Vacances en Corse
Vacances en Corse
Vacances en Corse
( suite de Si belles, si sœurs
Et de
Secret de famille)
Propos de Sabine ma femme
Propos de Magalie ma belle sœur
Propos de Jacques
Mes pensées
Propos de Mario
Propos de Suzanne Ma belle mère
Propos de Charlotte
Propos de Lucie fille de Charlotte
Propos de Louise petite fille de Charlotte
1)
-/-
Jeudi nous sommes tous aller faire les derniers achats et retirer des espèces.
A la banque, j’ai pris rendez vous avec mon chargé de compte, Magalie toute fière, créé son premier compte en banque. Sabine remet la délégation de signature de Suzanne, signe en temps que majeur responsable. Magalie dépose son chèque de salaire, et veux retirer des espèces.
« Mademoiselle, avec les valeurs bancaires, votre compte va être à découvert, ce n’est pas possible. Sauf si. »
Il me regarde, l’œil interrogateur.
Vous Gardez le chèque comme trace de virement, et vous faites un virement de compte à compte. Comme cela son compte sera crédité immédiatement.
Vous ne lui donnez que 20 % de l’argent. J’en ai parlé avec mon épouse, je signe caution, pour son compte, vous lui faites établir un carte à débit immédiat. Sans autorisation de découvert. Vous la faites parvenir à l’agence d’Ajaccio, où j’ai aussi un compte s’il vous plait.
« C’est rare qu’une jeune fille de 16 ans est une carte bancaire, Vous êtes sur de vouloir…. »
Mon regard incendiaire calme toutes les questions que mon chargé de compte se pose.
Magalie et moi signons les différents formulaires, sous le regard complice de Sabine.
Nous rentrons, pendant le voyage sabine explique les rudiments bancaires à Magalie. Nous mangeons et nous couchons tôt, la journée de vendredi est prévue pour préparer les bagages.
Le petit déjeuner pris les puces en tee-shirts, commencent à préparer leurs affaires.
Comme à chaque fois, Sabine dépose sur le clic-clac en piles distincts, nos affaires, celles du petit, les siennes, les miennes. Magalie squatte un fauteuil avec les siennes. De temps à autres, j’entrevoie l’une ou l’autre fesses, elles sont nues toutes les deux sous leur tee-shirt.
Je préfère, commençant à être émoustiller par ces fesses qui se promènent à l’air libre, descendre pour vérifier et compléter les niveaux de la 504 Dangel. Je prépare les masques de plongée, tubas, palmes, enfin tous les accessoires nécessaires, à un bon séjour au bord de mer.
J’espère que mes puces m’ont écoutée, pas plus d’une valise par personne, sinon je trie. Pas question avec un break 4*4 de mettre une galerie. Il y aura assez de place, ou j’en fais par le vide.
Elles sont pareils toutes les deux mes puces, je les ai écouté ce matin au petit dej, moi j’emmène ça et ceci, et toi tu emmènes quoi. Si je les laisse faire, il faudra un camion.
Je remonte, les piles de linges sont de plus en plus conséquentes. Je m’amuse à comparer, pour l’instant Magalie est en tête suivi de Sabine, puis du petit, moi à part les slips et maillot de bain que j’avais posé avant de descendre rien n’a bougé. Je vais boire un café dans la cuisine. Je les entends qui passent devant la porte de la cuisine.
Je crois que j’ai un peut exagéré, jamais il ne sera d’accord.
Et encore, tu n’as pas tout, tu oublie tes ensembles, tes robes qui sont dans mes armoires. On est partie pour avoir deux valises chacune, sans compter ce que l’on va laisser sur les cintres. Il va nous tuer.
Tu crois que je sais quoi choisir !!! J’ai envie de tout prendre avec.
Moi c’est pareil, on a envie qu’il soit fier de nous notre jacques.
Je n’ai pas envie de lui faire honte, j’ai vue le dépliant de l’hôtel où on va, il est superbe cet hôtel. Quand tu voies les photos des personnes qui dinent, elles sont en tenue de soirée. Alors il faut que j’emmène le peu que j’ai ici.
Elles repartent dans notre chambre pour chercher encore d’autres habits, peut être ceux dont Magalie vient de parler.
Elles n’ont pas remarquées que je suis dans la cuisine, très intéressant comme discussion. Pour une fois, je les entends sans qu’elles le sachent.
Elles disent que c’est pour ne pas me faire honte. Tu parles, c’est pour mieux écraser la concurrence. L’année dernière Sabine a achetée des robes, des ensembles sur place, avec l’excuse qu’elle n’avait pas confiance dans le pressing de l’hôtel pour nettoyer ses robes.
J’ai compris après, qu’elle ne voulait pas porter deux fois la même. Il y avait une divorcée, avec une garde robe incroyable, qui me tournait autour, et là elle n’a pas aimé, mais alors pas du tout.
La tigresse a démarrée au quart de tour. On ose se promener, remuer de la truffe, frétiller du croupion, sur son territoire de chasse et de plus en sa présence, quand elle est là.
Interdiction, on ne touche pas, on ne chasse pas sur ses terres en sa présence. Plouf dans la piscine, et une divorcée en robe de soirée dans l’eau. Sabine s’est excusée gentiment de son faux mouvement. Elle a même était jusqu’à lui offrir le champagne.
Je n’ai jamais plus vue la divorcée à moins de 20 mètres de moi.
Bon pour les bagages, je crois bien que je vais être obligé de lâcher du lest.
Déjà l’année dernière Sabine avait 3 valises, si j’arrive à la faire descendre à deux, je serais content, mais je ne vais rien lui dire, pas encore.
Ca va être l’heure de donner le biberon au petit, je voudrais commencer à le sevrer définitivement, tu peux me chercher un verre d’eau, s’il te plait.
Magalie entre dans le cuisine, elle est adorable, elle a enfilé un petit tee-shirt, jupe en jeans. Ses tétons pointent librement sous le tee-shirt. Elle me voie, esquisse un sourire, tourne sur elle-même, la coquine est nue sous ses vêtements. Elle remplis un verre d’eau et ressort.
Tiens, voila ton verre d’eau. Je vais boire un café. On continuera après pour les affaires.
Là je suis un peut fatiguée, dès que le petit a fini, je m’allonge une petite heure. Occupe-toi de faire à manger à Jacques, je mangerais quand je me lève.
Magalie reviens dans la cuisine, avec un grand sourire, s’approche, dépose un petit baiser sur me lèvres. Elle se sert un café, ressort en dandinant des fesses. Arrivée à la porte elle fait voleter sa courte jupe, d’un revers de main, exposant à mon regard son adorable postérieur.
Elle se dirige vers sa chambre prés de mon bureau. Je sors avec mon café, et vais voir mon épouse. Le petit est déjà couché, et elle dort.
Je me dirige vers mon bureau, y entre. J’allume mon ordi, lance mon logiciel routier. Je sens deux mains qui se posent sur mes épaules, une bouche, des lèvres qui m’embrasse dans le cou.
Comment tu vas mon amour. Tu viens je te fais à manger.
Je fais tourner mon fauteuil, Magalie ma petite puce est en face de moi, toute pimpante, adorable. Je lui tends les bras, elle s’assied sur mes cuisses, pose sa tête sur mon épaule.
Que j’aime ces petits moments de complicités, trop rare à mon gout. Sentir son corps contre moi, sa respiration dans mon cou, me trouble toujours autant, comme au premier jour.
Je me demande si je ne vais pas manger ce qui est a portée de main.
J’aimerais bien, on est si peut ensemble, ces derniers jours. Je sais, que tu dois régler, et finir pleins de choses, avant que nous partions. C’est dur de te voir tous les jours, de te sentir, te toucher, à tout moment, et de n’avoir que si peut de moment d’intimité.
Elle se lève, me prend par la main, m’embrasse, me caresse, et m’entraîne vers la cuisine avec douceur.
Je t’ai mis en appétit, viens manger, chut Sabine se repose.
Elle fait demi tour, m’entraîne vers sa chambre, ouvre la porte, m’attire contre elle, referme doucement la porte, se jette sur moi.
J’ai tellement envie de te sentir en moi, de sentir ton corps contre le mien, je deviens folle. Je suis folle de toi, et tu le sais.
Je ne tiendrais pas longtemps comme cela. En rentrant de vacances, il faut que l’on trouve une solution pour être au moins une fois par semaine ensemble, rien que nous deux. J’ai envie d’abuser de toi, tout comme j’ai envie que tu abuses de moi.
Elle commence à ouvrir ma chemise. Mes mains cours sous son tee-shirt. Elle se jette sur mes lèvres, me les dévore. J’empaume ses seins. Elle enlève son tee-shirt, écarte mes mains violement.
Lèche les, suce mes tétons, j’en meurt d’envie.
Elle me présente un de ses seins, et de son autre main attire violement ma tête contre son sein.
Mes mains, ne peuvent s’empêcher de glisser sur ses cuisses, de soulever cette petite jupe, fragile rempart, de sa virginité.
Elles caressent ses fesses si fermes et si douces. Elle se colle contre moi, son pubis est déchainé. Elle est déchainée.
Une de mes mains glisse sur sa hanche, elle s’écarte, prends ma main, la plaque sur sa vulve qui coule, comme une fontaine.
Elle me mordille l’oreille.
Regarde, sent comme elle pleure de désir pour toi. Comme elle te veut, comme elle se donne à toi. Et tu la laisses, tu l’ignores, tu ne veux pas d’elle. Elle qui a pleurée de joie quand tu as joui en elle.
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Propos de Mario
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Propos de Lucie fille de Charlotte
Propos de Louise petite fille de Charlotte
1)
-/-
Jeudi nous sommes tous aller faire les derniers achats et retirer des espèces.
A la banque, j’ai pris rendez vous avec mon chargé de compte, Magalie toute fière, créé son premier compte en banque. Sabine remet la délégation de signature de Suzanne, signe en temps que majeur responsable. Magalie dépose son chèque de salaire, et veux retirer des espèces.
« Mademoiselle, avec les valeurs bancaires, votre compte va être à découvert, ce n’est pas possible. Sauf si. »
Il me regarde, l’œil interrogateur.
Vous Gardez le chèque comme trace de virement, et vous faites un virement de compte à compte. Comme cela son compte sera crédité immédiatement.
Vous ne lui donnez que 20 % de l’argent. J’en ai parlé avec mon épouse, je signe caution, pour son compte, vous lui faites établir un carte à débit immédiat. Sans autorisation de découvert. Vous la faites parvenir à l’agence d’Ajaccio, où j’ai aussi un compte s’il vous plait.
« C’est rare qu’une jeune fille de 16 ans est une carte bancaire, Vous êtes sur de vouloir…. »
Mon regard incendiaire calme toutes les questions que mon chargé de compte se pose.
Magalie et moi signons les différents formulaires, sous le regard complice de Sabine.
Nous rentrons, pendant le voyage sabine explique les rudiments bancaires à Magalie. Nous mangeons et nous couchons tôt, la journée de vendredi est prévue pour préparer les bagages.
Le petit déjeuner pris les puces en tee-shirts, commencent à préparer leurs affaires.
Comme à chaque fois, Sabine dépose sur le clic-clac en piles distincts, nos affaires, celles du petit, les siennes, les miennes. Magalie squatte un fauteuil avec les siennes. De temps à autres, j’entrevoie l’une ou l’autre fesses, elles sont nues toutes les deux sous leur tee-shirt.
Je préfère, commençant à être émoustiller par ces fesses qui se promènent à l’air libre, descendre pour vérifier et compléter les niveaux de la 504 Dangel. Je prépare les masques de plongée, tubas, palmes, enfin tous les accessoires nécessaires, à un bon séjour au bord de mer.
J’espère que mes puces m’ont écoutée, pas plus d’une valise par personne, sinon je trie. Pas question avec un break 4*4 de mettre une galerie. Il y aura assez de place, ou j’en fais par le vide.
Elles sont pareils toutes les deux mes puces, je les ai écouté ce matin au petit dej, moi j’emmène ça et ceci, et toi tu emmènes quoi. Si je les laisse faire, il faudra un camion.
Je remonte, les piles de linges sont de plus en plus conséquentes. Je m’amuse à comparer, pour l’instant Magalie est en tête suivi de Sabine, puis du petit, moi à part les slips et maillot de bain que j’avais posé avant de descendre rien n’a bougé. Je vais boire un café dans la cuisine. Je les entends qui passent devant la porte de la cuisine.
Je crois que j’ai un peut exagéré, jamais il ne sera d’accord.
Et encore, tu n’as pas tout, tu oublie tes ensembles, tes robes qui sont dans mes armoires. On est partie pour avoir deux valises chacune, sans compter ce que l’on va laisser sur les cintres. Il va nous tuer.
Tu crois que je sais quoi choisir !!! J’ai envie de tout prendre avec.
Moi c’est pareil, on a envie qu’il soit fier de nous notre jacques.
Je n’ai pas envie de lui faire honte, j’ai vue le dépliant de l’hôtel où on va, il est superbe cet hôtel. Quand tu voies les photos des personnes qui dinent, elles sont en tenue de soirée. Alors il faut que j’emmène le peu que j’ai ici.
