Je suis une vraie exhibitioniste...

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Re: Je suis une vraie exhibitioniste...

Message par Invité »

Biquette a écrit :Je pense que Démonia a voulu souligner le fait qu'on est sur la partie exhib ici et qu'Isabelle poste des récits qu'elle devrait plutôt mettre dans la catégorie Récits par le fait.
P't'être que je me trompe mais c'est comme ça que je comprends son message :)
Si je ne m'abuse sur le Rose il est connu sous le pseudonyme de Bill-BradFord et poste également dans la catégorie Exhibe...
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Re: Je suis une vraie exhibitioniste...

Message par Invité »

Isa-Belle a écrit :Exhibitioniste

Je suis une vraie exhibitioniste. Je précise "vraie" car je n'hésite pas à scénariser soigneusement mes exhibitions.
J'ai découvert que j'aimais ça lorsque j'étais toute jeune fille. Durant mes années lyçée déjà.
Je partais en bicyclette pour aller "explorer" des endroits particuliers qui pouvaient se prêter à mes désirs d'être "vue".
Des endroits où je pouvais "voir", car je suis, pour certaines situations, très voyeuse. Mais c'est un autre domaine.
J'avais ainsi établi une série d'endroits où je me rendais durant mon circuit habituel.
J'avais établi une règle immuable. Il fallait que, en cas de souci, je puisse filer le plus vite possible sur mon vélo de course.
J'ai toujours été très prudente. Aucun de mes actes n'était irréfléchi ou improvisé. Tout était méthodiquement élaboré.
J'ai compris très jeune que beaucoup d'hommes avait un sexe à la place du cerveau.
Ce qui pousse ces derniers à avoir des attitudes absurdes, relevant le plus souvent de la pulsion plutôt que la réflexion.
Une de mes "astuces" favorites, est de savoir qu'il y a un grillage ou une clôture entre moi et l'individu qui me "surpend".
La rivière ou le torrent, l'étang ou le mur, sont autant de "protections" que je sais mettre au service de mes exhib.
Longuement je mets au point l'exhib à laquelle je vais me livrer. Aujourd'hui, à 26 ans, je suis une grande "spécialiste".
J'ai toujours mes endroits idéaux. J'ai toujours un circuit habituel que je parcours en vélo en été, en voiture en hiver.
Je prends toujours les mêmes imparables précautions.
Mon "truc" préféré, est de me frotter lentement sur la barre supérieure de mon vélo. De me faire surprendre ainsi, m'excite !
Aussi, je suis souvent en jupe. Mais le short clair est très bien aussi. Surtout lorsqu'il montre l'auréole humide entre mes cuisses.
Accroupie dans les fourrés, entre deux voitures ou encore au près des terrains de sports, est toujours source de plaisirs indiscibles.

Depuis deux ans que j'ai avoué mon vice à mon compagnon, doucement, il commence à entrer en complicité avec moi.
Il ne refuse plus de m'accompagner, de se cacher, afin de surveiller si tout se passe bien. Car c'est un grand gaillard athlétique.
Sa simple présence physique, n'importe où, est très dissuasive. Alors qu'il est le plus merveilleux des nounours.
L'exhib et le voyeurisme, ce n'est pas trop son "truc". Mais il fait son maximum afin que je trouve mon plaisir où j'aime le trouver.
De plus, de m'exhiber m'apporte tant de plaisir et d'excitation qu'il est le premier à pouvoir partager tout cela avec moi dans l'amour.
Je suis très vicieuse, je le revendique et cela participe à mon épanouissement de femme.
Le simple fait de l'avouer ici, est déjà, en quelque sorte, une exhibition. Sans risques...

