Vacances en Corse

Des récits qui ne manqueront pas de réveiller vos sens et votre imagination...
DeLsEp9

Re: Vacances en Corse

Message par DeLsEp9 »

Bikette a écrit :Comment ?? Comment ça comment ? Ben tu copicolles ou tu écris, j'vois pas ce qu'il y a de compliqué :??: :jesaispas:



:d :d :d :d


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Mel29440 a écrit :hey la c'est abuser c'est court comme chapitre je proteste je veut une autre suite

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DeLsEp9

Re: Vacances en Corse

Message par DeLsEp9 »

Propos de Sabine ma femme
Propos de Magalie ma belle sœur
Propos de Jacques
Mes pensées
Propos de Mario

Propos de Charlotte
Propos de Lucie fille de Charlotte
Propos de Louise petite fille de Charlotte

11)



Je sentais, je savais que tu flashais sur Jacques, mais jamais je n’aurais imaginé que ce soit à ce point, que cela t’entraine, que cela vous entraine si loin.

Jamais je n’aurais imaginé, que tu l’aimes à ce point, que tu l’aimes au point de vouloir te donner à lui.


Je ne sais pas pourquoi, je m’approche et embrasse Sabine et Magalie sur le front.

Ma femme sourit, m’embrasse tendrement, tout en regardant sa sœur qui se blottit contre moi, que je tiens dans mes bras comme pour la protéger.

La protéger de qui, de quoi, je ne sais, ne sais plus, ne comprends plus rien, ne comprends plus rien à rien.

Sabine regarde tendrement sa petite sœur, lui fait un signe de tête en me regardant.

Magalie secoue la tête pour dire non.


-/-


Sabine se penche m’embrasse tendrement en prenant ma tête dans les mains.

Embrasse-la devant moi, je veux qu’elle comprenne, je veux que tu comprennes, je veux que vous comprenniez, que j’accepte.

Je veux que vous compreniez tous les deux, que je ne vous en veux pas, que je ne t’en veux pas ma petite sœur, que je ne t’en veux pas mon chéri.

Je vous aime tous les deux, je ne veux pas vous perdre, ni l’un ni l‘autre.


Elle dit tout cela naturellement, sans se forcer, sans qu’aucune expression de son visage ne vienne contredire ses propos. Elle le dit avec une telle conviction, avec une telle sincérité, que je ne peux que la croire, que je veux la croire et ce malgré tous les doutes qui m’assaillent.

Je regarde mon épouse, la sœur de ma maitresse, la sœur de la femme que j’aime, autant qu’elle, elle, Sabine, ma femme. Sabine me laisse ébahit, abasourdit, par les propos qu’elle vient de tenir.

Elle me demande d’embrasser sa sœur devant elle, je n’en reviens pas, elle est en train de scier la branche où elle vient de me laisser m’asseoir.

Assommer, elle m’assomme, sa compréhension, du moins ce que Sabine me montre, m’affiche à l’instant, me laisse pantois, me laisse comme un pantin désarticulé.

Elle a l’air d’accepter ce qui se passe entre nous, comme si de rien n’était, comme si tout cela était normal.

Je ne pense pas, je refuse même cette idée, que ce soit un plan machiavélique de sa part. Cela serait trop horrible pour sa petite sœur.


Mon épouse, la sœur de ma maitresse, nous regarde d’un air si gentil, si doux.

Voyant que ni sa sœur, ni moi ne bougeons, elle prend la tête de sa sœur dans les mains, l’embrasse tendrement sur les lèvres.


Je t’aime ma petite sœur, je comprends ta pudeur, ta détresse, en ce moment !

Elle se tourne vers moi, prend ma tête dans ses mains, m’embrasse tendrement sur les lèvres.

Je t’aime mon chéri, je comprends ta pudeur, ta détresse, en ce moment !

Les mêmes gestes au millimètre prés, le même baiser, les mêmes mots.

Heureusement une chaise traine par là. Je m’écroule dedans. Ma femme me scie, me lamine, me réduit à néant.

Elle semble accepter notre relation, du moins elle nous en donne l’impression, nous le laisse croire.

Elle semble accepter que Magalie, sa petite sœur, que moi son mari soyons ensemble, que nous ayons une relation, que nous soyons amoureux comme des fous que nous sommes, elle accepte que nous soyons amants.

Sabine prends deux chaises, assoie sa sœur à côté de moi, qui comme moi ne comprend rien, qui comme moi essaie de chercher une réponse dans le regard de Sabine.

Nous avons beau chercher, aucune réponse, aucun élément de réponse ne nous apparait, enfin ne m’apparait.

Sabine s’assoit, face à nous, prends nos deux mains. Ses mains sont douces, elle ne transpire pas, aucun signe de nervosité ne semble parcourir ses mains.


Je vous aime tous les deux. Magalie, je vais te poser une question, une simple question. Je t’en prie, t’en supplie, réfléchi avant de répondre.

Jacques tu ne dis rien, je t’en conjure ne dis rien, je dois savoir quelque chose, il le faut, pour moi Sabine, il le faut pour toi Jacques, il le faut pour Magalie, il le faut pour nous trois, il le faut pour notre devenir.

Magalie ma petite sœur. Je te jure qu’il n’y a aucun piège, aucune duplicité, aucune arrière pensé, dans ce que je désirerais savoir, dans ce que je vais te demander.

Invité

Re: Vacances en Corse

Message par Invité »

ils sont trop court tes chapitres :sweet:
DeLsEp9

Re: Vacances en Corse

Message par DeLsEp9 »

Propos de Sabine ma femme
Propos de Magalie ma belle sœur
Propos de Jacques
Mes pensées
Propos de Mario

Propos de Charlotte
Propos de Lucie fille de Charlotte
Propos de Louise petite fille de Charlotte

12)


Sabine prends deux chaises, assoie sa sœur à côté de moi, qui comme moi ne comprend rien, qui comme moi essaie de chercher une réponse dans le regard de Sabine.

Nous avons beau chercher, aucune réponse, aucun élément de réponse ne nous apparait, enfin ne m’apparait.

Sabine s’assoit, face à nous, prends nos deux mains. Ses mains sont douces, elle ne transpire pas, aucun signe de nervosité ne semble parcourir ses mains.


Je vous aime tous les deux. Magalie, je vais te poser une question, une simple question. Je t’en prie, t’en supplie, réfléchi avant de répondre.

Jacques tu ne dis rien, je t’en conjure ne dis rien, je dois savoir quelque chose, il le faut, pour moi Sabine, il le faut pour toi Jacques, il le faut pour Magalie, il le faut pour nous trois, il le faut pour notre devenir.

Magalie ma petite sœur. Je te jure qu’il n’y a aucun piège, aucune duplicité, aucune arrière pensé, dans ce que je désirerais savoir, dans ce que je vais te demander.


-/-


Est ce que tu aimes Jacques, est ce que tu l’aimes de toute ton âme, de tout ton corps, de tout ton cœur ?

Est-ce que quand il n’est pas là, tu as mal, tu souffres au plus profond de ton corps, au plus profond de ta chair?

Est-ce que tu as mal, à en crever, de ne pas pouvoir le tenir dans tes bras, de ne pas pourvoir le prendre dans tes bras, quand tu en as envie, de peur de te faire surprendre, de peur de vous faire surprendre.

Est-ce que tu as mal, de ne pas pouvoir afficher à la face du monde tout l’amour que tu as, tout l’amour que tu ressens pour lui ?

Est-ce que, quand nous nous sommes au lit, que nous faisons l’amour, que je me donne à lui, qu’il se donne à moi, tu me hais, tu me détestes car il est avec moi ?

Est-ce que tout simplement tu l’aimes ?


Je voie les yeux paniqués de Magalie passé de Sabine à moi, et inversement.

Elle est effrayée, elle tremble. Elle est tellement paniquée, ses yeux ont l’air perdu, hagard.

J’ai envie de la prendre dans mes bras, de la tranquilliser, de la consoler, de la cajoler, de l’embrasser.

Je ne sais pas, je ne comprends pas où Sabine veut en venir.

Que veut-elle savoir, pourquoi, où veut-elle emmener sa petite sœur, où veut-elle nous emmener.


Je t’en prie, je te jure que je ne t’en veux pas, que je ne t’en voudrais jamais.

Je dois savoir, pour nous, pour notre futur, je dois savoir. Je t’en prie, je t’en conjure.


C’est pour ainsi dire sabine qui supplie Magalie, sa voix, est d’une douceur, d’un calme, je ne comprends pas, ne comprends plus.

Je voie Magalie qui me regarde, qui tremble pire qu’une feuille morte avant que le vent ne l’arrache de l’arbre qui l’a fait vivre toute sa vie durant.

Elle se demande, se pose les mêmes questions que moi, j’en suis certain, je le lis dans ses yeux.

Ce n’est pas possible, vu son comportement, vu leurs comportements, vu ses réactions, qu’il y a la moindre complicité entre elles deux.

Je la voie prendre une énorme gorgée d’air, respirer à fond.


Oui j’aime Jacques, oui je l’aime à en crever.

Oui quand il n’est pas là je souffre le martyr.

Oui je crève de peur quand il part, oui je crève de peur qu’il puisse lui arriver quelque chose.

Oui je crève de peur qu’il ait un accident, que je ne puisse pas aller le voir, que je ne puisse pas être à ses côtés. Que je ne puisse pas lui tenir la main s’il souffre, s’il est malade, s’il est blessé.

Oui je l’aime comme cela.

Oui je t’aime Jacques, oui je t’aime de toute mon âme, de tout mon corps, je t’aime de toutes mes tripes mon jacques.


Elle tremble comme une feuille, je réalise qu’elle m’a pris les mains en disant cela. Que ces yeux sont dans mes yeux, que personne d’autre n’existe en ce moment pour elle. Que pour Magalie en ce moment, il n’y a que nous deux sur terre.

Je regarde mon épouse, qui pleure.

Magalie se retourne, prends les mains de sa sœur, de ma femme, de Sabine.
S’agenouille devant elle.


Non, je ne t’en veux pas, non je ne lui en veux pas, quand vous faites l’amour. Non, je ne t’en veux pas, que tu te donnes à lui, qu’il se donne à toi, je suis heureux que vous soyez toujours ensemble.

J’ai dit à Jacques au début :

J’attends de toi qu’une seule et unique chose, rends nous heureuses toutes les deux.

Ne nous fais pas souffrir ni l’une ni l’autre. Je sais que si ta femme apprenait ce qui se passe elle serait malheureuse.

Je n’ais pas arrêté de lui dire.

Même si je dois te partager avec ma sœur, que j’aime, je comprendrais, j’accepterais tout de toi, de ma sœur, par amour pour elle, par amour pour toi.

Dans un grand moment de doute, je lui ai dit :

Ma sœur, que j’aime, il est hors de question que tu la quittes pour moi. Si tu le fais, je pars aussi.

Sans toi, je ne pourrais pas vivre. Sans elle sans toi, je ne suis rien.

Jacques m’a répondu, ce sont presque ses mots :

« Je vous aime toutes les deux. Il est hors de questions de choisir, de laisser un de mes deux amours sur le bord du chemin. Je ne sais pas où tout cela va me mener, nous mener, nous amener.

Mais je te l’ai dit je ne joue pas avec toi. Lorsque je fais quelque chose, j’assume.

Et je compte bien le faire, assumer, assumer mes deux femmes, les deux sœurs que j’aime.

Sans Sabine je te dis non.

Sans toi, Magalie, ma petite puce, je dis non.

Je ne sais pas encore comment, mais j’y arriverais. La seule question est : Es tu d’accord ?

Je ne te demande pas une réponse maintenant. Il faut que tu assimile bien toutes les conséquences que ta réponse pourrait entrainer. Quelle soit ta réponse.

Si tu me dis, que tu préfère arrêter tout de suite, maintenant, je le comprendrais, ce sera dur, mortellement difficile, mais je respecterais ton choix. »


Je me lève, m’agenouille à côté de Magalie, devant ma femme, prends ses mains et celles de Magalie dans les miennes.

Magalie et moi sommes tous les deux à genoux devant Sabine.

J’attends de voir la réaction de Sabine, la réaction de ma femme, la réaction de la sœur de ma maitresse.

Ses yeux sont à la fois si triste, et si brillant.

Est-ce de la joie, est ce de l’amertume, une rage contenue, je ne sais, je ne veux pas chercher à comprendre. D’ailleurs, je n’arrive plus à comprendre quoi que ce soit, à ce qui se passe.

J’attends ses mots, les mots de Sabine qui vont décider de son futur, du futur de Magalie, de mon futur. Les mots, qui vont décider de notre futur.

Pour ainsi dire, nous attendons sa sentence. Nous attendons ce qu’elle va décider.

L’attente est horrible, tant Magalie que moi sommes dans ses yeux, à chercher, à essayer de comprendre, à chercher à comprendre.

A comprendre son cheminement, à essayer de percer ses pensées.

Elle nous regarde tour à tour. Son regard est doux, calme, je ne décèle aucune animosité, tant vis-à-vis de Magalie, que de moi-même.

Sabine à l’air si calme, presque apaisée.

Tout l’opposée de nous, qui à genoux devant elle, attendons tétanisés, tremblant à l’idée d’entendre des mots, ces mots qui scelleront irrémédiablement notre destin.

Elle se cale dans son siège, raffermi la prise de ses mains sur les nôtres.

Elle nous regarde. Je sais qu’elle ne réfléchie plus, que sa sentence, va tomber.

Que notre destin est scellé, du moins pour elle, que rien ne la fera revenir en arrière.



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Re: Vacances en Corse

Message par Biquette »

OMG :tombe: :tombe:
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
Invité

Re: Vacances en Corse

Message par Invité »

c'est pire qu'un film a intrigue
DeLsEp9

Re: Vacances en Corse

Message par DeLsEp9 »

Bikette a écrit :OMG :tombe: :tombe:
Mel29440 a écrit :c'est pire qu'un film a intrigue

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Je vais être gentil
Dernière modification par DeLsEp9 le 28 septembre 2011, 21:54, modifié 3 fois.
DeLsEp9

Re: Vacances en Corse

Message par DeLsEp9 »

Propos de Sabine ma femme
Propos de Magalie ma belle sœur
Propos de Jacques
Mes pensées
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Propos de Charlotte
Propos de Lucie fille de Charlotte
Propos de Louise petite fille de Charlotte

13)



L’attente est horrible, tant Magalie que moi sommes dans ses yeux, à chercher, à essayer de comprendre, à chercher à comprendre.

A comprendre son cheminement, à essayer de percer ses pensées.

Elle nous regarde tour à tour. Son regard est doux, calme, je ne décèle aucune animosité, tant vis-à-vis de Magalie, que de moi-même.