Elles repartent dans notre chambre pour chercher encore d’autres habits, peut être ceux dont Magalie vient de parler.
Elles n’ont pas remarquées que je suis dans la cuisine, très intéressant comme discussion. Pour une fois, je les entends sans qu’elles le sachent.
Elles disent que c’est pour ne pas me faire honte. Tu parles, c’est pour mieux écraser la concurrence. L’année dernière Sabine a achetée des robes, des ensembles sur place, avec l’excuse qu’elle n’avait pas confiance dans le pressing de l’hôtel pour nettoyer ses robes.
J’ai compris après, qu’elle ne voulait pas porter deux fois la même. Il y avait une divorcée, avec une garde robe incroyable, qui me tournait autour, et là elle n’a pas aimé, mais alors pas du tout.
La tigresse a démarrée au quart de tour. On ose se promener, remuer de la truffe, frétiller du croupion, sur son territoire de chasse et de plus en sa présence, quand elle est là.
Interdiction, on ne touche pas, on ne chasse pas sur ses terres en sa présence. Plouf dans la piscine, et une divorcée en robe de soirée dans l’eau. Sabine s’est excusée gentiment de son faux mouvement. Elle a même était jusqu’à lui offrir le champagne.
Je n’ai jamais plus vue la divorcée à moins de 20 mètres de moi.
Bon pour les bagages, je crois bien que je vais être obligé de lâcher du lest.
Déjà l’année dernière Sabine avait 3 valises, si j’arrive à la faire descendre à deux, je serais content, mais je ne vais rien lui dire, pas encore.
Ca va être l’heure de donner le biberon au petit, je voudrais commencer à le sevrer définitivement, tu peux me chercher un verre d’eau, s’il te plait.
Magalie entre dans le cuisine, elle est adorable, elle a enfilé un petit tee-shirt, jupe en jeans. Ses tétons pointent librement sous le tee-shirt. Elle me voie, esquisse un sourire, tourne sur elle-même, la coquine est nue sous ses vêtements. Elle remplis un verre d’eau et ressort.
Tiens, voila ton verre d’eau. Je vais boire un café. On continuera après pour les affaires.
Là je suis un peut fatiguée, dès que le petit a fini, je m’allonge une petite heure. Occupe-toi de faire à manger à Jacques, je mangerais quand je me lève.
Magalie reviens dans la cuisine, avec un grand sourire, s’approche, dépose un petit baiser sur me lèvres. Elle se sert un café, ressort en dandinant des fesses. Arrivée à la porte elle fait voleter sa courte jupe, d’un revers de main, exposant à mon regard son adorable postérieur.
Elle se dirige vers sa chambre prés de mon bureau. Je sors avec mon café, et vais voir mon épouse. Le petit est déjà couché, et elle dort.
Je me dirige vers mon bureau, y entre. J’allume mon ordi, lance mon logiciel routier. Je sens deux mains qui se posent sur mes épaules, une bouche, des lèvres qui m’embrasse dans le cou.
Comment tu vas mon amour. Tu viens je te fais à manger.
Je fais tourner mon fauteuil, Magalie ma petite puce est en face de moi, toute pimpante, adorable. Je lui tends les bras, elle s’assied sur mes cuisses, pose sa tête sur mon épaule.
Que j’aime ces petits moments de complicités, trop rare à mon gout. Sentir son corps contre moi, sa respiration dans mon cou, me trouble toujours autant, comme au premier jour.
Je me demande si je ne vais pas manger ce qui est a portée de main.
J’aimerais bien, on est si peut ensemble, ces derniers jours. Je sais, que tu dois régler, et finir pleins de choses, avant que nous partions. C’est dur de te voir tous les jours, de te sentir, te toucher, à tout moment, et de n’avoir que si peut de moment d’intimité.
Elle se lève, me prend par la main, m’embrasse, me caresse, et m’entraîne vers la cuisine avec douceur.
Je t’ai mis en appétit, viens manger, chut Sabine se repose.
Elle fait demi tour, m’entraîne vers sa chambre, ouvre la porte, m’attire contre elle, referme doucement la porte, se jette sur moi.
J’ai tellement envie de te sentir en moi, de sentir ton corps contre le mien, je deviens folle. Je suis folle de toi, et tu le sais.
Je ne tiendrais pas longtemps comme cela. En rentrant de vacances, il faut que l’on trouve une solution pour être au moins une fois par semaine ensemble, rien que nous deux. J’ai envie d’abuser de toi, tout comme j’ai envie que tu abuses de moi.
Elle commence à ouvrir ma chemise. Mes mains cours sous son tee-shirt. Elle se jette sur mes lèvres, me les dévore. J’empaume ses seins. Elle enlève son tee-shirt, écarte mes mains violement.
Lèche les, suce mes tétons, j’en meurt d’envie.
Elle me présente un de ses seins, et de son autre main attire violement ma tête contre son sein.
Mes mains, ne peuvent s’empêcher de glisser sur ses cuisses, de soulever cette petite jupe, fragile rempart, de sa virginité.
Elles caressent ses fesses si fermes et si douces. Elle se colle contre moi, son pubis est déchainé. Elle est déchainée.
Une de mes mains glisse sur sa hanche, elle s’écarte, prends ma main, la plaque sur sa vulve qui coule, comme une fontaine.
Elle me mordille l’oreille.
Regarde, sent comme elle pleure de désir pour toi. Comme elle te veut, comme elle se donne à toi. Et tu la laisses, tu l’ignores, tu ne veux pas d’elle. Elle qui a pleurée de joie quand tu as joui en elle.
Re: Vacances en Corse
sa promet encore
on a le droit a une autre suite pour le long moment d'absences?
on a le droit a une autre suite pour le long moment d'absences?
Re: Vacances en Corse
Propos de Sabine ma femme
Propos de Magalie ma belle sœur
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Propos de Charlotte
Propos de Lucie fille de Charlotte
Propos de Louise petite fille de Charlotte
2)
Elle me présente un de ses seins, et de son autre main attire violement ma tête contre son sein.
Mes mains, ne peuvent s’empêcher de glisser sur ses cuisses, de soulever cette petite jupe, fragile rempart, de sa virginité.
Elles caressent ses fesses si fermes et si douces. Elle se colle contre moi, son pubis est déchainé. Elle est déchainée.
Une de mes mains glisse sur sa hanche, elle s’écarte, prends ma main, la plaque sur sa vulve qui coule, comme une fontaine.
Elle me mordille l’oreille.
Regarde, sent comme elle pleure de désir pour toi. Comme elle te veut, comme elle se donne à toi. Et tu la laisses, tu l’ignores, tu ne veux pas d’elle. Elle qui a pleurée de joie quand tu as joui en elle.
-/-
Je prends sa tête entre mes mains, nos yeux ne se lâchent pas. Je l’embrasse tendrement dans le cou, en remontant vers son oreille. Je lui mordille le lobe de l’oreille, elle frissonne.
Tu sais que ce n’est pas vrai. Je comprends ce que tu ressens, mais là je ne peux pas te suivre sur ce terrain en ce moment.
Je suis d’accord avec toi, pour qu’au retour de vacances, on trouve une solution pour se voir au moins une fois par semaine, rien que nous deux. On verra cela au retour de vacances.
Il va falloir que l’on voie cela et comme vous allez travailler ensemble Sabine et toi, je ne sais pas encore comment on pourra s’organiser.
Mais comme je te l’ai à maintes fois dis. Un homme marié ne fait pas toujours ce qu’il veut, il fait souvent comme il peut. Je pense qu’il serait plus sage d’arrêter ma chérie. Je n’ai pas envie qu’il y a de drame si ta sœur se réveille.
Je le sais, je le comprends, mais je n’arrive pas à l’admettre, pas moyen, je t’aime trop mon amour.
Elle m’embrasse tendrement, elle a les yeux humides. Je la prends dans mes bras, lui caresse les cheveux.
J’adore, quand on est si complice, si proche, mais cela m’effraie tant. Elle sait aussi bien se maitriser, que de se laisser aller à ses envies, ses désirs. Et là je crains le pire.
Elle s’écarte de moi, cherche son tee-shirt, l’enfile s’assied sur son lit songeuse.
Vas y, je te rejoins après, j’ai besoin d’être seule cinq minutes pour me calmer.
Je sors de sa chambre, ferme la porte de mon bureau, me dirige vers le cuisine. Me cherche un morceau de fromage dans le réfrigérateur. Je n’ai pas faim. Juste une envie de grignoter un bout de fromage. Magalie arrive, me regarde grignoter, s’assied en face de moi.
Tu n’as pas faim ? Tu veux autre chose ?
Merci la puce, mais je n’ai plus faim, ça me suffira.
Elle me regarde, ses yeux sont interrogateurs, comme si elle essayait de comprendre ce qui se passe moi, ce qui me trouble, et m’énerve en même temps pour me couper l’appétit.
Bon comme personne ne s’est occupé de mes affaires, je vais le faire.
Je me lève, le téléphone sonne, je me précipite, Sabine et le petit dorment.
Jacques c’est Charlotte, vous partez demain en vacances ?
Oui pourquoi ?
Mon garagiste m’a dit que je ne faisait pas assez de kilomètres avec mon engin, il sort de révision, je vous le passe pour les vacances, tu me remontes la 504 Dangel de ta femme, il n’y a pas à discuter.
Sabine dort, je lui en parle et je te rappelle dans vingt minutes.
Je raccroche, Magalie qui arrive de la cuisine, en grignotant un morceau de fromage, me regarde.
C’était qui ?
Surprise.
Je me dirige vers la chambre où Sabine est allongée, elle a les yeux ouverts. Je m’assieds au bord du lit, l’embrasse.
Qui a téléphoné ?
Charlotte, elle veut nous passer sa voiture pour les vacances, d’après son garagiste, elle ne fait pas assez de kilomètres. Tu en pense quoi, ce serait plus confortable pour tout le monde, et il y aurait plus de place pour les valises. On lui laisse ta voiture pendant que l’on est partie.
Je suis quand même un pourri, l’excuse des valises. Mais la fin justifie les moyens. Enfin je verrais bien.
Je voie les yeux de Sabine qui brillent, mon histoire de valises a dut faire mouche.
Si tu penses que c’est mieux, pas de soucis, monte et emmène Magalie, elle pourra dire au revoir à sa jumelle. Mais tu ne traînes pas en route. Pas envie d’avoir à tout préparer.
Bien, j’appelle Charlotte, et lui dit que c’est d’accord.
J’embrasse ma moitié qui somnole. Je me demande si elle se souviendra de ce qui c’est dit. En sortant Magalie qui est assise, dans la cuisine me lance un regard dévastateur.
Tu cherches ta veste j’ai un coup de fil a passer, on doit faire une course urgente avant le départ. Tu descends et tu déplaces les deux cartons derrière la voiture s’il te plait.
Un sourire apparait immédiatement sur sa figure, elle part vers sa chambre. J’en profite pour appeler Charlotte et lui dire que j’arrive avec Magalie. Je prends le bloc téléphone, et écrit en grand.
« On est chez Charlotte ».
Magalie qui est déjà descendu, est en train de déplacer les cartons derrière la voiture de Sabine. Je l’aide, j’ouvre la porte du garage avec la télécommande, Magalie court ouvrir le portail, au moment où je déclenche son ouverture avec la télécommande. Elle se retourne me souri.
Je recule avec la voiture, m’arrête ; Magalie monte.
J’oublie tout le temps qu’il y a une télécommande. On va où ?
Tu verras bien, accepte de ne pas savoir, de te laisser surprendre. Tu comprendras assez vite où l’on va.
Elle souri, ferme le portail avec la télécommande, pose sa tête sur mon épaule. Sa tête glisse sur ma cuisse. Elle est allongée sur la banquette avant, ne bouge plus. Ma main se pose sur son flanc, sous sa poitrine, je me retiens de la caresser.
Nous roulons prêt d’une heure et je me gare sur le parking devant le restaurant de Charlotte, à côté du Land de Charlotte.
On fait quoi chez Charlotte. Bizarre que le land de Charlotte soit dehors, ce n’est pas dans ses habitudes.
Tu verras bien.
Le portail de la cour s’ouvre et Louise apparait, nous faisant signe de rentrer dans la cour.
Je descends de la voiture, me dirige vers Louise, lui fait la bise. Magalie qui m’a suivi, lui saute au cou.
Ta grand-mère est là ? Magalie, Louise, je repars dans quinze minutes, je ne te cherche pas. Tu es là c’est bien, tu n’es pas là je pars seul.
Mamie est derrière le bar, elle t’attends. Toujours avec tes ultimatums, je me demande comment tu peux le suporter.
Il est adorable, de toute façon il ne partira pas sans moi, Sabine l’étrangle, s’il lui fait ce coup.
Elle me regarde en me narguant, pendant que je me dirige vers le bar.
Charlotte et Lucie m’accueillent en me faisant la bise.
Maintenant que tu es là, on peut te le dire, ce n’est pas tout a fait vrai, l’histoire du garagiste. Le land sort effectivement de révision, mais avec Lucie, on s’est dit que cela serait mieux pour vous quatre, de partir en vacances avec mon char, plutôt qu’avec la 504.
