si belles, si sœurs
Prologue.
Magalie, est la sœur de ma compagne, c’est une de jeune fille 16 ans, avec des cheveux blonds longs, une taille de guêpe, un corps parfait avec de belles petites fesses bien fermes, et une poitrine imposante.
J'avais depuis toujours beaucoup d'affinités avec elle, plus jeune déjà lorsqu'elle n'avait que 13 ou 14 ans elle ne manquait pas une occasion pour se coller à moi, de venir me poser des questions pour tout et rien.
Je n’y voyais aucune arrière pensée de sa part bien qu’elle fut craquante.
-.-
Propos de Sabine ma femme
Propos de Magalie ma belle sœur
Propos de Jacques (moi)
Mes pensées,
1)
Tout a commencé au printemps 1983, ma future femme Sabine avec qui je vivais depuis 3 ans me demande :
Magalie qui a loupé son année scolaire, doit commencer un apprentissage en septembre, si possible à Strasbourg.
Elle a un peut plus de 16 ans, s’est sa dernière chance de s’en sortir, et d’avoir une formation.
Et alors demandais-je?
Mes parents habitent à 55 kilomètres comment va faire Magalie ?
Tu pense à quoi ?
Comme nous habitons à 10 minutes du centre de Strasbourg, elle pourrait habiter chez nous, on a beaucoup de place, et sa serait plus simple pour elle.
Comme j’attends un bébé elle pourra aussi m’aider à la maison quand ses devoirs et son apprentissage le permettront.
Ca ne me gène pas, mais tu me connais le matin y a pas plus bougon que moi et puis les trois quarts du temps je me ballade nu dans la maison.
Et toi tu n’es pas trop discrète quand nous « jouons » tous les deux.
Ma femme est une personne très ambigüe.
Elle est à la foi introvertie et extravertie.
Introvertie lorsqu’il s’agit de s’exprimer, (elle est assez prude dans ses propos, sans être grenouille de bénitier bien que certaine foi elle m’énerve grave avec sa pudibonderie).
Alors qu’au lit elle est totalement extravertie et se déchaine.
Heureusement que nous habitons une maison et non plus en appartement.
Elle me regarde malicieusement.
Faudra que je fasse attention, mais que veux-tu.
Comme tu me l’a toujours dis, et surtout appris, faire l’amour se vit, se ressent. En parler, ne m’intéresse pas.
Et toi aussi faudra que tu fasses attention. Magalie m’a dit qu’elle n’a pas connu encore l’homme qui lui aurai donnait l’envie de franchir le pas.
Elle a eut des flirts, d’après ce qu’elle m’a dit, mais sans plus. Et j’ai l’impression qu’elle flash sur toi !!
Ben elle est jeune pour avoir déjà eut des relations sexuelles.
Elle ne relève pas mes propos, mais comme toujours continue le fil de sa pensée.
Comme tu n’es pas trop prude, pour ne pas dire pas du tout, il faudra que toi aussi tu sois attentif à ne pas provoquer de situation embarrassante.
Ca y est maintenant c’est moi m’exclamé-je.
A quel style de situations embarrassantes penses-tu?
J’ai l’impression qu’elle est assez prude, et je ne pense pas à ce que j’ai compris de nos discutions, qu’elle a déjà vue un homme nu bien que je n’en sois pas du tout certain.
De toute façon elle complexe avec sa poitrine. Elle trouve que les hommes ne la voie que pour ses seins. Tu te rends compte qu’elle a plus de poitrine que moi. Je crois qu’elle fait un 95C et c’est un minimum. C’est disproportionné pour son âge.
Je suis et j’ai toujours était naturiste, tous les vendredis après midi je vais au sauna naturiste prés de chez nous pour me relaxer. Je ne te l’impose pas, car tu n’aime pas. De toute façon le naturisme est un état d’esprit.
Elle continue sans écouter mes propos.
Mais après que nous ayons « joué » tous les deux, tu vas prendre une douche.
Tu passeras devant le clic-clac où je pense qu’elle pourrait dormir, en attendant que tu rénove la chambre d’ami.
Et voila, maintenant non seulement je rénove la chambre du fauve qui va bientôt naître mais en plus, faut que je fasse aussi la chambre d’ami.
La discussion s’arrête et je n’y pense plus, occupé que j’étais par mes activités professionnelles.
Si belles, si sœurs
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Re: Si belles, si sœurs
J'aime beaucoup Jak 
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
-
DeLsEp9
Re: Si belles, si sœurs
Propos de Sabine ma femme
Propos de Magalie ma belle sœur
Propos de Jacques (moi)
Mes pensées,
2)
Et voila, maintenant non seulement je rénove la chambre du fauve qui va bientôt naître mais en plus, faut que je fasse aussi la chambre d’ami.
La discussion s’arrête et je n’y pense plus, occupé que j’étais par mes activités professionnelles.
-.-
Fin mai un samedi à 23h mon épouse accouche (nous nous sommes mariés peu avant la naissance) d’un adorable poupon. Ce fut une nuit magnifique et étonnamment pour un mois de mai, il y eut plein d’étoiles filantes.
Nous avons prévu de partir en Aout en vacances et mon épouse me dit :
Je suis fatiguée par mon accouchement, et l’allaitement, que dirais tu que Magalie nous accompagne en vacances pendant les trois semaines ?
Je la regardais abasourdi.
Magalie trois semaines avec nous en vacances ça risque d’être chaud.
Ces derniers temps elle passe souvent voir mon épouse. A ce qu’elle dit.
Je trouve qu’elle a un comportement étrange. Distante avec sa sœur et très, trop proche de moi. Mon imagination sans doute.
Il est vrai qu’à mon corps défendant, depuis deux ans son corps s’était développé, et à 14 ans elle avait déjà un corps de femme, et une poitrine qui ne pouvait qu’attirer le regard, comme m’avait dit un jour ma femme.
Mais maintenant, elle a une poitrine pas possible, comme Magalie est menue, tu ne vois que sa poitrine quand elle est en face de toi.
Je n'avais surtout pas envie de tenter quoi que ce soit. Que se serait-il passé si cela avait mal tourné ou si ce que je prenais pour des avances, n'étaient en fait que le fruit de mon imagination ?
Il y avait cependant dans son regard quand il m'arrivait de la ramener chez sa mère un quelque chose de troublant qu'on a du mal à exprimer, ainsi que des petits gestes que je mettais du coup sur le compte de sa jeunesse, et de son inexpérience des hommes.
Les relations que j'avais avec ma belle sœur Magalie n'en restant pour autant que platoniques.
Mi juillet mon épouse me dit :
Je pars avec le petit, demain pour 5 jours chez ma mère pour voir avec elle comment elle compte régler ce problème de trajet pour l’apprentissage de Magalie.
Ah c’est toujours à l’ordre du jour?
Je crois bien me dit elle.
Comme mon épouse n’est pas là, je rentre plus tard. Au moment de me coucher, la sonnette de la porte d’entrée retentit.
Je regarde ma montre il est minuit.
Avec la caméra intégrée à la sonnette je vois Magalie.
Etonné, je lui ouvre.
Elle entre.
Que fais tu là ?
Tu as vu l’heure ?
Magalie me regarde et commence à pleurnicher.
Ben je je je euh ma sœur dort deé déjà ??
Je me rends compte à la manière dont elle s’exprime qu’elle a un peu trop bu.
Ta sœur est chez ta mère, avec le petit, et toi tu devrais aussi y être, dis-je sévèrement.
Je je suis sortie avec une copine et on a un peut juste un tout tout petit peu trop bu.
Personne ne pouvant me ramener à la maison, je me suis dit qu’il valait mieux venir dormir ici, maman me tue si elle me voie dans cet état.
Exactement ce que j’étais en train de me dire.
Je prends le téléphone et appelle ma femme.
Elle décroche et d’une voix paniquée
Que se passe-t-il, tu as eu un accident ??
Non juste ta sœur qui vient d’arriver, je te la passe…
Propos de Magalie ma belle sœur
Propos de Jacques (moi)
Mes pensées,
2)
Et voila, maintenant non seulement je rénove la chambre du fauve qui va bientôt naître mais en plus, faut que je fasse aussi la chambre d’ami.
La discussion s’arrête et je n’y pense plus, occupé que j’étais par mes activités professionnelles.
