Vacances en Corse

Des récits qui ne manqueront pas de réveiller vos sens et votre imagination...
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Re: Vacances en Corse

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:cingle: :cingle: :cingle:
DeLsEp9

Re: Vacances en Corse

Message par DeLsEp9 »

Propos de Sabine ma femme
Propos de Magalie ma belle sœur
Propos de Jacques
Mes pensées
Propos de Mario

Propos de Charlotte
Propos de Lucie fille de Charlotte
Propos de Louise petite fille de Charlotte

32)



Prends moi, prends mes fesses, je te les donne, je veux te sentir en moi, dans mes entrailles, je n’ai plus peur, plus peur d’avoir mal, je t’en prie.

Ses yeux, mon dieu, ils me supplient, encore plus qu’elle, bien plus que ces mots. Ils m’implorent.

J’appuis sur son dos doucement, elle se remet à quatre pattes, je sens une main me guider dans son ventre qui dégouline. Je la pénètre doucement, lentement. Mon pouce que j’ai mouillé abondement dans ma bouche appuis sur son anus, il la pénètre lentement, doucement.

Elle se cambre s’allonge presque sur Magalie qui est sous elle. Deux mains apparaissent, et écartent doucement les fesses. Mon pouce la pénètre totalement, et commence doucement un lent va et viens. Elle gémi, se cambre encore plus.

Une main caresse, mes bourses, je me retire doucement. Je prends mon sexe en main. Les deux mains, réapparaissent et écarte doucement les fesses de sabine. Je positionne mon sexe sur son anus, pose mes mains sur mes hanches.


-/-


A ce moment je comprends que ce sont les mains de Magalie qui tiennent écartées les fesses de Sabine. Magalie, me regarde, souri. Sabine la fixe, comme absente, tétanisée. Je voie Magalie qui lui parle à l’oreille, elle se détend. Je ne lâche pas des yeux Magalie, elle lui parle sans s’arrêter, n’arrête pas de lui parler à l’oreille.

Je sens ses fesses qui poussent, Je pousse doucement, mon gland commence à disparaitre dans ses fesses. Elle gémi, recule comme pour s’empaler. Je recule mon bassin, laissant mon sexe la pénétré un peut plus.


Ne vas pas trop vite ma chérie, on a le temps, prends ton temps.

Je la sens reculer, en même temps que je pousse. Mon sexe s’enfonce de plus en plus profondément en elle. Magalie continue toujours à lui parler. Mes mains la tire doucement vers moi, elle s’empale d’un seul coup sur mon sexe, et pousse un hurlement. Les mains de Magalie se retirent pour boucher ses oreilles. Son regard est effrayé.

Sabine se redresse, s’assoie sur moi, mon sexe profondément enfoui dans ses fesses. Ses mains se posent sur mes hanches, elle se colle contre moi, sa tête se tourne, elle cherche ma bouche, m’embrasse comme une furie.

Je la sens qui commence à remonter doucement sur ma verge, elle redescend doucement, comme pour apprécier ce sexe dans ses entrailles, comprendre qu’un sexe est dans ses entrailles, qu’un sexe la fouille au plus profond de ses fesses.


Tu n’as pas mal ?

Plus maintenant. Je te sens merveilleusement bien.

Je suis en elle. Elle ne bouge plus. Une de mes mains descend le long de son ventre, la caresse. Un doigt, puis deux, la pénètre, la fouille, la caresse.

Elle laisse partir sa tête en arrière, me mordille le lobe de l’oreille. Cela me provoque une vague de frissons. Je sens son anus se serrer sur ma verge.


Magalie a raison. Tu es un démon.
Tu nous amènes là où tu veux, à faire ce que tu veux. A faire ce que nos corps veulent, sans que nous l’ayons compris. Et cela bien avant que nos têtes ne l’aient admis.

Pourquoi avais-je aussi peur avant ? Je te sens si bien en moi, je suis si bien avec ton sexe en moi, avec ton sexe dans mes fesses, avec ton sexe qui abuse de ma petite étoile.

Etre avec un homme qui se donne pour notre plaisir, qui nous amène à tous les plaisirs, à toutes les jouissances, est si agréable, si rare.


Magalie est agenouillée face à nous. Elle est interloquée, le hurlement à dut lui vriller les tympans.

Sabine lui prend les mains, l’attire vers elle, elle se redresse, se rapproche, viens contre Sabine, pose son menton sur son épaule face à mon visage. Mes bras les enserrent, ma bouche se rapproche de celle de Magalie, et l’embrasse tendrement.

Mes deux mains se glissent entre leurs corps, une investie la grotte de Sabine, deux doigts commencent à la fouiller, la caresser. L’autre main se dirige vers le puits d’amour de Magalie.

Elle me regarde, je sens ses cuisses s’écarter, son bassin se rapprocher. Les deux sexes de mes femmes sont à quelques centimètres l’un de l’autre. Deux doigts pénètre Magalie, la caresse, la fouille sans vergogne tout comme sa sœur.

Leurs poitrines se frottent l’une à l’autre, leurs tétons pointent. Les mains de Sabine et Magalie se soulèvent presque en même temps, et viennent caresser les seins face à elle.

J’embrasse Magalie, Sabine tourne la tête nous embrasse, force ma bouche, force la bouche de Magalie avec sa langue. Nos deux langues partent à la recherche de celle de Sabine. Se retrouve hors de nos bouches, se lèchent se caressent, se mélangent, s’aiment.

Tout est d’une totale indécence, nous ne faisons pas l’amour, nous baisons, nous assouvissons nos envies, nos désirs, sans réfléchir, sans penser à quoi que ce soit d’autre que le plaisir. Je regarde Magalie, l’embrasse.

Elle s’écarte recule s’assied dans le sable face à nous. Je me redresse, appuis sur les épaules de Sabine qui se retrouve à quatre pattes, sa tête à quelques centimètres de la poitrine de Magalie. Il suffirait qu’elle relève la tête pour avoir les seins de Magalie en bouche.

Je positionne mes mains sur les hanches de Sabine, Mes yeux sont dans les yeux de Magalie. Elle fixe mon regard, ses mains glissent vers ses cuisses, elle commence à se caresser, ses paupières se baissent, je commence à bouger dans Sabine.

Je règle mon va et vient sur la respiration de Magalie. Je bouge doucement, et au fur et à mesure que la respiration de Magalie s’accélère je pilonne Sabine de plus en plus violement. Elle gémit, se contorsionne, mes mains la tiennent fermement.


Mon dieu que c’est bon de te sentir si fort, si gros dans mes fesses, que tu me laboures si violemment, continue je t’en prie, continue, baise moi, baise mes fesses. .

Magalie qui a ouvert les yeux depuis quelques temps à compris, ce qui se passe. Elle a compris que mes mouvements sont calqués sur sa respiration.

Elle à l’air complètement excitée, de voir son amant qui besogne la femme qu’il aime au rythme de la montée de son propre plaisir, de son propre désir.

Elle s’allonge, tout en continuant à se caresser, son regard soudé au mien. Je voie ses seins, monter et descendre au rythme de sa respiration. Ils sont énormes, énormes de désirs, énormes de l’envie de se faire embraser, de se faire caresser, énormes du plaisir qu’elle se donne, du plaisir que je lui donne par personne interposée.

Sabine que je laboure, que je pilonne comme un fou pendant se temps, gémis de plus en plus fort. Elle se laisse tomber, ses bras ne la portant plus. Elle se retrouve le front sur les mains de Magalie qui se caresse comme une Folle.

Je voie les mains de Sabine écartées furieusement celles de Magalie, et sa bouche se précipiter sur la vulve qui se présente à elle, qui s’offre à elle.

Les mains de Magalie se posent sur la tête, caressent les cheveux.

Plus personne ne sait ce qu’il fait. Je défonce les fesses de la femme que j’aime en étant dans les yeux de l’autre femme qui m’aime, qui elle-même se fait dévorer la vulve.
Tout est d’une indécence totale, d’une obscénité complète.

Mais personne ne réfléchi, personne ne pense, nous sommes accroché à notre plaisir. Lui seul nous dirige, nous commande, en ce moment. Nous ne cherchons pas à comprendre. Nous baisons, nous ne cherchons que notre plaisir.

Je voie Magalie, qui se tétanise, qui ouvre la bouche, pour chercher de l’air, ses mains se crispent dans les cheveux de Sabine, elle hurle son plaisir, elle ne feule plus elle hurle.

Je sens sabine se contracter presque au même moment, ses mains attrapent mes mains et tirent, elle m’attire au plus profond d’elle et elle hurle, elle hurle au moment ou je me vide en elle, qu’une boule explose dans mes reins, m’irradiant tout le corps. Je m’écroule, étant toujours en Sabine. Nous tombons sur le côté. Ma tête se pose sur la cuisse de Magalie.

Je m’endors.


Invité

Re: Vacances en Corse

Message par Invité »

:cingle: :cingle: :cingle: :cingle: :cingle: :cingle: :love: :love: :love: :love: :love:
Loverain

Re: Vacances en Corse

Message par Loverain »

:cingle: Oui... oh oui... hummm... t'avouerais-je que c'était très ... efficace ? ;)

Merci pour ce moment de plaisir.
Invité

Re: Vacances en Corse

Message par Invité »

Loverain a écrit ::cingle: Oui... oh oui... hummm... t'avouerais-je que c'était très ... efficace ? ;)

Merci pour ce moment de plaisir.
tu as lu les 2premiere partie?

mais je suis daccord avec toi ^^ toi aussi tu a hate a lire la suite?
Loverain

Re: Vacances en Corse

Message par Loverain »

Mel29440 a écrit : tu as lu les 2premiere partie? OUI !

mais je suis daccord avec toi ^^ toi aussi tu a hate a lire la suite?
Très hâte... :)
DeLsEp9

Re: Vacances en Corse

Message par DeLsEp9 »

Propos de Sabine ma femme
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33)



Mais personne ne réfléchi, personne ne pense, nous sommes accroché à notre plaisir. Lui seul nous dirige, nous commande, en ce moment. Nous ne cherchons pas à comprendre. Nous baisons, nous ne cherchons que notre plaisir.

Je voie Magalie, qui se tétanise, qui ouvre la bouche, pour chercher de l’air, ses mains se crispent dans les cheveux de Sabine, elle hurle son plaisir, elle ne feule plus elle hurle.

Je sens sabine se contracter presque au même moment, ses mains attrapent mes mains et tirent, elle m’attire au plus profond d’elle et elle hurle, elle hurle au moment ou je me vide en elle, qu’une boule explose dans mes reins, m’irradiant tout le corps. Je m’écroule, étant toujours en Sabine. Nous tombons sur le côté. Ma tête se pose sur la cuisse de Magalie.

Je m’endors.


-/-


Une main me caresse la joue, une bouche m’embrasse tendrement. J’ouvre les yeux, je voie Sabine. Magalie à côté d’elle, qui me caresse la joue. Elles on l’air si effrayées, si paniquées.

Tu nous a fait peur mon amour.

On a cru que tu avais fait un malaise, tu ne répondais plus, ne bougeais plus.

Elles me prennent les mains, s’allongent toutes les deux contre moi de chaque côté, passe mes bras derrière leurs têtes, qu’elles posent sur mes épaules, et poussent un grand soupir. Comme pour se détendre de la peur que je leur aie faite bien involontairement.

J’ai cru m’endormir, sur la cuisse de Magalie. Tout a était si puissant, si violent, que je ne me souviens de rien de ce qui s’est passé après.

Je regarde tour à tour Magalie et Sabine, elles se calment, ont l’air d’avoir moins peur, d’être moins effrayées. Je souris, les embrasses tour à tour. Sabine et Magalie, se redresse, m’embrasse toutes les deux. Leurs yeux brillent. Il me semble, qu’elles ont l’air, de ne plus avoir aussi peur pour moi.

