Secret de famille

Des récits qui ne manqueront pas de réveiller vos sens et votre imagination...
BjEd9a10

Re: Secret de famille

Message par BjEd9a10 »

qu'est-ce que vous avez tous avec votre iphone.. ? :soupir1:
DeLsEp9

Re: Secret de famille

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Yuna a écrit :qu'est-ce que vous avez tous avec votre iphone.. ? :soupir1:
Les suites sont dans le pc
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Biquette
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Re: Secret de famille

Message par Biquette »

Alors, t'es tjs pas sur ton pc Jak ? :minet:
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
DeLsEp9

Re: Secret de famille

Message par DeLsEp9 »

Bikette a écrit :Alors, t'es tjs pas sur ton pc Jak ? :minet:


De retour
DeLsEp9

Re: Secret de famille

Message par DeLsEp9 »

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44)



Mais qu’elles achètent ce qu’elles veulent, et en sus ce que tu les as amenées à vouloir, à désirer.
Qu’elles se disent, cette chose, ce vêtement qu’elle me conseille, il me le faut, il faut que je l’achète, il est fait pour moi, seulement pour moi.

La nuance est énorme.
Si tu vends le client peut ne pas être content.

S’il achète, c’est qu’il le veut, qu’il le décide. Il reviendra, car il est heureux de ses achats. »



-/-


C’est exactement cela. Quand tu arrives, la première chose à faire, tu dois tout repérer dans le magasin. Tu as déjà acheté dans ce magasin, repère les emplacements des différents types de vêtements, de sous vêtements, enfin tout. Tu dois pouvoir au bout de deux jours, savoir où tout est rangé, y aller les yeux fermé.

Tu en es capable si tu le veux, je le sais.

Applique au maximum ce principe que je t’ai expliqué, fait ton trou, pose tes jalons dès le premier, jour.
N’attends pas que la cliente vienne à toi, va au devant d’elle.

Tu fais un essai pour un apprentissage, surprend la patronne, comporte toi en vendeuse confirmé. Tu en a la carrure, le look, l’ambition.

Tu as vue les deux gamines qui étaient là quand tu as acheté tes maillots de bain. Aucune envergure. Prouve démontre à ta futur patronne, que tu es la personne, qu’elle cherche, qu’aucune autre ne pourra faire, ce que tu fais, ce que tu es prête à faire pour avoir ce job.


Je regarde la puce, elle boit mes paroles. Elle a les yeux fermés, elle s’imprègne, de mes mots, de mes phrases. Je m’arrête à un feu rouge. Je me penche l’embrasse tendrement. Elle sursaute.

Arrête, tu me troubles, je me concentre, je veux tout garder dans la tête. Tu es fou, elle ne va pas me laisser faire.

Fait le, prouve toi, à toi même que tu en es capable, qu’elle a eut raison de t’embaucher.

Tu as dis hier soir, « Même si je suis encore vierge, dans tes bras, je me sens femme, ta femme. »

Tu es une femme assume. Tu es ma femme, je n’accepterais pas l’échec.


Je sais que je suis dur, que mes mots sont durs. Mais je connais ma puce, il faut la pousser, la mettre au pied du mur pour qu’elle donne tout ce qu’elle a dans le ventre, qu’elle se surpasse. Elle y arrivera j’en suis sur et certain.

Je me gare dans le parking sous le centre halles, il est 8h00. Je sorts de ma poche un double des clefs de la maison, les lui tends.

Si jamais ce soir, je ne peux pas venir, tu prends le bus. J’essaie de venir manger avec toi mais je ne peux rien te promettre. Tu as de l’argent ?

Sans lui laisser le temps de répondre, je sors ma pince à billets et lui tend trois billets de cinquante francs.

C’est une avance sur ton salaire. Tout argent se mérite.

Tu te souviens du petit café prés du magasin. Tu y va seule, je te suis, à dix mètres derrière toi.

Tous les hommes que tu croises, sur le chemin pour y aller doivent se retourner sur toi, qu’il soit seul ou accompagné. Je m’en fiche, tu es une femme, tu es ma femme, fonce, assume.


Elle me regarde, ses yeux sont froids, déterminés. Elle se penche m’embrasse doucement sur les lèvres, se retourne et commence à marcher, elle rejette les épaules en arrière, ça y est elle assume la femme qu’elle est devenue, elle s’assume.

Sabine, j’ai sabine devant les yeux. Elles sont si semblables. Magalie marche comme je lui ai appris, beaucoup plus naturellement qu’au début, mais d’une façon encore plus chaloupé. Je suis oblige de ralentir mon pas, tant elle prend son temps. Je remarque le regard des hommes qui s’arrêtent sur son passage, et se retournent.


Oui bande de gourmands, avec les yeux, seulement les yeux. Vous rêvez, elle vous fait rêver, elle vous fait fantasmer, c’est bien, baver, soupirer d’envie.
Mais c’est avec moi que votre rêve, votre fantasme, passe ses nuits, dans mes bras. Pour vous, toujours inaccessible elle est et elle le restera.

Je pense comme le dernier des machos, mais je m’en fiche, elle est sublime, ma puce est sublime, ma femme est sublime.


Elle s’arrête, se baisse, le buste droit, replace la lanière d’une de ces chaussures. Elle expose ses fesses, sa chute de reins, à un homme qui la croise, son épouse au bras. Je le voie ralentir, se retourner, admirer la courbe des fesses, la chute de reins de Magalie. Sa femme le sentant ralentir, se retourne et commence à le traiter de pervers, de tous les noms d’oiseaux de la planète. Je me retiens d’éclater de rire.

Magalie en se relevant me regarde en coin avec un sourire carnassier. Ses yeux me fixent, me provoquent.

Elle repart toujours aussi doucement, toujours avec cette même démarche, qui me transporte.

Elle arrive au café, s’installe à une table, croise les jambes très hautes. Sa jupe baille du fait des fentes. On voie presque le début de ses fesses. Deux serveurs se précipitent. Je me rapproche, je l’entends passer sa commande, en me regardant droit dans les yeux.


Deux cafés s’il vous plait et deux croissants.

Je m’installe sur une chaise face à ma puce. Elle me regarde, ses yeux me provoquent, ils ont l’air de me dire : Alors, il est content le macho, ils se sont retournés, je les ai tous fait craquer sur mon passage, tu jubiles, tu es fier de ta femme ?

Je prends sa main, l’embrasse. Le serveur revient avec les cafés et les croissants, il a l’air déçu de me voir assit à la table de la puce. Il pose les cafés et repart.


Tu as fait exactement ce que j’attendais de toi ma chérie. A tous moments, en toutes occasions tu marches comme cela, où que ce soit.
Tu dois te différencier, être différente des autres. C’est une façon comme une autre de montrer que tu t’assumes, que tu es une femme à part entière.


Nous mangeons chacun notre croissant, buvons notre café. Je vois la patronne de Darjeeling Chantelle qui arrive, se dirige vers son magasin. Elle me remarque se dirige vers notre table. Je fais signe des yeux à Magalie, qui descend sa jambe, pour être assise plus normalement. Arrivé à notre hauteur, elle regarde Magalie, se fige. Me regarde.

« Je vois que vous ne faites pas dans la demi mesure. Vous lui donnez tous les chances pour qu’elle réussisse son test de deux jours. Je ne peux que vous en remercier. »

Je regarde Magalie, puis les tasses à café.


Vous prenez un café avec nous madame.

« Oui merci. Je crois que l’on va simplifiez. Tu m’appelles Martine, et toi c’est comment ton prénom ? »

Magalie, je m’appelle Magalie madame.

« Martine, mais tu me vouvoies, surtout devant les clients. »

Magalie fais signe au serveur.


Trois cafés s’il vous plait. Quelqu’un veut autre chose ?

« Un café me suffira, merci Magalie. »

Un verre d’eau avec des glaçons s’il vous plait.

Le serveur revient, dépose les cafés, et le verre d’eau. Je regarde Magalie qui ne réagit pas.

Magalie tu règles la note, s’il te plait, nous t’avons avancé de l’argent sur tes prochains salaires, tu paies s’il te plait.

Je voie Martine qui me regarde surprise.

« C’est bien ce que vous faites.
Elle aura la notion de la valeur de l’argent. Ça va me changer de toutes ces gamines qui ne savent pas compter, et qui ne réalisent pas, que rien n’est dut, mais qu’il faut travailler pour se payer ses envies.

Je crois que l’on va bien s’entendre »

Je vois Magalie qui d’abord surprise, est fière. Fier de l’effet de ces quelques mots sur sa future patronne. Elle fait signe au serveur, règle la note, vérifie sa monnaie et la range.

Nous nous levons, Martine me retiens pendant que Magalie se dirige vers le magasin.
Elle va pour me dire quelque chose, ses yeux sont fixés sur Magalie qui marche comme je le lui ai appris, en direction du magasin.