Sabine à l’air si calme, presque apaisée.

Tout l’opposée de nous, qui à genoux devant elle, attendons tétanisés, tremblant à l’idée d’entendre des mots, ces mots qui scelleront irrémédiablement notre destin.

Elle se cale dans son siège, raffermi la prise de ses mains sur les nôtres.

Elle nous regarde. Je sais qu’elle ne réfléchie plus, que sa sentence, va tomber.

Que notre destin est scellé, du moins pour elle, que rien ne la fera revenir en arrière.



-/-


Jacques est ce que tu aimes Magalie. Ta réponse Magalie me l’a déjà donné. Je veux l’entendre de ta voix, de ta bouche. Je veux voir tes lèvres, ta bouche la prononcer, voir tes lèvres, ta bouche prononcer ces mots.

Je ne comprends plus rien, elle veut que je la fasse encore souffrir. Que par mes propres mots, je la blesse, encore plus que ce que vient de lui dire Magalie.

Elle veut me faire comprendre que c’est elle qui à toutes les cartes en mains, qu’elle joue avec nous, qu’elle se joue de nous.


Où veut elle aller comme cela, c’est presque une torture pour elle, elle nous pousse à tout lui dire, à tout lui avouer.

Elle se torture autant qu’elle le fait pour nous. Toutes ses questions, ses phrases, sont des couteaux, des lames acérées, qui la marquent, qui nous marquent, qui nous torturent au plus profond de nos âmes, au plus profond de nos chairs.


Oui j’aime Magalie, Oui Sabine je t’aime, Oui je vous aime toutes les deux. Je ne joue pas, je n’ai jamais joué ni avec toi Sabine, ni avec toi Magalie.

Sabine se lève, se tourne vers moi.

Garde le petit, ma sœur et moi avons à parler.

A parler entre femmes.


Elle me tend le petit. Elle tend la main à Magalie, qui instinctivement, la prend dans la sienne.

Je les vois s’éloigner main dans la main.

Elles parlent calmement, sereinement, je n’entends pas un son plus haut que l’autre, pendant qu’elles s’éloignent.

Je les voies s’arrêter, se prendre dans les bras l’une et l’autre, se prendre la tête dans les mains, s’embrasser, se faire face. Elles discutent, parlent, ne font que cela, parler, ne font que discuter.

Elles marchent, s’arrêtent, parlent, repartent. Elles ne font que cela, elles n’arrêtent pas.

A aucun moment l’une et l’autre ne se lâche la main. A aucun moment elles n’ont l’air en colère, à aucun moment elles n’ont l’air de s’énerver.

Cela dure, dure.

Le petit s’étant endormi, je rentre dans la chambre, et le dépose dans son lit.

Je ressors, m’assieds, regarde les deux sœurs, regarde mes deux amours qui parlent, ne font que parler, n’arrêtent pas de parler.


Que peuvent elles se dirent, que complote Sabine, que veut elle faire accepter à Magalie, je deviens dingue d’attendre comme cela.

Ne pas savoir est horrible.

L’attente est horrible.

Tout me semble arrêter.

Le temps est arrêter, ma vie est arrêter, mon amour est arrêter.

Arrêter à ce qui va se passer quand, les deux sœurs vont revenir, à ce qui va se passer quand mes deux amours vont revenir. A ce qu’elles auront décidés.

Non pas ce qu’elles auront décidés, mais à ce que Sabine aura décidé, à ce que Sabine aura imposé à Magalie.

Ma vie, mon amour pour les deux sœurs que j’aime du plus profond de mon âme, que j’aime plus que ma propre vie, est suspendue à une discussion.

A une discussion, où je n’ai pas mon mot, pas mon opinion à donner.

Je n’ai rien à dire, je ne maitrise rien.

Je suis spectateur et encore, un spectateur lointain, n’entendant rien, ne voyant que les deux êtres, les deux personnes que je chéris le plus au monde.

De ne pas savoir, de ne pas les entendre, cela me rend fou.

Je deviens fou, de les voir encore et toujours parler, elles ne font que cela depuis plus de deux heures. Elles parlent, elles parlent, elles ne font que parler.


Je les voie, se prendre dans les bras, s’embrasser me regarder de loin. Je n’arrive à pas à deviner ce qu’elles pensent, ce que leurs yeux disent. Je voudrais tant en ce moment pouvoir lire dans leurs esprits, deviner leurs pensées, Mais non, rien, ne transparait, rien ne se voie, rien, je ne voie rien.

Elles se prennent par la main, et doucement, tranquillement, je les voie revenir dans ma direction.

Je ne peux m’empêcher de paniquer, de trembler.

Je me cramponne à ma chaise, étant à la limite de bondir. De bondir pour m’agenouiller à leurs pieds, pour qu’elles m’expriment leurs désirs, pour qu’elles m’expriment leurs volontés, plus simplement que Sabine s’exprime.

Je ne sais plus où j’en suis, je ne sais à quelle sauce je vais être mangé, ce qu’il va advenir de moi, de mon amour pour ces deux sœurs que j’aime plus que moi-même, que j’aime plus que ma vie.

Elles s’assoient toutes les deux face à moi, détendues, calmes, apaisées.

Tout l’opposé de moi, moi qui tremble, qui cogite comme un fou, essayant de comprendre, essayant de percer leurs pensées.

Sabine prends une de mes mains. Magalie prend l’autre. Je n’y comprends rien, je ne comprends plus rien.


Jacques mon amour, nous avons discutés toutes les deux, et nous sommes d’accord.

Magalie s’il te plait.


Nous sommes parfaitement d’accord. Il n’y a pas de pièges, pas de coup bas. Je te le jure, Jacques.

Nous te le jurons.

Invité

Re: Vacances en Corse

Message par Invité »

jespere bien que si tu part vendredi tu posteras plein de suite ^^
DeLsEp9

Re: Vacances en Corse

Message par DeLsEp9 »

Propos de Sabine ma femme
Propos de Magalie ma belle sœur
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Mes pensées
Propos de Mario

Propos de Charlotte
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Propos de Louise petite fille de Charlotte

14)



Je ne sais plus où j’en suis, je ne sais à quelle sauce je vais être mangé, ce qu’il va advenir de moi, de mon amour pour ces deux sœurs que j’aime plus que moi-même, que j’aime plus que ma vie.

Elles s’assoient toutes les deux face à moi, détendues, calmes, apaisées.

Tout l’opposé de moi, moi qui tremble, qui cogite comme un fou, essayant de comprendre, essayant de percer leurs pensées.

Sabine prends une de mes mains. Magalie prend l’autre. Je n’y comprends rien, je ne comprends plus rien.


Jacques mon amour, nous avons discutés toutes les deux, et nous sommes d’accord. Magalie s’il te plait.

Nous sommes parfaitement d’accord. Il n’y a pas de pièges, pas de coup bas. Je te le jure, Jacques.

Nous te le jurons.

-/-


Tu nous aimes toutes les deux ?

Euh oui.

Oui sabine je t’aime, non pas du fait que tu es la mère de notre fils, mais parce que tu es la femme de ma vie.

Oui Magalie je t’aime, parce que tu es toi et que tu es la femme de ma vie.


Je t’aime car tu es l’homme de ma vie.

Je t’aime car tu es l’homme de ma vie.

C’est très simple mon jacques, mon amour. C’est très simple mon jacques, mon amour. C’est nous deux, ou personne.

C’est ce que nous venons de décider.
Ce que nous voulons toutes les deux.

Nous vivrons tous les trois ensemble, nous t’aimerons toutes les deux, tu nous aimeras toutes les deux. Tu n’as pas de choix, tu n’as pas d’autres solutions.


Pas un ménage à trois. Tu nous aimes chacune, ni plus ni moins.

Nous n’aurons plus à nous cacher, de ma sœur.

Je lui ai tout dit. Elle s’en doutait te connaissant, connaissant le merveilleux amant que tu es.

Elle sait tout ce qui s’est passé entre nous. Je ne lui ai rien caché.

J’ai était honnête, je lui dois au moins ça. Elle est si heureuse que tu sois mon premier homme.


Je les regarde abasourdis.

Elles sont arrivées, à passer outre leur fierté, à passer outre les possibles rancœurs, pour s’entendre, non pas me partager entre elles, mais me garder pour elles.

Je m’approche de Sabine, m’agenouille devant elle prend sa tête dans mes mains, l’embrasse tendrement.


Je t’aime, toi la femme de ma vie.

Je me relève.
Je m’approche de Magalie, m’agenouille devant elle prend sa tête dans mes mains, l’embrasse tendrement.


Je t’aime, toi la femme de ma vie.

Je m’assois, et essaie de réaliser ce qui se passe, ce qui s’est passé. Je suis dans un nuage.

J’ai l’impression de flotter, tant ce qu’elles viennent de me dire, ma laisse sans force, comme vider de toute énergie.

Je voie, plutôt j’entrevoie, mes deux amours, les deux femmes de ma vie, les deux femmes que j’aime plus que tout au monde, se lever, se rapprocher, main dans la main, s’asseoir chacune sur une de mes cuisses, et chacune pose sa tête sur une de mes épaules.

Mes bras les enserrent, les écrasent contre moi. J’embrasse ma femme, j’embrasse ma maitresse, elles me caressent les cheveux.

Je pleure. Est ce de joie, est ce de peur, est ce de bonheur, je ne sais pas, je ne comprends rien à ce qui se passe, enfin si, mais tout cela est trop fort, trop beau pour que je réalise pleinement ce qui se passe.

Je réalise, ou est ce que je rêve tout éveillé.

Les deux femmes que j’aime, sont dans mes bras, je n’ai plus, nous n’allons plus devoir nous cacher. Chacune accepte ce qui se passe, c’est impensable.

Quand je les vois, tout à l’air si simple. Je sens que l’on m’embrasse, que l’on lape les larmes qui s’écoulent de mes yeux. Deux langues s’appliquent avec douceur, à récupérer mes larmes qui perlent.

Je ne peux m’empêcher d’ouvrir les yeux, mes deux amours ont les yeux humides, j’embrasse une, j’embrasse l’autre, je ne sais plus où je suis, ce que je fais. Mes paupières se ferment, tout au bonheur, à l’intensité de ce moment privilégié.

Je sens quatre mains qui me caressent la tête, les cheveux. Des lèvres qui m’embrassent, tendrement, sensuellement. D’autres m’embrassent sur la joue. Les lèvres s’écartent, continuent sur une joue, d’autres les remplacent sur mes lèvres, m’embrassent tout aussi sensuellement, tendrement.

J’ai les yeux fermés, qui m’a embrassé, je le sais, mon corps le sait, mes lèvres le savent. Mais cela m’importe peux, dans quel ordre cela compte encore moins.

Tout ce que je sais, que je ressens, c’est que je suis l’homme qui est le plus aimé, qui est le plus heureux au monde.

Mes deux amours acceptent, me veulent pour elles, se donnent à notre amour.

J’ouvre les yeux, mes femmes, mes amours me regardent, leurs yeux se noient dans les miens, j’y lis tant d’amour, tant de compassion, tant de bonheur.

Je ne peux m’empêcher de rapprocher leurs têtes, de la mienne, délicatement, doucement, de les embrasser en même temps. Nos trois bouches se réunissent en une seule, pour ne faire qu’un baiser, tendre, sensuelle.

Nos langues se cherchent, se trouvent, se mêlent, se mélangent, se repoussent, s’aiment, fusionnent.

Tout ce qui se passe, est d’une sensualité folle. Il n’y a rien d’obscène, rien que de l’amour, un amour incommensurable qui se sent, qui explose à notre contact, qui nous entraine avec lui.

Je sens une main qui descend le long de mon torse, s’arrête sur la bosse qui déforme mon short. Elle repart. Je la sens redescendre, accompagnée d’une autre. Les deux mains se posent sur mon érection.

Je ne bande pas, c’est le Python de la Soufrière, l’Etna, le Popocatépetl réunis.

Je ne peux m’empêcher de plisser légèrement les paupières pour les regarder, regarder mes deux amours, sans qu’elles ne se sachent observées, sans qu’elles ne sachent que je les voie, que je les admire. Elles sont tellement belles, tellement lumineuses, tellement irréelles.

Leurs yeux sont baissés, elles regardent mon short, où mon sexe bande librement, n’ayant aucune entrave, aucun sous-vêtement. Je sens les deux mains qui me caressent, une caresse doucement ma hampe, l’autre mes bourses. Heureusement, mon short atténue leurs caresses. Autrement, je crois bien que je jouirais sur place.


Tu sens comme il bande pour nous, ma sœur, comme il nous désire, comme son sexe palpite, tressaute d’envie, de sentir nos mains sur lui.

Je voie quatre yeux qui dévorent, qui me dévorent. Qui voudraient que je les prenne, Qui voudraient que je leur fasse l’amour, que je leur donne tout les plaisirs de la terre.

Je me lève, doucement, mes puces, mes amours, s’écartent légèrement de moi. Je regarde, j’admire, mes deux amours, ces deux femmes, ces deux sœurs, qui sont prêtent à tout sacrifier par amour pour moi, pour qui je suis prêt à tout sacrifier.

Je m’approche de Sabine, me baisse, la prends dans mes bras, je me tourne vers Magalie.


Invité

Re: Vacances en Corse

Message par Invité »

encore encore encore :cingle:
DeLsEp9

Re: Vacances en Corse

Message par DeLsEp9 »

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15)



Leurs yeux sont baissés, elles regardent mon short, où mon sexe bande librement, n’ayant aucune entrave, aucun sous-vêtement. Je sens les deux mains qui me caressent, une caresse doucement ma hampe, l’autre mes bourses. Heureusement, mon short atténue leurs caresses. Autrement, je crois bien que je jouirais sur place.

Tu sens comme il bande pour nous, ma sœur, comme il nous désire, comme son sexe palpite, tressaute d’envie, de sentir nos mains sur lui.

Je voie quatre yeux qui dévorent, qui me dévorent. Qui voudraient que je les prenne, Qui voudraient que je leur fasse l’amour, que je leur donne tout les plaisirs de la terre.

Je me lève, doucement, mes puces, mes amours, s’écartent légèrement de moi. Je regarde, j’admire, mes deux amours, ces deux femmes, ces deux sœurs, qui sont prêtent à tout sacrifier par amour pour moi, pour qui je suis prêt à tout sacrifier.

Je m’approche de Sabine, me baisse, la prends dans mes bras, je me tourne vers Magalie.


-/-


Nous commençons une nouvelle vie mes tendres chéries, mes doux amours.

Je me dois de franchir la porte de notre chambre avec dans mes bras, chacune des femmes, chacun de mes amours qui va partager ma vie, avec qui je vais partager ma vie.