-.-
Fin mai un samedi à 23h mon épouse accouche (nous nous sommes mariés peu avant la naissance) d’un adorable poupon. Ce fut une nuit magnifique et étonnamment pour un mois de mai, il y eut plein d’étoiles filantes.
Nous avons prévu de partir en Aout en vacances et mon épouse me dit :
Je suis fatiguée par mon accouchement, et l’allaitement, que dirais tu que Magalie nous accompagne en vacances pendant les trois semaines ?
Je la regardais abasourdi.
Magalie trois semaines avec nous en vacances ça risque d’être chaud.
Ces derniers temps elle passe souvent voir mon épouse. A ce qu’elle dit.
Je trouve qu’elle a un comportement étrange. Distante avec sa sœur et très, trop proche de moi. Mon imagination sans doute.
Il est vrai qu’à mon corps défendant, depuis deux ans son corps s’était développé, et à 14 ans elle avait déjà un corps de femme, et une poitrine qui ne pouvait qu’attirer le regard, comme m’avait dit un jour ma femme.
Mais maintenant, elle a une poitrine pas possible, comme Magalie est menue, tu ne vois que sa poitrine quand elle est en face de toi.
Je n'avais surtout pas envie de tenter quoi que ce soit. Que se serait-il passé si cela avait mal tourné ou si ce que je prenais pour des avances, n'étaient en fait que le fruit de mon imagination ?
Il y avait cependant dans son regard quand il m'arrivait de la ramener chez sa mère un quelque chose de troublant qu'on a du mal à exprimer, ainsi que des petits gestes que je mettais du coup sur le compte de sa jeunesse, et de son inexpérience des hommes.
Les relations que j'avais avec ma belle sœur Magalie n'en restant pour autant que platoniques.
Mi juillet mon épouse me dit :
Je pars avec le petit, demain pour 5 jours chez ma mère pour voir avec elle comment elle compte régler ce problème de trajet pour l’apprentissage de Magalie.
Ah c’est toujours à l’ordre du jour?
Je crois bien me dit elle.
Comme mon épouse n’est pas là, je rentre plus tard. Au moment de me coucher, la sonnette de la porte d’entrée retentit.
Je regarde ma montre il est minuit.
Avec la caméra intégrée à la sonnette je vois Magalie.
Etonné, je lui ouvre.
Elle entre.
Que fais tu là ?
Tu as vu l’heure ?
Magalie me regarde et commence à pleurnicher.
Ben je je je euh ma sœur dort deé déjà ??
Je me rends compte à la manière dont elle s’exprime qu’elle a un peu trop bu.
Ta sœur est chez ta mère, avec le petit, et toi tu devrais aussi y être, dis-je sévèrement.
Je je suis sortie avec une copine et on a un peut juste un tout tout petit peu trop bu.
Personne ne pouvant me ramener à la maison, je me suis dit qu’il valait mieux venir dormir ici, maman me tue si elle me voie dans cet état.
Exactement ce que j’étais en train de me dire.
Je prends le téléphone et appelle ma femme.
Elle décroche et d’une voix paniquée
Que se passe-t-il, tu as eu un accident ??
Non juste ta sœur qui vient d’arriver, je te la passe…
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Re: Si belles, si sœurs
Alors ?? kesky se passe aprés ???
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
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Re: Si belles, si sœurs
ahhhhhBikette a écrit :Alors ?? kesky se passe aprés ???
tu voudrais déjà savoir...................
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Re: Si belles, si sœurs
Ben vi 
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
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DeLsEp9
Re: Si belles, si sœurs
Laphoenix75 a écrit :pour Bikette je demande
fayotte,
lèche cul; non le poste est déjà pris. (Only4U )
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DeLsEp9
Re: Si belles, si sœurs
Propos de Sabine ma femme
Propos de Magalie ma belle sœur
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Mes pensées,
3)
Elle décroche, et avec une voix paniqué me dit:
Que se passe t’il, tu as eut un accident ??
Non juste ta sœur qui vient d’arriver, je te la passe…
…
-.-
Magalie me regarde paniquée.
Oh attends, elle vient de s’endormir, elle n’a pas l’habitude de faire la fête.
Par ce qu’elle a fait la fête. Elle a dit à maman qu’elle révisait avec sa copine pour préparer son test d’apprentissage.
Fais lui la morale demain matin, je dis juste à maman que Magalie dort à la maison.
Soyez sage tous les deux me dit elle en rigolant.
Pas de risque elle dort.
Je raccroche. Magalie me regarde avec des yeux énamourés.
Je me faits encore des idées je suis sur, et en plus vue son état, calme mec, calme.
Merci, merci.
Elle se jette dans mes bras et mets les siens autour de mon cou. Elle pose sa tête sur ma poitrine.
Elle m’embrasse sur la joue, je sens son imposante poitrine s’écraser sur mon torse.
Il est bien insistant et bien appuyé ce bisou. Et ses seins si ferment contre moi. Ah si tu n’étais pas la sœur de ma femme !
Bon prends une douche, je prépare ton lit, tu te couches, et prends une bassine au cas où !!!!!
J’ouvre le clic-clac, et fait son lit. La porte de la salle de bain s’ouvre, inconsciemment je regarde. Magalie passe la tête.
Je ne trouve pas de bassine.
Sa main humide glisse du chambranle de la porte et j’aperçois un de ses seins. Il est magnifique, imposant c’est vrai mais d’une fermeté incroyable, et une aréole rose pale avec un téton qui pointe doucement.
Elle souri.
Normalement dans le meuble sous les vasques, il y en a une.
Elle retourne dans la salle de bain sans fermer la porte. Elle m’expose ses fesses. Je me retiens de la suivre.
Oui je viens de la trouver derrière les serviettes.
Je me couche
10 Minutes se passe je commence à m’assoupir, avec juste un drap sur moi. Je voie ce sein ses fesses devant mes yeux.
Arrête tu te fais un film, elle a trop bue, et elle a glissée. Ce n’était pas voulu.
J’entends toquer à la porte de ma chambre.
Oui.
C’et moi.
Entre
Elle entre avec mon peignoir de bain qui est trois fois trop grande pour elle, je fais 1m 80 et elle 1m65.
J’éclate de rire.
Le peignoir de bain traine par terre, et à chaque pas elle manque de s’étaler.
Ben tu as compris :
Premièrement je ne peux pas dormir avec ton peignoir de bain, je vais m’étouffer avec.
Propos de Magalie ma belle sœur
Propos de Jacques (moi)
Mes pensées,
3)
Elle décroche, et avec une voix paniqué me dit:
Que se passe t’il, tu as eut un accident ??
Non juste ta sœur qui vient d’arriver, je te la passe…
…
-.-
Magalie me regarde paniquée.
Oh attends, elle vient de s’endormir, elle n’a pas l’habitude de faire la fête.
Par ce qu’elle a fait la fête. Elle a dit à maman qu’elle révisait avec sa copine pour préparer son test d’apprentissage.
Fais lui la morale demain matin, je dis juste à maman que Magalie dort à la maison.
Soyez sage tous les deux me dit elle en rigolant.
Pas de risque elle dort.
Je raccroche. Magalie me regarde avec des yeux énamourés.
Je me faits encore des idées je suis sur, et en plus vue son état, calme mec, calme.
Merci, merci.
Elle se jette dans mes bras et mets les siens autour de mon cou. Elle pose sa tête sur ma poitrine.
Elle m’embrasse sur la joue, je sens son imposante poitrine s’écraser sur mon torse.
Il est bien insistant et bien appuyé ce bisou. Et ses seins si ferment contre moi. Ah si tu n’étais pas la sœur de ma femme !
Bon prends une douche, je prépare ton lit, tu te couches, et prends une bassine au cas où !!!!!
J’ouvre le clic-clac, et fait son lit. La porte de la salle de bain s’ouvre, inconsciemment je regarde. Magalie passe la tête.
Je ne trouve pas de bassine.
Sa main humide glisse du chambranle de la porte et j’aperçois un de ses seins. Il est magnifique, imposant c’est vrai mais d’une fermeté incroyable, et une aréole rose pale avec un téton qui pointe doucement.
Elle souri.
Normalement dans le meuble sous les vasques, il y en a une.
Elle retourne dans la salle de bain sans fermer la porte. Elle m’expose ses fesses. Je me retiens de la suivre.
Oui je viens de la trouver derrière les serviettes.
