Ce que l’on comprend :
Qu’une chose en entraîne une autre. La suite logique, comme l’aiguille qui entraîne son morceau de fil derrière elle…
Le sens caché :
Se faire sodomiser (expression datant du XVIème siècle). L’expression exacte qui était utilisée est d’ailleurs :
« s’en faire filer une aiguillée ».
Je vais regarder mon fil et mon aiguille différement maintenant
Source : TDN
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
Ce que l’on comprend :
Recevoir une demande en mariage (avec la baguouze de fiançailles qui va bien).
Le sens caché :
Dans l’argot ancien, la bague représente le vagin et le doigt… vous avez compris.
En clair, cette expression se rapportait au coït. Ou à la baise, si vous préférez.
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
Ce que l’on comprend :
Qu’on va en chier. Qu’une période difficile s’annonce (ou se termine).
Le sens caché :
Avoir choppé la « chaude-pisse », une infection qui vous donne la sensation d’uriner des lames de rasoir.
À l’époque, pas de capotes ni de médicaments pour se soigner. Les patients qui souffraient de maladies vénériennes salivaient de façon excessive (un symptôme), d’où le fait « d’en baver ».
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
Ce que l’on comprend :
Quand t’étais en 6ème D, ton bouche-trou s’appelait Sabrina. Tu l’appréciais vraiment sans plus, vous n’aviez que très peu de points communs, mais c’était la situation la moins pire à ce moment-là de ta vie. Et ça t’évitait de manger tout(e) seul(e) à la cantine, lol.
Le sens caché :
A l’origine, un bouche-trou n’est pas ce copain qui te sert accessoirement. C’était en fait un pénis. Rabelais avait d’ailleurs énuméré la liste des surnoms qu’il donnait à son engin dans Gargantua. « Bouche trou » en faisait partie. Tout comme « branche de corail », « vilebrequin » ou encore « petite couille bredouille ». La dernière est pas mal, on la retient.
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
Ce que l’on comprend :
Que tout espoir est perdu et qu’on ne peut plus rien faire pour rattraper tout ça.
Noir c’est noir. Mort c’est mort.
Le sens caché :
Le fait de débander. À l’époque, tout ce qui touchait de près ou de loin à une carotte évoquait le sexe masculin (un peu comme aujourd’hui cela dit). Donc quand la carotte est « cuite », forcément, ça rentre moins bien...!
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
Ce que l’on comprend :
C’est super ! c’est génial ! Ou encore, c’est une bonne nouvelle ! Une expression que j’adore utiliser. Mais ça, c’était avant.
Le sens caché :
La sodomie. Le mot « chouette » faisant référence à l’anus, « prendre du chouette » signifierait sodomiser. Et pour « refiler du chouette » cela signifie se faire sodomiser.
Quand on nous aura tout dit...!
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
Jessy a écrit : ↑30 avril 2020, 21:32
Je ne sais pas où tu trouves tout cela, Biquette, mais à chaque fois tu me fais rire ... Et en ce moment, ça fait un bien fou !
Y a tellement de sites bizarres sur le net... m'enfin si ça détend, tant mieux
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
Ce que l’on comprend :
Donner de quoi travailler, ou encore de quoi s’occuper.
Le sens caché :
Une expression utilisée par les prostituées. Les maisons closes étaient souvent appelées des « moulins ».
Ainsi, « donner du grain à moudre » à une péripatéticienne faisant référence au fait qu’elle allait devoir bien galérer pour donner du plaisir à un homme qui bande mou !
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
Ce que l’on comprend :
Faire bronzette, faire l’escalope panée au soleil. Mais à l’origine, l’expression « dorer la pilule » signifiait rendre une chose plus attrayante.
Notamment utilisée par les marchands pour tromper les acheteurs. À l’époque, les apothicaires avaient pour habitude de recouvrir leurs pilules d’une feuille d’or ou d’argent pour les rendre plus jolies (mon précieux).
Exemple actuel : les pommes ne brillent pas naturellement. Une cire bien toxique est ajoutée dessus pour que vous les trouviez plus belles et que vous ayez envie de les acheter. On leur a donc doré la pilule.
Le sens caché :
Se faire sodomiser. Encore et toujours ! On peut également dire « se faire dorer la pastèque », « se faire dorer la lune » ou encore « se faire dorer la pastille ».
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
Ce que l’on comprend :
A la base, c’est un langage de pêcheur. On disait alors qu’on allait fatiguer le poisson pour le pêcher plus facilement. Et puis l’expression a pris un sens plus général. Épuiser son adversaire pour le mettre K.O. L’avoir à l’usure. Le prendre à son propre jeu. Et l’É-C-R-A-S-E-R comme une mer**. On est en forme aujourd’hui.
Le sens caché :
Le poisson peut faire référence au pénis. Désigne donc une femme qui, pendant l’acte sexuel, mouille beaucoup et qui par conséquent, « noie le poisson ».
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.