Il n’y a aucune préférence dans mon choix de porter Sabine ou Magalie en premier, comprenaient moi bien mes chéries, mes amours.


Je me dirige vers la porte de notre chambre, Sabine me regarde, elle pleure, me sert dans ses bras, et au moment où nous franchissons le seuil de la porte m’embrasse avec passion.

Je la dépose doucement sur le lit, sur notre couche. L’embrasse tendrement, ses yeux, mes yeux ne sont que larmes, que larmes de joie, que larmes de bonheur. J’ose l’espérer, j’ose le souhaiter de toute mon âme.

Je ressors m’approche de Magalie, qui tremble, elle se jette à mon cou, m’embrasse telle une furie, je retrouve le gout salé de ses larmes, de mes larmes sur nos lèvres, dans notre baiser.

Je la prends dans mes bras, me dirige vers la porte de notre chambre, Magalie me regarde, elle me souri et craque, elle commence doucement a pleurer, me sert dans ses bras, et au moment où nous franchissons le seuil de la porte m’embrasse avec violence, je ressens toute sa joie, toute sa frustration dans ce baiser. Je la dépose tendrement sur le lit, sur notre couche, près de Sabine.

Je l’embrasse tendrement.

Je m’agenouille devant elles. Je prends leurs mains tendrement, les unies aux miennes.


Je vous aime comme jamais je n’ai aimé, comme jamais, aucun homme n’a pu aimer. Je sais que vous m’aimé, comme peux de femmes savent le faire, comme seules vous deux pouvez le faire.

Je les regarde, les admire, je me rends compte de la chance que j’ai d’avoir rencontré deux femmes, d’avoir rencontré deux amours qui ont l’intelligence de ne pas s’entretuer, de ne pas se haïr du fait qu’elles aiment le même homme, mais d’accepter de l’aimer ensemble, d’accepter d’aimer le même homme.

Je me tourne vers Sabine, l’embrasse tendrement.


Mes mains attrapent le bas de son tee-shirt, je la regarde, elle me regarde, ses yeux brillent de la folie de ce moment. Elle comprend.

Elle se lève légèrement pour libérer le bas de son tee-shirt. Ses bras doucement se soulèvent, je tire son tee-shirt vers le haut, découvrant son corps nu.

J’embrasse ses tétons, ses seins, si ronds, si doux. Tout en léchant suçant les seins de ma femme, dont les tétons, sont énormes, je regarde Magalie, elle ne bouge pas. Elle regarde ma bouche, agir sur la poitrine de sa sœur.

Sabine a pris la main de Magalie dans la sienne, chacune serre la main de l’autre.

Je voie les articulations de leurs doigts blanchirent. Je me tourne légèrement, m’approche de Magalie, mes mains prennent le bas de son tee-shirt.

Elle me regarde, regarde sa sœur. Ses bras se lèvent, je remonte doucement son tee-shirt, le lui enlève. Elle se retrouve aussi nue que sa sœur. J’embrasse sa poitrine fabuleuse, sans que je ne les aie touchés, ses tétons pointent comme des fous. Ses aréoles ont disparu, ne formant qu’un avec ses tétons.

Je la tête, mordille ses tétons. Je regarde Sabine, elle me sourie, regardant ma bouche, agir sur la poitrine de sa petite sœur.

Je sens sa main, la main de Sabine, se poser sur ma tête, rejointe par celle de Magalie. Elles me caressent les cheveux. Tout en mordillant les tétons de Magalie, je l’allonge sur le lit. Je sens leurs mains, qui tout en me caressant les cheveux, en caressant ma tête, la dirige vers le ventre de Magalie.

Ma bouche descend sur son ventre, son pubis. Ses cuisses s’écartent encore plus, offrant tant à mes yeux, qu’à ma bouche gourmande, sa petite chatte ruisselante, sa petite chatte dégoulinante de ses envies, de son désir. Son genou est au contact de celui de Sabine.

Ma bouche se pose sur ses grandes lèvres, je les embrasse, les lèches, les mordille. Mes doigts écartent ses grandes lèvres doucement, ma langue trouve son clitoris, son bouton d’amour, s’en empare, je le dévore, mes lèvres le pince, l’aspire. Je sens le corps de Magalie se tendre. Leurs mains posées sur ma tête, se crispent, comme si mes deux amours, ressentaient la même chose, comme si elles ressentaient le même plaisir, le même début de jouissance.

Ma main gauche s’est posée sur la cuisse de Sabine. Je la sens s’allonger, écarter ses cuisses. Ma main se pose sur son sexe rasé. Elle mouille comme pas possible. Je glisse un doigt en elle, elle gémi.

Je sens les mains de Magalie qui relève ma tête. Ses yeux brillent, ils ont l’air d’exprimer, son bonheur, la folie de se moment irréel, de ce moment de bonheur sublime.

Magalie, doucement tendrement, sans me lâcher des yeux, dirige ma tête vers le ventre de sa sœur, vers son pubis.

Elle me caresse les cheveux. Je frissonne. Elle s’agenouille à côté de moi.


Fais jouir ta femme, fais jouir ma sœur, s’il te plait, elle en a besoin, besoin de toi son mari, de toi son homme, besoin de toi notre amant.

Elle plaque doucement, délicatement mes lèvres sur la chatte dégoulinante de Sabine qui sursaute. Je me redresse, me lève. Je tends les bras à mon épouse, elle s’y précipite. Nos corps se collent, sont comme soudés l’un à l’autre. Je la fait reculer, elle monte sur le lit, je la suis. Je l’allonge, elle ne me lâche pas des yeux. Je vais pour me pencher, pour m’agenouiller entre ses cuisses.

Magalie qui est derrière moi, m’arrête, me retenant par la taille. Elle ouvre le bouton de mon short, Sabine s’assied, descend mon zip. Magalie qui est toujours derrière moi, écarte les pans mon short, les mains de Sabine ont attrapées le bas des jambes du short et tire doucement pour le faire descendre.

Les mains de Magalie effleurent mon sexe. Je ressens comme une décharge, je sursaute, ma femme me regardant à ce moment. Elle souri, se passe la langue sur les lèvres.

Je lève les pieds, les uns après les autres, pour qu’elles puissent m’enlever complètement le short. Magalie m’embrasse les fesses, redescend du lit, s’assois face à Sabine. Je les regarde, toutes les deux à tour de rôle. Elles sont heureuse, leurs visages, leurs yeux, leurs corps me le disent. Elles transpirent le bonheur, le plaisir d’un moment rare.

Je me penche me rapproche de Sabine, l’embrasse tendrement. Ma bouche descend, embrasse ses seins, son ventre. Je dépose tendrement des baisers tout le long de sa poitrine, de son ventre. Ses mains se posent sur ma tête.

Mes lèvres se posent sur son mont de vénus, je l’embrasse, un de mes doigts à déjà investi sa grotte d’amour et masse le haut de sa vulve. Un deuxième le rejoint. Mon pouce masse son clito. Je suis à genou sur le lit, penché sur le corps de mon amour, de ma femme, de la sœur de ma maitresse.

Je sens Magalie se lever du lit, elle s’approche de sa sœur, de ma femme, s’agenouille, lui parle à l’oreille. Sabine approuve de la tête.

Magalie s’agenouille sur le lit, s’approche de moi, me souri. Elle prend ma tête entre ses mains, m’embrasse tendrement, mange mes lèvres, goute mes saveurs, les saveurs de sa sœur, nos saveurs mélangées.


Je t’aime Jacques, je t’aime notre homme, je t’aime notre amant.

Elle m’embrasse les flancs et passe derrière moi, je ne la voie plus. Je sens une main me caresser mes bourses, une autre qui prend mon sexe en main. Son corps se colle à moi.
Magalie nous a rejoint, elle fusionne avec nous. Je sens ses seins contre mes fesses, pendant qu’elle me caresse, sa tête est posée sur mon dos. Je sens, plutôt je ressens sa respiration, qui est calme.

Elle appui sur mon corps, pour que je me penche en avant. Je sens ses cheveux frôler mes cuisses.
Ma bouche a investi le sexe, la vulve de Sabine. Je la lèche, la mange, la dévore. Ses mains plaquent ma tête contre son sexe.

Une main caresse mon sexe, me masturbe, m’oblige à redresser mon bassin, à écarter les cuisses. Une bouche s’empare de mon sexe.

Pendant que je dévore la vulve de Sabine, Magalie dévore le mien. Je deviens fou. Sabine à les yeux révulsés, elle est en train de partir.

Je sens sa jouissance arrivé tant les contractions de son ventre sont violentes. La mienne n’est pas loin.


Prends moi, je veux te sentir en moi, te sentir jouir dans mon ventre, sentir le sexe de notre amant jouir en moi.

Invité

Re: Vacances en Corse

Message par Invité »

t'arrete pas la stp :ouimaitre:
DeLsEp9

Re: Vacances en Corse

Message par DeLsEp9 »

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16)



Magalie nous a rejoint, elle fusionne avec nous. Je sens ses seins contre mes fesses, pendant qu’elle me caresse, sa tête est posée sur mon dos. Je sens, plutôt je ressens sa respiration, qui est calme.

Elle appui sur mon corps, pour que je me penche en avant. Je sens ses cheveux frôler mes cuisses.
Ma bouche a investi le sexe, la vulve de Sabine. Je la lèche, la mange, la dévore. Ses mains plaquent ma tête contre son sexe.

Une main caresse mon sexe, me masturbe, m’oblige à redresser mon bassin, à écarter les cuisses. Une bouche s’empare de mon sexe.

Pendant que je dévore la vulve de Sabine, Magalie dévore le mien. Je deviens fou. Sabine à les yeux révulsés, elle est en train de partir.

Je sens sa jouissance arrivé tant les contractions de son ventre sont violentes. La mienne n’est pas loin.


Prends moi, je veux te sentir en moi, te sentir jouir dans mon ventre, sentir le sexe de notre amant jouir en moi.

-/-


Je m’avance doucement, la bouche suit le mouvement, me garde en elle. Une main s’empare de mon sexe, me guide en Sabine.

Cela me fait un effet dingue, je bande à en avoir mal, tant mon sexe est érigé, tant il est dur dans les doigts de Magalie.

Magalie, continue, elle lèche mes outres pleines. Je sens sa tête qui se déplace. Des mains se posent sur mes fesses.

Je suis en Sabine, ne bouge pas, ses mains se plaquent contre mes flanc. Son vagin, me compresse, me malaxe, me broie.

En même temps je sens une main qui caresse mes fesses, une bouche qui les embrasse. L’autre main caresse doucement mes bourses. Un doigt caresse mon anus, commence à me pénétrer.

Je deviens fou, Sabine me fait l’amour comme une folle, je me demande si j’ai un sexe, tellement elle me malaxe, tellement elle me broie.

Magalie, s’occupe de mes fesses, de mes bourses. Elles veulent m’achever.


Tu es énorme, je ne t’ai jamais senti aussi gros, tu es monstrueux.

Magalie m’embrasse partout, je sens ses mains se déchainer sur moi, ses seins tels deux obus heurtent mon dos. Sa bouche embrasse ma nuque.

Je veux jouir avec vous, en même temps que vous, je t’en prie, ne me laisse pas de côté, ne me laisse pas au bord du chemin de votre plaisir, emmène moi avec vous.

Ma main attrape la sienne, je tire doucement sur sa main. Elle s’allonge à côté de sa sœur. De les voir toutes les deux, côte à côte, offertes, s’offrant à mon plaisir, je deviens fou, ma main s’immisce dans le puits d’amour de Magalie, c’est une fontaine, elle urine la cyprine, elle coule comme jamais. Je la caresse, Sabine de son côté continue à me broyer, ma malaxer avec son vagin.

Elle commence à me faire bouger en elle. Je pose mes mains de chaque côté de son corps, Je voie les mains de Magalie remplacer la mienne, se précipiter pour combler le vide de ma main, elle se masturbe comme une folle.

Sabine accélère mon mouvement, ce n’est plus l’amour que je lui fait, je suis au triple galop, en train de la labourer comme un fou. Je voie sa tête partir dans tous les sens, elle est déchainée.

Magalie commence à feuler. Sabine se contracte, se tétanise, attrape le bras de Magalie. Je sens que je vais exploser, elles vont me tuer, me faire mourir de plaisir.

J’explose dans Sabine, je ne comprends plus rien, c’est pire, c’est meilleur que la dernière fois, je ne sais, je ne suis plus en état de comprendre quoi que ce soit.

Sabine mord son bras pour ne pas hurler comme une hystérique. J’entends malgré tout une partie de son hurlement, il me glace le sang.

Magalie, ne se retient pas, au même moment son feulement, ou plutôt son rugissement retenti, comme si son désir, sa jouissance, n’avait pas était apaisée. Je m’écroule sur sabine, vidé, de toute énergie, je roule sur le côté.

Sabine me retourne, m’embrasse, comme une folle.


Prend ma sœur, fait l’amour à ma petite sœur, fait la jouir, s’il te plait, elle devient folle à côté.

Elle est vierge, elle n’a jamais fait l’amour.

Sabine me souri, m’embrasse.

Apprend lui mon chéri, tu es le seul professeur, le seul amant qu’elle mérite.

Tu es le seul qui puisse lui apprendre ce qu’est l’amour, ce qu’est l’acte d’amour.

Tu es le seul homme qui puisse être son premier amant, son premier homme.

Elle le veut tellement, le désir tant, elle désir tant que ce soit toi, que tu sois son premier amant, que tu sois le premier.


Sabine caresse le front de Magalie qui continue à se caresser, à se masturber, à martyriser son clitoris, ses seins, comme une folle, comme si elle n’arrivait pas à trouver la jouissance, cette jouissance qui l’apaiserait.

Elle semble commencer à partir, commencer à s’envoler seule, au 7éme ciel. Sabine pose sa main sur les siennes, sur ses mains, qui sont en train de la caresser, de la masturber de la rendre folle, de la laisser, frustrée dans ses envies, dans son plaisir inassouvi.

Magalie ouvre les yeux, je les voie qui me supplient.

Je me redresse, l’embrasse tendrement. Je me penche embrasse ses mains qui continuent leurs mouvements de plus en plus rapides, de plus en plus violent, qui la caresse dans des mouvements de folie.

Doucement délicatement, je prends ses mains, les écarte de son ventre, de son bas ventre. Je les embrasse, lèche, suce ses doigts inondés de sa liqueur. Magalie me regarde, ses yeux me supplient, son ventre se cabre, comme s’il voulait venir au devant de moi, au devant de mon sexe, au-devant de ma verge.