Charlotte et Lucie, sourient gentiment, du tour qu’elles viennent de nous faire. L’intention est tellement louable, et gentille, qu’il n’est pas possible de leur reprocher quoi que ce soit. Je les prends dans mes bras, les embrasse.
Vous n’êtes pas possible toutes les deux, mais c’est très gentil, trop gentil, de votre part.
Il faut que je te montre, j’ai fait installer un treuil électrique à l’avant. On sait jamais, cela peut servir.
Nous allons tous sur le parking, Charlotte me montre fièrement son nouveau joujou, m’explique son fonctionnement. Elle me donne les papiers, les attestations d’assurances, d’assistance, enfin tout ce qu’il faut pour être tranquille pour un long voyage.
Propos de Magalie ma belle sœur
Propos de Jacques
Mes pensées
Propos de Mario
Propos de Charlotte
Propos de Lucie fille de Charlotte
Propos de Louise petite fille de Charlotte
2)
Elle me présente un de ses seins, et de son autre main attire violement ma tête contre son sein.
Mes mains, ne peuvent s’empêcher de glisser sur ses cuisses, de soulever cette petite jupe, fragile rempart, de sa virginité.
Elles caressent ses fesses si fermes et si douces. Elle se colle contre moi, son pubis est déchainé. Elle est déchainée.
Une de mes mains glisse sur sa hanche, elle s’écarte, prends ma main, la plaque sur sa vulve qui coule, comme une fontaine.
Elle me mordille l’oreille.
Regarde, sent comme elle pleure de désir pour toi. Comme elle te veut, comme elle se donne à toi. Et tu la laisses, tu l’ignores, tu ne veux pas d’elle. Elle qui a pleurée de joie quand tu as joui en elle.
-/-
Je prends sa tête entre mes mains, nos yeux ne se lâchent pas. Je l’embrasse tendrement dans le cou, en remontant vers son oreille. Je lui mordille le lobe de l’oreille, elle frissonne.
Tu sais que ce n’est pas vrai. Je comprends ce que tu ressens, mais là je ne peux pas te suivre sur ce terrain en ce moment.
Je suis d’accord avec toi, pour qu’au retour de vacances, on trouve une solution pour se voir au moins une fois par semaine, rien que nous deux. On verra cela au retour de vacances.
Il va falloir que l’on voie cela et comme vous allez travailler ensemble Sabine et toi, je ne sais pas encore comment on pourra s’organiser.
Mais comme je te l’ai à maintes fois dis. Un homme marié ne fait pas toujours ce qu’il veut, il fait souvent comme il peut. Je pense qu’il serait plus sage d’arrêter ma chérie. Je n’ai pas envie qu’il y a de drame si ta sœur se réveille.
Je le sais, je le comprends, mais je n’arrive pas à l’admettre, pas moyen, je t’aime trop mon amour.
Elle m’embrasse tendrement, elle a les yeux humides. Je la prends dans mes bras, lui caresse les cheveux.
J’adore, quand on est si complice, si proche, mais cela m’effraie tant. Elle sait aussi bien se maitriser, que de se laisser aller à ses envies, ses désirs. Et là je crains le pire.
Elle s’écarte de moi, cherche son tee-shirt, l’enfile s’assied sur son lit songeuse.
Vas y, je te rejoins après, j’ai besoin d’être seule cinq minutes pour me calmer.
Je sors de sa chambre, ferme la porte de mon bureau, me dirige vers le cuisine. Me cherche un morceau de fromage dans le réfrigérateur. Je n’ai pas faim. Juste une envie de grignoter un bout de fromage. Magalie arrive, me regarde grignoter, s’assied en face de moi.
Tu n’as pas faim ? Tu veux autre chose ?
Merci la puce, mais je n’ai plus faim, ça me suffira.
Elle me regarde, ses yeux sont interrogateurs, comme si elle essayait de comprendre ce qui se passe moi, ce qui me trouble, et m’énerve en même temps pour me couper l’appétit.
Bon comme personne ne s’est occupé de mes affaires, je vais le faire.
Je me lève, le téléphone sonne, je me précipite, Sabine et le petit dorment.
Jacques c’est Charlotte, vous partez demain en vacances ?
Oui pourquoi ?
Mon garagiste m’a dit que je ne faisait pas assez de kilomètres avec mon engin, il sort de révision, je vous le passe pour les vacances, tu me remontes la 504 Dangel de ta femme, il n’y a pas à discuter.
Sabine dort, je lui en parle et je te rappelle dans vingt minutes.
Je raccroche, Magalie qui arrive de la cuisine, en grignotant un morceau de fromage, me regarde.
C’était qui ?
Surprise.
Je me dirige vers la chambre où Sabine est allongée, elle a les yeux ouverts. Je m’assieds au bord du lit, l’embrasse.
Qui a téléphoné ?
Charlotte, elle veut nous passer sa voiture pour les vacances, d’après son garagiste, elle ne fait pas assez de kilomètres. Tu en pense quoi, ce serait plus confortable pour tout le monde, et il y aurait plus de place pour les valises. On lui laisse ta voiture pendant que l’on est partie.
Je suis quand même un pourri, l’excuse des valises. Mais la fin justifie les moyens. Enfin je verrais bien.
Je voie les yeux de Sabine qui brillent, mon histoire de valises a dut faire mouche.
Si tu penses que c’est mieux, pas de soucis, monte et emmène Magalie, elle pourra dire au revoir à sa jumelle. Mais tu ne traînes pas en route. Pas envie d’avoir à tout préparer.
Bien, j’appelle Charlotte, et lui dit que c’est d’accord.
J’embrasse ma moitié qui somnole. Je me demande si elle se souviendra de ce qui c’est dit. En sortant Magalie qui est assise, dans la cuisine me lance un regard dévastateur.
Tu cherches ta veste j’ai un coup de fil a passer, on doit faire une course urgente avant le départ. Tu descends et tu déplaces les deux cartons derrière la voiture s’il te plait.
Un sourire apparait immédiatement sur sa figure, elle part vers sa chambre. J’en profite pour appeler Charlotte et lui dire que j’arrive avec Magalie. Je prends le bloc téléphone, et écrit en grand.
« On est chez Charlotte ».
Magalie qui est déjà descendu, est en train de déplacer les cartons derrière la voiture de Sabine. Je l’aide, j’ouvre la porte du garage avec la télécommande, Magalie court ouvrir le portail, au moment où je déclenche son ouverture avec la télécommande. Elle se retourne me souri.
Je recule avec la voiture, m’arrête ; Magalie monte.
J’oublie tout le temps qu’il y a une télécommande. On va où ?
Tu verras bien, accepte de ne pas savoir, de te laisser surprendre. Tu comprendras assez vite où l’on va.
Elle souri, ferme le portail avec la télécommande, pose sa tête sur mon épaule. Sa tête glisse sur ma cuisse. Elle est allongée sur la banquette avant, ne bouge plus. Ma main se pose sur son flanc, sous sa poitrine, je me retiens de la caresser.
Nous roulons prêt d’une heure et je me gare sur le parking devant le restaurant de Charlotte, à côté du Land de Charlotte.
On fait quoi chez Charlotte. Bizarre que le land de Charlotte soit dehors, ce n’est pas dans ses habitudes.
Tu verras bien.
Le portail de la cour s’ouvre et Louise apparait, nous faisant signe de rentrer dans la cour.
Je descends de la voiture, me dirige vers Louise, lui fait la bise. Magalie qui m’a suivi, lui saute au cou.
Ta grand-mère est là ? Magalie, Louise, je repars dans quinze minutes, je ne te cherche pas. Tu es là c’est bien, tu n’es pas là je pars seul.
Mamie est derrière le bar, elle t’attends. Toujours avec tes ultimatums, je me demande comment tu peux le suporter.
Il est adorable, de toute façon il ne partira pas sans moi, Sabine l’étrangle, s’il lui fait ce coup.
Elle me regarde en me narguant, pendant que je me dirige vers le bar.
Charlotte et Lucie m’accueillent en me faisant la bise.
Maintenant que tu es là, on peut te le dire, ce n’est pas tout a fait vrai, l’histoire du garagiste. Le land sort effectivement de révision, mais avec Lucie, on s’est dit que cela serait mieux pour vous quatre, de partir en vacances avec mon char, plutôt qu’avec la 504.
Charlotte et Lucie, sourient gentiment, du tour qu’elles viennent de nous faire. L’intention est tellement louable, et gentille, qu’il n’est pas possible de leur reprocher quoi que ce soit. Je les prends dans mes bras, les embrasse.
Vous n’êtes pas possible toutes les deux, mais c’est très gentil, trop gentil, de votre part.
Il faut que je te montre, j’ai fait installer un treuil électrique à l’avant. On sait jamais, cela peut servir.
Nous allons tous sur le parking, Charlotte me montre fièrement son nouveau joujou, m’explique son fonctionnement. Elle me donne les papiers, les attestations d’assurances, d’assistance, enfin tout ce qu’il faut pour être tranquille pour un long voyage.
Re: Vacances en Corse
Mel29440 a écrit :c'est trop peut 1suite
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Il y a comme un défaut
Re: Vacances en Corse
Yuna a écrit :moi je veux lire à tête reposée.. donc je le ferai demain après midi..
Mel29440 a écrit :et moi je suis en manque





Re: Vacances en Corse
Yuna a écrit :prends ton temps.. je vais passer la serpillère..
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Re: Vacances en Corse
Propos de Sabine ma femme
Propos de Magalie ma belle sœur
Propos de Jacques
Mes pensées
Propos de Mario
Propos de Suzanne
Propos de Charlotte
Propos de Lucie fille de Charlotte
Propos de Louise petite fille de Charlotte
3)
Vous n’êtes pas possible toutes les deux, mais c’est très gentil, trop gentil, de votre part.
Il faut que je te montre, j’ai fait installer un treuil électrique à l’avant. On sait jamais, cela peut servir.
Nous allons tous sur le parking, Charlotte me montre fièrement son nouveau joujou, m’explique son fonctionnement. Elle me donne les papiers, les attestations d’assurances, d’assistance, enfin tout ce qu’il faut pour être tranquille pour un long voyage.
-/-
Tu as le contrat d’assistance aux personnes dans le vide poche du tableau de bord. Vous êtes tous nommés dedans. Et tu es nommé comme troisième chauffeur principal, Sabine à aussi le droit de conduire, vue qu’elle a plus de trois ans de permis, l’attestation de l’assureur est avec les papiers pour le Land. Pas de soucis, tout le monde est couvert.
Nous retournons dans le restaurant. Les deux « jumelles », sont en train de discuter, assises à une table dans un coin. Nous nous asseyons avec elles, pour boire un café.
On ne peu même pas être tranquille cinq minutes, pour parler de nos petits secrets. Pas possible le beauf.
On boit notre café, on vide la voiture et on y va dans 5 minutes. On se calme les chipies.
Le café bu, nous vidons la 504, dont j’ai remit les papiers à Charlotte et transférons tout dans le Land, y compris le siège bébé que je fixe immédiatement. J’échange mes clefs de voiture avec Charlotte.
Charlotte, je peux appeler mon assureur, je veux que tout soit clean. Passez-moi vos permis, je lui donne les renseignements, pour que tout soit en règle.
Ce qui est fait en cinq minutes, un fax arrive avec la copie de l’attestation de l’assureur. Je signe le document en donnant mon accord, le renvoi par fax.
Bon lundi ou mardi au courrier, tu recevras une lettre certifiant que Louise et toi êtes assurés pour rouler avec la voiture. Je préfère, tout comme toi que cela soit fait dans les règles.
Merci encore pour tout, mais je voudrais que l’on y aille, on part cette nuit. Avec le petit je préfère, rouler de nuit, et faire le voyage en deux jours, ce sera moins fatigant.
Magalie et Louise nous rejoignent. Tout le monde se fait la bise. Nous prenons la route pour rentrer.
Magalie à l’air impressionné par le Land de Charlotte. Il faut reconnaitre que c’est un monstre. Le bruit du V8 de 3.5l est impressionnant.
Nous arrivons à la maison, Sabine entendant la voiture, vient à la fenêtre. Elle nous sourit.
Nous rentrons, Sabine est toute heureuse.
Je crois que tu m’as dit quelque chose avant de partir, mais je n’en étais pas sûre, puis j’ai trouvé le mot. Je devais être dans le potage, quand tu m’as parlé.
J’ai bien avancé avec les affaires, on a plus de place, donc on peut en emmener un peut plus.
Sabine me dit ça en se rapprochant de moi, me faisant des yeux langoureux, elle vient se frotter contre moi.
Je me retiens de rire. Magalie, voyant ce qui se passe, viens prêter main forte à sa sœur.
Mon petit jacques, mon petit beau frère préféré, on peut, dit oui, s’il te plait, dit nous oui.
Je me laisse tomber dans un fauteuil, en riant de bon cœur. J’acquiesce de la tête. Elles me sautent au cou, en m’embrassant. Elles repartent toutes les deux dans la chambre. Sabine dandine des fesses, Magalie qui la suit fait de même.
