Belle équipe (le Bureau III)

[Wakeford]

Dans les jours qui suivirent le coït sauvage avec Sylvie, la discrète secrétaire du directeur, plusieurs faits méritent d’être signalés.
Sylvie est venue par deux fois dans mon bureau sous des prétextes fallacieux et m’a imploré de la saillir comme une chienne. En gentleman, et malgré ma déontologie personnelle, je me suis efforcé de la baiser du mieux que je pouvais.
Isabelle, la dévergondée des RH, m’a invitée chez elle, un soir où elle n’avait pas son fils, pour un verre qui s’est transformé en une nuit de débauche.
Quant à Nicole, dont j’avais entr’aperçu la plantureuse silhouette alors que je sortais du bureau de Sylvie, la verge ravagée, elle était vraiment gênée lorsque je la croisais, ce qui confirmait qu’elle avait bien assisté aux assauts vigoureux que j’avais menés entre les délicates cuisses de Sylvie. J’aimais bien cette situation équivoque et ne me privais pas d’aller voir Nicole, pour des motifs anodins, pour la mettre dans l’embarras.
Nicole était une jeune femme, à peine plus de vingt ans, plutôt ronde et jolie. Elle était discrète. Visiblement seule. Question physique, elle acceptait plutôt bien ses rondeurs et n’hésitait pas à enfiler des hauts moulants qui mettaient son énorme poitrine en valeur. Joli visage, yeux rieurs et regard doux. Mon flair de limier de la chatte me laissait imaginer que Nicole était le prototype de la femme discrète en apparence, mais qui une fois sous la couette devait être une grande gourmande, une assoiffée, une amazone…

[Biquette]

Elle me plait bien Nicole

Je trouve qu'elle me ressemble, à part l'age..
C'est fait exprès ?

[Wakeford]

Tu es moins ronde qu'elle. Mais tout aussi coquine visiblement...

[Biquette]

Nicole est donc réelle ?

[Wakeford]

Oui. Tous ces personnages existent vraiment... Mais mon quotidien au bureau est bien moins sensuel...

[Biquette]

En tout cas, elles t'inspirent les femmes du bureau


Bon, une suite maitnenant, assez discuté

[Wakeford]

Je pensais bien que nos relations allaient en rester à ce point d’ambiguïté, lorsqu’un soir, Isabelle m’invita chez elle par mail. Ca tombait bien, j’avais mis un slip propre ce mois là.

Je passais le reste de la journée à imaginer Isabelle nue, a quatre pattes sur son lit ou à genoux sur son canapé, en train de subir mes virils assauts. Je ne débandais pas de l’après-midi, ni en montant sur ma moto pour me rendre chez ma belle d’un soir, ce qui me causa un certain embarras.

Lorsqu’elle m’ouvrit son huis, elle portait une ravissante robe d’été et un sourire de gala. Sitôt la porte refermée, elle envahit ma bouche de sa langue et me roula une gamelle digne d’entrer au Guinness Book. Je sentais que nous allions avoir une relation sexuelle dés avant l’apéritif, ce qui ne me déplaisait pas du tout.

Mon instinct de grand chasseur ne m’avait pas trompé, car Isabelle prit ma main et me fit asseoir sur son canapé. La belle devait avoir des dons de prestidigitateur, car ma braguette était déjà descendue et ma ceinture ouverte. Elle s’agenouilla entre mes cuisses et extirpa sans hésiter mon membre.
« J’ai invité une copine, mais je ne veux pas que tu restes à bander toute la soirée… Je te suce avant qu’elle n’arrive… ».
Délicate attention Isabelle.
Elle attrapa ma queue qui se dressait face à son visage et la baisa doucement, la léchant, posant ses lèvres sur mon gland rose ridicule mais tellement sensible à ce type de traitement. Elle me masturbait fermement mais dans un rythme lent qui me plaisait énormément. Je caressais ses fins cheveux, je gémissais de plaisir. Elle ne tarda pas à me prendre entièrement dans sa bouche.
« Tu me fais mouiller… J’en peux plus… » me sourit-elle en tenant ma verge prête à exploser dans ses doigts aux ongles vernis. « Si Nicole n’arrive pas bientôt… Je… ».
Elle n’eut pas le temps de finir sa phrase, car je tirai sa tête vers ma queue, la forçant à me reprendre. Cette fois, elle me suça avec plus de conviction. Pour que mon plaisir de mâle soit plus fort, je lui dis des mots doux d’un romantisme parfait : « Suce-moi salope, suce bien ma queue, je veux jouir dans ta bouche de pute… ». On a la classe ou on ne l’a pas.

