Chère cousine...
Chère cousine...
Un nom sur une boite à lettre, un digicode que l'on m'avait donné. Un escalier branlant. Une porte dans ce vieil immeuble de Vincennes où m'attendait un joli petit meuble que je devais emporter chez moi et la cousine de mon amie qui nous le cédait.
J'avais déjà rencontré la jeune femme au cours d'assommantes réunions de famille où, nous n'avions eu l'occasion que d'échanger que quelques banalités. La demoiselle jouissait d'une réputation d'étudiante paresseuse et dévergondée. Ses jolies rondeurs me plaisaient mais je n'imaginais pas que nos relations puissent être autres que familiales jusqu'à ce jour.
Craignant de déranger, bien qu'attendu, j'écoutai à la porte.
Je souris en distinguant des gémissements féminins qui me laissaient penser que la belle était galamment accompagnée. Mais nul éructement masculin, nulle voix grave... Je n'osais croire ce que je pensais.
Je frappai. Elle ouvrit. Avec un joli sourire, le souffle un peu coupé, de belles rougeurs et surtout, un long tee-shirt sous lequel dansaient ses gros seins et pointaient ses tétons.
Elle ne portait visiblement rien d'autre.
Elle me reprocha gentiment de ne pas avoir appelé pour dire que j'arrivais. Elle me proposa un café que j'acceptais. Et en vieux pervers, je regardais ce corps dodu évoluer sous le tee shirt. Ses grosses fesses, ses belles cuisses, ses seins divins.
Je m'assis sur son canapé-BZ-foutoir minuscule. Elle s'agenouilla près de moi pour verser le café. Elle passait joliment sa main dans ses cheveux pour relever une mèche rebelle.
"Je vais peut-être m'habiller...?"
Je ne sais pas où je trouvai l'audace de répondre : "Perds pas de temps... Reste à poil..." Ce qui la fit sourire.
Dans le bordel de sa chambrette, gisaient par terre une boite de capotes, un collant et un soutien-gorge...
"Soirée agitée ?"
Elle rosit. Elle n'était pourtant pas timide.
"J'ai entendu du bruit avant de frapper, j'ai craint de déranger..."
Elle sortit une excuse improbable. Nos regards se croisèrent. Elle sut que je savais.
Le souvenir de ses jeux solitaires interrompus dut revenir brusquement dans sa mémoire. Instantanément, elle s'alanguit. Elle s'assit dans le canapé tout près de moi. Son parfum... Ses seins... Je n'en pouvais plus.
Elle me fixait, voulant me mettre mal à l'aise. J'eus beaucoup de mal à suivre notre conversation anodine. Elle souriait. Elle me dominait du regard.
"Tu bandes?" Demanda-t-elle soudain.
Je répondis que oui... Tentant misérablement de plaisanter. Mais déjà sa main caressait ma braguette et la grosse bosse en dessous.
"Tu m'as dérangé, j'étais en train de me caresser... Tu vas le payer..."
Je n'avais pas l'intention de résister longtemps. Je caressai ses seins. De gros seins ronds et lourds. Elle ouvrit mon pantalon et en extirpa mon membre fièrement dressé. Mon gland rose arrogant. Elle me branlait avec fermeté pendant que nos langues s'accouplaient.
J'avais déjà rencontré la jeune femme au cours d'assommantes réunions de famille où, nous n'avions eu l'occasion que d'échanger que quelques banalités. La demoiselle jouissait d'une réputation d'étudiante paresseuse et dévergondée. Ses jolies rondeurs me plaisaient mais je n'imaginais pas que nos relations puissent être autres que familiales jusqu'à ce jour.
Craignant de déranger, bien qu'attendu, j'écoutai à la porte.
Je souris en distinguant des gémissements féminins qui me laissaient penser que la belle était galamment accompagnée. Mais nul éructement masculin, nulle voix grave... Je n'osais croire ce que je pensais.
Je frappai. Elle ouvrit. Avec un joli sourire, le souffle un peu coupé, de belles rougeurs et surtout, un long tee-shirt sous lequel dansaient ses gros seins et pointaient ses tétons.
Elle ne portait visiblement rien d'autre.