Cet après-midi, par exemple, je vais aller essayer des paires de chaussures de ville dans une hall aux chaussures.
Dans ces halls de chaussures, il y a de nombreuses opportunités de s'exhiber, en jupe, à essayer encore et encore.
Mon compagnon, lui, est dans le centre commercial voisin. J'ai mon portable, il a le sien. Il sait où je suis. Il sait ce que je fais.
Dans ces lieux publics, je suis toujours d'une discrétion absolue. Je choisi mes "cibles". Toujours des quidams "quelquonques".
Je suis une grande "spécialiste" des situations où je suis accroupie à choisir des articles derrière des présentoirs ajourés.
L'homme qui est de l'autre côté ne se rend pas toujours compte, de suite, de la salope qui est entrain de choisir ses slips, accroupie.
Mais, lorsqu'il a capté, le jeu, que je ne fais jamais durer plus de quelques minutes, c'est souvent un enchantement.
Ce qui m'excite, c'est lorsque, discrètement, je récidive, en ayant changé de rayon. Devant le même individu.
Là, le type comprend à quelle genre de fille il a affaire...

Je suis une exhibitioniste, une "vraie", et je l'assume...
Ben, j'ai envide de dire...où?????
GVb6lO6

Petite vision insolite

Message par GVb6lO6 »

Une petite aventure bien amusante

Mercredi, après les cours de l'après-midi, je prends la petite route habituelle.
Cette départementale est souvent déserte. Particulièrement à dix sept heures.
Je roule doucement sous une pluie battante. Une météo vraiment médiocre.
Là, sur le bord de la route, il y a une camionnette. Garée devant le calvaire.

Je ralentis encore par prudence. Je vois ce type entrain de pisser contre le mur.
Il est autant surpris que moi. Il a le réflexe de se tourner davantage, pudique.
Je m'arrête un peu plus loin. Je regarde dans le rétroviseur. Il s'est retourné.
Je le vois agiter son sexe dans ma direction tout en me faisant signe de la main.

Je reste à l'arrêt quelques instants. Je distingue mal à cause de la pluie battante.
Je regarde dans le rétroviseur. Pas de doute. Je n'hallucine pas. C'est un satyre.
C'est assez rare en hiver et sous la pluie. En général ils préfèrent les beaux jours.
Il se masturbe dans ma direction en me faisant signe de le rejoindre. Un coquin !

Je démarre doucement pour reprendre ma route. J'accélère. Je tourne à droite.
Je préfère rejoindre la nationale et le flot rassurant de sa circulation plus intense.
J'arrive à la maison. Même si c'est insignifiant, ces choses là m'excitent toujours.
Je raconte mon aventure à mon mari. << Tu les attires ! >> me fait il, amusé...

Isa
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GVb6lO1

Re: Je suis une vraie exhibitioniste...

Message par GVb6lO1 »

T'aurais dû en profiter, c'était peut être une occase... :hein:
Biquette
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Re: Je suis une vraie exhibitioniste...

Message par Biquette »

cybou34 a écrit :Ben, j'ai envide de dire...où?????
Aaahh ben mon pauvre Cybou, pour avoir une réponse, tu peux t'accrocher... Un beau spécimen notre Isa-Belle... :d :d
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
GVb6lO6

Une proposition dans les toilettes

Message par GVb6lO6 »

Au restaurant

Vendredi soir, avec mon mari, nous sommes dans un de nos restaurants préférés.
Nous y avons nos habitudes. On y mange très bien. Le lieu est très bien fréquenté.
A une table voisine, un peu plus loin, il y a un couple de quinquagénaires qui mange.
Parfois, discret, le monsieur aux tempes grisonnantes me regarde avec insistance.

Je suis vêtue d'une jupe kilt à carreaux rouge, d'un chemisier blanc sous un pull noir.
Mes bas, mon porte jarretelle. Je suis chaussée de mes bottes noires à hauts talons.
Je commente en temps réel à mon chéri ce que je fais de mes jambes sous la table.
Je les croise et les décroise en exagérant le mouvement sous le regard de l'homme.

Mon mari, toujours très amusé, me chuchote : < Ce soir, c'est moi que tu excites ! >
Je prends sa main. Il rajoute : < Ce soir, je te fais ta fête au retour, à la maison ! >
J'ai écarté largement mes cuisses sous la table. L'inconnu observe avec attention.
L'avantage avec les messieurs accompagnés, c'est qu'ils sont tenus à la réserve.

