Lesbien raisonnable?

[Wakeford]

Isabelle était sortie à midi avec sa collègue Nicole. Opération soldes. Un truc de commando auxquels les messieurs n’étaient visiblement pas conviés.
Isabelle, c’est mon objet sexuel des RH. Je l’avais prise furieusement dans le petit local près de l’endroit où nous fumons dans ma direction. Depuis lors nous nous étions revus plusieurs fois pour évoquer, dans le plus simple appareil, des problèmes d’actualités tels que : la fellation, le cuni-lingus et autres pratiques d’adultes. Une belle coquine cette Isabelle. Un joli brin de fille, avec un joli sourire… Une belle silhouette avec des formes précisément où il faut. Un concentré de coquinerie joyeuse et débridée.
Isabelle arpente donc les rues commerçantes de notre préfecture de province avec Nicole, sa jeune collègue. Nicole est visiblement aussi coquine qu’Isabelle. Mais physiquement, elle est plus ronde. Hyper-féminine. Gourmande à tous points de vue. Très agréable à regarder, à écouter. A prendre aussi, mais ceci fait l’objet d’un autre récit.

Dans une boutique de mode, les deux femmes se livrent au calvaire consenti de l’essayage…

[Wakeford]

Elles se dirigent, les bras chargés de jupettes et autres bouts de tissus hors de prix vers les cabines. Nicole se lance en premier. Elle se débarrasse de son chemisier. En passant elle se regarde dans la glace. Ronde oui… mais ces gros seins là… Elle soupèse ses deux gros globes. Elle sourit. Elle s’aime bien.

Elle enlève son jean. Et enfile une jupe. Elle parvient au prix de contorsions délirantes et d’une grimace peu engageante, à la refermer. Elle se regarde à nouveau… Pas mal du tout. Elle ouvre le rideau. Isabelle passe une tête. Sourire. Pas besoin d’en dire plus. Mais il s’agit de femmes, alors elles causent. Toujours mettre des mots sur tout…

« Ca te va super bien. Cette coupe c’est ça qu’il te faut… »
Par souci de ménager mes collègues masculins, je vous la fais courte. Déjà situer l’action dans des cabines d’essayage, c’est à la limite du supportable, alors s’il faut se cogner leurs commentaires, leurs gloussements… Est-ce qu’on glousse nous à Castorama ? Bon alors…

Je me calme.

[Wakeford]

Isabelle regarde Nicole qui tourne sur elle même de manière ridicule précieuse pour bien vérifier que rien de déborde trop. Isabelle reste bouche bée. Tellement muette que ça éveille la curiosité de Nicole. « y a quelque chose qui ne va pas ? » s’inquiète la charmante dodue.
Isabelle fait non de la tête…
« Ben alors » insiste Nicole.
« Rien je t’expliquerai… »
Ce qu’Isabelle ne dit pas, c’est qu’elle était subjuguée par la poitrine de Nicole. Elle ne s’expliquait pas pourquoi, se considérant comme hétérosexuelle intégriste. Mais ces deux gros seins blancs… Elle avait envie de les voir nus. De les toucher. De poser sa bouche dessus. Et ça la troublait considérablement. Elle tenta de reprendre ses esprits.

Les deux mousmés reprirent le cours frénétique de leurs achats. Elles finirent l’après midi avec les bras remplis de sacs bariolés, pas très virils, et remplis de torchons inutiles que ma vocation de prédateur des soutiens-gorge me portera à arracher dés que l’occasion m’en sera donnée.
Il avait été convenu qu’elles dîneraient chez Isabelle.

