rendre compte que c’est Jérôme.

Jérôme : « tu ne devrais pas te balader ainsi dans les bois toute seule, tu pourrais rencontrer des pervers »

Moi : « miam »
BjEd9a10

Re: Consultante....

Message par BjEd9a10 »

follement excitant.... ça donne des idées... :hornet:
Vintage
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Re: Consultante....

Message par Vintage »

Jerôme serait comme un lapin pressé...

Un arrière gout des merveilles d'Alice, qui sait...

V., qui aime les bons comptes qui font les bronzes amis.
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Re: Consultante....

Message par Invité »

Yuna a écrit :follement excitant.... ça donne des idées... :hornet:
et se n'est pas fini :hornet:
Vintage a écrit :Jerôme serait comme un lapin pressé...

Un arrière gout des merveilles d'Alice, qui sait...

V., qui aime les bons comptes qui font les bronzes amis.
qui sait...

surtout si c'est toi le Chapelier ;)

Cédille, reine des coeurs :sandy:
Invité

Re: Consultante....

Message par Invité »

Sa main dégrafe mon jean et s’y engouffre aussitôt, pendant que sa bouche vient à la rencontre de la mienne, mes mains viennent dans ses cheveux pour que nos lèvres se soudent l’une à l’autre un peu plus fort dans ce torride baiser que nous échangeons.

Jérôme : « mais tu coules ! »

Moi : « ça te déplait »

Jérôme « oh que non, c’est parfait »

A une vitesse étonnante, je me retrouve sans gilet, ni haut, Jérôme entrain de mordiller mes tétons à travers la dentelle de mon soutif, je commence à gémir, l’une de ses mains est toujours dans mon jean faisant rouler mon clitoris entre des doigts, mon feu intérieur reprend.

Jérôme : « ça suffit, retourne toi, vire moi ce jean et offre moi ton joli cul »

Je m’exécute, je ne sais pas se qu’il a prévu mais je sais que je vais prendre mon pieds, mon cerveau est sur pause. Mon jean vient rejoindre le reste de mes affaires, malgré le froid qu’il fait et qui ne fait que renforcer la tension dans mes seins, je me sens brûlante comme prise d’une fièvre incontrôlable. Le contact du tronc sur mes tétons les excite un peu plus, je me cambre au maximum, mes bras allongés contre l’arbre au dessus de ma tête. Il vient attacher mes poignets de sa cravate en la passant autour d’une branche.

Jérôme : « splendide Marine, alors dis moi tu as envie de moi »

Moi : « oui »

Jérôme : « très envie ? »

Moi : « oooh ouiii » d’une voix tremblante de désir

Jérôme : « et t’aimerais que je m’enfonce en toi là maintenant ? »

De son doigt il parcourt ma peau, qui frissonne sur son passage, tout en me disant ces mots, il vient poser son doigt à l’entrée de ma vulve.

Moi : « hummm, oui Jérôme »

Jérôme : « que je te baise ? »

Moi : « ouiiiiii » ma voie se fait suppliante

Jérôme : « que je te baise comment Marine ? »

Il continue à se jouer de moi, balade ses doigts sur mon sexe offert sans le pénétrer, je n’en peux plus je le veux en moi comme jamais

Moi : « sauvagement »

Jérôme : « pourtant tu remets en cause ma capacité à la faire »

Un bruit de métal « sa ceinture ! » et je sens le métal froid courir le long de ma colonne et dessinant l’arrondie de mes fesses.

Moi : « Non excuses moi »

Jérôme : « tu ne crois pas que c’est trop tard »

Moi : « je… pardonne moi… tu sais que j’ai une grande gueule »

Jérôme : « et bien tu devrais apprendre à la fermer de temps en temps Marine »

Moi : « je sais »

Je sens maintenant la langue de cuir se balader sur mes rondeurs fessières, je tremble et en même temps peur et plaisir se mêle en moi, un cocktail détonnant.

Jérôme : « et que m’as-tu répondu ce matin quand j’ai parlé de te cravacher le cul »

Moi : « …. »

Jérôme : « on ne dit plus rien tout d’un coup »

Moi : « je... j’ai... gémis »

Jérôme : « et bien on va voir si ça va te faire gémir »
Invité

Re: Consultante....

