Ce jour là je ne l avais pas revue depuis 3 ans, nous qui nous dévorions sans cesse a la moindre occasion quand nous vivions ensemble, la tension était palpable à la terrasse de ce café, ou nous étions tranquillement installé sous le soleil écrasant du sud, je devinais quelques rougeurs d' ailleurs qui dépassaient de son décolleté blanc, qui a son habitude, laissé apparaitre légèrement 2 jolies mamelons discret , mais je la connais tellement par coeur. On se raconte nos vielles anecdotes , nos rires, nos pleures, nos vieilles disputes, nos moments partagé : "Chut "
Un silence un regard géné qui en dit long, on a tout les 2 trouvé quelqu'un d autre, on le sait, mais le premier coup de foudre, même terminé, ne s éteint jamais, on décide alors d aller ce balader, une promenade dans un parc a l'abris du soleil, caché sous les arbres, elle parle , elle parle encore et encore, je l'entend mais ne l écoute plus, je remarque simplement ses lèvres, cette bouche qui collait parfaitement à la mienne, chaque amour est diffèrent, mais je sais pas pour vous, j'en ai tout de même un qui sort du lot, et c est celui là... le temps s'arrête presque tellement je fixe les moindres détails de son visage, son sourire , son grain de beauté , ses mimiques que j ai aimé , puis détesté et que je redécouvre à nouveau, et qui me font comprendre pour quoi je l'avais choisie elle.
On avance doucement, comme ci l'on voulait tout les 2 que ce moment dur des heures , nos épaules se cognent de temps en temps quand c est pas nos mains qui se frôlent, nos regards se croisent, se bloquent un instant puis s'évitent , comme un interdit. Les heures passes, et à nouveau l'on ne se verra plus, l impression de revivre la déchirure de notre séparation une seconde fois, je m insulte, "pourquoi j ai accepté de la revoir ? Tu croyais quoi mon gars que ça allait te faire du bien ? " Et pourtant oui quelque part c est plaisant, de se dire que malgré tout, je la possède encore comme je lui appartient aussi en quelque sorte.
Je la raccompagne devant chez elle, on se dit au revoir timidement, je me retourne pour partir, quand des bras m' enlacent par le dos jusqu'au cou et me tire en arrière vers la cage d' escalier, pourquoi lutter, puisqu'au fond de moi je voulais que ça se passe ainsi.
je me retourne la plaque contre l escalier, elle est assise sur les marches, je saisis une de ses jambes et l enroule a ma taille, je porte un short en jean, et elle une jupe légère, que je sens flotter sur mes genoux, et pendant que nos bouches brulantes se chevauchent passionnément ma main commence a saisir ses hanches pour remonter sous son décolleté , ma main arrive à sa poitrine, et mon pouce s empresse d effleurer délicatement son téton qui est déjà tellement dur, mon autre main est posée sur l'escalier, bloquant de mon bras l'une de ses jambes me permettant de sentir ses cuisses sur l'un de mes genoux.
ma bouche quitte enfin la sienne et glisse sur son oreille, pour lui chuchoter les mots que j ai rêver de lui dire depuis notre rupture, on s arrête alors , on se regarde tendrement, nos cerveaux s empoisonnent de questions , mais on réalise très vite que nos mouvements de bassins eux non pas cessés, ça doit être de trop pour elle, car elle s empare de ma braguette , et commence a attraper mon membre a travers mon boxer, inutile de vous dire que j'étais déjà au plus gros de ma taille. elle me pousse en arrière j'me retrouve allongé au sol le torse relevé par mes coudes, et elle me prend alors en bouche, des souvenirs reviennent , comment oublier cette langue cette bouche, ce piercing , mon sex occupe toute sa bouche sans quelle puisse le saisir en entier, il faut dire depuis le temps quon désire revivre ce moment, mon gland n'a jamais était aussi énorme, elle le tapote sur sa langue et me dit qu'elle en avait presque oublié a quel point elle était grosse, ce genre de phrase m excite, j'attrape sa chevelure et lui pénètre la bouche a grand coup de reins , elle tousse un instant prend mes testicules en bouche.... Puis soudain une silhouette s'approche de la cage d'escalier on se relève en s habillant en moins de 2 secondes... fausse alerte ce n'était rien, je lui fait signe que je veux monter avec elle dans son appartement, mais non on est aller trop loin... c est plus sage de s'arrêter ainsi, on se colle dans un dernier câlins, le plus tendre et le plus long que je n'ai jamais put recevoir de ma vie, et l'on ce quitte ainsi, frustrant mais se serait mal de continuer, on le sait.
Cela fait maintenant 1 an que je ne l'ai pas revus, quelques texto par ci par là. des appels furtifs hasardeux , juste pour se dire, je pense a toi quoiqu'il en soit.
les histoires manquées
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ClEa1
Re: les histoires manquées
c est la premiere fois que j écris ce que j'ai.... jpense que je continuerai, car c est une bonne thérapie