Elle me reprocha gentiment de ne pas avoir appelé pour dire que j'arrivais. Elle me proposa un café que j'acceptais. Et en vieux pervers, je regardais ce corps dodu évoluer sous le tee shirt. Ses grosses fesses, ses belles cuisses, ses seins divins.
Je m'assis sur son canapé-BZ-foutoir minuscule. Elle s'agenouilla près de moi pour verser le café. Elle passait joliment sa main dans ses cheveux pour relever une mèche rebelle.
"Je vais peut-être m'habiller...?"
Je ne sais pas où je trouvai l'audace de répondre : "Perds pas de temps... Reste à poil..." Ce qui la fit sourire.
Dans le bordel de sa chambrette, gisaient par terre une boite de capotes, un collant et un soutien-gorge...
"Soirée agitée ?"
Elle rosit. Elle n'était pourtant pas timide.
"J'ai entendu du bruit avant de frapper, j'ai craint de déranger..."
Elle sortit une excuse improbable. Nos regards se croisèrent. Elle sut que je savais.
Le souvenir de ses jeux solitaires interrompus dut revenir brusquement dans sa mémoire. Instantanément, elle s'alanguit. Elle s'assit dans le canapé tout près de moi. Son parfum... Ses seins... Je n'en pouvais plus.
Elle me fixait, voulant me mettre mal à l'aise. J'eus beaucoup de mal à suivre notre conversation anodine. Elle souriait. Elle me dominait du regard.
"Tu bandes?" Demanda-t-elle soudain.
Je répondis que oui... Tentant misérablement de plaisanter. Mais déjà sa main caressait ma braguette et la grosse bosse en dessous.
"Tu m'as dérangé, j'étais en train de me caresser... Tu vas le payer..."
Je n'avais pas l'intention de résister longtemps. Je caressai ses seins. De gros seins ronds et lourds. Elle ouvrit mon pantalon et en extirpa mon membre fièrement dressé. Mon gland rose arrogant. Elle me branlait avec fermeté pendant que nos langues s'accouplaient.
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Re: Chère cousine...
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
Re: Chère cousine...
Joooooliiiiiiiiiiiiiiiiii tout ça
J'adore :bounce"Tu bandes?" Demanda-t-elle soudain.
Je répondis que oui... Tentant misérablement de plaisanter. Mais déjà sa main caressait ma braguette et la grosse bosse en dessous.
"Tu m'as dérangé, j'étais en train de me caresser... Tu vas le payer..."
Re: Chère cousine...
Ma verge se tendait encore dans sa main. Je baisais son cou, m'enivrant de son parfum. Je pétrissais ses gros seins, soulevant cet infâme tee-shirt. Mes mains ne savaient plus que caresser, ses immenses fesses, ses cuisses, son ventre rond... Ne répondant plus de rien, je descendis mes doigts sur son pubis. Subissant les diktats de la mode, elle s'était rasé. Moi j'aime bien les poils là. Mais je masquai mon dégoût et touchai son sexe. Déjà moite en surface, il était mouillé à l'intérieur. Elle gémit lorsque je pinçai délicatement son clitoris. Elle se mordit la lèvre lorsque mes deux doigts la pénétrèrent sans préliminaire. C'était une vraie bonne salope. Comme j'aime.
Elle jouit. Sa tête sur mon épaule... Silencieusement. Elle jouit sans cesser de me branler.
Elle se laissa glisser contre moi. Sa bouche prit toute ma queue, elle manqua de s'étouffer. Pour une jeune, elle suçait divinement. Pinçant mon membre de ses lèvres, le léchant comme un eskimo, sachant rouler sa langue autour de mon gland...
Je savourais ce moment, écoutant les bruits de succion... Ma main caressait ses fesses. Ce cul... Je retrouvai son sexe avec délice. Je la branlai vigoureusement, l'obligeant à interrompre la fellation pour gémir. Puis, je promenai mes doigts humides dans la raie de ses fesses et trouvai son délicat petit trou. Elle ne réagit pas lorsque je le caressai, ni quand un doigt s'insinua dans son rectum. Promesses...