« Elle a changé la petite, pendant le week-end. Ce n’est plus une gamine que j’ai devant les yeux. »


Elle veut cette place et elle se donne les moyens de ses envies, de ce qu’elle veut.

« Vous mangez avec nous à midi ? J’aimerais partager avec vous mes premières impressions, de ce qui s’est passé ce matin. Et suivant comment cela s’est passé, mais je ne pense pas qu’il y ait de problème. Il faut que l’on parle aussi des modalités du contrat d’apprentissage. Appelez moi Martine, ce sera plus simple.»

Bien, moi c’est Jacques. Je fais mon maximum, mais je ne vous promets rien. Si vous aviez une carte de visite du magasin, je vous appelle, pour vous tenir au courant vers midi.


DeLsEp9

Re: Secret de famille

Message par DeLsEp9 »

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« Vous mangez avec nous à midi ? J’aimerais partager avec vous mes premières impressions, de ce qui s’est passé ce matin. Et suivant comment cela s’est passé, mais je ne pense pas qu’il y ait de problème. Il faut que l’on parle aussi des modalités du contrat d’apprentissage. Appelez moi Martine, ce sera plus simple.»

Bien, moi c’est Jacques. Je fais mon maximum, mais je ne vous promets rien. Si vous aviez une carte de visite du magasin, je vous appelle, pour vous tenir au courant vers midi.

-/-


« Si c’est possible, j’aimerais bien. De toute façon le magasin est fermé ce matin, donc on se retrouve à la Vigne à 12h30. Si à 45 vous n’êtes pas là, nous mangerons. Le magasin ouvre à 14h00. »

Tout en discutant nous nous dirigeons vers le magasin, où Magalie nous attend. Je salue Martine, embrasse Magalie sur les joues.

Je retourne au parking, prend ma voiture, me dirige au bureau.

Yolande, ma secrétaire me coince au passage, en me tendant mon café comme chaque jour.

« Patrick vous attend depuis plus d’une heure, et il fulmine. Le chef e chantier en Allemagne a démissionné, a effet immédiat. »


Je bois mon café, il n’est plus à cinq minutes.

J’entends Patrick râler dans le couloir, en demandant où je suis passé. Il entre dans le bureau en criant. Je le coupe illico.

Bonjour pour commencer. Je te signale que ma secrétaire n’y est pour rien. Alors tu n’as pas besoin de l’engueuler, de deux, je fini mon café, et j’arrive.

Patrick sort en maugréant. Je fini mon café, me dirige vers le bureau de Patrick.

J’entre il m’accueille en râlant. Je ressors du bureau aussi vite. Il me rattrape dans le couloir,
« Ok excuse moi, mais là on est dans la merde.

Le chantier en Allemagne est arrêté, le chef de chantier, s’est barré, il reste 10 jours de boulot pour trois personnes, sauf que le chantier doit être livré, jeudi matin en huit, à la première heure. Nous n’avons personne en dehors de toi qui connaisse le chantier.

C’est simple tu y va, tu emmènes qui tu veux, mais tu boucles le chantier.


Pas de soucis, mais je parts mercredi matin. Je dis à ma secrétaire de préparer un contrat de travail vierge. Je le lui fax complété depuis l’Allemagne, pour que tout soit dans les règles.

C’est quoi l’âge minimum, pour bosser. J’ai peut être quelqu’un plein de bonne volonté, qui est jeune, mais qui a besoin d’argent.


« En Allemagne c’est 16 ans révolu, en France, 18 ans, mais pour les vacances, on peut se débrouiller, en disant que c’est un job d’été, avec lieu de travail en Allemagne.

Pour le salaire, comme d’habitude 50 % en fixe, le reste en frais de déplacement. »


Si on te boucle le chantier pour jeudi en huit, tu lui verses l’équivalent d’un salaire mensuel, à la fin de la mission. C’est à pendre ou a laisser.

« P’tin c’est ta boîte autant que la mienne. Tu veux nous mettre sur la paille. »

On sera encore plus sur la paille si on ne fini pas ce chantier.

Fais comme tu veux, tu trouves quelqu’un, mais il se débrouille pour rejoindre le chantier, s’il n’est pas là mercredi à 8h sur place. Je boucle le chantier seul, ou avec qui je veux, mais la prime sera de 20% du bénef en sus des salaires, a répartir sur deux personnes.

Au faites, après, quoi qu’il se passe, je prends des récup et ensuite mes congés, jusqu’à début septembre.


« Tu me fais, c… Ok va pour un mois de salaire. On mange ensemble ?»

Pas possible, j’ai rendez vous avec la patronne de ma belle-sœur, pour régler les modalité de son apprentissage, d’ailleurs il faut que je l’appelle.

« C’est une petite blonde ? »

Pourquoi, elle t’intéresse, t’es pas marié avec une tigresse,, qui est super jalouse ?

« Ma femme m’a dit t’avoir vue vendredi après midi dans un magasin de fringues avec une gamine, une petite blonde, et que tu faisais des folies. »

Petit un, que ta femme s’occupe de ses fesses, ou des tiennes, ça lui évitera de dire des bêtises.

Petit deux, ce n’est pas son problème ni le tien.

Petit trois je m’en fiche de ce qu’elle pense, et tu le sais.

Maintenant on a une boite a faire tournée, pour que ta femme puisse flamber ton pognon, ce que je fais du mien ne regarde que moi.

Alors au boulot.


Je retourne dans le bureau, ma secrétaire qui a entendu, nos propos, rigole en me voyant rentrer dans, le bureau.

« Jacques, j’ai presque fini de préparer le contrat de travail à durée déterminé de un mois. Il n’y aura que le nom, prénom, l’adresse, le N° de sec soc et la date de naissance, à rajouter. De toute façon je passe au marqueur, ce qui doit être complété »


T’es une perle Yolande, t’écoutes au porte comme toujours.

« Pas besoin, les portes étaient ouvertes et vous parliez suffisamment fort tous les deux. »

Elle me tend le téléphone, en souriant.

« D’ailleurs vous devez passer un coup de téléphone à la patronne de votre belle-sœur. »

Ce que je fais en confirmant à Martine, que je serais à l’heure pour le repas.


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Re: Secret de famille

Message par Biquette »

2 suites en plus :tombe: :tombe:
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
DeLsEp9

Re: Secret de famille

Message par DeLsEp9 »

Bikette a écrit :2 suites en plus :tombe: :tombe:


Si c'est trop je les enléve. :ahum: :ahum: :ahum: :ahum:
BjEd9a10

Re: Secret de famille

Message par BjEd9a10 »

trop tard... j'ai tout lu.... :cecyls:
DeLsEp9

Re: Secret de famille

Message par DeLsEp9 »

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« Jacques, j’ai presque fini de préparer le contrat de travail à durée déterminé de un mois. Il n’y aura que le nom, prénom, l’adresse, le N° de sec soc et la date de naissance, à rajouter. De toute façon je passe au marqueur, ce qui doit être complété »

T’es une perle Yolande, t’écoutes au porte comme toujours.

« Pas besoin, les portes étaient ouvertes, et vous parliez suffisamment fort tous les deux. »

Elle me tend le téléphone, en souriant.

« D’ailleurs vous devez passer un coup de téléphone à la patronne de votre belle-sœur. »

Ce que je fais en confirmant à Martine, que je serais à l’heure pour le repas.

-/-


Je parts d’ici demain soir avec le fourgon, tu appelles le garage tout de suite, qu’il me le révise cet après-midi, pas envie d’avoir des soucis, de tomber en panne avec.

Je vais voir Patrick, pour voir l’avancement du chantier, je vais manger, et cet après-midi, je suis au dépôt pour préparer le matériel et l’outillage qu’il nous faudra.

Si quoi que ce soit manque, je te téléphone, tu passes les commandes en urgences, à livrer sur le chantier, pour mercredi matin.


« Comme toujours, on commande aujourd’hui pour livraison hier. »

Je retourne dans le bureau de Patrick, on fait le point. Midi sonne au clocher.

Bon j’y vais, cet aprem Yolande sait où me joindre. Bye et bon appétit.

Je prends la voiture et me dirige vers le centre halle.

C’est maintenant que ça va être la rigolade. Elle fini brillamment son essai de deux jours pour son apprentissage et j’emmène la puce avec moi sur un chantier.
Sabine l’a déjà fait et m’a traiter de fou, qu’elle ne viendrait plus.

« T’es malade, bosser 40, 50 heures d’affilées, boire un litre de café par demi-journée, faut être taré. Tu vas y laissé ta peau. »
Je comprends maintenant, pourquoi tu dors presque deux jours, quand tu rentres des chantiers. »

Ça lui fera du bien à la puce de voir ce que c’est quand on n’a pas de diplôme, de faire l’arpette.

P’tain, quel salop je fais, mais quelles excuses bidon je cherche.