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Le cuir s’abat aussitôt sur l’une de mes fesses et mord ma peau, la sensation est totalement différente de celle de la fessée moins étendu, plus vive et plus nette, j’étouffe un cri. A peine ai-je le temps d’analyser les sensations, que c’est ma seconde fesse qui prend. Je sens nettement la marque laisser par le cuir, une ligne fine et brulante. Je sers les dents quand le troisième coup tombe et cri quand le quatrième vient, mon cul est en feu, mes larmes jaillissent, et pourtant en me concentrant sur mon corps, je m’aperçois que j’en retire du plaisir « je deviens folle ». Une cinquième puis une sixième fois le cuir fouette mes fesses, et quand Jérôme vient le caresser, instantanément les brûlures s’estompent.
Ses doigts courent sur les marques et il vient se coller contre moi, je n’avais même pas remarqué qu’il avait entièrement retiré son jean. Je sens son sexe gonflé et dur venir se caler dans ma raie culière et ses doigts venir me fouiller, directement sur le point G, je vacille dans les affres du plaisir, le clapotis que font ses doigts dans leur va et vient me révèle combien je suis trempée, offerte, dégoulinante de désir pour cette homme. Je frotte mes fesses contre sa peau se qui réveille un peu la chaleur des marques mais elle n’est en rien désagréable bien au contraire.
Ses doigts me baisent, c’est bon je suis hystérique, je me cambre pour mieux les sentir en moi, ce mouvement fait frotter mes tétons sur le tronc m’amenant plus vite vers l’orgasme, ma vulve se contracte et il se retire. Me laisse ainsi vide, seule, perdue, tremblante, bien trop haut pour redescendre et pas assez pour le déclencher seule. Un feulement, presqu’un grondement s’échappe de ma gorge, je tortille les fesses pour lui faire comprendre que j’en veux plus mais il ne bouge pas. Un instant je me demande même si il ne m’a pas abandonné tellement il est immobile, la chaleur dégagée par son corps et sa respiration me rassure sur sa présence, mais je suis dans un état de frustration insupportable. De rage je sens les larmes couler à nouveau sur mes joues « j’ai envie de lui, pourquoi il me fait ça ». J’oublie mon amour propre et le supplie

Moi : « s’il te plait Jérôme, vient, ne me laisse pas comme ça »

Jérôme : « pardon ? je n’ai pas entendu »

Moi : « Jérôme je t’en supplie, viens, prends moi, ne me laisses pas comme ça, BAISES MOI » ma supplique c’est transformée en cri de rage

Un bruit de plastique et je le sens s’enfoncer d’un coup sec jusqu'à sa garde je hoquette. Ses couilles viennent taper sur mes cuisses, il me baise, me pilonne, j’ai à peine le temps de reprendre mon souffle qu’il m’enserre dans ses bras fort, je m’abandonne totalement. Chacun de ses coups de reins m’enivre un peu plus, je chavire, j’ai perdu contact avec la réalité, j’ai l’impression que seuls son chibre me tiens encore debout, que chaque va et vient, me fait grimper un peu plus haut.
Je l’encourage lui disant que j’aime ça, que j’ai envie de le sentir encore plus profondément en moi, et il s’y applique, la cadence a ralentit, je sens maintenant son vit sortir entièrement avant de reprendre possession de mon fourreau brulant centimètre par centimètre, c’est bon, divin, jamais je n’ai connu pareil sensation d’abandon.
Mon orgasme est malheureusement toujours coincé et je n’arrive pas à l’expulser, la boule grossie pourtant dans mon corps, mais elle ne veut pas sortir.
Je le supplie de me faire jouir et il me répond : « pas encore ».

Cette réponse me rend folle, je veux jouir et pourtant chacun de ses coups de buttoir sont comme des ingrédients supplémentaires vers ma bombe intérieure mais sans jamais en enclencher le détonateur. Jérôme me presse plus fort dans ses bras et contre l’arbre, ses coups de coups de reins se font plus rapide et plus secs et un râle s’échappe, il vient de jouir « et moi ? ». Il se retire, me détache enfin de l’arbre mais pas mes poignés qui restent soudés, je me retourne et il vient m’embrasser avant de s’agenouiller et de m’entrainer dans son mouvement.
Je me retrouve allongée sur nos vêtements, quand il écarte largement mes cuisses de ses mains puissantes pour s’abattre sur mon clito. Sa bouche le dévore, je suis dans l’impossibilité de bouger, mes mains liées l’une à l’autre, les siennes maintiennent fermement mon compas ouvert, je ne peux m’empêcher de gémir sous ses coups de langue. Elle me fouille, couvre le moindre centimètre carré de mon abricot détrempé avant de venir dans mon antre et simuler un coït. Il ressort et vient sucer du bout des lèvres mon bouton tendu tel un mini sexe. Mes gémissements se transforment en cris de plaisir, je secoue ma tête dans tout les sens, l’une de ses mains abandonne l’intérieur de mes cuisses et je sens 2 doigts me pénétrer et faire quelque va et vient avant de s’agripper a mon point G, un subtile mouvement de leur part et j’explose. Je cris ma jouissance et tous mes muscles se contractent, je me cabre, enfin il m’a libéré.
Invité

Re: Consultante....