Mon chéri, tu as deux folles furieuses à tes côtés.

Tu nous a fais jouir en même temps. Tu es un monstre, que j’aime, que nous aimons à la folie.

Je caresse leur cheveux, mes mains descendent le long de leurs corps, je caresse leurs fesses. Elles sourient.

Tu es insatiable mon chéri.

Tu es impossible mon homme. Tu crois que ton zigouigoui, y arriverais encore ?

Je voie Magalie s’asseoir, éclater de rire, essayer de parler, elle n’y arrive pas tellement elle ri. De la voir rire, nous éclatons de rire sans savoir pourquoi. Magalie se calme un tant soit peux. Elle arrive enfin à articuler deux mots.

Tu l’as appelé comment, son zigo….

Son zigouigoui. C’est mignon non ?

Elle repart dans son fou rire. Elle pleure de rire. Elle se tient les côtes, gémis.

J’ai mallllllll.

Je me lève, me place derrière elle, commence à lui masser les côtes, doucement. Elle se redresse, s’assied sur mes cuisses. Elle s’adosse contre mon torse, ses mains prennent les miennes, les croisent sur son ventre.

Jacques tu es un démon, le diable personnifié. A peine tu me touches, je coule. Ma fontaine se réveille.

Ma main se pose sur sa vulve, je la caresse, effectivement elle coule, je glisse un doigt entre ses grandes lèvres, elle se colle encore plus contre moi. Tourne sa tête m’embrasse.

Je crois que nous avons fait assez de folie de nos corps ce soir. Nous sommes épuisés. Toi surtout, mon amour. Il faudrait que l’on se calme toutes les deux, mon chéri.

Je sais que si tu continue, je me laisserais faire, j’ai envie de te sentir en moi, j’aime sentir ton sexe dans mon ventre, dans mes fesses. Mais ça ne serait pas sérieux. En plus il doit être tard.


Je regarde ma montre il est trois heures.

Il est trois heure du matin, Rachel doit se demander où nous sommes passé.

Je voie les deux sœurs qui sursautent en entendant l’heure qu’il est. Nous nous levons nous dirigeons vers nos affaires. Nous nous séchons les uns les autres, nos mains en profitent pour caresser tout ce qui passe à porter de main, nous rions de nos envies qui commencent à réapparaitre.

Magalie met les serviettes dans le sac, et nous partons bras dessus bras dessous. Tout en marchant nous n’arrêtons pas de nous embrasser, comme des collégiens. Nous arrivons devant les chambres, aucun bruit. Je regarde Sabine et Magalie.


Elle s’est peut être endormie, ou elles se sont endormies, du plaisir de se retrouver toutes les deux. Aller voir toutes les deux, je reste dehors. Si elles se sont endormies, ce n’est pas à un homme de les réveiller.

Je prends une des chaises, m’assieds. Sabine ouvre doucement la porte de notre chambre, elle a pris sa petite lampe de poche, qui est accroché à l’anse de la corbeille. Elle rentre suivi de Magalie, qui referme la porte.

Au bout de dix minutes la porte s’ouvre, Sabine me fait signe de venir. Je rentre referme la porte, je voie deux jeunes filles adorables, dans les bras l’une de l’autre, assises dans le lit une personne, le regard complètement endormi. Elles sont adorables de candeur.

Sabine et Magalie sont assises de chaque côté, sur le bord du lit. Rachel et son amie ont l’air de se demander ce qu’elles font là, qui nous sommes. Sabine prends la main de Rachel.


Bonjour petite Rachel, il est trois heures du matin.

Rachel se frotte les yeux, nous reconnait souri, « on s’est endormi excus » Sabine lui pose un doigt sur les lèvres.

Tu n’as pas à t’excuser, je t’avais autorisé à faire venir ton amie. Je suis une femme.
Si mon ami vient, je sais que ce n’est pas pour se regarder dans le blanc des yeux, ni me compter fleurette, ma chérie.


Elle souri, son amie aussi, son amie qui commence peut à peut à se détendre.

Tu nous présentes ta charmante amie ?

Elle rougie, commence à bafouiller.

Calme toi ma belle, on ne va rien te faire. Respire à fond, tu verras cela ira mieux.

Je voie Rachel qui respire à fond, qui souffle, « Patricia, Sabine, Magalie et Jacques.» elle nous montre de la main en même temps.

« C’est peut être grâce à eux que mon père va ouvrir les yeux. Peut être grâce à eux, qu’il va accepter ce qui se passe. Comme je te l’ai déjà dit, ils sont très gentils. »

Elle parle à Patricia, comme si nous n’étions pas là. Je voie Patricia esquisser un sourire.

Enfin elle sourit, elle devait croire qu’on allé la manger.


Bon les filles vous avez un tee-shirt, je me retourne, vous allez dans la salle de bain vous habiller s’il vous plait. Je voie un grand sourire illuminer le visage de Rachel.

Je me retourne face à la porte, j’entends le sommier bouger, des pieds nus sur le carrelage de la pièce. La porte de la salle de bain qui s’ouvre et se referme presque aussi vite.
Quinze minutes plus tard la porte s’ouvre, Rachel sort, tenant par la main Patricia.

Elles sont adorables, adorable de candeur, adorable de naturel. Rachel et Patricia rougissent dés quelles voient que je les regarde.

Je fouille dans les poches de ma saharienne, sort ma pince à billets, la laisse dans main. Je regarde Sabine, qui comprend le message.


De vingt et une heure trente à trois heures trente, cela fait six heures.

Je voie Rachel qui veut dire quelque chose.

Oui Rachel tu as raison, vous étiez à deux pour surveiller notre petit, donc voilà pour chacune de vous.

« Mais non je ne voulais pas dire cela, je voulais » Sabine s’est levé et à posé son doigt sur les lèvres de Rachel.

Petite Rachel, tu nous as rendu service. Nous t’avons peut être aidé avec ton papa, seul l’avenir le dira. Si c’est le cas, nous en serons très heureux. Que ton amie soit là, c’est autre chose.

Vous avez gardé notre enfant, comme Jacques te l’as certainement déjà dit, le connaissant un tout petit peu, tout travail mérite salaire. Le sujet est clos.


Pendant Sabine parle, je m’avance, j’ai préparé deux fois, trois cents francs. Je tends une main vers Rachel, l’autre vers Patricia. Elles tendent la main, je dépose l’argent dans chacune des mains.

Six heures chacune à 50 francs cela fait trois cent francs chacune.

Elles se regardent, nous regardent, ne savent pas trop quoi dire. « Merci beaucoup, vous êtes trop gentil. »

Vous faites comment ? Je sors pour voir si personne n’est dehors et je vous fais signe pour partir.
Invité

Re: Vacances en Corse

Message par Invité »

:love: :cingle: :love: :cingle: encore encore :love: :cingle: :love: :cingle:
Loverain

Re: Vacances en Corse

Message par Loverain »

J'aime vraiment beaucoup... ;)
J'attends la suite avec impatience. :)
Invité

Re: Vacances en Corse

Message par Invité »

Loverain a écrit :J'aime vraiment beaucoup... ;)
J'attends la suite avec impatience. :)
oi c'est pareil je n'aime pas lire mais la je suis captivé a chaque fois ^^
ClEa8

Re: Vacances en Corse

Message par ClEa8 »

Je decouvre tes écrits avec plaisir. Je me suis arreter au chapitre 8 et je reprendrais demain.
Très intriguant, pas mal de question qui tourne dans ma tête.
Merci pour tes textes Jak.
DeLsEp9

Re: Vacances en Corse

Message par DeLsEp9 »

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Petite Rachel, tu nous as rendu service. Nous t’avons peut être aidé avec ton papa, seul l’avenir le dira. Si c’est le cas, nous en serons très heureux. Que ton amie soit là, c’est autre chose.

Vous avez gardé notre enfant, comme Jacques te l’as certainement déjà dit, le connaissant un tout petit peu, tout travail mérite salaire. Le sujet est clos.


Pendant Sabine parle, je m’avance, j’ai préparé deux fois, trois cents francs. Je tends une main vers Rachel, l’autre vers Patricia. Elles tendent la main, je dépose l’argent dans chacune des mains.

Six heures chacune à 50 francs cela fait trois cent francs chacune.

Elles se regardent, nous regardent, ne savent pas trop quoi dire. « Merci beaucoup, vous êtes trop gentil. »

Vous faites comment ? Je sors pour voir si personne n’est dehors et je vous fais signe pour partir.

-/-


Je voie Rachel faire oui de la tête. Je sors, regarde, il n’y a personne, j’ouvre la porte, Sabine et Magalie sont en train de leurs faire la bise. Je leur fait signe, elles sortent. Je les regarde s’éloigner discrètement. Je rentre ferme la porte.

Je me retourne, Magalie et Sabine sont déjà couchées et tapotent le lit entre elles. Je me déshabille, soulève le drap, quelle jolie vision s’offre à mes yeux. Mes deux puces nues, m’attendent dans le lit.

De voir leurs corps, leurs corps nus, de voir leurs petites chattes, ainsi offert à mon regard, je sens une poussée d’adrénaline, une envie me prendre dans le bas du ventre.

Sabine et Magalie m’observe, remarque l’effet que cette vision a sur moi.


Mon chéri, n’y pense même pas, on dort, tu te couches entre nous deux, mais malgré l’envie que tu ressens en ce moment, c’est pour dormir, nous reposer, te reposer.

Ce n’est pas pour batifoler, même si je pense bien en avoir à nouveau envie, en te voyant reprendre vie, en voyant cette jolie partie de ton anatomie, commencer a redresser la tête.


C’est vrai grande sœur que de voir cette petite chose montrer le bout de son nez, la voir qui commence à nous narguer, j’aimerais bien, m’en occuper un tant soit peu. Mais ce ne serait pas sage. Allez vient gentiment au lit notre amant, viens te coucher entre tes amours, notre homme.

J’embrasse tendrement Sabine, sa main me caresse doucement, commence a réveiller encore plus mes envies. Je voie ses yeux briller, la voie sourire tendrement, presque avec nostalgie, quand je me redresse.

Je fais le tour du lit, embrasse tendrement Magalie, qui elle aussi me caresse doucement, comme pour me narguer, me provoquer comme sa grande sœur, me montrer que c’est elles deux qui décident, et que pour le moment il n’en est pas question.

Je m’allonge, sabine éteint la lumière, elles se retournent vers moi.

Mes deux amours, m’embrassent sensuellement. Je sens deux mains qui se posent tendrement sur mon sexe, pendant que les miennes se posent sur leur pubis, qui coulent déjà. Elles posent leurs têtes, sur mes épaules. Je sens Morphée qui me tend les bras je m’endors entre mes deux amours.

Je me réveille doucement, mes deux puces dorment à mes côtés. Je sens leurs mains sur mon corps. Comme tous les matins, une érection matinale se manifeste, je sens, les doigts bouger, je regarde discrètement à ma gauche, à ma droite, les deux puces entre-ouvrent leurs yeux.

Mes doigts commencent à les caresser, je ne peux empêcher mes doigts, de partir à la découverte de leurs intimités respectives. Elles écartent leurs cuisses, pour faciliter l’accès à mes deux mains qui les caressent, les fouilles avec une envie évidente.

Je sens les deux mains qui sont sur moi, commencer à me caresser, une me masturbe, lentement, délicatement, avec énormément de douceur, pendant que l’autre papillonne sur mon corps.

Je les voie se redresser sur leurs coudes, basculer lentement sur le côté face à face. Mes mains continuent de les caresser. Elles m’embrassent tendrement, s’embrassent, tout en continuant à me caresser doucement.


Bonjour mon chéri, tu as bien dormi ?

Bonjour mon amour, tu as bien dormi ?

Oh oui mes petites puces, j’ai dormi comme un loir, entre mes deux amours, qui me protégeaient du grand méchant loup.

