Chienne...
Chienne...
C'est un premier jet, pas vraiment de recherche stylistique... Autrement dit désolé pour l'imperfection de ce qui va suivre... Enfin
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Il la façonne, elle est sa chienne : il la prend, emplit sa chatte ruisselante de ses doigts, la fouille, la fait ruisseler et elle se cambre, s'offre et se vautre dans le peu de pudeur qui lui reste. Il flatte sa croupe tendue du plat de la main alors qu'elle ne désire que ses coups.
Tension qui monte et la vrille jetant à terre ses dernières retenues, elle se frotte contre sa cuisse pour réclamer qu'il la branle et sa main s’abat sur ses fesses qui se teignent de rouge : c'est chaud, ça l’enivre, ça cuit et ça la rend folle. Elle voudrait prendre sa tête à pleine main et l'enfouir entre ses seins pour qu'il dévore sa poitrine et la farce crier mais se contente de redresser le buste pour lui présenter ses tétons dressés. Il s'en saisit et la fait se plaquer contre le mur froid et granuleux sans ménagement, sa main frottent son cul rougit qui se tend inexorablement vers lui dans l'attente des coups... Il s'en amuse, lui répète qu'elle est sa chienne, la fait perler de honte et se replet de la voir ainsi ruisselante, à sa merci...
La cravache effleure ses hanches, dessine le contour de ses courbes et la fait tressauter : fébrile, elle attend impatiente le premier coup qui ne manquera pas de tomber au moment où elle s'y attendra le moins...
Et ces mots susurrés à ses oreilles qui incendient sa chatte : elle acquiesce du regard, oui je suis ta chienne, prends-moi, fais de moi ce que tu voudras, je suis ton jouet...
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Il la façonne, elle est sa chienne : il la prend, emplit sa chatte ruisselante de ses doigts, la fouille, la fait ruisseler et elle se cambre, s'offre et se vautre dans le peu de pudeur qui lui reste. Il flatte sa croupe tendue du plat de la main alors qu'elle ne désire que ses coups.
Tension qui monte et la vrille jetant à terre ses dernières retenues, elle se frotte contre sa cuisse pour réclamer qu'il la branle et sa main s’abat sur ses fesses qui se teignent de rouge : c'est chaud, ça l’enivre, ça cuit et ça la rend folle. Elle voudrait prendre sa tête à pleine main et l'enfouir entre ses seins pour qu'il dévore sa poitrine et la farce crier mais se contente de redresser le buste pour lui présenter ses tétons dressés. Il s'en saisit et la fait se plaquer contre le mur froid et granuleux sans ménagement, sa main frottent son cul rougit qui se tend inexorablement vers lui dans l'attente des coups... Il s'en amuse, lui répète qu'elle est sa chienne, la fait perler de honte et se replet de la voir ainsi ruisselante, à sa merci...
La cravache effleure ses hanches, dessine le contour de ses courbes et la fait tressauter : fébrile, elle attend impatiente le premier coup qui ne manquera pas de tomber au moment où elle s'y attendra le moins...
Et ces mots susurrés à ses oreilles qui incendient sa chatte : elle acquiesce du regard, oui je suis ta chienne, prends-moi, fais de moi ce que tu voudras, je suis ton jouet...
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Re: Chienne...
C'est un trés beau début
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
Re: Chienne...
...après tout ce temps
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Il approche la main de son visage, elle suce les doigts qu'il lui tend, les avale goulument, les pompes, laisse la salive couler le long de ses joues, se concentre sur ses doigts et ne pense à rien d'autre que sa chatte en feu qui la fait devenir sienne, qui la fait devenir chienne... Et soudain, le premier sifflement, celui qui la fait se cambrer plus encore et gémir : un gémissement d'envie, de plaisir et de douleur mêlés... Le premier coup qui sera suivit par tant d'autres...
Elle mord l’intérieur de ses joues, respire bruyamment offre sa croupe mais tente de se dérober au dernier moment : elle réclame les coups mais les redoute plus encore... Sa tête la vrille, elle se sent glisser... Il l'appelle : ma chienne... insiste sur le ''ma'' et laisse les ''n'' se perdre dans l'infinité du moment... Il flatte sa croupe du plat de sa main, sa croupe cuisante qui réclame et la tiraille du même coup, il flatte sa croupe et la couvre du regard... Elle se sent bien, elle se sent belle, elle en veut encore, elle en veut plus, elle se tortille pour lui offrir l'accès, pour l'inciter à continuer, à reprendre la danse...
