Je suis une vraie exhibitioniste...

Les photos présentées sont exquisement érotiques et sexy... Ce forum est réservé aux adultes 🔞
GVb6lO6

L'exhibitionniste est revenu une dernière fois

Message par GVb6lO6 »

Bonjour

Ce matin, pour notre jogging quotidien, le ciel est passablement couvert.
Contrairement à ce qu'affirme la légende, c'est chose plutôt rare en Ecosse.
Et tout particulièrement dans l'Est du pays, dans la région de Aberdeen.
Comme la plupart du temps, j'arrive à la fin du parcours sportif, la première.

Steven est là. Il sort rapidement des fourrés. Il tient son sexe à la main.
< Hello. You come back after your shower ? I await you here. > me demande t-il.
Je suis amusée et plutôt contente de le revoir. Je m'empresse de le rassurer.
< Yes. Obviously. Within a half hour. Ok ? >. Mon mari arrive. Steven se cache.

Je prends ma douche la première. Je préviens mon compagnon et l'informe.
Il lève les yeux au ciel avant d'entrer à son tour dans la cabine de douche.
Malgré un ciel bas et gris, il fait très agréable. Je passe ma jupette et un T-shirt.
Je me dépêche d'aller rejoindre mon exhibitionniste. Je suis terriblement excitée.

J'arrive à l'endroit habituel. Steven vient à ma rencontre. Il se montre entreprenant.
J'ai un mouvement de recul. Il comprend. Il n'insiste pas. Il reprend ses distances.
Il tient son sexe dans sa main droite, à sa base en l'agitant comme une lance.
Je passe ma main sous ma jupe. Nous nous observons un long moment.

< I really want to fuck with you ! > me fait-il, presque implorant. Il se masturbe.
Je m'empresse de répondre : < I just suck. For the rest, there's my husband ! >.
Il reste un instant comme interloqué et me propose : < So suck me ! Come ! >.
Steven va se mettre près des bosquets. Il descends son pantalon sur les genoux.

Un peu hésitante, je m'approche. Je fixe Steven dans les yeux. Je tombe à genoux.
Son sexe n'est pas réellement en érection. Je m'en empare pour y goûter.
Il y a une forte odeur de savon. Pénible. Je préfère les odeurs naturelles du corps.
Le goût est altéré par celui d'un savon parfumé. J'en suis presque écœurée.

Steven me saisit fermement par la nuque. Il s'enfonce dans ma bouche avec un râle.
< I'll make you suck, slut, you're going to have ! > me fait l'homme en me maintenant.
Il s'agite avec plusieurs mouvements brusques sans relâcher sa puissante étreinte.
Je sens monter mes larmes, je n'arrive presque plus à respirer. Je suffoque.

Enfin il me relâche. Je peux reprendre mon souffle et tenter de déglutir ses spermes.
Il m'attrape à nouveau, sans le moindre ménagement. Il s'enfonce dans ma bouche.
Il me tient par les cheveux. Il se secoue énergiquement sans aucun égard pour moi.
Il en profite tant qu'il peut. Excité plus que de raison, il finit par éjaculer...

Cela n'a pas duré plus de dix minutes. J'avale l'éjaculation très liquide de Steven.
Je me redresse. < You're a real bitch. Can we meet again ? > me demande t-il.
Je m'empresse de répondre : < We will soon leave Scotland, it is impossible ! >.
Déçu, il tente de m'embrasser. Je me dépêche de filer. J'ai eu ce que je voulais.

Arrivée sur la route, je me retourne. Je vois Steven me faire un signe d'adieu.
Je lui fais de même, agitant ma main. Rapidement, il tourne les talons.
Je le regarde disparaître dans les fourrés. Je reste ravie de cette expérience.
En rentrant, je me précipite sur mon mari en train de travailler sur l'ordinateur.

Isa
-.jpeg
Vous ne pouvez pas consulter les pièces jointes insérées à ce message.
GVb6lO6

Nous faisons nos courses à Aberdeen...

Message par GVb6lO6 »

Bonjour

Même en vacances, il faut sacrifier à la logistique quotidienne, les courses.
Le matin, le plus souvent avant de partir, nous allons pousser le caddie.
Nous avons nos habitudes dans quelques supermarchés de la ville.
Ce matin de juillet, il faisait déjà chaud, nous avons garé la voiture.

Nous sommes dans le rayon culturel afin d'y acheter quelques journaux.
Nous poussons le chariot tout en regardant, tout en feuilletant des magazines.
Je suis vêtue comme d'habitude d'une simple jupette et d'un sweat-shirt.
Je me suis écartée un peu pour regarder et comparer le matériel informatique.

Je tiens deux paquets contenant des clefs USB, je lis leurs étiquettes.
Mon instinct, sixième sens sans doute, me fait tourner la tête sur ma gauche.
Un garçon d'environ vingt ans me regarde. Il observe surtout mes jambes nues.
Il détourne les yeux, gêné d'avoir été surpris. Je le fixe jusqu'à croiser son regard.

Enfin, il me regarde à nouveau, furtivement. Je lui fais un délicieux sourire.
Il n'ose pas me le rendre et préfère disparaître à l'autre bout du rayonnage.
De là où je me trouve, je vois mon mari absorbé dans la lecture d'un magazine.
Mes cheveux détachés me permettent de "loucher" discrètement. Je m'accroupis.

Je guette le bout de l'allée. Je suis certaine que le garçon va revenir. Gagné !
Je fais semblant de comparer deux casques audios. Il est debout à quelques mètres.
Penchée, légèrement tournée vers le garçon, j'écarte légèrement mes cuisses.
Ce matin, je porte une culotte. Je le regrette un peu devant cette opportunité.

Le coquin s'accroupit lui aussi. Je louche dans sa direction. Il scrute sous ma jupe.
J'écarte un peu plus en me tournant encore davantage dans sa direction. Il voit.
De ma main gauche libre, je me touche l'intérieur de la cuisse avant d'aller à mon sexe.
Soudain, je lève la tête en gardant la même position. Je lui fais mon plus beau sourire.

Je devine l'immense trouble qui achève de l'envahir. Il est si gêné et si adorable.
J'écarte au maximum. Il est comme hypnotisé par ce spectacle. Il n'ose pas me fixer.
Il se redresse pour filer aussi vite que la première fois. Je reviens à la normale.
Je me redresse. Je vais chez mon mari pour lui dire que je vais aux vêtements.

Je sais que le garçon me suit. Je m'engage dans le rayon des pantalons et des pulls.
Je guette. Je suis accroupie. J'étais certaine qu'il arriverait. Il arrive. Il me voit.
Cette fois, lui aussi se met à "jouer". Il fait semblant de regarder les pulls pliés.
J'écarte mes cuisses. Je me concentre longuement. Le garçon ne bouge pas.

J'ai écarté ma culotte sur la droite. Ma toison pubienne fournie est offerte à la vue.
Je me concentre tant que je peux. Je m'imagine les pieds nus dans l'eau froide.
C'est radicale. Le résultat de mes efforts ne se fait pas trop attendre. Il n'y a personne.
Enfin, au bout de quelques minutes, je me lâche sur le carrelage du sol. Un seul jet.

Une grande flaque se répand sous moi. Heureusement que le magasin est peu fréquenté.
Le garçon me regarde. Son visage est luisant de sueur. Il semble comme halluciné.
Je cesse et je me redresse en lui souriant. J'ai soudain une crainte. Je vais trop loin.
Il me regarde partir. Je passe à sa hauteur en disant : < The show was beautiful ? >.

J'ai les semelles trempées. Dans mon plaisir un peu désordonné, je me suis mouillée.
Je laisse des traces de semelles au sol sur une dizaine de mètres. De quoi être repérée !
Il n'y a jamais grand monde dans le magasin, vers dix heure du matin. Je le sais.
Je suis à la fois excitée et confuse. Il est rare que je manque de maîtrise à ce point.

Il reste silencieux en se redressant. Je passe dans le rayon parallèle. J'observe.
Je vois le garçon qui contemple la flaque que j'ai laissé sur le carrelage ocre.
Cela doit le rassurer sur la certitude qu'il n'a pas rêvé. Il est comme subjugué.
Je rejoins mon mari. C'est la première fois que je vais aussi loin dans un lieu public.

Nous continuons nos courses. Je pousse le Caddie. Nous passons à la caisse.
Nous sortons. Le ciel s'est couvert. Nous allons à la voiture. Nous rangeons les courses.
Je ramène le caddie dans son abri. Le jeune garçon est là. Enfin il ose ouvrir la bouche.
< It was a wonderful show. You come back tomorrow ? > Je réponds : < Perhaps ! >

Discrètement, tenant son scooter, il nous regarde partir. La voiture va disparaître.
Juste avant de sortir du parking, je sors la main pour lui faire un "coucou"...

Isa
-.jpeg
Nous partons au Pays de Galles du lundi 11 avril au dimanche 24 avril.
Dans la ravissante petite ville de Machynlleth, ville pionnière en énergies renouvelables.
Il y aura donc deux semaines sans nouveau récit. Patience, i'll be back...
Bonnes vacances à tous.
Bises
Vous ne pouvez pas consulter les pièces jointes insérées à ce message.
Invité

Re: Je suis une vraie exhibitioniste...

Message par Invité »

C'était presque excitant .... jusquà l'épisode pipi en plein magasin :sweet:
GVb6lO6

Dans les champs entre Crail et St Andrews

Message par GVb6lO6 »

Bonjour

Le ciel était voilé en ce début d'après-midi. Nous étions partis pour Crail.
Mon mari, passionné de golf à ses heures, voulait s'offrir un parcours.
Le golf de Crail Balcomie a une certaine réputation et est très fréquenté.
Aussi, c'est avec plaisir que nous prenions la petite route de campagne.

Crail est une bourgade pittoresque à quelques kilomètres de St Andrews.
Nous y allons régulièrement. Mon compagnon y pratique avec des amis.
Moi, j'en profite pour me promener au bourg. J'aime flâner dans ses rues.
Parfois, il m'arrive de louer une bicyclette et de parcourir la piste cyclable.

Ce mardi, il faisait chaud. Le ciel clair et voilé offrait une lumière diaphane.
Cette lumière si particulière, propre à l'Est de l'Ecosse, est un enchantement.
Je laissais mon mari à son parcours pour aller au bourg en me promenant.
J'étais vêtue d'une de mes jupettes d'été, d'un T-shirt et chaussée de baskets.

Je laissais l'aire du golf derrière moi. Les toits des maisons à proximité.
Je marchais sur le petit sentier d'environ un mile que je connais très bien.
Au bout de cinq minutes le bruit insistant d'un tracteur attira mon attention.
Je regardais par dessus les haies. Un agriculteur travaillait là, à son champs.

L'homme sur son tracteur, quinquagénaire et plutôt trapu, conduisait un engin.
Tout en observant, je prenais cette situation comme une réelle opportunité.
J'avisais une ouverture dans la haie, entre deux bosquets d'arbres touffus.
J'enlevais ma culotte que je posais sur mon petit sac à dos posé à mes côtés.

Je m'accroupissais. L'agriculteur avançait dans son champs vers l'autre bord.
Il me restait à attendre, patiente, que le tracteur revienne dans ma direction.
Au bout de cinq minutes, l'engin tourna en revenant vers moi. Trois cent mètres.
Je m'étais relevée. Stratège, rusée, je préparais mon show sous le meilleur angle.

