Marrant, je me doutais d'une réaction quelque peu "directe" comme ça, sans sourire détendu, convivialité du forum, distanciation du propos etc. etC. Enfn tout ça quoi...
En même temps, tu vas me dire, si je savais, pourquoi j'ai fait mon malin à vouloir qd même faire de l'humour ? Par provok, j'avoue, humblement (si si tu vois, je peux faire dans l'humilité, ne te déplaise ;-) ), c'était tellement tentant que j'avoue avoir eu la faiblesse, seul dans mon hôtel dunkerquois, de ne pas me refuser cette bien maigre indulgence.
Et aussi parce que sur le fond, au lieu de draper de la dignité, lire effectivement la page, ou réfléchir sur son contenu, répond tout simplement à la question, non ? C'est con ? Si tu veux, mais c'est aussi tout simplement véridique et efficace malgré tout
"je ne comprends pas comment on peut aimer souffrir", en gros, dis tu, et bien, le fait que TOI tu ne comprenne pas n'empêche pas que ça existe, et que ça s'appelle le masochisme, et c'est finalement assez connu.
L'incompréhension n'exclut pas la réalité du sentiment ni du plaisir qui peut être associé.
Quand à mon fessier, je ne vois pas ce qu'il vient faire là dedans.
Allez sourions, plutôt que de se vexer pour des perceptions de soit disantes sources de vexation qui ne sont même pas là mais seulement dans l'imaginaire de qui s'en vexe.
Et pour cette histoire de peuple qui t'as visiblement très traumatisée, je veux bien te réexpliquer le jeu de mot sur la pelle au peuple du 18 juin, au besoin. Sans doute avais je cru, à tort, que c'était assez directement compréhensible sans que le peuple s'en offusque.
V., pour paraphraser un roi célèbre, après tout, "le peuple, c'est moi !".