Il s'amuse, il sait exactement ce qu'elle ressent : c'est comme cela qu'il l'aime, ruisselante, pantelante, quémandeuse, prête à tout pour un seul de ses doigts... Il s'en amuse et en joue : mordillant ses seins, la base de son cou, effleurant ses lèvre mais refusant de s'y immiscer...
Elle se tord pour lui offrir sa fente luisante d'envie : si elle pouvait la lui tendre sur un plateau dorée, elle le le ferait. Il approche sa main lentement en plantant son regard dans le sien, elle se tend brusquement mais sent sa main se retirer : ''pas maintenant ma chienne'' et il passe une main dans ses cheveux, dégageant son visage pour observer son regard fiévreux dans lequel pointe des éclats de colère de se voir ainsi refuser ce qu'elle réclame corps et âme...
Et un gros merci à tous ceux qui ont posté et même à ceux qui n'ont pas postés mais qui ont eue le courage de me lire
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Il approche la main de son visage, elle suce les doigts qu'il lui tend, les avale goulument, les pompes, laisse la salive couler le long de ses joues, se concentre sur ses doigts et ne pense à rien d'autre que sa chatte en feu qui la fait devenir sienne, qui la fait devenir chienne... Et soudain, le premier sifflement, celui qui la fait se cambrer plus encore et gémir : un gémissement d'envie, de plaisir et de douleur mêlés... Le premier coup qui sera suivit par tant d'autres...
Elle mord l’intérieur de ses joues, respire bruyamment offre sa croupe mais tente de se dérober au dernier moment : elle réclame les coups mais les redoute plus encore... Sa tête la vrille, elle se sent glisser... Il l'appelle : ma chienne... insiste sur le ''ma'' et laisse les ''n'' se perdre dans l'infinité du moment... Il flatte sa croupe du plat de sa main, sa croupe cuisante qui réclame et la tiraille du même coup, il flatte sa croupe et la couvre du regard... Elle se sent bien, elle se sent belle, elle en veut encore, elle en veut plus, elle se tortille pour lui offrir l'accès, pour l'inciter à continuer, à reprendre la danse...
Il s'amuse, il sait exactement ce qu'elle ressent : c'est comme cela qu'il l'aime, ruisselante, pantelante, quémandeuse, prête à tout pour un seul de ses doigts... Il s'en amuse et en joue : mordillant ses seins, la base de son cou, effleurant ses lèvre mais refusant de s'y immiscer...
Elle se tord pour lui offrir sa fente luisante d'envie : si elle pouvait la lui tendre sur un plateau dorée, elle le le ferait. Il approche sa main lentement en plantant son regard dans le sien, elle se tend brusquement mais sent sa main se retirer : ''pas maintenant ma chienne'' et il passe une main dans ses cheveux, dégageant son visage pour observer son regard fiévreux dans lequel pointe des éclats de colère de se voir ainsi refuser ce qu'elle réclame corps et âme...
Et un gros merci à tous ceux qui ont posté et même à ceux qui n'ont pas postés mais qui ont eue le courage de me lire
Dernière modification par XjEd9a9 le 04 août 2011, 20:14, modifié 2 fois.
Re: Chienne...
Tu vas rire, mais je viens de découvrir ce topic et ce récit par la même occasion... rhoo... fouettée pour ton silence, ta cachoterie...
Quelle chaleur! quelle ardeur! miam... qu'on me l'apporte enchaînée et nue, offerte et résignée!
Nous aimons ce récit! ( )
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Re: Chienne...
J'ai bien fait de te le cacher alorsQuichou a écrit :Tu vas rire, mais je viens de découvrir ce topic et ce récit par la même occasion... rhoo... fouettée pour ton silence, ta cachoterie...
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Re: Chienne...
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Re: Chienne...
C'est chaud ... c'est très bien écrit
Mon cocktail BDSM : Dom avec un zeste de switch