Le tracteur n'était plus qu'à une centaine de mètres. Je m'accroupissais.
Les cuisses largement écartées, je me concentrais. J'avais une envie de faire pipi.
Pourtant, comme souvent, je ne parvenais pas à me lâcher, trop excitée. Inhibée.
Sous mes lunettes noires, je pouvais loucher à loisir. L'homme m'avait aperçu.

Consciencieux, l'agriculteur labourait son champs. Tout en roulant, il m'observait.
Il avait ralenti. Je relevais la tête. Il me fit un petit signe amical de la main.
En restant dans ma position équivoque, je lui rendais son signe en levant la main.
Il fit demi-tour pour continuer son travail. Je me relevais, évitant l'engourdissement.

Lorsqu'il revint vers moi une seconde fois, je repris ma position. Concentrée.
Une fois encore, l'homme ralentissais son tracteur à une dizaine de mètres de moi.
Je n'arrivais pas à me lâcher. Mon excitation était grandissante. J'étais en sueur.
Il me fit signe avant de repartir dans l'autre sens. Je me redressais une nouvelle fois.

Lorsque l'engin revint vers moi, je restais debout jusqu'à qu'il soit à environ cent mètres.
Je m'accroupissais une nouvelle fois. J'exagérais ma pose presque jusqu'au ridicule.
Cette fois, l'agriculteur, tout près, coupa le moteur de son tracteur. Il m'observait.
< Hello ! I can be useful for something ? > me fit-il, riant, à dix mètres. J'éclatais de rire.

Je restais dans ma position pour lui répondre :< Oh no, thank you ! Or just watch >
< With much pleasure ! > me fit-il encore en se roulant une cigarette et en riant.
J'abandonnais toute idée de pouvoir pisser. A la fois trop amusée et trop excitée.
Pourtant, ce n'est pas l'envie qui me manquait. Cela viendrait bien tout seul.

< You're all alone, you have a French accent. On holiday ? > me demanda t-il encore.
Je m'empressais de signifier : < My husband is right there, golf, and I walk a little.>
< You often do your little bitch ? > me fit-il en tirant sur sa cigarette, les bras croisés.
Je répondais : < When there is a good opportunity, yes, of course ! > éclatant de rire.

< We meet together ? > fit-il en me faisant un clin d'œil. Je me relevais ankylosée.
Il descendit de son tracteur. Ouvrant sa braguette pour pisser contre la roue arrière.
Il secouait son sexe dans ma direction tout en pissant. Il me fit : < Does it tempt you ? >
Je lui lançais : < Why not ! But I do not fuck ! >. < Neither do i ! > me répondit-il.

Il resta aux côtés de son tracteur, une main sur la hanche, l'autre secouant son sexe.
Nous nous fixions un peu stupides...

Isa
-.jpeg
Notre séjour de deux semaines près de Cardiff fut des plus agréables.
Nous sommes revenus dimanche dernier, 20 avril en soirée.
Durant ces quinze jours, malgré quelques opportunités, je n'ai pas "pratiqué".
Je vous retrouve samedi prochain pour la suite de ce récit.
Bises...
Vous ne pouvez pas consulter les pièces jointes insérées à ce message.
GVb6lO6

Entre Crail et St Andrews - (Partie 2)

Message par GVb6lO6 »

Bonjour

Nous nous sommes regardés longuement, l'agriculteur et moi. Il faisait doux.
Je suis dévergondée, curieuse, provocante mais certainement pas imprudente.
Aussi, je préférais reprendre mon chemin. J'adressais un sourire à l'inconnu.
Je me retournais une toute dernière fois pour le voir remonter sur son tracteur.

J'arrivais à Crail. J'aime ce petit bourg pittoresque à l'ambiance particulière.
J'aime à m'asseoir sur un des bancs dans le tout petit parc à l'entrée du village.
Le soleil perçait enfin la brume d'altitude. La douceur cédait sa place à la chaleur.
Sur cette place, il y a toujours du mouvement. L'unique commerce du bourg.

Je pris mon livre pour me plonger dans la lecture. Je restais ainsi deux heures.
Il était temps de reprendre le chemin pour rejoindre le Golf et mon compagnon.
Je me levais pour commencer à marcher. Nous reviendrons manger ici en soirée.
Pas un souffle de vent. Le soleil était haut dans le ciel. Il était dix sept heure.

Je marchais depuis dix minutes. J'arrivais aux champs où travaillait l'agriculteur.
J'entendais d'ailleurs le moteur de son tracteur. Derrière les bosquets, j'observais.
Il y avait deux femmes qui déballaient de grands cartons à l'autre bout du champs.
L'agriculteur arrivait dans ma direction. Du haut de son tracteur, il me vit là.

Il regarda derrière lui. Il descendit de son tracteur à une trentaine de mètres.
Il se déboutonna pour agiter son sexe dans ma direction. Il me fit signe de venir.
J'étais subitement excitée. Derrière son tracteur, il n'y avait que moi pour le voir.
J'approchais, rassurée par la présence des deux femmes à deux cent mètres.

< You want to taste my cock ? > me demanda t-il en secouant son sexe vers moi.
Son membre, plutôt fin et long était comme animé d'une vie qui lui était propre.
Sans répondre, je m'accroupissais à deux mètres du gaillard. Il s'approcha.
Il me passa son sexe chaud et humide sur tout le visage. Je frissonnais de plaisir.

L'homme insista longuement autour de ma bouche fermée. il tentait d'y pénétrer.
J'ouvrais enfin ma bouche pour le recevoir. Il posa une main derrière ma nuque.
Sans ménagement, avec brusquerie, il enfonça son membre jusqu'à m'asphyxier.
Je n'avais pas eu le temps d'y goûter véritablement comme j'aime à le faire.

J'avais du mal à déglutir donc à identifier ce que me lâchait cet homme brutal.
Enfin il me lâcha la nuque pour se saisir de mes oreilles. Je pouvais enfin goûter.
Son sexe était très juteux. J'appréciais presque immédiatement le goût salé.
L'homme bougeait doucement, se masturbant dans ma bouche soudain pâteuse.

Il se retira soudain pour se coucher au sol en descendant son pantalon. < Come ! >
Je me mis à genoux à ses côtés. Il m'attrapa par les cheveux sans le moindre égard.
< I'll make you eat the dick ! > fit-il encore en enfonçant son sexe dans ma bouche.
Je tentais de le sucer comme j'aime à le faire. Grossier il appuyait sur ma nuque.

< You're going to regale you little bitch ! > me chuchota t-il en me relâchant un peu.
Malgré la brusquerie de l'homme, je savourais à la fois l'instant et ses sécrétions.
Ses substances, visqueuses et salées me restaient collées en bouche avec persistance.
J'avais beaucoup de mal à déglutir son épais liquide séminal. C'était dégoûtant.

Nous étions ainsi depuis une dizaine de minutes. J'en avais les larmes aux yeux.
La voix d'une des femmes, dans le lointain, résonna : < Jay, what are you doing ?>
Le bougre éjacula dans un puissant râle. Il hurla pour répondre : < I come, I come ! >
Je tentais d'avaler le jus gluant et écœurant qu'il avait lâché au fond de ma bouche.

L'homme remonta sur son tracteur. Il me fit : < You come back tomorrow ?>.
Je m'empressais de me relever en disant péniblement : < Next Tuesday ! >.
J'arrivais enfin à vider ma bouche en crachant le jus gluant. < Ok ! > me fit-il.
Je m'éloignais en gardant son goût dégueulasse. Ce goût qui m'excitait tant.

Ce n'est qu'en arrivant au Golf que je pris un chewing-gum de mon sac...

Isa
-.jpeg
Vous ne pouvez pas consulter les pièces jointes insérées à ce message.
GVb6lO6

Retour au Golf de Crail

Message par GVb6lO6 »

Bonjour

J'arrivais au Golf de Crail heureuse de retrouver mon adorable compagnon.
Il était en train de jouer une partie. Je pouvais le distinguer, là-bas, au loin.
Avec lui, il y avait un monsieur très stylé, presque aussi grand et fort que lui.
Je sortais ma petite paire de jumelles et je m'asseyais à la terrasse du bar.

Le temps était magnifique. Mon mari, m'ayant aperçu me fit signe de la main.
Je lui envoyais un "coucou" à mon tour en sirotant un délicieux jus de mangue.
Un couple vint s'assoir à une des tables voisines. Il y avait peu de monde.
Le monsieur, assit en face de moi, devait avoir la cinquantaine rayonnante.

La femme qui l'accompagnait me tournait le dos. Une opportunité se présentait.
Après mon aventure avec l'agriculteur, mon appétit aiguisé, j'étais bien excitée.
Sous la table, je croisais et décroisais mes jambes avec une discrète exagération.
Cela ne manqua pas d'attirer l'attention du gentleman qui observait en "louchant".

J'apprécie ces instants d'échanges. Ces moments d'une forte intensité érotique.
Lorsque le "partenaire" improvisé entre dans le jeu, cela devient passionnant.
Le gentleman chaussa ses lunettes de soleil. Tout en bavardant avec la femme.
Je savais que de cette façon, il pourrait m'observer en toute discrétion.

Je regardais autour de moi. Les rares couples ou groupes assis discutaient.
Personne ne faisait attention à la jeune femme assise là, s'exhibant en secret.
Je m'en donnais donc à cœur joie. Les cuisses légèrement écartées. Profiteuse.
J'avais, moi aussi, mes lunettes noires sur le nez. Le jeu était délicieux...

Nous étions ainsi, à nous jauger derrière nos lunettes depuis un bon quart d'heure.
Mon mari arriva avec son partenaire de jeu. Un monsieur charmant qui me salua.
Le beau gentleman grisonnant nous laissa. Mon mari s'assit en face de moi.
Je lui racontais mes aventures de l'après-midi et ce que j'étais en train de faire.

Mon compagnon, amusé de mes petites histoires, riait de mes extravagances.
Il me proposa de manger ici-même, en soirée, au restaurant du Golf. Bel endroit.
Tout en bavardant avec mon mari, je continuais mes agissements exhibitionnistes.
Nous en profitions pour mettre au point notre programme de demain. Visite à Perth.

Isa
-.jpeg
Vous ne pouvez pas consulter les pièces jointes insérées à ce message.
GVb6lO6

Les toilettes du Golf de Crail

Message par GVb6lO6 »

Bonjour

Mon compagnon et moi, pour nous dégourdir les jambes, nous allons marcher.
Cette petite promenade autour du terrain de Golf va nous ouvrir l'appétit.
J'entretiens mon mari de mon excitation considérable et de mes délicieux tourments.
Discrètement, mon compagnon glisse sa main sous ma jupette et me caresse.

J'aime tant les caresses virtuoses de mon homme que je lui en demande souvent.
< Veux-tu faire l'amour ? > me demanda t-il en me chuchotant doucement à l'oreille.
Lorsque je suis excitée par les situations que je sais créer, mes envies sont autres.
Je suis une cérébrale et la recherche de mes plaisirs est, là, purement intellectuelle.

Mon mari sait y faire. Je ne tardais pas à fondre sur sa main avec un bel orgasme.
J'étais prête pour la suite. J'étais prête pour la soirée. Prête à saisir une opportunité.
Nous reprenions le chemin qui nous menait au restaurant du Golf. Il était vingt heure.
Nous prenions place sous la pergola, à une table plutôt retirée et parmi trois autres.