Je me couche
10 Minutes se passe je commence à m’assoupir, avec juste un drap sur moi. Je voie ce sein ses fesses devant mes yeux.
Arrête tu te fais un film, elle a trop bue, et elle a glissée. Ce n’était pas voulu.
J’entends toquer à la porte de ma chambre.
Oui.
C’et moi.
Entre
Elle entre avec mon peignoir de bain qui est trois fois trop grande pour elle, je fais 1m 80 et elle 1m65.
J’éclate de rire.
Le peignoir de bain traine par terre, et à chaque pas elle manque de s’étaler.
Ben tu as compris :
Premièrement je ne peux pas dormir avec ton peignoir de bain, je vais m’étouffer avec.
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Re: Si belles, si sœurs
Ralalalaaaaaa 
Merci d'avoir demandé mon Bel Oiseau
Merci d'avoir demandé mon Bel Oiseau
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
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Re: Si belles, si sœurs
Bikette a écrit :Ralalalaaaaaa
Merci d'avoir demandé mon Bel Oiseau
T'as eut celle de demain
demain ceinture.
et toc
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Re: Si belles, si sœurs
Ca me va aussi, la ceinture 
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
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DeLsEp9
Re: Si belles, si sœurs
Bikette a écrit :Ca me va aussi, la ceinture
Tout dépends qui l'a en main. :cinglé:
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Re: Si belles, si sœurs
Heureusement que je connais déjà le texte...Car pour une fois que les suite n'attendent pas 
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DeLsEp9
Re: Si belles, si sœurs
Je t'adore,Mclm a écrit :Heureusement que je connais déjà le texte...Car pour une fois que les suite n'attendent pas
tellement que je ne vais pas oser me retenir
quand on se verra.
-
Supprimé
Re: Si belles, si sœurs
Jak67 a écrit : Je t'adore,tellement que je ne vais pas oser me retenir
Ah bon j'aurais droit à un cadeau avec un gros ruban ??
quand on se verra.
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DeLsEp9
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Supprimé
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DeLsEp9
Re: Si belles, si sœurs
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Propos de Magalie ma belle sœur
Propos de Jacques (moi)
Mes pensées,
4)
Le peignoir de bain traine par terre, et à chaque pas elle manque de s’étaler.
Ben tu as compris :
Premièrement je ne peux pas dormir avec ton peignoir de bain, je vais m’étouffer avec.
-.-
Deuxièmement, je ne suis pas comme toi, je ne peux pas dormir toute nue, tu n’aurais pas un tee-shirt ou quelque chose comme cela ?
Je la regarde étonné,
Comment tu sais que je dors nu ?
Avec ma sœur, on parle souvent de mon beau-frère préféré toutes les deux. On a parlé de comment cela pourrait se passer pour mon apprentissage, si je venais vivre ici.
Elle voulait savoir mes réactions, du fait que l’on risquait de se croiser et que tu pourrais être en tenu d’Adam. Je n’ait jamais vue un homme nu.
Je sais beaucoup de chose sur toi, dit-elle avec un regard qui en dit long.
Elle s’assied sur le bord du lit. Le peignoir de bain qui s’est entrouvert, laisse apparaitre une grande partie de son sillon mammaire ainsi que la partie supérieure de son imposante poitrine.
Elle pose un genou sur le lit, le peignoir s’ouvre et je voie ses cuisses nues, je devine un début de toison caché bien au chaud de ses belles cuisses.
En même temps qu’elle me parle, je remarque un petit sourire et un regard que je trouve bien aguicheur.
Inconsciemment, tout cela commence à me faire un certain effet et mon sexe commence sérieusement à se dresser, je relève mes genoux pour cacher le corps du délit avec le drap.
Attends, je te cherche un tee-shirt de ta sœur, tourne toi que je mette mon peignoir de bain.
Elle se retourne, je me lève et m’esclaffe !!
Il y a deux solutions :
tu restes tournée comme tu l’es, je cherche dans l’armoire
ou tu me passes le peignoir de bain que tu as sur le dos.
Elle se retourne. Mon peignoir trop grand pour elle, laisse discrètement et complètement apparaître un sein magnifique.
Hum Qu’est ce que je donnerais pour le caresser. Ce téton, le prendre en bouche, le sucer, le faire se dresser pour le mordiller. Je sens que mon sexe commence à suivre ma pensée et se redresse de plus en plus.
Ma main plonge et attrape le drap pour cacher un état qui pourrait la choquer (qui sait)
Elle rigole, en me voyant faire.
Si je te donne le peignoir de bain tu vas me voir toute nue. Que vas-tu penser de ta jeune belle-sœur? Que je suis une allumeuse, que je veux t’allumer ?
Je me retourne, tu cherches dans l’armoire, je me change et je te ramène ton peignoir de bain.
Elle se retourne, se rassoit sur le lit. J’ouvre la porte de l’armoire, qui continue sur sa lancée et s’ouvre en grand. Je cherche dans les étagères un tee-shirt de mon épouse, elles ont presque la même taille.
Elle a du les emmener ou ils ne sont pas encore lavés.
Je me déplace et ouvre l’autre porte de l’armoire. A ce moment dans le miroir de la porte je remarque les yeux de Magalie qui semblent accrochés à ma virilité. Ses yeux ont l’air effarés, voir effrayés.
Propos de Magalie ma belle sœur
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Mes pensées,
4)
Le peignoir de bain traine par terre, et à chaque pas elle manque de s’étaler.
Ben tu as compris :
Premièrement je ne peux pas dormir avec ton peignoir de bain, je vais m’étouffer avec.
-.-
Deuxièmement, je ne suis pas comme toi, je ne peux pas dormir toute nue, tu n’aurais pas un tee-shirt ou quelque chose comme cela ?
Je la regarde étonné,
Comment tu sais que je dors nu ?
Avec ma sœur, on parle souvent de mon beau-frère préféré toutes les deux. On a parlé de comment cela pourrait se passer pour mon apprentissage, si je venais vivre ici.
Elle voulait savoir mes réactions, du fait que l’on risquait de se croiser et que tu pourrais être en tenu d’Adam. Je n’ait jamais vue un homme nu.
Je sais beaucoup de chose sur toi, dit-elle avec un regard qui en dit long.
Elle s’assied sur le bord du lit. Le peignoir de bain qui s’est entrouvert, laisse apparaitre une grande partie de son sillon mammaire ainsi que la partie supérieure de son imposante poitrine.
Elle pose un genou sur le lit, le peignoir s’ouvre et je voie ses cuisses nues, je devine un début de toison caché bien au chaud de ses belles cuisses.
En même temps qu’elle me parle, je remarque un petit sourire et un regard que je trouve bien aguicheur.
Inconsciemment, tout cela commence à me faire un certain effet et mon sexe commence sérieusement à se dresser, je relève mes genoux pour cacher le corps du délit avec le drap.
Attends, je te cherche un tee-shirt de ta sœur, tourne toi que je mette mon peignoir de bain.
Elle se retourne, je me lève et m’esclaffe !!
Il y a deux solutions :
tu restes tournée comme tu l’es, je cherche dans l’armoire
ou tu me passes le peignoir de bain que tu as sur le dos.
Elle se retourne. Mon peignoir trop grand pour elle, laisse discrètement et complètement apparaître un sein magnifique.
Hum Qu’est ce que je donnerais pour le caresser. Ce téton, le prendre en bouche, le sucer, le faire se dresser pour le mordiller. Je sens que mon sexe commence à suivre ma pensée et se redresse de plus en plus.
Ma main plonge et attrape le drap pour cacher un état qui pourrait la choquer (qui sait)
Elle rigole, en me voyant faire.
Si je te donne le peignoir de bain tu vas me voir toute nue. Que vas-tu penser de ta jeune belle-sœur? Que je suis une allumeuse, que je veux t’allumer ?
Je me retourne, tu cherches dans l’armoire, je me change et je te ramène ton peignoir de bain.
Elle se retourne, se rassoit sur le lit. J’ouvre la porte de l’armoire, qui continue sur sa lancée et s’ouvre en grand. Je cherche dans les étagères un tee-shirt de mon épouse, elles ont presque la même taille.
Elle a du les emmener ou ils ne sont pas encore lavés.
Je me déplace et ouvre l’autre porte de l’armoire. A ce moment dans le miroir de la porte je remarque les yeux de Magalie qui semblent accrochés à ma virilité. Ses yeux ont l’air effarés, voir effrayés.