A regrets, j'interrompis la fellation. Je l'invitai à se coucher sur le dos sur la canapé. Instinctivement, elle écarta ses belles cuisses. Son sexe offert, entrouvert. J'y posai un doux baiser suivi d'une langue fureteuse. Sa chatte était délicieusement odorante. Je la lui bouffai, comme un chien fou. Puis, plus délicatement, je léchai ses lèvres, son clito, sa vulve rose... J'adorais la regarder, obscène, chienne... se caressant les seins... fermant les yeux quand je la branlai avec deux doigts.
Je soulevai ses cuisses et parvins à écarter ses fesses. J'adore le goût légèrement amer de son anus.
Je n'en pouvais plus...
Je ramassai un étui par terre et enfilai une capote...
Elle s'était positionnée en levrette sur le canapé. Je la pris brutalement. L'agrippant par les hanches, comme un prolongement de ma queue.
La tête dans les coussins, elle poussa comme un cri de surprise.
Je la baisai vigoureusement. J'aimais voir danser sa grosse poitrine en tous sens. J'aimais les ondes de choc sur ses fesses à chaque coup de mes reins. J'aimais ses cheveux de sauvageonne, ses encouragements crus, ses "défonce-moi! baise-moi!" entrecoupés de gémissements...
Elle jouit. Encore. Fort.
J'allais et venais doucement dans son vagin meurtri.
Elle accompagna mes mouvements. Déjà réceptrice au désir.
Je sortis ma verge de son vagin.
Je la présentai à son petit orifice. Appuyant légèrement pour y faire mon chemin...
"Vas-y doucement s'il te plait..."
Je le pris comme une autorisation explicite. Je forçai lentement ce sas de chair. Elle gémit, mais elle ne pouvait pas m'arrêter. Le gland entré dans son cul, je m'enfonçai tout entier. Je fis coulisser lentement mon chibre dans son derrière pour qu'elle s'habitue à la présence de ce gourdin en elle. Elle sembla apprécier. Je regardai mon pénis s'engager doucement entre ses fesses. Mes mouvements se firent plus rapides, plus forts.
Je lui donnai une bonne claque sur la fesse. Elle adora.
Je ne pouvais plus me retenir davantage.
Je posai une main sur son épaule et entrepris de me déchainer dans son joli corps. J'étais comme une bête. Je la défonçai comme elle me l'avait demandé. Elle était, quelques minutes durant, ma femelle soumise. Son corps encaissait divinement mes assauts, j'entendis un oui qui finit en cri. Et je fus submergé par le plaisir. Je jouis violemment. Souillant son cul de jets de sperme chaud. Crispé, accroché à son corps comme à une bouée de sauvetage...
...
Je m'écroulai sur son dos. Subissant encore les dernières vagues du plaisir.
Elle soufflait doucement. Je lui fis de délicats baisers dans son cou humide de sueur. Elle souriait.
Elle jouit. Sa tête sur mon épaule... Silencieusement. Elle jouit sans cesser de me branler.
Elle se laissa glisser contre moi. Sa bouche prit toute ma queue, elle manqua de s'étouffer. Pour une jeune, elle suçait divinement. Pinçant mon membre de ses lèvres, le léchant comme un eskimo, sachant rouler sa langue autour de mon gland...
Je savourais ce moment, écoutant les bruits de succion... Ma main caressait ses fesses. Ce cul... Je retrouvai son sexe avec délice. Je la branlai vigoureusement, l'obligeant à interrompre la fellation pour gémir. Puis, je promenai mes doigts humides dans la raie de ses fesses et trouvai son délicat petit trou. Elle ne réagit pas lorsque je le caressai, ni quand un doigt s'insinua dans son rectum. Promesses...
A regrets, j'interrompis la fellation. Je l'invitai à se coucher sur le dos sur la canapé. Instinctivement, elle écarta ses belles cuisses. Son sexe offert, entrouvert. J'y posai un doux baiser suivi d'une langue fureteuse. Sa chatte était délicieusement odorante. Je la lui bouffai, comme un chien fou. Puis, plus délicatement, je léchai ses lèvres, son clito, sa vulve rose... J'adorais la regarder, obscène, chienne... se caressant les seins... fermant les yeux quand je la branlai avec deux doigts.