L’avoir avec moi, faudra que je bosse, et elle aussi. Pas question de batifoler. Faire à une personne et demie, en neuf jours le boulot de trois personnes. On peut le faire, sans problèmes, mais faut pas chômer.
Elle va me donner des ailes la puce. Je suis sur et certain qu’on finira le mardi midi, donc le mardi aprem, et le mercredi tous les deux seuls, à 200 kms de la maison, ça va être chaud.


J’arrive au parking sous les Halles, me gare. Je me dirige vers le restaurant où nous avons rendez-vous, qui est juste à côté. Je rentre, demande la table réservée par Martine, elles ne sont pas encore là. Je regarde ma montre, il est midi vingt. Je m’installe à une table ronde, dans un coin du restaurant. Je commande une Carola gazeuse, et lit le journal, en les attendant.
Je reconnais la voix de Martine et de Magalie, elles ont l’air de rire, de bien s’entendre.
Pile à l’heure, c’est bien, j’aime les personnes ponctuelles.

Je fais comme si j’étais plongé dans mon journal.


Jacques, on est là.

Je me lève les saluts. Nous nous asseyons.

« Vous buvez autre chose comme apéritif ? » me demande Martine.


Non merci, j’ai un boulot de fou, je ne bois que de l’eau. On passe commande, comme cela on pourra discuter en attendant les plats.

Le serveur apporte les cartes en même temps il prend la commande des apéritifs. Cela se résume à de l’eau. Nous choisissons le plat du jour, sur le conseil de Martine.

« Je voudrais que Magalie me dise ce qu’elle pense de sa matinée, avant que l’on aille plus loin, dans la discussion ». Dit Martine, en la regardant.


Ce n’est pas évident comme travail, mais cela me plait. Le repérage des zones vestimentaires a était assez facile.
Ce que je ne sais pas encore, c’est estimer la taille des personnes. Et je ne sais pas comment je me comporterais face aux clients. Mais je sais que j’y arriverais.


Je regarde la puce pendant qu’elle parle. Elle est posée, calme, rien voir avec la gamine d’il y a encore quinze jours.

Discrètement je regarde Martine qui souri gentiment en l’écoutant.

« On ne vas pas tourner autour du pot, c’est d’accord, pour l’apprentissage.
Rien qu’en la voyant ce matin, comment elle est transformée, tant physiquement que dans son comportement, dans son mental, j’avais déjà décidé que je l’embauchais. La matinée, n’a fait que me conforter dans ma décision. Je sais que je ne prends aucun risque.

De toute façon, j’ai compris vue certaine phrases de Magalie, que Jacques et la sœur de Magalie, sont derrière elle, que vous allez dans le même sens que moi. »

Je voie Magalie qui se retient de sauter au cou de Martine pour la remercier.

« Jacques deux choses.
Premièrement je prépare le contrat pour ce soir, il faut que son représentant légal signe, son père ou sa mère, ou les deux.

Au faites Magalie, comme je l’avais dit, quand tu es venue les essayer, tes maillots de bains sont cadeaux.

Deuxièmement, j’ai un gros souci de personnel pour cette semaine, elle pourrait rester toute la semaine. Et si possible la semaine suivante. »


C’est que moi aussi j’ai un énorme souci. J’ai un clash sur un chantier, et mercredi matin, je comptais, l’emmener avec moi. Je dois livrer un chantier, jeudi en huit. Le chef de chantier nous a lâchés au beau milieu. Vue les pénalités de retard, en Allemagne, on serait limite de fermer la société.

Je voie Magalie qui fait des yeux comme des soucoupes, et qui rayonne de joie.

Par contre mon épouse, a qui je dois encore poser la question, a était vendeuse à une époque, elle pourrait peut être, vous dépanner.

Je dois vous avouer, que je tiens à ce que Magalie vienne avec moi.

Elle comprendra comme cela, ce que c’est de travaillé comme arpette, si elle ne mène pas son apprentissage à son terme.

Neuf jours sur le chantier, a travaillé dix ou quinze heures d’affiler, voir plus, va lui mettre du plomb dans la tête.


« Vous m’étonnerez toujours, mais vous avez raison, ça ne peut que lui faire du bien. Par contre, quand pouvez-vous me donner une réponse, pour votre épouse. »

Je l’appelle cet après midi, et soit je vous appelle, soit je passe ce soir au magasin.

« Le plus tôt sera le mieux. »

Le serveur apportant les plats, nous mangeons. Magalie ne ma lâche pas des yeux, elle a l’air aux anges.


Effectivement je suis heureux qu’elle vienne, mais elle ne réalise pas que ce n’est pas pour s’amuser. Qu’il y a du boulot, et qu’on n’y va pas pour faire des galipettes.

Mais l’avoir avec moi, j’adore. Je suis tout émoustillé rien que d’y penser. Merde t’es un vrai gamin Jacques, il parait que c’est toi l’adulte, mais chaque fois que ça concerne Magalie, tu te comportes comme un collégien.


Le repas se fini, nous buvons nos cafés, Martine devant faire une course appelle le serveur pour régler.

Martine il n’en est pas question, déjà que vous avez offert à Magalie, les deux maillots de bain, la facture est pour moi.

Martine souri, acquiesce de la tête. « A charge de revanche Jacques, avec votre épouse. »

Elle quitte le restaurant, Magalie se rapproche.


C’est vrai on part tous les deux, pour 9 jours ? Tous les deux seuls ?

J’ai besoin de toi sur le chantier, on n’y va pas pour s’amuser. Tu seras payé, et même bien payé. Tu sauras combien à la fin, mais tu seras contente.

Mais on y va pour bosser neuf jours, à raison de dix, quinze voir vingt heures par jour s’il le faut. Pas de samedi, pas de dimanche.

Si tu acceptes de venir, on dort, on mange sur le chantier. Pas de discussion, pas de jérémiade, pas de j’ai mal par ci, j’ai mal par là. Tu viens pour m’aider, on n’y va pas pour se balader, ni pour ce à quoi tu penses.

Tu es d’accord ? Si c’est oui je me charge de convaincre Suzanne, et Sabine.


je voie Magalie, qui ne m’a pas lâché des yeux, qui ne réfléchi même pas.

Oui, bien sur que je suis d’accord. Avec toi, j’irais bosser n’importe où même sous la calotte glacière alors que je ne sais pas nager, et que je suis un frigo ambulant.

Bon tu retournes chez Martine, je me charge du reste.

je fais signe au serveur, règle la note, tire la chaise pour aider Magalie a se lever. D’autorité elle passe son bras sous le mien, et je suis obligé de ralentir, pour me calquer à la vitesse de sa marche.

Dernière modification par DeLsEp9 le 17 août 2011, 13:51, modifié 3 fois.
DeLsEp9

Re: Secret de famille

Message par DeLsEp9 »

Et de deux
Je suis trop gentil ..................
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je voie Magalie, qui ne m’a pas lâché des yeux, qui ne réfléchi même pas.

Oui, bien sur que je suis d’accord. Avec toi, j’irais bosser n’importe où même sous la calotte glacière alors que je ne sais pas nager, et que je suis un frigo ambulant, que je suis toujours frigorifié.

Bon tu retournes chez Martine, je me charge du reste.

je fais signe au serveur, règle la note, tire la chaise pour aider Magalie a se lever. D’autorité elle passe son bras sous le mien, et je suis obligé de ralentir, pour me calquer à la vitesse de sa marche.

-/-


J’ai l’impression que d’être à mon bras, cela lui donne une prestance, une envergure, qu’elle ne soupçonnait même pas avoir. Moi non plus d’ailleurs. Elle m’étonnera toujours ma petite puce.
Et là, cette démarche que j’aime tant, qui a l’air de dire à toutes les personnes présentent, c’est mon homme à moi et regardait comme je suis fière d’être avec lui, d’être à son bras.


Nous traversons la rue, pour nous diriger vers le centre halles. Magalie se penche, et m’embrasse à la commissure des lèvres.

Je suis tellement heureuse de me promener au bras de mon homme, à la vue de tous.

Elle se penche, m’embrasse sur la joue, me chuchote.

Je mouille comme une folle que je suis. Toutes ces bonnes nouvelles m’ont excité comme une hystérique. Je vais au parking avec toi, je ne pourrais pas attendre ce soir, j’ai envie de toi.

Elle m’entraîne vers l’entrée du parking, je regarde ma montre, en ouvrant la porte, il est 13h20. Je me dirige, ver l’emplacement de parking, ou la voiture est garée, Magalie ne tiens pas en place, elle est comme enragée.

je voudrais tellement ne plus être vierge, pouvoir abuser de toi, que tu abuses de moi. Mais tu me laisses en permanence avec ma frustration, ma frustration de ne pas te sentir, de ne pas sentir ton sexe dans mon ventre, de ne pas te sentir jouir dans ma vulve, dans ma chatte qui te veux, qui ne souhaites que cela. Je te hais pour cela.