En parlant de protéger, en arrivant à Ajaccio, je te prends rendez-vous chez le cardiologue, on demandera à Mario, à qui s’adresser. Mon amour, tu nous as fait une peur bleue cette nuit.

Tout à fait mon amour, en attendant, plus de folie, comme les derniers, jours. On va se calmer, même si cela va être très dur, pour nous tes maitresses, tes amantes.

Nous t’aimons. Pas questions qu’il t’arrive quoique ce soit de notre faute.


Je voie les deux sœurs qui se regardent, et qui acquiesce de la tête. Elles s’agenouillent sur le lit. Le drap glisse, elles voient mes mains qui sont en train de les caresser, de les fouiller chacune, de provoquer leurs envies. Elles sourient, m’embrassent.

Chéri, tu n’es vraiment pas sérieux. Je le savais, autant l’une que l’autre, ni plus ni moins. Excuse moi mais tant que tu n’as pas vue le cardiologue.

Ce sera moins.

Je les voie qui se regardent, qui sourient. Chacune prend la main qui la caresse, l’écarte d’elle. Je lis un certain regret dans leur regard qu’elles s’échangent à ce moment précis.

Bon on se lève, direction la douche.

Je me lève, me dirige vers la salle de bain pour prendre une douche.

Non mon cœur, tu t’occupes des petits dej, nous on prend notre douche, toi après.

Si on y va tous les trois, tu sais comme nous comment cela va finir. Ceinture jusqu’au cardiologue mon amour.

Te connaissant, connaissant tes envies pour nous deux, Tu te dépêcheras pour aller voir le cardiologue, et faire tous les examens nécessaire pour nous tranquilliser.

Pour tranquilliser tes deux amours.

Vous êtes deux tyrans, deux bourreaux de mon cœur.

Je me tourne, prends le téléphone, appelle la réception, et commande trois petits déjeuners, très copieux, et précise qu’ils soient déposés sur la table de la terrasse.

Au fond de moi je sais qu’elles ont raison, qu’il est plus sage de se calmer. Les deux derniers jours ont étaient si fort en émotion, tant morale que physique, je dirais même plus morale que physique.

Je les comprends, même si je le refuse, enfin il faut être réaliste, elles ont raisons, inconsciemment, cela me fait même chaud au cœur, de me dire que mes deux amours, sont autant aux petits soins pour moi.


Je sors de mes songes, Sabine et Magalie, se regardent en souriant.

Pas d’excès.

Promis, juste le minimum syndicale.

Sabine se penche, m’embrasse tendrement.

Je vais prendre ma douche mon chéri, tu me promets de ne pas faire d’excès.

Je la regarde surprise. Je voie Magalie dont les yeux brillent, qui sur le lit, se rapproche de moi, à quatre pattes. Je prends Sabine dans les bras, la serre contre moi, l’embrasse tendrement.

Tu es un ange mon cœur. Promis, je serais sage.

Sabine se lève, embrasse sa sœur, part en direction de la salle de bain. Magalie, se rapproche, se mets au-dessus de moi, ne bouge plus.

Tu te laisses faire, tu ne fais rien sinon je pars. Nous avons envie que tu ais aussi ton plaisir matinal. Mais tu dois faire attention à toi. Donc je fais, tu subis mon amour.

Je tends les bras, elle s’allonge sur moi, une de ses mains glisse entre nos corps, saisi délicatement ma verge, la positionne entre ses petites lèvres. Elle me regarde, et doucement je sens mon sexe qui glisse dans son intimité, si chaude, si humide, si douce.

Elle remonte doucement le long de ma hampe, me regarde tendrement. Elle redescend lentement tout en posant ses coudes sur ma poitrine, son menton sur ses poings, et me regarde intensément.

Je la revoie comme il y a quinze jours, quand notre relation a commencé. Toujours aussi belle, aussi désirable, la seule différence et elle est de taille, nous nous aimons au grand jour. Je vois ses yeux humides.


Toi aussi tu viens de repenser, quand nous étions comme cela à la maison, les yeux dans les yeux.

Oui mon amour, la seule différence, c’est que maintenant nous nous aimons au grand jour, à la vue de tous.

Je la sens qui se redresse, son bassin bascule doucement d’avant en arrière. Elle s’assied sur moi, mon sexe complètement en elle, me regarde, ses yeux brillent de plaisir. Ses mains se posent sur sa toison pubienne.

Comment penses tu que je devrais faire ? Me raser complètement, ou pour nous différencier, faire autre chose.

Je sais que tu aimes que nos sexes soient rasés, mais je n’ai pas envie de copier ma sœur. Même si nous aimons le même homme, nous somme si semblables, et si différentes à la fois.


DeLsEp9

Re: Vacances en Corse

Message par DeLsEp9 »

passiflore123 a écrit :Je decouvre tes écrits avec plaisir. Je me suis arreter au chapitre 8 et je reprendrais demain.
Très intriguant, pas mal de question qui tourne dans ma tête.
Merci pour tes textes Jak.

commence par le premier "si belles si sœurs". (celui que je préfère)

[Vous devez vous connecter ou vous inscrire pour voir ce lien]
puis "secret de famille"
[Vous devez vous connecter ou vous inscrire pour voir ce lien]" onclick="window.open(this.href);return false;
tu as du courage..................
Invité

Re: Vacances en Corse

Message par Invité »

vivement la suite
ClEa8

Re: Vacances en Corse

Message par ClEa8 »

Jak67 a écrit :

commence par le premier "si belles si sœurs". (celui que je préfère)

[Vous devez vous connecter ou vous inscrire pour voir ce lien]
puis "secret de famille"
[Vous devez vous connecter ou vous inscrire pour voir ce lien]" onclick="window.open(this.href);return false;
tu as du courage..................
Merci Jak ;)
Je commence donc par le commencement :)
Invité

Re: Vacances en Corse

Message par Invité »

passiflore123 a écrit :
Merci Jak ;)
Je commence donc par le commencement :)
tu ne vas pas etre deçu ^^
ClEa8

Re: Vacances en Corse

Message par ClEa8 »

Mel29440 a écrit : tu ne vas pas etre deçu ^^
Je me doute bien, je verrais cela au fils de ses lignes.

Et en general quand je commence a lire, j'ai du mal a arreter.
Invité

Re: Vacances en Corse

Message par Invité »

passiflore123 a écrit :
Je me doute bien, je verrais cela au fils de ses lignes.

Et en general quand je commence a lire, j'ai du mal a arreter.
c'est ce qui m'est arrivé j'ai commencer et je suis devenu accroc ^^
Loverain

Re: Vacances en Corse

Message par Loverain »

Merci Jak.
D'autant que tu l'ignores, mais j'adore les histoires de frères et sœurs, ou les histoires qui "restent en famille"... Un vieux fantasme. ;)
Mmmmmmm...

J'adore donc, et attends la suite avec impatience. :cingle:

P.S. très efficace aussi... ;)
DeLsEp9

Re: Vacances en Corse

Message par DeLsEp9 »

Loverain a écrit :Merci Jak.
D'autant que tu l'ignores, mais j'adore les histoires de frères et sœurs, ou les histoires qui "restent en famille"... Un vieux fantasme. ;)
Mmmmmmm...

J'adore donc, et attends la suite avec impatience. :cingle:

P.S. très efficace aussi... ;)

les fantasmes des uns, sont la réalités des autres..........................


Sans vouloir donner l'impression d'avoir la grosse tête,
il y a aussi le topic de tata Kires, concernant le récit.

"A propos de "si belles si soeurs"..." [Vous devez vous connecter ou vous inscrire pour voir ce lien]" onclick="window.open(this.href);return false;


je ne l'ai pas oublié, et j'y répondrais à la fin de vacances en Corse.


DeLsEp9

Re: Vacances en Corse

Message par DeLsEp9 »

Joyeux Noël à tous

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si quelqu'un s'ennuie, je vais être gentil
Propos de Sabine ma femme
Propos de Magalie ma belle sœur
Propos de Jacques
Mes pensées
Propos de Mario

Propos de Charlotte
Propos de Lucie fille de Charlotte
Propos de Louise petite fille de Charlotte

35)



Toi aussi tu viens de repenser, quand nous étions comme cela à la maison, les yeux dans les yeux.

Oui mon amour, la seule différence, c’est que maintenant nous nous aimons au grand jour, à la vue de tous.

Je la sens qui se redresse, son bassin bascule doucement d’avant en arrière. Elle s’assied sur moi, mon sexe complètement en elle, me regarde, ses yeux brillent de plaisir. Ses mains se posent sur sa toison pubienne.

Comment penses tu que je devrais faire ? Me raser complètement, ou pour nous différencier, faire autre chose.

Je sais que tu aimes que nos sexes soient rasés, mais je n’ai pas envie de copier ma sœur. Même si nous aimons le même homme, nous somme si semblables, et si différentes à la fois.


-/-


Ce n’est pas que je refuse de te dire ce que je pense, mais voie ça avec ta sœur, quand vous serez chez l’esthéticienne. Je préfère que vous le décidiez ensemble, toutes les deux.

Tu sais que j’aime les surprises, alors surprend moi mon petit cœur, étonne moi.


Je la voie sourire. Elle se penche en avant, ses deux mains qui aller se poser sur mon torse, s’écartent, et se posent sur la barre du lit, derrière ma tête.
Sa poitrine est au niveau de mes lèvres, je ne peux empêcher d’embrasser sa poitrine. De sucer de lécher, ses tétons qui se dressent comme s’ils attendaient ma bouche, mes lèvres.


Tu es un coquin, il faut toujours que tu profites de la moindre occasion.

Elle me laisse sucer ses tétons qui se dressent fièrement, mes mains caressent sa poitrine. J’adore la peau de sa poitrine. Elle est si fragile, si fine, j’ai toujours peur que mes caresses, par moment ne la blesse.

Elle commence doucement à monter et descendre sur ma verge qui se dresse, fichée en elle.


Quand je pense au temps que j’ai attendu pour sentir ton sexe en moi, maintenant quand il est en moi, j’en profite, j’en abuse.

Comme tu m’as dit au début, ce n’est pas le fait que tu me pénètres en soit qui me plait. J’aime te sentir qui progresse en moi, quand tu prends possession de moi, de mon corps.

Mais c’est de te sentir complètement en moi, de sentir ton sexe me combler. Quand il m’a totalement investi, de te sentir complètement en moi, que nous ne soyons qu’un, c’est cela qui vraiment me transporte de bonheur, de plaisir.

Au fur et à mesure je me rends compte que tu avais raison. Quoi que tu m’as annoncé, mon corps a réagit comme tu le disais.

A croire que tu es dans ma tête. Que tu sais comment je vais réagir, comment mon corps réagit.


Elle ne me fait pas l’amour, elle profite, elle apprécie, elle déguste, elle savoure. Je le voie aux expressions de son visage, quand elle monte et descends avec lenteur sur ma verge.

Elle ne cherche pas une jouissance du fait de la pénétration, elle jouie, de la sentir simplement en elle, elle coule comme une fontaine, son vagin, son ventre se contracte quand elle descend, quand elle fait pénétrer en elle mon sexe.

Quand nos pubis se rencontrent, que nos toisons, se mélangent, je voie une plénitude sur son visage, en ce moment précis, à chaque fois elle est à la limite de la jouissance, la jouissance de sentir ce sexe, cette verge qui la comble, qui remplis ce vide qui fut si béant pour elle pendant tant de temps.

Ce vide qu’elle comble maintenant, en s’appropriant mon sexe.

Elle est sublime, tellement belle quand elle se donne. Elle ne fait pas l’amour, elle se donne à l’amour.

Je voie la porte de la salle de bain qui s’ouvre doucement, Sabine s’approche silencieusement. Magalie tout à son bonheur, à son plaisir, ne l’a pas entendu arriver.