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Re: Si belles, si sœurs
Ben tu parles l'excuse bidon !!! wouaiii même pas fichu d'avoir deux peignoirs
-
DeLsEp9
Re: Si belles, si sœurs
Mclm a écrit :Ben tu parles l'excuse bidon !!! wouaiii même pas fichu d'avoir deux peignoirs
Pourquoi un deuxième?
bien plus agréable d'en avoir qu'un. :cinglé: :cinglé: :cinglé:
Jeanjean a écrit :excellent
la suite, la suite :bounce
A peine arrivé, et déjà gourmand.
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Re: Si belles, si sœurs
S'il te plait Jak 
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
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Re: Si belles, si sœurs
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5)
Elle a dut les emmener ou ils ne sont pas encore lavés.
Je me déplace et ouvre l’autre porte de l’armoire. A ce moment dans le miroir de la porte je remarque les yeux de Magalie qui semblent accroché à ma virilité. Ses yeux on l’air effarés, voir effrayés.
-.-
Elle n’a pas l’air de se rendre compte, captivée par ma virilité, que le peignoir baille sur son imposante poitrine, et ses seins sont totalement visibles. Ils me donnent l’impression d’attendre ma bouche pour les sucer, les mordiller, les lécher. Sa toison également est totalement visible. Sa toison pubienne a l’air humide, comme si des gouttes de cyprine s’y accrochaient.
Du coup mon sexe se redresse encore plus, je suis dans un état indescriptible, qui me met mal à l’aise.
C’est la merde. Arrête de fantasmer, tu te fais un film mon pauvre Jacques. Elle ne le fait pas exprès.
Je prends un de mes tee-shirts et le lui passe en faisant mine de ne rien remarquer.
Elle sort, et revient deux minutes plus tard ayant enfilé mon tee-shirt, avec mon peignoir de bain sur les bras.
Elle le dépose sur le lit. Elle pose ses deux mains sur le lit, avance, pose ses genoux, se penche.
Mon tee-shirt, son tee-shirt baille de tous les côtés. Et là vison divine, son imposante poitrine, ses deux adorables seins avec de petites aréoles toutes roses, des tétons qui pointent, et plus bas un adorable triangle blond apparait.
Un vrai félin quand elle s’est avancée vers moi à quatre pattes sur le lit. Je trouve qu’elle reste bien longtemps dans cette position, comme si elle voulait me dire voila ce que j’ai à t’offrir. Qu’est ce que tu attends pour les prendre, les embrasser.
Elle m’embrasse sur les deux joues, à la limite de la commissure des lèvres.
En se redressant elle effleure mon sexe qui heureusement est à nouveau sous le drap, mais du fait de la vision qu’elle vient de m’offrir est dans un état indescriptible. J’ai droit à petit sourire, et elle sort.
Je commence à me poser de sérieuse questions, quand à cette belle–sœur si prude en apparence aux dires de ma moitié.
Je revois devant mes yeux, sa poitrine magnifique, son pubis blond. Je sens ses lèvres à la commissure des miennes. Je me surprends à caresser mon sexe en même temps. N’y tenant plus je me masturbe en pensant à cette petite puce qui à l’air de vouloir s’offrir.
Je m’endors en pensant à ce corps magnifique. La nuit se passe, je me lève à 6h30.
Ne pensant à rien je me dirige vers la salle de bain nu comme à l’habitude avec une érection matinale de belle ampleur.
Dans la lumière du soleil levant, j’aperçois Magalie qui dort à plat ventre.
Son tee-shirt trop grand est remonté. Son adorable fessier se projette à ma vue.
Je fonce dans la salle de bain, et prends une douche bien froide, pour calmer mes envies.
Je m’habille et vais pour préparer le petit dej.
J’arrive dans la cuisine, Magalie est assise en tailleur sur le banc de coin, l’air hagard.
Elle me regarde gênée,
Tu doits penser que je ne suis pas sérieuse dit elle. J’arrive en ayant trop bu chez toi la nuit, c’est pas top.
Bon écoute si avec ta sœur vous avez autant parlé de «ton beau-frère préféré» tu sais que tant que je n’ai pas bu mon café il ne faut pas me prendre la tête.
Je bois mon café, me tourne vers Magalie.
Vas y recommence.
Elle commence à pleurer.
Tu dois te demander quelle catastrophe tu as comme belle-sœur. Que je ne suis pas sérieuse.
J’arrive chez toi au milieu de la nuit en ayant trop bu, c’est pas top.
Je bois mon café en l’écoutant, je pose ma tasse, en m’asseyant à côté. Je pose ma main sur son épaule.
Pousse toi.
Ma main glisse involontairement de son épaule, et se retrouve sur un de ses seins. Je la sens se crisper légèrement. J’écarte immédiatement ma main, et la pose sur son bras.
Tu sais si je pensais cela je t’aurais mise dans la voiture cette nuit et t’aurais ramenée, chez ta mère.
Une erreur sa peut arriver, mais si tu viens habiter ici pas question de ça.
D’ailleurs prends le téléphone et appelle ta sœur, elle doit déjà être debout, elle allaite le petit.
Propos de Magalie ma belle sœur
Propos de Jacques (moi)
Mes pensées,
5)
Elle a dut les emmener ou ils ne sont pas encore lavés.
Je me déplace et ouvre l’autre porte de l’armoire. A ce moment dans le miroir de la porte je remarque les yeux de Magalie qui semblent accroché à ma virilité. Ses yeux on l’air effarés, voir effrayés.
-.-
Elle n’a pas l’air de se rendre compte, captivée par ma virilité, que le peignoir baille sur son imposante poitrine, et ses seins sont totalement visibles. Ils me donnent l’impression d’attendre ma bouche pour les sucer, les mordiller, les lécher. Sa toison également est totalement visible. Sa toison pubienne a l’air humide, comme si des gouttes de cyprine s’y accrochaient.
Du coup mon sexe se redresse encore plus, je suis dans un état indescriptible, qui me met mal à l’aise.
C’est la merde. Arrête de fantasmer, tu te fais un film mon pauvre Jacques. Elle ne le fait pas exprès.
Je prends un de mes tee-shirts et le lui passe en faisant mine de ne rien remarquer.
Elle sort, et revient deux minutes plus tard ayant enfilé mon tee-shirt, avec mon peignoir de bain sur les bras.
Elle le dépose sur le lit. Elle pose ses deux mains sur le lit, avance, pose ses genoux, se penche.
Mon tee-shirt, son tee-shirt baille de tous les côtés. Et là vison divine, son imposante poitrine, ses deux adorables seins avec de petites aréoles toutes roses, des tétons qui pointent, et plus bas un adorable triangle blond apparait.
Un vrai félin quand elle s’est avancée vers moi à quatre pattes sur le lit. Je trouve qu’elle reste bien longtemps dans cette position, comme si elle voulait me dire voila ce que j’ai à t’offrir. Qu’est ce que tu attends pour les prendre, les embrasser.
Elle m’embrasse sur les deux joues, à la limite de la commissure des lèvres.
En se redressant elle effleure mon sexe qui heureusement est à nouveau sous le drap, mais du fait de la vision qu’elle vient de m’offrir est dans un état indescriptible. J’ai droit à petit sourire, et elle sort.
Je commence à me poser de sérieuse questions, quand à cette belle–sœur si prude en apparence aux dires de ma moitié.
Je revois devant mes yeux, sa poitrine magnifique, son pubis blond. Je sens ses lèvres à la commissure des miennes. Je me surprends à caresser mon sexe en même temps. N’y tenant plus je me masturbe en pensant à cette petite puce qui à l’air de vouloir s’offrir.
Je m’endors en pensant à ce corps magnifique. La nuit se passe, je me lève à 6h30.
Ne pensant à rien je me dirige vers la salle de bain nu comme à l’habitude avec une érection matinale de belle ampleur.
Dans la lumière du soleil levant, j’aperçois Magalie qui dort à plat ventre.
Son tee-shirt trop grand est remonté. Son adorable fessier se projette à ma vue.
Je fonce dans la salle de bain, et prends une douche bien froide, pour calmer mes envies.
Je m’habille et vais pour préparer le petit dej.
J’arrive dans la cuisine, Magalie est assise en tailleur sur le banc de coin, l’air hagard.
Elle me regarde gênée,
Tu doits penser que je ne suis pas sérieuse dit elle. J’arrive en ayant trop bu chez toi la nuit, c’est pas top.