Elles ne sont pas possible, en plus elles s’entendent sur mon dos. Ca promet pour les vacances, si elles s’entendent de cette manière. Mince il faut que j’appelle Mario, pour le bateau, pas envie d’avoir des histoires à l’embarquement.
Je dois appeler Mario, pour la voiture.
J’arrive à joindre Mario, lui explique le changement de voiture. Il me dit qu’il appelle immédiatement son cousin qui est responsable des embarquements sur la SNCM. Pendant la discussion, je regarde Sabine et Magalie, elles sont déchainés, elles n’arrêtent pas d’empiler.
Enfin ma pile qui depuis que nous étions parti, n’avait pas bougé, commence à monter. Je les regarde faire.
Je vais chercher les valises, en ouvre quatre. Magalie me regarde, Sabine souri.
Il y a une valise par personne, repère la tienne. Dans la quatrième on met tout ce qui doit servir, quand on va à l’hôtel pendant le trajet et en cas d’urgence.
On commence par la valise hôtel. Chacun apporte et pose à côté ce qu’il lui faut, si on s’arrête pour dormir à l’hôtel.
Un pantalon, un short, un ou deux tee-shirts, culottes, enfin ce qu’il faut pour deux jours. Puis chacun prend sa valise, et la pose prés de ses affaires. On vérifiera ensemble.
Les Vanitys-case seront préparés en dernier.
Je n’ai pas de vanity !!!
En attendant que tu te trouves celui qui te plairait, tu prends l’ancien, dont je ne me sers plus.
Les piles sont finies prés des valises. Il reste ce qui est accroché sur les cintres.
Je range dans la valise hôtel, les affaires de chacun, Sabine passe une liste à Magalie.
C’est la liste que Jacques est moi avons créé pour ne rien oublier de ce qui doit être emmené.
Tu coches au fur et à mesure que tu ranges dans ta valise.
Chacun range sa valise.
Je n’ai plus de place, il m’en faut une deuxième.
Moi aussi plus de place.
Je tends aux deux puces deux valises supplémentaires. Qu’elles se font une joie de remplir, en riant aux éclats.
Ma valise étant prête, je vais vérifier dans le Land une disposition dont Charlotte m’a parlée. Sous le tapis de sol du coffre je trouve la barre, je repère sur les côtés du toit deux trous de chaque côté, j’enclenche la barre. La tringle de support des cintres et en place. Je vérifie que le siège du petit est bien arrimé. Je remonte discrètement. Les deux puces rigolent.
Il va me tuer, il me faut une troisième valise, toi aussi d’ailleurs. Une devrait nous suffire à toutes les deux.
Je rentre, les regarde, me retiens d’éclater de rire. Je vais dans le débarras, reviens avec deux valises plus petites, ainsi que deux sacs de voyage, leurs tends les valises, en souriant.
Elles me regardent étonnées.
Il ne râle pas.
C’est étonnant, il nous prépare quelque chose.
Vous avez vérifié, que tout est là avec les listes ? Il n’est pas question d’acheter quoi que ce soit si vous l’avez oublié. Le grand sac de voyage c’est pour les affaires du petit, le plus petit c’est pour avoir ce qu’il lui faut pour le voyage.
Je pense que ce serait mieux de faire le voyage en deux jours donc on part cette nuit. Alors les puces on se bouge, on se réveille, on s’active le popotin.
Pendant que je range les valises dans la voiture, vous préparez les affaires du petit, vous mettez les habits qui sont sur les cintres, dans les housses de voyage, mais en les laissant regroupés par personne.
Je descends les valises, les ranges dans le coffre. Les sept valises rentrent sans problèmes dans le coffre, et il y a encore de la place. C’est vrai que c’est un monstre ce véhicule.
Je remonte, descends les sacs du petit, les housses de voyage, les accroches à la tringle. Je range, tout le matériel de plongée, ferme le coffre.
Les puces sont écroulées sur les fauteuils, elles me regardent en souriant.
On mange un morceau, puis je vais me reposer, vous préparez les vanitys, enfin que tout soit prêt, je voudrais que l’on prenne la route vers 21 heures, 22 heures au plus tard.
Déjà, mais je pensais que l’on partait plus tard dans la nuit. Il faut que l’on appelle maman, pour lui dire que l’on part cette nuit. Bon on mange, et j’appelle maman après.
Charcuterie, fromages, crudités pour tout le monde. Viens m’aider la princesse qui se pavane.
Magalie se lève en riant. Je les rejoints, après avoir fini de préparer tous les documents, dont j’ai besoin, ainsi que ma mallette.
Nous mangeons, je vais m’allonger, en ayant demandé à ce qu’elles me réveillent à 19heures.
Je somnole, je sens une main qui se pose sur moi, j’entrouvre les yeux.
Bonjour, c’est l’heure.
Magalie me tend un café. Je l’embrasse, elle est radieuse.
Tout est prêt, même les sandwichs et deux thermos de café, pour la route. On peut y aller quand tu veux.
Je fini de charger la voiture, je prends une douche, et on y va.
Je me lève, Sabine est assise dans la cuisine, en train de finir de préparer les salades. Je l’embrasse, elle me souri.
Propos de Magalie ma belle sœur
Propos de Jacques
Mes pensées
Propos de Mario
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3)
Vous n’êtes pas possible toutes les deux, mais c’est très gentil, trop gentil, de votre part.
Il faut que je te montre, j’ai fait installer un treuil électrique à l’avant. On sait jamais, cela peut servir.
Nous allons tous sur le parking, Charlotte me montre fièrement son nouveau joujou, m’explique son fonctionnement. Elle me donne les papiers, les attestations d’assurances, d’assistance, enfin tout ce qu’il faut pour être tranquille pour un long voyage.
-/-
Tu as le contrat d’assistance aux personnes dans le vide poche du tableau de bord. Vous êtes tous nommés dedans. Et tu es nommé comme troisième chauffeur principal, Sabine à aussi le droit de conduire, vue qu’elle a plus de trois ans de permis, l’attestation de l’assureur est avec les papiers pour le Land. Pas de soucis, tout le monde est couvert.
Nous retournons dans le restaurant. Les deux « jumelles », sont en train de discuter, assises à une table dans un coin. Nous nous asseyons avec elles, pour boire un café.
On ne peu même pas être tranquille cinq minutes, pour parler de nos petits secrets. Pas possible le beauf.
On boit notre café, on vide la voiture et on y va dans 5 minutes. On se calme les chipies.
Le café bu, nous vidons la 504, dont j’ai remit les papiers à Charlotte et transférons tout dans le Land, y compris le siège bébé que je fixe immédiatement. J’échange mes clefs de voiture avec Charlotte.
Charlotte, je peux appeler mon assureur, je veux que tout soit clean. Passez-moi vos permis, je lui donne les renseignements, pour que tout soit en règle.
Ce qui est fait en cinq minutes, un fax arrive avec la copie de l’attestation de l’assureur. Je signe le document en donnant mon accord, le renvoi par fax.
Bon lundi ou mardi au courrier, tu recevras une lettre certifiant que Louise et toi êtes assurés pour rouler avec la voiture. Je préfère, tout comme toi que cela soit fait dans les règles.
Merci encore pour tout, mais je voudrais que l’on y aille, on part cette nuit. Avec le petit je préfère, rouler de nuit, et faire le voyage en deux jours, ce sera moins fatigant.
Magalie et Louise nous rejoignent. Tout le monde se fait la bise. Nous prenons la route pour rentrer.
Magalie à l’air impressionné par le Land de Charlotte. Il faut reconnaitre que c’est un monstre. Le bruit du V8 de 3.5l est impressionnant.
Nous arrivons à la maison, Sabine entendant la voiture, vient à la fenêtre. Elle nous sourit.
Nous rentrons, Sabine est toute heureuse.
Je crois que tu m’as dit quelque chose avant de partir, mais je n’en étais pas sûre, puis j’ai trouvé le mot. Je devais être dans le potage, quand tu m’as parlé.
J’ai bien avancé avec les affaires, on a plus de place, donc on peut en emmener un peut plus.
Sabine me dit ça en se rapprochant de moi, me faisant des yeux langoureux, elle vient se frotter contre moi.
Je me retiens de rire. Magalie, voyant ce qui se passe, viens prêter main forte à sa sœur.
Mon petit jacques, mon petit beau frère préféré, on peut, dit oui, s’il te plait, dit nous oui.
Je me laisse tomber dans un fauteuil, en riant de bon cœur. J’acquiesce de la tête. Elles me sautent au cou, en m’embrassant. Elles repartent toutes les deux dans la chambre. Sabine dandine des fesses, Magalie qui la suit fait de même.
Elles ne sont pas possible, en plus elles s’entendent sur mon dos. Ca promet pour les vacances, si elles s’entendent de cette manière. Mince il faut que j’appelle Mario, pour le bateau, pas envie d’avoir des histoires à l’embarquement.
Je dois appeler Mario, pour la voiture.
J’arrive à joindre Mario, lui explique le changement de voiture. Il me dit qu’il appelle immédiatement son cousin qui est responsable des embarquements sur la SNCM. Pendant la discussion, je regarde Sabine et Magalie, elles sont déchainés, elles n’arrêtent pas d’empiler.
Enfin ma pile qui depuis que nous étions parti, n’avait pas bougé, commence à monter. Je les regarde faire.
Je vais chercher les valises, en ouvre quatre. Magalie me regarde, Sabine souri.
Il y a une valise par personne, repère la tienne. Dans la quatrième on met tout ce qui doit servir, quand on va à l’hôtel pendant le trajet et en cas d’urgence.
On commence par la valise hôtel. Chacun apporte et pose à côté ce qu’il lui faut, si on s’arrête pour dormir à l’hôtel.
Un pantalon, un short, un ou deux tee-shirts, culottes, enfin ce qu’il faut pour deux jours. Puis chacun prend sa valise, et la pose prés de ses affaires. On vérifiera ensemble.
Les Vanitys-case seront préparés en dernier.
Je n’ai pas de vanity !!!
En attendant que tu te trouves celui qui te plairait, tu prends l’ancien, dont je ne me sers plus.
Les piles sont finies prés des valises. Il reste ce qui est accroché sur les cintres.
Je range dans la valise hôtel, les affaires de chacun, Sabine passe une liste à Magalie.
C’est la liste que Jacques est moi avons créé pour ne rien oublier de ce qui doit être emmené.
Tu coches au fur et à mesure que tu ranges dans ta valise.
Chacun range sa valise.
Je n’ai plus de place, il m’en faut une deuxième.
Moi aussi plus de place.
Je tends aux deux puces deux valises supplémentaires. Qu’elles se font une joie de remplir, en riant aux éclats.
Ma valise étant prête, je vais vérifier dans le Land une disposition dont Charlotte m’a parlée. Sous le tapis de sol du coffre je trouve la barre, je repère sur les côtés du toit deux trous de chaque côté, j’enclenche la barre. La tringle de support des cintres et en place. Je vérifie que le siège du petit est bien arrimé. Je remonte discrètement. Les deux puces rigolent.
Il va me tuer, il me faut une troisième valise, toi aussi d’ailleurs. Une devrait nous suffire à toutes les deux.
Je rentre, les regarde, me retiens d’éclater de rire. Je vais dans le débarras, reviens avec deux valises plus petites, ainsi que deux sacs de voyage, leurs tends les valises, en souriant.
Elles me regardent étonnées.
Il ne râle pas.
C’est étonnant, il nous prépare quelque chose.
Vous avez vérifié, que tout est là avec les listes ? Il n’est pas question d’acheter quoi que ce soit si vous l’avez oublié. Le grand sac de voyage c’est pour les affaires du petit, le plus petit c’est pour avoir ce qu’il lui faut pour le voyage.
Je pense que ce serait mieux de faire le voyage en deux jours donc on part cette nuit. Alors les puces on se bouge, on se réveille, on s’active le popotin.
Pendant que je range les valises dans la voiture, vous préparez les affaires du petit, vous mettez les habits qui sont sur les cintres, dans les housses de voyage, mais en les laissant regroupés par personne.
Je descends les valises, les ranges dans le coffre. Les sept valises rentrent sans problèmes dans le coffre, et il y a encore de la place. C’est vrai que c’est un monstre ce véhicule.
Je remonte, descends les sacs du petit, les housses de voyage, les accroches à la tringle. Je range, tout le matériel de plongée, ferme le coffre.
Les puces sont écroulées sur les fauteuils, elles me regardent en souriant.
On mange un morceau, puis je vais me reposer, vous préparez les vanitys, enfin que tout soit prêt, je voudrais que l’on prenne la route vers 21 heures, 22 heures au plus tard.
Déjà, mais je pensais que l’on partait plus tard dans la nuit. Il faut que l’on appelle maman, pour lui dire que l’on part cette nuit. Bon on mange, et j’appelle maman après.
Charcuterie, fromages, crudités pour tout le monde. Viens m’aider la princesse qui se pavane.
Magalie se lève en riant. Je les rejoints, après avoir fini de préparer tous les documents, dont j’ai besoin, ainsi que ma mallette.