Sabine s’assoie sur une chaise prés du lit, et nous regarde. Elle regarde Magalie, elle regarde le visage, l’expression de son visage, elle la contemple.

Elle contemple le bonheur qu’elle lui a offert, qu’elle lui a donné, en acceptant ce qui se passe entre nous, en acceptant que Magalie partage ma vie, partage notre vie. En l’acceptant par amour pour nous tous.

Magalie réalise que Sabine est là prés de nous. Elle regarde sa sœur, les yeux complètement chaviré, chaviré de bonheur, chaviré de plaisir.


Elle se redresse doucement, s’assied sur moi, profitant du plaisir de me sentir complètement en elle. Ses mains se posent sur ses cuisses, pendant quelques minutes, le temps qu’elle redescende de son nuage de bonheur.

Sabine la regarde, me regarde, s’approche, s’agenouille au pied du lit. Se penche, m’embrasse doucement, délicatement. Ma main caresse ses cheveux, ses joues.


Mon dieu qu’elle est belle quand elle te fait l’amour, quand elle se donne à l’amour, quand elle se donne à l’homme qu’elle aime.

Je prends sa main, la fait se relever, elle s’allonge prés de moi sur le côté, elle me regarde, je lis tout l’amour qu’elle a pour moi, qu’elle a pour nous à ce moment dans ses yeux.

Ma chérie mais quand tu te donnes, quand tu te laisses aller à l’amour, quand tu te laisses prendre par l’amour, tu es si belle, si heureuse, toi aussi.

Magalie, se penche, et dépose un tendre baiser sur les lèvres de sa sœur. Elles se regardent, Sabine s’approche, prends sa tête entre ses mains, l’embrasse violement. Elle se tourne vers moi, s’allonge à mes côtés, m’embrasse avec la même violence. Elle tend les bras, Magalie se réfugie à mes côtés dans ses bras. Elle nous caresse les cheveux.

Merci à la femme, qui aime mon homme, qui aime mon amour, qui aime mon amant.
Merci, merci mon amour, merci mon homme, mon amant.

Merci à vous deux pour cette nuit, pour tout l’amour que vous m’avez donné.
Merci de m’avoir fait l’amour, de m’avoir laissé vous faire l’amour.
Merci de la violence de vos actes, merci d’avoir accepté la violence des miens.

Cette nuit vous m’avez libéré. Je me suis donnée, vous m’avez prise. Ma tête est libre.
Je t’aime mon homme, je suis heureuse que tu aimes Magalie.
Je t’aime Magalie, je suis heureuse que tu aimes mon homme.


Elle nous serre dans ses bras, nous la prenons dans nos bras. Les têtes de Magalie et Sabine, se posent sur mes épaules. Nous ne bougeons plus. Personne ne bouge, personne n’ose bouger.

J’entends, je sens nos respirations. Elles sont calmes, profondes. J’embrasse le front de Sabine, elle relève doucement sa tête, mes yeux se noient dans les siens. Elle a l’air si apaisée, si sereine.

Magalie, nous sentant bouger, relève sa tête, nous regarde, je l’embrasse sur le front. Sa main vient caresser la joue de Sabine, avec énormément de tendresse. Sabine embrasse sa main. Nous pourrions rester des heures, comme cela, tellement nous sommes apaiser, heureux d’être l’un contre l’autre, en communion tous les trois.


Que je suis bien quand vous êtes autour de moi, prés de moi, que je sens votre amour pour moi, quand je sens cet amour qui nous lie tous le trois.

Mes chéries, je suis désolé de rompre ce moment magnifique, mais, le petit déjeuner doit nous attendre, et il est 9h00 (je regarde ma montre).et nous avons trois heures de routes.

Je suis trop bien je n’ai pas envie de me lever.

Je sens Magalie qui bascule lentement son bassin d’avant en arrière, pour profiter au maximum de mon sexe toujours en elle. Sabine s’assied, remarque les mouvements des fesses de Magalie. Sabine me regarde, souri, et donne une petite claque, sur les fesses de Magalie.

Arrête un peut, tu ne vas rien me laisser, tu vas l’user jusqu’à la corde. J’ai envie de m’en servir ce soir, quand nous arriverons à Ajaccio. Alors laisse m’en un peux.

Les deux sœurs, se regardent, éclatent de rire.

Si vous continuez toutes les deux, je vais finir par croire que je suis qu’un sex-toy sur pattes.

On se regarde tous les trois.

Tiens je n’avais pas pensé à cela, tant il est vrai, que pour me donner du plaisir, au moment ou j’en ai envie, il est bien là.

Grande sœur, voyons. Pour nous donner du plaisir quand nous le désirons, ne soit pas égoïste. Depuis deux jours, au moment ou nous le voulons, il est prêt à fonctionner, pas besoin de le recharger, un peut de nourriture, une peut d’eau, et hop, frais et dispo, toujours prêt. Un vrai petit scout.

Vous avez bien l’air au courant de comment sa fonctionne ces petites bébêtes, à croire que vous vous en servez régulièrement. Sabine, tu as montrée tes joujoux à ta petite sœur ?

Je voie Sabine et Magalie rougir, se regarder, commencer à baisser la tête, elles ont l’air gênées.

Ma vengeance sera terrible mes chéries, attendez que nous arrivions à Ajaccio, c’est moi qui vais rire.

Après le cardiologue mon chéri, s’il donne son feu vert, je serais la plus soumise des maitresses.

Oh oui, qu’il donne son feu vert le cardio, soumises nous serons, enfin pas que soumises.


36)



Elles se regardent, échangent un regard complice, qui en dit long sur leurs intentions.

On ri de bon cœur. Sabine, se lève, Magalie me regarde et son regard exprime toute sa déception quand elle se retire, qu’elle sent mon sexe quitter son ventre. Elle s’assied sur le bord du lit, m’embrasse tendrement.


Tu ne perds rien pour attendre, attend d’être passé chez le cardio.

Elle se lève, enfile un tee-shirt, rejoint Sabine qui est déjà sortie. Je m’assieds sur le lit et suis le mouvement. Je vais pour m’installer les deux puces, me regardent et me montre un endroit derrière moi. Une voiture est en train de se garer à cinq mètres, de là où nous sommes assis.

Tu ne vas quand même pas continuer à ventiler ton, Sabine, comment tu l’appelles déjà son truc ? Son zigouillgouille.

Non son zigouigoui.

Je me réfugie, à l’intérieur de la chambre pour enfiler un short, mes deux amours riant si fort, que les personnes qui viennent de sortir de la voiture, nous regardent, se demandant ce qui se passe.

Je ressors, m’installe. Je voie mes deux amours me sourire tendrement. Je me sers un café.
Sabine me regarde songeuse.


Tu es de bonne humeur ce matin mon chéri, même sans avoir but ton café.

Je souris, j’attends la partie de ping-pong qui ne devrait pas tarder avec Magalie.

Logique Sabine, il a eut sa dose d’amour se matin.

Tu crois, qu’il ne s’agit que de cela ?

J’ai but à la source de vos lèvres mes amours, cela vaut tout les cafés du monde.

Elles me regardent, je les voie heureuses, détendues. Je réalise encore, je comprends enfin, ce qu’un mot tendre, un mot doux, un mot d’amour, peut apporter comme joie, comme bonheur, aux personnes à qui ont exprime ses sentiments, surtout quand ces personnes, sont les amours de sa vie.

Je vais m’occuper du petit, il va être l’heure du biberon, vous vous occupez des valises, et prenez une douche, vous sentez l’amour à des kilomètres, ça va me donner des envies, et je ne veux pas fatiguer notre homme, tu t’en es déjà occupé ce matin Magalie, cela suffit pour l’instant.

Par contre dés le cardiologue, et les examens, passé, j’ai la primeur.

J’ai décidé que ce matin, je ne faisais rien, si ce n’est de m’occuper de notre fils.

Vous m’avez achevé cette nuit mes amours. Presque autant que toi mon chéri. Comment tu te sens ce matin, ça va ?


Un peut vaseux, mais ça va. Pas d’abus ce matin, pas de folie de mon corps, si ce n’est la folie de mes yeux, quand je vous admire, mes amours.

Il doit vraiment être malade, il nous a jamais dit autant de mot tendres, en si peut de temps. Mais que cela fait chaud au cœur, de les entendre.

C’est vrai, je te remercierais jamais assez grande sœur, depuis que tout est au grand jour, il est tendre, il déclare sa flamme, il nous déclare son amour, comme jamais il ne l’avait fait avant.

Comme un jeune premier, comme un ado amoureux. J’adore tout comme toi, les entendre, ses mots d’amours. Je sais qu’il les pense sincèrement, qu’il t’aime, qu’il m’aime, qu’il nous aime vraiment.

Je les voie venir vers moi, s’asseoir, sur mes cuisses, me serrer dans leurs bras. Je les prends dans mes bras, embrasse leurs joues, les caressent.

Je suis tellement heureux, tellement détendu, maintenant que tout est clair. Tant entre nous trois, que dans la tête de Sabine. Il est vrai qu’on a fait fort cette nuit.

Elle s’est lâcher complètement, elles se sont lâchées toutes les deux complètement.

Je ne voie aucun mal dans ce qui s’est passé. Il s’agissait de mes deux maitresses qui se donnaient, à aucun moment il n’y a eut un comportement de sœurs, cela ressemble plus à une pulsion, à une envie subite, sans réfléchir, qu’à un acte voulu, prémédité.

D’ailleurs elles ne sont pas choquées de ce qui s’est passé. Que Sabine dévore la vulve de Magalie, qu’elle la fasse jouir au même moment qu’elle, au même moment que moi, nous a encore plus soudé, je pense. Nous sommes encore plus proches, encore plus complices.

Même ce matin quand elle nous a embrassés, il n’y avait rien de licencieux, de malsain. Juste la joie du moment, la joie d’être bien dans sa tête, d’être en harmonie avec elle-même. Une envie subite d’exprimer son bien être.

Il lui a fallu quand même un sacré courage pour nous avouer ces doutes, ses angoisses. Je ne sais pas si à sa place, je serais allé jusque là. Jusqu’à étaler mes angoisses, à leurs étaler mes angoisses. Si bien sur, je l’aurais fait. Je n’ai aucune envie de leur cacher quoi que ce soit.


Je vais prendre ma douche, Magalie ou Sabine entre à tour de rôle, elles cherchent quelque choses, reviennent chercher autre chose, j’ai l’impression qu’elles ne veulent pas me laisser seul, que malgré ce qu’elles disent, ce qu’elles tentent de montrer, elles sont inquiètes pour moi.

Je trouve cela, à la fois si touchant, et terriblement troublant. Je n’ai aucun souvenir de mon malaise, juste l’impression de m’endormir, de partir très vite.

Je sors de la douche, me sèche, m’habille. Mes deux amours viennent de rentrer ensemble, elles m’embrassent gentiment.


Comment tu te sens mon chéri ? Avec tes douches brulantes, on n’était pas tranquille.

Ca va mon amour ? Il ne faudrait plus que tu prennes de douche aussi brulante, tant que l’on ne sait pas ce qui s’est passé, que le cardiologue, ne nous a pas dit que tout va bien.

Je les prends dans mes bras, les serre contre moi.

Je vous aime, et dieu que c’est agréable de se sentir autant aimer. Promis, je ne veux plus vous inquiéter, je ferais attention. Je ne vais quand même pas vous demander pour tout ce que je fais.

Je voie mes deux amours, qui se regardent et qui font oui de la tête. Elles ont décidées de me materner. Elles ne sont vraiment pas tranquille.

D’accord mes chéries, je ne fais rien sans vous le demander.

Elles me regardent, toutes les deux, me serrent dans leurs bras, je les sens apaisées, presque tranquillisées.

Nous rentrons, dans la chambre, les valises sont pour ainsi dire fini, je dépose ma trousse de toilette, à côté des valises.


Nous avons tout rangé, juste à embarqué les valises et régler la note.