Il était vingt heure trente. Nous prenions notre commande. Deux assiettes de crudités.
Nous étions seuls à bavarder tous les deux. Nous évoquions nos rentrées universitaires.
Quelle ne fut pas ma surprise de voir arriver le couple de la fin de cet après-midi.
Le monsieur me reconnu. Il m'adressa un discret sourire. Ils s'assirent à la table voisine.

Le gentleman s'assit face à moi. J'étais heureuse de pouvoir reprendre mes petits jeux.
Enchantée, je pouvais reprendre mes activités exhibitionnistes là où je les avais laissé.
Le monsieur, tout en bavardant avec sa femme, chaussa ses lunettes de soleil.
Je commençais presque immédiatement mes agissements libidineux et si jouissifs.

La situation perdura ainsi une bonne heure. J'étais considérablement excitée. Ravie.
Je me levais pour me rendre aux toilettes. J'espérais secrètement être suivie.
Mes espoirs furent récompensés. Je me lavais les mains lorsque l'inconnu entra.
< Hello beautiful girl. I like your little games ! > me fit-il en passant derrière moi.

Amusée, je lui réponds : < Hello. I'm glad that you like ! >. Il me fait un beau sourire.
< I can get my cock, please ? > me fait-il en se débraguettant sans la moindre gêne.
Je ne sais quoi répondre et je regarde son mouvement rapide. Il a sorti son sexe.
Un sexe d'une taille impressionnante, long et fin. Je ne peux dissimuler mon trouble.

< You like her ? You can enjoy it ? > me demande t-il en le faisant doucement tournoyer.
Je suis à la fois amusée et excitée. Ma curiosité est satisfaite au-delà de mes désirs.
L'inconnu me propose d'entrer dans un des deux cabinets de toilettes. J'en ai l'envie.
Pourtant, je décline son offre. Je ne veux pas être frustrée par une précipitation...

Nous échangeons nos numéros de portable. Je lui promets de l'appeler dès demain.
Je lui précise que j'ai vraiment le désir fou de goûter à son sexe. Il semble flatté.
Je rejoins mon mari. Je lui raconte. Il a bien vu l'homme se lever après moi.
A son tour le gentleman vient rejoindre sa femme. Il me fait un adorable sourire...

Isa
-.jpeg
Vous ne pouvez pas consulter les pièces jointes insérées à ce message.
GVb6lO6

Je revois le gentleman du Golf

Message par GVb6lO6 »

Bonjour

Ce matin, il fait déjà très beau et chaud. C'est l'Ecosse dans toute sa splendeur.
Nous sommes revenus de notre Jogging. Mon mari est encore sous la douche.
Je me saisis de mon portable. Je veux composer le numéro du gentleman de hier.
A peine dans ma main, le téléphone se met à sonner. Je décroche. C'est lui !

< Hello. I'm Malcolm, the gentleman of Golf, yesterday. > me fait-il poliment.
Je réponds, toute contente : < Hello. Yes, I recognized you. Everything is fine ? >
< If you're OK, we can see ourselves. I'm in the parking of camping. > me dit-il.
Je m'empresse de répondre : < Ok. I'm here in ten minutes. See you soon ! >

Je préviens mon mari qui me rappelle d'emmener le portable et d'être prudente.
Je passe ma jupette, mon t-shirt et je chausse mes baskets. Je descends vite.
J'arrive au parking. Il y a plusieurs voitures déjà garées. Je regarde attentivement.
Des appels de phares, provenant d'une berline allemande, attirent mon attention.

Je m'approche. Le gentleman du Golf sort du véhicule. Sa femme est à ses côtés.
Je suis un peu étonnée de la présence de sa femme. Je ne m'y attendais pas du tout.
< Nice to see you again ! > me fait-il en s'avançant vers moi la main tendue.
Je lui serre la main, il est grand, je lui réponds : < Me too, nice to see you ! >

Il me propose de monter à l'arrière de la voiture. J'hésite un court instant.
Malcolm vient s'assoir à mes côtés, à l'arrière. Il me présente Jane, sa femme.
Nous nous serrons la main. < My wife and me are very accomplices.> me dit-il.
< You are beautiful and I know the desires of my husband.> me fait Jane, souriante.

Malcolm ouvre sa braguette et en sort son sexe. Il me paraît encore plus long.
Il est mince, long, fin et très droit. Malcolm l'agite en me demandant : < It's good ? >
Je suis à la fois si excitée et si gênée par la situation que je ne sais quoi répondre.
Je secoue la tête un peu bêtement. Jane nous observe dans le grand rétroviseur.

Les vitres teintées de la voiture sont légèrement ouvertes. J'admire ce beau sexe.
Doucement je me laisse glisser sur la gauche pour respirer les parfums de ce sexe.
Il n'y a aucune odeur. Il est sec. La peau du prépuce est bien tendue sur le gland.
Je ne peux réfréner mon envie de le prendre en bouche plus longuement. Je suce.

Je reste ainsi à téter. Malgré ma succion plutôt énergique, aucun liquide ne m'arrive.
La jeune femme se retourne pour me dire : < It's surprising, is not it ? No juice ! >
Malcolm pousse de petits gémissements. Sa femme lui tient la main. Moi, je suce.
Enfin, il y a du jus qui m'arrive. Cela fait un bon quart d'heure et enfin du jus !

Malcolm, dans un spasme, éjacule soudain. L'afflux de sperme semble intarissable.
Cet homme éjacule sans arrêt de longues giclées qu'il m'est difficile de déglutir.
Je n'ai jamais avalé une telle quantité en une seule fois. Je finie enfin par tout prendre.
Du moins j'en ai l'impression. a peine une minute plus tard, il se passe la même chose.

< Surprising, no ? > me fait la jeune femme en me maintenant la tête fermement.
Je tète encore et encore. Il en arrive une troisième fois en quantité moindre.
Un sperme sans saveur mais liquide, fluide et en flux continu. Je suis étonnée.
Jane me relâche enfin. Je me redresse. Je regarde le sexe de Malcolm à présent mou.

< You were perfect. A French real ! > me fait Malcolm en se rebraguettant lentement.
Le flegme britanique dans toute sa légendaire plénitude ! Jane sort de la voiture.
La jeune femme vient ouvrir la porte arrière. Malcolm sort et se met au volant.
< Thank you for this good time. You want something ! > me fait-elle avant de s'assoir.

Je ne sais quoi répondre. Je suis comme une idiote debout à côté de la voiture.
C'est la toute première fois que je suis dans une telle situation surréaliste et insolite.
Voilà un couple bien singulier ! Je regarde s'éloigner la voiture. Je reviens à l'appartement.
Je raconte ma curieuse aventure à mon mari qui reste silencieux devant son ordinateur.

J'ai un goût amer dans la bouche depuis quelques minutes. Je prends un chewing-gum...

Isa
-.jpeg
Vous ne pouvez pas consulter les pièces jointes insérées à ce message.
GVb6lO6

Vers de nouvelles aventures en Ecosse...

Message par GVb6lO6 »

Bonjour

Nos préparatifs sont enfin terminés. Il ne fallait rien oublier. Penser à tous les détails.
C'est donc sous l'émotion fébrile d'un départ imminent que j'écris ces quelques lignes.
Nous nous envolons pour notre chère Ecosse demain après-midi, dimanche pour 16 h30.
Cette saison sera sans doute décisive car nous comptons nous y installer dès juillet 2017.

Je m'envole certainement pour de nouvelles aventures que je partagerais ici en octobre.
Nous serons de retour vers le 25 septembre et les préparatif de nos rentrées universitaires.
Je vous retrouverais donc pour ne nouvelles petites histoires dès le début de l'automne.
Cette année universitaire fut plutôt tranquille. Juste quelques situations habituelles.

Avant de nous quitter pour trois mois, je vous offre mon dernier récit. Un cadeau pour l'été.
C'était à la fin du mois de mai, par une journée plutôt maussade, je sortais de cours.
Mes étudiants, des thésards plutôt brillants, me laissent toujours passionnée. C'est un plaisir.
J'adore mon métier d'enseignante. C'est tellement gratifiant. Et cinq mois de vacances aussi !

C'est donc toujours ravie que je quitte la faculté, en fin de cours. Souvent vers 17 h 30.
Ce jeudi soir, je prenais la magnifique petite route de campagne qui me mène à la maison.
Notre propriété est à une dizaine de kilomètres de la ville. C'est donc toujours très récréatif.
J'arrive à la hauteur du haras à la sortie du bourg. Il y a là une camionnette d'entreprise.

Je ralentie. Dans le rétroviseur, je vois la silhouette d'un homme trapu portant une échelle.
Un peu plus loin, je fais demi-tour. L'occasion est trop belle. J'ai envie d'un petit frisson.
Je gare la voiture devant le vieux bâtiment aux chevaux. Le type est en haut de l'échelle.
Il tient une partie de gouttière. Je suis en jupe. Je sors de la voiture. Je vais à la porte.

Je sais bien qu'il n'y a personne. Mais je toque à plusieurs reprises. J'attire l'attention du gars.
< Il n'y a personne, ma petite demoiselle ! > me fait l'homme du haut de son échelle.
Je le remercie du renseignement. Je décide de faire le tour du bâtiment. Tout est désert.
Par derrière, il y a un petit cabanon. Sans doute les anciennes latrines, cabinet de toilettes.

J'entre dans le cabanon. Par la porte délabrée, je regarde par un interstice des planches.
Le type regarde avec attention dans la direction des latrines. Je reste ainsi un long moment.
La curiosité de l'inconnu doit être mise à rude épreuve. Que puis-je bien faire là aussi longtemps ?
Au bout d'un bon quart d'heure, où je me suis touchée un peu, je sors, considérablement excitée.

L'homme est entrain de descendre l'échelle en portant un long morceau de gouttière.
Je fais un nouveau tour du haras. J'arrive à nouveau au bas de l'échelle. Le type est en haut.
< Je peux vous renseigner ? Vous cherchez quelque chose ? > me demande l'homme serviable.
Je lui réponds : < Non, non, je vous remercie. Je regarde un peu. Je passe souvent ici ! >.

Je continue et je fais un nouveau tour de la maison. Je rentre une nouvelle fois dans le cabanon.
L'homme du haut de son échelle a cessé toute activité et observe les latrines avec concentration.
Je pousse la porte pour l'entre-bailler. Je suis accroupie, cuisses écartées. J'essaie de pisser.
Le type se tient aux montants de son échelle. Il semble consterné. Je n'arrive pas à pisser.

Je reste ainsi quelques minutes. J'ai évalué la distance qui me sépare de la voiture.
Quoi qu'il arrive j'aurais le temps de m'y installer et de démarrer. Je suis très excitée.
Je sens que je vais pouvoir me lâcher. Je pousse la porte pour l'ouvrir complètement.
Je lâche enfin un jet. Je suis cambrée. Je dirige mes jets loin devant moi, au dehors.

< Je peux t'aider ? > me crie le bonhomme du haut de son échelle. Je reste silencieuse.
En équilibre instable, le type ouvre sa braguette. Il secoue son gros et long sexe vers moi.
Je termine de pisser. J'ai envie de me toucher et de m'emmener au plaisir. Le type descend.
Je me redresse. Je file vers la voiture. Je démarre et me voilà sur la route. Sécurisée.