Je descends discrètement ma main pour la placer entre mes cuisses. Je me touche.
A chaque fois que sa femme regarde ailleurs, l'inconnu me lance un sourire entendu.
Je le raconte à mon mari qui me fait : < Il est peut-être temps d'aller aux toilettes ! >
Je me lève. Je regarde avec insistance le beau quinquagénaire. Je descends. Sous sol.

Je suis accroupie entre les deux urinoirs muraux. Je fais semblant de fouiller mon sac.
Un bruit de pas dans l'escalier. Je suis prête à me relever si ce n'est pas ma "cible".
C'est lui. Il me découvre ainsi. < Bonsoir ! J'apprécie beaucoup ! > me fait l'inconnu.
Il se déboutonne. Il agite son sexe qu'il tient à sa base entre son pouce et son index.

< Vous seriez tentée par une pipe ? Je suis généreux ! > me fait il d'un ton rassurant.
Je m'entends lui dire : < Je ne suis pas une pute ! Et vous avez une femme ! Non ? >
< Oui, mais elle ne suce pas ! >. Je regarde son sexe magnifique. Long, droit et fin.
< Parfois je m'offre un "extra" ! Voulez vous en être ? > me demande encore le type.

Je me redresse en déclinant son offre. Même si j'en meure d'envie. Pas ici. Le danger.
C'est un gentleman. Il ne tente rien. De sa veste il sort une carte de visite qu'il tend.
< Réfléchissez bien. Vous êtes magnifique et délicieusement salope ! > fait il encore.
J'apprécie le compliment sans rien en montrer. Je prends et mets la carte dans le sac.

Je file à toute vitesse. Je raconte ma petite aventure à mon mari qui m'écoute amusé.
< Je t'aime ! > me fait il en serrant ma main. Je suis pétrie d'émotion. C'est agréable.
Le monsieur est revenu. Assis. Discrètement il me fait de rapides sourires significatifs.
Nous payons. Debout, avant de partir, je lui fais un clin d'œil en dressant mon pouce.

Dans la voiture, je suce mon homme qui roule toujours doucement. C'est un bonheur.
Je pense à ce pauvre inconnu qui ne connaît pas ces plaisirs avec la femme qu'il aime.
Mon mari me fait très rarement part de ses ressentis quand à mes petites aventures.
Ce soir pourtant, en roulant, victime consentante de ma fellation, il me dit des choses.

Nous faisons l'amour. Mon mari me confie son désir que j'accepte la proposition du type.
< Tu as ses coordonnées ! On se fait le plan ! Je veux te voir le sucer ! > me dit il encore.
Mon mari est mon complice. C'est la plus belle chose que je connaisse sur terre. Ma joie.
Sans lui, rien de tout cela ne serait possible. La différence d'âge sans doute. 11 ans...

Je lui promets d'y réfléchir...

Isa
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GVb6lO6

Une proposition aux toilettes - (Episode 2)

Message par GVb6lO6 »

Au restaurant - (Episode 2) -

Mon chéri évoque très rarement mes frasques. Depuis vendredi il ne cesse pas.
Ce sont autant d'appels du pied lorsqu'il me chuchote : < Téléphone au mec ! >
Mon mari parle évidemment de l'inconnu rencontré au restaurant vendredi soir.
La carte de visite de "monsieur Charles" reste posée sur le buffet de la cuisine.

Quand je pense à cette aventure, dans les toilettes, j'ai quelques agréables émois.
Il me revient à l'esprit toute la scène précise où l'inconnu me surprend accroupie.
Ses mots résonnent encore. Ses attitudes vulgaires restent dans mes souvenirs.
Je peux me remémorer, dans le moindre détail, son sexe, droit, long et si mince.