Je me positionne entre ses cuisses, l’embrasse doucement, tendrement, sensuellement. Je suce ses lèvres, sa langue, je sens son ventre qui violement vient au devant de moi, comme s’il m’appelait, me supplier de lui faire l’amour, de la prendre, comme si elle me faisait déjà l’amour, comme si j’étais déjà au plus profond d’elle.

Je descends en embrassant son cou, j’arrive à ses seins. Ses tétons tels deux tiges de bois pointent, ils sont énormes. Ils se dressent fièrement, attendant cette bouche qui va les apaiser, cette bouche qui va les lécher, les sucer. Cette bouche qui va les rendre encore plus durs, plus sensibles qu’ils ne le sont déjà.

Ma langue passe sur les aréoles qui ont presque disparues. Magalie cambre son torse, ses seins s’écrasent sur ma bouche, ses mains prennent ma tête, la frotte sur ses seins.

Elle gémit, elle pleure, son corps hurle ses envies, sont envie de se donner.

Ma langue descend doucement en laissant une trace humide sur ses seins si durs, si tendu. Je voie toutes ses petites veines bleus qui courent sous la peau si fine.

J’ai l’impression de voir les battements de son cœur, qui doit s’être emballé, dans les petites vibrations des veines à la surface de la peau. J’ai l’impression de voir son sang couler dans ses veinules, sous cette peau si fine, si douce, sous cette peau d’aspect si fragile.

Ses mains guident ma tête vers son ventre, je dépose des petits baisers tout en descendant, vers son pubis.

Mes yeux, un moment retrouvent ceux de Sabine. Elle nous regarde, regarde sa sœur, la regarde se livrer, se donner à l’homme, qu’elle aime, à l’homme qu’elle désire, à l’homme qu’elle-même aime, à l’homme qui les aime.

Les yeux de Sabine brillent, j’ai l’impression que c’est à la fois de voir, de ressentir le désir de sa sœur, et l’envie que cela doit susciter chez elle.

Ma bouche se retrouve écrasée sur le pubis de Magalie, par ses mains qu’elle ne semble plus maitriser, tant ses envies sont fortes, tant ses envies sont violentes. J’écarte doucement ses mains, n’arrivant presque plus à respirer.

Je noue mes doigts au siens, m’allonge. J’embrasse sa vulve, qui dégouline, de son merveilleux nectar. Mes lèvres se collent à ses petites lèvres, je lape sa liqueur, qui s’écoule, qui coule si abondante.

Son ventre a de petits soubresauts à chaque coup de langue, comme s’il venait au devant ma langue. Comme s’il ne voulait pas que je perde une seule goutte de cette divine liqueur qu’il secrète pour moi.

Je mordille son clitoris, le tète violement, je l’entends gémir, son corps est secoué de spasmes. Ses cuisses enserrent ma tête.

Je mordille son clitoris, plus fort, elle écarte les cuisses en geignant. Levant les yeux, je voie Sabine qui me regarde, sa main caresse le front de sa sœur, comme pour l’apaiser, lui faire comprendre qu’elle est avec elle de tout son cœur.

Magalie qui a dénouer ses doigts, mords ses mains, gémis, pleure. Je me redresse doucement, je voie des larmes qui s’écoulent de ses yeux fermés.


Mon dieu qu’elle est belle, qu’elle est désirable, elle s’abandonne totalement. Son corps me le dit, son âme me le dit, ses yeux me l’on dit quand elle m’a regardée, quand ils m’ont supplié.

Elle est prête, son corps est prêt, elle se donne totalement, tout son corps le veut. Sa vulve pleure d’envie, pleure de désir, je le sais, je le sens. J’ai bu le flot de ses envies, de son désir, avec délectation.

Je la regarde, l’admire, elle est sublime en ce moment. Ses yeux, son visage, tout son corps est dans l’attente. Dans l’attente de ce moment, qu’elle désire depuis si longtemps, quelle voudrait déjà avoir ressenti, qu’elle voudrait ressentir maintenant.

Elle sait qu’elle est prête, que jamais son corps n’a était aussi prêt, qu’elle se donne corps et âme à l’homme qui est entre ses cuisses.

Elle sait que cet homme a compris que la jeune-fille, qu’il va honorer, que le corps, le ventre de cette femme dans le devenir est prêt à l’accueillir, que tout son corps se donne à cet amour.


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Re: Vacances en Corse

Message par Biquette »

Ces deux suites me mettent mal à l'aise :jap:
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
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Re: Vacances en Corse

Message par Invité »

Bikette a écrit :Ces deux suites me mettent mal à l'aise :jap:
pareil que bikette je dirai meme plus que c'est de la frustration comme hier
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Re: Vacances en Corse

Message par Biquette »

Pas de frustration non, mais bon, ça devient incestueux toussa, ça me gène
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
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Re: Vacances en Corse

Message par Invité »

ah j'avais pas compris dans se sens ^^ benc'est pareil qu'au debut rien a changer
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Re: Vacances en Corse

Message par Biquette »

Ah ben si, y a quand même les 2 soeurs qui fricotent, se touchent etc.., et moi l'inceste, ça me gène :jap:
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
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Re: Vacances en Corse

Message par Invité »

ouai c'est sur mais bon je me pose pas trop de question c'est qu'un recit je reflechie pas trop
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Re: Vacances en Corse

Message par Biquette »

Y a pas de soucis Mel, on ne peut pas tous avoir la même vision d'un texte :)
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
Invité

Re: Vacances en Corse

Message par Invité »

deja que a la base j'aime pas lire j'ai meme du mal a lire un article de journal telemnt sa me soul et la je lit sans probleme ^^

du coup je suis tout seul maintenan comme fan
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Re: Vacances en Corse

Message par Biquette »

Bah pour l'instant suis toujours là, on verra comment se tourne la suite ;)

m'enfin, je remercie Jak de te faire lire :o
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
DeLsEp9

Re: Vacances en Corse

Message par DeLsEp9 »

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Mon dieu qu’elle est belle, qu’elle est désirable, elle s’abandonne totalement. Son corps me le dit, son âme me le dit, ses yeux me l’on dit quand elle m’a regardée, quand ils m’ont supplié.

Elle est prête, son corps est prêt, elle se donne totalement, tout son corps le veut. Sa vulve pleure d’envie, pleure de désir, je le sais, je le sens. J’ai bu le flot de ses envies, de son désir, avec délectation.

Je la regarde, l’admire, elle est sublime en ce moment. Ses yeux, son visage, tout son corps est dans l’attente. Dans l’attente de ce moment, qu’elle désire depuis si longtemps, quelle voudrait déjà avoir ressenti, qu’elle voudrait ressentir maintenant.

Elle sait qu’elle est prête, que jamais son corps n’a était aussi prêt, qu’elle se donne corps et âme à l’homme qui est entre ses cuisses.

Elle sait que cet homme a compris que la jeune-fille, qu’il va honorer, que le corps, le ventre de cette femme dans le devenir est prêt à l’accueillir, que tout son corps se donne à cet amour.


-/-


Je suis à genoux entre ses cuisses, je ne bouge pas. J’attends, j’attends qu’elle ouvre les yeux. Je veux qu’elle me voie, qu’elle voie mon regard, qu’elle comprenne que je sais qu’elle est prête. Que le moment qu’elle attend depuis si longtemps est arrivé.

Elle ouvre ses yeux, me regarde. Aucun mot depuis que Sabine m’a parlée, n’est venue troubler, cette montée en puissance de nos désirs, la violence de ce désir qui noue nos tripes, qui embrase nos corps.

Ses yeux me disent qu’elle a compris, son corps a compris. Magalie se relâche, elle se donne entièrement, totalement, elle a compris qu’elle doit s’abandonner à son désir, à notre désir.

Je me penche, mes mains se positionne de chaque côté de ses épaules. Les yeux dans les yeux. Sa main descend doucement, telle une caresse elle saisie mon sexe, le positionne entre ses petites lèvres, qui palpitent, gorgées de sang qu’elles sont. Ses talons se posent doucement sur mon dos, pour qu’elle soit plus ouverte, plus accueillante.

Ses mains se posent délicatement sur mes hanches, et doucement m’attire vers elle. Mon gland arrive en butté sur son hymen. Elle arrête. Ses yeux me fixent. Ils sont à la foi si présents et si distants.

Elle me repousse doucement. Je commence à bouger, ne laissant plus ses mains me guider, elles suivent mon rythme, elles sont comme collées à mes hanches. J’augmente la vitesse de mes vas et viens, en essayant de faire attention à l’amplitude de mes mouvements.

Je viens de plus en plus vite en butté sur son hymen, elle le veut tellement, me veut tellement en elle, au plus profond de sa petite chatte qui se contracte par moment, comme pour me garder en elle.

Je veux qu’elle me sente lui faire l’amour, sans la déflorer comme elle le voulait, le désirait tant cette nuit dans la mer.

Sabine allongée sur le coté, flanc contre flanc avec Magalie me regarde. Elle ne me lâche pas des yeux. Ses yeux sont fous, fou de me voir faire avec sa petite sœur ce que j’ai exactement fait avec elle, fou de bonheur de se remémorer cet instant, fou de se dire qu’elle est à l’origine de ce qui est ne train de se passer.

Je voie sa main qui plonge vers sa grotte d’amour, ses doigts qui caressent son clitoris, ils le tirent, le pincent, elle le fait rouler entre ses doigts, elle le martyrise, comme à chaque qu’elle se déchaine, quelle ne se maitrise plus.

Sabine se redresse, nous embrasse tendrement, ses yeux nous dévorent en même temps. Elle se remet sur son coude, tout en se caressant, nous regarde, me regarde faire l’amour pour la première fois à sa sœur.

Elle regarde sa petite sœur qui se donne pour la première fois à un homme.

Magalie la regarde, me regarde, elle a les yeux qui chavirent, je sens ses doigts qui griffent mes flancs. J’accélère mes va et viens, tout en maitrisant tant bien que mal mes mouvements.

Je me laisse glisser vers elle, l’embrasse tendrement, doucement. Nos corps sont presque l’un contre l’autre, ses tétons durs comme du bois effleurent mon torse. Ses yeux me fixent. J’ai l’impression qu’ils me parlent, qu’ils me disent, qu’ils m’expriment tout son bonheur, toute sa joie, son plaisir, enfin tout ce qu’elle ressent en ce moment.

Elle me donne l’impression d’attendre, d’être suspendu à ce moment ou je vais la pénétrer, la combler entièrement comme elle le veut tant, comme tout son corps le demande, comme son corps l’exige en ce moment précis.

Je sens ses mollets qui glissent sur mon dos, qui m’emprisonnent, ses pieds se verrouillent dans mon dos. Son pubis vient au devant de moi, au devant de mon sexe.

Sabine comprend ce qui se passe, elle glisse sur le dos, je sens une des mains de Sabine glisser entre nos deux corps, se poser délicatement sur le ventre de Magalie, juste au–dessus de son pubis.

L’autre main se dirige vers sa chatte qui coule comme une fontaine. Elle glisse un puis deux doigts en elle, se masturbe comme une folle, comme la folle qu’elle est en ce moment, folle du plaisir qu’elle a, folle du plaisir qu’elle nous donne.

Magalie me regarde, ses yeux brillent de plaisir, brillent à la limite de la folie de ce moment qu’elle attend, qu’elle désire, qu’elle veut du plus profond d’elle même.

Je les voie qui me disent oui, je t’en prie, c’est le moment, je les voie qui hurlent ses envies, ses désirs. Ses mains qui sont posées sur mes flancs raffermissent leurs prises, veulent m’attirer en elle. Je me redresse, elle doit lire dans mes yeux que le moment est venu.

Le moment qu’elle attend depuis si longtemps. Mon sexe, va enfin la pénétrer, la combler. Elle va enfin ressentir ce qu’elle désir tant, avoir un sexe d’homme dans son ventre, au plus profond de son ventre, au plus profond de ses chairs.

Avoir en elle, au plus profond d’elle, le sexe de l’homme qu’elle aime depuis tant de temps. Il va enfin, après l’avoir tant fait languir, la combler.

Elle ferme les yeux, je voie sa bouche s’ouvrir dans un feulement monstrueux au moment ou ma verge la pénètre entièrement, au moment où je sens son hymen s’ouvrir pour laisser passer mon sexe, qu’elle désire tant en elle.

Je butte sur sa matrice, je joui, j’explose, je me vide littéralement en elle. Elle est secouée de spasmes. Ses jambes me broient. Ses mains tétanisées continuent à m’attirer, comme si elle voulait que j’aille encore plus loin, comme si elle me voulait totalement en elle.

Comme dans un rêve je voie Sabine qui mord ses lèvres, qui se tétanise. Elle joui en même temps que nous.

Je m’écroule sur Magalie, vidé, de toute substance, de toute énergie. Je roule sur le côté, pour ne pas l’étouffer. Je me retrouve entre Sabine et Magalie, mes deux amours, mes deux femmes, les deux femmes que j’aime. Les deux femmes que j’aime plus que ma vie.

Nous sommes tous les trois allongés, sur le dos, vidés, démontés, mais pour mon compte tellement bien, tellement détendu, tellement heureux.

Heureux d’avoir, sans le vouloir un jour croisé le chemin de la femme la plus intelligente, la plus douce, la plus compréhensive femme qu’il puisse exister, Sabine, ma sabine qui a compris ce qu’il fallait faire, ce qu’il fallait dire pour nous souder, nous réunir autour d’un seul but. Nous aimer tous les trois, entièrement, sincèrement au grand jour, sans honte, sans se cacher.

Je sais que mes femmes sont exceptionnelles.

Pas mes femmes, non, non.

Les deux femmes qui acceptent de partager ma vie, sont exceptionnelles.

C’est à moi maintenant de leur démontrer qu’elles ont eut raison, qu’elles ont eut raison de vouloir tout me donner, de tout m’offrir, de me donner leur amour.

C’est à moi de m’en montrer digne. De me montrer digne de leur confiance, d’être digne de leur amour.

Je passe mes bras sous leurs nuques et les serre contre moi. Elles roulent sur le côté toutes les deux, m’embrasse tendrement posent leur têtes dans le creux de mes épaules. J’embrasse Magalie, tendrement.


Je t’aime Magalie.

Je me tourne vers Sabine, l’embrasse tendrement.

Je t’aime Sabine.

Nous ne bougeons pas, rien ne vient troubler cette sérénité, ce moment sublime, juste après l’amour, après l’acte d’amour, qui lorsque tu t’y es donné pleinement, avec toute la passion qu’il mérite, te laisse sans force, la tête vide.

Ce moment où tu réalises, que tu es heureux d’avoir sut amener la personne avec qui tu l’as partagée, à jouir en même temps que toi. A avoir fait ce qu’il faut pour que la personne qui a partagée ce moment avec toi, soit dans le même état que toi.