Je regarde dans le rétroviseur. Le quidam, tient son sexe d'une main. Cambré en avant.
De son autre main levé, il me fait un signe d'adieu. Je roule en me touchant. Je suis excitée.
Je suis repassée depuis, comme presque toutes les fins d'après-midi. Il n'y a plus de camionnette.
Même si j'ai tendance à espacer mes exhibitions, je suis toujours à la recherche de tels moments.

Isa
-.jpeg
Je vous retrouve début octobre. Je vous souhaite à tous de bonnes vacances.
Bises...
Vous ne pouvez pas consulter les pièces jointes insérées à ce message.
GVb6lO6

Retour d'Ecosse, ravie et enchantée

Message par GVb6lO6 »

Bonjour

Nous sommes revenus d'Ecosse mercredi soir. Ce furent trois mois d'exception.
Nous avons trouvé notre futur propriété. Une ravissante maison du XIX ème.
Nous avons loué un bateau pour parcourir les Hébrides et monter jusqu'aux Shetlands.
Nous avons fait toutes les choses dont nous rêvions depuis quelques années.

Nous nous installons définitivement dans la région de St Andrew en juillet 2017.
Je suis si heureuse. Mon mari l'est autant que moi. Une nouvelle vie nous attend.
Je retrouve mes thésards lundi. C'est ma dernière année d'enseignement ici.
A partir de l'année prochaine j'enseigne dans une prestigieuse université Ecossaise.

A partir de samedi prochain je vous raconterais mes frasques de cette saison, l'été 2016.
Même s'il ne s'est pas passé d'aussi nombreuses aventures qu'en 2015, il y a de la matière.
Cet été j'ai privilégié la qualité à la quantité. Je dois avouer que je me suis "calmée".
La qualité permet de savourer la rareté avec un plaisir d'esthète. Ce qui est rare est cher.

Je vous retrouve samedi prochain. Bonne semaine à tous.

A bientôt

Je vous embrasse

Isa
-.jpeg
Vous ne pouvez pas consulter les pièces jointes insérées à ce message.
GVb6lO6

Un exhibitionniste à l'embarcadère

Message par GVb6lO6 »

Bonjour

Nous sommes en Ecosse depuis trois jours. Nous avons envie de découvertes.
Mon mari, écossais, connait bien ce merveilleux pays. Il sait me surprendre.
En cette fin du mois de juin, cet après-midi est beau, il fait chaud. C'est divin.
Nous décidons d'aller passer deux jours sur l'île de Skye que je ne connais pas bien.

Située sur la côte Ouest, cette grande île présente des caractéristiques "exotiques".
Avec le Gulf-Stream qui baigne cette partie de l'Ecosse, le climat est presque tropical.
La région propose des végétaux aussi insolites que des palmiers ou encore des cactus.
Nous n'y sommes allés qu'à deux reprises. Cette fois nous y passons deux jours.

Je suis entrain de regarder des cartes postales sur le tourniquet devant l'office de tourisme.
Je choisi quelques unes des plus belles images à l'intention de collègues ou encore d'amis.
Il n'y a pas encore grand monde. La saison touristique ne commence que dans quelques jours.
Une sorte de sixième sens me fait regarder par-dessus le muret, face à l'office touristique.

Mon mari s'occupe des billets pour prendre le bateau. Une heure de traversée d'une mer calme.
Derrière le muret, il y a un homme. Il porte une chemisette bleu "jean" et à manches courtes.
Mais ce qui attire immédiatement mon attention c'est ce qui dépasse de sa braguette ouverte.
Un sexe incroyablement long. Il pend dans sa main droite. Il l'agite lascivement dans ma direction.

Nous sommes distants d'environ cinq mètres. L'inconnu regarde avec attention autour de lui.
Il m'a repéré. Je suis la seule fille. Et seule de surcroît. L'opportunité rêvée pour une exhibition.
Je suis vêtue d'une jupette plissée, façon tennis, d'un T-shirt et chaussée de baskets blanches.
Je porte mes lunettes de soleil. Je relève la tête et je fixe l'inconnu. Il fait de même avec aplomb.

Nous restons ainsi un moment indéfinissable. Il agite son sexe dans ma direction. Doucement.
Il ne se masturbe pas. Son sexe et son attitude font penser à quelque jardiner tenant une lance.
Le quidam semble être un virtuose. Tout en observant autour de lui, il me fait son numéro.
Cette situation dure quelques minutes. Je m'accroupis entre le tourniquet et le mur de l'office.

Je sens monter en moi l'excitation que peut procurer une situation ambigüe mais maîtrisée.
Cela doit être réciproque. L'inconnu bande enfin. Son sexe doit bien mesurer 25 centimètres.
Fin, il dépasse de sa main droite pour dépasser le ceinturon de son pantalon. Je suis impressionnée.
Un couple de personnes âgées arrive. La dame s'approche du tourniquet. Je me redresse.

Le type se retourne, sans doute pour ranger son matériel et se rebraguetter. Mon mari revient.
Il me montre les billets et, me prenant délicatement par le bras, il m'entraîne vers l'embarcadère.
Je paie mes cartes postales. Mon mari me tend un cornet de glace qu'il cachait derrière son dos.
Je lui raconte mon aventure. Il soupire, amusé, pour me faire : < Toi, tu les attires ! >. Je ris.

Je me tourne, l'exhibitionniste est devant le tourniquet. Je lui fais un petit signe discret.
Je lèche ma glace d'une façon suggestive et je suis mon mari pour monter sur le bateau.
Nous restons dans l'attente. Nous sommes à peine une vingtaine de personnes sur le pont.
Le bateau s'éloigne enfin. Je regarde le type, là-bas. Il fixe le bateau d'un air pensif...

Isa
-.jpeg
Vous ne pouvez pas consulter les pièces jointes insérées à ce message.
XjEd9a7

Re: Je suis une vraie exhibitioniste...

Message par XjEd9a7 »

Fini de lire les 4 pages.finalement c'est toujours pareil elle pisse partout et se tape des queues parfois.
Pourquoi ne raconte t elle pas ses chaudes nuits avec son homme plutôt?
Ex-Ayl

Re: Je suis une vraie exhibitioniste...

Message par Ex-Ayl »

Pourquoi ne pas venir nous parler un peu aussi :)
Biquette
Administrateur
Messages : 66156
Inscription : 12 mars 2011, 16:03
A remercié : 3078 times
A été remercié : 3880 times
Contact :

Re: Je suis une vraie exhibitioniste...

Message par Biquette »

Ah mais rien n'intéresse Isa-Belle à part raconter ses histoires :d
La communication et l'échange ne l'intéressent pas du tout, même quand on lui répond sur le tchat, ça reste sans retour :bicho:
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
Wooki
Langue Pendue
Messages : 6719
Inscription : 19 octobre 2013, 18:49
A remercié : 947 times
A été remercié : 2291 times

Re: Je suis une vraie exhibitioniste...

Message par Wooki »

ahhh non Biquette à moi elle me parle !!! ;)
k4list0
Emérite
Messages : 2116
Inscription : 04 septembre 2013, 14:41

Re: Je suis une vraie exhibitioniste...

Message par k4list0 »

Mais c'est parce que c'est ton âme soeur :o
Ce ne sont pas les différences qui empêchent les gens de vivre ensemble, mais leur connerie !

http://www.youtube.com/watch?v=R8OOWcsFj0U" onclick="window.open(this.href);return false;
Biquette
Administrateur
Messages : 66156
Inscription : 12 mars 2011, 16:03
A remercié : 3078 times
A été remercié : 3880 times
Contact :

Re: Je suis une vraie exhibitioniste...

Message par Biquette »

Wooki a écrit :ahhh non Biquette à moi elle me parle !!! ;)
Ah ben t'as de la chance toua :irene:
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
Loupdoux
Langue Pendue
Messages : 9140
Inscription : 09 mai 2011, 19:07
A remercié : 82 times
A été remercié : 65 times

Re: Je suis une vraie exhibitioniste...

Message par Loupdoux »

Wooki a écrit :ahhh non Biquette à moi elle me parle !!! ;)
elle t'a sucé aussi ? :sweat:
En amour avec Louveblanche !
GVb6lO6

La traversée pour l'île de Skye

Message par GVb6lO6 »

Bonjour

Mon mari me montre le ciel. Là-bas, au loin sur l'océan, un amoncellement de nuages.
Le temps va t-il se gâter ? Cette belle journée va t-elle faire place à la pluie, la tempête ?
Mon mari m'apprend qu'à la radio, ce matin, il n'était absolument pas question de pluie.
Dans le sac à dos, nous avons tout le nécessaire, vêtements de change et même nos K-way.

Nous arrivons à l'embarcadère de Kirkwall. La traversée n'aura duré qu'une petite heure.
Il n'y a pas de vent. Le ciel est bleu. Il fait chaud. Mon mari propose de louer des vélos.
C'est une excellente initiative. Tout le monde ou presque circule à bicyclette sur l'île.
Les autorités locales font tout pour encourager cette pratique afin de préserver le lieu.

Malgré tout, sur la route, nous croisons quelques voitures. Et pas immatriculées sur l'île.
Bien évidemment, la plupart des immatriculations que nous croisons sont françaises.
Nous arrivons à l'endroit où nous avons réservé un appartement dans un cottage de Stein.
Stein est un petit bourg typique. Nous prenons possession des clefs à la mairie du village.

Nous sommes à l'étage. En bas, c'est un couple d'Irlandais de Dublin. Professeurs également.
Ils doivent êtres quadragénaires, visiblement très sportifs et se déplacent eux aussi à vélo.
Le monsieur est grand, mince, les tempes grisonnantes. La femme est belle et élégante.
Pas d'enfants pour nous empoisonner le séjour. L'endroit est d'un calme remarquable.

Les lits sont faits. Nous décidons d'aller faire nos courses au marché du bourg à cinq minutes.
Nous allons passer ici trois jours et deux nuits. Nous irons visiter la région alentour.
Nous revenons pour treize heures. Mon mari insiste pour préparer notre premier repas.
Moi, je descends flâner un peu autour du cottage. L'endroit est idyllique. Un enchantement.

Là, au détour du sentier qui part vers le bois, il y a le touriste irlandais. Il bricole sa bicyclette.
Il ne m'a pas vu. Je suis saisie d'un étrange trouble. Comme toujours dans ces situations.
Je prends rapidement une initiative afin de satisfaire le désir d'exhibition qui m'envahit.
Un bel homme, seul, là, dans la nature. Pourquoi ne pas me "montrer" ? Je m'y applique.

Entre deux fourrés, je m'accroupis. Ma culotte à mi-cuisses, je reste silencieuse et immobile.
Je louche vers l'homme, tête baissée, au risque de me déboîter les orbites. Cela dure.
Enfin, sûrement alerté d'un sixième sens, il se tourne pour me voir. Je suis à trente mètres.
Je fais évidemment semblant de ne pas m'être aperçue de la présence de quelqu'un...

J'ai l'envie folle de relever la tête pour découvrir l'expression de son visage, de ses yeux.
C'est ce qui m'intéresse toujours en premier, la psychologie du "regardant", ses expressions.
Je préfère attendre. Cet homme va être notre voisin durant deux jours. Je garde ma position.
Je ne relève toujours pas la tête. Sera t-il le premier à m'adresser la parole ? C'est le silence.