Tout au long de l’après-midi, Isabelle avait pu admirer Nicole dans les poses les plus improbables, dans des tenues plus ou moins habillées… Et… Elle avait été plus que troublée. Complètement excitée. Et ça ne passait pas. Elle avait essayé de penser à une étreinte masculine, un coït furieux. A moi, ai-je la faiblesse de le croire. Rien n’y avait fait. Elle était excitée par Nicole. Par ses gros seins qui avaient l’air si doux, par ses larges fesses… une multitude d’images qu’elle pensait interdites lui traversait l’esprit. Des jeux de bouches, des caresses. C’était tellement fort, qu’elle avait été se réfugier aux toilettes d’une boutique et s’était fait plaisir toute seule, la main frénétique au creux de sa culotte humide. Malgré cela, l’excitation demeurait, encore plus forte. Parce qu’elle avait pensé à la langue de Nicole entre ses cuisses quand elle martyrisait son clitoris en solitaire…

[Wakeford]

Une fois chez Isabelle, elles se servirent un apéritif. Un petit verre pas fort, juste suffisant pour désinhiber les deux belles.
L’œil pétillant, Nicole demanda.
« Tu étais bizarre tout à l’heure… Qu’est-ce qui n’allait pas… »
Isabelle pouffa et hésita. Mais l’alcool aidant, elle confia :
« Ben… En fait… Tu as vraiment des seins magnifiques… »
Nicole rit franchement.
« Mes seins ? C’est ça qui t’a mis dans cet état ? »
Isabelle était rouge, confuse. Prise au piège de sa franchise à 23 degrés avec un glaçon.
Nicole se tut. Elle sentait comme un malaise s’installer. Un malaise troublé d’excitation. Elle avait ressenti un certain plaisir à se faire mater toute la journée par Isabelle. Elle avait aussi vu Isabelle en culotte, seins nus. Elle la trouvait belle. Et elle avait déjà essayé l’amour entre filles, avec de délicieux souvenirs. D’un seul coup, du fait de l’aveu d’Isabelle, une bouffée de chaleur l’envahit à son tour.

« C’est vrai qu’ils plaisent aux mecs, ils adorent les toucher, les lécher… Y en a qui adorent… mettre leur queue au milieu… et j’avoue, j’aime ça… jouer avec mes seins… »
Elle joignait le geste à la parole. Prenant ses seins dans ses mains et les serrant fort. Et ses gestes se firent plus doux, plus caressants. Du bout des doigts, elle dessinait le contour de ses mamelles par dessus le tissu. Ses tétons commençaient à pointer dangereusement.

Isabelle la regardait, fascinée. Elle aurait voulu lui dire d’arrêter. Elle n’y parvint jamais.

Nicole ouvrit son chemisier. Elle portait un soutien-gorge de taille respectable, en dentelle blanche.
« Regarde ma belle… Fais-toi plaisir… »
Elle sortit un sein de sa gangue. Le téton jaillit, orgueilleux. Elle en fit le tour du bout de son index à l’ongle verni. L’aréole rose-brun était bien dessinée. Le téton prit insensiblement une forme conique, dressé, arrogant.
« Tu as vu comme c’est sensible ? J’adore qu’on me caresse les tétons, qu’on me les lèche aussi… » Nicole était en train de savamment faire monter la tension, elle s’excitait doucement, sous le regard attentif d’Isabelle.
« Ca a l’air de te plaire petite coquine… » Dit-elle en s’approchant tout contre Isabelle et en ôtant définitivement son chemisier. Elle dégagea son autre nichon et lui fit subir le même traitement.
« Ils te plaisent mes lolos Isa ? »
Isabelle murmura un oui d’une petite voix étranglée. Nicole prit sa main et la posa dessus. Elle la guida pour ses premières caresses. Mais bientôt Isabelle sut trouver seule le chemin des rondeurs mammaires de sa collègue.

[Biquette]

[Wakeford]

ah tout de même une réaction...

[Biquette]

Je n'étais pratiquement pas là de la journée


Arrête de faire ton ronchon, ça ne te va pas au teint

[Ag7Wr5]

j'aime bien

[Wakeford]

Timidement, elle dessina le contour des deux gros globes, tandis que Nicole jetait négligemment sa dentelle sur le canapé. Les mains d’Isabelle se firent plus pressantes, plus précises, n’hésitant plus à caresser les adorables tétons de Nicole qui la regardait tendrement. Nicole guida le visage d’Isabelle sur sa poitrine. Le message à peine codé fut bien compris, car Isabelle prit la pointe du sein entre ses lèvres et la téta avec gourmandise.
La respiration de Nicole se faisait plus intense. Elle caressait les cheveux de celle qui lui léchait les seins avec douceur. Isabelle ne savait plus où donner de la langue, sur la peau douce des mamelles, sur le téton dressé. Elle s’enflammait. Nicole lui enlevait son haut et dégrafa le mignon soutien-loches d’Isabelle. Celle-ci se redressa pour dégager complètement sa poitrine. Deux soutien-gorges absurdes gisaient lamentablement aux pieds des deux femmes. Nicole se pencha sur Isabelle et fit subir à ses seins parfaits, un traitement de la même nature. Il n’y avait que le silence, et de doux gémissements. Que des caresses et des langues lubriques. Deux bouches unies. Deux mains qui s’enfouirent entre des cuisses amies. Pressions savamment dirigées sur les sexes moites des deux femmes.