Nous mangeons, je vais m’allonger, en ayant demandé à ce qu’elles me réveillent à 19heures.
Je somnole, je sens une main qui se pose sur moi, j’entrouvre les yeux.
Bonjour, c’est l’heure.
Magalie me tend un café. Je l’embrasse, elle est radieuse.
Tout est prêt, même les sandwichs et deux thermos de café, pour la route. On peut y aller quand tu veux.
Je fini de charger la voiture, je prends une douche, et on y va.
Je me lève, Sabine est assise dans la cuisine, en train de finir de préparer les salades. Je l’embrasse, elle me souri.
Dernière modification par DeLsEp9 le 22 septembre 2011, 00:38, modifié 1 fois.
Re: Vacances en Corse
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4)
Magalie me tend un café. Je l’embrasse, elle est radieuse.
Tout est prêt, même les sandwichs et deux thermos de café, pour la route. On peut y aller quand tu veux.
Je fini de charger la voiture, je prends une douche, et on y va.
Je me lève, Sabine est assise dans la cuisine, en train de finir de préparer les salades. Je l’embrasse, elle me souri.
-/-
Je suis contente que l’on parte déjà ce soir, tu as un gros bisou de maman. La poste, a confirmé qu’elle bloque le courrier à partir de demain, pendant trois semaines.
Je descends les sacs du petit, Magalie me suis avec les Vanitys. Nous rangeons tout dans le coffre. Je remonte prend une douche. Je sorts de la salle de bain, Sabine donne le biberon au petit, il a l’air récalcitrant, Sabine insiste, il se décide à boire au biberon. Magalie assise à côté la regarde.
Je fais le tour de la maison, pendant que tu fini avec le petit. Magalie, tu fais le tour du jardin, pour vérifier que rien ne traîne.
Le tour étant fait, je ferme le gaz, coupe les fusibles de la télé, et du bureau. Sabine, descend avec le petit, je verrouille les portes, enclenche l’alarme, ferme la porte du garage. Magalie et Sabine attendent prêt de la voiture. Sabine a sa carte d’identité, et son permis à la main.
Vous avez vos papiers, Magalie ta carte d’identité s’il te plait, Sabine c’est bon, je sorts mes papiers, les leurs montre. Bon on y va.
Nous prenons la route, le trajet se passe bien, nous nous arrêtons Valence, pour récupérer, chez un ami hôtelier. Nous arrivons en avance au port. Pas de soucis Mario a prévenu, pour le changement de voiture, ils nous font embarquer en dernier.
Nous débarquons à l’Ile Rousse. Il est 21 h. le petit a bien supporté le voyage, pas comme sa mère. Elle adore venir en Corse, mais à chaque fois qu’il y a 50 cm de houle, elle est malade. Elle a pris un valium pour la traversée. Magalie, est en pleine forme.
Je prends immédiatement la Route, Sabine dort à l’arrière, sous l’effet du valium, Magalie, est assise à côté de moi. Le petit dort dans son siège repus du biberon qu’il a eut avant de débarquer.
Direction l’hôtel Santa Maria à la sortie d’ile Rousse. Magalie, avec son mini-short, et son tee-shirt est comme toujours, aussi attirante. Elle pose sa main sur ma cuisse, je la regarde avec un grand sourire, heureusement que ce sont des banquettes dans le Land. Par précaution je fais glisser sa main sur la banquette, à côté de moi, en lui caressant la main.
Nous arrivons à l’hôtel, je descends de la voiture, le gardien me reconnait, je viens 5 à 6 fois par an au minimum, professionnellement.
Il m’indique l’emplacement de parking, prés de nos chambres. Il s’approche de la voiture.
« Les deux chambres communicantes, sont justes là ». Il nous indique, les deux portes en face de la voiture. « Mais il faudrait aller rapidement au restaurant, si vous voulez manger quelque chose de chaud ».
Ma femme est malade, je la couche, et j’arrive. Ma puce vas y emmène le petit, j’arrive dans deux minutes.
Le gardien me répond qu’il prévient immédiatement la cuisine.
Je prends mon épouse dans les bras, le gardien qui a fini de téléphoner, ouvre la porte de la chambre, je couche mon épouse sans faire attention où je suis. Elle grommelle.
Laisse moi dormir, j’en ai marre de rouler.
Elle se retourne, et ne bouge plus. Je sais que là, elle est partie pour dormir un minimum de 12 heures.
Le gardien, me regarde en souriant. « Elle a le sommeil lourd. Vous l’avez mise dans la chambre une personne. C’est l’autre qui est prévue pour deux ».
Il me tend les clefs des chambres, et se précipite à l’accueil, une voiture est en train d’attendre à la barrière d’accès de l’hôtel.
J’arrive, dans la salle de restaurant, ne voie ni ma puce ni mon fils. Le serveur, arrive et me demande de le suivre.
Il me fait rentrer dans une petite salle. « Vous serez tranquille ici avec votre épouse et le petit ». Sans me laisser le temps de répondre, il referme la porte.
La puce me regarde hilare.
Comment va Monsieur mon mari.
Je la regarde, un sourire aux lèvres. Je vais pour m’asseoir, elle attrape ma main, m’attire vers elle en se relevant. Elle m’embrasse passionnément. Me serre contre elle, son pubis se frotte contre mon sexe endormi.
Je t’aime, mon homme. J’ai envie de toi. On mange et on va dans la chambre.
Ta sœur, est couchée, on va pas faire de bêtise avec elle à côté.
Comme tu veux.
Elle cède bien vite, étonnant de sa part, elle ne m’a pas habitué à cela. Enfin on mange, et on verra bien. Mais je m’attends au pire. Ca fait un moment que l’on ne s’est pas retrouvé seul nous deux. Je la comprends, et il est vrai que je ne dirais pas non.
Je regarde la carte.
Tu as envie de quoi ?
Une salade, je n’ai pas une grande faim.
Le serveur entre à ce moment dans la petite salle, avec des bouteilles d’eau. « Je me suis permis de vous apportez de l’Orezza gazeuse et plate, bien que vous ne les ayez pas commandé ».
C’est très bien, deux salades composé du chef en plat principal. Nous n’avons pas très faim, avec la fatigue du voyage, 8 heures de bateau, c’est toujours aussi épuisant.
« Je vous apporte cela dans 10 minutes ».
La puce me regarde avec un grand sourire. Je sens son pied qui remonte le long de mes jambes nues. Il arrive à l’ouverture de la jambe du short. Elle profite de leur largeur pour glisser son pied, et le remonter en douceur. Je la regarde en souriant. Je me penche, elle aussi, lui dépose un tendre baiser sur ses lèvres.
Je me disais bien, que tu as cédé bien vite.
Tu me connais mon amour, quand je veux, je l’obtiens. Comme tu me l’appris si bien, je me donne les moyens de mes envies. Tu es un excellent professeur, le seul souci, pour toi, c’est que l’élève est amoureuse de son professeur. Et là je te veux, je vais te manger tout crue.
Elle me souri gentiment en me disant cela. Son pied qui est revenu comme une tête chercheuse est arrivé au but qu’elle s’était fixé. Elle me regarde surprise.
Tu appliques, ce que tu m’as demandé, ce que tu exiges de moi? Pas de sous vêtement.
Quand je roule sur de longue distance, jamais. Je suis plus à l’aise.
Ses doigts de pied caressent mon sexe qui commence à se réveiller. Elle me regarde avec un grand sourire. Ses yeux me mangent déjà. Pas évident de la retenir, quand elle veut quelque chose. Il est vrai que je n’oppose pas beaucoup de résistance. Je n’en ai pas envie.
Le serveur revient, avec deux belles assiettes, bien garnies. Il est vrai que je n’ai pas très faim. Mais de voir ces bonnes choses une certaine faim commence à me tirailler l’estomac.
Je regarde le petit, il dort comme toujours, entre les tétés, ou les biberons. Magalie, me voie, elle souri.
Tu sais l’autre jour, à la maison, je sortais de la douche, et ma sœur, m’a demandé de le tenir, pendant, qu’elle aller chercher des disques démaquillant dans la salle de bain. J’étais en sortie de bain. Il a commencé à me téter, je croyais devenir folle. Ma sœur est arrivée, m’a regardé en riant.
« Tu t’entraines au cas où ? »
Je ne savais pas quoi répondre, disons que je ne pouvais pas répondre. Il me tétait comme pas possible, et comme rien ne venait il appuyait avec ces petites mains sur mon sein. Ca me faisait un effet incroyable. Je ne savais plus ou me mettre. Heureusement sabine l’a pris de mes bras. Il s’est jeté sur son sein, comme s’il n’avait pas mangé depuis 2 jours. J’en ai presque eut honte, je coulais comme pas possible, j’ai était me doucher à nouveau. Je n’ai pas osé l’avouer à Sabine.
Ne t’en fais pas, c’est arrivé au début à Sabine aussi.
Elle me souri. Elle a l’air presque heureuse de ce qu’elle me raconte. Nous continuons de manger, son pied continue de me caresser, il est vrai que le mien pour ne pas être en reste, fait de même. Je la caresse à travers son short, je voie de temps à autres ses mains se crisper sur ses couverts.
On recommence comme le repas chinois, sa va être chaud dans cinq minutes.
Pas comme le chinois, j’avais moins de vêtement entre toi et moi.
Je la voie se trémousser sur la chaise, mon pied glisse au sol. Lorsqu’il remonte en glissant le long de ses mollets, il est bloqué par le short qui est sur ses mollets. Elle me sourit.
Je pense que tu apprécieras mieux comme cela.
Mes doigts de pieds se retrouvent contre sa vulve dénudée. Je ne peux m’empêcher de sourire.
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4)
Magalie me tend un café. Je l’embrasse, elle est radieuse.
Tout est prêt, même les sandwichs et deux thermos de café, pour la route. On peut y aller quand tu veux.
Je fini de charger la voiture, je prends une douche, et on y va.
Je me lève, Sabine est assise dans la cuisine, en train de finir de préparer les salades. Je l’embrasse, elle me souri.
-/-
Je suis contente que l’on parte déjà ce soir, tu as un gros bisou de maman. La poste, a confirmé qu’elle bloque le courrier à partir de demain, pendant trois semaines.
Je descends les sacs du petit, Magalie me suis avec les Vanitys. Nous rangeons tout dans le coffre. Je remonte prend une douche. Je sorts de la salle de bain, Sabine donne le biberon au petit, il a l’air récalcitrant, Sabine insiste, il se décide à boire au biberon. Magalie assise à côté la regarde.
Je fais le tour de la maison, pendant que tu fini avec le petit. Magalie, tu fais le tour du jardin, pour vérifier que rien ne traîne.
Le tour étant fait, je ferme le gaz, coupe les fusibles de la télé, et du bureau. Sabine, descend avec le petit, je verrouille les portes, enclenche l’alarme, ferme la porte du garage. Magalie et Sabine attendent prêt de la voiture. Sabine a sa carte d’identité, et son permis à la main.
Vous avez vos papiers, Magalie ta carte d’identité s’il te plait, Sabine c’est bon, je sorts mes papiers, les leurs montre. Bon on y va.
Nous prenons la route, le trajet se passe bien, nous nous arrêtons Valence, pour récupérer, chez un ami hôtelier. Nous arrivons en avance au port. Pas de soucis Mario a prévenu, pour le changement de voiture, ils nous font embarquer en dernier.
Nous débarquons à l’Ile Rousse. Il est 21 h. le petit a bien supporté le voyage, pas comme sa mère. Elle adore venir en Corse, mais à chaque fois qu’il y a 50 cm de houle, elle est malade. Elle a pris un valium pour la traversée. Magalie, est en pleine forme.
Je prends immédiatement la Route, Sabine dort à l’arrière, sous l’effet du valium, Magalie, est assise à côté de moi. Le petit dort dans son siège repus du biberon qu’il a eut avant de débarquer.
Direction l’hôtel Santa Maria à la sortie d’ile Rousse. Magalie, avec son mini-short, et son tee-shirt est comme toujours, aussi attirante. Elle pose sa main sur ma cuisse, je la regarde avec un grand sourire, heureusement que ce sont des banquettes dans le Land. Par précaution je fais glisser sa main sur la banquette, à côté de moi, en lui caressant la main.
Nous arrivons à l’hôtel, je descends de la voiture, le gardien me reconnait, je viens 5 à 6 fois par an au minimum, professionnellement.
Il m’indique l’emplacement de parking, prés de nos chambres. Il s’approche de la voiture.
« Les deux chambres communicantes, sont justes là ». Il nous indique, les deux portes en face de la voiture. « Mais il faudrait aller rapidement au restaurant, si vous voulez manger quelque chose de chaud ».
Ma femme est malade, je la couche, et j’arrive. Ma puce vas y emmène le petit, j’arrive dans deux minutes.
Le gardien me répond qu’il prévient immédiatement la cuisine.
Je prends mon épouse dans les bras, le gardien qui a fini de téléphoner, ouvre la porte de la chambre, je couche mon épouse sans faire attention où je suis. Elle grommelle.
Laisse moi dormir, j’en ai marre de rouler.