J’ouvre la voiture, Magalie s’assied, en soulevant sa jupe, ses petites fesses presque nues se posent sur le cuir froid. Elle frissonne. Elle a déjà enlevé sa veste, elle est entrain d’ouvrir son chemisier. Elle prend ma tête, me tend un sein. Sa peau est granuleuse, elle a la chair de poule, ses aréoles sont toutes granuleuses, comme fripées.

Mords les, rends les fous de désir, rends moi folle. De toute façon je le suis déjà. Tu es ma drogue, tu es mon amant, fais moi jouir, réveille le volcan qui dort en moi.

Elle prend ma tête l’attire contre sa poitrine dénudée.

Mord je te dis. Tu me rends folle de me laisser attendre comme cela.

Ma bouche ne peut que prendre ce téton, qu’elle me présente, il est dur comme du bois. Je le prends entre mes dents, le pince au ras de l’aréole. Je sens les mains de Magalie, qui se crispe dans mes cheveux.

C’est plus fort, meilleur que ce matin continue, tu me rends dingue.

Sa main qui a ouvert ma braguette, caresse violement mon sexe qui est énorme, mon gland dépasse du haut de mon boxer. Je sens la main de Magalie, qui par moment passe dessus, elle ne se maitrise plus vue la violence de ses caresses.

Je passe d’un téton à l’autre, les mordants, de plus en plus fort. J’ai l’impression de ne plus maitriser quoi que ce soit. D’ailleurs je ne maîtrise rien. La puce est en train de m’emmener là ou elle le veut, enfin si on peut dire cela, vue l’état second où elle est.
Sa main qui a sorti mon sexe, me masturbe avec une violence incroyable. Par moment je suis obligé, de bloquer sa main, tant elle est violente, tant elle ne contrôle plus rien.

Ses seins sont durs comme du béton, ses tétons énormes ressemblent à des petits crayons.
Je les lèche avec douceur, les embrasse, pour essayer de faire redescendre la tension que je sens en eux, tant elle gémi en ce moment.

Elle n’est plus là, elle a les yeux complètements révulsés, comme si elle allait s’évanouir. Je l’embrasse tendrement, essaie de la calmer. Elle pose sa tête sur mon épaule, sa main se calme sur mon sexe, elle est douce, tendre dans ses mouvements, dans ses caresses.
Elle me regarde, regarde où nous sommes, semble surprise.


Tu me rends folle. Chaque fois que tu es prêt de moi, je ne me maitrise plus, ne maitrise plus rien. J’ai tellement envie de toi, envie d’être dans tes bras, depuis trois ans j’attends ce moment. Et là je me conduis comme une femelle en chaleur, je me jette sur toi, comme la dernière des dernières. J’ais tellement envie que tu me prennes, d’être à toi, d’être enfin tienne.

Elle regarde l’heure sur l’horloge de bord, il est 13h 40.

IL va falloir que j’y aille. Je t’aime mon amour. Fais attention à toi.

Elle m’embrasse tendrement, commence à sortir de la voiture après avoir boutonné son chemisier, fait le tour de la voiture en se rajustant, en lissant sa jupe. Elle ouvre ma porte, m’embrasse.

S’il te plait, tu me cherches ce soir, je fini à 19h. J’aimerais tant que tu sois là, pour que l’on fête mon contrat, la réussite de mon essai. .

Je ne sais pas encore, si mon planning le permettra. Ton bus est à 19h20 si je ne suis pas à la porte de sortie de la plateforme bus, derrière le centre halles, à 19h10 tu prends le bus.
Tourne-toi, ma puce, je veux voir si tu n’as pas de tache sur ton tailleur, si tu es impeccable, comme tu dois, et devra toujours l’être, à compter de maintenant.


Je sors de la voiture, elle tourne doucement sur elle-même, en profite pour faire voler sa jupe.

C’est bon ma puce, pas de tache tu es nickel. Allez vas y, sinon tu vas être en retard, et cela aussi est inacceptable.

Je la voie partir, dieu qu’elle est belle, elle est sublime, elle marche comme j’aime tant, elle accentue même, son déhanchement, elle tourne la tête, ses yeux me disent tout l’amour qu’elle ressent pour moi. Elle m’envoie un baiser, rentre dans le centre Halles.

Je m’assieds dans la voiture.


Encore une enfant, et tellement femme, tellement femelle. Elle m’étonnera toujours. Je dirais que depuis notre retour, ce n’est pas une femme qui est à mes côtés, mais belle est bien celle qui se considère comme étant ma femme, qui veut tout partager avec moi.

Tant que Sabine n’est pas là, j’y arrive…

Arrête tu n’arrives à rien, tu la suis comme un toutou, elle est a des kilomètres de toi, à des années lumières. Elle assume, ses envies, même si ce n’est pas toujours clair pour elle, mais elle au moins ne se pose pas de question, elle fonce, elle le veut, elle va au bout de ses envies. Toi, tu te tournes le doigt dans le luc, a te poser des questions existentielles.


Je démarre direction le dépôt. Je vais dans le bureau du magasinier, lui tend la liste de matériel dont j’ai besoin.

Il me faut la liste de ce qui manque au plus tard à 16 heures, le mécano est passé chercher le fourgon, pour le réviser ?

« oui il est venu, à 13h30 et le ramène ou ce soir, ou demain matin.

Je prends le téléphone, appelle Sabine, chez sa mère.


Sabine, cela se passe très bien pour Magalie. Martine, la patronne du magasin, la prend pour l’apprentissage.
Je n’y suis pour rien, Magalie, a tout fait pour avoir la place. Et Martine est conquise.


C’est magnifique, je suis folle de joie, attends deux minutes j’appelle maman. Maman, Magalie a la place, elle est prise pour l’apprentissage dans la boutique que Jacques a trouvée. C’est superbe.

Sabine, sa patronne a un souci de personnel. Il lui faut une vendeuse pour les quinze jours à venir.

Magalie pourrait le faire, cela serait bien pour elle, en attendant que l’année scolaire commence.

J’ai un gros souci, le chef de chantier s’est barré, et je dois partir mercredi en Allemagne pour finir le chantier, j’en ai pour 9 jours. Je me suis dit, que cela serait du bien, que Magalie bosse comme une arpette.

Cela lui mettrait du plomb dans la tête, la motiverait encore plus pour son apprentissage.
Je sais que tu penses que je suis un fou, quand je vais sur le chantier, mais je n’ai pas le choix. On risque de devoir fermer, si on ne livre pas le chantier dans les délais. De toute façon, ce sera en toute légalité, avec contrat de travail.


Il me casse les pieds Patrick, pourquoi tu t’es associé avec un administratif. Il n’est même pas capable de planter un clou.

Je lui ai imposé, mes récup, dès que je rentre d’Allemagne, jusqu’à fin Aout. Je ne veux pas te demander de venir, tu n’es pas assez retapé, pour cela, ma chérie.

Maman a l’air d’accord, elle est heureuse de garder le petit, je ne la reconnais plus. D’accord, je vais chez papa tout de suite, je règle tout avec lui. Elle fini à quelle heure Magalie ce soir, je redescends pour y aller avec toi et discuter avec sa patronne, peut être ma futur patronne, qui sait ce serait marrant que l’on bosse toutes les deux ensemble.
Je ne pensais pas reprendre si vite. Mais l’occasion fait le larron.

Tu penses qu’elle te sera d’une quelconque utilité la frangine. Qui sait, mais tu as raison, cela lui mettra du plomb dans la tête, et de voir son beauf préféré, être un tyran, au boulot, va la calmer aussi, enfin je pense.


Si tu pouvais être là avant 18h45 ce serait bien. On se retrouve à la vigne à 18h30, tu sais c’est juste à côté des halles, prés de chez Andrée. Comme cela on aura tout le temps de discuter avec Martine.

Dernière modification par DeLsEp9 le 17 août 2011, 13:50, modifié 1 fois.
Invité

Re: Secret de famille

Message par Invité »

humhum ivement les chapitres sur le chantier ^^
DeLsEp9

Re: Secret de famille

Message par DeLsEp9 »

a peine posté,

Mel qui traine déja la
mdrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr
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Re: Secret de famille

Message par Invité »

fidele au poste mon cher c'est une drogue ^^
DeLsEp9

Re: Secret de famille

Message par DeLsEp9 »

Mel29440 a écrit :fidele au poste mon cher c'est une drogue ^^


encore un shoot?
Invité

Re: Secret de famille

Message par Invité »

Jak67 a écrit :


encore un shoot?
sa c'est demandé a un aveugle si il veut voir
DeLsEp9

Re: Secret de famille

Message par DeLsEp9 »

Jak67 a écrit :


encore un shoot?
Mel29440 a écrit :
sa c'est demandé a un aveugle si il veut voir

mais quel drogué tu fais. :bicho: :bicho: :bicho: :bicho:
Invité

Re: Secret de famille

Message par Invité »

c'est de ta fautes ^^
DeLsEp9

Re: Secret de famille

Message par DeLsEp9 »

Propos de Sabine ma femme
Propos de Magalie ma belle sœur
Propos de Jacques
Mes pensées

Propos de Suzanne Ma belle mère
Propos de Charlotte
Propos de Lucie fille de Charlotte
Propos de Louise petite fille de Charlotte



48)



Maman a l’air d’accord, elle est heureuse de garder le petit, je ne la reconnais plus. D’accord, je vais chez papa tout de suite, je règle tout avec lui. Elle fini à quelle heure Magalie ce soir, je redescends pour y aller avec toi et discuter avec sa patronne, peut être ma futur patronne, qui sait ce serait marrant que l’on bosse toutes les deux ensemble.
Je ne pensais pas reprendre si vite. Mais l’occasion fait le larron.

