Chienne...
Publié : 27 juin 2011, 23:26
C'est un premier jet, pas vraiment de recherche stylistique... Autrement dit désolé pour l'imperfection de ce qui va suivre... Enfin
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Il la façonne, elle est sa chienne : il la prend, emplit sa chatte ruisselante de ses doigts, la fouille, la fait ruisseler et elle se cambre, s'offre et se vautre dans le peu de pudeur qui lui reste. Il flatte sa croupe tendue du plat de la main alors qu'elle ne désire que ses coups.
Tension qui monte et la vrille jetant à terre ses dernières retenues, elle se frotte contre sa cuisse pour réclamer qu'il la branle et sa main s’abat sur ses fesses qui se teignent de rouge : c'est chaud, ça l’enivre, ça cuit et ça la rend folle. Elle voudrait prendre sa tête à pleine main et l'enfouir entre ses seins pour qu'il dévore sa poitrine et la farce crier mais se contente de redresser le buste pour lui présenter ses tétons dressés. Il s'en saisit et la fait se plaquer contre le mur froid et granuleux sans ménagement, sa main frottent son cul rougit qui se tend inexorablement vers lui dans l'attente des coups... Il s'en amuse, lui répète qu'elle est sa chienne, la fait perler de honte et se replet de la voir ainsi ruisselante, à sa merci...
La cravache effleure ses hanches, dessine le contour de ses courbes et la fait tressauter : fébrile, elle attend impatiente le premier coup qui ne manquera pas de tomber au moment où elle s'y attendra le moins...
Et ces mots susurrés à ses oreilles qui incendient sa chatte : elle acquiesce du regard, oui je suis ta chienne, prends-moi, fais de moi ce que tu voudras, je suis ton jouet...

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Il la façonne, elle est sa chienne : il la prend, emplit sa chatte ruisselante de ses doigts, la fouille, la fait ruisseler et elle se cambre, s'offre et se vautre dans le peu de pudeur qui lui reste. Il flatte sa croupe tendue du plat de la main alors qu'elle ne désire que ses coups.
Tension qui monte et la vrille jetant à terre ses dernières retenues, elle se frotte contre sa cuisse pour réclamer qu'il la branle et sa main s’abat sur ses fesses qui se teignent de rouge : c'est chaud, ça l’enivre, ça cuit et ça la rend folle. Elle voudrait prendre sa tête à pleine main et l'enfouir entre ses seins pour qu'il dévore sa poitrine et la farce crier mais se contente de redresser le buste pour lui présenter ses tétons dressés. Il s'en saisit et la fait se plaquer contre le mur froid et granuleux sans ménagement, sa main frottent son cul rougit qui se tend inexorablement vers lui dans l'attente des coups... Il s'en amuse, lui répète qu'elle est sa chienne, la fait perler de honte et se replet de la voir ainsi ruisselante, à sa merci...
La cravache effleure ses hanches, dessine le contour de ses courbes et la fait tressauter : fébrile, elle attend impatiente le premier coup qui ne manquera pas de tomber au moment où elle s'y attendra le moins...
Et ces mots susurrés à ses oreilles qui incendient sa chatte : elle acquiesce du regard, oui je suis ta chienne, prends-moi, fais de moi ce que tu voudras, je suis ton jouet...