Magalie s’est agenouillé sur le lit, regarde Sabine me regarde. Elle a les yeux humides.

Elle se penche, m’embrasse tendrement, je voie quelques larmes coulées de ses yeux. Elle se redresse, prends la tête de sa sœur, l’embrasse tendrement.


Jacques tu viens de me faire le plus beau des cadeaux. Je t’ai donné ma virginité, ma fleur. J’ai donné ma virginité au seul homme que je n’ai jamais aimé, au seul homme que ma sœur aime autant que moi.

Tu m’as offert, pardon, tu nous as amené toutes les deux à jouir avec toi, en même temps tous les trois.

Jamais je n’aurais osé rêver une telle plénitude, un tel bonheur, pour ma première fois.

Tu m’as donné, tu m’as offert, le plus doux et le plus puissant des orgasmes, le plus merveilleux instant de vie, qu’une jeune fille puisse rêver.

J'ai cru mourir de bonheur, devenir folle de plaisir quand ton sexe a franchi mon hymen, quand j'ai compris que tu venais de faire une femme de moi, quand j'ai compris que tu m'avais déflorée, avec tant de douceur, tant de plaisir, que je n'ai senti que ta verge me pénétrer, que ta verge qui comblait mon ventre. Mon ventre qui le voulait, qui attendait ce moment depuis si longtemps.

Aucune douleur, n'est venue perturber cet instant de bonheur, ce moment sublime ou tu as baptisé mon ventre, ou tu as baptisé mon intimité de ta semence.

Je reconnais que j'ai jouie comme une folle, comme la folle que je suis, qui t’aime tant, toi mon homme, toi notre amant.

D'ailleurs je suis folle.

Folle de toi Jacques que j'aime plus que ma vie.

Excuse-moi Sabine, mais je dois te le dire. Je suis folle de ma sœur qui est la bonté même, d'accepter ce qui se passe, d'accepter que nous vivions tous les trois ensembles, que nous nous aimions au grand jour.

Je suis folle de ma sœur, qui m’a offert, qui a permis la plus magnifique première fois qu’une jeune fille puisse rêver.


Sabine entre temps, s’est agenouillée en face de Magalie, lui prenant la main.


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DeLsEp9

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18)



Je reconnais que j'ai jouie comme une folle, comme la folle que je suis, qui t’aime tant, toi mon homme, toi mon amant.

D'ailleurs je suis folle.

Folle de toi Jacques que j'aime plus que ma vie.

Excuse-moi Sabine, mais je dois te le dire. Je suis folle de ma sœur qui est la bonté même, d'accepter ce qui se passe, d'accepter que nous vivions tous les trois ensembles, que nous nous aimions au grand jour.

Je suis folle de ma sœur, qui m’a offert, qui a permis la plus magnifique première fois qu’une jeune fille puisse rêver.


Sabine entre temps, s’est agenouillée en face de Magalie, lui prenant la main.

-/-


Magalie, je t’aime comme si tu étais moi, tu es moi. Jacques t’aime, tu aimes jacques. Je l’aime comme une folle. Je veux son bonheur, ton bonheur, notre bonheur.

Nous aurons notre bonheur tous les trois au grand jour, devant tout le monde.

Même devant maman, devant papa, même devant tes parents Jacques, nous nous aimerons, on ne se cache pas, plus jamais.

Je n’ai aucune jalousie, aucune rancœur de vous avoir vue faire l’amour. Bien au contraire. J’ai joui en même temps que vous, c’est comme si Jacques me faisait l’amour en même temps que toi, comme si j’avais senti son sexe au plus profond de moi, quand tu as joui, petite sœur.

Ma main sur ton ventre m’a transmit, au moment où tu as joui, au moment où ce bonheur t’a submergé, toute ta jouissance, tout ton plaisir, d’avoir en toi, le sexe de notre homme, le sexe de notre amant, au plus profond de toi.

Tu le voulais, je l’ai accepté, pour que tu le comprennes bien petite sœur, que je ne joue pas la comédie, que j’accepte ce qui se passe du fond de mon cœur.


Elle se penche, m’embrasse tendrement. Me chuchote à l’oreille.

Je vais m’occuper du petit qui doit se demander ce qui se passe, vue nos cris, et nos hurlements.

Elle m’embrasse, sa langue cherche, s’enroule autour de la mienne. Sa main est posée sur mon sexe et le caresse doucement, tendrement. Elle se penche ses lèvres, l’embrasse, elle lèche mon sexe, je deviens fou, il est énorme.

Sabine regarde sa sœur qui ne bouge pas. L’embrasse tendrement sur les joues. La serre contre elle. Leurs poitrines s’écrasent l’une contre l’autre, leurs ventres se touchent, de les voir, nues, l’une contre l’autre, mon esprit s’enflamme, je bande comme un âne. Je devine, plutôt que je ne l’entends.


Je te confie, notre homme, notre amant, ne le fatigue pas trop, on a encore de la route à faire.

Elle descend du lit se dirige vers la porte séparative, se retourne nous envoie un baiser, nous regarde longuement, sort. Magalie me regarde les yeux humide, s’allonge à côté de moi.

Ma sœur est magnifique, sublime. Jamais je ne l’aurais cru capable de l’accepter, qu’elle accepte que ma première fois se passe avec toi mon amour.

Que ma première fois soit aussi belle, tellement belle, que cela soit sublime, c’était magique, complètement irréelle.


Je prends Magalie dans mes bras, elle glisse sur mon corps.

Ta sœur est une femme supérieurement intelligente. Elle t’aime, elle m’aime, elle a compris que quoi qu’il se passe, ou tout explose, ou, la seule solution, est celle que vous avez trouvé toutes les deux.

Je peux te jurer que je serais digne de votre amour à toutes les deux, digne de ce que vous me donnez, digne de votre amour incommensurable.


Magalie, me regarde, les yeux humides, m’embrasse tendrement. Ses mains tiennent ma tête doucement pendant qu’elle m’embrasse. Son ventre ondule contre moi, son pubis se frotte sur mon sexe qui est bien réveillé. .

Elle a raison, j’ai envie de te sentir dans mon ventre.

Pas de faire l’amour, mais simplement sentir ton sexe me pénétrer, rester en moi, me combler, emplir mon ventre, ma vulve, que je te sente emplir mon vagin.

Je veux être sur que je n’ai pas rêver, que je ne rêve pas, que je suis enfin une femme, que tu as fait de moi une femme, que tout cela est bel et bien réel.


Je lui souri, l’embrasse tendrement.

Elle se redresse, ses genoux se posent de chaque côté de mon corps. Elle saisi délicatement mon sexe qui a envie de se retrouver au chaud, qui veut être à nouveau dans cette petite chatte, dans ce puits d’amour, maintenant qu’il y a pleinement gouté.

Elle me guide vers son puits d’amour. Elle me fixe intensément.

Je la voie, la sent descendre doucement, millimètre par millimètre le long de mon sexe. Son visage exprime un bonheur indescriptible.

J’ai l’impression qu’elle veut mettre des heures pour s’empaler sur mon sexe, comme pour en profiter totalement, pour être pleinement consciente que c’est mon sexe qui la rempli doucement, la comble petit à petit, qu’elle rempli son puits d’amour de ce membre qu’elle a tant désiré.
Ce membre qui a fait pleurer sa vulve de désespoir. Ce sexe qui s’est refusé à elle tant de fois.

Je voie son visage qui exprime un début de jouissance, tant il exprime tout ce que son corps ressent en ce moment précis, tant il est tendu par ce plaisir qui transpire par tous les pores de sa peau.

Je sens sa mouille qui s’écoule abondante de sa petite chatte. Ses seins sont énormes, ses tétons se dressent fièrement comme pour me provoquer, comme pour me narguer.

Elle est dans un état indescriptible. Je ne lui fais pas l’amour. Elle s’est approprié mon sexe, et s’en sert, en abuse d’une manière si candide, si naturelle. C’est tellement beau, c’est magnifique de la regarder faire.

Rien que le fait de le laisser la pénétrer comme elle le fait, qu’elle profite pleinement de ce sexe, qui est presque entièrement en elle, est sublime à voir dans ses yeux, est sublime à voir dans l’expression de son visage, de son corps.

Ses deux mains se posent sur son pubis, le presse, elle sert ses grandes lèvres, quand son pubis se pose enfin sur le mien, après cette interminable descente dans l’enfer de son bonheur, dans l’enfer de son plaisir.

Ses mains remontent doucement en effleurant mon ventre, ses doigts, caressent, papillonnent doucement sur ma peau, pour finir par se poser sur mon thorax, pour y prendre appuis.

Elle pousse doucement, sur ses cuisses, sur ses bras. Je sens son sexe qui remonte avec une lenteur incroyable. Elle met autant de temps à remonter qu’elle n’en a mis à s’empaler sur mon sexe. C’est comme une déchirure pour moi de quitter, ce nid, ce doux fourreau, cette tendre gaine, qui enserre mon pénis.

Elle s’allonge sur moi. M’embrasse, son ventre redescend sur mon sexe, et s’immobilise lorsque nos pubis se rencontre. Je ressens de légère contraction, comme si son intimité voulait être certaine, que mon sexe était bien en elle, que ma virilité comblait sa douce petite chatte.


J’aimerais m’endormir come cela, avec ton sexe en moi. Tu m’as fait tellement attendre, tellement languir. Mais tu as eut raison, je n’étais pas prête, mon corps n’était pas prêt. Maintenant je le comprends, et l’accepte totalement.

Quand je voie, le bonheur, la jouissance que tu m’as donnée, je comprends enfin que tu avais raison.

Tout ce que tu as fait jusqu’à présent était pour m’amener à ce moment merveilleux, à ce moment sublime, que je viens de vivre.


Elle reste immobile mon pénis en elle, dans son ventre, dans son vagin qu’elle m’a donné avec tant d’amour, qu’elle me donne en ce moment même, avec tout cet amour, qui est presque palpable.

Je me sens partir doucement, m’endormir, en étant dans le ventre de la femme que j’aime, de la femme qui m’aime.

Je sens une main, qui me secoue doucement, un corps est allongé sur moi. J’entrouvre les yeux Sabine me regarde amoureusement.


Vous dormez depuis deux heures, il est 14 heures, je pense qu’il serait temps que l’on bouge un peu.

Elle a notre fils dans les bras. Son image m’apparait comme nimbée dans la lumière du soleil. Elle est magnifique, sublime, irréelle.

Je sens Magalie qui bouge, elle ouvre les yeux. Elle est complètement dans le cirage. Elle me regarde, voie Sabine. Je la sens qui se contracte. Sabine le remarque.


Bonjour petite sœur, ça fait deux heures que vous dormez l’un dans l’autre. Vous êtes adorable comme cela. On dirait deux tourtereaux. Je vous envie presque, ce moment de bonheur, cette fusion jusque dans le sommeil.

Je sens Magalie qui se décontracte, se relâche, se laisse aller. Elle vient de se souvenir. Elle sourit, m’embrasse sur le front, s’assied sur le lit, à côté de sa sœur, l’embrasse sur le front.

Cela fait deux heures que nous dormons ? Il est quelle heure ? Pourtant on a était sage.

Il est quatorze heures.

Je vais prendre une douche.

Elle se lève, se dirige vers la salle de bain, elle imite ma danse du popotin, que j’avais fait chez sa mère. Arrivé à la porte elle se retourne, souri.

Avec Sabine, nous la regardons, à la limite d’éclater de rire.


File prendre ta douche, au lieu d’allumer encore notre homme. A ce rythme on ne décollera pas.

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DeLsEp9

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Je sens Magalie qui se décontracte, se relâche, se laisse aller. Elle vient de se souvenir. Elle sourit, m’embrasse sur le front, s’assied sur le lit, à côté de sa sœur, l’embrasse sur le front.

Cela fait deux heures que nous dormons ? Il est quelle heure ? Pourtant on a était sage.

Il est quatorze heures.

Je vais prendre une douche.

Elle se lève, se dirige vers la salle de bain, elle imite ma danse du popotin, que j’avais fait chez sa mère. Arrivé à la porte elle se retourne, souri.

Avec Sabine, nous la regardons, à la limite d’éclater de rire.


File prendre ta douche, au lieu d’allumer encore notre homme. A ce rythme on ne décollera pas.

-/-


Je me lève, sors sur la terrasse. Le plateau du petit déjeuner est toujours là, il y a deux thermos de café sur la table. Je me tourne vers Sabine.

Tu veux un café ?

Elle opine de la tête. Je prends deux mugs, sers le café. Ma femme, ma Sabine, s’approche, en riant. Je la regarde en buvant mon café, le regard interrogateur.

Le serveur qui est venu pour chercher le plateau et à qui j’ai demandé de ramener les deux thermos de café, m’a fait rire comme pas possible.

Quand il est arrivé, j’étais dehors, avec le petit.
Il m’a regardé, et m’a demandé. « Personne n’a mangé ? La maman et le papa dorment encore ? »

Quand je lui ai dit que j’étais la maman, il ne savait plus où se mettre. Moi j’étais écroulé à force de rire.


Je prends un croissant le dévore. Un deuxième suit le même chemin.

Faire l’amour, comme toujours te met en appétit mon chéri.

Elle me souri. Magalie arrive, elle a enfilé un tee-shirt. Je lui sers un café, le lui tend ainsi qu’un croissant. Elle le dévore, en buvant son café. Elle en prend un deuxième qu’elle dévore aussi vite. De mon côté j’en prends un troisième et me ressert un café.

Tu as aussi bon appétit que notre chéri.

Elles rigolent toutes les deux.

Bon il est 14h30, on décolle dans une heure.

Dépêche-toi de prendre ta douche espèce de tyran, de plus tu traines des pieds, pour ne rien ranger, ne pas faire les valises.

Et là, tu exposes ton truc à tout vent.

Sabine tu ne lui dis rien, tu le laisses faire.


Je petit déjeune, s’il te plait. Remarque que je suis de bonne humeur, que je ne râle pas. Mon truc, comme tu l’appelles il prend l’air, il a le droit de s’aérer de temps à autres. Non ? J’aime bien qu’il prenne l’air.

Pour une fois que c’est toi qui vas ranger les valises, au lieu de les démonter pour chercher, la petite culote, ou le soutien-gorge que mademoiselle, voudrait et ne sait plus où ils sont rangés, et dans quelle valise tu les as rangé, alors que nous avons chacun notre valise.


S’il te plait, maintenant c’est madame, mon pucelage s’est envolé. Et en ce qui concerne les petites culottes et les soutiens-gorge, j’en mets si peux souvent ici, que je me demande pourquoi je les ai emmenés.