Et en route pour Ajaccio.

Je vais pour prendre les clefs de la voiture.

Non mon chéri, je roule, je conduis.

Elle tend la main. Je me résigne et les lui donne.

Tu vas régler la note, nous on range tout dans la voiture. Pas d’effort inutile mon amour. D’ailleurs, j’ai appelé le gardien, il t’accompagne à la réception.

Profites en, pour lui tirer les vers du nez, pour la petite Rachel, discrètement mon chéri, comme tu sais si bien le faire.


Je les regarde, elles sont décidées toutes les deux, rien ne les fera changer d’avis. J’entends toquer à la porte, le gardien, est là.

Je sors, « Bonjour, comment allez vous ? Votre femme ou votre belle sœur, m’a demandé de vous accompagner à la réception. Il parait que vous avez eut un petit malaise en vous baignant cette nuit. »

Nous nous dirigeons lentement, vers la réception. Je voie que le gardien aimerait me dire quelque chose, mais n’a pas l’air de savoir comment aborder le sujet.



Invité

Re: Vacances en Corse

Message par Invité »

un beau cadeau j'en veut encore ^^
Loverain

Re: Vacances en Corse

Message par Loverain »

Moi aussi. :)
DeLsEp9

Re: Vacances en Corse

Message par DeLsEp9 »

Mel29440 a écrit :un beau cadeau j'en veut encore ^^
Loverain a écrit :Moi aussi. :)

deux gourmands :hippa: :hippa: :hippa:
DeLsEp9

Re: Vacances en Corse

Message par DeLsEp9 »

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37)



Tu vas régler la note, nous on range tout dans la voiture. Pas d’effort inutile mon amour. D’ailleurs, j’ai appelé le gardien, il t’accompagne à la réception.

Profites en, pour lui tirer les vers du nez, pour la petite Rachel, discrètement mon chéri, comme tu sais si bien le faire.


Je les regarde, elles sont décidées toutes les deux, rien ne les fera changer d’avis. J’entends toquer à la porte, le gardien, est là.

Je sors, « Bonjour, comment allez vous ? Votre femme ou votre belle sœur, m’a demandé de vous accompagner à la réception. Il parait que vous avez eut un petit malaise en vous baignant cette nuit. »

Nous nous dirigeons lentement, vers la réception. Je voie que le gardien aimerait me dire quelque chose, mais n’a pas l’air de savoir comment aborder le sujet.


-/-


Quelque chose vous embête, vous voulez me parler de quelque chose ?


« Comprenez moi, ce n’est pas évident à dire. »

Cela nous concerne, ou concerne votre fille ? On est entre homme, pas de soucis, je vous écoute, et cela restera entre nous.

« Voilà, sans vouloir vous vexer, ni me mêler de ce qui ne me regarde pas, vous votre femme, et votre belle sœur, vous, vous , je , je »

Oui ma femme, ma belle sœur, et moi vivons tous les trois ensembles. Oui nous nous aimons, il n’y a rien de malsain, si ce n’est de l’amour. Un amour énorme, qui nous a réunis.

Pourquoi me posez-vous cette question ? Ne vous inquiétez pas pour Rachel, il ne s’est rien passé devant elle. Elle a compris ce qui se passe. Vous savez, votre fille est intelligente. Elle n’a pas de préjugé.


Je voie le gardien, qui réfléchi, me regarde, ne sais comment commencer la conversation, dont je pense connaitre le sujet.

Vous voulez parler d’autre chose ?

« Oui, mais je ne sais pas comment aborder le sujet, vous savez pour un père il y a des choses pas facile à aborder, et encore plus difficile à exprimer. »

Vous savez je suis père aussi, je suis d’accord, il n’a pas l’âge de Rachel. Mais la seule chose qui m’importe, qui doit nous importer c’est le bonheur de nos enfants.

Je voie le gardien qui s’assoie sur un banc, et qui commence à sangloter.

Qu’est ce qui se passe, cela concerne Rachel ?

« Oui, je ne sais pas comment le dire, j’aime mon enfant, j’aime ma fille. C’est notre seul enfant, nous n’avons pas put en avoir d’autre. Nous voulions trois ou quatre enfants avec mon épouse. Elle a eut d’énormes soucis, pendant la grossesse, pendant qu’elle attendait Rachel.

Les médecins lui ont interdit d’en avoir, d’autres, d’avoir d’autres enfants. Elle risque sa vie si elle est à nouveau enceinte.

Notre rêve, de ce fait, était d’avoir des petits enfants. Et notre fille est, est.. ;
Elle n’aime pas le hommes.»

Je le regarde, il est désemparé.


Vous savez, votre fille est en bonne santé, elle est intelligente.

« Oui je sais, elle est notre fierté. Toujours première en classe, elle a même deux années d’avance à la Fac. »

Si depuis sa naissance, elle était handicapée, ou gravement malade, vous l’auriez autant aimé, même sachant que vous ne pourrez pas avoir de petits-enfants.

« Bien sur, c’est mon enfant, dans tous les cas c’est mon enfant ».

Je le regarde et souri gentiment. Je le voie qui se fige, réalise ce qu’il vient de dire, il a l’air de comprendre enfin. Il se relève, me regarde, prends ma main, la serre. « Merci, merci, je ne suis qu’un vieux fou, j’ai oublié que seul son bonheur compte ».

Nous nous dirigeons vers la réception, arrivé à destination il demande à la personne à l’accueil, de me faire raccompagner après que j’ai fini, à la chambre 15. Il doit s’absenter.

Je règle la note, et vérifie que la réservation est bien enregistrée pour notre dernière nuit avant le retour, je demande au réceptionniste, dans la mesure du possible de nous bloquer les deux mêmes chambres. Il acquiesce et appelle un serveur, pour qu’il me raccompagne.

J’arrive prés des chambres, Sabine et Magalie, m’attendent, assissent à l’extérieur. Elles se lèvent me voyant approcher, remercie le serveur, de m’avoir accompagné.


Il n’est pas là le papa de Rachel ?

Il y a eut un soucis ?

Je pense qu’il a comprit, il a lui même abordé le sujet. Je l’ai amené à réfléchir sur sa fille, sur son enfant. Bon je fais un dernier tour, pour vérifier que l’on a rien oublié, et on y va.

Mon chéri, nous l’avons déjà fait, chacune notre tour.

J’ai même du retourner les draps, pour vérifier que rien ne trainer dedans. Pas de culotte, pas de slip, pas de boxer, depuis que l’on est ici, on en porte pas. Mais ma sœur n’a rien voulu savoir.

« Défait le lit » qu’elle m’a dit, « et vérifie dans les draps. »


Je les voie sourire, j’ai l’impression de m’entendre. Comme à chaque quand nous quittons, le lieu de villégiature, je fais exactement cela, ou demande à Sabine de le faire, pendant que je vérifie partout.

Sabine s’installe au volant, Magalie me regarde, comme pour savoir où je compte m’installer. Je lui ouvre la porte avant droite et lui montre le siège.


Assois-toi devant ma chérie, je vais derrière avec le petit. Il faut aussi que tu apprennes à diriger, à indiquer le chemin, à lire une carte routière.

Je lui tends la carte de la Corse, ouvre la porte arrière et m’installe. Sabine démarre, direction Ajaccio.

Nous arrivons à la guérite du gardien, il est là avec sa femme et sa fille. Il nous fait signe. Sabine se gare, nous sortons de la voiture.

Rachel court et saute au cou de Sabine et Magalie. La maman, me saute au cou, et m’embrasse. Elle s’écarte, le papa vient vers moi. Me prends dans ses bras, « Merci de m’avoir ouvert les yeux. Vous avez raison, tout ce qui compte, c’est qu’elle soit en bonne santé et heureuse ».

Je voie la petite Patricia qui arrive en vélo, qui voie tout le monde attroupé. Elle semble effrayée. Rachel l’a vue, et fait signe à sa maman.

Sa maman va en direction de Patricia, lui prend la main, Rachel la rejoint, lui prend l’autre main. Elles la ramènent parmi nous, et s’arrête devant le papa. Patricia regarde Rachel, elle est complètement paniquée, tétanisée.

« Patricia, je te présente mes excuses, je suis un vieil idiot, tout ce qui compte c’est le bonheur de ma fille. J’espère que tu me pardonneras ma bêtise.» Il ouvre ses bras, Rachel et Patricia se jettent dans les bras du papa.

La maman s’approche de moi.

« Merci, merci du fond du cœur. Vous avez ouvert les yeux de mon mari. Il m’a dit que vous revenez, pour dormir à l’hôtel, avant de prendre le bateau du retour.

Vous êtes nos inviter pour diner tous les trois, pour votre dernier soir sur l’ile. » Elle se retourne, vers son mari, « allez dis lui » le papa prend Rachel et Patricia par la main. « Vous voulez bien aussi diner avec nous ce soir là toutes le deux ? »

Patricia regarde Rachel attendant sa réponse. « Moi c’est d’accord si Patricia est d’accord. » je voie Patricia au bord des larmes, qui fait oui de la tête. Le papa prend les deux jeunes filles dans ses bras et les embrasse.

Le papa de Rachel plonge sa main dans la poche. Il sort une clef, la tend à Patricia. « Patricia, c’est la clef de la maison, comme cela j’espère que tu comprendras que tu es la bienvenue parmi nous. »

Patricia, prend la clef, Rachel la sert dans ses bras. Elles pleurent, elles rient toutes les deux, elles sautent au cou du papa et l’embrasse.

Sabine et Magalie se sont rapprochées de moi, je passe mes bras sur leurs épaules. Nous nous regardons tous les trois, on est heureux, leurs bonheurs nous rend heureux.


Veuillez nous excuser, mais on a encore de la route, mais pour l’invitation à diner, pas de soucis on sera là.

Rachel et Patricia, sautent dans les bras de Sabine et Magalie, et les embrassent. Elles se tournent vers moi, et plus timidement elles m’embrassent sur les joues.

Nous remontons en voiture. Je voie le papa qui tient contre lui Rachel et Patricia. La maman à côté. Ils ont l’air tous si heureux.

Sabine démarre, on prend la route pour Ajaccio enfin.


Je suis super contente pour Rachel, son père est une personne bien.

Il me rappelle un peu maman, il a reconnu son erreur devant tout le monde, faut le faire.

Tout ce qui m’intéresse, c’est qu’il est pris conscience que sa fille est une personne à part entière, et qu’il a ouvert les yeux.
Loverain

Re: Vacances en Corse

Message par Loverain »

Jak67 a écrit : deux gourmands :hippa: :hippa: :hippa:
Certainement gourmands, mais je dirais aussi gourmets vu la qualité du plat.. ;)

Et on en redemande. Pas vrai ?
Invité

Re: Vacances en Corse

Message par Invité »

Loverain a écrit :
Certainement gourmands, mais je dirais aussi gourmets vu la qualité du plat.. ;)

Et on en redemande. Pas vrai ?
j'en ai jamais assé vu que j'ai été habituer a une publication par jours ^^
DeLsEp9

Re: Vacances en Corse

Message par DeLsEp9 »

Loverain a écrit :
Certainement gourmands, mais je dirais aussi gourmets vu la qualité du plat.. ;)

Et on en redemande. Pas vrai ?
Toujours une envie de dégustation, si je comprends :miam: :miam:
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38)



Rachel et Patricia, sautent dans les bras de Sabine et Magalie, et les embrassent. Elles se tournent vers moi, et plus timidement elles m’embrassent sur les joues.

Nous remontons en voiture. Je voie le papa qui tient contre lui Rachel et Patricia. La maman à côté. Ils ont l’air tous si heureux.

Sabine démarre, on prend la route pour Ajaccio enfin.


Je suis super contente pour Rachel, son père est une personne bien.

Il me rappelle un peu maman, il a reconnu son erreur devant tout le monde, faut le faire.