J'aimerais tant me lâcher. Je me concentre. L'excitation m'en empêche complètement.
Cinq bonnes minutes se sont s'écoulées. Je me redresse et me torche avec un mouchoir en papier.
Je relève la tête. Il est là, occupé à son vélo qui est à présent posé à l'envers. Il bricole.
Tant pis, je m'en vais. Je le croise. Il me fait : < What a beautiful sight ! > Il m'a donc vu...

Isa
-.jpeg
Vous ne pouvez pas consulter les pièces jointes insérées à ce message.
GVb6lO6

Dans notre cottage de Stein - (Deux)

Message par GVb6lO6 »

Nous visitons le petit bourg de Stein

Nous profitons de notre premier après-midi sur Skye pour visiter le petit bourg de Stein.
C'est un de ces charmants et typiques petits villages écossais digne d'une carte postale.
Mon mari qui inaugure un nouvel appareil fait quantité de photographies de l'endroit.
Les rues sont pavées à l'ancienne. Les maisons sont colorées. Il y a des fleurs partout.

Ce pittoresque petit bourg propose, en ce mardi soir, un concert philharmonique sur la place.
Nous achetons les billets au pub. Ces billets nous permettront un accès et une vue privilégiés.
La monnaie écossaise, très belle, est également très lourde. Cet achat soulage nos poches.
Nous quittons le bourg pour parcourir le sentier qui conduit vers l'Atlantique. Le ciel se dégage.

Nous arrivons au-dessus des falaises, sur le sentier douanier qui surplombe les flots de l'océan.
Il y a une série d'escaliers en pierre de granit qui s'échelonnent sur notre gauche et sur la droite.
Deux tourelles au sommet d'une colline attirent notre regard. Nous décidons d'aller dans ce sens.
En haut des dernières marches c'est un terre-plein. Un office de tourisme. Une boutique souvenirs.

Mon mari, toujours amateur de belles images, se précipite sur les tourniquets de cartes postales.
Moi, toujours très curieuse de tout ce qui m'entoure, j'examine tous les détails des environs.
Mon regard discrètement caché derrière mes lunettes noires, je peux attarder mes yeux partout.
Il y a le petit bâtiment des toilettes publiques. Il n'y a personne aux alentours immédiats du lieux.

Je laisse mon mari en lui signifiant que je vais faire pipi. Je m'approche en louchant autour de moi.
J'entre par l'entrée sans porte. Sur la droite, ce sont les hommes. Je m'y dirige sans hésitation.
Il n'y a personne. Il y a quatre urinoirs muraux. Je me positionne au-dessus du dernier, au fond.
Je retire ma culotte que je glisse dans mon petit sac à dos. Je me cambre en relevant ma jupette.

Cette situation, à elle seule, suffit à me mettre en état d'excitation. J'adore m'auto-érotiser ainsi.
Et si un inconnu me surprenait dans cette situation ? Cette idée me cause de délicieux tourments.
Je me mets en situation. La tête baissée, mes cheveux qui dissimulent mon visage. Je me lâche.
Je pourrais me masturber tellement c'est bon d'être ainsi. Soudain, là, sur la droite, un inconnu.

< Hello ! Good time ? > me fait un quinquagénaire au sourire débonnaire, devant un autre urinoir.
J'ai cette petite décharge électrique qui me procure les plus merveilleux vertiges. Je suis en sueur.
Je ne réponds rien. Je me sens un peu stupide. Cette situation m'excite à présent au plus haut point.
Je reste ainsi, laissant s'épancher les dernières gouttes. Comme toujours, je m'en mets sur les cuisses.

Pour jouir encore un peu de cette délicieuse situation, je reste sans bouger. Je tourne la tête vers le type.
Je le fixe en faisant un effort considérable. Les gouttes de sueur me picotent le bout du nez et les joues.
C'est ce que je préfère dans mes exhibitions, cet instant où je pourrais vaciller sous le vertige qui m'habite.
Le type se tourne vers moi et secoue vulgairement son sexe dans ma direction. J'aime tant les vicelards.

Pourtant, comme à chaque fois, la petite voix, au fond de moi, me rappelle à une certaine prudence.
Je laisse retomber les plis de ma jupette. Je me redresse. J'aimerais me torcher. Je préfère sortir.
Je veux sortir des toilettes. J'entends le type tousser tout en pissant. Je sors un mouchoir en papier.
Accroupie, de façon à ce qu'il puisse me voir, je me torche longuement, cuisses largement écartées.

Je rejoins mon mari. Le type des toilettes m'a repéré. Il s'approche et tourne un peu autour de la place.
La présence de mon homme, hautement dissuasive, achève d'éliminer ses dernières velléités d'approches.
L'inconnu s'en va. Là-bas, avant de descendre les escaliers, il se retourne et me lance un regard tristounet.
Je ne peux m'empêcher de lui adresser un dernier clin d'œil. Nul doute qu'il se souviendra de moi à jamais...

Isa
-.jpeg
Vous ne pouvez pas consulter les pièces jointes insérées à ce message.
fred

Re: Je suis une vraie exhibitioniste...

Message par fred »

J'aime bien l'idée que vous vous en mettiez sur les cuisses....
GVb6lO6

Retour à notre cottage

Message par GVb6lO6 »

Retour à notre cottage en soirée

Nous sommes de retour vers dix neuf heures trente. Toute la journée fut douce et agréable.
Mon mari insiste pour préparer notre repas de la soirée. J'en profite pour aller flâner dehors.
Je descends dans le jardin. L'endroit est désert. Nos voisins du dessous ne sont pas là non plus.
Je prends le sentier qui vas vers l'ancienne carrière. Voilà le couple de voisins qui reviennent.

Nous nous croisons. Ils portent tous deux un petit sac à dos. Nous nous saluons. Nous bavardons.
Ils sont professeurs. Nous évoquons donc tout naturellement nos activités. Partageant nos ressentis.
Je continue ma petite balade et je reviens. J'arrive dans le jardin. Le monsieur est assis sur le muret.
Nous bavardons à nouveau. C'est un homme intéressant. un "vieux beau" qui m'impressionne un peu.

Je monte. L'odeur est délicieuse. Mon mari m'invite à venir voir et sentir sa préparation. Magnifique.
Nous savourons ce gratin de petites pommes de terre. Le fromage parfume agréablement ce mets.
Je fais part à mon compagnon de ma conversation avec nos voisins de rez-de-chaussée. Il écoute.
< Descends vite, ils sont peut-être dans le jardin, moi je termine la vaisselle et je viens ! > me fait-il.

Je descends. Je contourne la maison pour aller vers le petit cabanon en bois à une trentaine de mètres.
De là je peux apercevoir la porte du cottage. A ce moment, le monsieur sort et vient dans ma direction.
Il ne sait pas que je suis là. Aussi, il marche doucement en flânant. Je me mets en position "pipi".
Je suis trop heureuse de m'offrir une petite exhibition en guise de dessert. Me voilà accroupie...

Le monsieur arrive à ma hauteur. Il me voit. Il s'arrête et m'observe. Il a un sourire amusé.
Je reste silencieuse. Je fais semblant de ne m'être aperçue de rien. Je louche sous mes cheveux.
Je n'arrive pas à me lâcher. L'excitation grandissante m'empêche de faire mon besoin naturel.
Je me sent à la fois ridicule et très excitée. Je savoure ces instants. Le voisin ne dit rien et s'en va.

Je me redresse. Je me dépêche de retourner dans le jardin. Mon mari arrive. Nous nous embrassons.
Nous sommes assis sur la margelle du puis. Nos voisins sortent de la maison. Ils sont élégants.
Ils s'apprêtent à sortir. Nous bavardons. Nous apprenons qu'ils se rendent également au concert du soir.
Le monsieur me regarde avec un curieux regard. Je me sent "démasquée" et c'est très excitant.

Nous montons nous préparer. Nous aussi nous irons assister au concert sur la place du bourg.

Isa
-.jpeg
Vous ne pouvez pas consulter les pièces jointes insérées à ce message.
GVb6lO6

Un contact suite à une annonce sur un forum

Message par GVb6lO6 »

Bonjour

L'an dernier, en rentrant de notre chère Ecosse, j'ai publié une annonce sur quelques forums.
Comme il est impossible de me contacter en messagerie privé, les réponses sont publiques.
Ce qui impose de la part de leurs auteurs une certaine réserve, une retenue et de rester polis.
J'ai donc choisi l'intervenant dont la réponse était la plus proche de ma requête. Une rencontre.

Toujours avec la complicité passive de mon adorable mari, cela s'est déroulé dans le Puy-en-Velay.
Je relate ici, par le détail, cette rencontre insolite, haute en couleurs et qui m'a comblé d'aise.
C'était une sorte de défi que je me suis lancée. Il m'a fallu du courage, de la témérité. Stratégie.
Un grand moment de plaisir intense et réellement fou. Je vous en souhaite une agréable découverte.

Je dois relever mon propre défi - Partie 1 -

Nous sommes dans la région depuis hier. Par téléphone, j'ai établi le contact avec l'inconnu qui s'est proposé. Nous sommes au restaurant. J'évoque beaucoup mon défi avec mon mari. Je prends soudain conscience de ce brin de folie qui m'habite parfois. Je suis une jeune femme heureuse. J'ai 28 ans. Je suis mariée. Mon mari est l'homme le plus adorable. J'ai une profession enviable et privilégiée. Quelle est donc cette étrange passion qui m'envahit parfois et à laquelle il me serait si simple de résister. Ce que je ne fais pas.

Mon mari m'explique que ce n'est pas une pulsion mais une passion véritable. Pourquoi tenter de m'en détourner. Il me conseille de donner libre cours à ce profond désir. Même si ma curiosité me pousse à me retrouver dans de curieuses et d'insolites situations. Je me suis déjà retrouvée dans ce qui me semblait d'inextricables imbroglios. Situations périlleuses dont je me suis toujours tirée avec panache. Je dois préciser que je suis d'une prudence de Sioux. J'évalue, je scrute et j'observe longuement en parfaite stratège. Il n'y a jamais aucun élan inconsidéré. Ni de comportements irréfléchis.

Je passe une nuit un peu agitée, je dors peu. Au matin, mon mari et moi quittons l'hôtel pour faire notre jogging quotidien. Une heure de running, puis nous prenons notre douche. Je dois être à l'endroit prévu pour 14 h. Il est à peine dix heures du matin. Mon mari m'emmène à son rendez-vous. Un collègue professeur qui donne ce soir une conférence dans une salle municipale. Je reste silencieuse. J'aime les gens cultivés, instruits dotés d'une solide culture générale. Lorsqu'en plus ces individus sont brillants dans leur domaine, c'est tout simplement exquis.

A midi, nous avisons un petit restaurant au bord de la route qui nous mène vers l'endroit prévu. Nous sommes à une dizaine de kilomètres de la ville et à deux kilomètres du bourg voisin. Je suis fébrile. Je sens en moi une montée alternative d'excitation, de crainte, de doute puis de courage. J'adore ces émotions. Ici, ces sensations sont encore décuplées. J'en fais part à mon mari qui sait toujours me rassurer. Il est mon complice. Il sait toujours tout de moi et de ce que je fais. Il assure souvent ma sécurité. Je lui en suis tellement reconnaissante. Je l'aime comme une folle.