Bon écoute si avec ta sœur vous avez autant parlé de «ton beau-frère préféré» tu sais que tant que je n’ai pas bu mon café il ne faut pas me prendre la tête.
Je bois mon café, me tourne vers Magalie.
Vas y recommence.
Elle commence à pleurer.
Tu dois te demander quelle catastrophe tu as comme belle-sœur. Que je ne suis pas sérieuse.
J’arrive chez toi au milieu de la nuit en ayant trop bu, c’est pas top.
Je bois mon café en l’écoutant, je pose ma tasse, en m’asseyant à côté. Je pose ma main sur son épaule.
Pousse toi.
Ma main glisse involontairement de son épaule, et se retrouve sur un de ses seins. Je la sens se crisper légèrement. J’écarte immédiatement ma main, et la pose sur son bras.
Tu sais si je pensais cela je t’aurais mise dans la voiture cette nuit et t’aurais ramenée, chez ta mère.
Une erreur sa peut arriver, mais si tu viens habiter ici pas question de ça.
D’ailleurs prends le téléphone et appelle ta sœur, elle doit déjà être debout, elle allaite le petit.
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DeLsEp9
Re: Si belles, si sœurs
Propos de Sabine ma femme
Propos de Magalie ma belle sœur
Propos de Jacques (moi)
Mes pensées,
6)
Tu sais si je pensais cela je t’aurais mise dans la voiture cette nuit et t’aurais ramenée, chez ta mère.
Une erreur sa peut arriver, mais si tu viens habiter ici pas question de ça.
D’ailleurs prends le téléphone et appelle ta sœur, elle doit déjà être debout, elle allaite le petit.
-.-
Oui elle me l’a dit, et d’ailleurs ça la fatigue beaucoup de se réveiller toutes les quatre heures.
Et elle m’a dit aussi qu’il faudrait que je stimule mes seins quand je serais en cloque.
Et d’une manière si naturelle que j’en reste sans voix, elle empaume ses seins et pince ses tétons. Se faisant, mon bras, glisse, ma main se retrouve sur son flanc, à la naissance de sa poitrine. Je retire mon bras, et le pose sur la table. Elle me regarde avec un petit sourire.
Elle prend le téléphone, et sort pour appeler sa sœur.
Je fini de boire mon café, je sorts de la cuisine.
Magalie est allongée sur le clic-clac, en train de téléphoner, dans une position d’une totale indécence.
Elle est en train de se gratter la cuisse, le tee-shirt est remonté sur son mont de vénus et elle ne semble pas remarquer qu’elle m’étale son adorable minou devant les yeux.
Je devine les grandes lèvres, adorablement dessinées sous sa toison d’un blond vénitien.
Elle me voie et me dit tout en continuant à se gratter la cuisse :
Ta femme veut te parler.
Je prends le téléphone, et m’assied dans le fauteuil qui comme par hasard se trouve en face de Magalie.
Magalie m’a dit que tu as étais adorable avec elle, mais tu es toujours aussi bougon le matin.
Bon je te laisse, faits pour le mieux avec Magalie
Le regard dans le vague je n’avais pas remarqué que Magalie me regarde aussi.
Elle étale son petit minou devant mes yeux, je remarque des petites perles brillantes qui avec le soleil déjà bien levé, (il n’y a pas que lui qui est levé d’ailleurs), donnent de joli reflets à sa toison.
Elle m’émoustille la petite.
Elle essaye d’accroché mon regard, et remarque que celui-ci était fixé sur son pubis.
Elle ne bouge pas. Je me lève.
Je pars travailler, tu faits quoi toi aujourd’hui ?
Je me douche, m’habille et j’appelle maman. Je rentre avec le bus.
Je claque la porte quand je parts.
Ok.
Je l’embrasse sur les joues, à ce moment là elle me prend dans ses bras et me serrant contre elle, elle lève des yeux malicieux.
Tu voies, je n’ai pas trahis. Je ne lui ai pas dits que j’étais réveillé quand tu l’as appelé cette nuit, que tu lui as menti, menti pour moi.
Tu vois tu peux me faire confiance !!!
Et pour tout.
Je commence à me poser des questions, quand à son innocence. Elle a son pubis, contre mon sexe, et ses mouvements me font de l’effet. Je commence à trouver mon boxer étroit.
Je l’embrasse sur le front.
Fait comme tu veux, je doits partir.
S’est plus une fuite qu’un départ.
Propos de Magalie ma belle sœur
Propos de Jacques (moi)
Mes pensées,
6)
Tu sais si je pensais cela je t’aurais mise dans la voiture cette nuit et t’aurais ramenée, chez ta mère.
Une erreur sa peut arriver, mais si tu viens habiter ici pas question de ça.
D’ailleurs prends le téléphone et appelle ta sœur, elle doit déjà être debout, elle allaite le petit.
-.-
Oui elle me l’a dit, et d’ailleurs ça la fatigue beaucoup de se réveiller toutes les quatre heures.
Et elle m’a dit aussi qu’il faudrait que je stimule mes seins quand je serais en cloque.
Et d’une manière si naturelle que j’en reste sans voix, elle empaume ses seins et pince ses tétons. Se faisant, mon bras, glisse, ma main se retrouve sur son flanc, à la naissance de sa poitrine. Je retire mon bras, et le pose sur la table. Elle me regarde avec un petit sourire.
Elle prend le téléphone, et sort pour appeler sa sœur.
Je fini de boire mon café, je sorts de la cuisine.
Magalie est allongée sur le clic-clac, en train de téléphoner, dans une position d’une totale indécence.
Elle est en train de se gratter la cuisse, le tee-shirt est remonté sur son mont de vénus et elle ne semble pas remarquer qu’elle m’étale son adorable minou devant les yeux.
Je devine les grandes lèvres, adorablement dessinées sous sa toison d’un blond vénitien.
Elle me voie et me dit tout en continuant à se gratter la cuisse :
Ta femme veut te parler.
Je prends le téléphone, et m’assied dans le fauteuil qui comme par hasard se trouve en face de Magalie.
Magalie m’a dit que tu as étais adorable avec elle, mais tu es toujours aussi bougon le matin.
Bon je te laisse, faits pour le mieux avec Magalie
Le regard dans le vague je n’avais pas remarqué que Magalie me regarde aussi.
Elle étale son petit minou devant mes yeux, je remarque des petites perles brillantes qui avec le soleil déjà bien levé, (il n’y a pas que lui qui est levé d’ailleurs), donnent de joli reflets à sa toison.
Elle m’émoustille la petite.
Elle essaye d’accroché mon regard, et remarque que celui-ci était fixé sur son pubis.
Elle ne bouge pas. Je me lève.
Je pars travailler, tu faits quoi toi aujourd’hui ?
Je me douche, m’habille et j’appelle maman. Je rentre avec le bus.
Je claque la porte quand je parts.
Ok.
Je l’embrasse sur les joues, à ce moment là elle me prend dans ses bras et me serrant contre elle, elle lève des yeux malicieux.
Tu voies, je n’ai pas trahis. Je ne lui ai pas dits que j’étais réveillé quand tu l’as appelé cette nuit, que tu lui as menti, menti pour moi.
Tu vois tu peux me faire confiance !!!
Et pour tout.
Je commence à me poser des questions, quand à son innocence. Elle a son pubis, contre mon sexe, et ses mouvements me font de l’effet. Je commence à trouver mon boxer étroit.
Je l’embrasse sur le front.
Fait comme tu veux, je doits partir.
S’est plus une fuite qu’un départ.
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DeLsEp9
Re: Si belles, si sœurs
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Je commence à me poser des questions, quand à son innocence. Elle a son pubis, contre mon sexe, et ses mouvements me font de l’effet. Je commence à trouver mon boxer étroit.
Je l’embrasse sur le front.
Fait comme tu veux, je doits partir.
S’est plus une fuite qu’un départ.
-.-
Dans la journée j’appelle ma femme.
Je ne sais pas si elle rentre ce soir, ça ne t’embête pas si elle dort encore à la maison Cette nuit ?
Je préfère qu’elle ne soit pas dans mes pattes quand je parle d’elle avec maman.
Je veux avoir la tête vide pouvoir dire ce que je veux sans avoir à peser mes mots pour ne pas la vexer. Magalie me semble assez sensible.
Tu sais elle est discrète ça me gêne pas, qu’elle reste cette nuit.