Tout ce qui m’intéresse, c’est qu’il est pris conscience que sa fille est une personne à part entière, et qu’il a ouvert les yeux.

-/-


A peine sortie de l’ile Rousse, nous voyons sur le côté le train côtier, qui va de l’Ile Rousse à Calvi.

Magalie tu connais la particularité de ce train ?

Non, pourquoi, il y a quelque chose de spécial ?

Oui, les voyageurs marchent le long du ballast, quand le train arrive, ils font signent. Le train s’arrête, pour les embarquer. Puis il repart jusqu’aux prochains voyageurs, ou jusqu’à la prochaine gare.

La route se passe bien, heureusement que Sabine connait la route, si on avait écouté Magalie, on se retrouvait dans le désert des Agriates, qui est juste à l’opposée de la direction où nous voulions aller.

Quand on arrive en vue d’Ajaccio Magalie a l’air de commencer à comprendre comment on lit une carte.


On fait comment avec Mario ?

Vous n’arrêter pas de parler de Mario, c’est qui Mario ?

J’ai connu Mario à l’armée. Puis il est revenu dans son ile natale. Et il a recommencé immédiatement à travailler a l’hôtel du golfe à Porto-Follo, à côté d’Ajaccio.

Il m’a appelé l’année suivante, pour me proposer de venir passer les vacances en Corse. Ce que j’ai fait, et depuis presque tous les ans on vient ici. Entre temps, il est devenu chef de salle.

Mais c’est un dragueur invétéré. Pour lui une femme ou elle est dans son lit ou c’est une frigide. Je simplifie, mais c’est ça.

Je voie Sabine qui rit, Magalie qui ne comprend rien.


La première fois que nous sommes venues, en Corse, je suis arrivée seule. Jacques ne m’a rejoint qu’au bout de deux Jours. Mario, savait que j’étais l’amie de Jacques. Il n’a pas arrêté de me draguer pendant les deux jours. Je n’en pouvais plus.

Quand Jacques est arrivé, il a était le voir, « elle est bien cette petite, elle est sérieuse. Tu ne risques rien.»


J’éclate de rire sabine imite l’accent Corse en le disant, je revoie Mario, sérieux comme un pape me le disant, limite, les doigts sur la couture du pantalon.

Et tu laisses ton copain draguer ta femme.

Jacques m’avait prévenu, comme nous le faisons avec toi maintenant.

Tu te rappelles quand tu m’as montré les habits que notre homme avait été acheté avec toi, je t’ai dit :

Tu sais que la chasse à la tourterelle est ouverte quand on y sera.

La tourterelle c’est toi, le chasseur c’est Mario. Tout ce qui a un vagin, et une paire de seins confortable, il tire à vue, il chasse, et elle se doit finir dans son lit.


On éclate tous de rire, sabine est obligée de s’arrêter. Elle n’en peut plus. On en profite pour sortir marcher un peut, le petit dort, il ne fait pas trop chaud dans la voiture.

Je sors mon paquet de cigarettes, Sabine me regarde courroucée. Magalie, s’approche m’embrasse gentiment, et me prend le paquet des mains.


Tu risque de mettre le feu au maquis avec ton mégot.

Et surtout tant que tu n’es pas passé chez le cardiologue, plus de cigarettes. De toutes façons vue le peut que tu fumes, il serait plus simple d’arrêter. Au moins pour notre fils.

De toute façon Sabine et moi on ne fume pas. Alors toi non plus.

Je les regarde toutes les deux avec un petit sourire, elles sont incroyables. Incroyable de tendresse, d’attention, de sollicitude. Je ne peux qu’être d’accord avec elles.

D’accord mes chéries, j’arrête. Donne-moi le paquet Magalie s’il te plait.

Elle me tend le paquet, je l’écrase dans mes mains, et le jette à l’arrière dans le carton, sur le plancher de la voiture, qui nous sert de poubelle. Mes deux amours s’approchent et m’embrassent.

Merci mon amour.

Magalie se retourne, admire le paysage, qui est magnifique, il est vrai.

Merci mon chéri.

Bon On fait comment alors avec Mario. On lui dit quand on arrive, ou nous le faisons mariner jusqu’au diner et on sort le grand jeu, comme hier soir.

Mon amour, si nous optons pour le repas, il y a un seul souci, et de taille. Nos robes sont froissées et nous avons transpiré dedans. On n’a pas d’autres ensembles similaires toutes les deux.

Donc il n’y aura pas d’effet de surprise, du moins il ne sera pas du style de celui qui s’est passé hier soir.


Je sourie de voir le regard misérable que me fait Sabine. Je sais parfaitement où elle veut en venir. J’approuve d’un hochement de tête.

Magalie qui regarde le paysage, n’a rien vue, Sabine me sourie, elle est heureuse, je la sens, d’un seul coup, impatiente de reprendre la route.


Allez en voiture, on est presque arrivé, on ne va pas s’éterniser ici.

Nous remontons tous en voiture, dix minutes plus tard nous entrons dans Ajaccio, Direction le parking des palmiers, à côté de la Mairie et de la CCI.

Sabine se gare, nous descendons, je prends le petit dans les bras, le couffin dans l’autre. Mes deux puces de chaque côté, collées à moi. Je sais dans quel magasin veut aller Sabine.

Nous arrivons, je m’arrête comme si de rien était. Magalie et Sabine admirent les robes en vitrines, c’est une femme corse, qui a ses heures perdues, créés des modèles, et les vends pas plus cher que du prêt à porter.


C’est superbe, et moins cher que chez Rykiel.

Viens on va voir.

Nous entrons la patronne se retourne, et il me semble qu’elle reconnait Sabine.

Bonjour, il y a deux ou trois robes dans la vitrine qui nous plairaient.

Je regarde Magalie, elle fait des yeux ronds. Elle est en train de comprendre.

Sabine prends Magalie, par la main.


Les mêmes robes pour ma sœur et moi, s’il vous plait, on veut être magnifique pour notre chéri.

Sabine se retourne et montre les robes. Les yeux de Magalie s’arrondissent encore plus. Il est vrai que les robes que Sabine a montrées sont sublimes.

Surtout un dos nu, qui doit s’arrêter au ras des fesses, et encore, si ce n’est pas plus bas. Je les regarde, elles sont comme lors de l’essayage chez Suzanne, deux gamines. Elles ne tiennent pas en place.

Elles essayent la robe dos nu qui est couleur saumon, elles sortent des cabines d’essayage, et viennent toutes les deux vers moi de leurs démarches de vamp, même pieds nues, le rendu est d’enfer. J’ai une légère poussé d’adrénaline en les voyants.

Elles sont sublimes. Je les prends chacune par une main, elles tournent sur elles même, les robes s’envolent légèrement, elles me sourient toutes les deux.


Vous êtes sublimes mes chéries, adjugés, aller la suite, vous êtes tellement magnifique, dans ces créations, que je me demande si elles n’ont pas étaient faites spécialement pour vous deux.

Nous les regardons repartir dans les cabines d’essayage. La patronne, les regarde, me regarde. Elle ne comprend rien. Je dirais qu’elle n’ose pas vouloir comprendre. Je me rapproche de la patronne.

Si je me souviens bien, vous faites des robes un peut plus sexy, vue ce que Sabine a acheté chez vous l’année dernière.

La patronne me regarde, « Effectivement, j’ai justement fini quelques modèles en taille unique. Quelque soit le modèle, je ne conçois jamais plus de deux exemplaires, vous pourrez considérer que tout ce que ces dames essaient, sont des pièces uniques.
Vous voulez les voir ? »


Si cela ne vous dérange pas, j’aimerais que mes puces les essaient.

Invité

Re: Vacances en Corse

Message par Invité »

tres interessant une petite suite avant le changement d'année?
DeLsEp9

Re: Vacances en Corse

Message par DeLsEp9 »

Bonne année à tous

:aime: :star1: :aime: .................................. :aime: :star1: :aime:

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:aime: :star1: :aime: .................................. :aime: :star1: :aime:
DeLsEp9

Re: Vacances en Corse

Message par DeLsEp9 »

Propos de Sabine ma femme
Propos de Magalie ma belle sœur
Propos de Jacques
Mes pensées
Propos de Mario

Propos de Charlotte
Propos de Lucie fille de Charlotte
Propos de Louise petite fille de Charlotte

39)



Vous êtes sublimes mes chéries, adjugés, aller la suite, vous êtes tellement magnifique, dans ces créations, que je me demande si elles n’ont pas étaient faites spécialement pour vous deux.

Nous les regardons repartir dans les cabines d’essayage. La patronne, les regarde, me regarde. Elle ne comprend rien. Je dirais qu’elle n’ose pas vouloir comprendre. Je me rapproche de la patronne.

Si je me souviens bien, vous faites des robes un peut plus sexy, vue ce que Sabine a acheté chez vous l’année dernière.

La patronne me regarde, « Effectivement, j’ai justement fini quelques modèles en taille unique. Quelque soit le modèle, je ne conçois jamais plus de deux exemplaires, vous pourrez considérer que tout ce que ces dames essaient, sont des pièces uniques.
Vous voulez les voir ? »


Si cela ne vous dérange pas, j’aimerais que mes puces les essaient.

-/-


Merde, je pensais que ce serait plus facile, mais pas moyens de dire, de faire sortir ces simples deux petits mots. Mes femmes, mes chéries.

Mes chéries assument plus facilement que moi, il faut que j’assume, que je me réveille, on n’est plus en 1900 bon dieu, Jacques assume les, assume toi.


Elle revient avec un porteur roulant, où des modèles plus magnifique les uns que les autres sont accrochés.

Les deux puces, au même moment, ressortent avec deux robes en dentelles pas trop transparentes, mais très suggestives. Même démarche, je commence vraiment à me sentir à l’étroit dans mon short.

Les regards des deux puces comme par hasard, le remarque et j’ai droit à un tour supplémentaire des deux vamps autour de moi, comme si elles voulaient me dévorer sur place.

Elles voient le portique, me regardent, leurs yeux brillent. Magalie n’en reviens pas, ses yeux me le disent.


On peut les essayer, c’est pour cela que….

Petite sœur, vient, on va monter à notre homme ce que deux sœurs amoureuses sont capables de faire pour l’homme qu’elles aiment.

Sabine prend le portique, le rapproche des cabines d’essayage. Magalie ne bouge pas, elle me regarde, regarde sa sœur, qui est arrivé aux cabines. Je me rapproche, prend doucement sa tête entre mes mains, l’embrasse tendrement. Elle a l’air de se réveiller.

Pince moi, je rêve, je suis dans un rêve toute éveillée, ce n’est pas possible.

Sabine s’approche, embrasse sa petite sœur.

Petite sœur, dit toi bien une chose. Notre Jacques pour certaines choses est un vrai macho. J’adore, qu’il le soit, surtout dans des moments comme celui-ci. Quand il veut nous faire plaisir, pour que l’on soit les plus belles.

Donc à nous de tout faire pour qu’il soit fier à nos bras, à faire tout pour que les autres bavent en nous voyant à son bras. Et là ces robes magnifiques, sont faites pour nous, pour que nous soyons les plus belles. Viens on va les essayer.


Sabine m’embrasse, me dévore les lèvres, entraine sa petite sœur vers les cabines. Elle regarde sur le portique les différents modèles, décroche deux cintres, en tend un à Magalie, elles rentrent dans une cabine.

Je m’installe confortablement dans un fauteuil en osier.


Je vais avoir droit à mon défilé perso, Connaissant Sabine, et Magalie, il va falloir que je m’accroche, cela risque d’être du chaud bouillant.

Me voyant m’installer, la propriétaire du magasin, fait de même.

Sabine et Magalie sortent de la même cabine, avec une même robe noire très courte, qui à l’avant est un appel au viol.