Il est 13 h30. Nous nous mettons en route. Nous arrivons dans cette zone industrielle désaffectée. De hauts bâtiments de briques rouges, aux fenêtres cyclopéennes dont les vitres sont toutes explosées. Au sol traînent les plus invraisemblables détritus. Des carcasses de voitures voisinent aux côtés de vieux réfrigérateurs éventrés, de machines à laver défoncées ou encore de grands barils rouillés. Mon mari se gare au début de l'allée centrale. Là-bas, à une centaine de mètres, je distingue la grande ouverture sombre des toilettes abandonnées. C'est là...

Je descends de la voiture. Mon mari m'assure qu'il restera discret, caché, à proximité pour sécuriser mon aventure. Je suis rassurée. A présent, c'est l'excitation qui me gagne. Je suis très attirée par de tels endroits. J'apprécie les lieux glauques. Malgré mon éducation bourgeoise, j'ai une inexplicable attirance pour les endroits insalubres et sales. J'aime m'y offrir les frissons les plus fous. Je m'avance. Je suis vêtue d'une jupe brune plissée qui m'arrive aux genoux. Je porte une veste noire légère sur un T-shirt rouge. Je suis chaussée de souliers fermés à légers talons. Rien d'autre...

Je marche doucement. Je regarde avec une grande attention partout autour de moi. Je scrute chaque porte ouverte, chaque recoin. Il n'y a personne. Le silence est lourd. Là, entre deux murs, un arbre tente de survivre. Les orties, les mauvaises herbes envahissent doucement les lieux. J'arrive devant le bâtiment qui abritait les vestiaires et les toilettes. Je monte les trois marches. Mon regard s'habitue rapidement à la pénombre qui disparaît. J'avance. J'y vois parfaitement. Le sol est carrelé. Sur la droite il y a une dizaine de cabinets de toilettes. Les portes sont défoncées, arrachées ou inexistantes. Il n'y a plus que des trous dans le sol. Plein de déchets de toutes sortes jonchent le carrelage défoncé.

Sur ma droite, il y a des placards métalliques dont la peinture verte s'écaille sous la rouille. Devant moi, sur le mur du fond, une rangée de vieux lavabos arrachés, qui pendent lamentablement. L'endroit est réellement sordide. J'entends des gouttes d'eau tomber régulièrement sans pouvoir localiser d'où vient le bruit. J'ai à la fois envie de m'enfuir et de me toucher. Je m'imagine là, nue, à me masturber devant quelques clochards avinés. Cette pensée m'amuse et je suis soudain couverte de frissons. De telles pensées s'insinuent souvent en moi. Depuis l'adolescence.

Soudain, derrière moi, une voix profonde, grave, terriblement masculine : < Bonjour ! Je suis content que vous honoriez vos engagements ! >. Je me retourne. C'est un homme plutôt petit. En tous cas plus petit que moi. Il porte des bottes en caoutchouc et un T-shirt. Il n'a aucun autre vêtement. Nous restons silencieux à nous observer. Dans les courriels que nous avions échangé pour préparer cette rencontre, il m'avait envoyé quelques photographies. Je savais donc à quoi ressemblait le sexagénaire ventru debout là, à une dizaine de mètres devant moi. Pas beau. En sueur.

Je le salue poliment en me présentant. Je regarde son sexe qui pend sous son ventre. Il n'est pas circoncis. L'homme a les mains sur les hanches. Il lâche un jet de pisse qui résonne d'une étrange manière dans la grande salle vide. L'inconnu a lu mes petites histoires sur quelques forums. Il sait donc parfaitement ce qui m'attire en de tels lieux. Ce qu'il faut faire. Il lâche plusieurs jets de pisse toute jaune en laissant de longs intervalles entre chacun d'eux. Je regarde son sexe qui bouge tout seul. Aucune érection. Conformément à ma demande.

Sur le carrelage froid du sol, une partie de la pisse jaunâtre se transforme en une sorte de vapeur nauséabonde...

Isa
Vous ne pouvez pas consulter les pièces jointes insérées à ce message.
Biquette
Administrateur
Messages : 66156
Inscription : 12 mars 2011, 16:03
A remercié : 3078 times
A été remercié : 3880 times
Contact :

Re: Un contact suite à une annonce sur un forum

Message par Biquette »

Isa-Belle a écrit :Bonjour
Salut Isa, alors quoi de neuf depuis tout ce temps ? :whistle:
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
GVb6lO6

Un vieux vicieux réussit à m'écœurer

Message par GVb6lO6 »

Bien dégueu

Ce matin, comme tous les dimanches, je m'apprête à monter Oscar, un de nos deux chevaux. Il fait moche.
Je suis vêtue chaudement. Je ne pars pas faire une grande balade. C'est tout simplement pour m'aérer .
Mon mari est débordé de travail. Il y a les corrections du travail des vacances de la Toussaint de ses thésards.
Une raison supplémentaire pour ne pas partir plus d'une demi-heure. Je descends le chemin qui longe la forêt.

Il fait froid et humide. J'arrive à l'enclos de la petite chapelle désacralisée. Il y a une petite voiture garée là.
Je fais le tour du muret. Par curiosité. Il y a un type. Je m'approche. L'individu est à l'intérieur de l'enclos.
Visiblement, le bougre me guettait. Il m'avait vu arriver sur ma monture. Il a son pantalon aux genoux.
Le type a un tout petit sexe qu'il agite dans ma direction en me disant un bonjour obséquieux et bien vicieux.

Je m'arrête. Je le salue. L'inconnu doit avoir la cinquantaine bedonnante. Il porte un bonnet. Grosse veste.
Il agite son sexe mou et ridicule tout en engageant la conversation. Bien évidemment, la situation m'amuse.
Sur mon cheval, je ne risque pas grand chose. Un muret d'environ un mètre nous sépare. Le type est petit.
Pourquoi les exhibitionnistes sont ils la plupart du temps petits, gros et moches ? C'est comme une constante.

Le type a un discours confus. Des propos amphigouriques. Il répète plusieurs fois les mêmes phrases.
Je mets fin à sa conversation surréaliste. Je le tutoie. Je dis < Tu veux te faire sucer ? C'est ça ? Non ? >
Je n'ai plus vraiment froid aux yeux avec ces vieux cochons. D'en sucer un fait partie de mes fantasmes.
Seulement je ne le fais plus sans la proximité de mon mari qui reste dissimulé pas loin. Je me sens protégée.

Surtout qu'un type, avec un tout petit sexe ridicule, sans érection ne constitue pas un véritable danger.
Je ne risque donc pas d'être pénétrée par son sexe. Maintenant, il y a tant de pervers qui peuvent sévir.
Le type est immobile. Il tient son petit sexe à sa base entre le pouce et l'index de la main droite. Je regarde.
J'essaie de trouver une solution qui pourrait me permettre de sucer sans risque. Je trouve une astuce.

Il y a le grillage à fin maillage qui sépare le chemin entre l'enclos et le cabanon de jardin désert à gauche.
Je tourne le dos à l'exhibitionniste. Je lui fais : < Ne bouge pas, je reviens ! >. Je fais le tour du lieu grillagé.
Il y a un portail dont les deux battants sont ouverts. Je regarde. Je suis toute seule. J'en suis certaine.
Le type me voit derrière le grillage. Je descends de cheval. Je l'attache à un acacias. Je m'accroupis...

Je fais signe de mon index pour inviter le vicelard. Il sort de l'enclos. Il traverse le chemin. Je suis en retrait.
Le bonhomme s'approche du grillage. Il comprend où je veux en venir. Il passe son sexe dans une maille.
Je regarde ce sexe ridicule. L'odeur en est fétide. Immonde. Il n'est pas circoncis. Je préfère plus que tout.
Par contre, son prépuce fripé évoque une vieille chipolata pas fraîche et racornie. C'est dégueulasse.

Il ne peut rien m'arriver derrière le grillage. L'homme ne peut ni passer sa main, ni me saisir, ni m'attirer.
L'opportunité d'une pipe comme j'en raffole se précise. En parfaite égoïste, je ne pense déjà plus qu'à moi.
Je respire longuement l'extrémité de ce sexe qui pend par la maille du grillage. Le type semble cambré.
Son bassin collé contre le grillage, il s'y tient des deux mains. Il souffle. Il sent le tabac. Horreur absolue.

Je pose mes lèvres sur l'extrémité. J'essaie d'enfoncer ma langue. Le goût est piquant. Acide. Odeur abjecte.
Impossible de glisser ma langue entre le prépuce et le gland. Je suce. Immédiatement il y a un goût âcre.
Je n'ai pas le temps de comprendre. Le salaud est entrain de me pisser dans la bouche. Je me retire.
Le vicelard cesse en même temps. Je le regarde avec sévérité. Il veut parler. Je dis : < Ferme là ! >. Silence.

J'ai le goût de ses urines. Un haut le cœur. Cela m'excite autant que cela me dégoûte. C'est écœurant.
Je ne peux pas aller contre ma nature. C'est souvent ce paradoxe qui anime ma libido dans ces situations.
Je reprends son sexe en bouche pour pomper. Je récupère du jus. Mais lequel ? Je peux savourer le mélange.
Le type recommence. Ce sont chaque fois de courtes giclées. Je tousse. Je crache. Je vomis sur ses godasses.

Je me retire afin d'éviter de me faire pisser dessus. Juste à temps. Le type se lâche dans un long jet jaunâtre.
J'ai rarement vu une pisse aussi sombre. Un jaune sombre. J'ai son goût dans la bouche. Je vomis à nouveau.
Le type a cessé. Il se masturbe en bougeant son bassin, son sexe dans le maillage du grillage. Il souffle.
Je sais qu'il va jouir. Je me précipite juste à temps. Je recueille ses jus que je suce comme un médicament.

Il y a trois saccades qui m'emplissent la bouche. Ce n'est pas une éjaculation. Une coulure. Un épanchement.
C'est épais, crémeux et curieusement doux. Un contraste avec ceux que j'ai goûté. Chaque mec à son goût.
Je le suce afin de bien le vider. Je veux tout récupérer. Je suis prête pour une seconde tournée. Je le dis.
Le salaud me lâche une giclée. Naïve, je crois que c'est une nouvelle arrivée de sperme. Une giclée de pisse.

Cette fois, je me relève définitivement. Le type me regarde partir. < Salut ! C'était bon ? > me fait il.
Je me retourne. Je dis : < Salopard, va ! >. Je sors un mouchoir en papier de ma veste. J'ai la bouche âcre.
Je crache dans mon mouchoir. Je découvre les reliquats de sperme arrivés avec la giclée de pisse. Jaunâtres.
C'est dégueulasse. J'ai avalé ça ! J'en prends conscience dans un frisson d'écœurement. Je vomis. Dégueu.

Je regarde ce que je viens de dégueuler sur l'herbe. Des filaments coulent de ma bouche. Je n'ai rien à boire.
Je n'ai rien pour faire passer ce goût écœurant. Je viens de vomir la totalité de ce que j'ai dégluti. Immonde.
Je touille avec une petite branche. C'est épais, visqueux et gluant. Je file sur mon cheval. Au galop. A temps.
Le type s'approche du portail. Il a le temps de s'écarter pour ne pas être heurté. Je pars sans me retourner...