Mais quel hypocrite je suis. Je repense à cette poitrine, à sa petite chatte qu’elle m’a exposé, mais oui qu’elle reste je vais encore me rincer l’œil, ou plutôt admirer ce qu’elle m’expose. Elle est moins innocente que tu le penses.
Bon et pour les vacances s’est décidé, elle vient avec nous?
Pas de soucis, comme tu as l’air d’accord, elle vient avec.
Petite question, au fait sa donne quoi ses résultats scolaires, c’est vraiment aussi mauvais que tu me l’as laissé entendre ?
C’est mauvais, voir catastrophiques pour certaines matières à ce que m’a dit maman.
De toute façon ils veulent l’orienter sur une voie professionnelle ou de garage.
Tu connais les enseignants, ils ne veulent pas se casser la tête avec une élève qui ne travaille pas.
Essaie de la raisonner, elle n’écoute que toi.
Si tu as le temps, emmène Magalie chez Sonia Rykiel ou chez Princess tam.tam, elle n’a pas rien à se mettre sur le dos pour les vacances.
Sonia Rykiel ?
Grrrrrrrr toi, on voie que tu ne viens presque jamais avec moi pour m’acheter des fringues.
Sonia Rykiel 13 r Mésange
Ecoute, je lui parlerais, pour ces notes.
Quand à ce genre de fringues, je ne pense pas que se soit son style.
Aujourd’hui ça n’ira pas, je m’organise pour demain.
Je rentre tôt vers 17h30, après une journée harassante. Je ne voie pas trace de Magalie, le clic-clac est plié, tout est parfaitement en ordre. Comme si elle était partie.
Tiens je croyais avoir compris qu’elle dormait encore ici cette nuit. Dommage je commence à apprécier son petit jeu du chat et de la souris.
Je me dirige vers la salle de bain, tout en me déshabillant. J’ai ouvert les boutons de la chemise, je suis en train d’ouvrir ma ceinture de pantalon en entrant dans la salle de bain.
Elle est nue en train de s’épiler les jambes.
Elle ne m’a pas entendu rentrer. Je referme vite fait ma ceinture.
Bonjour, tu t’épile les jambes pour les vacances ?
Elle lève les yeux, aucunement gêné.
Les vacances? Quelles vacances?
Je parts avec vous en vacances ?
Oui, pourquoi ta sœur ne t’a rien dit ?
Ben non, j’ai parlé à maman, ce matin qui m’a dit de ne pas te déranger, et que ta femme lui avait dit que je pouvais rester encore cette nuit ici.
Ma sœur était occupée avec le petit.
Elle se lève toujours aussi nue et se précipite vers moi les yeux remplis de larmes.
Tu es adorable, vous êtes adorable, tu verras je serais très gentille.
Je devine une certaine espièglerie dans le ton de sa voix.
Propos de Magalie ma belle sœur
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Mes pensées,
7)
Je commence à me poser des questions, quand à son innocence. Elle a son pubis, contre mon sexe, et ses mouvements me font de l’effet. Je commence à trouver mon boxer étroit.
Je l’embrasse sur le front.
Fait comme tu veux, je doits partir.
S’est plus une fuite qu’un départ.
-.-
Dans la journée j’appelle ma femme.
Je ne sais pas si elle rentre ce soir, ça ne t’embête pas si elle dort encore à la maison Cette nuit ?
Je préfère qu’elle ne soit pas dans mes pattes quand je parle d’elle avec maman.
Je veux avoir la tête vide pouvoir dire ce que je veux sans avoir à peser mes mots pour ne pas la vexer. Magalie me semble assez sensible.
Tu sais elle est discrète ça me gêne pas, qu’elle reste cette nuit.
Mais quel hypocrite je suis. Je repense à cette poitrine, à sa petite chatte qu’elle m’a exposé, mais oui qu’elle reste je vais encore me rincer l’œil, ou plutôt admirer ce qu’elle m’expose. Elle est moins innocente que tu le penses.
Bon et pour les vacances s’est décidé, elle vient avec nous?
Pas de soucis, comme tu as l’air d’accord, elle vient avec.
Petite question, au fait sa donne quoi ses résultats scolaires, c’est vraiment aussi mauvais que tu me l’as laissé entendre ?
C’est mauvais, voir catastrophiques pour certaines matières à ce que m’a dit maman.
De toute façon ils veulent l’orienter sur une voie professionnelle ou de garage.
Tu connais les enseignants, ils ne veulent pas se casser la tête avec une élève qui ne travaille pas.
Essaie de la raisonner, elle n’écoute que toi.
Si tu as le temps, emmène Magalie chez Sonia Rykiel ou chez Princess tam.tam, elle n’a pas rien à se mettre sur le dos pour les vacances.
Sonia Rykiel ?
Grrrrrrrr toi, on voie que tu ne viens presque jamais avec moi pour m’acheter des fringues.
Sonia Rykiel 13 r Mésange
Ecoute, je lui parlerais, pour ces notes.
Quand à ce genre de fringues, je ne pense pas que se soit son style.
Aujourd’hui ça n’ira pas, je m’organise pour demain.
Je rentre tôt vers 17h30, après une journée harassante. Je ne voie pas trace de Magalie, le clic-clac est plié, tout est parfaitement en ordre. Comme si elle était partie.
Tiens je croyais avoir compris qu’elle dormait encore ici cette nuit. Dommage je commence à apprécier son petit jeu du chat et de la souris.
Je me dirige vers la salle de bain, tout en me déshabillant. J’ai ouvert les boutons de la chemise, je suis en train d’ouvrir ma ceinture de pantalon en entrant dans la salle de bain.
Elle est nue en train de s’épiler les jambes.
Elle ne m’a pas entendu rentrer. Je referme vite fait ma ceinture.
Bonjour, tu t’épile les jambes pour les vacances ?
Elle lève les yeux, aucunement gêné.
Les vacances? Quelles vacances?
Je parts avec vous en vacances ?
Oui, pourquoi ta sœur ne t’a rien dit ?
Ben non, j’ai parlé à maman, ce matin qui m’a dit de ne pas te déranger, et que ta femme lui avait dit que je pouvais rester encore cette nuit ici.
Ma sœur était occupée avec le petit.
Elle se lève toujours aussi nue et se précipite vers moi les yeux remplis de larmes.
Tu es adorable, vous êtes adorable, tu verras je serais très gentille.
Je devine une certaine espièglerie dans le ton de sa voix.
Dernière modification par DeLsEp9 le 16 juin 2011, 08:55, modifié 2 fois.
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Mes pensées,
8)
Elle se lève toujours aussi nue et se précipite vers moi les yeux remplis de larmes.
Tu es adorable, vous êtes adorable, tu verras je serais très gentille.
Je devine une certaine espièglerie dans le ton de sa voix.
-.-
Humm gentille, je n’en doute pas ; Je me demande jusqu’ou tu vas être gentille. Où tu vas t’arrêter la puce, car moi vue avec ce que tu m’as exposée, pour ne pas dire offert hier soir et ce matin, et maintenant tes seins contre mon torse nu, je ne sais pas si je pourrais m’arrêter.
Merde je bande comme un âne, Jacques maitrise toi, c’est toi l’adulte.
Elle me serre contre elle, sans réaliser qu’elle est nue. Je sens ses tétons sur mon torse nu, ses seins imposants s’écrasent contre ma poitrine.
Mon sexe commence à être vraiment à l’étroit dans mon jeans. Je sens une de ses cuisses contre mon entrejambe. Son pubis, sur ma cuisse. Je la serre dans mes bras, me penche, et lui dit à l’oreille:
Tu sais que tu es toute nue dans les bras d’un homme qui de plus, est le mari de ta sœur.
Elle lève les yeux, me regarde, s’écarte de moi, et réalise à ce moment la situation qui n’a pas l’air d’être aussi embarrassante pour elle.
Euh je n’ai pas fait exprès, dit-elle en essayant de cacher avec ses deux mains trois adorables choses.
Toujours l’eternel problème deux mains, trois choses à cacher, et en plus vue la taille de sa poitrine, cela complique les choses.
Je ne pus que sourire en admirant, avant qu’elle ne les cache, sa jolie poitrine est son beau triangle blond, dont les poils sont un peut sauvage.
Elle se tourne.
Une épilation en maillot ou mieux complètement rasé sa petite chatte serait adorable à croquer.
J’ai l’impression qu’elle est quand même gênée, si elle se retourne. Et la elle m’expose ses fesses, bon sang mais quel cul elle a. A ce rythme elle m’expose tout son corps, elle va passer à quoi après ?