Tu penses qu’elle te sera d’une quelconque utilité la frangine. Qui sait, mais tu as raison, cela lui mettra du plomb dans la tête, et de voir son beauf préféré, être un tyran, au boulot, va la calmer aussi, enfin je pense.


Si tu pouvais être là avant 18h45 ce serait bien. On se retrouve à la vigne à 18h30, tu sais c’est juste à côté des halles, prés de chez Andrée. Comme cela on aura tout le temps de discuter avec Martine.

-/-


Tu l’appelles dèjà Martine, ça promet. D’accord pour ce soir. Je m’organise avec papa et maman. Je t’aime.

Je me rends dans, le dépôt, commence à trier l’outillage. Le magasinier me rejoint.

« On a un problème, plus de fibre optique, les délais sont fous en ce moment. Surtout pour de telles longueurs. »

Je fonce au bureau. J’appelle Yolande, lui passe la commande de fibre.


Si tu as le moindre souci avec les délais tu m’appelles au dépôt.

Je vais voir le magasinier qui a préparer presque deux palettes de matériels.

Tout est là en dehors de la fibre ?

« J’ai appelé Yolande pour lui dire les quelques bricoles qui manquent, ce sera livré mercredi matin en Allemagne. »

Je passe tout l’après-midi avec le magasinier, nous rangeons le matériel dans la remorque.

A 17h45 je repars au bureau, pour faire le point avec Yolande. J’arrive dans le bureau, Yolande est en train de se préparer à partir.
« Pour la fibre c’est presque réglé, confirmation demain par fax. Sinon tout le reste, sera livré, mercredi sur le chantier. »


C’est bien, merci. Demain matin tu appelles la banque, qu’il prépare 2.000 DM, en billets de 50 DM, je passerais les chercher en début d’après midi, et avant que tu dises quoi que ce soit, je te ramène les factures correspondantes en rentrant.

Yolande souri, me salue et sort. Je classe les bulletins de sortie du matériel, et part, direction la Vigne. J’arrive à 18h35, Sabine m’attend devant, trépignant comme à son habitude, lorsque la personne qu’elle attend est en retard. Je m’arrête devant elle, lui fait signe de monter. Elle s’installe, je vais dans le parking sous le centre Halles.
Nous descendons, je l’embrasse, et nous dirigeons au tempo de sa marche, vers le magasin.


Tu as l’air stressé mon chéri, c’est le boulot ?

Ne m’en parle pas, faire en un après midi ce qui se fait en une journée, enfin c’est presque réglé.

Comment tu vas ma chérie, pas trop stressé toi aussi. Le fait de bosser quinze jours si vite, ne te dérange pas trop ?


Non, au contraire, cela va m’obliger à sortir, à me remettre en question, ce n’est pas plus mal.

Nous arrivons discrètement, près de la boutique, nous voyons Magalie avec une jeune cliente, et Martine, qui la surveille du regard à proximité.

Sabine me regarde, étonnée. Je suis comme elle, Magalie, à l’air d’avoir fait cela toute sa vie. Martine, a un petit sourire de contentement en la voyant faire. Elle nous voie.
« Magalie, je reviens dans cinq minutes, continue avec madame. »

Martine arrive, je lui présente mon épouse.

« Mais vous êtes cliente chez moi. Si vous êtes de la trempe de votre petite sœur, je vous fais un CDI immédiatement. Je me demande même si je ne vais pas l’embaucher directement comme vendeuse. Elle est incroyable.

Je dirais, que vous Jacques êtes incroyable. Cet après-midi, je l’entendais marmonner, un moment où il n’y avait pas de client. Je me suis rapproché, et lui ai demandé ce qu’elle disait.

Elle m’a répondu,
« Mon beau-frère m’a expliqué certaines choses concernant la vente, et ces phrases tournent en boucle dans ma tête.

Jacques m’a dit :

« Quand tu seras apprentis, tu dois faire croire à tes clientes, qu’elles sont les plus belles. Leurs laisser croire que tu es toute ouïe à leurs envies, leurs soucis, leurs désirs.
Pour mieux arriver à tes fins. Les amenées où toi tu veux.

Pas leur vendre ce qu’elles veulent, et en plus leur vendre ce que tu voudrais leur caser.

Mais qu’elles achètent ce qu’elles veulent, et en sus ce que tu les as amenées à vouloir, à désirer.
Qu’elles se disent, cette chose, ce vêtement qu’elle me conseille, il me le faut, il faut que je l’achète, il est fait pour moi, seulement pour moi.

La nuance est énorme.
Si tu vends le client peut ne pas être content.

S’il achète, c’est qu’il le veut, qu’il le décide. Il reviendra, car il est heureux de ses achats. »

Et encore :

« Quand tu arrives, la première chose à faire, tu dois tout repérer dans le magasin. Tu as déjà acheté dans ce magasin, repère les emplacements des différents types de vêtements, de sous vêtements, enfin tout. Tu dois pouvoir au bout de deux jours, savoir où tout est rangé, y aller les yeux fermé.

Tu en es capable si tu le veux, je le sais.

Applique au maximum ce principe que je t’ai expliqué, fait ton trou, pose tes jalons dès le premier, jour.

N’attends pas que la cliente vienne à toi, va au devant d’elle.

Tu fais un essai pour un apprentissage, surprend la patronne, comporte toi en vendeuse confirmé. Tu en a la carrure, le look, l’ambition.

Tu as vue les deux gamines qui étaient là quand tu as acheté tes maillots de bain. Aucune envergure. Prouve démontre à ta futur patronne, que tu es la personne, qu’elle cherche, qu’aucune autre ne pourra faire, ce que tu fais, ce que tu es prête à faire pour avoir ce job. »

Martine continue, sous le regard incrédule de Sabine.

« La première cliente elle m’a regardée faire, la deuxième avec mon accord elle a voulue essayer, elle est intervenue discrètement pendant la vente. La troisième je l’ai laissé faire. J’ai dut intervenir, une ou deux fois, mais elle a amené la cliente à acheter deux robes, en plus du tailleur qu’elle voulait. Tout l’après midi nous n’avons fait, que cela à tour de rôle. Elle est sacrément douée, et elle apprend vite. Je reviens, je vais l’aider à conclure plus vite. »

Sabine me regarde, elle semble ébahie.


Je ne la reconnais pas dans ce que me dit Martine, tu es certain que c’est de ma petite sœur, de Magalie dont elle parle.

Je souris, la transformation est incroyable. Au delà de mes espérances. La cliente sort, deux cabas en papier à la main, bien plein.

Nous entrons dans le magasin, Magalie me voie, un énorme sourire s’affiche sur sa figure, elle voit Sabine derrière moi, elle court et lui saute dans les bras.


J’adore ce métier, j’adore cette boutique, c’est super.

Elles partent papoter dans un coin du magasin. Martine vient vers moi, me tend une enveloppe format A4.

« C’est le contrat d’embauche de Magalie. Dommage qu’elle soit si jeune, que je ne puisse pas l’embaucher directement comme vendeuse. Pour votre épouse cela se passe comment ?


Si vous avez le temps, vous pourrez en parler toutes les deux, elle est descendu spécialement, pour cela, pour en parler avec vous.

« Si elle est du même du même acabit que Magalie, je lui fais un CDI immédiatement, et ses conditions seront les miennes.
Vous avez le temps ce soir ?»

Je pars chercher les deux puces qui discutent, enfin, c’est Magalie, qui n’arrêté pas de raconter sa première journée à sa sœur.


Sabine, Martine voudrait savoir si tu as le temps de discuter avec elle ce soir. Viens, on va la voir ce sera plus simple.

Sabine se dirige vers Martine, j’attends Magalie, qui es radieuse. Elle m’embrasse sur la joue et discrètement.

On ne sera pas seul se soir, t’es un salop, mais je t’aime quand même.

Nous nous rapprochons, Sabine et Martine, parlent conditions, pourcentage, salaires.