Elle se retourne, et ne bouge plus. Je sais que là, elle est partie pour dormir un minimum de 12 heures.
Le gardien, me regarde en souriant. « Elle a le sommeil lourd. Vous l’avez mise dans la chambre une personne. C’est l’autre qui est prévue pour deux ».
Il me tend les clefs des chambres, et se précipite à l’accueil, une voiture est en train d’attendre à la barrière d’accès de l’hôtel.
J’arrive, dans la salle de restaurant, ne voie ni ma puce ni mon fils. Le serveur, arrive et me demande de le suivre.
Il me fait rentrer dans une petite salle. « Vous serez tranquille ici avec votre épouse et le petit ». Sans me laisser le temps de répondre, il referme la porte.
La puce me regarde hilare.
Comment va Monsieur mon mari.
Je la regarde, un sourire aux lèvres. Je vais pour m’asseoir, elle attrape ma main, m’attire vers elle en se relevant. Elle m’embrasse passionnément. Me serre contre elle, son pubis se frotte contre mon sexe endormi.
Je t’aime, mon homme. J’ai envie de toi. On mange et on va dans la chambre.
Ta sœur, est couchée, on va pas faire de bêtise avec elle à côté.
Comme tu veux.
Elle cède bien vite, étonnant de sa part, elle ne m’a pas habitué à cela. Enfin on mange, et on verra bien. Mais je m’attends au pire. Ca fait un moment que l’on ne s’est pas retrouvé seul nous deux. Je la comprends, et il est vrai que je ne dirais pas non.
Je regarde la carte.
Tu as envie de quoi ?
Une salade, je n’ai pas une grande faim.
Le serveur entre à ce moment dans la petite salle, avec des bouteilles d’eau. « Je me suis permis de vous apportez de l’Orezza gazeuse et plate, bien que vous ne les ayez pas commandé ».
C’est très bien, deux salades composé du chef en plat principal. Nous n’avons pas très faim, avec la fatigue du voyage, 8 heures de bateau, c’est toujours aussi épuisant.
« Je vous apporte cela dans 10 minutes ».
La puce me regarde avec un grand sourire. Je sens son pied qui remonte le long de mes jambes nues. Il arrive à l’ouverture de la jambe du short. Elle profite de leur largeur pour glisser son pied, et le remonter en douceur. Je la regarde en souriant. Je me penche, elle aussi, lui dépose un tendre baiser sur ses lèvres.
Je me disais bien, que tu as cédé bien vite.
Tu me connais mon amour, quand je veux, je l’obtiens. Comme tu me l’appris si bien, je me donne les moyens de mes envies. Tu es un excellent professeur, le seul souci, pour toi, c’est que l’élève est amoureuse de son professeur. Et là je te veux, je vais te manger tout crue.
Elle me souri gentiment en me disant cela. Son pied qui est revenu comme une tête chercheuse est arrivé au but qu’elle s’était fixé. Elle me regarde surprise.
Tu appliques, ce que tu m’as demandé, ce que tu exiges de moi? Pas de sous vêtement.
Quand je roule sur de longue distance, jamais. Je suis plus à l’aise.
Ses doigts de pied caressent mon sexe qui commence à se réveiller. Elle me regarde avec un grand sourire. Ses yeux me mangent déjà. Pas évident de la retenir, quand elle veut quelque chose. Il est vrai que je n’oppose pas beaucoup de résistance. Je n’en ai pas envie.
Le serveur revient, avec deux belles assiettes, bien garnies. Il est vrai que je n’ai pas très faim. Mais de voir ces bonnes choses une certaine faim commence à me tirailler l’estomac.
Je regarde le petit, il dort comme toujours, entre les tétés, ou les biberons. Magalie, me voie, elle souri.
Tu sais l’autre jour, à la maison, je sortais de la douche, et ma sœur, m’a demandé de le tenir, pendant, qu’elle aller chercher des disques démaquillant dans la salle de bain. J’étais en sortie de bain. Il a commencé à me téter, je croyais devenir folle. Ma sœur est arrivée, m’a regardé en riant.
« Tu t’entraines au cas où ? »
Je ne savais pas quoi répondre, disons que je ne pouvais pas répondre. Il me tétait comme pas possible, et comme rien ne venait il appuyait avec ces petites mains sur mon sein. Ca me faisait un effet incroyable. Je ne savais plus ou me mettre. Heureusement sabine l’a pris de mes bras. Il s’est jeté sur son sein, comme s’il n’avait pas mangé depuis 2 jours. J’en ai presque eut honte, je coulais comme pas possible, j’ai était me doucher à nouveau. Je n’ai pas osé l’avouer à Sabine.
Ne t’en fais pas, c’est arrivé au début à Sabine aussi.
Elle me souri. Elle a l’air presque heureuse de ce qu’elle me raconte. Nous continuons de manger, son pied continue de me caresser, il est vrai que le mien pour ne pas être en reste, fait de même. Je la caresse à travers son short, je voie de temps à autres ses mains se crisper sur ses couverts.
On recommence comme le repas chinois, sa va être chaud dans cinq minutes.
Pas comme le chinois, j’avais moins de vêtement entre toi et moi.
Je la voie se trémousser sur la chaise, mon pied glisse au sol. Lorsqu’il remonte en glissant le long de ses mollets, il est bloqué par le short qui est sur ses mollets. Elle me sourit.
Je pense que tu apprécieras mieux comme cela.
Mes doigts de pieds se retrouvent contre sa vulve dénudée. Je ne peux m’empêcher de sourire.
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Re: Vacances en Corse
Ayé, tout fini 

Vous ne savez pas à quel point vous êtes fort tant que vous n’avez pas besoin de l’être.
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Pas comme le chinois, j’avais moins de vêtement entre toi et moi.
Je la voie se trémousser sur la chaise, mon pied glisse au sol. Lorsqu’il remonte en glissant le long de ses mollets, il est bloqué par le short qui est sur ses mollets. Elle me sourit.
Je pense que tu apprécieras mieux comme cela.
Mes doigts de pieds se retrouvent contre sa vulve dénudée. Je ne peux m’empêcher de sourire.
-/-
Si un serveur entre ?
Là où je suis placée, je les voie arriver, je suis dans un coin, la nappe me cache. Et puis zut j’en ai envie.
Elle a l’air heureuse, que l’on soit en tête à tête, et de se lâcher comme elle en a envie. Je ne suis pas aussi tranquille qu’elle. Enfin c’est peut être elle qui a raison.
Le repas se fini, un serveur, rentre, il débarrasse, nous demande si nous désirons, autre chose.
Deux café s’il vous plait.
Il sort, je sens la main de la puce qui caresse mon pied, et qui commence à remonter son short.
Je n’ai pas envie de dormir, et je n’ai pas envie que toi non plus tu dormes, du moins pas tout de suite.
Le serveur, ramène les cafés, je signe la note. Nous buvons nos cafés, je prends le petit qui dort comme un bien heureux dans son couffin, et nous sortons du restaurant. Chemin faisant Magalie me prend la main se rapproche. Pose sa tête sur mon épaule.
Je t’aime, je suis heureuse d’être ici avec toi, avec vous.
Nous arrivons près des chambres. Je me dirige vers la porte qui donne sur la chambre double. Nous entrons discrètement, je m’approche discrètement de la porte séparative des deux chambres, l’entrouvre. Aucun bruit, Sabine est dans la même position où je l’avais laissé.
Magalie, qui s’est collée derrière moi, a passer ses mains dans mes poches de mon short, et me caresse. Je me redresse, je sens ses seins, qui telles deux obus se plaquent contre mon dos. Je me laisse aller contre elle, tout au plaisir des caresses qu’elle est en train de me prodiguer.
Que s’est agréable d’être dans les bras de sa petite puce, de se sentir autant désiré. Il est vrai que l’interdit de situation, du fait de la présence de mon épouse dans la pièce, est un stimulant, à la fois merveilleux, et terriblement castrateur.
Cela n’a pas l’air de troubler Magalie, tout à ses envies, et surtout à vouloir faire apparaître les miennes. De sentir ses seins, ses tétons qui commencent doucement à se rappeler à mon bon souvenir, ses mains qui me caressent tendrement, je n’ai pas trop envie de réfléchir, de penser.
Je me retourne, la prends dans mes bras, l’embrasse tendrement. J’avance, Magalie dans mes bras, pour retourner dans l’autre chambre. Mes mains se posent sur ses fesses, et les caressent doucement. Elle se colle à moi, et pose sa tête dans le creux de mon épaule. Nous sommes bien dans les bras l’un de l’autre. Je suis tellement à la fois fatigué du voyage, et nerveux de ma frustration, de ne pas oser me lâcher totalement avec mon petit cœur, ma femme étant si proche, trop proche.
Je sens ses mains descendre de ma nuque, où elles s’étaient posées lorsque nous nous sommes embrassés, descendre doucement le long de mon dos, arrivé sur mes flancs, glisser sous ma chemisette. Je frissonne du bonheur de sentir ses mains sur ma peau nue. Le contact de son corps, de ses mains, a toujours quelque chose d’irréel pour moi. Comme si, malgré ce qui nous lie, au plus profond de nous, mon corps était toujours surpris à chaque fois de découvrir, la douceur, la qualité de sa peau.
Ses mains glissent sous mon short, se posent tendrement, avec douceur sur mes fesses nues. Il n’y a rien de sexuelle dans son geste, dans ses yeux qui viennent de se verrouiller aux miens. Juste un bien être, une complicité, qui est à la fois tendre, et si effrayante.
Je t’aime, mon dieu que j’aime être dans tes bras. Je sens que rien ne peut m’arriver, quand je m’y réfugie.
Elle me chuchote ces mots à l’oreille, comme s’il s’agissait d’un secret. Il est vrai que mes puces, mes amours, mes femmes, il est hors de question que quoi que ce soit ne leurs arrivent, je ne me le pardonnerais jamais. Je les aime tant, non je les aime plus que ma vie, tout simplement.
Va prendre une douche, je vais voir comment va Sabine, et je couche le petit et je regarde si ça se passe bien pour lui. On verra après.
Elle me regarde un peut déçut, mais à l’air de comprendre. Comme je le lui ai déjà dit, un homme marié, ne fait pas toujours ce qu’il veut. Il fait souvent comme il peut.
Je rentre dans la chambre où Sabine dort, je m’approche doucement du lit, comme je m’y attendais elle dort comme une masse. Chaque fois que nous prenons le bateau, et qu’elle est obligée de prendre un valium au milieu de la traversée, elle dort pendant 12 heures. Il lui est même arrive de dormir 20 heures d’affilées.
Je reviens dans l’autre pièce, prends le couffin et emmène le petit dans la chambre où mon épouse dort. Je couche le petit dans le petit lit prévu à cet effet. Il dort et ne se réveille même pas. Heureusement maintenant il fait presque des nuits complètes, et il accepte les biberons, le sevrage a l’air de bien se présenter.
Je me dirige vers la salle de bain, la puce est assise sur le rebord de la baignoire, songeuse. Elle n’a pas pris sa douche. Je m’approche, m’agenouille devant elle. Prends sa tête dans mes mains, veux l’embrasser. Elle tourne la tête.
Je me demande si tu tiens vraiment à moi ? Depuis que nous sommes partis, pas un mot gentil, pas un geste tendre. Limite ce soir, je me demande si tu le voulais, où si c’est parce que tu te sentais obligé.
Je la regarde tendrement, je sens mes larmes montées, j’ai les yeux humides.
Ma puce, mon petit cœur, je t’aime tu n’as aucune raison, d’en douter, je sais que durant le voyage cela n’a pas dut être rose pour toi, mais la tension de la route, plus le stress, enfin je suis un peut vanner.
Je ne cherche pas d’excuse. Mais je sais, je n’ai pas était à la hauteur de ce que tu attends de moi. Donne moi 5 minutes je reviens.
Sans lui laisser le temps, je me relève l’embrasse avant qu’elle n’ai le temps de réagir, et sors de la chambre.
Je me dirige vers la réception. Le gardien me voie, et accourt. « Il y a un problème ? »
Voilà, mon épouse dort et le petit aussi. Pourriez vous surveillez la chambre ou, est ce que quelqu’un serait disponible pour le faire pour une à deux heures ? Ma belle sœur n’est pas trop bien, et elle voudrait marcher un peu, j’ai pensé l’accompagner au bord de mer. S’il y a un problème, que ma femme ou le petit se réveille nous serons sur la plage de l’hôtel.
Je le voie réfléchir. « Il y a bien ma fille qui est rentré il y a 15 minutes de son travail, je l’appelle, nous logeons ici sur place ».
Il prend son téléphone est appelle. Je l’entends parler, je pense avec sa fille. « Pas de soucis elle arrive dans 5 minutes. Je vous passe un des téléphone de l’hôtel, nous avons un système interne avec réémetteur qui permet de capter jusqu’à la plage. » Il repart dans la guérite et reviens avec un deuxième téléphone et me le tend.
Effectivement, au bout de 5 minutes, je voie une jeune fille d’environ 20 ans arriver, et se diriger vers nous.