Je soulevai ses cuisses et parvins à écarter ses fesses. J'adore le goût légèrement amer de son anus.
Je n'en pouvais plus...
Je ramassai un étui par terre et enfilai une capote...
Elle s'était positionnée en levrette sur le canapé. Je la pris brutalement. L'agrippant par les hanches, comme un prolongement de ma queue.
La tête dans les coussins, elle poussa comme un cri de surprise.
Je la baisai vigoureusement. J'aimais voir danser sa grosse poitrine en tous sens. J'aimais les ondes de choc sur ses fesses à chaque coup de mes reins. J'aimais ses cheveux de sauvageonne, ses encouragements crus, ses "défonce-moi! baise-moi!" entrecoupés de gémissements...
Elle jouit. Encore. Fort.
J'allais et venais doucement dans son vagin meurtri.
Elle accompagna mes mouvements. Déjà réceptrice au désir.
Je sortis ma verge de son vagin.
Je la présentai à son petit orifice. Appuyant légèrement pour y faire mon chemin...
"Vas-y doucement s'il te plait..."
Je le pris comme une autorisation explicite. Je forçai lentement ce sas de chair. Elle gémit, mais elle ne pouvait pas m'arrêter. Le gland entré dans son cul, je m'enfonçai tout entier. Je fis coulisser lentement mon chibre dans son derrière pour qu'elle s'habitue à la présence de ce gourdin en elle. Elle sembla apprécier. Je regardai mon pénis s'engager doucement entre ses fesses. Mes mouvements se firent plus rapides, plus forts.
Je lui donnai une bonne claque sur la fesse. Elle adora.
Je ne pouvais plus me retenir davantage.
Je posai une main sur son épaule et entrepris de me déchainer dans son joli corps. J'étais comme une bête. Je la défonçai comme elle me l'avait demandé. Elle était, quelques minutes durant, ma femelle soumise. Son corps encaissait divinement mes assauts, j'entendis un oui qui finit en cri. Et je fus submergé par le plaisir. Je jouis violemment. Souillant son cul de jets de sperme chaud. Crispé, accroché à son corps comme à une bouée de sauvetage...
...
Je m'écroulai sur son dos. Subissant encore les dernières vagues du plaisir.
Elle soufflait doucement. Je lui fis de délicats baisers dans son cou humide de sueur. Elle souriait.
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Re: Chère cousine...
C'est superbement écrit
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
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Re: Chère cousine...
Ca va venir
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
Re: Chère cousine...
Mon plan était le suivant : une jeune femme esseulée aurait lu cette histoire. Ca l'aurait mise dans un état indescriptible. Elle m'aurait rapidement contacté par MP pour me faire part de son admiration. Nous aurions galamment échangé, puis on se serait séduits mutuellement. Rencontre. Coup de foudre et début d'une histoire follement sensuelle et passionnée.
...
J'attends...
...
J'attends...
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Re: Chère cousine...
J'crois que tu fais peur aux femmes, tu râles trop
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
Re: Chère cousine...
Je ne vais pas te contacter pour te signifier mon admiration, il n'y aura pas de séduction, pas plus que de coup de foudre, mais je vais en revanche te dire combien j'ai apprécié le style de ce récit
Re: Chère cousine...
moi j'ai adoré ton récit.. ta description tout.. je voyais la scène dans ma tête.. j'ai a do réeeeeee
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Re: Chère cousine...
j'adoooooooore
encore
encore
Que le diable t'emporte
C'est pas l'heure
Et qu'il frappe à ta porte
J'ai pas peur
C'est pas l'heure
Et qu'il frappe à ta porte
J'ai pas peur
Re: Chère cousine...
Pour voir la scène en vrai, merci de me contacter en MP.Yuna a écrit :moi j'ai adoré ton récit.. ta description tout.. je voyais la scène dans ma tête.. j'ai a do réeeeeee
Re: Chère cousine...
Je fais peur aux femmes ?Bikette a écrit :J'crois que tu fais peur aux femmes, tu râles trop
Re: Chère cousine...