Isa
GVb6lO6

Une étonnante aventure à la Bibliothèque

Message par GVb6lO6 »

Bonjour

Une aventure étonnante à la Bibliothèque Municipale

Mon activité de professeur en troisième cycle universitaire demande un constant travail de documentation.
Lorsque je me rends au département documentation, j'ai toujours beaucoup de joie à y passer du temps.
Il y a bien évidemment des ordinateurs mis à la disposition des professeurs. Mais il y a l'odeur des livres.
J'adore ces parfums de vieux papier. Il s'en dégage une sensation faite de mystère, de secret et d'érudition...

La jeune femme, documentaliste attitrée, est toujours enchantée d'aider à la recherche d'un ouvrage précis.
Son aide précieuse permet un gain de temps appréciable. Le lieu n'est pas dépositaire du savoir universel.
Il faut se résoudre à faire des recherches livresques ailleurs. A cet effet, je suis dirigée vers l'extérieur.
C'est vers la Bibliothèque Municipale que je suis orientée . Pour m'aider davantage, je n'ai d'autre choix.

Je suis libre le vendredi après-midi. C'est donc tout naturellement que je profite de ce jour pour m'y rendre.
Il y a peu de monde le vendredi. Ce jour là, il n'y a qu'un couple de séniors au rayonnage des journaux.
Deux jeunes filles, étudiantes, assises devant l'ordinateur. Un vieux monsieur recroquevillé dans un fauteuil.
Je me dirige vers le fond de la grande salle. Me voilà dans l'allée, entre les rayons "Histoire" et "Géographie".

Je suis vêtue d'une jupe. D'un pull sous mon manteau, et chaussée de bottes . Avec l'hiver, il fait froid.
Je parcours le rayonnage qui me concerne. Ces rayons mesurent tous une bonne dizaine de mètres de long.
Je suis là à feuilleter un album. J'admire les photographies. Je remarque le quidam, là, au bout de l'allée.
Je ne l'ai pas vu arriver. Je ne sais pas depuis combien de temps il est dans l'allée. Il est chaudement vêtu.

L'homme est habillé d'un anorak rouge, d'un jean bleu, d'un bonnet. Il est chaussé de bottes claires.
Taille moyenne, Il doit avoir la quarantaine. Je n'y porte pas plus d'attention que ça. Je feuillette l'album.
Parfois, je sors de ma lecture pour constater que le quidam se rapproche. Il est à cinq ou six mètres.
Je suis en jupe. Mon naturel gagne mon esprit. Je pourrais m'offrir une petite frayeur exhibitionniste.

L'idée fait son chemin. Je suis déjà en possession des informations que je recherche pour mon cours.
J'observe discrètement autour de moi. Je cherche l'angle idéal. Il n'y a là que l'inconnu et moi.
J'évalue, j'envisage et j'anticipe. Je suis toujours d'une grande prudence. L'occasion est trop belle.
Je m'accroupis pour faire mine de scruter les livres du bas. J'ai mes collants. C'est dommage...

J'ai dénoué mes cheveux qui masquent mes regards scrutateurs. Je louche discrètement. Quelle surprise.
C'est moi qui aie affaire à un exhibitionniste. Le type doit être un "pratiquant". Je ne l'ai pas vu venir.
Son sexe, long et mou, pend de sa braguette ouverte. Il feuillette un livre. Il regarde bien autour de lui.
Pas de doute, j'ai affaire à un spécialiste. Un individu qui rôde à l'affut d'un "plan". Un exhibitionniste...

Je reste accroupie. Deux exhibitionnistes qui se retrouvent tous deux dans une situation intense.
L'homme a sans doute compris, tout comme moi. J'écarte légèrement les cuisses pour l'encourager.
Il reste d'un grand calme. Pondéré, il semble parfaitement maîtriser ses émotions. Un "Maître".
Son sexe est long. Il pend de sa braguette en pointant vers le bas. Pas circoncis. Mou et plissé...

Je me mets à genoux en faisant mine de chercher un livre qui serait inaccessible. Position suggestive.
L'inconnu tient son sexe à sa base, entre le pouce et l'index. Il lâche un soudain petit jet de pisse.
Je sens mon cœur battre la chamade. Cette fois, c'est moi qui suis ravie et étonnée de ce qui m'arrive.
Je me redresse pour m'accroupir à nouveau. J'enrage de devoir porter des collants. Mon sexe bouillant.

L'homme s'est tourné de trois quart vers moi. Il agite son sexe dans ma direction en le faisant tournoyer.
Je me sens impuissante. Mes collants, mon manteau, tout cela m'indispose au plus haut point.
J'ai même l'impression que la situation m'échappe. Une grande première. Le type reste très prudent.
Il se rapproche. Je lève la tête. Je le fixe en jouant la fille choquée. L'homme n'est pas dupe.

Je me tiens de la main gauche au montant métallique. Je me tiens les cheveux de la main gauche.
Nous nous fixons. Je sens la sueur me piquer les joues, le nez et le dos. L'homme se masturbe doucement.
J'ai affaire à un spécialiste. Le type reste parfaitement maître de la situation. Pas de fébrilité apparente.
J'en reste époustouflée. Ravie. Je n'en montre rien. Je joue mon rôle de fille un peu gênée et coincée.

Il y a une flaque de pisse au sol, derrière lui. Il lâche soudain un second jet qui éclabousse ses bottes.
J'éprouve un frisson puis un vertige. Je me tiens fort. Je passe une main entre mes cuisses écartées.
Je me touche à travers l'épais coton de mon collant. L'homme se masturbe doucement. Son sexe est mou.
Une véritable trompe d'éléphant devant mes yeux. Il y a des bruits de voix. Je me lève. Le type remballe.

Comme dans un mouvement parfaitement synchronisé, nous nous réajustions à toute vitesse.
Les deux étudiantes ne prêtent aucune attention à notre présence. Le type tourne des talons et s'en va.
Je le regarde traverser la grande salle. Il salue la dame de l'accueil et descend le grand escalier.
Je reste un moment à me demander si j'ai rêvé. Les trois flaques luisantes au sol me confirment que non.

Je quitte à mon tour la Bibliothèque. En descendant l'escalier je me dis que le type m'attend au dehors.
Pourtant il n'y a personne. Je suis prudente. Je m'arrête devant chaque vitrine pour scruter dans le reflet.
Je veux m'assurer de n'être pas suivie. Je fais un détour par plusieurs rues avant de retourner à la voiture.
En rentrant, je n'arrête pas de penser à tout ça. Je reste sur une délicieuse impression. Un gentleman...

Isa
Vous ne pouvez pas consulter les pièces jointes insérées à ce message.
Invité

Re: Je suis une vraie exhibitioniste...

Message par Invité »

Même pas envie de lire .... Sois tu postes des tofs soit t''es une fake .... merde alors :bicho:

Des recits des recits :blabla: , garde çà pour ton blog. Ici on veut des tofs !
GVb6lO1

Re: Je suis une vraie exhibitioniste...

Message par GVb6lO1 »

Plutôt triste ce genre d'intervention... ;)
FqD0fi1

Re: Je suis une vraie exhibitioniste...

Message par FqD0fi1 »

Ouep Demonia et Xanax.
Moi il y a d'autres récits que je trouve assez affligeants, d'autres sujets auxquels je n'adhère pas, mais chacun fait ce qu'il a envie comme il le sent.
Les récits postés ici ne me branchent pas plus que ça et je ne les lis pas. Toutefois, libre à Isa de les poster et si elle trouve son lectorat, tant mieux pour elle et pour eux !
Ma maxime s'applique aussi à ce forum ;) Les sujets qui ne m'intéressent pas, je n'y vais pas, mais je n'embête pas ceux qui s'y sentent bien. Grand bien leur fasse :)
Biquette
Administrateur
Messages : 66156
Inscription : 12 mars 2011, 16:03
A remercié : 3078 times
A été remercié : 3880 times
Contact :

Re: Je suis une vraie exhibitioniste...

Message par Biquette »

Je pense que Démonia a voulu souligner le fait qu'on est sur la partie exhib ici et qu'Isabelle poste des récits qu'elle devrait plutôt mettre dans la catégorie Récits par le fait.
P't'être que je me trompe mais c'est comme ça que je comprends son message :)
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
FqD0fi1

Re: Je suis une vraie exhibitioniste...

Message par FqD0fi1 »

Alors je reviens sur une partie de ce que j'ai dit.
Sorti de la là, j'avoue ne pas être fan de la manière ^^
Invité

Re: Je suis une vraie exhibitioniste...

Message par Invité »

Biquette a écrit :Je pense que Démonia a voulu souligner le fait qu'on est sur la partie exhib ici et qu'Isabelle poste des récits qu'elle devrait plutôt mettre dans la catégorie Récits par le fait.
P't'être que je me trompe mais c'est comme ça que je comprends son message :)
C'est tout à fait çà ;)
Invité

Re: Je suis une vraie exhibitioniste...

Message par Invité »

Fanlham a écrit :Alors je reviens sur une partie de ce que j'ai dit.
Sorti de la là, j'avoue ne pas être fan de la manière ^^
La mienne de manière ?
Tu ne connais pas cette isa-BELLE ":blabla: " (pour elle hein ) comme nous la connaissons enfin je le crois ....
Moi c'est une personne qui me sort par les narines alors soit elle poste des photos dans la section mais ses récits qu'elle les mette ailleurs sur le forum ...

Ses récits me foutent la gerbe je n'irai pas les lire si ils étaient au bon endroit.
FqD0fi1

Re: Je suis une vraie exhibitioniste...

Message par FqD0fi1 »

Je comprends, m'enfin bon, pas la peine de la traiter de fake de merde ^^
A la limite tu le signales à Biquette, qui déplace tout ça dans la bonne rubrique, c'est la seule qui a pouvoir de modération et donc de traficotage du forum ;)
Invité

Re: Je suis une vraie exhibitioniste...

Message par Invité »

Je dis encore ce que je veux .... m'enfin bon ....
Et si tu relis bien je n'ai pas dis fake de merde ! J'ai dis fake ! et plus loin "merde alors" !
GVb6lO1

Re: Je suis une vraie exhibitioniste...

Message par GVb6lO1 »

Tout ça c'est grossièreté et compagnie...
GVb6lO6

Un exhibitionniste fétichiste dans la nuit

Message par GVb6lO6 »

Bonjour

Il est dix sept heures. Je viens de quitter mon travail. Il fait déjà presque nuit. Janvier.
Je suis dans ma voiture. J'aime prendre la petite route de campagne, souvent déserte.
Il y a des véhicules agricoles qui bloquent la route à la hauteur de la vieille chapelle.
Je suis obligée de m'arrêter. Il y a d'autres automobilistes immobilisés au même lieu.

Il y a un attroupement. Je descends pour aller m'enquérir de ce qui peut bien se passer.
Une des automobilistes m'apprend qu'un tracteur a versé dans le fossé. Il y a une grue.
La route sera libre d'ici quelques minutes. Il y a les gendarmes. C'est impressionnant.
Je suis saisie d'un impérieux besoin naturel. Je me dirige discrètement vers le muret.