« Tu vas suivre Monsieur, sa femme et le petit dorment dans les chambres 15 et 16, tu prends mon téléphone, s’ils se réveillent tu appelle le 4975 c’est le numéro du téléphone que je lui ai confié. Le numéro de l’appareil de ma fille est le 5055, vous pouvez l’appeler à tout moment. Il en a pour deux heures environ. »
Je voie la fille acquiescée de la tête. Je le remercie, et me dirige vers la chambre, la jeune fille sur mes talons. Je m’arrête, attend qu’elle me rattrape.
Pour les deux heures, je vous dois combien ?
Elle me regarde surprise, ne sachant que répondre.
Cinquante francs de l’heure, cela va ?
Je la voie étonnée, « comme vous voulez, vous savez, je le fait régulièrement et je n’ai pas pour habitude de me faire payer pour cela, je rends service à mon père ».
Chez moi tout travail mérite salaire.
« D’accord comme vous voulez ». Nous arrivons, devant les chambres, elle s’installe sur une chaise prés des deux portes.
Je cherche ma belle sœur, et nous y allons.
Elle ne m’a pas écoutée, et elle est déjà en train de lire le livre qu’elle a emmené. Je rentre dans la chambre, Magalie est assise en tailleur sur le lit.
Tu parlais avec qui ?
Elle a la tête des mauvais jours. Je ne réponds pas, vais dans la salle de bain chercher des draps de bain. Magalie me regarde surprise. Je m’approche, tend la main, elle souri, et se lève. Je la prends dans les bras, la serre contre moi.
Tu viens avec moi, on va se promener, la fille du gardien est là elle surveille les chambres. S’il y a un problème elle m’appelle sur le téléphone intérieur, que le gardien m’a confié.
Magalie me regarde, surprise, je ne lui laisse pas le temps de réfléchir, la houspille, la pousse, vers la porte. Nous sortons. Je ferme la porte doucement.
Je me tourne vers la jeune fille qui est assise est qui lit.
Nous y allons, nous revenons comme convenue, quoi qu’il se passe vous m’appelez.
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5)
Pas comme le chinois, j’avais moins de vêtement entre toi et moi.
Je la voie se trémousser sur la chaise, mon pied glisse au sol. Lorsqu’il remonte en glissant le long de ses mollets, il est bloqué par le short qui est sur ses mollets. Elle me sourit.
Je pense que tu apprécieras mieux comme cela.
Mes doigts de pieds se retrouvent contre sa vulve dénudée. Je ne peux m’empêcher de sourire.
-/-
Si un serveur entre ?
Là où je suis placée, je les voie arriver, je suis dans un coin, la nappe me cache. Et puis zut j’en ai envie.
Elle a l’air heureuse, que l’on soit en tête à tête, et de se lâcher comme elle en a envie. Je ne suis pas aussi tranquille qu’elle. Enfin c’est peut être elle qui a raison.
Le repas se fini, un serveur, rentre, il débarrasse, nous demande si nous désirons, autre chose.
Deux café s’il vous plait.
Il sort, je sens la main de la puce qui caresse mon pied, et qui commence à remonter son short.
Je n’ai pas envie de dormir, et je n’ai pas envie que toi non plus tu dormes, du moins pas tout de suite.
Le serveur, ramène les cafés, je signe la note. Nous buvons nos cafés, je prends le petit qui dort comme un bien heureux dans son couffin, et nous sortons du restaurant. Chemin faisant Magalie me prend la main se rapproche. Pose sa tête sur mon épaule.
Je t’aime, je suis heureuse d’être ici avec toi, avec vous.
Nous arrivons près des chambres. Je me dirige vers la porte qui donne sur la chambre double. Nous entrons discrètement, je m’approche discrètement de la porte séparative des deux chambres, l’entrouvre. Aucun bruit, Sabine est dans la même position où je l’avais laissé.
Magalie, qui s’est collée derrière moi, a passer ses mains dans mes poches de mon short, et me caresse. Je me redresse, je sens ses seins, qui telles deux obus se plaquent contre mon dos. Je me laisse aller contre elle, tout au plaisir des caresses qu’elle est en train de me prodiguer.
Que s’est agréable d’être dans les bras de sa petite puce, de se sentir autant désiré. Il est vrai que l’interdit de situation, du fait de la présence de mon épouse dans la pièce, est un stimulant, à la fois merveilleux, et terriblement castrateur.
Cela n’a pas l’air de troubler Magalie, tout à ses envies, et surtout à vouloir faire apparaître les miennes. De sentir ses seins, ses tétons qui commencent doucement à se rappeler à mon bon souvenir, ses mains qui me caressent tendrement, je n’ai pas trop envie de réfléchir, de penser.
Je me retourne, la prends dans mes bras, l’embrasse tendrement. J’avance, Magalie dans mes bras, pour retourner dans l’autre chambre. Mes mains se posent sur ses fesses, et les caressent doucement. Elle se colle à moi, et pose sa tête dans le creux de mon épaule. Nous sommes bien dans les bras l’un de l’autre. Je suis tellement à la fois fatigué du voyage, et nerveux de ma frustration, de ne pas oser me lâcher totalement avec mon petit cœur, ma femme étant si proche, trop proche.
Je sens ses mains descendre de ma nuque, où elles s’étaient posées lorsque nous nous sommes embrassés, descendre doucement le long de mon dos, arrivé sur mes flancs, glisser sous ma chemisette. Je frissonne du bonheur de sentir ses mains sur ma peau nue. Le contact de son corps, de ses mains, a toujours quelque chose d’irréel pour moi. Comme si, malgré ce qui nous lie, au plus profond de nous, mon corps était toujours surpris à chaque fois de découvrir, la douceur, la qualité de sa peau.
Ses mains glissent sous mon short, se posent tendrement, avec douceur sur mes fesses nues. Il n’y a rien de sexuelle dans son geste, dans ses yeux qui viennent de se verrouiller aux miens. Juste un bien être, une complicité, qui est à la fois tendre, et si effrayante.
Je t’aime, mon dieu que j’aime être dans tes bras. Je sens que rien ne peut m’arriver, quand je m’y réfugie.
Elle me chuchote ces mots à l’oreille, comme s’il s’agissait d’un secret. Il est vrai que mes puces, mes amours, mes femmes, il est hors de question que quoi que ce soit ne leurs arrivent, je ne me le pardonnerais jamais. Je les aime tant, non je les aime plus que ma vie, tout simplement.
Va prendre une douche, je vais voir comment va Sabine, et je couche le petit et je regarde si ça se passe bien pour lui. On verra après.
Elle me regarde un peut déçut, mais à l’air de comprendre. Comme je le lui ai déjà dit, un homme marié, ne fait pas toujours ce qu’il veut. Il fait souvent comme il peut.
Je rentre dans la chambre où Sabine dort, je m’approche doucement du lit, comme je m’y attendais elle dort comme une masse. Chaque fois que nous prenons le bateau, et qu’elle est obligée de prendre un valium au milieu de la traversée, elle dort pendant 12 heures. Il lui est même arrive de dormir 20 heures d’affilées.
Je reviens dans l’autre pièce, prends le couffin et emmène le petit dans la chambre où mon épouse dort. Je couche le petit dans le petit lit prévu à cet effet. Il dort et ne se réveille même pas. Heureusement maintenant il fait presque des nuits complètes, et il accepte les biberons, le sevrage a l’air de bien se présenter.
Je me dirige vers la salle de bain, la puce est assise sur le rebord de la baignoire, songeuse. Elle n’a pas pris sa douche. Je m’approche, m’agenouille devant elle. Prends sa tête dans mes mains, veux l’embrasser. Elle tourne la tête.
Je me demande si tu tiens vraiment à moi ? Depuis que nous sommes partis, pas un mot gentil, pas un geste tendre. Limite ce soir, je me demande si tu le voulais, où si c’est parce que tu te sentais obligé.
Je la regarde tendrement, je sens mes larmes montées, j’ai les yeux humides.
Ma puce, mon petit cœur, je t’aime tu n’as aucune raison, d’en douter, je sais que durant le voyage cela n’a pas dut être rose pour toi, mais la tension de la route, plus le stress, enfin je suis un peut vanner.
Je ne cherche pas d’excuse. Mais je sais, je n’ai pas était à la hauteur de ce que tu attends de moi. Donne moi 5 minutes je reviens.
Sans lui laisser le temps, je me relève l’embrasse avant qu’elle n’ai le temps de réagir, et sors de la chambre.
Je me dirige vers la réception. Le gardien me voie, et accourt. « Il y a un problème ? »
Voilà, mon épouse dort et le petit aussi. Pourriez vous surveillez la chambre ou, est ce que quelqu’un serait disponible pour le faire pour une à deux heures ? Ma belle sœur n’est pas trop bien, et elle voudrait marcher un peu, j’ai pensé l’accompagner au bord de mer. S’il y a un problème, que ma femme ou le petit se réveille nous serons sur la plage de l’hôtel.
Je le voie réfléchir. « Il y a bien ma fille qui est rentré il y a 15 minutes de son travail, je l’appelle, nous logeons ici sur place ».
Il prend son téléphone est appelle. Je l’entends parler, je pense avec sa fille. « Pas de soucis elle arrive dans 5 minutes. Je vous passe un des téléphone de l’hôtel, nous avons un système interne avec réémetteur qui permet de capter jusqu’à la plage. » Il repart dans la guérite et reviens avec un deuxième téléphone et me le tend.
Effectivement, au bout de 5 minutes, je voie une jeune fille d’environ 20 ans arriver, et se diriger vers nous.
« Tu vas suivre Monsieur, sa femme et le petit dorment dans les chambres 15 et 16, tu prends mon téléphone, s’ils se réveillent tu appelle le 4975 c’est le numéro du téléphone que je lui ai confié. Le numéro de l’appareil de ma fille est le 5055, vous pouvez l’appeler à tout moment. Il en a pour deux heures environ. »
Je voie la fille acquiescée de la tête. Je le remercie, et me dirige vers la chambre, la jeune fille sur mes talons. Je m’arrête, attend qu’elle me rattrape.
Pour les deux heures, je vous dois combien ?
Elle me regarde surprise, ne sachant que répondre.
Cinquante francs de l’heure, cela va ?
Je la voie étonnée, « comme vous voulez, vous savez, je le fait régulièrement et je n’ai pas pour habitude de me faire payer pour cela, je rends service à mon père ».
Chez moi tout travail mérite salaire.
« D’accord comme vous voulez ». Nous arrivons, devant les chambres, elle s’installe sur une chaise prés des deux portes.
Je cherche ma belle sœur, et nous y allons.
Elle ne m’a pas écoutée, et elle est déjà en train de lire le livre qu’elle a emmené. Je rentre dans la chambre, Magalie est assise en tailleur sur le lit.
Tu parlais avec qui ?
Elle a la tête des mauvais jours. Je ne réponds pas, vais dans la salle de bain chercher des draps de bain. Magalie me regarde surprise. Je m’approche, tend la main, elle souri, et se lève. Je la prends dans les bras, la serre contre moi.
Tu viens avec moi, on va se promener, la fille du gardien est là elle surveille les chambres. S’il y a un problème elle m’appelle sur le téléphone intérieur, que le gardien m’a confié.
Magalie me regarde, surprise, je ne lui laisse pas le temps de réfléchir, la houspille, la pousse, vers la porte. Nous sortons. Je ferme la porte doucement.
Je me tourne vers la jeune fille qui est assise est qui lit.
Nous y allons, nous revenons comme convenue, quoi qu’il se passe vous m’appelez.
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Re: Vacances en Corse
Hé bien, elle a sale caractère la Magalie, c'est une boudeuse de compète 



Vous ne savez pas à quel point vous êtes fort tant que vous n’avez pas besoin de l’être.
Re: Vacances en Corse
Bikette a écrit :Hé bien, elle a sale caractère la Magalie, c'est une boudeuse de compète
Il faut bien que jeunesse se passe.



J'en connais qui même bien plus âgée,
sont toujours des boudeuses invétérées.


Re: Vacances en Corse
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Tu viens avec moi, on va se promener, la fille du gardien est là elle surveille les chambres. S’il y a un problème elle m’appelle sur le téléphone intérieur, que le gardien m’a confié.
Magalie me regarde, surprise, je ne lui laisse pas le temps de réfléchir, la houspille, la pousse, vers la porte. Nous sortons. Je ferme la porte doucement.
Je me tourne vers la jeune fille qui est assise est qui lit.
Nous y allons, nous revenons comme convenue, quoi qu’il se passe vous m’appelez.
-/-
Elle lève à peine la tête du livre « d’accord, de toute façon je veux lire ce livre, il me plait trop »
Nous partons doucement, la lune brille de mille feux, au détour du virage du chemin, nous voyons la mer proche, la lune se reflète dedans, on dirait que des étoiles scintillent sur l’eau. Magalie, s’arrête, admire le paysage, se tourne vers moi. Elle est émue.
C’est la première fois que je voie la mer, sur le bateau ce n’était pas pareil.