Les bords du décolleté, s’arrêtent aux ras des aréoles, qui sont bien visibles, et il descend un peu plus bas que le nombril. De fines bandes de tissus, maintiennent ponctuellement, les bords du décolleté pour qu’il ne s’ouvre pas.

Elles sont magnifiques, tellement indécente, mais tellement nature dans ce modèle, que je ne peux qu’être sous leur charme.

Je dois avoir les yeux qui me sortent de la tête, les deux puces passent et repassent autour de moi, en souriant se rendant parfaitement compte de l’effet qu’elles produisent.


Merci mon chéri, tes yeux en disent plus, que n’importe quel mot, que n’importe quelle phrase.

Elles repartent de leur démarche qui me fait si chaud au cœur. Je vois la propriétaire qui me regarde discrètement, elle souri.

« Je commence à me dire que votre compagne a raison. C’est à croire que j’ai créé ces modèles pour elles. Ils leurs vont parfaitement. »

Elles reviennent avec différents modèles plus sublimes les uns que les autres. Une robe bustier noire, que je trouve très simple, mais qui leur va si bien. Ainsi qu’une robe bustier blanche, ouverte jusqu’aux hanches, dont le bas fini en pointe à l’avant et à l’arrière.


Maintenant mon chéri, le final, les plus belles, les plus osées.

Elles reviennent avec une robe blanche, très courte. Le décolleté, si on peut employer ce terme, est un drapé, plongeant, qui s’arrête au ras du pubis. Au moindre faux mouvement, les seins apparaissent intégralement. J’en reste Baba, elles sont tellement impudiques dans cette robe.

« Je l’ai appelé la robe au décolleté passion, je pense vue ce qu’elles ont essayées jusqu’à présent, le final va être avec la robe fourreau au décolleté flambant. »

Elles sortent de la cabine et c’est l’apothéose, une robe fourreau rouge, le même décolleté, elles arrivent main dans la main, me regardant droit dans les yeux, deux tigresses, en chaleurs.

Elles tournent sur elles mêmes, le fourreau s’ouvre, une ouverture invisible à l’avant, une fente à l’arrière, qui s’arrête au ras des fesses. Tout, tout est visible quand elles tournent sur elles mêmes. Leurs seins, leurs pubis, tout, absolument tout.

Dés qu’elles s’arrêtent de tourner sur elle-même, le drapé se remet en place, cachant leur poitrine. J’en reste sans voix. Elles s’approchent, la patronne du magasin, sourit.


Alors mon chéri, comment tu nous trouves dans cette merveille.

Je n’arrive pas à articuler le moindre mot, encore sous le charme de l’apparition, de la sensualité de mes amours dans cette robe.

Elles repartent, se changer. Je me lève, fait signe à la propriétaire, qui me suit.


Nous prenons, en deux exemplaires, la robe dos nu couleur saumon, la robe en dentelles, la robe noire très courte avec le décolleté plongeant, la robe bustier noire, la robe bustier blanche ouverte jusqu’aux hanches, la robe au décolleté passion, la robe fourreau au décolleté flambant.

C’est magnifique ce que vous avez créés. Vous ne les faites pas en d’autres couleurs.


Au fur et à mesure, que j’énumère, elle a déplacé les robes sur le côté du portique.

« Non il n’y a que deux exemplaires par modèle, dans la couleur qui pour moi aura le meilleur rendu, pour le modèle.

Il n’est pas question, de les faire en différentes couleurs. Je me fais plaisir en les créant, et là, je dois vous dire, en voyant vos, comment dire, en voyant vos compagnes, c’est à croire que je pensais à elles en les créant.

Vous prenez sept robes en deux exemplaires ?»

Elle me regarde étonnée. Elle sort sa calculette, fait l’addition, « vue ce que vous prenez, je vous fais 25% de remise elle me tend la calculette, je sors ma pince à billets. Voyant que je sors des espèces, elle reprend sa calculette, se penche, et me dit discrètement « comme vous payez en espèces, je vous fais 10% de remise en sus. »

Sabine et Magalie, sortent des cabines. Me regarde, voie que je suis en train de régler. Elles voient la patronne, qui emballe les robes.

Elles me sautent au cou, me remercie trop discrètement à mon gout. Mais bon, je mets ça sur le compte de la présence de la patronne du magasin, et de mon malaise.

Nous sortons du magasin, je sens le regard de la patronne dans mon dos. Elle ne doit pas avoir des clients qui en moins d’une heure lui achètent sept robes par personne, et en plus les mêmes modèles, pour les deux femmes qui accompagnent un même homme.

Mes deux petits cœurs, se serrent contre moi, et passent leurs mains dans mon dos.
Je nous revoie allant à la plage tous les trois.

Invité

Re: Vacances en Corse

Message par Invité »

:cingle: commencer l'année en lisant sa c'est agreable ^^
Invité

Re: Vacances en Corse

Message par Invité »

:( :( :( :(
DeLsEp9

Re: Vacances en Corse

Message par DeLsEp9 »

Normaux
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Elle me regarde étonnée. Elle sort sa calculette, fait l’addition, « vue ce que vous prenez, je vous fais 25% de remise elle me tend la calculette, je sors ma pince à billets. Voyant que je sors des espèces, elle reprend sa calculette, se penche, et me dit discrètement « comme vous payez en espèces, je vous fais 10% de remise en sus. »

Sabine et Magalie, sortent des cabines. Me regarde, voie que je suis en train de régler. Elles voient la patronne, qui emballe les robes.

Elles me sautent au cou, me remercie trop discrètement à mon gout. Mais bon, je mets ça sur le compte de la présence de la patronne du magasin, et de mon malaise.

Nous sortons du magasin, je sens le regard de la patronne dans mon dos. Elle ne doit pas avoir des clients qui en moins de deux heures lui achètent sept robes par personne, et en plus les mêmes modèles, pour les deux femmes qui accompagnent un même homme.

Mes deux petits cœurs, se serrent contre moi, et passent leurs mains dans mon dos.
Je nous revoie allant à la plage tous les trois.


-/-


Notre homme est fou.

Complètement fou, mais j’aime sa folie, tout autant que toi petite sœur.

Oui mes chéries, je suis fou de vous deux, que j’aime plus que ma vie.

Nous passons devant le salon d’esthétique où, quand nous sommes en Corse, Sabine a ses habitudes. Il est ouvert, Sabine nous y entraine. Nous entrons, une femme se dirige vers nous. « Bonjour Sabine, de retour en Corse. »

Je la reconnais, elle a mangé un soir à l’hôtel avec nous, après qu’elle a sympathisée avec Sabine. Mario était là et pendant tout le repas a essayé, comme toujours de draguer.


Bonjour Nathalie, on est arrivé hier à l’Ile Rousse, comme à chaque fois. Cette année, on a emmené Magalie, ma petite sœur avec.

Tu peux nous prendre, le plus vite possible. Ta sœur, est toujours coiffeuse ?
Pour moi les mêmes soins que d’habitude.

Pour Magalie, il faut lui faut l’ensemble des soins. Tu vas faire ce qu’il faut pour qu’elle fasse craquer un richissime touriste.


Je voie Magalie, qui ne sait plus où se mettre, moi guère mieux, et Sabine qui souri.
« Demain matin je suis normalement fermé, c’est ma demi journée de repos. Ma sœur doit venir pour des soins, et me coiffer.

Si ça ne vous dérange pas toutes les deux, venez à neuf heures, on en aura au moins jusqu’à treize voir quatorze heures. Je la préviens pour une ou deux personnes ? »


Pour Magalie et moi. Toi et ta sœur, vous mangez avec nous le soir, c’est tellement gentil de nous prendre si vite.

Pour le repas on verra cela demain. J’ai du monde derrière, qui m’attend pour des soins, à demain. » Elles se font la bise, nous sortons.

Un richissime touriste, elle va me prendre pour qui ?

Magalie, voyons, Nathalie n’est pas folle, elle nous a croisé avant que nous allions acheter les robes, je n’ai rien dit, mais on était bel et bien collée comme deux ventouses contre notre Jacques. On en parlera avec elle demain.

Bon, Magalie tu es la belle sœur modèle en arrivant et ce soir le grand jeu, mieux qu’à l’Ile Rousse, je veux que l’on tue moralement Mario. Qu’on lui montre ce que l’on a dans le ventre, nous les femmes de Jacques, nous ses amours.


Magalie me regarde avec un petit sourire, comme si elle attendait mon approbation.

Je ne dis rien, ça vous regarde toutes le deux.

Exactement ce que j’attendais, de mes puces, mais c’est elles qui le veulent. La tête de Mario nous voyant entrer, moi au bras de mes deux amours. Le connaissant Magalie est son rêve, son idéal féminin. Sans vouloir lui faire concurrence, ou me mettre à son niveau de dragueur, il va en être vert de rage.

D’accord, donc je le massacre. Jacques tu m’a dis ceux qui ne voient que ma poitrine, qui voient ma poitrine avant de me voir, je dois les massacrer, les fouler aux pieds.

Je vais m’entrainer sur lui. Il a osé tester ma sœur, l’amour de Jacques. Il va comprendre ce que sont tes amours, ce que c’est deux sœurs qui aiment le même homme.

Ah, il a voulu jouer avec ma sœur chérie, il a voulu la tester. Je vais le tester le Mario, tu vas voir ce que c’est d’être tester. Je vais le réduire au silence, insignifiant le Mario, au pied le Mario.


Elle est remontée, déchainée, la petite puce, je m’attends au pire, et Sabine qui, de voir la tête de Magalie, rigole à ne plus pouvoir se retenir. Je pense qu’elle s’imagine comme moi la tête de Mario.

Je ne veux pas la guerre non plus.

Non, non, ne t’en fait pas, je vais juste venger la gente féminine. Sabine tu m’aideras aussi.

Oh oui, je veux voir ça.

Elle s’arrête, elle est plié en deux, se tient les côtes, elle n’en peut plus. Je ne suis pas mieux que Sabine, je dois m’asseoir, heureusement il y a des bancs, je suis au bord de m’écrouler de rire au beau milieu de la place. Magalie est dans son trip, elle s’y voie déjà, elle est totalement immergée dans son trip.

Je ne pensais pas qu’elle apprendrait si vite. Il est vrai depuis que tout est clair, que tout est au grand jour, elle m’épate. Avant elle m’étonnait, mais alors là, maintenant, elle est éblouissante d’amour, de sincérité, tout comme sa sœur.

Au bout de quelques minutes, nous arrivons enfin à nous calmer, Magalie à l’air de se préparer à la rencontre avec Mario. Par moment de voir les mimiques, je me retiens de rire. On se relève, nous arrivons à la voiture on embarque.

Mario nous voilà.

Elle est déchainée.

Tu te calmes, si tu continues, je vais repartir dans un fou rire, et on va avoir un accident. De toute façon, tu es la petite belle sœur, toute timide, alors calme toi.

Elle respire profondément.

D’accord je me calme.

Sabine prends la route de Porticcio, vingt minutes et nous sommes à l’hôtel, il est 17 heures. Sabine se gare, un groom arrive pour sortir et emporter les bagages. Je prends Sabine par l’épaule, le petit dans l’autre bras, Magalie à côté de moi joue la timide. Je me penche.

N’en fait pas trop non plus.

Elle acquiesce de la tête. Nous rentrons dans le hall. Je voie Mario qui est assit lisant le journal. Il nous voit, mais continu de lire le journal. En réalité, le connaissant, il fait semblant. Il regarde Sabine, je voie son regard qui s’arrête sur Magalie, il la détaille de pied en cap, pour ne pas dire qu’il la déshabille du regard. Il se lève.

Sabine, Jacques !!!

Nous nous arrêtons, il s’approche, regarde le petit. Il le regarde l’observe dans le moindre détail, sous toutes les coutures, comme s’il cherchait les ressemblances.

C’est un beau petiot que tu as Jacques, c’est bien ton pitchoune, il te ressemble, il a ton front et ton menton. Il a les yeux de sa maman. Magnifique, comme vous deux ce petiot.