« Vous avez le temps ce soir, on va tous manger ensemble ? »

Invité

Re: Secret de famille

Message par Invité »

jak ya le 47 avant le 48
DeLsEp9

Re: Secret de famille

Message par DeLsEp9 »

Mel29440 a écrit :c'est de ta fautes ^^

Jamais je ne me serais imaginé cela quand j'ai écrit ces trois opus.
Invité

Re: Secret de famille

Message par Invité »

Jak67 a écrit :

Jamais je ne me serais imaginé cela quand j'ai écrit ces trois opus.
sa voudrait dire qu'il y a encore une suite :evanoui:
met le chapitre 47 :daikirai:
DeLsEp9

Re: Secret de famille

Message par DeLsEp9 »

Mel29440 a écrit : sa voudrait dire qu'il y a encore une suite :evanoui:
met le chapitre 47 :daikirai:

:daikirai: :modo: :daikirai: :modo:

J'ai remis les suites dans l'ordre

:ahum: :ahum: :ahum: :ahum:
DeLsEp9

Re: Secret de famille

Message par DeLsEp9 »

pffffffffffffff

pour me faire pardonner l'erreur


:ahum: :ahum: :ahum: :ahum: :ahum: :ahum:


Propos de Sabine ma femme
Propos de Magalie ma belle sœur
Propos de Jacques
Mes pensées

Propos de Suzanne Ma belle mère
Propos de Charlotte
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Propos de Louise petite fille de Charlotte



49)



Sabine, Martine voudrait savoir si tu as le temps de discuter avec elle ce soir. Viens, on va la voir ce sera plus simple.

Sabine se dirige vers Martine, j’attends Magalie, qui es radieuse. Elle m’embrasse sur la joue et discrètement.

On ne sera pas seul se soir, t’es un salop, mais je t’aime quand même.

Nous nous rapprochons, Sabine et Martine, parlent conditions, pourcentage, salaires.

« Vous avez le temps, on va tous manger ensemble ? »


-/-


Vous savez cela concerne mon épouse, elle sait ce qu’elle veut et ce qu’elle vaut sur le marché du travail. Je dois me lever tôt, et comme on est venue à deux voitures, je vais vous laisser entre femmes.

« Magalie, tu restes si tu veux, mais demain matin, 8h30, en pleine forme, pas de valises sous les yeux, et ce n’est pas parce que tu as mangé avec ta patronne, que j’accepterais le moindre retard, la moindre baisse de forme ou de rendement. Vous en pensez quoi Sabine ? »

Qu’elle rentre, il lui faut son quota d’heures de sommeil, sinon elle va être mauvaise à tout, et bonne à rien demain. Et si je viens travailler avec vous Martine, il est hors de question d’avoir une collègue de travail qui ne soit pas en forme, qui ne soit pas au top.

Merci grande sœur, je m’en souviendrais, mauvaise à tout, et bonne à rien, je m’en souviendrais.
Viens Jacques on les laisse.


Je tourne le dos à Martine et Sabine, regarde Magalie, je suis médusé de ses propos. Magalie, à l’air de réaliser la portée de ses mots, elle me regarde, voie que je suis en train de monter en température, elle baisse la tête, se rapproche de Martine.

Martine, je vous prie de m’excuser, je m’adressais à ma sœur, en aucune manière mes paroles ne vous concernent.

« Je l’avais bien compris comme cela. C’est bien d’anticiper une possible réaction.
Il faut que tu apprennes à mesurer la portée de tes mots, à réfléchir à ce que tu dis.
Tu t’imagines une cliente qui entend cela. Tu aurais l’air de quoi, et moi, elle penserait quoi ?
Que je ne sais pas m’entourer de personnel compétent. »

Je voie Magalie, qui rentre la tête dans les épaules, qui encaisse stoïquement ce que Martine lui dit.


Bonne soirée, et bon appétit, Martine. Bonsoir grande sœur.

Martine fait la bise à Magalie avec un petit sourire. Les deux sœurs, se prennent dans les bras, et se font la bise.

Ce qui est incroyable avec elles, c’est leur capacité de se pardonner.
Elles se traitent de tous les noms, et cinq minutes après, elles sont cul et chemise, comme si de rien n’était. Pourvue que ça dure.


Sabine me regarde, regarde sa sœur qui s’est éloignée, elle est complètement abasourdis.

Je ne la reconnais plus, tu l’as transformée, on dirait qu’elle est plus réfléchie, plus responsable, qu’elle est devenue adulte.

Elle va me manquer ma chipie de petite sœur, mais je crois que vais autant l’adorer. Quand je voie la personne, qu’elle est devenue maintenant. On va parler entre femmes, et non plus de petite sœur à sa grande sœur.
Il faudra que tu m’expliques un jour, quel tour de passe-passe tu as réalisé, pour la faire changer du tout au tout. Et surtout en si peut de temps.


Je l’embrasse tendrement, elle me dévore des yeux.

Plus ça va plus je me dis qu’elle a tout compris. Qu’elle ne veut pas l’admettre, refuse de le croire.

Emmène la manger quelque part, mais vous ne rentrez pas trop tard, et pas de folie avec elle, elle est encore jeune.
Comme tu l’as si bien compris mon homme, je voulais être tranquille avec Martine, pour négocier mes conditions. Elle me plait, elle a l’air d’être bien comme patronne, je crois que l’on va bien s’entendre toutes les deux.

On fêtera l’embauche de Magalie, tous les trois, quand vous rentrez d’Allemagne.


Je salue Martine, je rejoins Magalie qui m’attend toute penaude à l’entrée du magasin. Nous partons, après quelques mètres.

Ma chérie, ne recommence plus jamais. Ce qui vient de se passer, avec Martine, doit te servir de leçon. Elle t’apprécie, c’est la seule raison, qui fait qu’elle te garde. Chez moi un salarié me parle comme cela, devant un client, je le vire dans les trois secondes.

Magalie se rapproche de moi, toute penaude.

Je le sais bien. Jamais je n’aurais dut le dire. Je m’en veux suffisamment, j’ai manqué en deux minutes, mettre toute une journée de travail à la poubelle. Je te promets que cela me servira de leçon.

Elle me regarde avec un regard de biche, celui qui me fait fondre chaque fois. Je me rapproche d’elle, passe mon bras sur son épaule, elle me souri, se détend, elle passe son bras dans mon dos.

Dés que nous sommes dans le parking, Magalie qui n’était pas très calme dans l’escalier de descente au parking, est excitée comme un boisseau de puces, elle ne tient pas en place. On arrive à la voiture, elle me plaque contre la voiture, m’embrasse, me dévore, mes lèvres, ma langue.


On rentre à la maison ? Sabine ne rentre pas tout de suite, on sera seul une ou deux heures.

On verra, aller on y va.

Nous sortons du parking, Martine et Sabine sont en train de rentrer à la vigne, où nous avons mangé à midi.

Martine à l’air d’y avoir ses habitudes. Non je ne pense pas que le fait que Magalie, ai marché en ma compagnie, en m’ayant pris le bras, puisse être mal interprété. De toute façon on verra bien.

Je prends la route, j’ai ma petite idée. Une nouveau restaurant italien vient d’ouvrir, et plusieurs amis m’en on fait l’éloge.

Invité

Re: Secret de famille

Message par Invité »

c'est gentil de poster autant a la suite mais c'est sadique en meme temps tu as vu ou tu t'arrete mais c'est pas possible :fou: :cingle: :cingle:
DeLsEp9

Re: Secret de famille

Message par DeLsEp9 »

Mel29440 a écrit :c'est gentil de poster autant a la suite mais c'est sadique en meme temps tu as vu ou tu t'arrete mais c'est pas possible :fou: :cingle: :cingle:
:ahum: :ahum: :ahum: :ahum: :ahum:

Ben peut être un resto


qui sait.



:mdr: :mdr: :mdr: :mdr: :mdr: :mdr: :mdr: :mdr:
Invité

Re: Secret de famille

Message par Invité »

Jak sadique, m'enfin Mel t'y penses pas une minute :bik:


oui je cours :court: :court: :court:
Invité

Re: Secret de famille

Message par Invité »

comment veut tu apres que je ne lise pas le chapitre a peine tu le poste ^^
DeLsEp9

Re: Secret de famille

Message par DeLsEp9 »

Cedille92 a écrit :Jak sadique, m'enfin Mel t'y penses pas une minute :bik:


oui je cours :court: :court: :court:


je crois bien

un peut

même beaucoup
Invité

Re: Secret de famille

Message par Invité »

salop ^^
DeLsEp9

Re: Secret de famille

Message par DeLsEp9 »

Mel29440 a écrit :salop ^^

ouiiiiiiiiiiiiiiiiii
et j'assume
Invité

Re: Secret de famille

Message par Invité »

c'est comme sa que tu traite tes fans
DeLsEp9

Re: Secret de famille

Message par DeLsEp9 »

Mel29440 a écrit :c'est comme sa que tu traite tes fans

euhhhhhhhhhhhh
Propos de Sabine ma femme
Propos de Magalie ma belle sœur
Propos de Jacques
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Propos de Suzanne Ma belle mère
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Propos de Louise petite fille de Charlotte


50)



On rentre à la maison ? Sabine ne rentre pas tout de suite, on sera seul une ou deux heures.