Et ladite salope me suça encore plus fort, tellement fort que je crachai tout mon foutre au fond de sa gorge. Maintenant sa tête sur ma queue pour qu’elle subisse mon plaisir jusqu’au bout. Ce petit bout de femme m’a fait jouir de manière extraordinaire. Je sentais des saccades de semence gonfler ma verge et jaillir sur sa langue. Lorsqu’enfin je libérai sa tête, elle avala mes émanations, avec une jolie grimace et un sourire un peu forcé.
« Ben mon salaud… » Fit-elle avec ses lèvres brillantes de salive.
Je restai ainsi, la queue encore raide, sur son canapé, en tentant de me remettre de ce tsunami.
Elle s’assit contre moi, pas fâchée.
« C’était bon ? –demanda-t-elle en connaissant la réponse »
« A ton avis coquine ?» parvins-je à articuler.
« C’est que je suis toute excitée moi, et toi, tu as joui… »
Je savais ce qu’un homme éduqué comme moi devait faire après une telle réflexion…

[Wakeford]

« C’est Nicole que tu as invitée ? » demandai-je en glissant une main caressante entre les cuisses d’Isabelle.
Elle gémit un « oui » au moment où je vérifiai qu’elle ne portait pas de culotte. Effectivement, elle était très excitée et mes gros doigt n’eurent aucune peine à trouver un chemin entre ses lèvres. Mon pouce tourmentait son clitoris alors que mon index et mon majeur la prenaient. Elle s’accrochait à mon bras.
Je soulevai sa jupe pour regarder ma main qui s’occupait de son sexe. J’adore regarder un sexe féminin quand je le caresse. C’est tellement excitant une belle vulve ouverte.
Elle se cambrait de plaisir. J’avais tiré la bretelle de sa robe légère et lui léchais un sein coquinement évadé de sa prison de tissu. Je commençai à m’échauffer, mais je venais de jouir et il était trop tôt pour que mon membre puisse rendre à Isabelle tout le bien qu’elle m’avait fait. Je me préparai à lui administrer un bon cuni bien profond pour la mener au plus haut degré de la jouissance. Et l’idée de faire la bise à Nicole dans quelques minutes avec le parfum de sa vulve sur mes joues m’excitait grandement. J’écartai bien les lèvres d’Isabelle et je m’appliquai à la doigter avec douceur et fermeté.
A mon invitation, elle s’allongea sur le canapé, robe relevée, et écarta ses jolies cuisses pour m’offrir une vue délirante sur son intimité. Je m’agenouillai et posai ma tête sur son con palpitant.

[Biquette]

GGGggRRRrrrr

[BjEd9a7]

j'ai lu en diagonale mais ma fois, ya le style San Antonio la dedans j'adore

[Wakeford]

J’eus à peine le temps de goûter ses humeurs sucrées salées et de torturer son clitoris. La sonnerie de l’entrée retentit, Nicole venait perturber nos ébats.

On se remit en état de recevoir notre collègue : braguette, robe, nichons… Et elle ouvrit la porte en me faisant un joli clin d’œil.

Nicole fut surprise de me voir. On se fit une bise très chaste, mais je suis certain qu’elle comprit où mon visage était il y a quelques minutes encore.

Nicole portait ce soir un large pantalon en toile et une chemise ample, très décolletée. Elle avait vraiment une poitrine démentielle.

Nous faisant asseoir, Isabelle s’excusa de ne pas nous avoir avertis de nos présences mutuelles. Pour ma part j’étais assez amusé de voir Nicole ce soir. Et pour ne rien cacher à mes lectrices, la vue des gros seins de Nicole et le souvenir brûlant de la chatte d’Isabelle commençaient à me chauffer vigoureusement.

Isabelle s’assit tout à côté de Nicole, vraiment contre elle. Elle croisait ses jambes et sa robe remontait très haut. Lorsqu’elle les décroisait, elle faisait en sorte de me laisser voir son sexe. Elle était très excitée.

Rapidement, elle mena la conversation loin des considérations sur le temps et la conjoncture économique.

« Pour ne rien te cacher, Nicole, on était en train de se chauffer bien fort quand tu es arrivée… »
Je pouffai dans mon verre de whisky, estomaqué par l’audace de la belle.
« Oui, tu m’as l’air bien excitée ma belle – dit Nicole – tu n’arrêtes pas de lui montrer ta culotte… »
« J’en n’ai pas, de culotte… »
On rit. Je bandais.

