Monsieur Mon Homme & moi
Publié : 20 janvier 2021, 11:28
A défaut de photos, je peux vous raconter...
Au tout début, quand je lui ai confié que j'aimais être soumise, Il m'a répondu que c'était pas trop son truc.
Pourtant, quand je lui ai montré mes premiers accessoires, Il les a examinés avec un grand intérêt.
On n'était pas encore officiellement ensemble, que je m'offrais un kit avec des menottes en cuir et fixation par boucles métalliques, un martinet, une badine, un bâillon, un masque et de la corde.
L'arrivée du colis lui a finalement bien fait plaisir.
Mais les anneaux de fixation étaient trop légers, on les a donc remplacés par des mousquetons plus forts achetés en magasin de bricolage.
D'ailleurs, Il en a profité pour acheter de nouvelles cordes, des chaînes et des S qui une fois serrés aux extrémités permettent d'offrir une accroche solide.
Il a aussi acheté un manche à balais qu'Il a percé et sur lequel Il a fixé des crochets.
Une barre pour me maintenir les pieds et les mains comme Il le souhaite.
Jusqu'à présent, Monsieur m'attachait, mais se contentait d'une esquisse.
Hier, Il a joué.
Son SMS de 14 heures n'avait rien d'ambiguë :
"Tiens toi à disposition quand je rentre.
Quand j'ouvrirai la porte, je veux que tu sois nue dans le lit avec tes bas et porte jarretelles.
Sur le dos, jambes écartées.
Je t'enverrai un sms 10 minutes avant d'arriver."
Puis :
"Tu as bien compris ?
Que je vois bien tes belles lèvres vaginales et le trou de tes fesses."
Puis :
"Tu seras ouverte et offerte... Je m'occuperai bien de toi. Sauf si tu es vilaine, là je te fouetterais ou te mettrais des liens... jusqu'à ce que tu obéisses"
Puis :
"Tu as bien compris ce que j'attends de toi ?!"
"Oui Monsieur"
"Bien."
10 minutes avant qu'il arrive, le sms s'affiche.
Je me déshabille et enfile mes bas pour les fixer à mon porte jarretelles.
J'ai le coeur à 200. On a enfin passé la vitesse supérieure !
Il prend son rôle très au sérieux.
Il me demande de fermer les yeux quand Il entre dans la chambre.
Il me caresse.
Sa bouche tutoie mes lèvres intimes.
Puis il me demande de me mettre à genoux et de le sucer.
Je m'applique à prendre ce truc énorme dans ma bouche sans tirer au coeur quand il va au fond de la gorge.
Il aime, Il est satisfait.
Il me fait allonger sur le lit et cherche la boite d'accessoires.
Je n'ai pas été vilaine, du moins pas selon Sa définition... mais il m'attache.
J'ouvre les yeux et je Le vois sortir les chaines.
Il les fixes sur le sommier et y verrouille les mousquetons des poignets. Comme elle est longue, Il m'attache les chevilles à la chaine.
Je suis sur le dos, jambes écartées en l'air, mains et pieds liés.
Mais j'en sais trop. Le bandeau me couvre les yeux.
Sa bouche tutoie mes lèvres intimes.
Mes mouvements sont contrés par mes entraves.
Puis un coup de badine tombe de nulle part. Puis deux, trois.... je ne les compte plus.
La badine est remplacée par ses baisers. Sur mon corps, mes seins, mon cou, ma bouche, mon intimité...
Le martinet s'invite à la fête. Ca pique plus que la badine. Surtout sur les seins.
Mais Monsieur s'en moque.
Je suis sa soumise. Et j'aime ça.
Il alterne, badine, martinet, baisers, caresses... pas spécialement dans cet ordre, ni de façon régulière.
Il se frotte sur mon clito, c'est horrible tant c'est plaisant et contraignant quand on est attachée !
Il rentre, fait quelques va et vient et se retire.
La badine est de retour.
Les baisers sur mon intimité aussi.
Je ne vois rien.
Je ne sais pas ce qui arrive.
Parfois ça pique, parfois ça fait mal et parfois c'est tout doux.
Puis Il décide de me prendre à nouveau. Furtivement. Comme la première fois. Juste quelques va et viens.
Puis Il descend.
Entre un peu fort dans mes fesses où Il explose avant de s'allonger sur moi et m'embrasser le cou.
Il me dit "Il est 19 heures. Je te laisse là. Je vais préparer le repas."
Je reste donc les mains et les pieds écartés en l'air, attachée au lit en aveugle.
Quand Il revient, je sens la piqure du martinet sur mon ventre.
Puis Il me libère, mais me laisse le bandeau.
Quand Il m'aide à me lever, les jambes engourdies ne me tiennent pas, Il me fait rassoir sur le lit.
Il va me chercher ma robe de chambre et après quelques minutes, Il m'emmène dans le salon et me fait asseoir sur le canapé.
Il me demande de ne pas bouger.
Et ce n'est que quelques minutes plus tard, quand la table est dressée et que le repas est prêt qu'Il me retire le bandeau et met fin à la séance.
Il avait hésité à la prolongé, mais comme on n'avait jamais été si loin, Il a hésité.