Entre son truc qui prend l’air, et le pucelage qui se taille à tire d’aile, on est aidé.
Je te dirais Magalie, que son truc à l’air j’aime bien qu’il le ventile de temps en temps, sinon il va sentir le renfermer.


Elles éclatent de rire.

Bon ça promet, je n’ai pas fini de me faire titiller par mes puces.

Je fini mon café, et mon xiéme croisant. Je fonce sous la douche. Je me relaxe un temps soit peux sous l’eau brulante de la douche. Je suis complètement démonté, vidé.

J’aime mes puces, mais à ce rythme, dans un mois je fini dans un sanatorium. Dans un mois, non, dans quinze jours, et encore, si ce n’est pas moins, tant elles sont déchainées au lit.

Je sens deux mains qui me caressent le dos. Je me retourne, Sabine me souri. Elle me dévore des yeux. Elle tend la main, arrête l’eau.

Tu as voulu ce qui arrive mon chéri, je suis heureuse que ça se passe comme cela. Nous t’aimons, de tout notre cœur, de toute notre âme. Ne nous déçoit jamais. Ne joue jamais avec nous, ni avec l’une, ni avec l’autre.

Ce n’est pas pour te faire plaisir que j’accepte, que j’ai voulue cette situation, où nous partons un peut à l’aventure.

C’est pour Magalie, c’est pour toi mon Jacques, c’est pour moi.

Plutôt que de jouer à cache-cache, je préfère pour notre bien être à tous les trois que tout soit clair et net. Que tout se fasse, se passe, au grand jour, sans que nous ne nous cachions quoi que ce soit, ni ne nous cachions de qui que ce soit, et surtout pas de nous mêmes.

Magalie a était honnête, d’une franchise totale, quand nous avons parlé toutes les deux. Elle m’a tout dit sans que je le lui demande, elle voulait que je sache tout de vous deux, comment tout est arrivé.

J’ai compris que quoi qu’il se passe, cela serait arrivé de toute manière.
C’est pour cela que je me suis dit, personne de nous trois n’est responsable, alors assumons notre amour. Tu m’aimeras au grand jour. Tu aimeras Magalie au grand jour. Que nous soyons toutes les deux avec toi, ou que tu sois seul avec l’une d’entre nous.

La vie nous dira comment nous organiserons notre vie de tous les jours. Je te le dis franchement, je ne suis pas jalouse de Magalie, tout comme je sais qu’elle ne l’est pas de moi.

Je suis heureuse que ce soit avec toi qu’elle ai couchée, plutôt qu’un autre.


Je regarde mon épouse, épaté. Je m’avance, sort de la douche.

j’ai dit textuellement à ta sœur en parlant de toi, que tu es une femme supérieurement intelligente. Tu aimes Magalie, tu m’aimes, tu as compris que quoi qu’il se passe, ou tout explose, ou la seule solution est celle que vous avez trouvé toutes les deux. Je peux te jurer que je serais digne de votre amour à toutes les deux.

Tu veux savoir ce que j’ai pensé après que nous ayons fais l’amour, que Magalie m’a donnée son pucelage ?


Je la regarde, la fixe en même temps que je prononce ces mots « donné son pucelage », elle ne sourcille pas, ne réagis pas, son visage est impassible, juste un petit sourire illumine son visage. Elle s’approche de moi, m’embrasse tendrement.

Mon chéri, je l’ai voulu, elle le voulait, tu le voulais. En ce moment elle est la plus heureuse des femmes. C’est tout ce qui compte pour moi. Je suis heureuse, elle est heureuse, tu es heureux.

J’ai l’impression que tu n’y crois pas, que tu penses que tu rêves. Que tu vie un rêve, le fantasme de beaucoup d’homme, vivre, coucher avec deux femmes.


Elle sort, je retourne sous la douche, ouvre l’eau. Je continue à cogiter, comme un fou. Sabine revient avec Magalie, la tenant par la main. Je m’avance hors de la douche.

Petite sœur, notre homme, notre amant, est persuadé qu’il rêve, il rêve qu’il vie le fantasme de beaucoup d’hommes. Vivre, plutôt coucher avec deux femmes.

Je les voies s’approcher, toutes les deux, telles deux déesses, elles enlèvent leurs tee-shirt, les jettent derrière elles, me repoussent sous la douche, se collent à moi. Sabine baisse la température de l’eau.

Que peut-on faire pour qu’il réalise qu’il ne rêve pas ? Que ce qui se passe, nous le désirons, le voulons, toutes les deux, que cela est bel et bien réel.

Magalie se penche, m’embrasse, me mord la lèvre. C’est si soudain, que je sursaute. Elle souri. Sabine s’approche, toutes dents dehors. J’éclate de rire. Les prends dans mes bras, les embrasse toutes les deux.

Elles s’écartent, je prends leurs mains, nos regards de croisent, je les fixe, tout comme elles.


Je vous aime, mes chéries, mes puces, mes amours. Comme vous êtes là, toutes les deux, je vais vous dire ce que j’ai pensé après que nous ayons fait l’amour.

Et que ma petite sœur t’a donné son pucelage.

Je les voie sourire toutes les deux. Il n’y a vraiment aucune jalousie, aucune animosité entre elles. C’est incroyable, elles sont incroyables.

Réalisant ce qui venait de se passer, je me suis rendu compte que j’étais heureux d’avoir sans le vouloir un jour croisé le chemin de la femme la plus intelligente, la plus douce, la plus compréhensive qu’il puisse exister.

Sabine, ma sabine qui a compris ce qu’il fallait faire, ce qu’il fallait dire pour nous souder, nous réunir autour d’un seul but.

Nous aimer tous les trois, entièrement, sincèrement au grand jour, sans honte, sans se cacher.
Je sais que, vous deux, mes deux femmes, êtes exceptionnelles.

Pas mes femmes, non. Les deux femmes qui acceptent de partager ma vie.

C’est à moi maintenant, de vous démontrer que vous avez eut raison, que vous avez eut raison de tout me donner, de tout m’offrir, de me donner votre amour.

C’est à moi de m’en montrer digne. Digne de votre confiance, digne de votre amour.

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Re: Vacances en Corse

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encore encore
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une petite suite stp
DeLsEp9

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Réalisant ce qui venait de se passer, je me suis rendu compte que j’étais heureux d’avoir sans le vouloir un jour croisé le chemin de la femme la plus intelligente, la plus douce, la plus compréhensive qu’il puisse exister.

Sabine, ma sabine qui a compris ce qu’il fallait faire, ce qu’il fallait dire pour nous souder, nous réunir autour d’un seul but.

Nous aimer tous les trois, entièrement, sincèrement au grand jour, sans honte, sans se cacher.
Je sais que, vous deux, mes deux femmes, êtes exceptionnelles.

Pas mes femmes, non. Les deux femmes qui acceptent de partager ma vie.

C’est à moi maintenant, de vous démontrer que vous avez eut raison, que vous avez eut raison de tout me donner, de tout m’offrir, de me donner votre amour.

C’est à moi de m’en montrer digne. Digne de votre confiance, digne de votre amour.


-/-


Je les voie se regarder, sans dire un mot elles s’approchent toute les deux, me prennent dans les bras, se serrent contre moi. Sabine lève la tête me regarde, je voie Magalie faire de même, elles sont côte à cote face à moi. Sabine me caresse la joue tendrement, Magalie fait de même.

Mon chéri, c’est le plus beau compliment, que tu pouvais nous faire.

Elles se rapprochent et tour à tour m’embrassent, posent leurs têtes sur mes épaules. Mon dieu que je suis bien avec mes deux amours dans les bras. Je voie Magalie sourire.

Sabine, ton mari, notre amant n’est pas possible, il bande à nouveau.

Il est vrai de sentir ces deux femmes contre moi, leurs poitrines contre moi, leurs mains qui me caressent, il m’est difficile de ne pas me retrouver avec une érection plus que visible.

A ce rythme si elles continuent comme cela on ne va jamais décoller. Je me demande si nos vacances ne vont pas se passer principalement au lit. Ce qui ne serait pas pour me déplaire non plus.


Je sens que Magalie, descend le long de mon corps, en m’embrassant tout du long. Je sens sa bouche qui dépose de petits baisers sur mon gland. Sa langue joue avec, elle me prend en bouche.

Sabine la regarde, me regarde m’embrasse, elle se déchaîne sur ma bouche, sa langue fouille ma bouche, trouve ma langue. J’ai l’impression qu’elle se bat, qu’elle lutte avec ma langue.

Magalie pendant se temps dévore mon sexe. Elle le lèche, l’aspire. Une de ses mains joue avec mes bourses, l’autre me caresse les fesses.
Sabine frotte son pubis, comme une démente, sur ma cuisse. Je prends sa tête dans mes mains, pour la calmer un tant soit peux. Elle prend ma main et la pose violemment sur son pubis.


Caresse moi, fais moi jouir.

Elle me dit cela d’une voix rauque.

Magalie qui entre temps se déchaine sur ma verge, m’a pénétré avec un doigt, et me masturbe en même temps les fesses.

Sabine sans que je le réalise, se retrouve à genou à côté de Magalie, elles se regardent, avec une complicité dans le regard, qui se retrouve immédiatement dans leur comportement.

Magalie, recule sa tête, présente ma verge à la bouche de Sabine qui se jette dessus. Regardant sa sœur faire, Magalie pose sa tête sur ma hanche, regarde sa sœur me sucer, me dévorer. Son doigt n’est pas resté inactif en moi.

Je sens que je vais exploser d’ici peux. Sabine s’en rend compte et accélère ses succions, ses coups de langues sur mon gland.

Magalie me masturbe les fesses, de son autre main elle me caresse mes bourses. Cela devient intenable. La situation est d’une totale indécence, elles se donnent toutes les deux à notre amour, à mon plaisir. Elles veulent mon plaisir, elles ne font que me donner du plaisir. Deux vestales de l’amour à mes pieds.

Je ne suis plus en état de comprendre quoi que ce soit, je les regarde, enfin je les devine toutes les deux, dans un brouillard, entre la vapeur de la douche, et l’état où elles m’ont amené je ne sais pas, ne sais plus qui est qui.

Je ne suis plus en état de le savoir, qui fouille mes entrailles, qui dévore mon sexe. Tout ce que je sais, c’est qu’elles m’amènent vers une jouissance dévastatrice.

Elles sont arrivées à leurs fins, je ressens une contraction énorme dans mon abdomen, et je me sens me vider. Je me retrouve assis au fond de la douche, les deux puces face à moi, tout sourire. J’ai l’impression de flotter, plus aucune force ne m’habite.

Je ne sais pas ce qui s’est passé, Sabine et Magalie, ont du sperme partout dans les cheveux, sur la figure. Je les prends dans mes bras, cherchant ma respiration, essayant de retrouver mes esprits.

Sabine me regarde tendrement, m’embrasse, me sert contre elle. Magalie pose sa tête sur mon épaule, souri à sa sœur.


Tu ne crois pas que l’on a était un peut loin pour lui prouver, qu’il ne rêve pas. Que nous voulons ce qui se passe. Que nous le voulons pour nous deux.

Peut être, mais ce qui est fait est fait. Nous avions dit toutes les deux, pas d’amour à trois, et depuis le début, ce n’est que cela. Je dois t’avouer petite sœur que nous partager notre amant commun, j’adore. Qu’il soit avec toi ou avec moi, j’ai le même plaisir, les mêmes jouissances.

Je me demande si elles se rendent compte que je suis là. Elles parlent de moi, comme si j’étais absent, c’est frustrant, mais tellement jouissif de les entendre parler de moi, en ces termes.

J’ai l’impression que pour toi c’est pareil. Je ne pensais pas l’accepter aussi facilement, comme j’ai dit à Jacques, je suis heureuse que ce soit avec lui que tu ais couché.

Nous étions plus que complice avant, maintenant de nous partager le même homme, nous rends presque fusionnelles, pour son seul plaisir.


Ne me fait pas rire, pour notre plaisir aussi. Ne me dit pas que tu n’as pas eut de plaisir, que ce soit maintenant ou avant. Je ne te croirais pas. Je t’ai vue partir rejoindre le 7éme ciel, et ce n’était pas un planeur, qui t’y emmenait. Mais tout comme moi, c’est bel et bien notre Jacques qui nous y a emmenées.

Il est un amant merveilleux, tu me l’avais fait comprendre à demi mots, quand nous parlions de sexualité, que tu m’expliquais les envies, des hommes des femmes. Vue ce qui se passe aujourd’hui, je ne regrette rien.

Effectivement, nous avions dit pas à trois, mais de le voir te prendre, te donner à lui, me donner à lui, me rend heureuse, de savoir que tu sais, que tu l’acceptes, que tu acceptes tous ce qui se passe entre nous. Le fait que tu sois présente, n’a rien de pervers, pour moi. Mais me fait bien comprendre que toi comme moi acceptons la situation.

Ce matin quand tu nous as réveillé, j’ai eut un bref instant de panique. Réalisant que tu étais là, nous voyant Jacques et moi, dormant l’un sur l’autre, lui en moi. Tu es merveilleuse. Vous êtes merveilleux tous les deux.


Vous êtes adorable mes chéries, mais je suis là, bien réveillé. Parler de moi comme si j’étais absent, c’est frustrant. Effectivement, je ne suis pas trop pour l’amour à trois, mais je dois reconnaitre, que vous êtes si complémentaires, que c’est un bonheur.

Vous dites que je suis un merveilleux amant, mais avec vous deux réunis, il est impossible de ne pas l’être. Vous savez m’amener à me surpasser, a me donner à votre amour. Si je suis un merveilleux amant, vous êtes deux merveilleuses maitresses.

J’adore vous faire l’amour, vous vous donnez tant. Mais je dois reconnaitre qu’à ce rythme, bientôt vous m’aurez complètement laminé, et que vous aurez un spectre dans le lit.


Mon chéri, si nous sommes de merveilleuses maitresses, c’est à toi seul que tu le doit. Magalie, comme moi tu nous as tout apprit, tout montré. Enfin pour Magalie je ne pense pas encore tout, même après ce qu’elle m’a raconté vos jolis décollages vers le 7éme ciel.

On se prépare mes chéries, il serait peut être temps de prendre la route.

J’ai l’impression que personne n’a vraiment envie de partir. Je voie Sabine et Magalie, qui se regarde, me regarde, l’air de dire, on ne peut pas rester ici encore aujourd’hui.

Bon j’ai compris, je vais à la réception voir si on peut garder la chambre pour cette nuit et j’appelle Mario pour décaler notre arrivée, si c’est faisable.

Les deux puces me sautent au cou, m’embrassent.

Promis Jacques on sera, très sage.