- « Vous voulez que je vous laisse finir ? » proposa Nicole.
- « Tu ne nous dérange pas. Tu sais, je crois que Jacques va devenir aveugle à force de mater tes seins. Visiblement, tu lui plais beaucoup aussi. »
J’étais au bord de l’évanouissement. Mais je manquai de tomber dans le coma lorsque je vis Isabelle poser sa main sur le sein de Nicole et commencer à le pétrir.
- « C’est vrai qu’ils sont magnifiques tes gros nichons… même moi… j’ai envie de les caresser… »

Nicole souriait. Elle tenta de repousser la main d’Isabelle sur sa poitrine, mais trop mollement. Et Isabelle caressait ce globe mou avec de plus en plus d’insistance.
- « Mmmm… je sens que ça pointe là dessous… tu aimes çà… t’es une coquine Nicole… »
Nicole ne protesta pas. Elle ferma les yeux. Isabelle ouvrait sa chemise et me laissa voir ses deux gros lolos un peu flasques aux tétons bruns.
- « Régale-toi cochon… »
Elle passa ses cheveux derrière son oreille et se pencha sur Nicole dont elle prit le téton entre les lèvres.

[Wakeford]

j'ai lu en diagonale mais ma fois, ya le style San Antonio la dedans j'adore

merci pour le compliment.

[Ag7Wr5]

J'aime bien tes récits !...
il s'en passe de belle dans l'administration

[Wakeford]

J'aime bien tes récits !...
il s'en passe de belle dans l'administration

Si tu savais...

[Wakeford]

Nicole ne résistait plus. J’apprendrai plus tard qu’il ne s’agissait pas de leurs premiers attouchements. Nicole m’avait précédée dans le lit d’Isabelle.
Pour les deux femmes, je n’existais plus. Nicole se laissait lécher et sucer les seins avec délectation. Elle passait ses mains dans les cheveux d’Isabelle. Ses gros tétons étaient dressés et brillaient de salive. Les deux femmes se prenaient à pleine bouche, à pleine langue. Je les regardais en sirotant mon troisième whisky, je commençais à bander de manière dangereuse pour le tissu de mon slip. Je caressais ma queue par dessus mon pantalon en la sentant frémir, piaffer d’impatience.

Isabelle avait passé une main perverse dans le pantalon de Nicole et devait selon toute vraisemblance, lui faire de jolies caresses. Nicole, cuisses largement écartées, affalée sur le canapé, gémissait et soufflait sans retenue. Isabelle lui donna ses doigts à lécher et les replongea dans sa vulve bouillonnante. La fine jeune femme lovée contre la forte Nicole semblait au paroxysme de l’excitation.
Nicole jouit, en se mordant les lèvres, celles qui parlent.
Isabelle souriait.
« Viens dans la chambre… »

Les deux femmes se levèrent et, sans me regarder, se réfugièrent à l’abri de mon regard de prédateur sexuel. Je les laissai seules quelques minutes, les écoutant chuchoter, rire et soupirer d’aise.

Mais je voulais les voir. Je me rendis à la chambre, où je restai discrètement à la porte, sans me cacher mais souhaitant ne pas leur gâcher ce moment de grâce. Tous leurs vêtements gisaient au pied du lit en désordre.
Je trouvai Isabelle nue, allongée, cuisses béantes. Nicole, entre ses cuisses lui léchait copieusement la vulve. Isabelle ne tarderait pas à jouir, excitée depuis qu’elle m’avait sucé.
Devant moi, à portée de main, la croupe colossale de Nicole ondulait au rythme de ses coups de langue. Provocatrice, Isabelle me regardait, et appuyait ses gémissements de chienne en chaleur. Nicole vint se coucher sur elle et lui donna, encore, ses gros seins à lécher tout en la doigtant peu délicatement. Isabelle passait sa langue d’un sein à l’autre. Et le lolo abandonné par sa bouche était pressé, pétri, meurtri par sa main étonnamment sauvage.
Les deux femmes se caressaient mutuellement la vulve. Je voyais la chatte délicate d’Isabelle envahie par les doigts épais de Nicole. La grosse vulve bombée de cette dernière était fatiguée par les doigts élégants d’Isabelle.
Elles jouirent en même temps, dans une convulsion sublime. Leurs bouches collées, leurs langues nouées. Leurs sexes fusionnés.