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Il vient s’allonger sur moi, je suis dans un cocon entre ses bras. Je l’embrasse lentement doucement, nettoie ces lèvres couvertes de mon jus avec ma langue, nos lèvres se bécotant les unes, les autres dans une infinie tendresse et plonge dans son regard.

Moi : « c’était bon merci »

Jérôme : « plaisir partagé ma chère amie »

Moi : « j’aime ça, m’abandonner à toi »

Jérôme : « je le sais »

Un déclic vient de se faire dans ma tête, et si c’était se que je recherchais depuis tout ce temps. M’abandonner totalement à un homme, un guide, un Maître en la matière pour mieux en jouir, ressentir toujours plus de plaisir, comme ce soir, comme ce midi, comme ce matin et… L’évidence est là « et si c’était ma voie ? En-suis-je capable ? Arriverai-je a tout endurer ? »

Jérôme me regarde pendant mon monologue intérieur, je sais le sourire qui est gravé sur mon visage, et en même temps mon front doit se plisser à mes réflexions et l’évidence qui vient d’être mienne ce soir.

Jérôme : « ça va ? »

Moi : « oui, je… je me pose des questions c’est tout »

Jérôme : « tu veux qu’on en discute »

Moi : « non j’ai plutôt besoin d’être seule »

Jérôme : « oh j’ai dit quelque chose ou… la ceinture c’est ça ? »

Moi : « non pas du tout c’est entre Moi et Moi. Et pour la ceinture bah, je vais peut être te paraître maso mais j’ai aimé en fait, enfin j’estime que je le méritais pour se que je t’avais dit et que tu as bien fait de me rappeler à l’ordre »

Jérôme : « se n'est pas ça qui fait de toi une maso Marine, même si je pense que tu l'es un peu, tu te révèles à toi-même un peu plus à chaque fois c’est tout »

Moi : « oui mais… »

Jérôme : « on va y aller, et si tu veux je te ramène chez toi, on pourra en discuter comme ça »

Moi : « ok ça me va »

Nous nous relevons, nous rhabillons, j’ai conscience de la distance que j’ai tout d’un coup vis-à-vis de lui et en même temps je meurs d’envie qu’il me prenne dans ses bras.
Avant de rejoindre le groupe, il m’attire tendrement à lui et m’embrasse simplement avec douceur. Pas un mot n’est échangé, je sens dans ce baiser qu’il comprend le tourment qui est mien et qu’en rien il ne me brusquera. Nos lèvres se quittent, il me sourit tout en remettant en place une de mes mèches.
Certains fument et à travers les vitres je vois notre petite bande à l’intérieur proche du bar entrain de discuter. Je m’approche d’eux, en essayant de ne rien laisser paraître, Jérôme est resté à l’extérieur pour discuter.

Moi : « je vais rentrer, je ne sais pas se que j’ai mais je préfère rentrer. Je vous dis à demain, bonne soirée »

Alex : « tu déconnes Marine, toi louper une soirée, c’est pas possible »

Moi : « Alex, n’insistes pas, j’ai besoin d’être seule »

Alex : « il s’est passé un truc avec Jérôme c’est ça ? Il t’a fait mal ? »

Moi : « non absolument pas, c’est juste que… j’ai besoin d’être seule. Jérôme me raccompagne d’ailleurs, il ne m’a pas fait mal »

Alex : « ok comme tu veux. Passez une bonne soirée tous les deux alors »

Je me dirige vers Jérôme et nous prenons sa voiture. Durant le trajet je sombre dans une réflexion intérieur : « si je lui offre mon corps et le remets entre ses mains alors il ne m’appartiendra plus. Quels risques je prends ? Et s’il allait trop loin ? En même temps j’aime m’abandonner dans ses bras… la fessée… hummm délicieuse quand on y repense et cette ceinture… Marine tu deviens totalement folle ma fille, et si pour une fois je vivais tout simplement se que j’ai à vivre » .