Je sors de la douche, enfile mon short, un tee-shirt, me dirige vers l’accueil. Le gardien me voit, se dirige vers moi tout sourire. « Vous allez bien ? »

Oui pas de soucis, ma femme va mieux, je vais voir pour rester encore une nuit ici, qu’elle en profite un peut pour se retaper, nous partirons demain matin.

Se retaper, tu parles. Elles sont en pleine forme, autant l’une que l’autre. C’est moi qu’elles laminent en ce moment. Mes deux puces vont me ramasser à la petite cuillère, si elle continue à ce rythme.

« Je ne pense pas qu’il y a de soucis pour rester une nuit de plus, des anglais annoncés, viennent d’annuler, il y a au minimum trois chambres de libres. »

Je pense que nous aurons peut être besoin de votre fille ce soir, pour garder le petit. Vous pensez que se sera faisable ? Cela serait très gentil de sa part si elle acceptait.

« Vous allez à la réception, je vais le lui demander de ce pas, elle est de repos aujourd’hui, et demain. » Il s’éloigne vers l’entrée du parc de l’hôtel, je me dirige vers la réception.
Invité

Re: Vacances en Corse

Message par Invité »

une autre suite pour pallier le manque de se week end?
DeLsEp9

Re: Vacances en Corse

Message par DeLsEp9 »

Mel29440 a écrit :une autre suite pour pallier le manque de se week end?
Non du fait que tu le demande,

mais par envie,


toujours le même décalage entre les COMS et les visites.


Ce qui dérangent certains, est le concret des autres.
DeLsEp9

Re: Vacances en Corse

Message par DeLsEp9 »

Propos de Sabine ma femme
Propos de Magalie ma belle sœur
Propos de Jacques
Mes pensées
Propos de Mario

Propos de Charlotte
Propos de Lucie fille de Charlotte
Propos de Louise petite fille de Charlotte

21)



Oui pas de soucis, ma femme va mieux, je vais voir pour rester encore une nuit ici, qu’elle en profite un peut pour se retaper, nous partirons demain matin.

Se retaper, tu parles. Elles sont en pleine forme, autant l’une que l’autre. C’est moi qu’elles laminent en ce moment. Mes deux puces vont me ramasser à la petite cuillère, si elle continue à ce rythme.

« Je ne pense pas qu’il y a de soucis pour rester une nuit de plus, des anglais annoncés, viennent d’annuler, il y a au minimum trois chambres de libres. »

Je pense que nous aurons peut être besoin de votre fille ce soir, pour garder le petit. Vous pensez que se sera faisable ? Cela serait très gentil de sa part si elle acceptait.

« Vous allez à la réception, je vais le lui demander de ce pas, elle est de repos aujourd’hui, et demain. » Il s’éloigne vers l’entrée du parc de l’hôtel, je me dirige vers la réception.

-/-


Mes deux puces qui disent vouloir être sage, on verra ce soir sur la plage, si elles resteront aussi sages qu’elles le disent.

Vue ce qui s’y est déjà passé, je me demande si Magalie lui en a parlé. Si elle a osée lui dire qu’elle aime me sentir dans ses fesses, qu’elle aime être sodomisée.

Qu’elle s’est livrée telle une putain, à nos envies, à mes envies. D’accord, elle était consentante, même plutôt deux fois qu’une. Mais quand même, Sabine n’aime pas, comment va-t-elle le prendre.

J’ai envie de me baigner avec elles, de profiter de mes deux amantes, enfin, de profiter pleinement des maitresses femmes qu’elles sont, et cela avant que l’on arrive à Ajaccio.

Là bas ce ne serait pas aussi tranquille qu’ici, à moins que l’on prenne le bateau de l’hôtel pour aller quelques jours sur une des iles.

Il va falloir amener l’idée aux puces, leur faire croire que l’idée vient d’elles. Bonne idée ça, mais pas évident à faire. Sabine et les bateaux, ça ne fait pas bon ménage.


J’arrive à l’accueil, le réceptionniste, n’est pas là. Je m’installe au bar, commande un jus d’orange pour patienter. Le réceptionniste revient enfin, je vais le voir.

Bonjour, nous avons les chambres 15 et 16 et nous voudrions rester une nuit de plus.

Je le voie qui cherche dans l’ordinateur, comme s’il ne savait pas que des anglais ont annulé trois chambres

« Pas de soucis, pour cette nuit, mais demain nous sommes complet. »


Nous partons demain matin, après le petit déjeuner. Merci. Je voudrais téléphoner à Ajaccio.

Il me tend le téléphone, j’appelle Mario, et lui annonce que nous n’arriverons que demain dans l’après-midi, j’aie droit à ses sarcasmes, concernant une possible touriste qui m’aurait tapé dans l’œil. Il ne changera pas lui.

Si tu savais Mario la touriste qui m’a tapée dans l’œil, tu serais vert. De toute façon il sera vert, quand il me verra entrer au bras de mes deux amours.
Ca y est tu te comportes comme Mario, en macho, t’es nul mec.


Je sors de la réception, le gardien, à l’air de m’attendre. Il vient vers moi. « Pas de soucis, elle est enchantée de venir vous dépanner ». Je le remercie lui dit que vers 20 heures, cela devrait aller, mais que je lui confirmerais encore l’heure exacte.

Je repars, tout content. Ce soir on va se baigner, enfin pas que ce baigner et je vais mettre à l’épreuve la sagesse de mes puces.

J’arrive devant la chambre, je voie mes deux déesses, installées sur les transats avec le petit, elles papotent. Me voyant, elles se lèvent, impatiente qu’elles sont de la réponse.


Pas de soucis, c’est bon, on reste cette nuit mais après c’est complet. On ne dine pas trop tard, déjà que l’on n’a pas déjeuner.

Toi tu n’as peut être pas mangé, mais nous deux on est rassasiées. Magalie m’a parlée d’une plage qui me donne des envies. Tu peux voir si la petite de hier soir est dispo mon chéri ? Mais prévoit au moins jusqu’à minuit que l’on en profite bien.

Je voie les deux sœurs qui se regardent, avec un petit sourire.

Est-ce pour le fait d’être rassasié, ou pour la plage, qu’elles sourient ? Bonjour les sous entendus. Je crois que c’est elles qui vont faire ce à quoi je pensais pour cette soirée. Elles ne sont pas possible toutes les deux. Elles ont vraiment de la suite dans les idées.

On se prépare il est 18h00, si on veut en profiter, autant aller manger tôt.

Je voie les deux sœurs qui rentrent dans la chambre, en dandinant des fesses, histoire de me provoquer. Sabine se retourne.

Occupe-toi du petit pendant que l’on se fait belle pour toi mon amour.

Les connaissant, elles doivent me préparer un coup tordu, elles se sont mises d’accord pendant que j’étais à la réception, je me demande ce qu’elles me préparent.

Elles ne sont pas possible quand elles s’y mettent. Chacune individuellement est déjà imprévisible, alors les deux ensembles, je ne sais pas où je vais. Mais il y a une chose de certaine, j’y vais et de bon cœur.


Le petit est sage dans son couffin, il gazouille, je le prends dans les bras, le regarde songeur.

Comment il va prendre cela quand il sera grand, quand il sera en âge de comprendre.

Comment va-t-il prendre, le fait que son père vit avec deux femmes, avec deux sœurs ?

Et à l’école, les copains de classe, il n’y a rien de pire que les copains de classe, pour te sortir des choses qui font mal.

Les enfants sont si durs entre eux.

Sans parler des réunions de parents d’élèves. Je me souviens à mon époque, il y avait deux femmes qui venaient ensemble pour un copain de classe, les réflexions des parents, une horreur, me disait mes parents.

Sans parler des saloperies que racontaient les copains en classe. Ca finissait souvent en castagne.

On pense à nous en ce moment, à notre amour, mais les conséquences peuvent être difficiles pour l’entourage direct. Il faudra quand même que l’on en parle, avec les puces.

Mais de toute façon je ne me voie pas faire marche arrière, pour l’instant tout se passe si merveilleusement. C’est vrai ce n’est que le premier jour. Mais bon sang on ne doit pas être les seuls, on trouvera une solution.

Il y a toujours une solution à tout. La seule question, le seul problème, est de trouver laquelle.


J’entends bouger dans la chambre, elles ont déjà fini mes chéries? Je regarde ma montre, wouah, déjà une heure qu’elles sont parties se préparer. Tout à mes songes et mes réflexions avec notre fils dans les bras, je n’ai pas vue le temps passer.

Elles ne sortent pas de la chambre, que préparent-elles encore ?


Mon chéri à toi de te préparer. Fais-toi beau, pour tes amours.

Je rentre dans la chambre, avec le petit dans le couffin. Elles ne sont pas là, je voie juste la tête de Sabine qui apparait derrière la porte de communication, avec un énorme sourire qui illumine son visage.

Dépêche toi mon amour, pose le couffin sur le lit, tes habits sont dans la salle de bain. Va te préparer, on t’attend sur la terrasse avec le petit.

J’entends le rire de Magalie, dans la chambre où Sabine a dormi.

Que m’ont-elles préparées encore, c’est incroyable la complicité qui les unie. Je les savais complices, mais depuis que tout c’est officialisé, j’ai l’impression de les redécouvrir.

Sabine commence une phrase, Magalie la finie, et vice versa, pire que des jumelles. Je ne parle pas du reste, où là ce n’est plus de la complicité, mais une symbiose.

Elles ne sont pas complémentaires, elles ne forment qu’une seule et même entité, comme si elles avaient été deux sœurs siamoises dont les corps venaient d’être séparés, mais qui continué à vivre, à penser, à agir de la même manière.

Bon je ne vais pas me plaindre maintenant, je ne suis pas si innocent que ça non plus, je l’ai voulu, moi aussi.


Je rentre dans la salle de bain, mes habits, sont accrochés sur un cintre à une patère. Quand je les voie, je suis un peut surpris, et je me demande ce que mes chéries ont bien put mettre, connaissant leurs garde robes, pour les avoir rangées.

Elles ont accroché mon short et ma saharienne couleur sable avec une chemisette blanche en coton. Mes bateaux brun foncé sont également là.


Elles sortent le grand jeu, mes puces. Je sens que ça va jaser dans les chaumières ce soir, au restaurant ça risque d’être chaud.

Si le premier soir elles commencent comme cela, je vais avoir des cheveux blancs à me faire pour le reste des vacances.


Je prends une douche rapide, me sèche et m’habille. Je sors de la salle de bain, je voie le couffin sur la table de la terrasse. Je sors, personne.

J’entends pouffer de rire derrière moi, me retourne, et là vision sublime, divine. J’attrape une chaise pour me retenir.

Adossée au mur, mes deux chéries. Elles ont mis toutes les deux, la robe grésille et des talons aiguilles. Elles sont sublimes. Maquillées juste ce qu’il faut, ni trop ni pas assez.

Vue la transparence du bustier leurs poitrines n’est pas visible, elles me sautent à la figure. Tu ne voies que cela. Leurs tétons pointent, j’ai l’impression qu’ils veulent traverser le frêle tissu. Tout émoustillé je m’approche de mes deux chérie, les embrasse.

Je me recule, m’assoie pour les admirer. Je les voie sourire. Magalie se décale sur la droite Sabine sur la gauche. Elles tournent toutes les deux sur elles mêmes, le bas de leurs robes se relèvent, s’envolent.


Invité

Re: Vacances en Corse

Message par Invité »

ralalala :cingle: :cingle: :cingle: :love: :love:
DeLsEp9

Re: Vacances en Corse

Message par DeLsEp9 »

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22)



Je prends une douche rapide, me sèche et m’habille. Je sors de la salle de bain, je voie le couffin sur la table de la terrasse. Je sors, personne.

J’entends pouffer de rire derrière moi, me retourne, et là vision sublime, divine. J’attrape une chaise pour me retenir.

Adossée au mur, mes deux chéries. Elles ont mis toutes les deux, la robe grésille et des talons aiguilles. Elles sont sublimes. Maquillées juste ce qu’il faut, ni trop ni pas assez.

Vue la transparence du bustier leurs poitrines n’est pas visible, elles me sautent à la figure. Tu ne voies que cela. Leurs tétons pointent, j’ai l’impression qu’ils veulent traverser le frêle tissu. Tout émoustillé je m’approche de mes deux chérie, les embrasse.

Je me recule, m’assoie pour les admirer. Je les voie sourire. Magalie se décale sur la droite Sabine sur la gauche. Elles tournent toutes les deux sur elles mêmes, le bas de leurs robes se relèvent, s’envolent.


-/-


Elles sont totalement nues, sous leurs robes.

Comme tu nous aimes mon chéri, au naturel.

C’est tellement plus agréable pour nous.

Vous êtes sublimes mes chéries. Je ne vais jamais oser aller au restaurant, en votre compagnie. Je suis d’une telle sobriété à côté de vous.

Bon au lieu de dire des bêtises, prend notre fils, et on y va.

Au faites avec Magalie on a décidé, que dorénavant nous sommes, tes chérie, tes maitresses, tes amantes. Tu es notre chéri, notre amant, notre amoureux. Plus de, mon mari, plus de, ma femme. Magalie et moi, nous sommes à égalité, pour tout.


Je prends notre fils dans les bras, Sabine et Magalie ferment à clefs les deux portes, je les voie se rapprocher, telles deux vampires, marchant tel que j’aime, s’appliquant toutes les deux. Elles sont sublimes, elles l’expriment, elles le montrent, me le montrent.

Elles me prennent dans leurs bras et m’embrassent l’une après l’autre, embrassent notre fils. Magalie prend le couffin en passant. Elles me prennent chacune par un bras, et commencent à m’entrainer, de leur démarche si sensuelle.

Je regrette presque d’être entre elles, j’aimerais tant les voir marcher, voir mes deux amours qui se laissent aller, pour leur plaisir, pour mon plaisir. Elles doivent être sublimes toutes les deux, à admirer.

Nous prenons la direction du restaurant de l’hôtel. Le gardien, nous voyant arrivé, sort de la guérite à l’entrée, vient à notre rencontre. Il s’arrête cloué sur place. Nous nous approchons de lui, je voie son regard passer de l’une à l’autre, il me regarde, souri, l’air de dire, je me doutais bien de quelque chose, mais alors là, . . .


Bonsoir, vous avez vue avec votre fille ?

Il me regarde sans me voir, j’ai l’impression d’être transparent, il va falloir que je m’y fasse, à me promener avec deux créatures pareils, deux merveilles, au bras desquelles, je fais tapisserie.

Notre homme vous a demandé, sans vouloir vous brusquer, si vous aviez eut le temps de parler à votre fille ?

Nous le voyons qui reprends ses esprit, « euh oui, veuillez m’excuser, j’avais la tête ailleurs. Pas de soucis, pour ce soir, vers quelle heure ? ». Sabine regarde sa montre.