Je ne vise pas le Goncourt, mais un petit mot pour me dire ce que vous en pensez, en bien ou en mal, serait vraiment bienvenu.
Re: Chère cousine...
t'as une vidéo à me montrer c'est ça ?Ripolino a écrit : Pour voir la scène en vrai, merci de me contacter en MP.
Re: Chère cousine...
Yuna a écrit : t'as une vidéo à me montrer c'est ça ?
Nan... je ne me filme pas...
C'était pour les (nombreuses) demandes de rendez-vous.
Mais... J'attends toujours...
Re: Chère cousine...
Merci.Pada a écrit :Moi j'aime bien, simple, concis, mais terriblement efficace
Re: Chère cousine...
Je ferai un effort de description pour le prochain récit. Merci pour vos réactions.
Re: Chère cousine...
se n'est en aucun cas un reproche et ça ne m'empêchera pas de lire, c'est ainsi que je l'ai ressenti c'est toutRipolino a écrit :Je ferai un effort de description pour le prochain récit. Merci pour vos réactions.
Re: Chère cousine...
Je ne le prends nullement comme un reproche mais comme une invitation à l'amélioration que j'ai moi-même sollicitée.
J'apprécie ce commentaire que tu m'as laissé.
...
Snif.
...
Bouuuuuuuuuuuuuuhouhou
Elle a dit que c'était pas assez descriptif!!!
J'apprécie ce commentaire que tu m'as laissé.
...
Snif.
...
Bouuuuuuuuuuuuuuhouhou
Elle a dit que c'était pas assez descriptif!!!
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Re: Chère cousine...
Alors, tu vois, en étant plus gentil, tu fais moins peur aux femmes, elles viennent plus facilement
Tu remarqueras que moi, j'ai pas eu peur, suis venue toute seule dés le début
Tu remarqueras que moi, j'ai pas eu peur, suis venue toute seule dés le début
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
Re: Chère cousine...
Oui, c'est vrai.
Mais question relations sexuelles c'est pas encore la fête au village...
Mais question relations sexuelles c'est pas encore la fête au village...
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Re: Chère cousine...
Ca va venir aussi
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
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Re: Chère cousine...
Monsieur est trop généreux
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
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Re: Chère cousine...
J'y suis sur N&B sur exhib
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
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Re: Chère cousine...
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
Re: Chère cousine...
Ripolino a écrit :Je ne le prends nullement comme un reproche mais comme une invitation à l'amélioration que j'ai moi-même sollicitée.
J'apprécie ce commentaire que tu m'as laissé.
...
Snif.
...
Bouuuuuuuuuuuuuuhouhou
Elle a dit que c'était pas assez descriptif!!!
Moi je me demande si plus de détails, ne changerais pas ton écriture... La façon dont tu décris tes scènes correspondent au reste du texte...
Je me demande si des scènes hard, ne casserais pas l'harmonie de tes mots... Déséquilibrerais la lecture... Tu me comprends ?
Re: Chère cousine...
Joli aussi (je suis venu lire celui-ci après avoir lu la suite )
C'est vraiment sympa, je ne ressens pas non plus le besoin d'être plus descriptif
N'empeche, jamais ça n'arrive des situations comme ça, dans la vraie vie, et c'est ça qui fait que ce récit est très :cinglé: :cinglé:
C'est vraiment sympa, je ne ressens pas non plus le besoin d'être plus descriptif
N'empeche, jamais ça n'arrive des situations comme ça, dans la vraie vie, et c'est ça qui fait que ce récit est très :cinglé: :cinglé:
Re: Chère cousine...
Ripolino a écrit :Non, jamais hélas...
A part philosopher,
pense à écrire, du concret, du lourd.
la suite elle est où?
Re: Chère cousine...
Je propose un deal :
- tu me trouves une copine
- tu me prépares mon entretien du 14/6 avec la directrice
- tu me prépares ma réunion du 17/6
et je t'écris la suite, rien que pour toi... avec un rôle pour toi si tu veux.
- tu me trouves une copine
- tu me prépares mon entretien du 14/6 avec la directrice
- tu me prépares ma réunion du 17/6
et je t'écris la suite, rien que pour toi... avec un rôle pour toi si tu veux.