Ce fut Nicole qui la première osa passer sa main sous la culotte moite d’Isabelle. Elle ne fut pas surprise de trouver une vulve détrempée, glissante, offerte. Elle ne fut pas davantage interloquée lorsque Isabelle s’écarta complètement après avoir fébrilement retiré le petit bout de tissu qui était sensé masquer sa chatte. Nicole, plaquée contre Isabelle presque couchée sur le canapé, passa ses doigts le long des lèvres d’Isabelle et les fit glisser dans sa fente. Du pouce, elle jouait avec son clitoris. Elle insinua deux doigts au creux de son vagin. Isabelle ne dissimulait pas son plaisir. Nicole lui mordillait les seins.
« Petite salope… je vais te faire jouir… »

[Wakeford]

D’un commun accord, les deux femmes décidèrent de continuer leurs ébats au creux d’un confortable matelas. Elle se déshabillèrent complètement et s’assirent au bord du lit. Les caresses reprirent aussitôt. Et les gémissements. Et les mains perdues en bas de leurs ventres.

Nicole fit allonger Isabelle sur le dos et se glissa entre ses cuisses écartées. Isabelle avait très envie que Nicole lui donne du plaisir, mais elle appréhendait cette première fois avec une femme. Comme réagirait-elle ? Se laisserait-elle réellement aller ?

Lorsque la langue de Nicole toucha son clitoris, elle sut qu’elle allait jouir de manière thermo-nucléaire… Nicole avait écarté ses lèvres et la léchait avec application. D’un doigt démoniaque elle branlait son clito. Isabelle avait les deux mains dans les cheveux de Nicole. Cette sensation, cette précision des caresses, de la langue… cette douceur… elle jouit d’un coup. Comme un foudroiement, dans un long cri de femme au plaisir.

Nicole vint au dessus d’elle, avec un sourire de vainqueur. Elle posa ses lèvres sur les siennes et Isabelle put recueillir les effluves de sa propre intimité. Le baiser fut long et profond. Les deux femmes enlacées. Nicole toute excitée, prit d’autorité la main d’Isabelle et la posa sur sa chatte qui prenait feu. Elle la guida, poussant l’initiation jusqu’à insérer deux doigts d’Isabelle dans son vagin. Isa se laissait faire, essayant d’être aussi douce et sensuelle que Nicole.

Nicole gémissait de manière sonore. Isa n’était pas aussi adroite qu’elle avec un sexe féminin, mais elle y mettait de la bonne volonté. Elle s’efforçait de bien lui caresser le petit bouton, de caresser ses lèvres, de prendre son vagin avec ses doigts. Mais cela manquait de vigueur. Nicole avait besoin d’une vigoureuse jouissance, il n’était plus temps pour les douceurs romantiques.

Elle plaqua Isa sur le lit, et l’enjamba de sorte que son sexe était au-dessus du visage de la douce Isa.
« Lèche-moi fort » ordonna-t-elle en plaquant la bouche de la douce Isa contre son sexe.

[Wakeford]

D’un commun accord, les deux femmes décidèrent de continuer leurs ébats au creux d’un confortable matelas. Elle se déshabillèrent complètement et s’assirent au bord du lit. Les caresses reprirent aussitôt. Et les gémissements. Et les mains perdues en bas de leurs ventres.

Nicole fit allonger Isabelle sur le dos et se glissa entre ses cuisses écartées. Isabelle avait très envie que Nicole lui donne du plaisir, mais elle appréhendait cette première fois avec une femme. Comme réagirait-elle ? Se laisserait-elle réellement aller ?