Bon tu t’habilles, on va manger dehors.
Elle se retourne, les poings sur les hanches, toujours aussi nue, la poitrine arrogante, les yeux en colère.
Non.
Tu as était tellement gentil que je t’ais préparé à manger. Vue ce que tu viens de dire, tu n’es pas rentré dans la cuisine, et tu n’y rentres pas. C’est une surprise.
Et ensuite comme tu l’as vue et comme tu le voie je ne suis pas complètement épilée, Je ne sors pas comme ça. Et pour finir je n’ai rien à me mettre.
Je ne lui dis rien concernant les achats prévu le lendemain.
Elle continue, avec un petit sourire aux lèvres.
D’ailleurs, il est 18 h tu reviens vers 19h30, tout sera prêt pour . . .
Pour ton plaisir.
Si jeune est déjà la même tête de mule que sa sœur. Cela promet, pensé-je en sortant.
Je pars et me promène dans les alentours. Chemin faisant je réfléchi à ce qui se passe, à son comportement, et surtout au mien.
Soudain sa dernière phrase me revient en tête, cette phrase tourne en boucle dans ma tête.
Tout sera prêt pour . . . Pour ton plaisir.
Que voulait-elle dire par cette phrase. Et pourquoi ce silence avant pour ton plaisir ?
Tout en me promenant je réfléchis.
Plaisir culinaire, elle sait que je suis un épicurien. La mère de sa meilleure amie, qui a un restaurant lui aurait enseigné des recettes, aux dire de ma «charmante belle-doche».
Propos de Magalie ma belle sœur
Propos de Jacques (moi)
Mes pensées,
8)
Elle se lève toujours aussi nue et se précipite vers moi les yeux remplis de larmes.
Tu es adorable, vous êtes adorable, tu verras je serais très gentille.
Je devine une certaine espièglerie dans le ton de sa voix.
-.-
Humm gentille, je n’en doute pas ; Je me demande jusqu’ou tu vas être gentille. Où tu vas t’arrêter la puce, car moi vue avec ce que tu m’as exposée, pour ne pas dire offert hier soir et ce matin, et maintenant tes seins contre mon torse nu, je ne sais pas si je pourrais m’arrêter.
Merde je bande comme un âne, Jacques maitrise toi, c’est toi l’adulte.
Elle me serre contre elle, sans réaliser qu’elle est nue. Je sens ses tétons sur mon torse nu, ses seins imposants s’écrasent contre ma poitrine.
Mon sexe commence à être vraiment à l’étroit dans mon jeans. Je sens une de ses cuisses contre mon entrejambe. Son pubis, sur ma cuisse. Je la serre dans mes bras, me penche, et lui dit à l’oreille:
Tu sais que tu es toute nue dans les bras d’un homme qui de plus, est le mari de ta sœur.
Elle lève les yeux, me regarde, s’écarte de moi, et réalise à ce moment la situation qui n’a pas l’air d’être aussi embarrassante pour elle.
Euh je n’ai pas fait exprès, dit-elle en essayant de cacher avec ses deux mains trois adorables choses.
Toujours l’eternel problème deux mains, trois choses à cacher, et en plus vue la taille de sa poitrine, cela complique les choses.
Je ne pus que sourire en admirant, avant qu’elle ne les cache, sa jolie poitrine est son beau triangle blond, dont les poils sont un peut sauvage.
Elle se tourne.
Une épilation en maillot ou mieux complètement rasé sa petite chatte serait adorable à croquer.
J’ai l’impression qu’elle est quand même gênée, si elle se retourne. Et la elle m’expose ses fesses, bon sang mais quel cul elle a. A ce rythme elle m’expose tout son corps, elle va passer à quoi après ?
Bon tu t’habilles, on va manger dehors.
Elle se retourne, les poings sur les hanches, toujours aussi nue, la poitrine arrogante, les yeux en colère.
Non.
Tu as était tellement gentil que je t’ais préparé à manger. Vue ce que tu viens de dire, tu n’es pas rentré dans la cuisine, et tu n’y rentres pas. C’est une surprise.
Et ensuite comme tu l’as vue et comme tu le voie je ne suis pas complètement épilée, Je ne sors pas comme ça. Et pour finir je n’ai rien à me mettre.
Je ne lui dis rien concernant les achats prévu le lendemain.
Elle continue, avec un petit sourire aux lèvres.
D’ailleurs, il est 18 h tu reviens vers 19h30, tout sera prêt pour . . .
Pour ton plaisir.
Si jeune est déjà la même tête de mule que sa sœur. Cela promet, pensé-je en sortant.
Je pars et me promène dans les alentours. Chemin faisant je réfléchi à ce qui se passe, à son comportement, et surtout au mien.
Soudain sa dernière phrase me revient en tête, cette phrase tourne en boucle dans ma tête.
Tout sera prêt pour . . . Pour ton plaisir.
Que voulait-elle dire par cette phrase. Et pourquoi ce silence avant pour ton plaisir ?
Tout en me promenant je réfléchis.
Plaisir culinaire, elle sait que je suis un épicurien. La mère de sa meilleure amie, qui a un restaurant lui aurait enseigné des recettes, aux dire de ma «charmante belle-doche».
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Re: Si belles, si sœurs
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Mes pensées,
9)
Que voulait-elle dire par cette phrase. Et pourquoi ce silence avant pour ton plaisir ?
Tout en me promenant je réfléchis.
Plaisir culinaire, elle sait que je suis un épicurien. La mère de sa meilleure amie, lui aurait enseigné des recettes, aux dire de ma «charmante belle-doche ».
-.-
Plaisir des yeux, elle le sait, elle m’a déjà plus qu’exposé son magnifique corps.
Non quand même pas le plaisir de la chair, non elle n’a pas sa en tête. Je repense à ce jeune corps nu, à cette poitrine arrogante. J’avais l’impression que ses tétons me regardaient, quand elle m’a dit NON.
Elle n’a aucun complexe, aucune gêne, avec moi.
Enfin un peut quand même, elle s’est retournée quand je lui ai fait la remarque.
Elle a dut voir que je la mangé des yeux, c’est ça qui a dut la gêner. Enfin s’est la guigne, c’est une gamine comme les autres, et comme toujours elles ne savent pas ce qu’elles veulent.
Mais moi le sois disant adulte, est ce que je sais ce que je veux, jusqu’où j’oserais aller.
Jacques trouve un trou de souris et cache toi dedans, tu ne joueras pas au con comme ça.
Je reviens à 19h15. Elle m’attend à la porte, avec le tablier meyrad de sa sœur.
Je rentre, elle passe devant moi et là divine surprise, elle est en petite culotte et soutien gorge sous le tablier. J’ai la vision d’un adorable derrière qui se dandine devant mes yeux.
Elle se retourne, à la porte de la cuisine, avec un grand sourire :
Je t’avais dit Pour ton plaisir.
Le plaisir du palais et des yeux.
Pour les autre plaisirs tu as ta femme.
Je ris.
Le plaisir des yeux je l’ai eut avant, quand tu étais nue dans la salle de bain, vison très agréable d’ailleurs.
T’es un sacré coquin mon cher beau-frère.
S’il n’y a que cela pour te faire plaisir.
Elle quitte la cuisine et reviens 5 minutes plus tard.
Et comme cela ?
Elle effectue une pirouette.
J’en reste scotché sur mon siège. Un de ses seins libre de toute entrave jaillit du tablier, le téton certainement excité par le frottement sur le tablier ou par l’excitation de sa propriétaire, est droit comme un I. Son petit minou libre de tout cache, est un appel au viol.
Elle vient d’enlever ses sous-vêtements, et elle est complètement nue sous le tablier. Ses seins, quand elle est de profil, sont à peine cachés par le tablier, pour ne pas dire totalement visible.
A ce rythme, sa risque d’être chaud ce soir, et pendant les vacances, je préfère ne pas y penser.
Ou veut-elle en venir ? Jusqu’ou va-t-elle aller.
Et moi qui la pousse à se mettre nue sous le tablier. Jacques t’es un fumier. Mais mon dieu que c’est agréable, une vision pareil.
Elle me sert un repas qui sans être sorti des cuisines de notre ami Emile (Jung pour ceux qui ne connaisse pas) est réussi.
Elle m’épate cette petite, je ne la voyais pas comme cela.