On verra, aller on y va.

Nous sortons du parking, Martine et Sabine sont en train de rentrer à la vigne, où nous avons mangé à midi.

Martine à l’air d’y avoir ses habitudes. Non je ne pense pas que le fait que Magalie, ai marché en ma compagnie, en m’ayant pris le bras, puisse être mal interprété. De toute façon on verra bien.

Je prends la route, j’ai ma petite idée. Une nouveau restaurant italien vient d’ouvrir, et plusieurs amis m’en on fait l’éloge.

-/-


Ma puce, tu as envie de manger dehors, on m’a recommandé un super resto italien, et ce ne sont pas des pizzas qu’ils servent. Ou tu préfères rentrer et on grignote quelque chose à la maison ?

J’aimerais que l’on mange dehors tous les deux, en amoureux, mais là je préfère rentrer, la journée a était épuisante, et j’ai envie de profiter un peu de mon homme avant que sa femme ne rentre, même si ce n’est qu’être dans tes bras, même si ce n’est pas longtemps.

Nous arrivons à la maison, la puce qui somnolait, se réveille. Nous rentrons, je regarde dans le congélateur ce qu’il y a mangé.

Magalie part se changer, j’entends les verrous de la porte qui claquent. Elle revient se colle à moi. Elle ferme la porte du congélateur.


J’ai froid mon amour et ce n’est pas de cela que j’ai faim.

Je me retourne, la puce est nue, face à moi, un énorme sourire, qui ne laisse aucun doute sur ses envies, sur ses intentions. Elle me prend par la main, et m’entraîne derrière elle.

On prend une douche. Si tu as encore faim après, je ne m’appelle plus Magalie.

Elle se retourne en marchant, me fait un énorme sourire. Elle se dirige vers la salle de bain, en dandinant des fesses, comme pour me provoquer.

A peine entrer dans la salle de bain, elle m’embrasse tendrement. Sa langue joue avec la mienne, ses lèvres sont douces.

Sans quitter mes lèvres, ses mains commencent, avec beaucoup de douceur à me déshabiller. Elles caressent chaque parcelle de peau qu’elles font apparaitre. Ses lèvres, commence un doux ballet sur mon corps.

Sans le réaliser je me retrouve nu, dans las bras de Magalie. Elle me souri, m’entraine sous la douche.

Elle me prend dans ses bras, me serre contre elle, pose son front, contre le mien, souri.


Tu me l’enlève mon amour, tu m’enlève mon tampon, s’il te plait. C’est vraiment le cirque, je n’ai presque plus de pertes. Vivement que cela devienne normal, que mon corps accepte que je sois devenu une femme, ta femme mon amour.
J’en ai marre. Deux mois rien puis pendant trois mois, mes règles reviennent. Et là à peine une journée et demi. C’est n’importe quoi.


Elle ne me lâche pas des yeux, prend ma main, la pose sur son pubis. Je tire doucement sur la ficelle que mes doigts on trouvée, elle souri.

Tu es doux mon amour, tu voies j’accepte, je m’accepte, j’accepte mon corps. .

Elle m’embrasse, nous le regardons avant que je ne le mette dans le sachet qu’elle me tend, en souriant. Pas de trace de sang. Elle ouvre la poubelle de la salle de bain pour que je l’y mette.

Elle ouvre l’eau de la douche, me tend la douchette.


Tu me laves mon chéri.

Je lui prends la douchette des mains, ma main joue avec ses grandes lèvres, je la rince, je dirige, les jets vers son pubis, mes doigts écartent ses grandes lèvres, je la voie se crisper, ses mains serrent mes épaules.

Les jets de la douche, écartent les s’il te plait, c’est trop bon, ils sont dirigés sur mon clito, sur mes petites lèvres, c’est comme quand tu le mords, quand tu me les dévores. J’ai des décharges dans tous les corps.

Je souris.

Je sais que les jets sont dirigés sur son bouton d’amour, sur ses petites lèvres gorgées de sang. Je l’ai fait exprès, j’adore jouer avec son corps, elle commence à comprendre.
N’importe quoi, c’est toi qui commence à comprendre, qu’elle fait de toi ce qu’elle veut, c’est toi qui fais tout pour son plaisir, pour qu’elle se découvre.
J’ai l’impression qu’à ce rythme, elle qui était complexée, se livre, se donne totalement, sans aucun apriori. Elle est totalement libre dans sa tête, elle se lâche totalement, tout comme moi, quand nous sommes ensemble.


Jacques mon amour, je veux te sentir jouir dans mon ventre, je veux sentir ta verge frémir dans ma vulve, ta semence m’inonder. Je n’en peux plus, même si tu ne me déflores pas, si tu ne me fais pas jouir, je le veux, je la veux.

Tu me rends folle. Mon corps se donne, tu le sais, tu le ressens. Il se donne complètement à notre plaisir, à nos envies. Et tu me laisses complètement frustrée, viens on sera mieux dans la baignoire.


Elle règle la température de l’eau, de la baignoire, me regarde tendrement.

Je veux être certaine que tu jouisses en moi, de sentir ta verge vibrer dans mon ventre.

Elle s’agenouille dans la baignoire, prend ma main, et m’attire, dans la baignoire. Je la regarde agenouiller devant moi, offerte, se livrant complètement à mon plaisir. Je ne réagis pas, je suis complètement sous son charme, sous le coup des envies qu’elle me crée déjà, rien que par ses mots. De la jouissance que j’aurais, que je sais qu’elle me donnera.

A peine suis-je dans la baignoire, qu’elle embrasse mon sexe. Sa langue, joue avec ma hampe, remonte doucement vers mon gland. Elle prend mon sexe en bouche, manque de s’étouffer, elle s’est jetée dessus, ses lèvres sont contre ma toison pubienne. Elle est déchaînée, elle l’aspire, se sert de sa bouche comme si elle me faisait l’amour. Elle me baise avec sa bouche. Ses yeux ne me lâchent pas. Elle s’assied dans la baignoire, tout en continuant, a me regarder, ses yeux sont attentif à la moindre de mes réactions. Ma verge dans sa bouche, est complètement à sa merci, elle joue avec, doucement elle me voie commencer à réagir, elle voie mon visage qui commence a se crisper, elle sent mon corps qui se tend. Ses bras m’attirent vers elle.


Viens en moi, joui dans mon ventre, dans ma chatte qui pleure d’envie, je veux sentir ton sexe se vider en moi, je t’en prie.

Je m’agenouille dans la baignoire, Magalie, a fermé les robinets. L’eau lui arrive au niveau du pubis, elle se laisse glisser dans le fond de la baignoire, écarte les jambes, ses talons se posent, sur le rebord de la baignoire. Elle me guide en elle, ses yeux brillent, ses mains qui se posent sur mes fesses, tremblent.
Je m’allonge, mon pied en glissant, fait sauter la bonde. Magalie m’attire vers elle, je suis en butté sur son hymen. Elle souri, elle me repousse doucement. Sa petite chatte, si douce, si accueillante, m’enserre. J’ai l’impression que son fourreau étroit s’est modelé à la forme, aux dimensions de mon sexe.

Doucement je commence à bouger, ses mains suivent mon rythme, j’ai l’impression par moment qu’elles caressent mes fesses.

Ses yeux, me font penser au ciel, tant j’y voie d’étoiles qui y brillent. Je la voie heureuse, heureuse de se donner à l’homme qu’elle aime, à l’homme qui l’aime.

Sa vulve, son puits d’amour, coule, je sens sa mouille chaude, qui s’écoule le long de ma hampe. Ses mains veulent accélérer le mouvement, je les laisse faire, mon corps commence à se tendre, Magalie les yeux dans les miens, comprends ce qui se passe, comprends qu’elle va enfin ressentir mon sexe vibrer dans son ventre, sentir ma semence se répandre en elle.


Oui mon chéri, joui en moi, je t’en prie.

Je vais jouir, bloque moi je ne veux pas…..

Ses mains me retiennent fermement, pendant que je me vide en elle, que j’explose dans sa vulve. Je le voie radieuse, le visage épanouis pendant que je me répands en elle. J’ai du mal à ne pas m’écrouler sur elle, a ne pas la déflorer. Ce que nous ne voulons n’y l’un n’y l’autre. Je suis tendu, contracter à en avoir mal.

Ses yeux sont humides, elle me repousse doucement, je voie comme un regret dans son regard, quand mon sexe quitte, son si doux fourreau. Elle prend ma tête entre ses mains, m’embrasse tendrement, les yeux dans les yeux.