Je m’approche d’elle, passe mon bras sur son épaule, elle prend ma main dans ses mains, et la serre. Sa tête se pose sur mon épaule. Nous arrivons sur la plage, et continuons, jusqu’à que nos pieds soient dans l’eau. Elle se tourne vers moi, m’embrasse.
Nous marchons, les pieds dans l’eau, le long de la plage de sable fin, éclairé par la lune, notre seul témoin.
La plage forme des petites criques les unes à côté de l’autre. Je m’arrête à la première, sort de l’eau, m’approche du maquis qui borde la plage. Des eucalyptus majestueux poussent en demi-cercle autour de la petite crique, ils arrivent presque jusqu’à la mer. Je pose les serviettes, le téléphone sur les serviettes, prends Magalie qui m’a suivie dans mes bras la serre contre moi.
Ma chérie je t’aime, je te l’ai dit, et te le redis, je t’aime.
Elle me regarde, prend ma tête dans ses mains, m’embrasse les yeux, les joues, et délicatement, tout en douceur, m’embrasse sur les lèvres. Sa langue s’immisce doucement entre mes lèvres, force le passage de mes dents, et part à la recherche de ma langue. Quand elles se trouvent, se retrouvent elles se touchent délicatement, se caressent, tendrement, comme si elles voulaient se redécouvrir, s’apprivoiser.
Je t’aime mon jacques, je comprends, que ce ne soit pas facile, mais il y a des moments ou je n’arrive pas à me contrôler, je te voudrais tout à moi. Je sais que ce n’est pas possible. Mais je suis comme cela.
Je prends le téléphone, fait le 5055. La sonnerie retentie une fois. « Allo, » fait une petite voix.
Je voulais tester pour voir si cela passe bien, vous me rappelez s’il vous plait.
J’ai à peine raccroché, que le téléphone sonne, je prends la ligne.
La même petite voix, « C’est moi, ça fonctionne. On dirait que tout le monde dort, je suis en train d’écouter à la porte des deux chambres, pas un bruit ».
Merci mademoiselle.
Bon la sonnerie est assez forte. Je me tourne vers la puce qui me regarde, attendant la suite.
On se baigne ma chérie ?
Ses yeux brillent de joie.
Je n’ai pas de maillot et je ne sais pas très bien nager.
Moi non plus je n’ai pas de maillot.
Je m’approche d’elle, elle souri. Ses doigts déboutonnent nerveusement ma chemisette. Elle la fait glisser de mes épaules.
Mes mains, attrapent le bas de son tee-shirt, et commence doucement à le remonter, en caressant ses flancs. Je voie ses bras commencer à se relever, pour me permettre de le lui enlever.
En même temps que le tee-shirt passe sa poitrine, elle apparait au clair de lune, elle est magnifique. Je voie ses tétons commencer à pointer doucement.
Je ne peux m’empêcher de les embrasser tendrement, l’un après l’autre. Ses mains agrippent le tee-shirt, l’enlève rapidement, elle le jette sur les draps de bain. Ses mains passent sous sa poitrine et me les présentent. Avec les reflets de la lune, c’est comme un joyau dans son écrin. Ma salive qui s’est déposée par endroit, brille comme des petits diamants dans les reflets de la lune.
Je les lèche doucement, les embrasses. Ma bouche pince doucement ses tétons. Mes mains se posent sur ses hanches et comme je me laisse glisser à genoux, elle suit. Nous nous retrouvons à genoux, les yeux dans les yeux, heureux.
Elle me pousse doucement, je me retrouve allonger sur le sable encore chaud du soleil de la journée. Ses mains se posent de chaque côté de mon corps, elle abaisse son corps, ses tétons passent doucement sur mes cuisses, je les sens durcir au fur et à mesure qu’elle progresse doucement comme un serpent, rampant le long de mon corps. Sa bouche embrasse mon nombril, sa langue joue avec, tout mon corps y passe, aucune partie ne lui échappe.
Elle continue à remonter, doucement, sensuellement. Je sens mon sexe libre sous mon short qui commence doucement à prendre de l’ampleur. Elle le sent qui grandi contre ses seins.
Elle me regarde souri, et commence à redescendre tout en frottant plus fortement sa poitrine conte mes cuisses. Sa bouche s’approche de mon sexe, et l’embrasse à travers le tissu de mon short. Ses dents attrapent la ficelle du zip de mon short et elle tire avec ses dents pour le faire descendre. Ses yeux sont rivés dans les miens. Son regard est complètement excité. Ma verge libérée de son entrave de tissu, apparait en pleine lune. Sa bouche s’approche, elle l’embrasse. Sa langue commence à lécher la hampe, mon sexe grossi de plus en plus. Le gland commence à apparaitre. Sa langue se précipite, et commence à lécher le méat. Je le voie faire une légère grimace.
Je m’assieds, la prends dans mes bras, l’embrasse, la fait se relever, tout en étant assis. J’ouvre le bouton de son short, fait descendre doucement son zip, passe mes mains de chaque côté, et le fait doucement descendre le long de ses jambes. Elle lève ses pieds l’un après l’autre, pour me permettre de l’enlever. Ma bouche s’approche de sa vulve, elle se baisse.
je n’ai pas pris de douche, ça ne doit pas sentir la rose. Un peut comme toi.
Ma puce, ce sont tes odeurs, c’est toi que je veux, ma puce de tous les jours, pas une puce qui se prépare, se pomponne pour son homme.
Mes mains se posent sur ses fesses, elle écarte ses jambes, et viens au-dessus de moi. Ma bouche s’approche de son pubis et l’embrasse. Ma langue commence à la fouiller doucement. Elle se retourne et court dans l’eau. S’arrête avec l’eau aux genoux. Je me relève, enlève mon short, et me précipite dans l’eau. Elle me tend les bras, je m’y jette.
Je t’aime, je suis la plus heureuse des jeunes filles. Comme tu ne m’as toujours pas pris mon pucelage, je suis encore une jeune fille. Même si je t’ai donné mon autre pucelage. Quand vas-tu estimer que je suis prête. J’ai tellement envie de te sentir en moi, dans mon ventre.
Je la regarde tendrement, amoureusement.
Ma petite puce si tu savais le nombre de fois que j’aurais aimé être en toi, te faire l’amour, sentir ta vulve serré mon pénis de plaisir, te prendre, jouir en toi, te sentir te contracter de plaisir quand tu me sens jouir dans ton ventre. Mais non pas encore, ta tête, ton corps n’est pas prêt.
Je le sais ma puce. J’en ai aussi envie, autant que toi, mais le moment doit être intense, que nous ne puissions ni toi ni moi refuser de le désirer, de le vouloir, de ne faire autrement que de le faire sans réfléchir, que nos corps, contre ce que nos têtes décident, passent outre.
J’ai envie de te sentir dans mon ventre. L‘épisode de la baignoire, me frustre encore plus.
En même temps, tout en reculant, ses bras prennent appuis sur mes épaules, et elles se retrouvent les jambes bloqués dans mon dos. Les vagues clapotent contre ses fesses. Mes mains se posent sous ses fesses.
Elle me regarde, comme pour me faire comprendre ce qu’elle veut, de lui faire confiance.
Mes mains glissent sur ses flancs, elle souri.
Sa main passe doucement entre nos deux corps, elle prend mon sexe en main, et frotte doucement le gland, contre ses grandes lèvres. Elle le positionne, à l’entrée de sa vulve, se laisse doucement descendre. Je sens son hymen venir doucement au contact de mon sexe.
Une de mes mains s’est égarée sur ses fesses. Et commence à caresser son petit œillet. Je sens ses bras me serrer.
Si tu n’avais pas autant confiance en moi je me laisserais tomber sur ton sexe, tant j’ai envie de le sentir en moi. Ton doigt qui me titille mes fesses, qui commence à me pénétrer mon petit trou, si tu continue, je ne pourrais pas longtemps résister.
Quand je sens ce tendre fourreau autour de mon sexe, son hymen qui doucement appuis sur mon gland, mon dieu que j’ai envie de poser mes mains sur ses hanches et de m’enfoncer en elle. De la prendre simplement, tendrement.
Je la sens remonter doucement, le long de ma verge, qui rempli complètement l’entrée de sa vulve. Elle redescend doucement sur ma hampe, je la regarde, son visage exprime la plénitude de ce qu’elle ressent en jouant comme elle le fait. Je sens mon gland pénétré légèrement son hymen, mon doigt, en a profité pour la pénétrer complètement. Je sens ses bras trembler, elle est au bord de se laisser tomber.
Je te laisse faire, si tu le veux vraiment.
Elle me regarde, se redresse, se reprend, remonte doucement en s’aidant difficilement de ses bras, tant elle est troublée. Mon doigt est rejoint par un autre qui la fouille sans vergogne, je sens son anus se contracter sur mes doigts qui la masturbent, la pénètrent sans retenue. Elle se hisse, mon gland est prêt de sortir d’entre ses petites lèvres. Je les sens se contracter, comme pour l’empêcher de quitter ce nid si douillet.
Propos de Magalie ma belle sœur
Propos de Jacques
Mes pensées
Propos de Mario
Propos de Charlotte
Propos de Lucie fille de Charlotte
Propos de Louise petite fille de Charlotte
6)
Tu viens avec moi, on va se promener, la fille du gardien est là elle surveille les chambres. S’il y a un problème elle m’appelle sur le téléphone intérieur, que le gardien m’a confié.
Magalie me regarde, surprise, je ne lui laisse pas le temps de réfléchir, la houspille, la pousse, vers la porte. Nous sortons. Je ferme la porte doucement.
Je me tourne vers la jeune fille qui est assise est qui lit.
Nous y allons, nous revenons comme convenue, quoi qu’il se passe vous m’appelez.
-/-
Elle lève à peine la tête du livre « d’accord, de toute façon je veux lire ce livre, il me plait trop »
Nous partons doucement, la lune brille de mille feux, au détour du virage du chemin, nous voyons la mer proche, la lune se reflète dedans, on dirait que des étoiles scintillent sur l’eau. Magalie, s’arrête, admire le paysage, se tourne vers moi. Elle est émue.
C’est la première fois que je voie la mer, sur le bateau ce n’était pas pareil.
Je m’approche d’elle, passe mon bras sur son épaule, elle prend ma main dans ses mains, et la serre. Sa tête se pose sur mon épaule. Nous arrivons sur la plage, et continuons, jusqu’à que nos pieds soient dans l’eau. Elle se tourne vers moi, m’embrasse.
Nous marchons, les pieds dans l’eau, le long de la plage de sable fin, éclairé par la lune, notre seul témoin.
La plage forme des petites criques les unes à côté de l’autre. Je m’arrête à la première, sort de l’eau, m’approche du maquis qui borde la plage. Des eucalyptus majestueux poussent en demi-cercle autour de la petite crique, ils arrivent presque jusqu’à la mer. Je pose les serviettes, le téléphone sur les serviettes, prends Magalie qui m’a suivie dans mes bras la serre contre moi.
Ma chérie je t’aime, je te l’ai dit, et te le redis, je t’aime.
Elle me regarde, prend ma tête dans ses mains, m’embrasse les yeux, les joues, et délicatement, tout en douceur, m’embrasse sur les lèvres. Sa langue s’immisce doucement entre mes lèvres, force le passage de mes dents, et part à la recherche de ma langue. Quand elles se trouvent, se retrouvent elles se touchent délicatement, se caressent, tendrement, comme si elles voulaient se redécouvrir, s’apprivoiser.
Je t’aime mon jacques, je comprends, que ce ne soit pas facile, mais il y a des moments ou je n’arrive pas à me contrôler, je te voudrais tout à moi. Je sais que ce n’est pas possible. Mais je suis comme cela.
Je prends le téléphone, fait le 5055. La sonnerie retentie une fois. « Allo, » fait une petite voix.
Je voulais tester pour voir si cela passe bien, vous me rappelez s’il vous plait.
J’ai à peine raccroché, que le téléphone sonne, je prends la ligne.
La même petite voix, « C’est moi, ça fonctionne. On dirait que tout le monde dort, je suis en train d’écouter à la porte des deux chambres, pas un bruit ».
Merci mademoiselle.
Bon la sonnerie est assez forte. Je me tourne vers la puce qui me regarde, attendant la suite.
On se baigne ma chérie ?
Ses yeux brillent de joie.
Je n’ai pas de maillot et je ne sais pas très bien nager.
Moi non plus je n’ai pas de maillot.
Je m’approche d’elle, elle souri. Ses doigts déboutonnent nerveusement ma chemisette. Elle la fait glisser de mes épaules.
Mes mains, attrapent le bas de son tee-shirt, et commence doucement à le remonter, en caressant ses flancs. Je voie ses bras commencer à se relever, pour me permettre de le lui enlever.
En même temps que le tee-shirt passe sa poitrine, elle apparait au clair de lune, elle est magnifique. Je voie ses tétons commencer à pointer doucement.
Je ne peux m’empêcher de les embrasser tendrement, l’un après l’autre. Ses mains agrippent le tee-shirt, l’enlève rapidement, elle le jette sur les draps de bain. Ses mains passent sous sa poitrine et me les présentent. Avec les reflets de la lune, c’est comme un joyau dans son écrin. