Secret de famille

Des récits qui ne manqueront pas de réveiller vos sens et votre imagination...
DeLsEp9

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Propos de Suzanne Ma belle mère
Propos de Charlotte
Propos de Lucie fille de Charlotte
Propos de Louise petite fille de Charlotte



52)



Le vin que l’on va déguster avec le repas, est un vin italien, qui pousse sur les pentes du Vésuve. Tu le goûtes et tu me dis ce que tu en penses. Comme cela te vient, comme tu le penses, je ne me moquerais pas.

Je voie Magalie hésiter, regarder le verre, hésiter à le prendre en main.

Je ne sais pas ce qu’il faut faire, je t’ai vue faire chez Charlotte, mais je n’ose pas. Je ne sais pas.

-/-


La dégustation ce n’est pas deviner d’un vin : le millésime, ou le domaine vinicole.
La dégustation consiste à analyser les sensations dues au vin, avec trois de nos sens. La vue, l’odorat, le goût.

Pour commencer, ce que tu voies. Tu regardes la robe, la couleur. Dans le cas de ce vin, elle est d’un rosé plus ou moins intense, de couleur rose cerise, ce qui n’est pas courant en Alsace, le pinot noir à une couleur plus soutenue.
Cette couleur, le rend agréable non seulement au palais mais aussi à la vue ;

Ensuite l’odorat. Dans le cas du rosé, qui est servi frais, essayé de sentir les arômes, ne sert pas à grand-chose. Pour un rouge oui tu peux, je te montrerais, t’apprendrais, lorsque nous goûterons du rouge.

Pour finir, le goût. Pour trouver les parfums, les arômes qui sont présent, qui apparaissent quand tu le dégustes.

Maintenant tu goûtes, tu t’es lavé les dents ? Si oui le dentifrice dans 90% des cas inhibe beaucoup de saveurs, et tue les arômes du vin. Si tu es invité à un repas, tu te laves les dents au minimum deux heures avant le repas, et pas de chewing-gum.


Magalie me regarde avec des yeux ronds, elle semble surprise, étonnée.

J’ai de l’amusement devant moi, tout est bon pour que j’apprenne.

Elle se lève m’embrasse tendrement.

Tu es adorable, Tu veux vraiment que j’apprenne le maximum de choses, que je sois comme cela se dit, la compagne idéale.

Mon regard plonge dans le peignoir qui s’est ouvert, la ceinture ayant encore glissé. Ses seins sont si proches que j’ai du mal à me retenir de ne pas les embrasser. Elle m’offre son corps dont je ne me lasse pas. Je prends les deux pans de son peignoir, et après avoir embrassé cette poitrine qui s’offre à moi, je les rabats et me saisissant de la ceinture, fait un nœud, pour qu’il ne glisse plus.

Ma puce je ne dirais pas non, mais on va manger froid à ce rythme.

Elle souri, et retourne s’asseoir.

On mange, tu goûtes le vin, et tu me donnes ton impression.

Je commence à manger, tout en la regardant. Elle goûte, à l’air d’apprécier. Je pique une tranche de San Daniel, la mange, goûte le vin. Elle fait exactement comme moi. Je la regarde attendant son commentaire. Elle doit remarquer mon regard interrogateur, elle a l’air d’hésiter.

Donne moi ta première impression, celle que tu as eut, a ta première gorgée.

Il est doux, plus doux que le vin rouge de chez Charlotte, il est plus agréable à boire.

Dis-moi au fur et à mesure ce que tu ressens quand tu le bois. Nous ne sommes pas à un concours, nous sommes là pour nous faire plaisir, apprécier ce que nous buvons, ce que nous mangeons. Tu en penses quoi des nouilles au pesto, avec du jambon, du San Daniel ?

C’est bon, le jambon est excellent, je ne connais pas ce que tu as mis sur les pâtes. C’est excellent, c’est quoi ?

C’est du Pesto, une préparation d’accompagnement à base d'huile d'olive, de basilic frais, d'ail, de parmesan, de tomate séchée et de pignons de pin parasol.

Nous continuons à manger, Magalie dévore, elle a l’air de vraiment apprécier, tant la nourriture que le vin.

Cela t’as plu on dirait. Et le vin alors tu en penses quoi.

Il est excellent, mais je ne sais pas ce que tu entends par les arômes, les saveurs, que je dois trouver.

Juste une chose au restaurant, on ne goûte pas un rosé comme le vin rouge.
On verra cela une autre fois, maintenant on fait la vaisselle, et au lit ma puce. Demain debout à 6h30 comme ce matin.


La vaisselle est vite expédiée, nous rangeons la cuisine. Magalie, me regarde l’air désappointée. Je m’approche d’elle, la prends dans mes bras. Elle se love contre moi. Je sens sa cuisse qui se frotte contre mon sexe, comme si elle voulait désespérément, me faire comprendre qu’elle a envie de moi.

Ma chérie ce soir on dort chacun dans son lit, Sabine va rentrer, il n’est pas question de prendre le moindre risque. De toute façon, tu te couches, je vais prendre une douche.

Je m’approche de son lit, commence à enlever la housse du clic-clac, elle arrive derrière moi, me fait tomber sur son lit, je me retourne, elle s’allonge sur moi, en m’embrassant telle une furie.

J’ai tellement envie de dormir avec toi, je sais que ce n’est pas sérieux, mais je ne peux pas m’empêcher d’en avoir envie.

Je la fait rouler sur le côté, je regarde ma montre il est 22 h 30. Magalie s’est assise sur le bord du lit, me regardant au bord des larmes. Je prends son tee-shirt sous le coussin, la fait se relever. Je lui enlève son peignoir, lui enfile son tee-shirt. J’ouvre le lit, et la couche, en l’embrassant tendrement.

Je viens te souhaiter bonne nuit en allant me coucher ma petite puce.

Je vais dans la salle de bain, expédie ma douche. Je ressors Magalie me regarde, elle est triste. Je m’assieds sur le bord du lit, lui caresse la joue.

Ma chérie, tu sais que je t’aime, que je tiens à toi, mais il faut que tu comprennes. Un homme marié, ne fait pas toujours ce qu’il veut. Il fait souvent comme il peut.

Sabine ne devrait pas trop tarder maintenant, Il n’est pas question que l’on prenne le moindre risque. Je ne sais pas comment elle le prendrait, de nous trouver tous les deux couchés ensemble, mais je pense que cela se passerait très mal.

Je l’embrasse tendrement, en passant devant la porte j’ouvre les verrous, ne laissant que la serrure de la porte verrouillée.
Je me couche, Morphée arrive bien vite, et je m’endors, épuisé.

Je sens que l’on me caresse, une bouche qui m’embrasse, qui descend le long de mon corps. Une main qui caresse mon sexe. La bouche s’empare délicatement de mon sexe, la langue, joue avec, s’enroule autour de mon gland. J’entrouvre les yeux, il fait nuit noir, je devine sous la couette un corps qui bouge.


Non quand même pas, elle n’est pas venue me rejoindre, elle n’a pas osée. Si sabine arrive, elle va péter un câble. Et cela dans le meilleur des cas.

Inconsciemment, ma main descend, remonte une cuisse nue, caresse un pubis, trouve un bouton amour, énorme, je commence, à le caresser, Il frémit, je le maltraite, le pince, je sens la bouche qui se serre sur mon sexe. Je dors à moitié.
Invité

Re: Secret de famille

Message par Invité »

:cingle: :cingle: tu peut pas t'arreter la ^^
DeLsEp9

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52)



Non quand même pas, elle n’est pas venue me rejoindre, elle n’a pas osée. Si sabine arrive, elle va péter un câble. Et cela dans le meilleur des cas.

Inconsciemment, ma main descend, remonte une cuisse nue, caresse un pubis, trouve un bouton amour, énorme, je commence, à le caresser, Il frémit, je le maltraite, le pince, je sens la bouche qui se serre sur mon sexe. Je dors à moitié.

-/-


Je réalise soudainement, que le pubis que j’ai caressé est rasé, c’est Sabine qui est sous la couette, qui m’a réveillé de bien agréable façon. Je bascule me retrouve au dessus d’elle, ma bouche s’empare de sa vulve, je pince son clito avec mes dents, elle gémi. Elle me fait basculer sur le dos, se jette sur moi, s’empare de mon sexe, s’empale dessus. Elle se penche, m’embrasse. Elle sent l’alcool. Elle e mordille le lobe de l’oreille, je frissonne.

Baise moi, fais moi jouir, j’en ai envie, fais jouir la nouvelle vendeuse de Darjeeling Chantelle.

Elle est complètement hystérique, elle me chevauche, ses fesses claquent sur mes cuisses. Elle se laisse retombée, s’écroule sur moi.

Je crois que j’ai un peu trop bu.

Elle se lève, et court au WC. Je la suis, nu comme un vers. En passant je regarde le radio réveil. Il est une heure du matin. Magalie est assise sur son lit, se lève, rejoint sa sœur. J’arrive aux toilettes, Sabine est à genoux la tête dans les WC, Magalie la soutien. J’ai deux adorables paires de fesses devant les yeux. Elles sont aussi nue l’une que l’autre.

Magalie si tu as besoin de moi, tu m’appelles, je retourne me coucher.

Sabine relève la tête regarde sa sœur, me regarde, va pour dire quelque chose, se retourne, et vomis à nouveau.

Que diable, les grands remèdes.

Je vais dans la cuisine prépare un verre d’eau, y met une cuillère à café de sel, retourne dans les WC.

Magalie laisse moi passer s’il te plait.

Elle se colle au mur, me laisse passer. Ses seins sont plaqués dans mon dos. Je me penche, ses mains se posent sur mes hanches, mes fesses sont contre sont pubis. Je tends le verre à Sabine. Elle boit me regarde, et tout sort, elle vomi tripes et boyaux.

Magalie, tu m’aides, s’il te plait, on va sous la douche avec Sabine.

Magalie me fait oui de la tête, on attrape Sabine sous les bras, direction la douche. Nous y entrons tous les trois. Magalie ouvre l’eau pendant que je soutiens Sabine.

Vas-y, je la tiens. Ouvre lui la bouche, et rince la, c’est horrible ce goût, ça te fait vomir à nouveau quand tu réalises.

Sabine ouvre d’elle-même la bouche. Ses fesses se frottent contre moi. Elle regarde Magalie, se retourne, me regarde.

Mais on est tous, tout nus sous la douche, même ma petite sœur. Purée qu’est ce qu’elle est bien fichue ma petite sœur.

Tu crois que sa m’amuse d’être nue devant mon beau frère. Si tu avais moins picolé, on ne serait pas en train de te dessaouler, tous tout nu dans la douche. Merde je bosse demain, et toi tu allaites, tu crois que c’est sérieux.

Sabine se retourne, me regarde, je dois avoir l’air en colère, elle ne dit mot.

Magalie, passe moi une serviette, on la sèche, je la couche, toi aussi il faudrait que tu te couches.

Sabine tient seule debout, Magalie la sèche énergiquement, je fais de même dans son dos. Sabine commence à gémir.

C’est bon, vous arrêter, parce que dans cinq minute je ne réponds plus de rien. Vous êtes deux brutes. J’ai l’impression de ne plus avoir de peau.

Au moins tu as l’air d’aller mieux.

Je prends Sabine par le bras, direction la chambre.

Tout à l’heure on a à causer tous les deux.

Je la couche, je l’entends pleurer.

Je vais me sécher, et je reviens.

J’arrive dans la salle de bain, Magalie est en train de se sécher elle aussi. Elle me tend une serviette, elle fait la tête des mauvais jours.

J’en connais une qui va se faire engueuler. Sans vouloir remuer le couteau dans la plaie.

C’est certain, toi ne t’amuses jamais à me faire un coup pareil. Je te gar…

Tu m’as déjà prévenue, cela m’a servie de leçon, mes fesses s’en souviennent encore.

Je la prends dans mes bras, l’embrasse, tendrement. Nous sortons de la salle de bain, elle se couche. Je l’embrasse lui souhaite bonne nuit, et vais me coucher. Sabine dort, j’entends sa respiration, qui est calme.
Je m’endors, malgré l’énervement de la nuit. Une main me secoue doucement, je sens une odeur de café, j’ouvre les yeux. Sabine est assise sur le lit, à côté de moi et me tend un café. Elle a l’air penaude.


Bonjour mon chéri, pas besoin de m’engueuler, je sais que j’ai déconné. On est tombé d’accord avec Martine je commence demain, mercredi. Si j’arrive à tout régler, pour le petit, ce matin je commence cet aprem. Mais je ne pense pas que cela sera faisable.

En sortant du resto, je suis tombé sur une copine de classe, et on a était boire un verre, de fil en aiguille, on a fini en boîte, et là ça a dégénéré. Je me suis lâché, ça fait si longtemps que je ne suis pas sortie. Ok je n’aurais pas dut boire.

Cette nuit c’est Magalie qui m’a engueulé. On était tous le trois sous la douche je crois.


Oui, Magalie m’a aidé, a te dessouler, tu étais dans un état, tu vomissais tout le temps.
On a fini tous les trois sous la douche, pour finir, de te dessouler.


On étais tous les trois tout nu ?

Oui, tu crois que cela nous a amusés, d’ailleurs ta sœur était en rogne après toi. Excuse-moi mais je la comprends.
Tu es rentré comment, j’espère que tu n’as pas conduit ?


Non, j’ai laissé la voiture au parking, je suis rentré en taxi, dans l’état où j’étais pas question de rouler. Je ne suis pas folle quand même. Votre traitement de cheval a était efficace, je n’ai pas mal à la tête.

Tu comptes faire comment avec le petit, Suzanne, n’a pas assez de poches de lait pour tenir quinze jours. Et je te voie mal, quinze jours sans le fils.

Je pensais chercher maman et la ramener ici, si cela ne t’embête pas et si elle est d’accord.

On toque à la porte de la chambre, la porte s’ouvre, Magalie entre au radar. Sabine, rigole.

Tu pourrais aller enfiler un tee-shirt, on va le savoir que tu es bien foutu.

Magalie sursaute, fait demi tour et revient en ayant enfilée un tee-shirt. Nous fait la bise, s’assied sur le lit.

Tu vas mieux, parce que cette nuit je t’aurais étripé.

Je sais, j’ai merdé, je me suis excusé auprès de ton beauf préféré. Et je te présente aussi mes excuses.

Ma grande sœur qui me présente ses excuses. Il va falloir que je le note dans le calendrier.

Magalie se penche, prends mon mug, et va pour boire.

Arrête si tu bois son café, il va y avoir des morts. Je t’en cherche un.

Sabine reviens, avec deux mugs, en tend un à sa sœur.

Merci frangine, bon ça donne quoi avec Martine ?

Je commence mercredi, pour les quinze jours, et après si ça se passe bien, elle me prend en CDI.
Elle voulait me faire un contrat définitif tout de suite, mais j’ai préféré quinze jours d’essai, il faut que je m’organise pour le petit, donc je ne travail pas le lundi. J’ai pensé faire descendre maman pendant que vous n’êtes pas là, mais pour après les vacances, il faudra que je trouve quelqu’un.


On va être collègue de travail, mais c’est super. Si maman ne peut pas descendre, demande à Louise, elle sera peut être intéressée.

Il est quelle heure au faites ?

Magalie sort, et regarde le radio réveil.

Ïl est 6hoo.

Bon les filles à la douche, Jacques prépare le petit dej.

Je me lève, aussi nu que d’habitude. Sabine me regarde, rigole.

Si je comprends tout le monde se balade à poil dans la maison, il n’y a que moi qui ne suit pas au diapason.

Cette nuit, on était nus, et si cela ne gêne pas ta sœur, moi tu sais que je m’en fiche.
Invité

Re: Secret de famille

Message par Invité »

la moral de se chapitre ne pas baisé en etant bouré ^^
Invité

Re: Secret de famille

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:(
DeLsEp9

Re: Secret de famille

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Bon les filles vont à la douche, Jacques prépare le petit dej.

Je me lève, aussi nu que d’habitude. Sabine me regarde, rigole.

Si je comprends tout le monde se balade à poil dans la maison, il n’y a que moi qui ne suit pas au diapason.

Cette nuit, on était nus, et si cela ne gêne pas ta sœur, moi tu sais que je m’en fiche.

-/-


J’enfile un boxer, me rends dans la cuisine, prépare le petit dej. Sabine arrive, s’installe, commence à prendre son petit dej. Magalie nous rejoint peu de temps après. Mange également de bon appétit.

Tu mets quoi Magalie, aujourd’hui, tu ne peux pas aller bosser deux jours de suite avec les mêmes habits.

Je ne sais pas trop, peut être l’ensemble noir, le top avec le pantalon.

Oui cela ira, mais il faudra que l’on t’habille pour le boulot.

Pas de soucis, mais ce sera en avance sur ses futurs salaires. Ce que l’on a acheté vendredi, s’est cadeau, mais là pour bosser, il faut qu’elle comprenne..

Oui comme Martine a dit :
« C’est bien ce que vous faites.
Elle aura la notion de la valeur de l’argent. Ça va me changer de toutes ces gamines qui ne savent pas compter, et qui ne réalisent pas que rien n’est dut, mais qu’il faut travailler pour se payer ses envies. »


Tu voie quand tu veux tu te souviens, tu as de la mémoire. C’était vraiment de la fainéantise à l’école. Au faites sabine viens avec moi deux secondes dans la chambre s’il te plait.

Sabine me regarde surprise, se lève et me suit. Nous entrons dans a chambre, je referme la porte.

Tu en penses quoi, de lui donner l’ensemble grésille, comme cadeau pour son embauche, en attendant que l’on ne fasse une petite fête en rentrant d’Allemagne ?

Bonne idée mon chéri. Je mets le mien, et je vous rejoints pour le lui offrir.

Je sors le paquet de sa cachette, le pose sur le lit, retourne dans la cuisine, me ressert un café, sous le regard interrogateur de Magalie.

Sabine entre, elle est magnifique dans son ensemble. Magalie la regarde surprise. Me regarde, m’interroge des yeux, ne comprends rien. Quand elle se retourne face à Sabine, elle voie le paquet devant elle sur la table.


C’est, c’est quoi.

Cadeau petite sœur. C’est de notre part à tous les deux, pour avoir réussi ton test d’embauche.

Magalie, nous regarde, les yeux humides, saute au cou de sa sœur, l’embrasse, fait de même avec moi. Bon sang heureusement que Sabine cherche quelque chose à boire, ce n’est pas une accolade de belle-sœur.

Vous êtes fous, tous les deux, vous m’avez déjà tant gâtée.

Elle déchire avec impatiente l’emballage. Sort l’ensemble, regarde sa sœur, me regarde surprise.

Mais c’est le même ensemble que celui que porte ma sœur, celui que j’adore tant, celui que j’ai vue en vitrine quand j’étais avec Jacques.

Oui ma chérie, quand Jacques m’a dit qu’il te plaisait tant, je lui ai dit de l’acheter, j’avais envie que Jacques soit fière avec deux belles femmes, au bras, habillées de la même manière, pour jeter le trouble sur tous ces mâles qui vont te tourner autour en Corse.

Je peux l’essayer ? J’en meurs d’envie.

Sabine acquiesce de la tête, Magalie fonce dans notre chambre, reviens cinq minutes plus tard. Elle est sublime. Elle n’a pas mis de soutien-gorge, vue la transparence du bustier sa poitrine imposante, n’est pas visible, elle me saute à la figure.
Ses tétons pointent, j’ai l’impression qu’ils veulent traverser le frêle tissu. Heureusement que je suis assis, que la table me cache, je sens que je commence à bander.

Sabine et Magalie, se prennent par la taille, face à moi.


Alors mon chéri, on est bandante, on va mettre le feu en Corse.

Tu m’étonnes, avec deux canons de beautés, comme vous deux, on va ramasser des cadavres tout le long du chemin.

Sabine se penche regarde sous la table, se redresse en souriant.

Alors mon chéri, à ce que je voie pour l’instant il y a le feu, mais ce n’est pas en Corse, ce serait plutôt dans ton boxer.

Tout émoustillé je m’approche de mes deux chérie, les embrasse.

Ce n’est pas tout, mais on doit descendre tous les trois, vous débarrassez la cuisine, et vous vous habillez, pendant que je prend ma douche.

Je me dirige vers la douche, regarde l’heure en passant, il est 6h45. J’expédie la douche, me dirige vers notre chambre, je les entends rire. J’entre, elles sont en train de papoter, ayant juste enfilé leur sous vêtements.

Il faudrait vous bouger les filles, on ne va pas y arriver. Magalie, tu dis à ta sœur, ce qu’elle doit redescendre comme fringues, pour l’Allemagne. Des jeans, des tee-shirts assez amples, baskets, etc.

Sabine tu appelles Suzanne, pour savoir comment cela s’est passé et tu lui demandes si elle est d’accord pour descendre. Comme cela elle aura le temps de se préparer.


Nous nous habillons tous les trois. De temps à autres, je remarque un regard en coin de Magalie.

Magalie, je remarque que tu n’as plus du tout de complexe avec ta poitrine, tu te balades pour ainsi dire nue, et avant l’ensemble grésille, c’est comme si tu n’avais rien sur le dos. On voyait tout de ta poitrine, tu avais même l’air excité, quand on voie comment tes tétons pointaient.

Magalie rougie, son regard me lance un appel au secours.

Je pense que Jacques a su te mettre en confiance, il est vrai comme je le lui ai dit hier soir, je ne reconnais plus ma petite sœur, c’est une femme maintenant. Même dans ta tête, tu réagis comme telle.

N’oublie pas quand même que c’est mon homme, ce n’est pas de la jalousie, mais quand même tu te calmes, parce que te balader, les seins et la foufounette à l’air, il a beau être naturiste, il va se retrouver dans un état impossible.

Tu me diras j’en profiterais, je crois même que j’en abuserais aussi.


Sabine embrasse sa sœur, m’embrasse. Et discrètement.

Laquelle de nous deux te fait de l’effet, mon cochon, tu bandes comme pas possible. Non pas les deux quand même.

Vous avez l’air d’être devenu sacrément complice tous les deux. Je suis bien content, que cela se passe comme cela, la vie sera plus agréable, pour nous trois.


Elle m’embrasse, avec un petit sourire et un air narquois dans les yeux.

Bon vos délires de jeunes filles prudes sont finis, Les filles, vous réfléchissez bien à tout ce qu’il faut, nous on part pour Kornwestheim, à 7h 00 demain matin.

Sabine tu dois appeler ta mère. Il faut rapidement savoir si elle est d’accord, pour descendre.


Sabine part dans ma cuisine, pour téléphoner.
Elle revient au bout de dix minutes, Suzanne est d’accord de descendre, elle est même heureuse de venir passer une dizaine de jours chez nous.

Tout le monde étant prêt, nous partons. Je dépose Magalie et Sabine au centre Halles après avoir convenue que nous retrouverons au magasin avant d’aller manger ensemble à midi. Si sabine ne peut pas, elle m’appelle au bureau. Elles m’embrassent, Magalie me glisse discrètement quelque chose dans la main en souriant. Une fois les puces disparues, je regarde, elle m’a donné sa petite culotte. Je souris.

J’arrive au bureau, Yolande m’attend avec un énorme sourire. Dans une main, un fax, dans l’autre comme à l’habitude, mon café. Je prends mon café, la regarde, qui joue avec le fax.


D’accord Yolande, tu pourrais avoir l’obligeance de me dire le contenu du fax, qui te rend si joyeuse.

« La fibre sera livré jeudi ou vendredi directement sur le chantier, tout comme le reste qui sera livré mercredi en début d’après midi. J’ai envoyé un fax au responsable de nos comptes bancaires, en lui demandant de me confirmer que les DM seront prêts en début d’après midi. »

Tu es toujours aussi efficace Yolande, merci. Je vais au dépôt, ce soir j’y laisserais ma voiture, ainsi que les clefs au même endroit que d’habitude, dans le coffre à clefs, de l’entrepôt, dont tu as le double.
Si Sabine a besoin de la voiture, tu lui expliqueras comment la récupérer s’il te plait.


J’arrive au dépôt, le fourgon est là. Avec le magasinier nous mettons l’outillage dans le fourgon, vérifions à nouveau tout le matériel. Yolande m’appelle pour confirmer que les DM seront prêt dès 14 heures.

Il est 11h45,je quitte le dépôt après avoir accroché la remorque avec le magasinier. J’arrive près du magasin, Sabine est là. Elle boit un café au bar où nous étions la veille avec Magalie, les serveurs tournent autour d’elles, faisant un peu les matamores. Sabine me voie, elle pousse un gros ouf de soulagement, je fais signe à un des serveurs, et lui commande un café.
Je m’assieds après avoir embrassé Sabine. Le serveur arrive, me voie à la table de Sabine. Son collègue à côté de lui le regarde. Il est tellement discret que je l’entends dire « Putain il les lui faut toutes .» Je rigole quand il pose le café à table. Je règle immédiatement les deux cafés. Sabine fini son café m’embrasse en souriant. Regarde les serveurs.


Viens mon chéri, on va chercher ton autre chérie.

DeLsEp9

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Il est 11h45,je quitte le dépôt après avoir, accrochée la remorque avec le magasinier. J’arrive près du magasin, Sabine est là. Elle boit un café, au bar où nous étions la veille avec Magalie, les serveurs tournent autour d’elles, faisant un peu les matamores. Sabine me voie, elle pousse un gros ouf de soulagement, je fais signe à un des serveurs, et lui commande un café.
Je m’assieds après avoir embrassé Sabine. Le serveur arrive, me voie à la table de Sabine. Son collègue à côté de lui le regarde. Il est tellement discret que je l’entends dire « Putain il les lui faut toutes .» Je rigole quand il pose le café à table. Je règle immédiatement les deux cafés. Sabine fini son café m’embrasse en souriant. Regarde les serveurs.


Viens mon chéri, on va chercher ton autre chérie.

-/-


Ils nous regardent partir, avec un regard désappointé.

Nous arrivons dans le magasin, Martine est d’un côté du magasin avec une cliente, Magalie avec une autre cliente. Nous la regardons faire. Elle est tellement à l’aise qu’elle donne l’impression d’avoir toujours fait cela. Nous nous rapprochons discrètement comme un couple de clients normaux. Magalie est en train de faire mousser, de mettre en valeur une robe auprès de sa cliente potentielle, qui part toute joyeuse dans une cabine d’essayage.
Nous voyant, Magalie fait mine de vouloir venir nous voir, je lui fais signe que non, lui montre la cabine d’essayage de la tête.

Sa cliente sort, elle se dirige vers elle de sa démarche de vamp. Sabine me regarde, en souriant. Nous nous rapprochons, regardant différents modèles. La cliente tout sourire s’admire dans un miroir. « Mon mari va me tuer, mais vous avez raison, cela me va à merveille, je prends cette petite robe, ainsi que l’autre que vous m’avez conseillée. » Elle retourne dans la cabine se changer. Magalie prend l’autre robe se dirige vers Martine.
« Vas y tu factures, j’arrive pour encaisser. » Magalie retourne à la cabine, accompagne sa client à la caisse, enregistre les articles, tend le ticket de caisse à la cliente. Martine arrive sur ces entrefaites, encaisse. Elle nous voie, ses clients étant partis, vient nous saluer.

« Je pense que Sabine sera a la hauteur de sa sœur, sinon je crois que je vais vous en vouloir Jacques.

Magalie depuis ce matin, a vendu plus que moi, je suis à la fois écœuré et très heureuse qu’elle travaille ici. »


L’innocence au mains pleine. Le tout est que ce ne soit pas un feu de paille. Je ferai tout pour que cela n’arrive pas, mais vous Martine avez aussi votre part de travail à fournir. Vous venez manger avec nous ?

Elle me regarde en souriant.

« Jacques je remarque que vous ne mâchez pas vos mots, mais je sais que vous et moi œuvrons dans le même sens, celui de faire de Magalie, une bonne vendeuse. Les bases sont là, de très bonnes bases. Je ne m’inquiète pas.
Je regrette mais je n’aurais pas le temps de venir avec vous pour manger, j’ai des papiers à faire, et c’est relativement calme. Aller manger, je reste, elle me remplacera, pendant que je mange. Magalie tu es de retour dans 45 minutes. »

Les femmes se font la bise, nous nous dirigeons vers le restaurant de la veille. Sabine et Magalie n’arrête pas de parler, tout en marchant comme j’adore. Je les laisse prendre de l’avance, et les admire, admire les deux femmes que j’aime.

Dieu qu’elles sont belles, je voient les hommes se retourner sur leur passage, je souri, elles ne les remarquent même pas, tout à leur conversation.
Deux jeunes de l’âge de Magalie s’arrêtent, les regardent. Au moment où je passe à leur hauteur, je les entends.

« Putain tu as vue c’est Magalie. Quel canon, quand je pense comment elle était timide en classe, et là wouahh, je me la ferais bien. »

Je souris, en continuant mon chemin. Je les rattrape au moment, où elles vont traverser la rue, et me glisse entre mes deux puces. Elles rigolent, passent leur bras sous les miens.


Regarde ce macho, qui fanfaronne avec deux canons de beautés au bras.

Tu as raison, il va falloir qu’on le dresse. Je n’aime pas les machos. D’ailleurs à la maison ça ne va pas, il faut passer derrière lui. Tu lui as donné de mauvaises habitudes grande sœur.

Je sais, j’arrête pas de le lui dire. Bon comme tu vas être là, dorénavant on lui fait la guerre.

Bon si c’est comme cela, je crois que je vais partir plus souvent sur les chantiers.

Non, pas question.

Pas question, on aurait personne a embêter si tu n’es pas là. Il n’a aucun sens de l’humour ton homme.

Nous entrons dans le restaurant, le serveur nous reconnaissant, nous installe à la même table que la veille. Il prend la commande, nous demande si nous ne serons que trois, car c’est la table habituelle de Martine à midi.

Nous déjeunons, Sabine regarde souvent Magalie, avec un regard étrange, comme si elle essayait de savoir ce qui se passe dans sa tête. Le repas fini Magalie nous raconte sa matinée, qui s’est passé merveilleusement.


Tu es quand même de bon conseil mon cher beau-frère. Martine m’a demandé de lui réexpliquer tout ce que tu m’avais dit. Elle n’en reviens pas de la facilité avec laquelle j’amène les clientes à ce que tu m’as appris. Je vous dirais que moi non plus.

Quand je pense que tu ne fichais rien à l’école, et là tu exploses. N’oublie pas que tu as la moitié de ton temps à l’école, et que si tes notes sont mauvaises, tu n’auras pas ton CAP.

J’ai promis à Jacques de bosser comme une folle. Je le ferais. Il n’est pas question de le décevoir, de te décevoir. Tant que mon apprentissage n’est pas fini, pas de sortie, pas de copain.

L’autre jour avec Jacques, on a croisé deux copains, juste après, d’avoir discuté avec Martine, et qu’elle m’ai proposé de venir pour les deux jours de test avant l’embauche. Ils voulaient m’inviter, j’ai refusé, et leur ai dit,

Veuillez m’excuser les gars, là on parle de mon avenir, de mon futur, de mon devenir.
On est en train de voir pour des stages en entreprises, alors les bêtises de lycéens s’est fini. Sans rancune. Bye.


Sabine me regarde, j’approuve de la tête.

Effectivement elle leur a dit cela mais ils ne l’avait pas inviter, ils voulaient juste s’asseoir à table avec nous. Elle s’affirme de plus en plus ma petite puce, elle sait vraiment ce qu’elle veut.

Il est l’heure, il faut y aller. Pas de retard, jamais en retard, petite sœur.

Nous retournons tranquillement au magasin, Sabine nous annonce qu’elle monte immédiatement chercher maman, ainsi que les affaires de Magalie pour l’Allemagne, et surtout faire signer à la fois le contrat d’apprentissage de Magalie, au père et à Suzanne, et le transfert d’autorité parentale à Sabine pour signer le contrat de Magalie pour l’Allemagne.
Nous ne voulons pas avec Sabine, que malgré leurs dissensions, aucun des deux parents ne puisses dire quoi que ce soit, reprocher quoi que ce soit à l’autre des parents.

Elle nous embrasse, et rejoint sa voiture. J’accompagne Magalie, qui me prends le bras. Elle souri, elle est heureuse.


Comment cela se passe demain.

Ce soir je te cherche. On rentre, tu te couches tôt.
On part à 7 heures, et dès que l’on arrive, au boulot. Quoi qu’il se passe, où que l’on soit, dans les garages, dans les conduits souterrains, dans les bureaux, tu restes à proximité, tu ne me lâche pas des yeux. Si tu es fatiguée tu me le dis. On va bosser comme des fous, je veux que l’on finisse avec un jour d’avance, pour pouvoir nous reposer tous les deux. Profiter de nous si on est pas trop fatigué.


Magalie me regarde, en souriant. Elle me dévore des yeux. Nous arrivons au magasin, Martine nous voie arriver.

« Vous êtes en avance c’est bien. Comme il n’y avait personne, j’ai mangé vite fait au café à côté.

Jacques vous avez marqué les serveurs. Je les ai entendus parler de vos pauses cafés avec les deux canons de beautés. Je me suis retenu d’éclater de rire. Quoi que vous fassiez, vous ne faites pas dans la dentelle. »


Je n’aime pas la suffisance, et les puces non plus à ce que je saches.
Ils ont commencé à draguer Sabine, et pour que Sabine les provoque, c’est qu’ils ont dut vraiment être de vrais lourdauds.
Je dois vous laisser, il faut que j’aille çà la banque chercher les DM qui ont étaient réservés.


« Magalie tu restes, je vais en profiter pour y aller aussi, vue le cash de ce matin, je n’aime pas le laisser ici, on, ne sait jamais. »

Martine, part dans l’arrière boutique, reviens avec son sac à main. Nous nous dirigeons vers la banque.

« Magalie à l’air très proche de vous, et vous écoutes. C’est la première fois que j’ai une apprentie de cette envergure. Sa sœur, votre épouse à l’air d’être de la même trempe. Sans le vouloir, je crois que je suis bien tombé cette fois. »


Elles sont enchantées de travailler ensemble et elles sont très proches, très complémentaires.

Effectivement elles sont complémentaires, même trop. Je me demande par moment quand j’écoute les petites phrases, les pics de Sabine, si elle ne cherche pas à me mettre sa petite sœur dans mes bras. Enfin pas que dans les bras.
Tu te fais des idées, des films. Elle a une certaine liberté d’esprit mais quand même.

D’un autre côté Sabine a toujours était nature avec moi, elle me dit toujours ce qu’elle pense.


»Vous êtes songeurs Jacques. Des soucis ?»

Non je pense au chantier en Allemagne à Kornwestheim, c’est un beau chantier, mais il ne faudra pas trainer.

« Vous allez à Kornwestheim, là où il y a le siège de Salamander ? »

Oui c’est eux le client, ils réaménagent une partie de leurs bâtiments, en pépinières d’entreprises, et nous installons les réseaux informatique.
Invité

Re: Secret de famille

Message par Invité »

vivement la suite :d
Biquette
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Re: Secret de famille

Message par Biquette »

Tu m'étonnes :o
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
DeLsEp9

Re: Secret de famille

Message par DeLsEp9 »

Propos de Sabine ma femme
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55)



« Vous êtes songeurs Jacques. Des soucis ?»

Non je pense au chantier en Allemagne à Kornwestheim, c’est un beau chantier, mais il ne faudra pas trainer.

« Vous allez à Kornwestheim, là où il y a le siège de Salamander ? »

Oui c’est eux le client, ils réaménagent une partie de leurs bâtiments, en pépinières d’entreprises, et nous installons les réseaux informatique.

-/-


Nous entrons dans la banque, mon responsable de compte, nous apercevant, viens au devant de nous.

« Mes plus fidèles clients ensemble, le monde est petit. »

« Oui monsieur Pierre, le monde est petit, si petit, que j’ai embauché Magalie comme apprentis et que Sabine l’épouse de Jacques vient faire un essai de quinze jours, comme vendeuse, pour l’instant.

Monsieur Pierre me regarde surpris.


Occupez vous de Martine, j’ai le temps.

Martine l’accompagne dans son bureau. Cela ne dure pas longtemps. Elle ressort. « Je retourne au magasin, bonne semaine, ne m’abimez pas Magalie. Ramenez là entière des vacances, je l’attends avec impatience au retour de vos congés. »

Bonne journée, demain Sabine, vous ramène le contrat de Magalie signé par ses parents. Enfin si elle arrive à voir son père.

Je règle avec mon conseiller, le retrait des DM, il en profite pour faire le point de la situation des comptes de la société. Tout se présente bien.

« Votre belle sœur, va travailler avec Martine, ainsi que votre épouse. La société de Martine, est une des plus anciennes de nos clientes en entreprise. Elle pense à prendre sa retraite d’ici cinq ans maximum. Avec vos connaissances en gestion, et en entreprise, ce pourrait être une opportunité pour votre épouse. »


Pour l’instant, Sabine ne vient que dépanner Martine. Chaque chose en son temps.

N’ayant plus rien à nous dire, nous nous séparons rapidement.

Je retourne au bureau, récupère les différents plans des installations de réseaux à faire, vais dans la salle de réunion pour les étudier tranquillement, prendre des notes.

Yolande passe me voir dans la salle de réunion, me ramène un café. « tout se présente bien, pas de soucis. J’ai entendu votre conversation avec Patrick, et je suis un peu inquiète, pour mon emploi. »


Yolande ne vous inquiétez pas. Deux choses, j’ai fait le point des comptes de la société avec notre banquier, tout va bien. Je vais en Allemagne pour boucler le chantier, je ne me fais aucun soucis, il sera fini dans les délais. Le seul risque serait si nous abandonnions le chantier, si nous ne le livrions pas dans les délais.

Le client nous a toujours payé rubis sur ongle. Comme j’arrive avec tout le matériel, que le directeur de chantier qui me connait depuis si longtemps, sera là. Il veut me voir pour une autre tranche de bâtiments, je lui demande de faire un virement des 40% comme convenue dans l’appel d’offre.

Il me remettra comme à chaque fois le solde des 90 % à la réception. Les 10% seront virés dans les quinze jours. Donc je ne me fais pas de soucis, il n’y a pas de raison que vous vous en fassiez.

Comme à chaque fois, je vous faxerais l’ordre de virement qu’il me remettra.


« Merci Jacques je sais bien que vous faites ce qu’il faut, mais les propos de Patrick m’ont inquiétés. Vous avez encore besoin de moi ? Comme il est 18hoo je compte rentrer.»

C’est bon, vous pouvez y aller, juste une chose encore, pour que vous ne soyez pas surprise, de voir la signature de Sabine sur le contrat de travail.
Le contrat de travail sera au nom de ma belle sœur, de Magalie.
Sabine signera en tant que majeur responsable.


Yolande souri, «Jacques je vous connais suffisamment pour savoir que tout sera fait dans les règles, vous pensez y arriver avec elle, elle est jeune, et ne connais pas le boulot. »

Elle n’aura pas d’autres choix que de bosser, et je sais que cela se passera bien.

Yolande souri en partant. Je fini d’étudier les plans, range tout dans ma mallette. Je regarde ma montre 18h30, je pars avec ma voiture, direction le magasin de Martine. J’arrive à 18 h50 au magasin, Martine et Magalie discute toutes les deux. Je voie Martine tendre une enveloppe à Magalie qui l’embrasse.

Martine me voie, et rigole. « Jacques il faut toujours que vous arriviez quand il ne faut pas. Je viens de donner à Magalie …»



Ce sont vos affaires cela ne me regarde pas. La seule chose qui m’intéresse, c’est votre opinion de ces deux journées.

« Magalie, je peux lui dire ? »

Bien sur, je n’ai aucun secret pour Jacques.

« Je viens de lui donner une enveloppe avec quatre cents francs, pour la remercier de l’excellent travail qu’elle a fourni pendant ces deux jours. Et dans les sacs, elle a deux petites robes que je lui offre pour ses vacances. Je pense que cela veut dire que je suis contente de son travail et de son implication dans l’entreprise. »


Je le pense effectivement. Donc rien à redire, pas de soucis, à aucun niveau.

« Non franchement aucun, sauf que j’aurais aimé qu’elle reste les quinze jours, mais je pense vue ce que Magalie m’a raconté sur Sabine, qu’elles sont du même moule toutes les deux. Bon je ferme le magasin. »

Magalie file un coup de main à Martine pour rentrer les porteurs.

Martine me regarde en souriant, pendant que Magalie rentre les deux porteurs. Magalie ressort avec deux petits sacs en papier à la main. Martine ferme les volets roulants, nous fait la bise.
« Magalie tu dis à Sabine que 9heures demain matin cela suffit. »


D’accord Martine je le lui dirais. Bonne soirée.

Nous partons chacun de notre côté. Magalie se colle à moi, passe son bras sous le mien. Je la voie me regarder en coin, elle a l’air radieuse.

On fait quoi maintenant ?

On va au dépôt, on dépose ma voiture, on rentre avec le fourgon et la remorque. Et dodo. On se lève à 5h30, comme il y a des travaux sur l’autoroute en Allemagne, on part plus tôt, 6h30 au plus tard. J’ai envie d’avoir une arpette opérationnelle, bonne à tout et mauvaise à rien.

On se regarde et on éclate de rire. Nous montons dans la voiture, Magalie pose la main sur ma cuisse, sa tête se pose sur mon épaule. Nous arrivons au dépôt, je gare la voiture, range les clefs dans le coffre prévu à cet effet, sort le fourgon, referme le portail. Je prends la route, Magalie me regarde en souriant.

Il n’avance pas ton engin.

Ce n’est pas la décapotable, mais pour ce à quoi il est destiné, il est impeccable.

Nous arrivons à la maison, je gare le fourgon dans la cour, la voiture de Sabine n’est pas là.

Nous rentrons dans la maison, en rigolant, Suzanne est là, nous accueille tout sourire. Magalie me jette un regard en coin, elle est déçut.


Sabine est partie faire des courses, elle ne va pas tarder.

Elle t’as dit ou tu dors ?

Non pourquoi ?

Le clic-clac est occupé par Magalie, je te prépare le lit dans la future chambre de Magalie. Comme nous nous levons tôt demain matin, tu seras au calme. Puis je prépare mes affaires pour demain, et sous la douche.

Justement près du clic-clac il y a le sac de Magalie.

Regarde si tout ce dont tu as besoin est là, et prépare tes habits, affaires de toilettes, mais un seul sac, on ne part pas en villégiatures. Puis tu files sous la douche, on mange dés que Sabine rentre, et au lit, on se lève tôt.

Suzanne regarde surprise de voir Magalie qui ne dit mots, elle prends son sac, et qui part dans sa chambre. Je la suis

Dommage que maman soit déjà là, bon je t’aide à faire le lit de maman, et je fonce à la douche, pendant que tu prépares tes affaires.

Je voie Suzanne entrer dans la chambre, elle sourit.

Magalie je n’en reviens pas, tu fais le lit de ta maman, et sans que je te le demande. Il y a vraiment du changement.
Je te félicite de tout cœur d’avoir si bien réussi ton test dans ce magnifique magasin, dont ta sœur me parle si souvent depuis qu’elle sait que tu dois y aller.


Au faites Suzanne j’ai le contrat d’embauche de Magalie pour l’Allemagne, il faudrait que tu le signes avec Magalie. J’aime que les choses soient faites dans les règles.

On regarde cela quand Sabine arrive, elle doit avoir fait signer le formulaire au père des filles.

Tiens, elle ne parle plus de son ex en termes orduriers comme la dernière fois. Il y a du progrès, j’ai vraiment l’impression que le grand déballage de la Hoube l’a changé. Magalie qui ne me lâche pas des yeux. Heureusement on part demain, avec Suzanne à la maison, cela serait vite devenue ingérable, pour ne pas dire intenable.

Magalie, file sous la douche, je prépare mes affaires, quand j’ai fini, je prend ma douche. Tu as fini, c’est bien, tu n’as pas fini, je te sors de la douche. Il faut que tu apprennes à faire vite, en Allemagne, tu auras dix minutes. Alors entraine toi.


DeLsEp9

Re: Secret de famille

Message par DeLsEp9 »

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On regarde cela quand Sabine arrive, elle doit avoir fait signer le formulaire au père des filles.

Tiens, elle ne parle plus de son ex en termes orduriers comme la dernière fois. Il y a du progrès, j’ai vraiment l’impression que le grand déballage de la Hoube l’a changé. Magalie qui ne me lâche pas des yeux. Heureusement on part demain, avec Suzanne à la maison, cela serait vite devenue ingérable, pour ne pas dire intenable.

Magalie, file sous la douche, je prépare mes affaires, quand j’ai fini, je prend ma douche. Tu as fini, c’est bien, tu n’as pas fini, je te sors de la douche. Il faut que tu apprennes à faire vite, en Allemagne, tu auras dix minutes. Alors entraine toi.

-/-


Magalie qui est derrière Suzanne, rigole, et je lis sur ses lèvres « chiche ». J’éclate de rire. Suzanne me regarde ne comprenant rien.

Magalie sort de la chambre, je vais pour sortir.


Jacques tu crois que c’est une bonne idée de l’emmener en Allemagne, elle a quand même réussi brillamment son test. Sa patronne aurait bien voulu l’embaucher directement comme vendeuse.

Je suis d’accord avec toi, Suzanne, mais comprends moi bien. Je veux qu’elle voie ce qu’est la vie d’une personne qui n’a pas de diplôme, qui ne sait rien faire de ses dix doigts.
Une expérience comme celle de cette semaine, va lui rester ancrée dans la tête pour toujours. Elle sera d’autant plus motivé, pour son apprentissage, pour son CAP.


Si tu savais à quel apprentissage je pense Suzanne, tu rougirais.
Je compte bien bossé comme un fou, pour pouvoir parfaire son apprentissage de maitresse, d’amante.
J’ai envie, qu’elle explose, qu’elle réalise la femme qu’elle pourrait être, qu’elle est, qu’elle veut être.
Je sais qu’elle aussi est dans cette attente, et pourtant à chaque fois elle me surprend avec ses initiatives, plus osées les unes que les autres. Et je suis certain que ces deux jours vont rester ancrés en elle.


Tu as certainement raison. Mais tu sais elle est si jeune, la vie se chargera de le lui apprendre.

Justement elle est jeune, c’est maintenant qu’elle doit être formée, qu’elle doit apprendre, pas dans cinq ou dix ans.

Pour sur que c’est maintenant, et pas dans cinq ou dix ans. Elle ne tiendra jamais. Et moi encore moins. Les deux jours que je veux arriver à libérer c’est pas pour se regarder dans le blanc des yeux. Mais belle est bien pour que l’on en profite tous les deux. Il arrivera ce qu’il arrivera, on verra bien.

Tu as l’air bien songeur, effectivement, la vie va si vite de nos jours que sans diplôme, sans formation tu ne fais plus rien. D’accord je ne dis plus rien.

Oui je pense au chantier, c’est un gros morceau, faut pas que l’on se loupe, avec Magalie. Je vais préparer mon sac, et je prends ma douche.

C’est sur faut pas que l’on se loupe, j’ai envie de ces deux jours avec Magalie. Je n’ai même pas besoin de le lui demander, elle sera d’accord. Elle bossera comme une folle, quand je vais lui expliquer.

Je mets la table, en attendant que Sabine rentre. Je ne sais pas ce qu’elle a prévue à manger pour ce soir.

Je quitte la futur chambre de Suzanne, prépare mon sac. Je me déshabille, et sort en boxer de ma chambre, direction la salle de bain. Suzanne me voie passer, elle rigole. Je fais demi-tour.

Suzanne tu m’as vue encore moins habillé, alors ce n’est pas en boxer que cela va te choquer.

Nous rigolons tous les deux. La porte de la salle de bain s’ouvre, Magalie sort de la salle de bain en peignoir. Elle me voie à la porte de la cuisine, entend la voix de Suzanne dans la cuisine. Elle voie que je la regarde, elle ouvre son peignoir en souriant, le referme lentement sensuellement, cachant tous les beaux atours qu’elle vient de m’exposer. Elle retourne dans la salle de bain, je reste sur le pas de la porte de la cuisine, je regarde Suzanne s’affairer. Magalie arrive discrètement, en passant prêt de moi, sa main s’oublie sur mes fesses.

Jacques, aller, va sous la douche, je n’ai pas mis plus de dix minutes.

La porte de la cave s’ouvre Sabine entre avec les courses, elle nous voie, éclate de rire. Nous ne l’avons pas entendu rentrer, tant nous étions pris par notre délire tous les trois.

Au lieu de faire le coq devant ces deux chattes en chaleur, va chercher le reste dans la voiture.

Et bée comment tu parles à ta mère !!!! Tu ne vas pas l’envoyer en bas dans cette tenue, son zozio va attraper froid.

Tant que c’est les yeux, pas de soucis grande sœur. De toute façon tu le sais.

Tout le monde éclate de rire.

Ma chère maman il y a deux jours, toi et Charlotte, vous n’aviez pas votre langue dans la poche non plus, en parlant de mon homme. Quand Charlotte à dit « T’as raison Suzanne, il est craquant ton gendre. Si j’avais quelques années de moins, j’en aurais bien fait mon quatre heures. Pourquoi pas actuellement d’ailleurs !!! » tu rigolais bien de bon cœur.

Alors pas de raison que cela soit à sens unique. Il ne manquait plus que toi maman, pour le protéger, et moi je doits tout faire si je comprends.
Quand à toi Magalie, à part te balader avec ta marchandise à l’air, enfin pas maintenant parce que maman est là je pense, tu pourrais aussi nous aider.


Si je comprends on en prend tous pour notre grade, comme à chaque fois que je pars en déplacement.

On se regarde tous, et on éclate de rire.

Bon je vais aller balader mon zozio à la cave, pour monter le reste des courses, le poulailler quand je remonte la table est mise. Pendant que les trois femmes de ma vie me font, me prépare un bon repas, je prendrais ma douche. Magalie ton sac, il est prêt avant que tu te couches.

Et avant de l’oublier, tu as un message à passer à ta sœur de la part de Martine.


oui c’est vrai Sabine demain matin vers 9 heures c’est suffisant.
En parlant de cela, tu as fait signer papa pour mon contrat et l’autorisation pour l’Allemagne ?

S’il continue comme cela Jacques, on va croire que l’on fait partie de son harem. A vos ordres mon général.


Vraiment n’importe quoi mon gendre, et vous les gamines, mes filles, vous le laisser dire, le laisser faire. Dès qu’un homme vous dit quelque chose, vous êtes de vrais soumises, vous obéissez, sans réfléchir. Les femmes d’aujourd’hui, n’ont plus notre envergure.

Oui papa a signé tous les papiers, il est très fier de toi. Comme nous tous d’ailleurs. Tiens pendant que ton beauf préféré va prendre sa douche tu montres à maman. Comme cela il restera présentable mon homme.

Tu me faits une réputation devant ta mère. Merci.

Je les entends rire pendant que je descends au garage chercher les courses dans la voiture de Sabine.

Je remonte avec les sacs, j’ai l’impression qu’elle a dévaliser une grande surface. Magalie se dirige vers sa chambre, certainement pour se changer, et montrer le cadeau que nous lui avons offert, pour la réussite de son test d’apprentissage. Je dépose les sacs dans la cuisine.


Bon je vais prendre ma douche, je vous laisse ranger, trois gamines, cela suffit, sinon on va se marcher dessus.

Je sors de la cuisine, Magalie arrive face à moi dans l’ensemble grésille, et des talons aiguilles. Elle marche comme je l’aime, comme elle sait si bien le faire maintenant.
Elle souri en me voyant, accentue son déhanché, bon sang qu’elle est belle, qu’elle est femme dans cette ensemble, sa poitrine en avant, les épaules ressorti, pour la mettre encore plus en évidence, et avec cette démarche. Elle passe à côté de moi, avec un petit sourire, sans me regarder.


Bon sang, elle m’allume comme pas possible, et là elle fait comme si je n’existait pas, tout comme les hommes qui l’ont croisé, lorsque le premier jour, elle a était chez Martine. Limite un petit sourire narquois.

Elle est bien dans sa tête, elle s’assume, elle joue avec moi. On verra cela en Allemagne, on verra qui va jouer avec l’autre.


Je rentre dans la salle de bain, elle est rangée. Magalie a tout rangé, comme si personne ne devait passer derrière elle pour prendre sa douche. Elle m’étonne de plus en plus. Elle ne veut vraiment pas que j’ai quelque chose à lui dire à lui reprocher.

Je prends ma douche, toujours aussi chaude, je revoie Magalie, sortant de la salle de bain ouvrant son peignoir pour me provoquer, et là juste avant avec son ensemble grésille, sa poitrine si visible, presque provocante, non elle me provoquait. Inconsciemment je me caresse en même temps, je me retrouve avec une érection incroyable.


Non je ne me masturberais pas, en pensant à elle. Elle veut jouer, on va être deux. Et de toute façon je dois me dépêcher. e

Je fini de prendre ma douche, me sèche et pour une fois je range tout. Pas de peignoir. Mon peignoir n’est pas là. Je m’enroule un serviette autour des reins, sorts j’arrive dans la cuisine.
Magalie en train de préparer une salade, me regarde surprise, elle me dévore des yeux. Sabine et Suzanne s’affaire aux fourneaux.


Qui m’a planqué mon peignoir de bain. Pas possible cette maison, trois femmes, à la maison, et les affaires disparaissent.

Magalie, me regarde en riant. J’éclate de rire.

Ton peignoir de bain est au linge sale, tu n’en as pas besoin.

A peine à la maison, et déjà elle veut tout diriger.

Sabine se retourne en rigolant, Suzanne se retient au plan de travail, tant elle rigole.

Invité

Re: Secret de famille

Message par Invité »

2 suite de rang et je suis pas rassasier

encore encore encore
DeLsEp9

Re: Secret de famille

Message par DeLsEp9 »

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Qui m’a planqué mon peignoir de bain. Pas possible cette maison, trois femmes à la maison, et les affaires disparaissent.

Magalie, me regarde en riant. J’éclate de rire.

Ton peignoir de bain est au linge sale, tu n’en as pas besoin.

A peine à la maison, et déjà elle veut tout diriger.

Sabine se retourne en rigolant, Suzanne se retient au plan de travail, tant elle rigole.

-/-


Pendant que tu baladais ton zozio à la cave, j’ai mis toute les robes de chambre et les peignoirs de bain, au linge sale. Le seul qui est passé à travers c’est celui du boisseau de puce.

Et pourquoi, pour cacher son corps virginal ?

Suzanne me regarde comme si elle était outrée de mes propos, Magalie est plié en deux à force de rire.

Non c’est elle qui a rassemblé tout, pendant que ton joli zozio se promenait, et prenait l’air. Son peignoir a était lavé hier, donc pas besoin.

Suzanne réalise que nous plaisantons. Et commence à rire aussi.

Suzanne il va falloir t’y faire à ne pas tout prendre au premier degré. Bien que….

Magalie me regarde, en rigolant, elle pleure de rire, se lève et court aux toilettes.

Jacques ce que Sabine et toi, avez offert à Magalie est magnifique. Un peut osé, mais magnifique. Vous la gâtez trop.

Maman là où on va en vacances, il faut être bien habillé. Et il ne sera pas dit qu’une des femmes de notre famille ne sera pas à la hauteur. Quand je pense à Charlotte, et à Lucie, et bien tout comme elles, il n’y a pas de raison de se priver, surtout quand on le peut.

Bon je vais préparer mes affaires. Le petit dort, une vrai marmotte, Merci Suzanne au faite de t’en occuper.

Mon chéri, la salle de bain, elle est….

Rangé mon amour, comme si je n’y étais pas passé.

Sabine me regarde avec des yeux ronds.

Cela a servi que Magalie et moi râlions avec toi à midi.

Magalie revient à ce moment, elle rigole toujours.

Sabine tu ne vas pas le croire. ….

Il a rangé la salle de bain, je sais.

Bon les délires de filles s’est fini, je vais enfin préparer mon sac pour demain. Magalie, le tien ….

Il est déjà prêt. Juste les affaires de toilettes demain matin.

Je quitte la cuisine, je prépare mon sac, enfile un jogging, revient dans la cuisine. La table est prête. Sabine et Suzanne, me regarde en souriant.

C’est prêt dans dix minutes, une feuillantine de poireaux aux saumon, avec de la mâche. On prend un apéro ?

Moi comme toujours, et vous mes chéries ?

Moi aussi comme toujours, je pense que maman et Magalie aussi, mais pas trop pour Magalie, enfin comme maman a dit, tu es le chef de famille, alors assume.

Je vais dans le bahut, chercher les flutes, ainsi qu’un verre à ballon pour mon whisky préféré, un Honshu, plus précisément un « Hanyu » 22 ans d’âge. Je me sers, reviens avec les flutes et mon verre dans la cuisine, pose les verres sur la table.

Sabine revient du cellier où elle a chercher une bouteille de champagne. Elle me la tend, avec un petit sourire.

Le regard de Suzanne et Magalie pétille tout comme le champagne que Sabine rapporte. J’ouvre la bouteille, trois paires d’yeux ne me lâchent pas du regard, pendant que je rempli les coupes. Je tends le premier à Suzanne, qui papillote des yeux.


Je comprends d’où Magalie a cette habitude de papilloter des yeux chaque fois que quelque chose lu plait. La pomme n’est pas tombé loin de l’arbre.

Je tends en même temps leur verres à Sabine et Magalie. Avant que je ne puisses dire quoi que ce soit.

A mon gendre qui s’occupe si bien de mes filles comme peut d’hommes le ferait, qui fait tout pour elles, pour qu’elles soient bien, qu’elles réussissent, tant dans leurs vies professionnelles, que dans leurs vies de femmes.

Purée le double sens, les sous entendus, je me disais bien que depuis La Hoube, la Suzanne elle avait compris certaines choses, pour ne pas dire tout. Mais alors là, elle me balance tout en pleine figure, et devant ses filles, l’air de rien.

Magalie me regarde, elle semble songeuse. Les mots de Suzanne doivent tourner dans sa tête.

A ma petite sœur, qui nous prouve enfin qu’elle sait ce qu’elle veut, et quelle fera tout pour arriver à ses fins. Et a mon homme qui sait ce qu’il faut faire pour nous mettre en confiance, nous permettre d’avancer.

A trois femmes adorables.

A vous trois, sans qui je ne ferais pas ce que j’aime aujourd’hui, sans qui je ne serais pas ce que je suis, une jeune femme épanouie.

Purée et ça continue, Sabine et Suzanne qui regarde Magalie, jeune femme épanouie à du faire tilt. Les sous entendus fusent de tous les côtés, et moi je compte les points. A un moment ça va faire tilt, Sabine va comprendre. Et ça va être l’implosion.

Je les embrassent toutes les trois, nous trinquons.

Magalie doucement avec l’alcool, la puce tu n’as pas l’habitude.

La sonnerie du four retenti, sabine vérifie que la feuillantine est cuite. Nous passons à table. Nous dinons tranquillement. Le repas fini, je voie Magalie qui me fait discrètement le geste comme si elle signée. J’interpelle Sabine et Suzanne.

Il faudrait penser à régler, et à signer les différents contrats de Magalie, mes chères et tendres dames. Sinon pas ce chantier, pas d’apprentissage.

Sabine et Suzanne rigole. Magalie ne ri pas, elle a même l’air de bouder.

Toujours pareil, on me prend pour la dernière roue de la remorque, on me fait mariner, alors que je pourrais travailler.

Magalie, tu te calmes, rappelle toi ce que Martine t’a dit. Alors s’il te plait tu te calmes. De toute façon, tu dois lire tes contrats. Tout ce que tu ne comprends pas, ce qui te semble bizarre tu demandes.

Jacques tu as lut les contrats, alors je signe sans discuter.

Sabine et Suzanne souri, nous installons à la table du salon. Je sors les trois exemplaires du contrat pour l’Allemagne. Sabine le contrat d’apprentissage.

On commence par l’apprentissage.

Sabine Suzanne et Magalie le signe, y joigne la délégation de signature du père de Magalie. Le contrat pour l’Allemagne est signé ensuite. Je tends un des exemplaires, que je viens de signer en tant que représentant de l’entreprise, à Sabine.

Sabine Tu peux le remettre demain matin avant d’aller travailler à Yolande, pour qu’elle fasse toutes les démarches, et que tout soit en règle s’il te plait.

Elle me dit que oui, je vais dans le bureau chercher un classeur, le tend à Magalie.

Tu classes tous tes papiers. Voilà ton premier classeur, tu y met tes doubles de contrat de travail. Celui d’apprentissage quand Sabine le ramènera. Il faut que tu prennes tout de suite les bonnes habitudes. Tu vas le ranger dans ton armoire.

Tout étant réglé, tout le monde va se coucher, demain une rude journée attend tout le monde. Sabine me rejoint après avoir pris sa douche, elle se love contre moi, nous nous endormons, comme des bébés épuisés que nous sommes de cette journée.
Je sens Sabine bouger contre moi, je regarde ma montre 5h20.


Tu dormais si bien, que je n’ai pas voulu te réveiller. J’avais envie de te sentir encore contre moi.

Le soleil perce à travers les persiennes. Je vais pour sortir du lit. Sabine me regarde. Elle me fait ses yeux de biche énamourés. Elle sait que quand elle me regarde comme cela je craque, je ne sais lui résister. Je m’allonge, à côté d’elle, la prend dans mes bras, l’embrasse tendrement, elle me sourit.

Mon chéri, j’en meurt d’envie, mais là ce n’est pas sérieux, tu dois partir, alors le petit coup du lapin chaud le matin, tu sais autant que moi, que ce n’est pas notre style.

Elle me dit cela, en me caressant, elle souri de voir les envies qu’elle est en train de faire apparaître chez moi. Elle embrasse mon sexe, me regarde.

Sauve toi mon chéri, avant que je ne te viole, que je te dévore. Tu ne perds rien pour attendre à ton retour d’Allemagne. Maman et Magalie garderont le petit, nous on se fait un weekend au cheval blanc à Baldersheim. Tu auras intérêt à assurer mon amour. Reviens en forme d’Allemagne.

Je me lève, Sabine se retourne, pour se rendormir. Je sorts doucement de la chambre, en ayant réglé le réveil sur 8 H. je vais dans la cuisine, pour prépare le café. J’entends du bruit, me retourne, Magalie au radar, entre dans le cuisine. Elle est a croquer, avec son tee-shirt, au ras des fesses. Elle m‘embrasse tendrement, sort le pain, la confiture.

Pendant que le café passe, je prends vite fait une douche. Tu mets dans la glacière ce que Sabine à mis de côté pour nous et dès que le café est passé, tu le mets dans le thermos, et tu prépare une autre cafetière s’il te plait.

En passant près d’elle je ne peut m’empêcher de l’embrasser, et de caresser ses petites fesses qui dépassent de son tee-shirt. J’expédie ma douche. M’habille, reviens dans la cuisine. Magalie est en train de se battre avec la machine à café. Je m’approche, passe mes mains de chaque côté de la petite puce, et ouvre le capot pour mettre le café.
Magalie se retourne dans mes bras, me souri, m’embrasse furtivement.


Je prends ma douche, j’ai remplis la glacière. Je me dépêche.

Pendant que le café passe, je me sers un café, le bois. Je vérifie la glacière, y rajoute des fruits. Je prépare des tartines, Magalie arrive déjà. Elle s’assied, je lui sert un café. Qu’elle bois immédiatement.

Quand je pense qu’avant tu ne mangé rien le matin et que maintenant tu dévores.

Il le faut bien, mon corps en a besoin depuis que je me dépense physiquement. Et que ne ferais-je pas pour faire plaisir à mon beau-frère préféré

Elle me dit cela en souriant. Ses yeux sont en train de me dévorer.

Bon pendant que tu ranges, je charge la glacière et tout ce qui reste à emmener et on y va.

Le temps de tout charger, la glacière, 2 packs d’eau, les thermos de café, les sacs, Magalie a fini et me rejoint au fourgon.

Installe toi, j’arrive tout de suite.

Je remonte, entre discrètement dans notre chambre, embrasse doucement Sabine, qui grogne. Je passe dans le chambre du petit, il dort comme un bien heureux.

Je redescends, ouvre le portail avec ma télécommande, la passe à Magalie, pour qu’elle referme. En route pour l’Allemagne.

Le trajet de 250 kms, se passe mieux que prévue, nous arrivons, aux alentours de 9h00. Je me gare, nous descendons, je voie Peter le responsable de chantier de chez Salamander qui passe, avec deux autres personnes. Il me voie, me fait signe en me montrant sa montre, comme quoi il revient dans dix minutes.



Le responsable de chantier revient dans dix minutes. Je règle différente choses avec lui, tu restes dans le fourgon. Quand je reviens, je te dirais ce que nous allons faire. Tant que je ne suis pas de retour, tu restes dans le fourgon.

Magalie me fait signe que oui de la tête. On se sert un café, que l’on boit tranquillement. Elle remonte dans le fourgon avec son mug, je l’embrasse, et ferme la porte, en ayant pris soins de prendre ma mallette. Peter arrive, je me dirige vers lui, nous nous saluons, et allons dans son bureau.
Cela dure une bonne heure. Il est tranquillisé, de savoir, que j’interviens, il fait les transferts de fonds, fax à Yolande la copie de l’ordre de transfert. Il est décidé qu’il me remettra le dossier de la nouvelle tranche, à la réception de celle-ci.

Je rejoints Magalie, qui souri de me voir revenir. Je conduis le fourgon au pied de l’immeuble, fait le tour du chantier avec Magalie, qui attire bien des regards. Nous revenons au fourgon.


Ma puce, tu as vue le travail, on est mercredi matin. Le chantier doit être réceptionné jeudi matin à 9heure. Je pense que si nous bossons comme des malades, nous pourrions avoir fini mercredi voir mardi.

Donc dés que l’on a fini, on va à l’hôtel, et temps libre pour nous deux, rien que nous deux.


Je voie Magalie qui me regarde, ses yeux me transpercent.

Réellement rien que nous deux, et on ne rentre pas quand c’est fini.

On rentre après la réception du chantier par Peter.

Promis mon amour je bosse comme une folle, on dort sur le chantier comme tu as dit pour ne pas perdre de temps. Allez on commence.

Effectivement elle a, nous avons bossé comme des fous. Des journées de quinze dix huit heures, la puce a dut dormir plus que moi, car la voyant ne plus tenir sur ses jambes, cela aurait était dangereux. On a tout fini, le chantier est bouclé le lundi en fin d’après-midi.
DeLsEp9

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On rentre après la réception du chantier par Peter.

Promis mon amour je bosse comme une folle, on dort sur le chantier comme tu as dit pour ne pas perdre de temps. Allez on commence.

Effectivement elle a, nous avons bossé comme des fous. Des journées de quinze dix huit heures, la puce a dut dormir plus que moi, car la voyant ne plus tenir sur ses jambes, cela aurait était dangereux. On a tout fini, le chantier est bouclé le lundi en fin d’après-midi.

-/-


Nous arrivons à l’hôtel, il est 17 heures. Nous sommes épuisés. Détruits autant physiquement que moralement. Nous prenons une douche, j’ai envie de ma puce, ma tête à envie, mais je suis tellement épuisé, démoli physiquement, que ce n’est pas la peine d’y penser, le bonhomme ne suivra pas. Elle non plus d’ailleurs. Elle tient à peine sur les jambes.

Magalie, est dans un état proche du somnambulisme. Elle me regarde, enfin, si on peut dire cela, tant son regard est vide. Elle arrive à peine à se laver. Nous sortons de la douche, nous essuyons, nous précipitons dans le lit, elle se love contre moi, je la prends dans mes bras, l’embrasse dans la nuque, elle ne réagit même pas. Nous sombrons immédiatement collé l’un à l’autre.

Je me réveille, doucement. Je m’étire comme un chat au réveil, j’ai dormis comme une masse. Discrètement, je me retourne, Magalie dort à plat ventre, les fesses à l’air, c’est vrai qu’il fait bon dans la chambre.

Je l’admire, elle est si belle et là quand elle dort, je prends le temps de la contempler. Ses cheveux blonds, nappent ses épaules et sa figure qui est tournée vers moi. Son dos se soulève doucement au rythme de sa respiration. Ses reins, sa chute de reins, me donne envie d’y poser mes lèvres, tout comme ses petites fesses que j’adorent tant embrasser. En ce moment précis, j’ai envie de les mordre, tant elles me font fantasmer.

Je me lève, regarde ma montre il est 8h30. Mince 8h30 ou 20 h30, je regarde dehors, il fait jour, que ce soit le soir ou le matin, c’est normal on est en juillet.

J’appelle la réception, heureusement ils ont l’habitude. Je viens chaque fois dormir dans cet hôtel quand j’ai fini le chantier. Histoire d’être en forme, pour la réception du chantier par le client.
Même si Peter est cool, avec moi, maintenant qu’il sait comment je travaille, j’aime être en forme, on ne sait jamais qui de la direction, assiste à la réception du chantier.

La réception de l’hôtel me confirme en rigolant qu’il est 8h30 am. Je commande deux petits déjeuner très copieux. Nous n’avons pas mangé depuis 16 heures la veille, et mon estomac commence à crier famine. On toque discrètement à la porte, j’ai enroulé un drap de bain autour de la taille. Deux serveuses entrent avec des plateaux monstrueux.

Ah les petits déjeuners à l’Allemande, charcuterie, fromage, œufs dur, café, confiture, deux ou trois sortes de pain. Un vrai repas. Elles déposent les plateaux sur la table. En sortant une des serveuses me souri en regardant Magalie qui dort les fesses à l’air.

Je me sert un café, je suis en train de le boire, quand Magalie tout en dormant se retourne, m’expose, son ventre, sa poitrine, sa petite chatte. Ses jambes sont écartées. Je ne peux pas résister, ne veux pas résister à ce tableau, cet adorable tableau vivant qui s’expose devant mes yeux.

Je pose ma tasse. Grimpe doucement sur le lit, me glisse entre les jambes de la petite puce qui dort. Je m’approche doucement de sa petite chatte, de sa vulve qui a l’air de me dire, viens me manger, j’ai envie de sentir tes lèvres ta langue sur moi, en moi.

Je m’allonge, j’embrasse ses lèvres, délicatement, doucement ma langue s’immisce entre elles, à la recherche de son clito qui dort lui aussi. Sentant ma langue qui vient le caresser, le lécher en douceur, il commence à frétiller, à s’affirmer.
Magalie commence à mouiller, elle gémit, j’arrête. je recommence ce manège deux trois fois, chaque fois qu’elle risque de se réveiller j’arrête.

Je redresse la tête, la regarde. Elle est calme, apaisée. Sa respiration est profonde, juste ses tétons, ces coquins pointent, comme s’ils voulaient que je vienne les téter, les dévorer. Je recommence à lécher son clito, ce coquin, est énorme, je le prend entre mes lèvres, ma langue joue avec lui.
Deux mains se posent doucement sur ma tête, me caressent les cheveux.


Bonjour mon amour. J’adore, c’est la première fois que tu me réveilles d’une manière aussi coquine, aussi troublante, mais dieu que c’est bon de se faire réveiller comme cela mon chéri. Si tu étais rasé, ce serait encore plus agréable.

Fait moi jouir s’il te plait, tu joues avec moi, avec mes envies, depuis assez longtemps. Je croyais rêver, un rêve très agréable, il est vrai. Mais c’est toi mon amour qui joue avec moi.
Maintenant dévore moi, dévore ma chatte, mais ne me laisse pas comme cela.


Elle plaque ma tête contre sa vulve, mes doigts écartent doucement ses grandes lèvres, ma langue s’approche de son bouton et commence doucement à le lécher, à jouer avec. Elle se cabre quand ma langue passe doucement sur ses petites lèvres. Elle est complètement cabrée quand ma bouche aspire son bouton d’amour, qui frétille et grossi entre mes lèvres.

Mes doigts jouent avec ses petites lèvres, en même temps ma bouche se décolle de son bouton, et j’embrasse l’intérieur de ses cuisses, doucement, tendrement.

Je la sens frissonner, l’entends gémir. Ses paupières sont closes. Je continue, tout en mordillant de temps en temps l’intérieur de ces cuisses.

Tout en mordillant, en embrassant l’intérieur de ses cuisses, là où la peau est si sensible, si douce, je reviens à ses grandes lèvres, ses mains les écartent, me présentent sa vulve, m’offre à mon regard émerveillé, ses petites lèvres gorgées de sang qui palpitent attendant de se faire dévorer, son bouton d’amour, son clito qui a l’air si perdu, si seul en ce moment, voulant avoir la compagnie de mes lèvres, de ma langue. Je la voie bouger, elle glisse un coussin sous son dos, pour mieux me voir dévorer son intimité.

Mes yeux, quitte cette vision sublime de son intimité, je croise son regard. Ses yeux sont fous, fou de bonheur, de joie, du plaisir que ma bouche, mes lèvres, ma langue lui donne en ce moment, vont lui donner.

Son index se glisse doucement sous son clito, s’amuse à le faire tressauter, elle me regarde en souriant, l’air de me dire, qu’est ce que tu attends, regarde comme il en a envie, comme j’en ai envie.
Volontairement je ne réagis pas. Elle prend ma tête plaque ma bouche contre sa vulve.


Bouffe le, mange le, dévore le, il n’attend que ça. T’es un chameau mon amour. Tu aimes me faire languir, me laisser dans l’attente de tes caresses, laisser mon plaisir redescendre pour mieux, m’exciter, me rendre encore plus folle de désir ensuite.

Elle frotte mes lèvres contre sa vulve, écarte ma tête, se redresse, me retourne, se jette sur mon sexe qui est dans un état indescriptible.

Elle est tellement excitée, qu’elle s’étouffe avec, l’ayant enfoncé jusqu’à la glotte, que je sens contre mon gland.

Elle se redresse se tenant la gorge, cherchant sa respiration, prête à vomir. Elle se calme, rit en me regardant.


Tu me rends folle, regarde je ne me contrôle plus, je fais n’importe quoi mon amour.

J’ai envie d’essayer quelque chose avec ma petite puce. Il faudrait que l’on essaie aussi l’irrumation, mais je ne sais pas encore si elle est prête à cela, elle est si jeune, mais elle en veut tant, toujours plus, une vrai gourmande, à croire qu’elle est insatiable.
Je verrais bien, déjà que par ses initiatives, elle se donne totalement, essaie, me surprend chaque fois, en osant plus, se donnant plus, se donnant totalement à son plaisir, à notre amour. Elle le veut et elle le prouve à tout moment.


Viens mon cœur, on petit déjeune, on se recouche après, je n’ai pas envie de bouger, de sortir aujourd’hui, sauf si tu as envie d’aller quelque part. Vue comment nous avons travailler, il nous reste encore toute la journée de demain de libre. La réception du chantier est jeudi matin à 9h00.
J’ai envie de faire des achats, mais pas maintenant. Là j’ai envie de dévorer, toi ou le petit-déjeuner. Je pense les deux. Viens prenons des forces, tu vas en avoir besoin ma puce.


Elle me regarde en souriant, se lève, me tend la main que je saisi comme pour me lever, l’attire sur moi, la prend dans mes bras. Elle est allongé contre moi, je l’embrasse tendrement, nos langues jouent, à se chercher, à se caresser. Mes mains se posent sur ses fesses qui frémissent, se crispent. Ses cuisses ont capturé mon sexe, et elle s’amuse à les serrer, à l’écraser entre elles.

Si tu continues mon amour je ne réponds de rien. Je ne te promets pas que pourrais encore me retenir longtemps. Mon pucelage vas y passer si tu continues à me rendre folle comme tu le fais, et cela que tu le veuilles ou non.

Elle prend sur elle, se lève, ses tétons sont énormes, elle vois mes yeux fixés sur sa poitrine. Je m’assieds sur le lit.

Regarde dans qu’elle état tu les mets, tu me mets, ils veulent sentir ta bouche, tes lèvres, tes dents, je coule comme une fontaine, et tu me regardes, me laissant avec mes envies qui me bouffent, me laissant excitée comme une folle.

Elle se rapproche, écarte mes jambes, glisse les siennes entre mes genoux, sa main se pose derrière ma nuque, tout en me caressant la nuque, elle rapproche ma bouche du sein que son autre main me présente, m’offre, comme une divinité offrant son corps.

Je ne peux m’empêcher de me jeter sur ce téton qu’elle me présente, qu’elle m’offre. Je le lèche, le tête le mords. Mes mains s’emparent de ses seins, les caressent, les sous-pèsent, les cajolent. Ma bouche passe de l’un à l’autre dans une danse frénétique. Magalie gémit, geint. Son corps se tend. Ses mains écrasent ma tête sur ses seins. Elle me fait basculer sur le lit, se retrouve allonger sur moi. Ses yeux fixés dans les miens.


Tu es un démon, même à ton regard je ne sais pas résister, je ne peux que me laisser aller entre tes bras, me laisser porter par mon désir, mes envies de toi.

Viens allons manger, il va te falloir des forces mon amour, nous allons passer toute la journée au lit. Je compte abuser, profiter de l’homme, de l’amant qui est avec moi, de toi plus simplement.


Nous arrivons à la table. Magalie regarde les plateaux. Elle est surprise de la quantité de nourriture. Nous nous asseyons face à face, je sers le café. Magalie prend des tranches de pains allemand, du Hotzofenbrot, un genre de pain paysan cuit au feu de bois. Elle se fait des tartines de confiture, les dévore. De mon côté j’attaque la charcuterie et l’œuf dur.

De la confiture tombe de la tartine, sur la poitrine de Magalie, elle va pour s’essuyer, je la regarde en souriant, me lève. Elle se tourne je lèche sa poitrine, pour enlever la trace de confiture, j’en profite pour embrasser le téton, à porté de mes lèvres.


C’est une manière très agréable de prendre son petit déjeuner mon chéri. Cela me donne des idées pour aujourd’hui. Mais tu ne peux pas t’empêcher de profiter de la moindre occasion. T’es un chameau, il faut toujours que tu me donnes des envies. Que tu exacerbes ma frustration.

Nous continuons a dévorer. Magalie prend quelques petits pots de confiture, et va les poser sur la table de nuit, elle revient avec un énorme sourire.

Invité

Re: Secret de famille

Message par Invité »

:cingle: :cingle: :cingle:
Invité

Re: Secret de famille

Message par Invité »

la suite la suite
DeLsEp9

Re: Secret de famille

Message par DeLsEp9 »

Mel29440 a écrit :la suite la suite
T'attendras mon retour

Suis en train de déguster un super Montrachet en Bourgogne

Alors

Wait and see :hourra:
Invité

Re: Secret de famille

Message par Invité »

nnnnnnnaaaaaaaaaaaaaaaaannnnnnnnnnnnnnnnnnnn :valfa:

a quand ton retour ??,
BjEd9a10

Re: Secret de famille

Message par BjEd9a10 »

quand il aura dessaoulé.... :hornet:
DeLsEp9

Re: Secret de famille

Message par DeLsEp9 »

Yuna a écrit :quand il aura dessaoulé.... :hornet:
Il est vrai qu'une dégustation, pour les bretons finis sous la table....
BjEd9a10

Re: Secret de famille

Message par BjEd9a10 »

Jak67 a écrit : Il est vrai qu'une dégustation, pour les bretons finis sous la table....
mais oui bien sur... tout comme il y a une concentration de fainéants, et de poseurs de bombes en Corse... c'est bien connu oui...
Invité

Re: Secret de famille

Message par Invité »

tj pas de suite :valfa: :valfa:
DeLsEp9

Re: Secret de famille

Message par DeLsEp9 »

Mel29440 a écrit :tj pas de suite :valfa: :valfa:
Et non
Je profite de
Mes vacances
DeLsEp9

Re: Secret de famille

Message par DeLsEp9 »

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De la confiture tombe de la tartine, sur la poitrine de Magalie, elle va pour s’essuyer, je la regarde en souriant, me lève. Elle se tourne je lèche sa poitrine, pour enlever la trace de confiture, j’en profite pour embrasser le téton, à porté de mes lèvres.

C’est une manière très agréable de prendre son petit déjeuner mon chéri. Cela me donne des idées pour aujourd’hui. Mais tu ne peux pas t’empêcher de profiter de la moindre occasion. T’es un chameau, il faut toujours que tu me donnes des envies. Que tu exacerbes ma frustration.

Nous continuons a dévorer. Magalie prend quelques petits pots de confiture, et va les poser sur la table de nuit, elle revient avec un énorme sourire.

-/-


Autant joindre l’utile à l’agréable mon amour. Il est quelle heure au faite ?

Je regarde ma montre.

Il est dix heures, tu t’es réveillé à 9h00, tu as dormi, plus de quinze heures. Comme dirais ta sœur, comme tu as plus que ton quotas d’heure de sommeil, tu es bonne à tout et mauvaise à rien.

Magalie me regarde et nous éclatons de rire, pensant tous les deux à la phrase que Sabine a dite à Martine.

« Qu’elle rentre, il lui faut son quota d’heures de sommeil, sinon elle va être mauvaise à tout, et bonne à rien demain. Et si je viens travailler avec vous Martine, il est hors de question d’avoir une collègue de travail qui ne soit pas en forme, qui ne soit pas au top. »


Donc je suis en forme, et je devrais être au top. Il va falloir que je teste pour en être certaine.
Je crains le pire pour toi, mon amour, à la fin ce sera toi, qui sera bon à rien ,et mauvais à tout.


Nous éclatons de rire. Nous finissons de petit déjeuner. Nous avons dévoré tous les deux. Est-ce parce que nous avons besoin de reprendre ou de prendre des forces, je crois bien que tous les deux avons envie de nous donner entièrement, pendant cette journée, qui n’est rien qu’à nous, rien qu’à nous deux.

Il ne reste pas grand-chose sur les plateaux. Je mets tous les reliefs du petit déjeuner sur un seul plateau, Magalie ouvre la porte de la chambre, je les pose devant la porte. Je reviens dans la chambre, m’assied sur une chaise, me relaxe, enfin j’essaie de me relaxer.

Les six journées qui viennent de passer ont étaient éprouvantes tant physiquement que moralement.

Je voie Magalie prendre la pancarte « do not disturb ». Elle l’accroche à la poignée extérieure de la porte de chambre, referme la porte à clef. Me regarde avec un énorme sourire.

Elle se dirige vers moi, de sa démarche de vamp, de cette démarche qui me rend fou, fou de joie, fou de désir. De cette démarche qu’elle a totalement assimilé maintenant.
Etant totalement nue, cela la rend encore plus sensuelle, plus provocante, plus indécente, elle est même d’une totale indécence, à la limite de l’exhibitionnisme.

Elle le voie dans mes yeux qui la dévore, qui ne peuvent s’empêcher de parcourir ce corps qui s’offre à eux, qu’elle m’offre, telle une ingénue.

Ses seins, me donnent l’impression de danser, pour moi, pour mon plaisir. Ses tétons pointent vers moi, comme pour me narguer, comme pour me dire, regarde nous bien, dans quelques secondes tu devras nous dévorer, tu devras t’occuper de nous.

Ses hanches, son ventre dansent devant mes yeux, une danse de l’amour, dans le seul but de faire apparaitre mes envies, de faire monter mon désir.

Elle marche encore plus lentement que d’habitude. Elle s’approche de moi, sa main se pose sur le dossier de la chaise, elle tourne autour de moi, comme une danseuse de Flamenco, ses doigts glissent sur mon dos, ses ongles griffent ma peau. Je frissonne.

Elle s’assied sur mes genoux, perpendiculairement, passe son bras sur mon épaule. Elle me regarde, souri.


Mon homme, mon amant, a-t-il bien repris des forces ?
Je le souhaite vraiment, te le souhaite, car maintenant il va te falloir assumer mon amour. Assumer est un bien petit mot, tant ma frustration, mes envies, mon désir, sont là, bien présents, et rien ne te sauvera d’eux. Rien ne te sauvera de ce que tu as créé en moi, de ce que tu as fait de moi.


Magalie se lève après m’avoir embrassé tendrement, elle me prend par la main, je me lève. Elle m’entraine vers le lit, m’allonge en souriant. Son regard me détaille, me scrute de bas en haut. Il est plus qu’insistant, sa langue n’arrête pas de passer sur ses lèvres. Cela commence sérieusement à m’exciter, de voir sa langue passer et repasser, sur ses lèvres, avec une telle expression de gourmandise. Mon sexe qui avait déjà reprit consistance, se réveille encore plus.

Encore un effort Jacques, allez mon amour, sinon je sévis.
Allez, on se réveille, regarde mon amour, comme il est adorable, comme il est gentil, rien que de l’observer, de l’aguicher des yeux, il commence à vouloir redresser la tête.

Mais ce n’est pas possible, il est comme son propriétaire, encore fatigué. Bon, je prends les choses en mains, c’est trop tard, mon amour.


Tout en s’exprimant, je la voie qui souri. Elle prend mes jambes, me fait pivoter sur le lit, posent mes pieds au sol.

Elle s’agenouille, entre mes cuisses, me regarde, se lève, glisse un premier puis un deuxième coussin derrière mon dos.


J’ai envie que tu voies tout ce que je vais te faire, tous les outrages que tu vas subir, que je vais te faire subir. Tu me laisses faire, tu ne bouges pas.
Promis ?


J’acquiesce des yeux.

Non, non, je veux te l’entendre dire. Mon chéri, s’il te plait.

Promis, je ne bouge pas, je te laisse faire.

Tout en m’écoutant le dire, elle s’agenouille. Les yeux fixés su ma verge qui sentant la chaleur de sa figure si proche, se réveille encore plus.

Décalotte le mon amour, doucement, tout doucement, puis tu reposes tes mains sur le drap.

J’obtempère, pendant que ses yeux ne quittent pas mes mains, ne les lâchent pas d’un millimètre.

Plus doucement mon chéri, plus lentement, et seulement deux doigts. Je ne veux pas que tu te créé d’envie. Cela m’appartient, tu es à moi en ce moment.

Ses yeux me fixent, ils sont braqués sur moi, comme s’ils voulaient deviner le fond de ma pensée. Son regard redescend, mes doigts on fini de me décalotter. Je pose mes mains à plat sur le lit. Magalie souri. Ses deux mains se posent sur mes genoux, sa bouche s’approche, je ferme les yeux, attendant ses lèvres, ses douces lèvres sur mon gland. Rien, rien ne se passe pendant quelques secondes, ou quelques minutes je ne saurais dire.

Je sens, je ressens un léger souffle d’air, sur mon gland. j’ouvre les yeux, je voie Magalie qui bouge doucement la tête, pour déplacer le souffle d’air, pour jouer avec mon gland qui s’affole maintenant, de ce qu’il ressent. C’est horrible, et si doux à la fois. Cette sensation de douceur et d’excitation, que provoque ce tout petit filet d’air sur l’extrémité de mon gland, est indescriptible, m’amène dans un état incroyable..


Maintenant mon amour, tu es prêt, tu es comme j’aime que tu sois quand nous sommes tous les deux au lit.

Elle grimpe à quatre pattes sur le lit, en se léchant les lèvres avec envie. Ses yeux parcours tout mon corps, j’ai comme l’impression de ressentir, leurs caresses sur ma peau. Elle m’embrasse tendrement, sa bouche glisse doucement dans mon cou, elle mordille les lobes de mes oreilles à tour de rôle. Je frissonne, elle souri, en me regardant.

Tu as la chair de poule mon amour, toi aussi cela te fait cet effet, j’adore voir comment ton corps réagi, à ce que je te fais. Tout comme toi quand tu joues avec mon corps, avec mes envies que tu sais si bien me faire ressentir.

Sa bouche, sa langue se promène sur mon corps. Sa langue joue avec mes tétons. Pendant que sa bouche suce un de mes tétons sa main joue avec l’autre. Elle me fait exactement ce que j’adore lui faire.

Mon chéri cela te fait un effet pas croyable, regarde comme ils se dressent. Aussi coquin que les miens, tes tétons. Ils aiment quand je m’occupe d’eux, on dirait.

Elle part dans la salle de bain revient avec un drap de bain. Elle me fait signe de lever mes fesses. Elle glisse le drap de bain sous mes fesses. Je la regarde surprise.

Je ne veux pas tacher le drap mon amour. Cela ne se fait pas. Tu es trop connu ici mon chéri.

Non quand même pas, elle ne veut pas. Elle qui a toujours dit « tu décideras du moment. »
Il est vrai, que juste avant elle a dit, « Si tu continues mon amour je ne réponds de rien. Je ne te promets pas que pourrais encore me retenir longtemps. Mon pucelage vas y passer si tu continues à me rendre folle comme tu le fais, et que tu le veuille ou non. »


Elle me regarde voie mon regard interrogateur. Souri, viens vers moi sur le lit à quatre pattes, telle une lionne qu’elle est, m’embrasse.

Tu m’as promis de ne pas bouger de me laisser faire.

Oui. Mais …

Elle pose un doigt sur mes lèvres.

Chut mon amour tu m’as promis.

Elle m’embrasse, sa langue viole ma bouche, cherche ma langue s’enroule autour de la mienne. Elle se retrouve à califourchon au dessus de moi. Elle s’amuse a frotter son pubis sur mon gland décalotté qui se dresse fièrement. Le frottement de sa toison contre mon gland m’électrise.

Elle souri, quand je sens mon gland qui s’immisce tout seul entre ses petites lèvres. Elle ne bouge pas, semble apprécier que mon sexe ce soit logé seul en elle, qu’il soit en elle.


Tu voie mon amour il a trouvé le chemin tout seul, il en meurt d’envie. C’est ta tête qui ne veut pas, ton corps le veut, il vient de me le prouver, de te le prouver.

Elle joue avec moi, elle emploie mes mots, mes phrases. Elle inverse les rôles. Elle a vraiment décidé de jouer avec moi, et bon sang j’ai envie de la laisser faire, de voir jusqu’où elle ira, jusqu’où elle osera aller. Elle se donne entièrement à notre amour, sans pudeur, sans aprioris.

Je sens sa vulve descendre doucement, très doucement. Ses yeux brillent de mille feux. Elle me regarde en souriant. Mon gland arrive en buter sur son Hymen, elle se redresse. Pose ses mains sur ses cuisses. Elle me fixe intensément.

DeLsEp9

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Tu voie mon amour il a trouvé le chemin tout seul, il en meurt d’envie. C’est ta tête qui ne veut pas, ton corps le veut, il vient de me le prouver, de te le prouver.

Elle joue avec moi, elle emploie mes mots, mes phrases. Elle inverse les rôles. Elle a vraiment décidé de jouer avec moi, et bon sang j’ai envie de la laisser faire, de voir jusqu’où elle ira, jusqu’où elle osera aller. Elle se donne entièrement à notre amour, sans pudeur, sans aprioris.

Je sens sa vulve descendre doucement, très doucement. Ses yeux brillent de mille feux. Elle me regarde en souriant. Mon gland arrive en buter sur son Hymen, elle se redresse. Pose ses mains sur ses cuisses. Elle me fixe intensément.

-/-


Elle remonte doucement sur ma hampe, se penche, m’embrasse. Pose ses deux mains de part et d’autres de ma tête sur le lit.

Mon chéri tu as deux solutions.
Je veux jouir, mon ventre, ma vulve veulent jouir, débrouille toi pour sauvegarder mon hymen, sinon tant pis.
Je n’en peux plus, je deviens folle. Folle du désir de te sentir au plus profond de moi, au plus profond de mon ventre. Folle de vouloir te sentir, de jouir en même temps que toi, quand tu te videras en moi, que tu baptiseras mon ventre, ma matrice, de ta semence, car tu m’auras défloré,.
Je n’en peux plus d’attendre, d’être frustré d’attendre que tu décides que le moment est venue.

Là maintenant, je ne veux pas spécialement me dépuceler, que tu me dépucelles. Mais même si ma fleur, mon hymen doit en subir les conséquences, tant pis, je n’en peux plus, je ne veux plus attendre, je veux jouir par ta verge dans mon ventre.
Ta bouche, tes lèvres, tes doigts m’ont fait jouir comme une folle. Ils m’ont amené à un stade où maintenant, seule ta verge, ton sexe, se doit d’agir en moi, d’agir dans mon ventre, se doit de me combler entièrement.


Elle m’embrasse furieusement, son ventre sa vulve joue avec mon sexe. Elle monte et descends de plus en plus vite, en essayant de contrôler ses mouvements. Elle s’arrête me regarde intensément, cherche un accord quelconque sur mon visage impassible en ce moment.

Je la voie prête à s’empaler, ses yeux me supplie, m’implore je ne réagis pas. Bien que l’envie de poser mes mains sur ses hanches me tenaille, pour lui faire comprendre que je le veux aussi.
Elle commence à pleurer, s’effondre contre moi.
Je la prends dans mes bras, l’embrasse tendrement, la serre cotre moi. Elle tremble comme une feuille.


Pourquoi tu ne dis rien, pourquoi me laisses tu faire, sans réagir ?

Ma puce, mon petit cœur, tu m’as demandé de te laisser faire, je t’ai obéis.

Je ne suis pas surpris de ta réaction, elle est logique, tellement logique ma puce.
Tu viens doucement, de toi-même au stade où ton corps veux prendre le dessus. Au moment ou ta volonté, commence à plier face à tes envies, à ton plaisir.

Ton corps, commence à vouloir plus, il en veut tellement plus. C’est totalement ce qui devait arrivé, ce qui t’arrive. Je te connais suffisamment mon bébé, pour savoir que tu ne serais pas aller plus loin, pas maintenant, ta tête dirige encore trop tes envies, ton désir.


Je sais que je suis un pourri, je savais, enfin j’osais le pensais. Elle ne pourrait pas d’elle-même, elle n’oserait pas aller plus loin, sa tête étant trop présente dans ses envies.
Elle bloquerait au moment de s’empaler, n’étant pas prête, ayant tant de doutes, trop de doutes, sur ses envies, ses désirs, sur son devenir de femme.


Elle me regarde, je l’embrasse doucement, tendrement. Elle se love contre moi, ses jambes se nouent aux miennes, nous ne bougeons plus. Elle se calme, je sens sa respiration qui redevient normal.
Je roule avec elle sur le lit, me retrouve sur elle. Je la regarde, mes doigts écartent une mèche de ses cheveux, je me noie dans ses yeux vert que j’adore. Je l’embrasse tendrement, ma bouche glisse dans son cou, je l’embrasse, ma langue joue avec le lobe de son oreille. Elle frissonne, ses mains se posent sur mes hanches, commencent à me caresser.
Je descends vers sa poitrine, ma bouche, mes lèvres ne quitte pas son corps. Ce corps qui me fait chaque fois chavirer quand je le sent contre moi, quand je sens sa peau au contact de la mienne.
Ma bouche continue doucement à descendre, ses mains se posent sur ma tête voulant la diriger. Mes mains écartent doucement les siennes, elles se posent en nouant les doigts sur le lit.
J’embrasse son ventre, son pubis. En passant ma langue s’amuse deux trois fois d’une façon espiègle avec son clito qui se dresse fièrement entre ses grandes lèvres.
Je m’agenouille entre ses cuisses, lui souri. Elle ouvre les yeux, qui m’interrogent, qui sont surpris de me voir inactif entre ses cuisses.