J’avais sorti ma queue et je me caressais somptueusement.
Je les regardais, nues, se faire des tendresses coquines, de longs baisers profonds, des caresses sur leurs hanches, sur leurs fesses. Essoufflées. Ravies. Nicole n’osait pas me regarder. Isabelle me regardait me branler. Elle chuchotait des trucs salaces à l’oreille de Nicole, qui souriait lubriquement.
« Viens… » me dit Isabelle.
En un instant, j’étais nu. Le sexe vantard, rigide tendu en bas de mon ventre. Je me fis une place entre les deux belles. Isabelle se posa contre moi. Elle me donna ses lèvres sur lesquelles je bus le parfum de Nicole.
Isabelle saisit ma queue bêtement érigée et la caressa sous le regard très attentif de Nicole.
« Tu t’es bien branlé en nous regardant… J’ai adoré ça… Elle est bien dure ta queue maintenant. Regarde Nicole, la grosse queue qui va nous baiser… »
« Mmmm » Fit Nicole, qui enfin me sourit. « Ca fait tellement longtemps que j’en ai envie de sa queue… »
Belle révélation qui augmenta mon désir. Sentant Nicole plus sensible à mon charme animal, je m’enhardis à peloter ses seins immenses. Elle me laissa la caresser. Elle me laissa même suçoter ses tétons dont je trouvais dommage qu’ils soient réservés à la seule bouche d’Isabelle. Pendant que je faisais pointer les seins de Nicole, Isabelle me caressait lentement la queue, elle avait compris que j’étais au comble de l’excitation et qu’il ne servait à rien de me branler trop vigoureusement.

Isabelle dit quelques mots à l’oreille de Nicole, qui lui répondit d’un clin d’œil. Je me trouvai subitement cloué dans le lit, Isabelle assise sur mes cuisses et Nicole à genoux contre mon visage. Isabelle saisit ma queue et vint lentement s’empaler sur moi. En même temps, Nicole enjamba mon visage et vint poser sa vulve chaude et poilue sur ma bouche. Je libérais mes bras et parvins à écarter les grosses lèvres de Nicole. Sa vulve rose, brillante apparut. Je n’hésitai pas à glisser ma langue dans cette fente gothique. Sa chatte était profonde, grasse, chaude. Mon nez dans ses poils. J’adore lécher une chatte. J’adore avoir mon visage là. Je pourrais y passer des heures. Nicole poussait des grognements de plaisir.
J’étais tellement concentré sur le cuni que je prodiguais à Nicole, que je ne réalisais pas qu’Isabelle était en train de se baiser sur ma queue. La coquine prenait les seins de Nicole et dansait un rodéo délirant dans lequel j’étais le cheval fougueux. Nicole m’enjamba à nouveau pour faire face à Nicole. J'avais toujours sa chatte sur mon visage, et maintenant, je pouvais aussi explorer la raie de son énorme cul. Je goûtai son trou du cul avec une intense délectation. Le caressant avec un doigt mouillé de sa vulve, je constatais qu’il était bien souple et décidais d’y glisser deux doigts pour m’assurer d’une parfaite collaboration dans les minutes à venir.
Isabelle était comme une folle sur ma queue. Elle se renversa en arrière. Elle jouit. En gémissant des « Oh mon Dieu » elle, qui était une notoire mécréante. Ma queue aura au moins eu le bonheur d’avoir rapproché cette jeune pécheresse de son créateur. Je connais des papes qui pourraient me dire merci.

Ses esprits lentement retrouvés, elle retira mon membre de son sexe détruit dans un déplorable bruit de chair mouillée. Nicole s’apprêtait à m’enjamber à son tour. Mais je m’y opposais de la manière la plus diplomate que je pus. La position d’homme-objet couché comme le prisonnier de ces dames commençait à me faire souffrir.

Isabelle et moi positionâmes Nicole à quatre pattes, dans la position bien pratique de la levrette. S’agissante de cette belle femme ronde, le terme faisant référence à un frêle rongeur était inapproprié, mais il eut été déplacé de qualifier la victime de mes prochains assauts de cochonne ou de charolaise.
Ne croyez pas que je me moque ou méprise. Les croupes larges, les grosses fesses blanches, les cuisses rebondies m’ont toujours fortement excité. J’aime çà. J’aime ces femmes qui aiment la queue pour la queue. Celles qui ne disent jamais non, qui aiment quand on les baise bien fort. J’aime moins les mijorées, les « fais attention…non, pas comme ça… ». Et souvent, croyez-en mon passé de serial-niqueur, les filles un peu rondes sont de vraies belles coquines. Isabelle, était un contre-exemple de femme fine et gourgandine. Ces considérations, très proches d’une abusive et idiote généralisation, n’avaient pour d’autre objet que de faire croire à mes lectrices que je suis un homme à femmes. Alors que je suis seulement un hétérosexuel intégriste.