Oui il est beau notre fils. Je te présente Magalie la sœur de Sabine.

Il embrasse le petit, Sabine, m’embrasse, s’approche de Magalie qui lui tend la main.

Pas de ça avec moi, je suis pour ainsi dire le frère de Jacques.

Il la prend dans les bras, et l’embrasse. Je voie Magalie qui le repousse doucement, et qui s’écarte dès qu’il a fini de l’embrasser.

Je voie le regard de Mario qui s’attarde sur Magalie.


Elle est timide la petiote. Je vous conduis à vos chambres.

Son regard, sa phrase, il a plutôt l’air de dire, « il va falloir que je remédie à cette timidité, que je m’occupe de cette petite qui me plait bien, de cette petite qui est tout a fait mon genre, mon style. »

Je le connais si bien Mario, que je suis sur et certain qu’il pense cela en ce moment.


Nous nous approchons de la réception. Je remarque que le réceptionniste n’est pas à l’aise.

Antoine, les clefs des chambres de mes amis.

Antoine tends les clefs, « voila monsieur le sous directeur ». Nous repartons, je fais comme si je n’avais rien entendu. Le groom nous suit avec les bagages sur un chariot. Je m’approche de Mario.

J’ai bien entendu, et tu ne me dis rien, et tu prétends être mon frère, salopard !!
Invité

Re: Vacances en Corse

Message par Invité »

sa meriterai bien une 2eme suite depuis le temps que tu n'a pas posté ^^
DeLsEp9

Re: Vacances en Corse

Message par DeLsEp9 »

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Elle est timide la petiote. Je vous conduis à vos chambres.

Son regard, sa phrase, il a plutôt l’air de dire, « il va falloir que je remédie à cette timidité, que je m’occupe de cette petite qui me plait bien, de cette petite qui est tout a fait mon genre, mon style. »

Je le connais si bien Mario, que je suis sur et certain qu’il pense cela en ce moment.


Nous nous approchons de la réception. Je remarque que le réceptionniste n’est pas à l’aise.

Antoine, les clefs des chambres de mes amis.

Antoine tends les clefs, « voila monsieur le sous directeur ». Nous repartons, je fais comme si je n’avais rien entendu. Le groom nous suit avec les bagages sur un chariot. Je m’approche de Mario.

J’ai bien entendu, et tu ne me dis rien, et tu prétends être mon frère, salopard !!

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J’ai était nommé il y a huit jours, et depuis je n’arrête pas. Je me demande pourquoi j’ai accepté. Enfin si, la paye est là, et je suis plus tranquille, enfin si on peut dire.

On mange ensemble ce soir ?


Pourquoi pas, on va bien rire comme la première fois que je suis venue.

Mario me regarde, et semble ne pas comprendre, ou il ne veut pas comprendre ! Mais il ne relève pas.

On se retrouve vers 19h30 en bas dans la salle de restaurant. Je vous enverrais une petite du village qui fait du baby-sitting pour l’hôtel, j’ai toute confiance en elle.

C’est la fille, du beau-frère de mon arrière cousin par alliance. Donc c’est la famille, pas de soucis.

Je ne confierais pas mon presque neveu, à une étrangère, à quelqu’un qui n’a pas toute ma confiance.

Comme cela on sera tranquille, on pourra prendre tout notre temps pour manger.


D’accord Mario, mais tu sais nous les femmes, le temps que l’on se prépare. Il nous faut du temps, pour nous pomponner. On veut faire honneur à Monsieur le Sous directeur.

Disons plutôt vingt heures, si cela ne dérange pas le planning de monsieur le sous-directeur.


Sabine qui s’y met, qui nargue Mario, heureusement qu’il connait ma Sabine. Mes deux puces sont déchainées, un pique par ci, un pique par là, et Mario qui me donne l’impression de ne rien comprendre. J’ai du mal à ne pas rire, du mal à me contenir.

D’accord pour vingt heures, je suis impatient de voir ce que vous allez me réserver comme surprise.

Il regarde Magalie en disant cela, et pour ne pas changer, comme toujours, lorsqu’il flash sur une femme, Mario la déshabille du regard.

Nous arrivons devant une porte que Mario ouvre, derrière la porte par laquelle nous venons d’entrer, il y a deux portes. Il ouvre la première tend la clef à Sabine et entre. La chambre est magnifique, immense. Un lit d’au moins deux mètres sur deux, trône dans un coin de la chambre.

Mario se dirige vers la baie vitrée, écarte le rideau, ouvre l’immense baie vitrée. Nous sortons sur la terrasse, il ya une table, quatre chaises, un parasol, nous nous avançons vers la rambarde, la mer est à nos pieds, à peine à 10 mètres.

Un escalier, descends dans le coin de la terrasse, en serpentant le long de la falaise pas très abrupte, et mène à une petite crique de sable. Il n’y a aucun autre accès à la crique.


Je me suis dit que vous voudriez être tranquille, avec le petiot, pour vous baigner. Il n’y a que vous qui pouvait y aller.

Cette chambre est la seule à avoir accès terrestre à cette crique. L’autre accès se fait par la mer, bien sur.


Il montre la porte fenêtre attenante à la notre.

C’est celle de l’autre chambre, on va visiter après.

Nous revenons dans la chambre, il nous montre le minibar, la salle de bain, très spacieuse, ultra moderne pour l’époque, douche à hydrojets, baignoire à jets hydro massant.

Pendant que nous étions sur la terrasse, le groom a déposé l’ensemble des valises, et des affaires, dans un coin prés des armoires. Sabine embrasse Mario.


C’est magnifique, la vue est magnifique. Tu nous as gâtés cette année, encore plus que les autres années. Tu es adorable Mario, un amour de beau-frère.

Il nous emmène dans l’autre chambre, l’ouvre tend la clef à Magalie. Qui la prend en minaudant un merci. Nous entrons dans la chambre, qui bien que plus modeste que la notre, est quand même très spacieuse.

Magalie tu t’occupes du petit s’il te plait, pendant que je vais mettre la voiture au parking.

Elle me tend les bras, et prend le petit qui gazouille.

Il est beau ton fils, tout son père.

Je suis fier de toi mon frère. Il faudra que l’on fête sa naissance au village, avec tous les hommes de la famille.

Tu ne peux pas refuser, sinon la famille t’en voudra à mort.

Tu sais ce que cela donnera.

On vient à peine d’arrivé à calmer, à faire que notre cousin, et le voisin, se serrent la main. Il a fallut deux ans de négociations.

Tout ça pour une histoire de la vente d’un âne, qui boitait il parait.

Le grand père par alliance de mon cousin, aurait vendu un âne boiteux au beau frère par alliance de l’arrière grand-père de son voisin.

Et comme il ne l’a pas payé du fait, parait-il, qu’il boitait, l’âne, pas le grand père par alliance de mon cousin.

Cela fait 50 ans que les deux familles se font la gueule, limite s’il n’y a pas eut de mort. Ils nous pourrissent la vie, ils pourrissent la vie du village.

Ce n’est pas pour que cela recommence. En plus avec mon frangin.

Le lit du petit va être ramené. Il sera là d’ici cinq à dix minutes. Il faudra juste dire aux personnes qui vous l’apportent, où le mettre.

Je vous laisse, j’ai encore une tonne de boulot. A ce soir, 20 heures dans la salle du restaurant. J’ai déjà réservé la table. Celle que vous aimez, au fond de salle, près de la baie vitrée, face au soleil couchant.


Magalie regarde Mario avec des yeux ronds. Ah les histoires de famille en Corse. Que de vendetta, de querelles, pour des détails, des futilités.

Mais la fierté des Corses, que ce soit les hommes ou les femmes, est inégalable, incommensurable et surtout ingérable.


Je ressors avec Mario, je vais pour ranger la voiture, et la mettre à l’ombre. Il me tend une clef.

Elle ouvre tous les accès extérieurs, pas besoin du code pour entrer la nuit. Tu vas dans le garage 27 il t’est réservé, la clef l’ouvre aussi.

Quand tu m’as prévenue de ton changement de voiture, j’ai du demander au comptable de mettre sa poubelle à quatre roues, au parking comme tout le personnel.

Avec ton char d’assaut, tu ne rentres pas dans le parking classique, tu arracherais le toit.

Elle est mignonne ta belle sœur, un peut timide, mais craquante.


Merci, pour la clef, et le parking, tu fêtes ta promotion avec nous, ce soir?

Toujours seul si je comprends bien.


Bien sur que l’on fêtera ensemble ma promo.

Oui toujours seul, je n’ai pas encore trouvé chaussure à mon pied, et que veux tu il y a tellement de tourterelles en libertés, que je n’arrive pas à me décider, et puis tu sais ma liberté n’a pas de prix.


Il me dit cela avec un grand sourire. Il ne changera pas, toujours le même.

Vue sa fonction je me demande s’il va apprécier ce que mes puces lui préparent pour ce soir. Enfin il faut reconnaitre aussi qu’il l’a bien cherché.

Et puis de toute manière pour nous trois c’est comme cela, alors les autres acceptent ou au revoir.


Il se dirige, vers le comptoir de la réception, je sors pour ranger la voiture. Voyant le portier, je me dirige, vers lui, pour lui demander où se trouve le garage 27. Il me l’explique, en me tendant les clefs de la voiture. Je m‘y dirige au volant de la voiture.

Je gare la voiture, vérifie que rien ne traine dedans. Je jette le carton poubelle, dans le container prévu à cet effet, au pied du siège du fils, sous un polo je voie les sacs avec les robes que nous avons achetés à Ajaccio.

Je les prends, couvre les sacs avec le polo, pas besoin que Mario les voie. Je retourne à la chambre, les deux puces trépignent de joie. Je leurs tends les sacs, Magalie rigole.


Invité

Re: Vacances en Corse

Message par Invité »

une autre une autre une autre
ClEa8

Re: Vacances en Corse

Message par ClEa8 »

Et me revoilà! :jump:

J'ai fini si belles si soeurs et secret de famille.

Je vien de m'arreter au chapitre 18 des vacances.

Mel tu avais raison, je ne suis pas decu. Meme si je ne le lis pas de la meme manière que toi :) Chacun interprete a sa manière.

Jak, merci, pour tes textes. Les mots sont prenants, troublant, tellement logique que j'apprend beaucoup. :)

Je pense que demain je serais rendu au bout de ce qui est publier.
Invité

Re: Vacances en Corse

Message par Invité »

passiflore123 a écrit :Et me revoilà! :jump:

J'ai fini si belles si soeurs et secret de famille.

Je vien de m'arreter au chapitre 18 des vacances.

Mel tu avais raison, je ne suis pas decu. Meme si je ne le lis pas de la meme manière que toi :) Chacun interprete a sa manière.

Jak, merci, pour tes textes. Les mots sont prenants, troublant, tellement logique que j'apprend beaucoup. :)

Je pense que demain je serais rendu au bout de ce qui est publier.
tu ne lit pas de la meme manniere que moi comment sa?
DeLsEp9

Re: Vacances en Corse

Message par DeLsEp9 »

passiflore123 a écrit :Et me revoilà! :jump:

J'ai fini si belles si soeurs et secret de famille.

Je vien de m'arreter au chapitre 18 des vacances.

Mel tu avais raison, je ne suis pas decu. Meme si je ne le lis pas de la meme manière que toi :) Chacun interprete a sa manière.

Jak, merci, pour tes textes. Les mots sont prenants, troublant, tellement logique que j'apprend beaucoup. :)

Je pense que demain je serais rendu au bout de ce qui est publier.
Mel29440 a écrit : tu ne lit pas de la meme manniere que moi comment sa?

chacun lit suivant son ressenti personnel, son vécu, ses attentes

serait il possible que quelque chose germe chez toi :bounce :bounce :bounce :bounce
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