Moi : « pffff… »

Jérôme : « tu veux en parler ? »

Moi : « je ne sais plus où j’en suis »

Jérôme : « qu’as-tu ressenti tout à l’heure dans le bois ? »

Moi : « je… je ne sais pas »

Jérôme : « Marine, s’il te plait, le premier truc qui te viens à l’esprit »

Moi : « je… j’ai aimé » dans un chuchotement comme si une partie de moi ne devait surtout pas l’entendre.

Jérôme : « c’est une bonne chose, non ? »

Moi : « oui mais… enfin pourquoi, normalement je ne devrais pas réagir comme ça, non ? »

Jérôme : « pourquoi parce que tu dois tu dois passer par un chemin peu conventionnel, par l’abandon total pour mieux jouir et vivre ? »

Moi : « oui, enfin je ne sais pas c’est super confus en fait dans ma tête. Jamais je n’ai autant ressenti de sentiments aussi contradictoires et aussi forts. J’ai eu peur de se que tu allais me faire et pourtant malgré la douleur je me disais que si tu faisais cela c’était pour mon bien, que j’en ressortirai grandie… je deviens barge et maso c’est ça ? »

Jérôme : « non tu ne deviens pas folle, tu es la porte d’un nouveau monde, tu es la seule à pouvoir ou non l’ouvrir. Je saurai t’y guider si tu le souhaites et m’en estime digne mais autant te dire que le chemin ne sera pas facile. Se n’est pas qu’un simple jeu, la décision seule t’appartient »

Moi : « je sais, c’est pas facile »

Nous arrivons devant chez moi, je regarde intensément Jérôme qui dépose un baiser sur mon front et je sors de sa voiture, il a compris mon besoin d’être seule. Mon cerveau réfléchit en boucle, j’aimerai qu’il s’arrête mais je ne sais pas quoi faire.
Aussitôt arrivée, je file dans la salle de bain pour me faire couler un bain, j’attrape la bête ronronnante et la presse fort contre moi. Je m’assieds dans mon canapé et la caresse longuement, j’aimerai qu’elle parle, qu’elle me dise quoi faire, elle qui doit me connaître si bien, qui m’a vu passer par tant d’épreuves. Elle s’échappe de mes bras pour allez vivre sa vie de chat, je décide de me prendre un verre de whisky, la première gorgée du liquide ambrée brulant ma gorge me rappelle que je suis bien vivante malgré le brouillard dans lequel je me trouve et m’aide a me détendre.

Je me déshabille, attrape ma serviette et en passant devant ma glace, je regarde les marques rouges et blanches qui strient mes fesses, mes cuisses et le bas de mon dos. Je ne peux m’empêcher de passer ma main dessus, d’appuyer aussi pour vérifier se que je ressens, aussitôt je me revois attachée à cette branche, le bruit sec de sa ceinture coupant l’air avant de s’abattre sur ma peau, je sursaute et pourtant je sens mon sexe perler. Je les trouve esthétiques, presque belles, preuve de l’abandon totale que j’ai réussi a atteindre pour Jérôme et mon plaisir.

Je glisse dans mon bain, au contact de l’eau les marques ravivent leur chaleur, mais je suis bien, en apesanteur, flottant dans une plénitude intérieure curieuse. Je sens mon corps vivant, libre, bouillonnant, ayant jouie comme jamais auparavant, mais ayant besoin de tellement plus : « Pas d’amour non, un besoin physique… C’est çà besoin de le sentir me toucher, s’occuper de moi, qu’il me fasse se qu’il veut je lui offre mon corps du moment qu’il le fasse vibrer » .
A cette révélation, je me laisse glisser sous l’eau « mon dieu c’est ça, j’y suis… J’ai besoin, je veux qu’il s’occupe de moi, de mon corps, qu’il m’élève dans les plaisirs de la chair, que je continue a avoir des orgasmes aussi fort que ce midi, peut importe se que je devrais endurer » .
Je me redresse, finis ma toilette et sors de ma baignoire. A peine sèche, je laisse tomber ma serviette et me laisse glisser sur mon lit, nue et m’enfonce sous la couette « est ce là ma décision ? oui mais comment lui dire ? » . J’attrape mon téléphone, essayes plusieurs phrases, mais aucune n’est a la hauteur de mon ressenti, je le coupe après tout nul besoin de me précipiter. C’est le corps léger, l’âme vive, les ronronnements me berçants que je glisse vers Morphée en douceur.
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