Pour en revenir à Nicole, qui attend, tremblante, ma saillie, Isabelle lui caresse les cheveux et le dos. Je viens derrière elle et, vous ne me croirez jamais : je la prends. Sachant que sa chatte est bien trempée (c’est moi qui l’ai fait), j’entre en elle sans aucune précaution. La baisant jusqu’à la garde. Elle crie son plaisir. Isabelle me sourit : « Baise la bien… »…
J’aime regarder ma belle Isabelle, toute nue, son petit cul de salope, ses seins parfaits, son sourire juvénile quand je baise Nicole. J’aime voir ses mains sur les fesses de sa copine, sur ses épaules, sur ses seins. J’aime quand Isabelle vient mettre ses doigts dans la chatte de Nicole que je baise et lui pince le clitoris. Isabelle, qui avec une tendresse infinie, lèche le trou du cul de Nicole pour que la sodomie se déroule dans les meilleures conditions. Isabelle lui met deux doigts en m’offrant sa bouche. Isabelle écarte les fesses de Nicole et guide ma queue fumante sur la délicate étoile de Nicole. Ma verge veineuse glisse entre ses doigts avant d’écarteler le cul de Nicole qui crie.
Le cul de Nicole. Large en extérieur, sublimement étroit quand mon sexe s’y enfonce résolument. Nicole crie des « Ho ! Ha ! » quand je commence à la pilonner. Isabelle a une main entre ses cuisses et je sens qu’elle branle bien le clitoris de sa collègue.
Je baise le cul de Nicole bestialement. J’aime ça. J’aime la défoncer. J’aime ça, parce qu’elle aime ça. Elle se déchaîne, secoue la tête, le buste. Ses gros seins bougent divinement. Je claque son gros cul. Cette salope adore les gros coups de queue. Elle est comme une chienne, offerte à toute ma violence. Je m’appuie sur elle, je tiens ses hanches, ses épaules. Je suis une bête. Une queue, rien qu’une queue dans le cul ravagé de Nicole. Isabelle est comme fascinée par le spectacle que nous offrons.
« Vas-y salope… Jouis comme une grosse pute… » Je dis n’importe quoi. Ce n’est plus le moment de réfléchir. Je ne peux plus. Isabelle branle frénétiquement la vulve de Nicole, qui jouit bruyamment. Un cri étouffé par les oreillers, un cri long comme une agonie.

Bizarrement, je ne jouis pas tout de suite. J’ai encore envie de baiser. Je retire ma queue du cul serré de Nicole et j’ordonne à Isabelle de se mettre à quatre pattes. Elle rechigne, mais je la force. Et quand elle est prête, je prends son petit cul adorable dans mes mains et je lui mets ma queue. Elle crie. Elle subit ma queue, sans plaisir. Elle le fait pour moi. Si elle avait dit non, je me serais arrêté. Mais elle veut que je jouisse en elle. Ca ne tarde pas. A peine quelques coûts de queue bien donnés et je sens que je pars. Je ne retiens plus rien. Je jouis tendu dans le cul d’Isabelle que je souille de mon foutre concentré.

J’ai envie de rester dans ce corps toute la nuit. Une nuit à caresser ce cul d’anthologie. Une nuit à la baiser. A la faire crier. Une nuit avec ces deux femmes. Entre leurs cuisses puissantes, sous leurs seins, en proie à leurs bouches.

Je m’effondre dans le lit. Mes deux complices se fondent contre moi. Je ferme les yeux. Je ne suis pas loin du Paradis.

[Wakeford]

C'est quand même très bien écrit, c'est très excitant. Bravo!

[E7hyM5]

tu as du style, même si cette fois j'aime un peu moins, trop cru peut être pour moi....

[Biquette]

Je suis déçue de la partie lesbienne, je te l'ai dit sur le chat

[Wakeford]

Je peux faire mieux je pense... J'y travaille.

[Supprimé]

La levrette, c'est la femelle du lévrier, pas du lièvre...

[LVb6gO8]

J'adore autant à chaque fois

[Wakeford]

La levrette, c'est la femelle du lévrier, pas du lièvre...

Du moment que ça s'encule...

...

[slux]

perso,ça me plaît bien! On sent le style bien masculin ,j'adhère!

[Au9pT1]

"Mon flair de limier de la chatte", "Ca tombait bien, j’avais mis un slip propre ce mois là."


(je kiffe!!)
"

[Wakeford]

"Mon flair de limier de la chatte", "Ca tombait bien, j’avais mis un slip propre ce mois là."


(je kiffe!!)
"