Elle est toujours aussi excitée, un vrai boisseau de puces. A remuer comme elle le fait, régulièrement un téton puis l’autre, voir les deux apparaissent. Le repas s’achève en douceur, elle a l’air d’attendre quelque chose.
Je débarrasse la table, et je voie ses yeux interrogateurs.
Tout étant rangé, je me pose sur une chaise lui attrape la main, l’assieds sur mes genoux et lui dit les yeux dans les yeux :
Propos de Magalie ma belle sœur
Propos de Jacques (moi)
Mes pensées,
9)
Que voulait-elle dire par cette phrase. Et pourquoi ce silence avant pour ton plaisir ?
Tout en me promenant je réfléchis.
Plaisir culinaire, elle sait que je suis un épicurien. La mère de sa meilleure amie, lui aurait enseigné des recettes, aux dire de ma «charmante belle-doche ».
-.-
Plaisir des yeux, elle le sait, elle m’a déjà plus qu’exposé son magnifique corps.
Non quand même pas le plaisir de la chair, non elle n’a pas sa en tête. Je repense à ce jeune corps nu, à cette poitrine arrogante. J’avais l’impression que ses tétons me regardaient, quand elle m’a dit NON.
Elle n’a aucun complexe, aucune gêne, avec moi.
Enfin un peut quand même, elle s’est retournée quand je lui ai fait la remarque.
Elle a dut voir que je la mangé des yeux, c’est ça qui a dut la gêner. Enfin s’est la guigne, c’est une gamine comme les autres, et comme toujours elles ne savent pas ce qu’elles veulent.
Mais moi le sois disant adulte, est ce que je sais ce que je veux, jusqu’où j’oserais aller.
Jacques trouve un trou de souris et cache toi dedans, tu ne joueras pas au con comme ça.
Je reviens à 19h15. Elle m’attend à la porte, avec le tablier meyrad de sa sœur.
Je rentre, elle passe devant moi et là divine surprise, elle est en petite culotte et soutien gorge sous le tablier. J’ai la vision d’un adorable derrière qui se dandine devant mes yeux.
Elle se retourne, à la porte de la cuisine, avec un grand sourire :
Je t’avais dit Pour ton plaisir.
Le plaisir du palais et des yeux.
Pour les autre plaisirs tu as ta femme.
Je ris.
Le plaisir des yeux je l’ai eut avant, quand tu étais nue dans la salle de bain, vison très agréable d’ailleurs.
T’es un sacré coquin mon cher beau-frère.
S’il n’y a que cela pour te faire plaisir.
Elle quitte la cuisine et reviens 5 minutes plus tard.
Et comme cela ?
Elle effectue une pirouette.
J’en reste scotché sur mon siège. Un de ses seins libre de toute entrave jaillit du tablier, le téton certainement excité par le frottement sur le tablier ou par l’excitation de sa propriétaire, est droit comme un I. Son petit minou libre de tout cache, est un appel au viol.
Elle vient d’enlever ses sous-vêtements, et elle est complètement nue sous le tablier. Ses seins, quand elle est de profil, sont à peine cachés par le tablier, pour ne pas dire totalement visible.
A ce rythme, sa risque d’être chaud ce soir, et pendant les vacances, je préfère ne pas y penser.
Ou veut-elle en venir ? Jusqu’ou va-t-elle aller.
Et moi qui la pousse à se mettre nue sous le tablier. Jacques t’es un fumier. Mais mon dieu que c’est agréable, une vision pareil.
Elle me sert un repas qui sans être sorti des cuisines de notre ami Emile (Jung pour ceux qui ne connaisse pas) est réussi.
Elle m’épate cette petite, je ne la voyais pas comme cela.
Elle est toujours aussi excitée, un vrai boisseau de puces. A remuer comme elle le fait, régulièrement un téton puis l’autre, voir les deux apparaissent. Le repas s’achève en douceur, elle a l’air d’attendre quelque chose.
Je débarrasse la table, et je voie ses yeux interrogateurs.
Tout étant rangé, je me pose sur une chaise lui attrape la main, l’assieds sur mes genoux et lui dit les yeux dans les yeux :
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DeLsEp9
Re: Si belles, si sœurs
Yuna a écrit :tu lui dis quoi dans les yeux merde....
Plein de monde lit, mais commente pas.
je recommence mes coupures sadiques NA.
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Biquette
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Re: Si belles, si sœurs
Ayé, j'ai tout lu aussi
C'est super, comme d'hab
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Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
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Re: Si belles, si sœurs
Yuna a écrit :tu lui dis quoi dans les yeux merde....
Exceptionnellement, une suite.Bikette a écrit :Ayé, j'ai tout lu aussi
C'est super, comme d'hab
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Mes pensées,
10)
Je débarrasse la table, et je voie ses yeux interrogateurs.
Tout étant rangé, je me pose sur une chaise lui attrape la main, l’assieds sur mes genoux et lui dit les yeux dans les yeux :
-.-
Ton repas était excellent. Tu es un fin cordon bleu. Tu te débrouilles très bien en cuisine, pour une jeune fille de ton âge.
L’homme qui t’accrochera sera heureux.
Tu es une belle jeune fille, tu n’as pas froid aux yeux.
T’as un corps magnifique, et ce qui ne gâche rien, tu as la tête qui va avec et elle est bien posée sur tes épaules.
Pour simplifier tu sais ce que tu veux.
Je me penche et lui pose un petit baisé sur ses lèvres.
Tu t’es comporté en femme, en maitresse de maison, je te remercie comme il se doit, en femme.
Non, tu me remercie en gamine, en jeune fille.
Elle se relève, s’assied à califourchon sur mes cuisses face à moi, en relevant son tablier qui la gêne pour me chevaucher.
Elle m’expose son pubis sans aucune pudeur. Elle passe ses bras autour de ma nuque, sa poitrine s’écrase contre mon torse, elle m’embrasse à pleine bouche.
Sa langue essaie de s’insinuer entre mes dents pour me forcer à l’embrasser comme elle l’entend. Je cède, nos langues s’emmêlent joyeusement, elle se donne entièrement dans son baiser.
Je me surprends à voir mes mains, comme animées de leurs propres volontés, qui pour la main droite étant posée sagement sur sa hanche nue, glisse sous le tablier sur sa cuisse dénudée. Ma main gauche posée sur son dos nu, glisse sur son flanc, et commence à empaumer son sein tout aussi nu sous le tablier.
Mes mains sans que je le veuille, pour l’une commence à glisser de sa cuisse vers son pubis, sous le tablier. Pour l’autre à caresser ce sein, ce téton qui s’offre.
Mes doigts de la main gauche caressent son téton. Je la sens qui se commence à bouger sur mes genoux. Elle frotte son pubis, contre la bosse qui apparait dans mon jeans.
Je réalise et je stop immédiatement avant d’être aller trop loin. Je l’écarte gentiment, elle me regarde avec des yeux mi amusés, mi langoureux, sans enlevé ses bras de mon cou. Et d’une seule traite, comme si elle s’était préparée, comme si elle avait répété ce moment, elle me débite sans reprendre son souffle.
Voila un baiser pour une femme, pour une maitresse . . . de maison.
C’est gentil de ne pas être allé plus loin, bien que tu en ais envie. Que j’en ai envie, je crois.
Aucun homme ne m’a jamais touchée, je suis vierge.
Et je ne voudrais pas qu’un autre homme que toi soit le premier. Mes copines qui ont déjà couchée m’ont toutes dit que cela s’était très mal passé la première fois. Mon amie c’est pareil, elle a peur des hommes maintenant.
Ma sœur m’a dit que tu as étais tendre et doux avec elle la première fois et que tu es un mari qui sait être un amant merveilleux.
Je la regarde, droit dans les yeux complètement interloqué par la candeur et la teneur de ses propos. Je doits digérer tout ce qu’elle vient de me dire. Ebahis que je suis de tout ce qu’elle vient de m’envoyer. Il me faut quelques minutes pour réagir.
Tu es jeune, attends de rencontrer l’homme qui te donnera envie. Comme tu l’as dit avant, pour le reste il y a ma femme, qui est ta sœur.
Je reconnais que tu es un beau brin de fille, que tu es adorable, tu as ce qu’il faut ou il faut mais c’est ta sœur.
Je l’aime.
La situation commence à devenir scabreuse, je dits n’importe quoi pour m’en sortir.
Pour l’instant on en reste là, et puis tu es mineur.