Je regarde, j’admire son corps qui s’offre dans toute l’impudeur de sa jeunesse. Elle sourit en voyant mon regard parcourir son corps. Elle prend un traversin, le glisse sous son dos. Je passe sur le côté.

Je tends la main, prend un des petits pots de confiture, de la confiture d’églantier. Je l’ouvre, elle me regarde surprise. Je le penche délicatement, la confiture s’écoule lentement, doucement.
Elle coule doucement sur ses tétons qui se dressent encore plus au contact de la confiture, qui serpente doucement de sa poitrine à son pubis, pour finir par se mélanger à sa toison pubienne. Elle serre les jambes.

Je repose le pot avec un reste de confiture, Magalie me regarde, regarde son corps, comprend ce qui va se passer. Son ventre se creuse, ses seins, ses tétons dans l’attente deviennent énormes, comme s’ils voulaient faire concurrence à mon sexe au meilleur de sa forme.
Je prends le drap de bain, Magalie soulève, ses fesses, son dos, pour que je le glisse sous elle. Je vois sa respiration, s’accélérer, quand mon regard se pose sur son corps, détaillant les arabesques que la confiture créé sur son corps.

Elle pose ses mains à plats sur le lit, écarte ses cuisses la confiture se répand doucement sur toute sa vulve. Je voie ses yeux qui commencent à s’affoler, je m’allonge entre ses cuisses. Elle remonte ses jambes, je recueille délicatement avec ma langue, la confiture qui s’écoule sur son périnée. Elle frémit, ses jambes qu’elle tient avec ses mains tremblent.

Comme par mégarde ma langue se perd, s’égare prés de son anus, elle commence à gémir, son bassin bascule , m’offrant tant à mon regard, qu’à ma langue sa petite étoile qui palpite d’envie.

Un filet de confiture s’écoule doucement le long de son périnée. Je le regarde, descendre doucement, lentement vers son anus. Elle frémit, elle gigote sentant le filet progresser doucement. Je souffle sur le filet pour l’orienter, elle gémit. Ma langue appuis doucement sur sa petite étoile, et doucement, lentement, remonte en récoltant, par de touts petits coups de langue le mince filet de confiture. Elle gémit, ses jambes tremblent, tout en s’écartant, pour offrir tant à mes yeux admiratifs, qu’à ma langue son intimité.

Je lève les yeux, sa toison scintille dans la lumière du soleil, nappée qu’elle est de confiture. J’embrasse ses petites fesses, ma langue passe délicatement sur les côtés de sa toison, pour recueillir la confiture qui y est encore. Je la regarde discrètement, ses yeux sont clos, son visage se crispe chaque fois que ma langue, la frôle pour recueillir le peut de confiture, qui reste sur les côtés de sa toison.

Je me redresse, passe sur la côté de son corps, me sentant bouger, elle ouvre les yeux en reposant ses jambes. J’avance à quatre pattes vers elle, vers sa poitrine, vers ses seins, recouvert de confiture. Ma langue s’amuse avec ses tétons qui pointent à travers la confiture. Son regard suit ma langue qui passe et repasse sur ses tétons érigés. Je vois ses mains se crisper sur les draps, sa poitrine monte doucement, pour se plaquer sur mes lèvres.


S’il te plait, mange les, mords les, j’en meurs d’envie, ils le veulent, ils n’attendent que cela, ils veulent ressentir à nouveau, ce que tu leur à offert comme plaisir, comme jouissance, la dernière fois.

Ma bouche s’approche d’un de ses tétons, le capture, ma langue joue avec. Il devient énorme, mes dents le pince, le mordille. Je le fait rouler entre mes incisives, ma langue joue avec l’extrémité qui dépasse de mes dents. Je passe de l’un à l’autre ils subissent tous les deux le même traitement.
Je voie les mains de Magalie qui se lèvent et retombent violement sur le lit, s’agrippant au drap.


Non, toi seul me fera jouir.

Elle dit cela avec une certaine rage. Ma langue s’applique à recueillir, à laper la confiture sur sa poitrine. Son torse bouge dans tous les sens, comme pour m’indiquer où lécher, où embrasser. Ses yeux son fous, ils suivent ma bouche, ma langue, épie le moindre de ses mouvements. Ses cuisses se serrent, se frottent l’une contre l’autre. Elle gémit, geint, je voie son visage se contracter, ses lèvres se pincer.

Tu me rends folle, j’ai l’impression que mes seins sont durs comme du béton, que ta langue, est une râpe qui m’électrise chaque fois qu’elle passe dessus. Ma chatte coule comme une fontaine, mes petites lèvres sont béantes, attendant ta bouche, ta langue, ta verge pour les calmer, les apaiser.
Je suis obligé de serrer, de frotter mes cuisses pour m’apaiser un tant soit peut, tant ma chatte est en feu, tant elle est prête à entrée en éruption comme un volcan que tu aurais stimulé.

Tu es le diable qui a enflammé la mèche de mon désir, de mes envies. Je sens cette mèche se consumer en me brulant mes seins, mon ventre ma chatte. Je deviens folle mais je ne ferais rien, tu devra assumer, tu devras éteindre le brasier que tu es en train d’allumer qui est en train de me consumer de l’intérieur, et qui me rend complètement folle.


Ses doigts griffent les draps, pendant que ma langue descend doucement vers son ventre, en recueillant, en suivant le serpent de confiture qui est partie se nicher dans la chaleur de son entrecuisse. Elle gémit doucement, je la voie se mordre les lèvres, ses ongles entrent dans la chair de ses paumes de mains, quand elle serre les poings de rage, et frappe sur la matelas.
Son ventre se creuse, se crispe lorsque ma langue recueille délicatement ce doux filament.
Je voie ses cuisses qui se frottent, se croisent, Magalie a du mal a se maitriser, à maitriser ce qu’elle ressent. Plus je me rapproche de son Pubis, plus ses contractions sont désordonnées, anarchiques. Je voie son visage crispé, qui ballote de droite à gauche. Elle se redresse, sa bouche se jette sur la mienne, elle mord, mes lèvres, nos dents se heurtent, tant elle ne maitrise plus rien, ne se maitrise plus. Elle prend ma tête entre les mains, tout en sanglotant.


Jacques je t’en prie, arrête, je n’en peut plus, mon ventre, ma vulve, mon hymen hurle leurs envies de te sentir. Ma bouche, mes fesses, tout mon corps veut te sentir en lui, veut sentir, ressentir ta verge.
Je capitule, fait ce que tu veux de moi, mais apaise ce feu qui me dévore, qui est en train de me rendre complètement folle. Folle de désir, folle de frustration.


Elle s’allonge, ses mains, tenant sa tête, qu’elle secoue dans tous les sens.
Je m’allonge à côté d’elle. Deux doigts viennent prendre son menton, et dirige son regard, ses yeux, que j’adore, vers moi. J’embrasse ses paupières, la prend dans mes bras. Elle pose sa tête sur mon épaule, je la laisse se calmer. Elle roule sur moi, ses grands yeux verts me fixent. Elle commence à sourire.

Invité

Re: Secret de famille

Message par Invité »

encore stp stp tu as pas poster pendant 2 jours on a le droit a un peut plus quand meme
DeLsEp9

Re: Secret de famille

Message par DeLsEp9 »

Mel29440 a écrit :encore stp stp tu as pas poster pendant 2 jours on a le droit a un peut plus quand meme

Seulement
deux jours !!!!!!!
je croyais plus
Invité

Re: Secret de famille

Message par Invité »

ou plus j'ai arreter de compter telement jetait en manque ^^
DeLsEp9

Re: Secret de famille

Message par DeLsEp9 »

Mel29440 a écrit :ou plus j'ai arreter de compter telement jetait en manque ^^

moi c'est maintenant que je suis en manque

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DeLsEp9

Re: Secret de famille

Message par DeLsEp9 »

Propos de Sabine ma femme
Propos de Magalie ma belle sœur
Propos de Jacques
Mes pensées

Propos de Suzanne Ma belle mère
Propos de Charlotte
Propos de Lucie fille de Charlotte
Propos de Louise petite fille de Charlotte


61)



Jacques je t’en prie, arrête, je n’en peut plus, mon ventre, ma vulve, mon hymen hurle leurs envies de te sentir. Ma bouche, mes fesses, tout mon corps veut te sentir en lui, veut sentir, ressentir ta verge.
Je capitule, fait ce que tu veux de moi, mais apaise ce feu qui me dévore, qui est en train de me rendre complètement folle. Folle de désir, folle de frustration.


Elle s’allonge, ses mains, tenant sa tête, qu’elle secoue dans tous les sens.
Je m’allonge à côté d’elle. Deux doigts viennent prendre son menton, et dirige son regard, ses yeux, que j’adore, vers moi. J’embrasse ses paupières, la prend dans mes bras. Elle pose sa tête sur mon épaule, je la laisse se calmer. Elle roule sur moi, ses grands yeux verts me fixent. Elle commence à sourire.


-/-

Elle prend appui sur ses mains, redresse son torse, regarde nos corps. Je suis couvert de confiture, tout comme elle. Elle souri, ses yeux brillent, sa langue passe et repasse sur ses lèvres.
Elle roule sur le côté, s’assied, me regarde en souriant. Je voie son regard aller des pots de confiture à mon sexe, qui du fait de son regard plus qu’insistant est en train de reprendre consistance.

Je remarque qu’elle tient toujours ses cuisses serrées. Elle me fait remonter sur le lit, place le drap de bain, sous mon corps. Sa main me décalotte doucement, elle prend le pot de confiture ouvert, laisse le reste de la confiture s’écouler sur mon gland, sur mon sexe. L’impression est étrange. Mon sexe se dresse, Magalie papillote des yeux.


Mon amour maintenant c’est moi qui joue avec tes envies. Chacun son tour, mon amour, de subir les envies, la gourmandise de l’autre.

Elle s’agenouille au-dessus de moi, au dessus de ma tête, son corps se penche, elle joue avec mon sexe, sa langue s’amuse doucement par petite touche, à léchouiller mon gland. en relevant mes yeux, je voie sa petite chatte au-dessus de moi. Elle est couverte de confiture. De minces filaments commencent à pendre de sa toison. Je m’amuse a les laper, quand ils arrivent prés de ma figure. Le gout est totalement différent, ce mélange avec sa mouille, sa cyprine est onctueux, délicieusement existant. Je ne peux empêcher quelques uns des filaments d’arriver sur ma figure.

Sa langue continue son jeu de petites touches, je sens la confiture qui coule sur mes bourses, la bouche de Magalie aspire une a une mes outres bien pleine. Sa langue passe et repasse, dessus. Est ce qu’elle récupère la confiture, ou est ce qu’elle joue à faire monter mes envies ? Je ne sais pas, tout ce que je sais, c’est que je bande comme un malade.

Elle joue avec moi, avec mes envies comme je me faisais avant avec elle. Son regard accroche mes yeux au moment où je lape une goutte de confiture qui chute de sa toison.


Tu as juste le droit de me nettoyer avec ta langue, rien d’autre.

Elle me dit cela en me regardant, ses yeux sont des milliers d’étoiles qui brillent. Ses genoux s’écartent, sa vulve descend doucement vers moi, s’arrête à quelques centimètres de ma bouche, juste ce qu’il faut pour que je puisses me servir de ma langue, uniquement de ma langue.

Elle regarde ma langue agir, je m’amuse à ne lécher que sa toison pubienne, je fais bien attention de ne pas la toucher autrement. Chaque fois que ma langue passe sur sa toison, je la voie tressauter, je voie ses cuisses, qui frémissent, son ventre se contracter.

Ce mélange de confiture et de cyprine, a un effet aphrodisiaque sur moi. Elle le voie, voie mon sexe qui se balance devant ses yeux, devant ses lèvres, espérant se faire capturer par elles.

Elle coule tellement, que la confiture commence doucement à se décoller d’elle-même.
Je souris en réalisant que ses jambes s’écartent pour rapprocher sa vulve de ma bouche. Est-ce volontaire ou ses genoux glissent-ils sur le drap, cela ne m’intéresse pas. Dans peux de temps qu’elle le veuille ou non, ma bouche s’occupera de sa petite chatte. Elle est bras tendu, j’entrevoie la pointe de ses seins, ses tétons, qui pointent comme pas possible. Sa vulve se pose doucement sur mes lèvres, je mordille ses lèvres, elle gémit.


Tu continues à jouer avec moi, je te déteste, tu ne fais que cela. Tu joues avec mes envies, mon désir. Et maintenant tu joues avec mon corps. A croire que tu aimes me rendre folle de désirs.

Elle a raison, j’adore tellement jouer avec son corps, avec ses envies, elle est comme une harpe. Ce qu’elle n’a pas compris, c’est que je suis en train d’accorder la harpe, qu’elle est. Je voudrais tant qu’elle comprenne enfin, que la pénétration, n’est pas un tout, n’est pas la finalité de l’acte sexuel.

La Jouissance, le plaisir, sentir son corps se laisser aller, laisser faire son amant, qui veut l’emporter dans le tourbillon du plaisir, a bien plus d’importance pour moi que de la pénétration en elle-même.


Mes mains se posent sur ses fesses, glissent doucement entre ses petites fesses, qui se crispent, quand mes doigts se posent sur son anus. Ma langue joue avec son clito, qui frétille comme un fou, qui est énorme, entre ses grandes lèvres. Une de mes mains se posent sur ses reins, remonte vers ses omoplates, en appuyant doucement. Ses bras fléchissent, mon autre main glisse doucement le long de sa hanche, et viens écarter ses grandes lèvres. Ma bouche, ma langue se précipite sur ses petites lèvres qui n’attendent que cela pour les apaiser, les calmer, tant je les voie palpitantes, frémissantes devant mes yeux.

Magalie se crispe, ses jambes, ses fesses se contractent. Je sens sa poitrine contre mon ventre, ses seins se collent à moi, ses mains emprisonnent mes fesses. Sa tête est posé sur une de mes cuisses.


Fais moi jouir je t’en supplie, fais moi jouir, je n’en peut plus d’attendre.

Ma langue, ma bouche se déchainent, je dévore ses petites lèvres, son bouton d’amour. Je n’arrête pas de passer de l’un à l’autre. Elle gémit, elle mord ma cuisse.

Continue, mon dieu que s’est bon. Continue je t’en prie.

Une de ses mains se pose délicatement, sur ma verge qu’elle caresse doucement, presque inconsciemment.

Ma langue s’immisce entre ses petites lèvres, ma bouche se colle à ses petites lèvres tant sa mouille est abondante. Ma langue lape avec plaisir, avec gourmandise entre ses petites lèvres sa cyprine qui s’écoule, qui coule sans discontinuer. Je sens son corps se tendre, ses mains se crisper sur mes fesses.

Ma bouche capture son bouton d’amour. J’aspire comme si je cherchais mon air en lui. Sa main quitte mon sexe, elle attrape un coussin. J’entends le feulement de ma lionne qui commence sortir de sa gorge, en même temps que son corps se tétanise. Son feulement se perd dans un coussin qu’elle mord, en même temps qu’elle roule sur le côté, en serrant le coussin dans ses bras. Je me retourne, et deux de mes doigts capturent son clito et joue à le faire rouler entre eux, à le martyriser, presque brutalement, comme elle aime tant par moment. Elle mord de plus belle le coussin, tout en continuant de feuler comme une lionne en chaleur. Une de ses mains quitte le coussin, et immobilise ma main sur sa vulve, son corps se tend. Elle ne bouge plus.

Tout en laissant ma main sur sa vulve, je m’assied sur le lit. J’embrasse doucement son ventre. J’écarte le coussin, écarte ses cheveux, d’un geste tendre, lui caresse la joue. Elle sursaute, ouvre les yeux. Je me noie dans son regard, je m’allonge, pose ma tête sur son épaule. Ma main remonte doucement, en effleurant son ventre, sa poitrine. Elle se tourne, nous sommes face à face, elle me souri. Doucement, délicatement, elle m’embrasse, nos corps sont collé l’un à l’autre.


Tu es un démon, Jacques, tu fais ce que tu veux de moi.

Elle me prend dans ses bras, me serre contre elle, nous nous endormons, étant dans les bras l’un de l’autre, l’un contre l’autre.
Invité

Re: Secret de famille

Message par Invité »

que 1 suite un ptit effort jak tu n'a pas poster pendant 1semaine :valfa:
DeLsEp9

Re: Secret de famille

Message par DeLsEp9 »

Mel29440 a écrit :encore stp stp tu as pas poster pendant 2 jours on a le droit a un peut plus quand meme
Mel29440 a écrit :que 1 suite un ptit effort jak tu n'a pas poster pendant 1semaine :valfa:

tu passes d'un extrême à l'autre.

:cecyls: :cecyls: :cecyls: :cecyls:
DeLsEp9

Re: Secret de famille

Message par DeLsEp9 »

Propos de Sabine ma femme
Propos de Magalie ma belle sœur
Propos de Jacques
Mes pensées

Propos de Suzanne Ma belle mère
Propos de Charlotte
Propos de Lucie fille de Charlotte
Propos de Louise petite fille de Charlotte


62)



Tout en laissant ma main sur sa vulve, je m’assied sur le lit. J’embrasse doucement son ventre. J’écarte le coussin, écarte ses cheveux, d’un geste tendre, lui caresse la joue. Elle sursaute, ouvre les yeux. Je me noie dans son regard, je m’allonge, pose ma tête sur son épaule. Ma main remonte doucement, en effleurant son ventre, sa poitrine. Elle se tourne, nous sommes face à face, elle me souri. Doucement, délicatement, elle m’embrasse, nos corps sont collé l’un à l’autre.

Tu es un démon, tu fais ce que tu veux de moi, Jacques.

Elle me prend dans ses bras, me serre contre elle, nous nous endormons, étant dans les bras l’un de l’autre, l’un contre l’autre.

-/-


Je la sens bouger contre moi, elle est lové contre moi, dans mes bras, ses fesses collées à mon ventre. Mes mains ces coquines, pendant que je dormais, se sont posées nonchalamment sur sa poitrine.
Je ne peux m’empêcher de la caresser doucement. Je sens contre les paumes de mes mains, ses tétons qui doucement se réveillent, qui commencent à pointer. Sa main se pose sur mes fesses, elle se retourne, m’embrasse tendrement. De sentir son corps, sa poitrine, son ventre contre moi, mon érection est plus que manifeste.


Bonjour mon amour.

Je regarde ma montre, il est 18 heures. Enfin je le pense.

Cela commence à m’énerver de me réveiller sans savoir quelle heure il est exactement. Si l’on est le matin ou le soir.

Tu as bien dormis, mon cœur ?

Ses yeux me disent que oui, tant ils ont l’air reposé, ce qui ne l’empêche pas de me dévorer du regard en même temps. Sa main me caresse doucement, comme si elle ne voulait pas me réveiller complètement, me laisser dans cette douce torpeur, qui nous tient au réveil.
Je l’embrasse tendrement, nos langues jouent à se chercher, a se frôler, tout comme nos mains qui ont tant de plaisirs à caresser nos corps qui s’offrent, qui se laissent désirer.