En rentrant de mes cours, j'arrête la voiture sur le bord de la route. Je téléphone.
Je reste sur mes gardes. L'homme est marié. Si c'est une voix féminine, je cesse.
C'est une voix d'homme. Une voix que je reconnais immédiatement. Grave. Douce.
Je me présente. Il se souvient très bien de moi et de la rencontre dans les toilettes.

Je lui propose de nous rencontrer en soirée dans l'endroit de son choix. Le silence.
Monsieur Charles semble surpris par mon appel. Il reste un moment sans répondre.
J'ai un nœud dans la gorge moi aussi. Il me propose de le rappeler. Et demain soir.
Je le prends certainement au dépourvu et il n'est sans doute pas seul dans la pièce.

Il a toutefois le temps de me témoigner de toute la joie que lui procure mon appel.
<< Dix huit heures ! >> me fait il deux fois avant que je ne raccroche rapidement.
De retour à la maison je fais part de mon courage à mon mari qui me félicite, riant.
Tout cela me tourne dans la tête toute la soirée. Bien évidemment tout ça m'excite.

Jeudi soir, il est pile dix huit heures lorsque je fais le numéro de monsieur Charles.
Cette fois l'inconnu est beaucoup plus loquace. Il s'excuse pour hier soir. Pas seul.
Nous bavardons un peu. Il revient avec insistance sur notre aventure aux toilettes.
Je le rassure. J'avoue à quel point cette situation m'a laissé d'agréables impressions.

Monsieur Charles me propose une récidive. Il connaît lui aussi le petit parc Diogène.
Ce parc très peu fréquenté situé entre deux grandes propriétés. Maisons de maître.
Au fond, il y a des toilettes publiques. Monsieur Charles me propose les pissotières.
Je suis à la fois confuse, gênée et terriblement excitée par le mot. Et par l'endroit...

L'homme me propose de le rejoindre lundi, en soirée, pour dix huit heures trente.
Le parc ferme toujours à vingt heures. C'est une employée communale qui ferme.
Monsieur Charles m'affirme très bien connaître parfaitement les lieux, les horaires.
Je lui promets d'être là. Avec la fraîcheur des soirées je serais en jean et en anorak.

Je monte dans notre pièce de travail pour tout raconter à mon chéri qui s'en amuse.
Quelle n'est pas ma surprise lorsqu'il me propose d'aller voir l'endroit dès demain !
Je me blottis contre lui. Il me fait plein de bises en chuchotant : << Coquine ! >>.
Le soir même, dans le salon et sur le canapé, nous faisons l'amour comme des fous.

Nous mettons au point notre petite expédition au parc Diogène pour le lendemain.
Il est dix sept heures, le vendredi, lorsque mon chéri gare la voiture près du parc.
Le lieu est désert. Le cabanon des toilettes publiques se trouve derrière des cyprès.
Il est quasiment invisible quelque soit l'angle. Un endroit hautement stratégique...

Nous entrons dans l'espace de gauche. Ce sont les pissotières. Des urinoirs muraux.
L'endroit semble vétuste. L'odeur est forte et âcre. Il y a trois cabinets sur la droite.
Mon mari monte sur le couvercle d'une des cuvettes. Avec sa haute taille il peut voir.
Par dessus la porte, dans l'obscurité, mon chéri pourra sécuriser sans être remarqué.

Nous mettons au point le stratagème ultime. A la maison nous feront un panonceau.
Un simple carton sur lequel il suffira d'écrire "Hors d'usage" qui sera fixé sur la porte.
La porte condamnée permettra à mon mari de surveiller les alentours et la rencontre.
Avant de partir nous regardons tous les horaires affichés à l'entrée du parc Diogène.

Tout est prêt. Dans la voiture, au retour, j'offre une délicieuse fellation à mon homme.
Il roule doucement en me racontant ses impressions. J'écoute émerveillée. Rassurée.
C'est la toute première fois que mon chéri s'implique autant. Il veut me faire plaisir.
Je savoure avec régal car notre conversation n'est pas sans l'exciter considérablement.

Isa
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