Dissimulée derrière les pierres, seule dans l'enclos de la chapelle, je retrousse ma jupe.
Soudain, depuis un bosquet, une voix masculine me fait : < Besoin d'un peu d'aide ? >
Je regarde. C'est un homme. Petit et enveloppé. Il tient son sexe. Il l'agite vers moi.
J'ai à peine le temps de terminer mon besoin qu'il s'approche en secouant son sexe...

Je me torche rapidement. Je jette le mouchoir en papier dans les fourrés à mes côtés.
< Ah non ! Lui, il est pour moi ! > me fait le curieux personnage en allant le ramasser.
Je file à toute vitesse. Sur la rue, il y a de nouveaux arrivants qui observent les travaux.
Le quidam arrive à son tour. Il me lance : < Merci pour le spectacle, c'était super ! >.

La route se dégage. Les automobilistes rejoignent leurs voitures. Nous pouvons y aller.
Au cas où le type m'aurait repéré, je prends la route à droite au carrefour. C'est mieux.
Ainsi, si je suis suivie, je peux m'en rendre compte. Ce n'est pas le cas. Je stationne.
J'attends une dizaine de minutes. Plus d'inquiétude. Je fais un petit détour pour rentrer.

Isa

[Vous devez vous connecter ou vous inscrire pour voir ce lien]
GVb6lO1

Re: Je suis une vraie exhibitioniste...

Message par GVb6lO1 »

J'irai même plus loin, c'est complètement nul et on fout le camp à la ,2éme ligne maxi....
GVb6lO6

Les soldes

Message par GVb6lO6 »

Bonjour

Je dois absolument partager cette aventure récente, mercredi dernier.
Et il n'y a nulle rubrique plus appropriée pour raconter cette belle histoire.
C'est ici, dans la partie réservée à ces situations "Exhibes", que je le fais.
J'invite le lecteur qui me suit depuis ces quelques années à bien s'amuser...

Bonne lecture


C'est la période des soldes. J'aime visiter quelques magasins qui pratiquent.
Il y a mon préféré qui se trouve au centre, tout près du Musée des Beaux-Arts.
Je viens de quitter mes cours. Il est 16 h. Ma journée d'enseignante est finie.
Il pleut. Le ciel est bas, très gris et plutôt sinistre. J'ai mon immense parapluie.

Je suis vêtue d'un pantalon à pinces et à plis. Un chemisier sous un gros pull.
Des souliers à légers talons. Je porte mon manteau que j'ouvre en entrant ici.
Il y a du monde. Je déambule un peu dans les rayons qui m'intéressent. Pulls.
J'aime ces pulls à larges cols roulés. J'en porte un. J'en désire un second. Brun.

Je suis accroupie pour scruter les pulls de l'étagère du bas. Je mets du désordre.
Je suis absorbée dans ma recherche lorsque je vois des jambes d'homme à côté.
Je regarde discrètement. C'est un quinquagénaire très élégant. Que fait il ici ?
J'en déduis rapidement que l'inconnu accompagne probablement sa femme.

Je me redresse toute contente d'avoir trouvé le vêtement que je recherche.
La tâche est ardue car je voudrais bien pouvoir l'essayer avant de me décider.
Je suis de haute taille. L'homme à ma droite m'arrive à mi tête. Il scrute les pulls.
L'occasion est trop bonne. Je glisse discrètement ma main entre mes cuisses.

Je me touche en m'assurant que personne ne puisse me voir. Ou me surprendre.
Personne ? Sauf l'inconnu très élégant qui est à proximité. Et il s'en aperçoit vite.
C'est probablement sa femme qui lui montre des chemisiers depuis le rayon voisin.
Il s'accroupit pour faire semblant de regarder les pulls du bas. Il joue. Je me touche.

J'aime avoir ma main entre mes cuisses que je passe l'une sur l'autre. Je serre fort.
Cette position me procure rapidement de délicieuses sensations. Je serre les fesses.
Ces nombreuses contractions régulières font augmenter ma température. J'ai chaud.
De me masturber ainsi, à proximité d'un parfait inconnu, est un plaisir intense. Rare.

Je me sais à l'abri. Que pourrait-il bien m'arriver en public, dans un grand magasin.
Discrète. Même le vigile le plus affuté devant son écran de contrôle ne peut me voir.
C'est un grand moment. L'homme est toujours accroupit. Il observe silencieusement.
Je lui offre certainement le plus magnifique spectacle de sa journée. Je suis altruiste.

Je me tourne de trois quart dans sa direction. Je bouge ma main de façon régulière.
L'inconnu a bien compris. J'ai envie de gémir, de me laisser aller, de me répandre.
La situation m'excite tant qu'il me faut cesser. L'homme ne bouge absolument pas.
Je recommence. C'est beaucoup trop bon. Et je veux profiter de cette opportunité.

Deux fois, je passe tout près de l'orgasme. Je sens les perles de sueur sur mon nez.
Je regarde discrètement partout autour de moi. La femme arrive dans notre rayon.
Elle ne prête aucune attention à ma présente et montre un chemisier à son homme.
Ce dernier se redresse pour suivre son épouse. Je cesse pour reprendre mes esprits.

Je vais dans la file devant les cabines d'essayage. Je n'attends pas très longtemps.
Le couple revient dans la file voisine. L'homme me lance un discret regard. Rapide.
Je lui fais un sourire. Il vient d'avoir la confirmation. J'ai tout fait exprès. Il le sait.
J'entre dans la cabine. Le pull me va comme un gant. Il me va aussi comme un pull.

Je quitte. L'inconnu est assis sur une des chaises. Il assiste à l'essayage de madame.
Je lui fais un sourire. Je fais mine de regarder l'étiquette du pull que je tiens en main.
Rapidement, je passe ma main entre mes cuisses. Je tente ainsi d'être très vulgaire.
L'inconnu est un parfait gentleman. Il lève son pouce comme pour me féliciter. Rire.

Sa femme sort de la cabine. Je me sauve. Toute autre attitude serait vaine. Stupide.
Je suis dans la rue. Je porte mon paquet. Je suis doublement contente. Pull et sexe.
En roulant doucement, sous la pluie, dans la nuit, je me masturbe. J'adore le faire.
En rentrant, je raconte mon aventure à mon mari. Amusé il fait : < Incorrigible ! >.

Isa
Vous ne pouvez pas consulter les pièces jointes insérées à ce message.
GVb6lO6

Le jeune homme du salon de thé

Message par GVb6lO6 »

Bonjour

Je n'ai que six heures de cours par semaine. Seize heures consacrées à la recherche.
Hier, après les cours, une collègue enseignante, m'invite à boire un chocolat.
Nous quittons la faculté. Je lui propose mon salon de thé préféré. Endroit charmant.
Nous prenons un chocolat chaud. Elle prend un croissant. Il y a peu de monde.

Nous bavardons, échangeons quelques considérations générales. Nous aimons rire.
Bien sûr, nous sommes toutes deux passionnées par notre travail. Nous en parlons.
Comme le mien, son mari est enseignant en troisième cycle. Ils sont un peu plus âgés.
Propriétaires de magnifiques chevaux, nous aimons en parler. Evoquer nos balades.

Je n'ai pas beaucoup de temps. Après les cours, j'aime rentrer. J'ai d'autres passions.
J'apprécie tant d'être dans la quiétude de notre grande maison avec mon mari. Plaisir.
Avant de prendre congé, je me lève et je vais aux toilettes. Elle garde mes affaires.
Je me lave les mains au lavabo. Mon attention est attirée par un bruit venant du cabinet.

Je regarde sur ma droite. Là, par la porte entrebâillée, je vois un jeune type. Tête baissée.
La trentaine, de style "baba-cool", en train de se masturber. Il fait un peu "John Lennon".
Il me regarde avec un sourire vicieux. Je lui fais un sourire. Un peu gênée quand même.
Je m'enferme dans ma cabine. Je pisse. Pour attirer l'attention, je lâche plusieurs jets sonores.

Sans m'asseoir, car je ne m'assoie que chez moi, je vise dans l'eau du fond. En appuie contre le mur.
Plusieurs jets bruyants qui résonnent. Je le fais bien sûr exprès. Je suis devenue une virtuose du jet.
Je sors. Je reviens devant le lavabo. Le jeune homme est toujours là. Il semble couvert de sueur.
Il me regarde comme halluciné. Je sens qu'il voudrait me parler. Il est beaucoup plus gêné que moi.

Ce qu'il a entendu a certainement dépassé ce qu'il souhaitait vivre ici. Au-delà de ses fantasmes.
Je m'essuie les mains, je m'apprête à sortir des toilettes. Je regarde avec insistance le gaillard.
Je me retourne pour lancer le plus délicieux des < Bonsoir >. J'ai affaire à un mutique. Silencieux.
Il se tourne subitement vers moi pour éjaculer sans aucun contrôle. Il en perd peut-être ses moyens.

Je reste devant la porte. Je l'observe avec un certain amusement. J'ai un sourire lourd de sens.
Il se reboutonne terriblement gêné. Il évite de me regarder. Il est soudain comme un vrai gamin.
Pourtant je suis debout là, à quelques mètres et j'en veux encore. Je demande : < Tout va bien ? >
Il ne me répond pas. Il semble confus. Perdu. Il ferme la porte pour se soustraire à mon regard.

Je rejoins ma collègue. Elle se lève pour enfiler son manteau. < Je dois y aller ! > me dit elle.
Nous payons, debout devant la caisse de la pâtisserie. Je regarde en direction des toilettes.
J'observe la porte derrière l'aquarium. Discrète. Je tente de voir si le type est sortit des WC.
J'aimerais beaucoup l'embarrasser un peu plus. Par jeu. Je peux me comporter en vraie salope.

Nous sortons de la boulangerie-pâtisserie. Nous sommes sur le trottoir. Il fait plutôt froid.
Je salue ma collègue car je vais dans l'autre direction. Je marche un peu. Je suis pensive.
Je m'arrête à une centaine de mètres. Entre deux camionnettes je guette. Je veux contrôler.
Le jeune homme arrive enfin. Il vient par là, agitant des clefs. Il marche vite. Préoccupé...

Je regarde avec une grande attention partout autour de moi. Je reste entre les deux autos.
Il n'y a personne. Les circonstances me poussent à mon vice. L'occasion est trop tentante.
Je m'accroupie, il arrive à ma hauteur. Il me voit. J'écarte les cuisses. Je n'arrive pas à pisser.
Curieusement, au lieu de saisir l'opportunité d'un contact verbal, il fuit ! Je me sens stupide.

Je me redresse, je m'avance sur le trottoir. Il est déjà loin. Suis-je soudain devenue si laide ?
J'ai déjà souvent remarqué cette attitude chez les jeunes exhibitionnistes. Ils sont fuyants.
Comme s'ils étaient en même temps vicieux et timides. Cela m'excite beaucoup. S'ils savaient !
Les quinquagénaires, eux, sont le plus souvent beaucoup plus "entreprenants". On le sait bien !

J'arrive à la maison pour dix sept heures trente. Je raconte mon aventure à mon mari.
Il m'écoute, bien amusé. Il m'invite à venir le rejoindre devant l'écran de l'ordinateur.
Rapidement nous parlons de nos cours, des préparations, des priorités professionnelles.
Je me promets de retourner dans ce salon de thé le plus tôt possible....

Isa
Vous ne pouvez pas consulter les pièces jointes insérées à ce message.
Répondre