On s’habille, et on va manger un bout.

Devant son air déconfit, ses yeux de biche énamourée, son regard qui me dit non, je capitule.

Attends j’appelle la réception de l’hôtel, et je leurs demande s’ils peuvent nous servir dans la chambre. Je crois que c’est faisable.

Effectivement ils servent en chambre. Je commande des Maultaschen (des ravioles de forme rectangulaire, traditionnelles de la région allemande du Bade-Wurtemberg, farci en générale de légumes.) et deux escalopes viennoises, avec des légumes.

Viens on va prendre une douche.

Je crains, si nous la prenons ensemble, vue que je ne pense pas pouvoir me retenir, pour une foi que nous sommes enfin seul, que nous n’entendions pas toquer à la porte.
Vas y je la prends après.


Je vais sous la douche, la puce assise sur le lit, me regarde, elle me souri. Je la voie prendre le téléphone. Elle parle en allemand, raccroche. Je la voie qui souri, come si elle venait de faire un blague.
Elle se dirige vers moi. Elle recommence, ou plutôt elle continue avec sa démarche de vamp. Elle me souri, me voyant la caresser de mon regard, qui la suit, qui l’admire, dans cette démarche qui me fait toujours le même effet. Elle entre sous la douche, m’embrasse.


Nous avons un peu plus d’une heure mon chéri, j’ai demandé à ce que le repas nous soit ramené à 19h30. Il faut bien que cela serve de parler allemand. Je remarque que ma démarche te fait un certain effet, il va falloir que, je m’applique un peu plus.

Je prends le gel douche, je pose délicatement mes mains sur son cou, lui masse doucement les carotides, sa nuque.

Je nous revoie, quand nous avons pris notre douche avant de monter chez Suzanne. Douche au combien merveilleuse, au combien étonnante, vue les mots qui sont enfin sortis, que j’ai enfin osé exprimer.

Je réalise que Magalie me regarde, perdue que je suis dans mes pensées. Elle prend ma tête entre ses mains, m’embrasse avec une infinie douceur, comme si elle comprenait, ce que je ressens en ce moment, en repensant à ce moment où enfin j’ai osé laisser sortir ces petits mots, ces si doux mots.
Je la prend dans mes bras, la serre contre moi, ma bouche s’approche de son oreille, et je m’entend lui susurrer.


Je t’aime, mon amour.

Elle sourit, dieu qu’elle a l’air heureuse. J’ai l’impression qu’elle se liquéfie dans mes bras. Ses yeux vert, se verrouillent aux miens, je me noie dans ses yeux que j’adore. Elle posent ses mains sur ma nuque, m’embrasse tendrement. Sa poitrine, son ventre, son pubis, tout son corps est collé à moi, nous ne faisons qu’un.

En si peut de temps me le dire autant. Je n’en espéré pas tant mon amour. Tu penses à quoi, mon Jacques, tu n’es pas là, ton esprit est ailleurs.

De l’entendre m’appeler par mon prénom, me surprend, me réveille.

Juste à la douche que nous avons pris tous les deux avant de monter chez Suzanne, chez ta mère.

Magalie me regarde tendrement, me sourie. Elle prend le flacon de gel douche, en verse dans nos mains, pose ses mains sur mon cou. Je fais de même. Je pose délicatement mes mains sur son cou, elle me masse doucement les carotides, la nuque.

Nous inversons la situation, par rapport à la douche dont je viens de lui parler. Je copie ses gestes. Ses mains telles deux ailes se posent sur mon cou et me masse, non elles me caressent.

Ses mains se posent sur mon torse, les miennes descendent doucement vers ses seins. Elle ferme les yeux, je la voie trembler, frémir.
Mes doigts glissent dans le sillon mammaire, sa peau est légèrement granité, une chair de poule la prends des pieds à la tête. Ses mains se posent sur mes hanches, je sens ses doigts qui m’agrippent. Et qui glissent vers mes fesses. Elle m’attire vers elle. Mon sexe effleure son pubis. Ses mains quittent mon corps. Je la regarde, l’admire, elle est d’un tel naturel, que par moment dans une autre situation, cela friserait la candeur.

Ma bouche, effleure son cou, glisse vers ses seins, embrasse ses tétons, qui me donnent l’impression de n’attendre que cela tant il sont dressés. Je pose mes mains sur ses hanches, tout en embrassant doucement son ventre. Ma langue se perd dans son nombril, elle frissonne. Ma bouche descend, je mordille doucement ses grandes lèvres. Elle plaque violemment ma tête contre son pubis, en geignant. Ses mains se calment, elle s’agenouille face à moi.


Tu veux me rendre folle, depuis ce matin, tu ne fais que cela, me rendre folle de désir. J’ai envie …

Je pose mon doigt sur ses lèvres, me redresse ne la tenant dans les bras. L’embrasse tendrement, nos langues se cherchent, se caressent. Nos mains partent à la découverte de nos corps.

Ma chérie, on prend tranquillement notre douche, il faut que l’on se détendent, que l’on récupèrent un peut. On a quand même bosser comme des fous. De plus ils ne devraient plus tarder avec le repas. On verra ce que l’on fait après.

Magalie me regarde, elle a l’air déçut, mais semble se résigner.

Ce n’est pas dans son habitude d’abandonner si vite.

Elle prend du gel douche, me fait me retourner. Ses mains, jouent avec mon corps, je les sens, plutôt les devinent, qui se promènent qui papillonnent sur mon dos, sur mes fesses. Ses mains glissent sur mes hanches, remontent sur mon torse, en me caressant plus qu’elles ne me lavent. Je ferme les yeux appréciant au combien ses mains qui se promènent, qui papillonnent, qui me caressent.
Sa poitrine se colle à mon dos, son ventre contre mes fesses . Ses mains glissent vers mon pubis, une de ses mains prend délicatement mon sexe, commence un doux mouvement de va et vient. Elle m’embrasse dans la nuque.


Tu pensais à quoi quand tu te caressais, te masturbais sous la douche, pendant que je m’épilais, le soir où je t’ai préparé à mangé.

Tout en continuant avec beaucoup de douceur, son mouvement, son autre main, viens délicatement caresser mes bourses.

Je me disais bien qu’elle avait cédée bien vite. Quand elle veut quelque chose, elle va au bout de ses envies, et là elle me pousse dans mes retranchements.

Oui ce fameux soir ou je ne savais plus où me mettre, ou je me suis comporté comme un collégien.


Je pensé à ce qui s’était passé, juste après le repas, juste après que je t’ai pose un petit baisé sur ses lèvres, pour te remercier.

Tu m’as répondu, « Non, tu me remercies en gamine, en jeune fille. »

Tu t’es relevé, assise à califourchon sur mes cuisses face à moi, en relevant son tablier qui te gênait pour me chevaucher.

Tu m’as exposé ton pubis sans aucune pudeur. Tu as voulu m’embrasser à pleine bouche, tes bras autour de ma nuque, ta poitrine presque nue contre mon torse. Mes mains que je ne maitrisées plus, qui partent à la découverte de ton corps. Je devenais fou, j’étais fou.

Tu a voulu m’embrasser comme tu le voulais, j’ai essayé de résister, de ne pas te céder. Pas évident quand tu veux quelque chose ma chérie.


Je sens son corps qui se colle encore plus contre moi, sa respiration qui s’accélère, ses lèvres qui m’embrassent dans la nuque.

Continue mon amour, de t’entendre me dire ce que tu as ressenti à ce moment là, moi qui m’offrais, qui te déclarait mon amour, je fond, je coule.
Te caresser, te masturber, en même temps que tu me le raconte, avoir en main, tenir ton sexe, tes bourses, pendant que tu me racontes ton ressenti, j’ai l’impression que tu es en moi, à moi.


Je tourne ma tête, me retourne doucement, l’embrasse, en me noyant dans ses yeux qui brillent, qui étincellent.

Retourne toi mon chéri, je ne veux pas que tu voies ce que tes mots me font, ce que je ressens. Je veux que ton corps réalise, que tu réalises, ce qu’ils me font, comment je suis chaviré de les entendre.
Tout comme toi en ce moment mon amour, toi qui frémi, qui grossi, dans ma main, qui te laisse aller à mes caresses. Continue, je t’en prie, je coule comme une fontaine à chacun de tes mots, de tes doux mots. Regarde, sens le.

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Re: Secret de famille

Message par Invité »

Jak67 a écrit :



tu passes d'un extrême à l'autre.

:cecyls: :cecyls: :cecyls: :cecyls:
c'est parce que j'ai compter ^^
DeLsEp9

Re: Secret de famille

Message par DeLsEp9 »

Jak67 a écrit :



tu passes d'un extrême à l'autre.

:cecyls: :cecyls: :cecyls: :cecyls:
Mel29440 a écrit : c'est parce que j'ai compter ^^
Comme tu as pris la peine de le faire. :sweet:
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Continue mon amour, de t’entendre me dire ce que tu as ressenti à ce moment là, moi qui m’offrais, qui te déclarait mon amour, je fond, je coule.
Te caresser, te masturber, en même temps que tu me le raconte, avoir en main, tenir ton sexe, tes bourses, pendant que tu me racontes ton ressenti, j’ai l’impression que tu es en moi, à moi.


Je tourne ma tête, me retourne doucement, l’embrasse, en me noyant dans ses yeux qui brillent, qui étincellent.

Retourne toi mon chéri, je ne veux pas que tu voies ce que tes mots me font, ce que je ressens. Je veux que ton corps réalise, que tu réalises, ce qu’ils me font, comment je suis chaviré de les entendre.
Tout comme toi en ce moment mon amour, toi qui frémi, qui grossi, dans ma main, qui te laisse aller à mes caresses. Continue, je t’en prie, je coule comme une fontaine à chacun de tes mots, de tes doux mots. Regarde, sens le.


-/-


Elle prend ma main, la guide vers son ventre. Elle pose mes doigts sur sa vulve, elle coule comme une fontaine.

Laisse moi faire.

Elle guide un de mes doigts en en elle, pose doucement mon pouce sur son clitoris, qui bande. Il est énorme. Je commence doucement à le caresser, a le titiller.

Si tu me promets de ne pas bouger, de ne pas me caresser, tu peux laisser ta main. Je veux que seul tes mots me fassent couler, me fassent jouir.

J’arrête de l’exciter, de la caresser. J’ai l’impression, la sentant respirer plus vite, qu’elle se retient de me dire quelque chose.

Elle se colle à moi, ses seins se plaquent sur mon dos, ses tétons tels deux poignards, me donnent l’impression de vouloir me transpercer tant ils sont gros, tant ils sont durs. Ses mains reprennent leur douces caresses. Sa bouche s’approche de mon oreille, elle me suce le lobe de l’oreille.


Continue, mon amour, dis moi mes mots, ces mots qui me font couler, qui m’émeuvent autant que toi.

Tu m’as dit des mots forts, des mots tendres, des mots d’amours. Je ne m’y attendais pas, ne les attendais pas.

Des mots qui m’ont fait peur, qui m’ont effrayé. Tes actes, ce que tu as fait, m’a autant chamboulé, m’a autant effrayé que tes mots.

« Voila un baiser pour une femme, pour une maitresse . . . de maison.

C’est gentil de ne pas être allé plus loin, bien que tu en ais envie. Que j’en ai envie, je crois.

Aucun homme ne m’a jamais touchée, je suis vierge.

Et je ne voudrais pas qu’un autre homme que toi soit le premier.

Ma sœur m’a dit que tu as étais tendre et doux avec elle la première fois. »

Je t’ai dit des excuses débiles, j’ai était creux, insignifiant sur le moment.
Tellement je me sentais mal, tellement je me sentais troublé, par ton jeune corps, qui s’offrait, par toi qui t’offrais.


Je sens sa respiration qui s’accélère, ses mains restent douce, calme. Elle joue avec ma verge avec mes bourses. Elle est d’une telle douceur, que par moment je me demande si je ne rêve pas.

Ma main, mes doigts sentent sa mouille, son miel qui coule, qui les inonde. Mon autre main se pose sur ses fesses qui frémissent. Je pose ma tête sur son épaule. Elle m’embrasse, dans la nuque dans le cou, je frissonne.


J’adore mon amour, ces mots me font vibrer, me font couler. D’entendre mes mots dans ta bouche, je réalise maintenant, ce que cela a dut être pour toi, quand je sens l’effet qu’ils me font en ce moment.

Quand je me suis retrouvé sous la douche sans t’avoir écouté, surpris que j’étais, par tes mots, par tes aveux, par ta candeur dans tes mots.

Encore plus surpris, que lorsque je suis rentré de la promenade que tu m’avais imposé, où tes mots n’ont pas arrêtaient de tourner dans ma tête, où j’ai cogité comme un fou.

Lorsque tu m’as accueilli, en petite culotte et soutien gorge sous le tablier, ton adorable derrière qui se dandinait devant mes yeux, que tu est parti pour te retrouver nue sous le tablier, je me suis traiter de tous les noms d’oiseaux, de t’avoir provoqué de la sorte, tout en appréciant au combien la vision de ton corps que tu m’offrais.


Je ne savais plus comment faire, quoi faire pour te provoquer, t’amener a ce que tu comprennes. A te provoquer suffisamment, sans que cela ne soit vulgaire, ne soit choquant.

Que tu comprennes que je te voulais, que je te veux. Que je suis amoureuse de toi, que je suis prête à tout pour toi.


Tout en parlant sa main, ne me masturbe plus, elle caresse doucement ma verge, comme si elle voulait faire durer le plaisir, durer mon plaisir.

Je me retourne l’embrasse, je commence à sucer, mes doigts couvert, noyé par son miel si onctueux.

Elle me regarde souri, sa langue vient lécher délicatement mes doigts, lécher mes lèvres.
Mon sexe s’est logé entre ses cuisses, contre sa toison. Elle bouge doucement.

Elle regarde ma montre.


Il est 19h10, mon chéri, je crois que je t’ai un peu menti sur l’horaire.
Il va être l’heure des mise en bouches, de se mettre en appétit, avant de rassasier.

Je n’ai pas envie de me retrouver au lit avec toi, et devoir tout arrêter, du fait des serveuses qui nous ramènent le repas. Tu me feras jouir, je n’en peu plus.

Ma bouche, mes fesses, ma vulve, tout mon corps a faim de toi, a faim de tes caresses, a faim de ta verge.


Elle me regarde, souri, ses yeux me narguent.

Tu as commandé pour quelle heure ma puce ?

Pour quand j’en aurais fini avec toi mon amour.

Elle m’entraine hors de la douche , prend les draps de bain, m’en tend un.

Essuie toi, j’ai envie d’abuser de mon amant, d’abuser de toi.

Elle me regarde tout en se séchant rapidement. Je fais de même. Elle m’embrasse, me prend par la main, m’entraine vers le lit en souriant.

Au-dessus, en dessous ?

Comme je la regarde, surpris, elle sourit, m’allonge sur le lit.

Bon ce sera en-dessous.

Elle me regarde, me dévore des yeux, tout en se dirigeant vers moi à quatre pattes. Elle s’arrête, m’observe.

C’est tout l’effet que je te fais.

Sa bouche se pose sur mes cuisses, elle les embrasse alternativement, je sens sa poitrine, par moment qui frotte mes cuisses.

Je veux jouer avec elle, il faut que je me concentre sur autre chose, que je la fasse rager, qu’elle soit enrager. Je veux voir de quoi elle est capable, ce qu’elle fera.

Elle qui est prête à tout par amour pour moi, et moi je joue avec elle, avec ses envies. Je suis un pourri, je le sais, mais bon sang, je l’aime cette petite.


Je ferme les yeux, essaie de me concentrer sur autre chose. Je sens sa bouche qui se rapproche, ses seins, ses tétons, qui se frottent encore plus sur mes cuisses.

Tu joues à quoi mon amour, tu me fais quoi là ?

J’essaie de me retenir, mais je ne peux m’empêcher de rire. Je m’assieds sur le lit, face à ma puce. Elle a les yeux vert gris, la bouche pincée.

Tu es un chameau, tu joues encore avec moi. Tu mériterais que je te laisse en plan. Que je m’occupe toute seule de mes envies.

Elle s’allonge, se retourne. Je voie ses mains qui glissent le long de son corps, pour finir par s’arrêter entre ses cuisses. Je la regarde, me délecte de la voir si impudique, si naturelle, si provocante.

Elle a les yeux fermés. Je me penche, embrasse doucement ses mains. Je fais basculer doucement son corps sur le dos, pose ma tête sur ses cuisse, elle ne réagi pas. Ses doigts la caresse doucement. Elle sait que je la regarde se caresser. Je voie son corps commencer à réagir.

De la voir faire, je sens une érection arrivé, elle est si impudique, si belle quand elle se caresse.
Ses doigts papillonnent sur ses petites lèvres, deux doigts martyrisent son bouton d’amour. Je rapproche ma tête de la fourche de ses cuisses, de cet endroit qui m’attire comme un aimant.

Ma bouche s’approche de ses doigts, ma langue délicatement, comme pour ne pas la troubler pendant qu’elle se caresse, recueille son miel, sa liqueur sur ses doigts.
Je me délecte des saveurs, de son miel si capiteux, si enivrant. De cet hydromel qui me fait à chaque fois chavirer, qui me trouble tant.

Une de ses mains se rapproche de ma bouche, elle me tend ses doigts un par un. Ma bouche se précipite, les lèche, les suce, comme s’il s’agissait de son bouton d’amour. Je me ressource à la source de sa vie, au miel de son intimité.


Tu as voulus jouer, tu en assumeras les conséquences.

Nos regard se croisent, je voie ses yeux rirent. Elle est heureuse, son corps rayonne de bonheur.

Je dois avoir l’air bien triste, enfin je ne sais pas.

Elle prend doucement ma tête, l’approche doucement de sa vulve, de ses grandes lèvres qui frémissent comme si elles savaient ce qui les attend.

Un odeur légèrement musquée réveille mon sens olfactif, stimule mon érection. Son regard s’amuse depuis un moment à suivre l’évolution de mon sexe. Je la voie sourire. Elle me caresse les cheveux.


Je t’en prie arrête de jouer avec moi, avec mes envies, avec mon désir. Fais moi jouir, fais moi exploser de plaisir, comme tu l’as déjà si bien fait.


Invité

Re: Secret de famille

Message par Invité »

je suis un goumand j'ai le droit encore stp :bik:
DeLsEp9

Re: Secret de famille

Message par DeLsEp9 »

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Je dois avoir l’air bien triste, enfin je ne sais pas.

Elle prend doucement ma tête, l’approche doucement de sa vulve, de ses grandes lèvres qui frémissent comme si elles savaient ce qui les attend.

Un odeur légèrement musquée réveille mon sens olfactif, stimule mon érection. Son regard s’amuse depuis un moment à suivre l’évolution de mon sexe. Je la voie sourire. Elle me caresse les cheveux.


Je t’en prie arrête de jouer avec moi, avec mes envies, avec mon désir. Fais moi jouir, fais moi exploser de plaisir, comme tu l’as déjà si bien fait.

