Une question qui divise sur chaque forum:

Une Maîtresse SM qui se fait payer est une tepu ou non?

La prostitution, c'est recevoir de l'argent ou une offrande en contrepartie d'une relation sexuelle.

Une Maîtresse ne se fait pas baiser par son soumis de passage. Dans le mailleur des cas, elle autorise ce dernier à se "vider" à sa botte.

En attente de vos retours

Pour moi non, même si ça reste un acte sexuel souvent pour le client, je ne les considère pas comme des prostitués.
Elles vendent un savoir faire, mais pas leur corps.

à partir du moment où il y a échange d'argent contre une prestation d'ordre sexuel (téléphone, glorymachin ou je ne sais quoi encore donc y compris ce cas de figure) pour moi c'est de la prostitution.

Voilà! Gagné! ça divise.

Merci de vos réponses, en attente d'autres avis

Pardon, j'ai oublié de donner mon propre avis^^. Pour moi, la femme, dans ce cas de figure, ne se prostitue pas.

En fait y a tellement de variante dans le SM et dont bcp pour qui ce n'est pas sexuel, que pour moi une domina n'est qu'une prestataire de services comme un coiffeur ou un maçon.
Elle est là un peu comme une sexologue, purger le trop plein de pulsions maso, assouvir des envies de domination pas forcement sexuelles.

C'est de la prostitution. Sur les sites dédiés aux "escorts" elles ont toute une partie qui leur ai dédiée, ainsi que les soumises d'ailleurs. Si cela ne l'était pas elles ne se feraient pas payer. Une domina n'a pas besoin de se faire payer pour dominer.

@amazone : Pas faux dans l'absolu mais putain, je serais une femme et en plus, une Domina, je n'hésiterais pas trente secondes à avoir 5 soumis/semaine à raison de 200 balles la séance, ça va quoi^^.

C'est vrai que la prostitution peut être tentant si on veut "beaucoup" d'argent rapidement. Si elles prennent du plaisir à ça en plus tant mieux.

Et si les doms homme faisaient payer leur soumise, pour quoi passeraient-ils ?

@Biquette : Pareil pour moi (pas de différence H/F). Les Dominateurs cumuleraient plaisir et "occasion".

Comme l'a dit @G8pU, cette question divise sur chaque forum.

Pour moi, ce n'est pas comparable à la prostitution classique, mais cela reste tout de même une certaine forme de prostitution.

@Ray-J trouvé le sujet

Tiens d'ailleurs pour moi c'est une sous catégorie de la prostitutions. Au même titre que envoyer des photos de son pied ou de culottes sales à ses "clients". Cela concerne le sexe, consciemment ou non. C'est de la masturbation mentale en gros.

Le débat est intéressant mais personne n'aborde les côtés logistique / lieux / Temps. Rares sont d'ailleurs ceux qui y pensent.

Logistique / matériel : cela coûte une fortune !
Lieux : il faut avoir une pièce dédiée et --> équipée ce qui, encore une fois coûte une fortune.
Temps : là aussi la dame doit pouvoir être à la disposition des hommes --> EN JOURNEE pour certains...

Et bien évidement, elles et leurs matériels doivent être à la disposition d'inconnus venant prendre leur plaisir.

Prostitution ou prestation de service ?
Pour moi, si il n'y a pas de sexe, c'est une prestation de service incluant la logistique, le lieux et le temps passé à claquer un cul par exemple.

HUMOUR (mais pas si faux que ça) Le dentiste : tu payes l'accès à son cabinet dentaire pour qu'il te soigne en te faisant mal. Oui mais en te soignant, il te fait plaisir puisque tu n'auras plus mal après. Les professionnelles du BDSM devraient donc être remboursées par la sécurité sociale puisqu'elles font mal pour que la personne soit apaisée après.

L'individu, homme ou femme, rentrant dans ce cadre, doit déclarer ses revenus à la DGFP et ce n'est pas pour rien :

Il gagne de l'argent en vendant des natures d'ordres sexuels...Sujettes à l'impôt au delà d'un certain plafond.

Bon. ça c'est le code des impôts mais dans la réalité, une femme qui se fait lécher les bottes pour cinquante balles ne me fait pas penser à une tepu.

Ces pratiques ne peuvent être surveillées, fort heureusement, par d'autres institutions. En gros, si en l'absence de plaintes, un "client" (un justiciable) ne peut pas être interrogé sur ses choses intimes, la notion de droit au silence prévôt.

Enfin, j'ai vécu à deux reprises avec des Dominas qui aimaient mettre du beurre dans les épinards et la seule condition demandées, par écrit, a été de m'assurer que ces femmes écrivent noires sur blanc que oui j'étais au courant MAIS que je ne recevais aucun privilèges (pas de cadeaux, pas de we, pas d'argent, pas de resto, etc...