Il est 19h45, le temps de manger, je pense vers 21 heures, 21 h 30. Et si elle pouvait rester jusqu’à deux heures du matin, ou peut être un peut plus, on ne sait pas encore tout à fait ce que nous allons faire. Ce serait très gentil de sa part. Quitte à ce qu’elle dorme, à côté dans la chambre avec le petit.

Donc mes deux chéries, ont prévus plus que la tenue, pour ce soir.

Magalie, qui parle de « notre homme », Sabine, qui veut faire dormir la petite dans la chambre à côté avec notre fils. Elles ne cachent rien de ce qui se passe, de notre réalité.

Et dans leurs propos, aucun complexe, aucune gêne, elles affichent ce qui se passe, sans fausse pudeur, naturellement.

Les femmes sont quand même plus mûres que nous, et assument plus facilement. Il va falloir que je m’y fasse. Que ce soit Sabine, ou Magalie aucune n’a sourcillée aux propos de sa sœur.

Si la petite dort à côté avec notre fils, il va falloir être discret. Ce n’est pas trop le genre de mes chéries. Enfin on verra.


« Pas de soucis, pour l’horaire, comme nous habitons juste à côté de l’entrée de l’hôtel, elle pourra rentrer, dés votre retour. Je lui laisserais deux téléphones comme hier soir. »

Nous le remercions tous les trois, et reprenons le chemin du restaurant. Je sens son regard dans mon dos. Je remarque que mes deux puces marchent, toujours de la même façon, comme si cela était ancré en elles maintenant, si cela faisait partie intégrante de leur personnalité.


Elles me donnent l’impression de vouloir montrer qu’elles assument ce qui se passe, qu’elles m’assument pleinement, plus simplement, qu’elles s’assument en tant que femme, qu’elles assument être mes femmes.

Nous entrons, dans le restaurant, le serveur de hier soir qui nous tourne le dos, entendant la porte se retourne et manque de s’étrangler. Il a le regard incendiaire de mes deux chéries qui le transpercent. Il bafouille, essaie de se reprendre.

Je me penche et je voie mes deux chéries qui le regardent comme si elles voulaient le dévorer, tout en souriant, l’air de dire :
alors qui est sa femme, tu fais moins le fier là.

J’interviens, il n’arrive pas à aligner deux mots.


Pour diner trois personnes, dans la grande salle s’il vous plait.

Il nous fait signe de le suivre, nous avançons doucement, au rythmes de la démarche, de mes deux amours. Sabine s’arrête, se tourne vers moi. Me montre une table ronde, au centre du restaurant.

La table ronde au milieu, de la salle, qu’en penses tu mon chéri ?

Pourquoi pas, on serait bien là, mon chéri.

Aille, elles sont parties dans la provoque pur et simple mes deux puces. Elles ont envie de rire, il est vrai que de voir la tête du serveur, il y a de quoi.

Mais il faudra qu’elles se calment un tant soit peux, ça va finir en délire à ce rythme, mais d’un autre côté, elles le veulent, elles affichent ce qu’elles vivent, ce que nous vivons, cet amour réciproque.


Je fais signe au serveur qui ne voie rien, il se dirige vers un coin éloigné de l’entrée de la salle. Je l’interpelle, lui montre la table.

La table ronde est libre ?

« Euh oui ».
Sabine et Magalie se dirige d’autorité vers la table. Je remarque que toutes les deux continue avec la même démarche, posée, calme, mais tellement sensuelle.

Deux femelles lâchées dans l’arène, dans la fosse aux lions. La seule chose qui est sur, qui pour moi est une évidence en ce moment, c’est que les lions ont intérêts à se planquer. Deux lionnes, mes lionnes, sont là, et les lionceaux n’ont qu’à bien se tenir.

Je rigole intérieurement, deux hommes, assis juste en face, qui en les voyants arriver dans leur direction manquent de s’étouffer, pour l’un avec l’eau qu’il est en train de boire, pour l’autre avec les mets qu’il est en train de manger.

Elles arrivent à la table, écartent une des chaises, et attendent que j’arrive, je sors le biberon, qui est dans le couffin que Magalie a déposé sur la chaise, pose le petit dans le couffin et les embrasse toutes les deux, sur la joue.

Elles me sourient, elles sont heureuses, elles irradient le bonheur. J’écarte une des chaises.


Sabine, ma chérie, s’il te plait.

Sabine S’assoie en me souriant. Je me dirige vers la chaise opposée, l’écarte.

Magalie, ma chérie, s’il te plait.

Elle s’assoie. Je prends la dernière chaise et m’assoie également. Le serveur, arrive avec les cartes, me tend celle des vins en sus.

Il n’ose pas regarder mes puces.
« Vous prendrez un apéritif ? » Mes deux chéries ont déjà plongé dans la carte des mets, et n’ont pas fait attention.


Chérie.

Les deux puces, mes deux puces, lèvent la tête.

Oui mon amour.

Oui mon chéri.

Le serveur, me regarde il ne comprend plus rien.

C’est votre soirée, vous désirez un apéritif.

Je leur tends la carte des vins. Sabine l’accapare, je sais ce qu’elle va choisir, mais je la laisse faire, elle y prend tellement plaisir.
Elle ouvre la carte, va à la fin, regarde Magalie lui montre un emplacement sur la carte. Je voie Magalie papilloter des yeux, et faire oui de la tête.

Sabine fait signe au serveur, qui s’approche et regarde d’un œil distrait l’emplacement qu’indique le doigt de Sabine sur la carte, de l’autre il plonge dans les décolletés qui s’offrent à ses yeux, sur les poitrines de mes amours, si visibles, à travers le fin voilage qui les couvre. Sabine n’est pas dupe.


Vous avez bien vue, vous vous êtes bien rincé les yeux, vous en avez eut pour tout votre soûl.

Ca y est, c’est bon.

Maintenant vous regardez sur la carte, ce que je vous indique.

De plus, serait il également possible de faire chauffer le biberon du petit ?

Invité

Re: Vacances en Corse

Message par Invité »

sa promet tout sa :cingle:
DeLsEp9

Re: Vacances en Corse

Message par DeLsEp9 »

Ce n'est rien de le dire

en être spectateur, est encore plus troublant

que d'en être lecteur
Dernière modification par DeLsEp9 le 10 octobre 2011, 22:52, modifié 3 fois.
Invité

Re: Vacances en Corse

Message par Invité »

Jak67 a écrit :

Ce n'est rien de le dire

en être spectateur, est encore plus troublant

que d'en être lecteur
sa veut dire quoi sa???
DeLsEp9

Re: Vacances en Corse

Message par DeLsEp9 »

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23)



Je leur tends la carte des vins. Sabine l’accapare, je sais ce qu’elle va choisir, mais je la laisse faire, elle y prend tellement plaisir. Elle ouvre la carte, va à la fin, regarde Magalie lui montre un emplacement sur la carte. Je voie Magalie papilloter des yeux, et faire oui de la tête.

Sabine fait signe au serveur, qui s’approche et regarde d’un œil distrait l’emplacement qu’indique le doigt de Sabine sur la carte, de l’autre il plonge dans les décolletés qui s’offrent à ses yeux, sur les poitrines de mes amours, si visibles, à travers le fin voilage qui les couvre. Sabine n’est pas dupe.



Vous avez bien vue, vous vous êtes bien rincé les yeux, vous en avez eut pour tout votre soûl.

Ca y est, c’est bon.

Maintenant vous regardez sur la carte, ce que je vous indique.

De plus, serait il également possible de faire chauffer le biberon du petit ?



-/-


Je me retiens d’éclater de rire, Magalie commence à sourire, en me regardant, et je la voie qui sort les épaules. Elle expose sa poitrine, elle qui, il y a encore peu de temps, était complexée par sa poitrine, ne la cache plus, ne se cache plus.

Elle me fixe droit dans les yeux l’air de me dire, tu voies, je n’ai plus de complexe, même quand il y a d’autres personnes, même ici dans un restaurant à la vue de tous, de tout le monde.

Je suis une femme, ta femme, je n’ai plus de complexe, je le prouve, je la montre, je ne me cache plus.

Elle l’affiche tellement, devant les yeux du serveur, qu’il en bafouille, les yeux exorbités, il se mélange les crayons.

« Oui oui j’ai vue madame, oui mesdames, j’ai bien vue. Je, je l’apporte tout de suite. » Il s’éloigne, réalise qu’il a oublié le biberon, revient le chercher.


Je pense que tu as commandé comme toujours ma chérie.

Bien sur mon amour, j’avais envie de fêter un tant soit peut ce qui se passe.

J’ai vue que tu as aussi donné des cours à Magalie, pour marcher avec les talons aiguilles. C’est ce qui m’a un peut ouvert les yeux.

Quand nous sommes allés chez Charlotte, j’ai vue Magalie marcher devant nous, dans le couloir, pour aller à la petite salle. Je me suis dit, il y a du Jacques là dessous.

J’étais un peut jalouse, non non, pas jalouse, simplement, étonnée, voir contrariée sur le moment, mais maintenant, je me dis que tu as bien fait.

De voir Magalie qui se transformait, qui évoluait, je me suis mise à douter, je savais que tu étais derrière, qu’il y avait mon Jacques là derrière.

Mais pas de cette façon, jamais je n’aurais imaginé que vous étiez si proche. Que vous étiez amant, enfin amant si on peut le dire, bien que.

Je ne dis pas cela avec une quelconque notion de regret ou autre, mais pour moi à cette époque je refusais inconsciemment de voir la réalité. Pour moi, pour vous deux, il s’agissait d’une complicité, rien d’autre, rien de plus.

Je me disais, elle l’écoute, elle fait ce qu’il dit.

Il n’y a que Jacques qui arrive à la faire avancer, à lui faire comprendre ce qu’il faut qu’elle fasse pour son bien. Il n’y a que Jacques qui y arrive, pour qu’elle réalise, se réveille, qu’elle travaille pour elle, pour son avenir.

Quand vous êtes rentré d’Allemagne, que Magalie portait cette magnifique chainette, j’ai eut plus que des doutes.

Mais je me refusais de l’admettre, je voyais encore Magalie comme une jeune fille, pour ne pas dire une adolescente.


Elle se tourne vers Magalie, en souriant.

Donc ma chérie, maintenant nous allons assumer, toutes les deux. On va s’occuper de la femme. On va faire disparaitre la jeune fille, pour mettre en valeur la femme que tu es devenue

Pour commencer, en arrivant à Ajaccio, direction l’esthéticienne et le coiffeur.

Bien sur si tu es d’accord.

Comme Jacques l’a fait avec moi au début de notre relation, on va s’occuper toutes les deux d’arranger un peut tout cela. On va faire de toi une femme jusqu’au bout des ongles.

Comme dirait notre amant, on va faire de toi une belle plante, une femelle dans tous les sens du terme.

Le reste Jacques s’en est chargé pour partie. Je lui fais confiance pour ce qui reste à faire. Comme on est semblable, pour beaucoup de choses tu devrais aimer autant que moi, y prendre autant de plaisir que moi.

J’ai adoré à l’époque.


Je te fais une totale confiance, pour savoir ce qui me conviendra. Tu me prouves suffisamment, que tu m’as donné plus que ta confiance, maintenant je sais que s’est à tous les niveaux.

Et moi tu le sais c’est pareille. Notre relation de sœur, nous aide, je trouve que nous sommes encore plus proches qu’avant.

Quant à Jacques, je me doute qu’il a encore beaucoup de choses à m’apprendre, j’attends avec impatience, tout comme toi à l’époque, tu ne pensais qu’à cela.

Je te revoie encore quand tu rentrais les weekends, chaque fois j’avais du mal à te reconnaitre, tant tu changeais, tant tu devenais chaque fois un peut plus femme fatale.

Maintenant tu vas faire, vous allez faire avec moi, ce que Jacques a fait à l’époque avec toi.


Les deux puces me regardent avec un regard gourmand.

Mais quel bonheur j’ai eut de rencontrer Sabine par hasard. Je ne bénirais jamais assez ce pneu crevé.

C’est vrai je ne vous ai jamais dit comment nous nous étions rencontré avec Sabine.

Oh un truc tout bête. Un soir au mois d’octobre, je rentrais du bureau, il pleuvait à torrent, il faisait froid.

Je voie une voiture arrêter, sans les feux de détresse, pas de triangle, rien pour la signaler.

Une ombre qui essaie de changer la roue arrière droite. Côté terre plein, enfin, disons que l’ombre se battait plutôt, avec le cric dans la boue.

Je me suis garé, derrière, j’ai mis les feux de détresse, les phares. Je suis descendu pour aider.

Oui, oui, j’ai une âme de bon samaritain.

Je m’approche, une jeune femme, en tailleur et mini-jupe, les collants souillés de boue, qui pleurait de rage, en essayant de changer sa roue.

Je l’ai accompagné dans ma voiture, ou il faisait bien chaud.

Et voila s’était Sabine, ma Sabine, qui avait crevé, enfin qui avait crevée une roue, en rentrant chez elle.

J’ai changé sa roue, elle est venue boire un café, dans l’appartement où j’habitais à l’époque, qui était sur son trajet, pour rentrer chez elle.

Que ne va t’on pas chercher comme excuse, pour inviter une pauvre rescapée de la route, dans son chez soit.

Comme elle avait, enfin on avait tous les deux de la boue jusqu’aux yeux. Elle a prie une douche, pendant ce temps j’ai allumé un beau feu dans la cheminée.

Pendant que je prenais ma douche, elle s’est relaxée sur un des deux canapés devant la cheminée.

Quand je suis revenu elle dormait comme un bébé. Je l’ai couverte. Me suis allongé sur l’autre canapé.

Au milieu de la nuit elle m’a réveillé, elle avait froid, le feu était mort.

Je ne l’ai pas cru, sur le moment, le chauffage central fonctionnait, et il faisait bon dans l’appartement.

Jusqu’au moment ou elle a posée ses deux mains gelées sur mes joues.

On n’a jamais su qui avait craqué le premier des deux. Certainement les deux.

Elle s’est réfugiée sous ma couverture, dans mes bras, s’est collée contre moi, et on s’est endormi comme deux bébés.

Elle n’est jamais repartie, n’a jamais voulue repartir.

Enfin si, le samedi pour déménager ses affaires et emménager avec moi.

Sous les imprécations de sa mère, la charmante Suzanne. « Tu le connais à peine, il va penser quoi, etc, etc… »

Pour résumer, elle était la dernière des dernières.

Et bien la dernière des dernières, elle m’a fait craquer, comme un malade.

Raide dingue j’étais.

Je le suis toujours d’ailleurs.

Bon je reviens au récit (Veuillez m’excuser de ce petit moment de nostalgie).

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