-/-


Quoi que je dise, quoi que je fasse, même si je joue avec Magalie, même si je m’amuse à la faire enrager, même si je la laisse dans sa frustration par moment, je sais qu’au final, j’ai envie, j’en meurt d’envie.

Je meurs d’envie de faire jouir ma petite puce. Elle m’a déjà tant donné, elle le veut tellement.

J’aime tant l’entendre feuler encore et toujours, comme la lionne qu’elle est, quand elle s’abandonne dans les bras de l’amour, quand elle s’abandonne dans mes bras. De la voir complètement ravager par le plaisir, est un réel moment de bonheur pour moi.

J’ai envie de sentir son corps se tendre, se tordre du fait de ce plaisir qui lui remue les tripes, de la voir allonger, complètement vider par la jouissance qui vient de la submerger.

Plus simplement j’ai envie de jouir avec elle, de jouir de ma petite puce, de la voir jouir de notre amour, qui me noue les tripes comme un collégien.


Je me glisse entre ses jambes, mes mains repoussent ses cuisses, ouvrant le compas de ses jambes. Je reste, comme la première fois que je l’ai aperçu, pantois, devant la vision de son intimité, de son nid si douillet, si chaud, que j’aime tant, qu’elle aime tant me voir dévorer.

Sa vulve, sa petite chatte, qu’elle m’a offert, qu’elle veut me donner, alors que je me refuse pour l’instant de la combler de mon sexe, que je refuse d’honorer cette femme dans le devenir, voulant pour elle la plus belle des premières fois.

Ses mains repoussent les miennes, les remplacent, ouvrant encore plus le compas de ses jambes. Offrant encore plus à ma vue sa douce, sa si belle intimité,


J’aime tant voir ta bouche me dévorer, me dire que dans quelques minutes, dans quelques secondes je vais sentir tes lèvres, qui se poseront sur mes petites lèvres, sur mon bouton d’amour, qu’elles l’aspireront, le feront devenir énorme pour que ta langue, le lèche, joue avec, comme moi qui aime tant le faire avec ta verge.

Mes doigts écartent ses grandes lèvres, je les pinces avec mes lèvres, elle sursaute. Ma bouche se pose délicatement sur ses petites lèvres, que j’aspire, me délectant de son miel qui s’écoule déjà, abondant.
Ma langue s’immisce entre ses petites lèvres frémissantes, gorgées de sang, que mes doigts ont écartées délicatement.

Ses yeux ne me lâche pas, scrute le moindre de mes mouvements.
C’est comme s’il voulait me montrer ce que je dois faire, ce que je dois lui faire, pour faire monter cette jouissance qu’elle veut, qu’elle attend, qu’elle veut ressentir, avec l’impatience de sa jeunesse.

Mes mains se posent sur ses fesses, elle tire sur ses jambes, bascule son bassin.

Tout en continuant de dévorer sa petite chatte, de m’abreuver de sa liqueur, mes doigts jouent avec sa petite étoile, jouent à l’exciter encore plus qu’elle ne l’est déjà.

Je voie ses jambes trembler, ses mains se crisper sur ses cuisses.

Elle coule tellement que ma langue lape sa douce liqueur qui s’écoule sur son périnée. Elle bouge, ma langue se retrouve sur sa petite étoile, sur son anus.

La pointe de ma langue par petite touche, joue avec les plis de son anus, qui se crispe à chaque foi, que je l’effleure.

Elle s’assied, prend ma tête entre ses mains m‘embrasse.
Sa langue joue avec la mienne, elle caresse mes lèvres de la pointe de sa langue, ses mains caressent mon sexe avec une douceur extrême. Ses ongles griffes délicatement la peau fripée de mes bourses.

Elle me fait frissonner tant elle joue avec mes envies, qu’elle sait si bien faire apparaitre chez moi.

Elle m’oblige à me redresser, à m’agenouiller. Ses lèvres se pose sur mon gland. Elle l’embrasse, le tète, comme un nouveau né, qui trouve pour la première fois le téton qui va l’abreuver, lui donner le lait qui le fera vivre.

Elle fait glisser doucement mon gland, ma verge entre ses lèvres, sa langue s’enroule autour, jouent avec, excitent toutes mes terminaisons nerveuses.

Je sens ma verge grossir, gonfler entre ses douces lèvres, entre ses lèvres gourmandes.

Ses yeux brillent, ne me lâchent pas d’une seconde. Elle m’observe, observe mes réactions, scrute mes sensations que mon corps ne peut lui cacher, que je ne veux pas lui cacher.

Brusquement elle s’allonge , remonte ses jambes.


Mes fesses, je te veux dans mes fesses.

Elle me guide, pose mon gland sur sa petite étoile, ses mains se posent sur mes hanches, elle me supplie des yeux.

Doucement mon sexe s’enfonce en elle, elle est détendue, mes mains agrippent ses hanches, et d’un même mouvement tous les deux, nous nous attirons doucement l’un vers l’autre.

Elle ne me lâche pas des yeux, ses yeux qui exprime tout son bonheur, toute sa joie de ce moment qu’elle veut, qu’elle a voulue, de ce moment ou elle me sent complètement en elle, complètement dans ses entrailles.

Elle est si heureuse, en se moment, sa peau me le dit, me l’exprime tant elle frissonne de plaisir.

Je me penche doucement, mes mains prennent appuis sur l’arrière de ses genoux. J’écarte ses jambes, mes lèvres se posent sur ses tétons qui pointent qui se dressent. Ma langue doucement caresse ses aréoles qui sont fripées, que je vois diminuer en même temps que ses tétons deviennent encore plus gros, pointent encore plus.

Une de ses mains se pose sur ma tête, me caresse la nuque, pendant que l’autre me caresse les fesses, remonte doucement le long de ma colonne, me griffant doucement, me provoquant des frissons dans tout le corps.

En même temps que je l’embrasse, je commence à bouger doucement entre ses fesses, dans ses entrailles.

Elle papillote des yeux comme pour approuver.


Doucement mon amour, comme si tu étais dans mon ventre, comme si tu voulais me faire doucement l’amour, tout doucement.

Je te sens si bien. Je sens si bien ta verge dans mes fesses, dans mes entrailles.


Elle pose ses mains sur mes hanches, me guide, me donne le rythme qu’elle veut ressentir. Elle m’impose son rythme, un rythme lent très lent.

En si peu de temps, elle sait ce qu’elle veut, elle sait comment elle le veut. Elle comprend son corps, ses envies, ses réactions, les assume.

Plus notre relation avance, plus elle exprime ses désirs, ses envies, sans tabous, sans honte. Naturellement, sans aprioris.

Au retour des vacances, il faudra que je m’organise, pas moyen de faire autrement, il faudra que je me libère au moins une journée par semaine, pour ma petite puce, sinon elle va péter un câble, c’est certain.

Cela ne va pas être évident, si les deux sœurs travaillent dans la même société, dans le même magasin. Quelle idée j’ai eut de parler de Sabine à Martine.

On va être obligé de mentir à Sabine et cela ne me plait pas, mais alors pas du tout.


Elle a remarqué que j’étais plongé dans mes pensées, pas moyen de lui cacher quoi que ce soit. Elle lit en moi comme dans un livre ouvert.

Ses yeux me donnent l’impression de m‘interroger, de chercher au fond de moi, ce qui pouvait bien entrainer mon esprit autre part. Ce qui m’entraine ailleurs que dans les délices où elle m’emmène, me plonge, en ce moment, pour mon plus grand plaisir, pour notre plus grand plaisir.


Je pensais à nous deux, mon amour, à notre futur.

Elle souri, m’embrasse tendrement.

Tu n’est pas possible mon chéri, tu ne peux pas te vider la tête, arrêter de penser. Profite du moment présent, profite de la joie que nous avons de nous retrouver tous les deux. Profite de moi, abuse de mon corps que je te donne, avec toute la joie, avec tout l’amour que j’éprouve pour toi…

Elle me serre dans ses bras, m’embrasse, ses lèvres, sa langue caresse mes lèvres, joue avec ma langue.

Je t’aime mon amour, même si tu me fais enrager, même si par moment j’ai envie de t’étriper car, tu joues avec moi, tu joues avec mes envies, tu joues avec mon désir. Quoi que tu fasses, je t’aime.

Tout en parlant, elle a maintenue ce mouvement lent, comme si elle voulait pleinement apprécier ce sexe qui fouille ses entrailles, ce sexe qui la pénètre au plus profond de ses entrailles.

Elle accélère le mouvement de ses mains, je me laisse faire, je la laisse faire. Je voie ses yeux briller, elle souri, appréciant que je la laisse diriger, la laisse faire venir son plaisir comme elle le veut.

Mes mains suivent sa cadence, qui s’accélère de plus en plus. Mes cuisses claquent sur ses fesses.
Elle ferme les yeux, sa peau est moite, ses doigts griffent mes flancs, ses seins, ses tétons sont énormes.

Ses mains attrapent ses tétons, les tordent, les tirent, les maltraitent. Mes cuisses claquent de plus en plus vite, de plus en plus fort sur ses fesses.

Mon sexe défonce ses fesses, profite, abuse de son petit trou, qu’elle me donne avec tant de joie, avec tant de plaisir.

Je sens son anus qui commence par moment a serrer, comme si elle ne se contrôlait plus, comme si elle ne maitrisait plus son corps.

Ses mains agrippent mes flancs, et au moment où je sens ma jouissance arrivée au triple galop, comme si moi aussi je ne contrôlais plus rien.


Joui dans mes fesses, c’est trop bonnn…

J’entends, l’entends qui commence à jouir, son feulement, me stimule, me pousse, m’entraine avec elle. Elle saisi un coussin, qu’elle s’applique sur la figure pour étouffer son feulement ravageur. Le feulement que la lionne en chaleur qu’elle est en ce moment, laisse sortir.
Au même moment, je sens une boule de feu exploser en moi, et je me vide violement en elle. Son anus se contracte violemment, comme pour faire sortir les dernières gouttes de ma jouissance.


Invité

Re: Secret de famille

Message par Invité »

stp jak encore une suite ou deux meme
Invité

Re: Secret de famille

Message par Invité »

s'il te plait :modo:
DeLsEp9

Re: Secret de famille

Message par DeLsEp9 »

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Ses mains agrippent mes flancs, et au moment où je sens ma jouissance arrivée au triple galop, comme si moi aussi je ne contrôlais plus rien.

Joui dans mes fesses, c’est trop bonnn…

J’entends, l’entends qui commence à jouir, son feulement, me stimule, me pousse, m’entraine avec elle. Elle saisi un coussin, qu’elle s’applique sur la figure pour étouffer son feulement ravageur. Le feulement que la lionne en chaleur qu’elle est en ce moment, laisse sortir.
Au même moment, je sens une boule de feu exploser en moi, et je me vide violement en elle. Son anus se contracte violemment, comme pour faire sortir les dernières gouttes de ma jouissance.



-/-


Je m’écroule sur elle, l’embrasse avec passion, comme le fou que je suis. Le fou qui l’aime à en crever, qui l’aime pour elle-même, qui l’aime pour tout ce qu’elle est prête a sacrifier pour lui. Qui l’aime tout simplement.

Elle cherche sa respiration, me regarde, ses yeux brillent, me semblent noyés de bonheur.
Je ne cherche pas à comprendre, ne veux plus chercher comprendre ce qui se passe.
J’aime ma petite puce, j’aime Magalie, tout autant que Sabine sa sœur. Quoi qu’il se passe, quoi qu’il advienne j’assumerais. J’assumerais cet amour pour ces deux femmes, pour ces deux sœurs, qui m’ont capturés, qui m’ont prises dans leurs filets, pour mon plus grand plaisir, et pour le moment pour ma plus grande peur.

Mon sexe, doucement, comme a regret, glisse hors de ses fesses, hors de ses entrailles. Je sens son anus qui serre comme pour me retenir, m’empêcher de la quitter, comme si elle voulait que je reste en elle.
Je roule sur le côté. Au bout de quelques minutes, où je la voie continuer à se détendre, à reprendre son souffle, je me surprends, a l’admirer, a admirer ma puce.
Dieu qu’elle est belle, qu’elle est magnifique, quand après l’amour, après qu’elle se soit laisser aller, dans les bras de l’homme qu’elle aime, de l’homme qui l’aime plus que sa vie, je le voie revenir, doucement à la vie.

Oh oui elle est sublime, après qu’elle se soit donner comme l’amante, comme la maitresse femme qu’elle est devenue, qu’elle sait être, son corps apaiser me manque déjà.
Sa respiration se calme, sa poitrine qui se gonflait de façon démesurée, reprend petit à petit un rythme normal.
Son ventre, se calme aussi, ma main sans que je ne le réalise, s’est posé sur son ventre, et joue avec sa toison.

J’embrasse ses paupières, sa main se pose sur ma nuque et doucement elle fait descendre mes lèvres. Mes lèvres qui l’embrassent, mes lèvres qui glissent le long de son visage, qui reprend doucement toute sa candeur, qui reprend toute sa sérénité. Mes lèvres, vers ses lèvres qui se tendent, quémandant les miennes.
Nos lèvres se retrouvent, se caressent, se touchent, avec énormément de douceur, énormément de plaisir. Notre baiser tendre, doux, nos souffles qui se mélangent, eux-mêmes me donnent l’impression de se chercher, de se trouver, pour ne faire qu’un. Le souffle de notre amour.

Mes mains caressent ses cheveux, qu’elles ont écartés, voulant me laisser admirer ses yeux qui brillent, qui scintillent.


Je t’aime ma puce, je t’aime tant.

Je lis dans ses yeux la joie, le plaisir que ces petits mots lui procurent.
Son corps frissonne, elle me regarde, nos yeux se trouvent, se noient, dans les sentiments qu’ils affichent, dans le bonheur qu’ils expriment.


Je t’aime mon amant, je t’aime mon homme, je t’aime mon Jacques.
Tu as fait de moi une femme, même sans m’avoir pénétré, même dans m’avoir défloré.
Tu as fait de moi une femme, qui ressent le plaisir qu’elle peut donner, qu’elle donne à l’homme qu’elle aime.
Tu as fait de moi une femme, qui assume ses envies, ses désirs, qui assume sa sexualité, qui assume, qui s’assume.


Elle se redresse, m’embrasse tendrement, prend mon bras, regarde l’heure.

Mon amour nous avons vingt minutes. On nous sert le repas à 20 h30 il faut que l’on bouge, que l’on se bouge.
On prend une douche express, on sent l’amour, comme tu le dirais si bien mon chéri.


Elle me prend par la main, m’entraine sous la douche.

J’ai l’impression d’être un collégien, un ado, qui se laisse diriger par la femme qui a jeté son dévolu sur lui.

Elle m’embrasse, souri devant mon air agar.

Réveil toi mon amour, tu es incroyable, par moment je me demande qui ne de nous deux est l’adulte.

Nous nous lavons rapidement. Nous sommes en train de nous sécher mutuellement, essayant de ne pas trop nous exciter, quand j’entends toquer à la porte de la chambre.
J’enroule une serviette autour de mes reins, vais ouvrir la porte.
La serveuse, entre avec une table à roulettes, la positionne ainsi que deux chaises, au centre de la chambre, me souhaite bon appétit.

Elle sort en souriant, au vue de ma tenue, peut être, ou est ce le champ de bataille qui nous sert de lit.
Il est vrai que ce qui nous sert de lit, n’a de lit que le nom, tant tout est chamboulé, retourné, étalé pour parti au sol. Enfin c’est plus un champ de bataille qu’un lit.

La puce sort de la salle de bain, une serviette enroulée autour du corps.


Bon sang qu’elle est craquante. Avec ses cheveux mouillés, les gouttes d’eau qui s’écoulent doucement entre ses seins.
Merde je bande à nouveau. Rien que de la voir, je ne sais pas, ne sais plus me retenir, dès qu’elle apparait un tant soit peu dénudé, je me comporte comme un ado.

Merde Jacques c’est toi l’adulte, enfin il parait que c’est toi.


Elle s’avance vers moi de sa démarche de vamp, je bande encore plus, tant elle est impudique, tant elle est désirable.
Quand elle marche sa serviette s’ouvre sur ses cuisses me laissant deviner, me laissant apercevoir son entre jambes, me laissant entrevoir sa toison qui brille à la lumière.

Elle s’approche, m’embrasse doucement, sa main se pose sur la serviette, me caresse doucement.


Mon chéri tu es impossible tu bandes encore. Viens mangeons, reprenons quelques forces, je verrais ce que je peux faire de toi après.

Je me retourne, écarte la chaise, elle s’assied, je l’embrasse, embrasse la partie visible de sa poitrine, au-dessus de la serviette qui me laisse entrevoir ses aréoles. Elle frissonne, me caresse tendrement la tête, les cheveux.

Toi aussi mon chéri tu sais faire ce qu’il faut pour faire venir mes envies. Je coule comme une fontaine.

Chaque fois que tu me touches, que tu m’embrasses, je ne maitrise plus rien, je ne contrôle rien, mon corps réagi comme s’il voulait encore et encore, comme s’il voulait toujours plus. Comme s’il attendait le contact de ton corps, de tes mains de ta bouche, pour l’embraser encore plus.


Je m’agenouille, écarte doucement ses cuisses, ma tête s’approche doucement de sa petite chatte, de sa vulve, qui brille dans la lumière du soleil couchant.

J’embrasse son autre bouche, ses autres lèvres si douces, si chaudes, si humides. Je me retiens de les dévorer tant l’envie me prend sur le moment, tant de les voir frémir devant mes yeux, me donne envie de les dévorer, de les manger.


Mon chéri, mangeons pour prendre des forces, nous en avons besoin. Nous dévorer l’un l’autre, après, nous aurons tout le temps.

Je me redresse, elle attrape ma tête, lèche mes lèvres.

Je te comprends mon chéri, j’ai bon gout, tu voulais te mettre en appétit, t’es un coquin. Un coquin que j’aime, un coquin qui sait faire de moi ce qu’il veut, quand il le veut.

Elle me souri, pendant que je me redresse, m’assied.
Je la sert. Les Maultaschen, pour commencer. C’est un peut lourd pour l’époque, mais j’adore, le gout. Nous mangeons de bon appétit, il est vrai que je meurt de faim, tout comme ma puce, quand je la voie dévorer de bon cœur.

Je sers les escalopes viennoises, elles sont énormes comme toujours ici.

Nous finissons de manger, il ne reste pas grand-chose dans les plats. Je sort la table à roulette dans le couloir. Ferme la porte, en ayant remis la pancarte « Ne pas déranger ».

Magalie est déjà couchée, et tapote le lit à côté d’elle. Elle sourit, me voyant arriver vers elle, vers le lit.


Elle me donne presque l’impression d’une mante religieuse attendant son mâle, pour le dévorer, tant ses yeux ne me lâchent pas, tant ils me dévorent en ce moment.

Je m’allonge à côté d’elle la prend dans mes bras. Elle pose sa tête sur mon épaule.

On se repose un peu mon amour, on s’est quand même un peu dépenser aujourd’hui, presque autant que cette semaine.

Elle rabat le drap sur nous, sa main se pose sur mon sexe, elle le prend délicatement entre ses doigts. Nous nous endormons, combler d’amour.
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