Lorsque la langue de Nicole toucha son clitoris, elle sut qu’elle allait jouir de manière thermo-nucléaire… Nicole avait écarté ses lèvres et la léchait avec application. D’un doigt démoniaque elle branlait son clito. Isabelle avait les deux mains dans les cheveux de Nicole. Cette sensation, cette précision des caresses, de la langue… cette douceur… elle jouit d’un coup. Comme un foudroiement, dans un long cri de femme au plaisir.

Nicole vint au dessus d’elle, avec un sourire de vainqueur. Elle posa ses lèvres sur les siennes et Isabelle put recueillir les effluves de sa propre intimité. Le baiser fut long et profond. Les deux femmes enlacées. Nicole toute excitée, prit d’autorité la main d’Isabelle et la posa sur sa chatte qui prenait feu. Elle la guida, poussant l’initiation jusqu’à insérer deux doigts d’Isabelle dans son vagin. Isa se laissait faire, essayant d’être aussi douce et sensuelle que Nicole.

Nicole gémissait de manière sonore. Isa n’était pas aussi adroite qu’elle avec un sexe féminin, mais elle y mettait de la bonne volonté. Elle s’efforçait de bien lui caresser le petit bouton, de caresser ses lèvres, de prendre son vagin avec ses doigts. Mais cela manquait de vigueur. Nicole avait besoin d’une vigoureuse jouissance, il n’était plus temps pour les douceurs romantiques.

Elle plaqua Isa sur le lit, et l’enjamba de sorte que son sexe était au-dessus du visage de la douce Isa.
« Lèche-moi fort » ordonna-t-elle en plaquant la bouche de la douce Isa contre son sexe.

Isa sortit sa langue, mais c’est Nicole qui la guidait en bas de son ventre. De sa main libre, elle se branlait vigoureusement le clitoris, alternant les caresses de langue de la jeune femme et ses doigts frénétiques. Isa n’aurait jamais pensé aimer lécher une autre femme. Mais à ce moment précis, le nez dans le sexe de Nicole, la langue au creux de sa vulve… elle adorait. Elle était à nouveau bien excitée. Ses mains prenaient les gros seins de Nicole. Enhardie, elle trouva elle même les caresses de langues les plus efficaces pour faire plaisir à Nicole. Elle adorait sentir la chatte mouillée de sa compagne contre ses joues, son parfum, le goût de sa vulve. Ca la rendait complètement folle. Au point que sa langue, à force de s’enrouler sur le clitoris de Nicole provoqua chez elle une jouissance délirante. Isa, la face plaquée de force contre la chatte palpitante de Nicole sentit le plaisir terrasser sa maîtresse. Nicole poussa un long cri qui semblait venir du fond des âges. Un cri guttural, primal. Elle jouit sur le visage d’Isabelle qui lui pressait les seins… Sublime photographie.

Nicole, au bout de sa longue jouissance, relâcha son étreinte. Isabelle s’allongea sur le lit et Nicole contre elle. Il y eut de tendres regards et de doux baisers presque chastes…

« Tu m’as fait bien jouir… Comment ça fait de faire un cuni ? »
Elles rirent, s’enlacèrent. Seins contre seins, cuisses et jambes mêlées. Mains sur leurs belles hanches…
« J’ai encore envie… » confessa Isabelle faussement honteuse.
« Tu as un gode… ? » demanda Nicole.

Isabelle ouvrit un tiroir de son chevet et en sorti l’objet oblong en question.

[Biquette]

[Wakeford]

C'est à dire?

[Biquette]

Que ça m'excite

[Wakeford]

mmmmmmm

(tant mieux...)
c'est un peu fait pour ça.
en fait je craignais d'être ridicule en hétérosexuel intégriste écrivant une scène lesbienne...

[Biquette]

N'importe quoi

[Wakeford]

Ben oui... j'ai jamais vu en vrai...

[Biquette]

Et bien on ne s'en rend pas compte en lisant, que tu n'as jamais vu en vrai

[Wakeford]

Cela dit, s'il y a des volontaires pour m'éduquer...

[Biquette]

On dirait que non


Peut-être que ta pointe de lourditude y est pour quelque chose ?