Je lui ai répondu qu'on en fera des plus longues.
A suivre.
Au tout début, quand je lui ai confié que j'aimais être soumise, Il m'a répondu que c'était pas trop son truc.
Pourtant, quand je lui ai montré mes premiers accessoires, Il les a examinés avec un grand intérêt.
On n'était pas encore officiellement ensemble, que je m'offrais un kit avec des menottes en cuir et fixation par boucles métalliques, un martinet, une badine, un bâillon, un masque et de la corde.
L'arrivée du colis lui a finalement bien fait plaisir.
Mais les anneaux de fixation étaient trop légers, on les a donc remplacés par des mousquetons plus forts achetés en magasin de bricolage.
D'ailleurs, Il en a profité pour acheter de nouvelles cordes, des chaînes et des S qui une fois serrés aux extrémités permettent d'offrir une accroche solide.
Il a aussi acheté un manche à balais qu'Il a percé et sur lequel Il a fixé des crochets.
Une barre pour me maintenir les pieds et les mains comme Il le souhaite.
Jusqu'à présent, Monsieur m'attachait, mais se contentait d'une esquisse.
Hier, Il a joué.
Son SMS de 14 heures n'avait rien d'ambiguë :
"Tiens toi à disposition quand je rentre.
Quand j'ouvrirai la porte, je veux que tu sois nue dans le lit avec tes bas et porte jarretelles.
Sur le dos, jambes écartées.
Je t'enverrai un sms 10 minutes avant d'arriver."
Puis :
"Tu as bien compris ?
Que je vois bien tes belles lèvres vaginales et le trou de tes fesses."
Puis :
"Tu seras ouverte et offerte... Je m'occuperai bien de toi. Sauf si tu es vilaine, là je te fouetterais ou te mettrais des liens... jusqu'à ce que tu obéisses"
Puis :
"Tu as bien compris ce que j'attends de toi ?!"
"Oui Monsieur"
"Bien."
10 minutes avant qu'il arrive, le sms s'affiche.
Je me déshabille et enfile mes bas pour les fixer à mon porte jarretelles.
J'ai le coeur à 200. On a enfin passé la vitesse supérieure !
Il prend son rôle très au sérieux.
Il me demande de fermer les yeux quand Il entre dans la chambre.
Il me caresse.
Sa bouche tutoie mes lèvres intimes.
Puis il me demande de me mettre à genoux et de le sucer.
Je m'applique à prendre ce truc énorme dans ma bouche sans tirer au coeur quand il va au fond de la gorge.
Il aime, Il est satisfait.
Il me fait allonger sur le lit et cherche la boite d'accessoires.
Je n'ai pas été vilaine, du moins pas selon Sa définition... mais il m'attache.
J'ouvre les yeux et je Le vois sortir les chaines.
Il les fixes sur le sommier et y verrouille les mousquetons des poignets. Comme elle est longue, Il m'attache les chevilles à la chaine.
Je suis sur le dos, jambes écartées en l'air, mains et pieds liés.
Mais j'en sais trop. Le bandeau me couvre les yeux.
Sa bouche tutoie mes lèvres intimes.
Mes mouvements sont contrés par mes entraves.
Puis un coup de badine tombe de nulle part. Puis deux, trois.... je ne les compte plus.
La badine est remplacée par ses baisers. Sur mon corps, mes seins, mon cou, ma bouche, mon intimité...
Le martinet s'invite à la fête. Ca pique plus que la badine. Surtout sur les seins.
Mais Monsieur s'en moque.
Je suis sa soumise. Et j'aime ça.
Il alterne, badine, martinet, baisers, caresses... pas spécialement dans cet ordre, ni de façon régulière.
Il se frotte sur mon clito, c'est horrible tant c'est plaisant et contraignant quand on est attachée !
Il rentre, fait quelques va et vient et se retire.
La badine est de retour.
Les baisers sur mon intimité aussi.
Je ne vois rien.
Je ne sais pas ce qui arrive.
Parfois ça pique, parfois ça fait mal et parfois c'est tout doux.
Puis Il décide de me prendre à nouveau. Furtivement. Comme la première fois. Juste quelques va et viens.
Puis Il descend.
Entre un peu fort dans mes fesses où Il explose avant de s'allonger sur moi et m'embrasser le cou.
Il me dit "Il est 19 heures. Je te laisse là. Je vais préparer le repas."
Je reste donc les mains et les pieds écartés en l'air, attachée au lit en aveugle.
Quand Il revient, je sens la piqure du martinet sur mon ventre.
Puis Il me libère, mais me laisse le bandeau.
Quand Il m'aide à me lever, les jambes engourdies ne me tiennent pas, Il me fait rassoir sur le lit.
Il va me chercher ma robe de chambre et après quelques minutes, Il m'emmène dans le salon et me fait asseoir sur le canapé.
Il me demande de ne pas bouger.
Et ce n'est que quelques minutes plus tard, quand la table est dressée et que le repas est prêt qu'Il me retire le bandeau et met fin à la séance.
Il avait hésité à la prolongé, mais comme on n'avait jamais été si loin, Il a hésité.
Je lui ai répondu qu'on en fera des plus longues.
A suivre.