Merci mon amour, j’en ai encore plus envie maintenant. Je désire encore plus te sentir jouir au plus profond de moi, sentir ton sexe au plus profond de mon ventre. Quand tu auras décidé que je suis prête. Je sais aujourd’hui, que je le suis. Je t’aime mon Jacques.

Je m’agenouille dans la baignoire, Magalie me regarde amoureusement. Ses talons toujours posés sur le rebord de la baignoire, elle m’offre une vue totalement indécente de son intimité. Mon sperme s’écoule en un mince filet de sa petite chatte, qui comme un fruit trop juteux, trop mur, palpite encore de ses envies. Son clito semble vouloir m’appeler, appeler mes lèvres pour se faire dévorer.
Magalie me regarde en souriant.


Tes yeux me disent que tu en meurs d’envie, tout comme moi mon amour.

Ses doigts pianotent sur son ventre tout en descendant doucement vers son pubis. Elle se caresse doucement, tout en me regardant.
Dans un geste d’une totale indécence, son index pêche un peut de mon sperme, qui s’écoule de sa vulve, elle regarde son doigt, et doucement le lèche en me regardant avec un regard totalement lubrique.

Je me relève, sort de la baignoire, l’aide a se relever, elle est radieuse. Je l’embrasse tendrement, ses seins doucement en appuis sur mon torse, je sens ses tétons qui me caressent. Ses mains posées sur mes hanches, s’amusent à faire frotter mon sexe décalotté sur sa toison. Je m’écarte de Magalie, elle me regarde surprise.


Douche, toi, je prépare à manger, il faudrait que l’on ai au moins mangé quand Sabine rentrera.


Invité

Re: Secret de famille

Message par Invité »

:cingle: :cingle: :cingle:
DeLsEp9

Re: Secret de famille

Message par DeLsEp9 »

Propos de Sabine ma femme
Propos de Magalie ma belle sœur
Propos de Jacques
Mes pensées

Propos de Suzanne Ma belle mère
Propos de Charlotte
Propos de Lucie fille de Charlotte
Propos de Louise petite fille de Charlotte



51)



Douche, toi, je prépare à manger, il faudrait que l’on ai au moins mangé quand Sabine rentrera.

Je me relève, sort de la baignoire, l’aide a se relever, elle est radieuse. Je l’embrasse tendrement, ses seins doucement en appuis sur mon torse, je sens ses tétons qui me caressent. Ses mains posées sur mes hanches, s’amusent à faire frotter mon sexe décalotté sur sa toison. Je m’écarte de Magalie, elle me regarde surprise.

Douche, toi, je prépare à manger, il faudrait que l’on ai au moins mangé quand Sabine rentrera.


-/-

Sans lui laisser le temps de répondre, j’enfile mon peignoir, et sort.
Direction la cuisine, je fais chauffer de l’eau, des nouilles avec un pesto fait maison. De quoi se régaler.


Pour les gourmands ma recette de pesto.

* 60 g de basilic frais environ
* 30 g de pignons
* 1/2 gousse d'ail (en ayant enlevé le cœur)
* 125 ml d'huile d'olive
* 50 g de parmesan fraîchement râpé
* 1/4 d’une petite tomate séchée (pas obligatoire, mais j’adore)
* sel, poivre (ou un peu de piment d’Espelette en poudre)

Préparation.(environ 10 à 15 minutes)

1) Emincer la gousse d'ail et la tomate. Hacher le basilic.
2) Faire griller les pignons une petite minute jusqu'à ce qu'ils soient légèrement dorés.
3) Ecraser les pignons, l'ail, la tomate séchée, le basilic et le parmesan au pilon dans un mortier jusqu'à l'obtention d'une pâte homogène.
4) Incorporer l'huile d'olive petit à petit.(en remuant doucement avec une fourchette)
5 Assaisonner de sel et de poivre en goûtant la sauce.

Le Pesto peut-être conservé dans un récipient fermé hermétiquement. Le couvrir d'un filet d'huile pour éviter qu'il ne blanchisse.

Les nouilles sont al dente, Magalie arrive juste à ce moment, me regarde en souriant.


T’es incroyable, le temps d’une douche tout est prêt, c’est quoi cette petite odeur, je ne connais pas.

Je m’approche, l’embrasse tendrement.

Tu as rangé la salle de bain ? Va vérifier ma puce s’il te plait.

Elle revient au bout de cinq minutes avec mes vêtements.

Je les mets sur le valet dans ta chambre. Tu laisse tout trainer, t’es pas possible. Il va falloir que l’on te dresse avec Sabine, on n’est pas tes bonniches.

Elle éclate de rire, j’ai du mal a me retenir, elle revient en souriant.

C’est quoi cette odeur, tu ne m’as pas répondu.

Tu goûtes, c’est dans le pilon sur la table. Tu as le droit de ne pas aimer, mais pas celui de dire que c’est mauvais. Mets la table, s’il te plait pendant que je prépare ce qui va avec.

Pendant qu’elle met la table je coupe de fines tranches dans la guitare de San Daniel qui pend dans le cellier à côté de la cuisine.

Je reviens, en passant je prends une bouteille de Lacryma di Christi rosé dans le réfrigérateur. Magalie est en train de tremper un doigt dans le pesto, et lèche son doigt, avec un plaisir évident.


De la voir lécher son doigt sensuellement, je commence à bander en pensant à ce qu’elle faisait il n’y a pas vingt minutes dans la salle de bain. Bon sang, elle sait ce qu’elle veut, elle se donne vraiment les moyens de ses envies, et surtout de provoquer les miennes à tout moment.

Magalie me regarde en souriant, ses yeux sont fixés sur mon bas ventre. Le bout de sa langue passe sur ses lèvres avec gourmandise. J’écarte l’assiette que je tiens devant moi, mon sexe apparait entre les pans de mon peignoir.
Elle se rapproche de moi, elle s’agenouille, son peignoir s’ouvre. En même temps que je pose l’assiette et la bouteille sur la table, je sens la main de Magalie, qui effleure mon gland.


Tu as du mal a te contenir mon amour, a cacher tes envies, qui sont aussi les miennes.

Ses mains caressent délicatement mes bourses. Elle soulève mon sexe, sa langue lèche mon sexe, mes bourses.
Elle se redresse.


il y a tant de bonnes choses à manger dans cette cuisine, que je ne sais pas par quoi commencer.

Elle souri, tout en continuant à me caresser.

On mange, tu ne peux pas te retenir plus de cinq minutes. Tu n’es pas possible, tu profites de ce que j’ai les mains prises pour abuser de moi.

Nous sourions tous les deux, en nous asseyant à table. Elle sert les pâtes, je goûte le pesto, pour vérifier une dernière fois s’il est comme il doit être préparé. Je prends une cuillère à soupe de pesto, et le pose sur les pâtes de Magalie, je fais de même avec mon assiette. Je mets l’assiette de jambon entre nous deux, pose deux verres à vins sur la table, sert le vin.

Ce soir tu as droit à un verre de vin, n’en prend pas l’habitude ma puce. Je ne comprends pas que l’on boive pour boire. Un homme qui a trop bu ce n’est pas évident. Une femme qui a trop bu, n’a rien à offrir.

Un vin cela se déguste, s’apprécie, on recherche les saveurs, les gouts, les arômes. Pour moi, il y aussi le plaisir de partager un moment avec la personne ou les personnes avec qui j’ai la joie, le plaisir de partager ce vin, que ce soit un grand vin, ou un vin plus modeste.

Tu dois tout apprendre, savoir un maximum de choses, être une compagne idéal, si tu es invité, tu dois savoir de quoi tu parles, connaître certaine choses.

Donc tu dois apprendre à tout moment, être une éponge, afin d’absorber tout ce qui peut t’apporter un plus.
Le vin que l’on va déguster avec le repas, est un vin italien, qui pousse sur les pentes du Vésuve. Tu le goûtes et tu me dis ce que tu en penses. Comme cela te vient, comme tu le penses, je ne me moquerais pas.


Je voie Magalie hésiter, regarder le verre, hésiter à le prendre en main.

Je ne sais pas ce qu’il faut faire, je t’ai vue faire chez Charlotte, mais je n’ose pas. Je ne sais pas.
Invité

Re: Secret de famille

Message par Invité »

:miam:
DeLsEp9

Re: Secret de famille

Message par DeLsEp9 »

Cedille92 a écrit : :miam:

Gourmande :oups: :oups:
Invité

Re: Secret de famille

Message par Invité »

tu nous rend tous accro ^^
DeLsEp9

Re: Secret de famille

Message par DeLsEp9 »

Mel29440 a écrit :tu nous rend tous accro ^^


Moi,
:diable: :diable: :diable:
pas possible

ze ne le crois pas :bik:
Invité

Re: Secret de famille

Message par Invité »

:valfa: :valfa: ya plus de suite
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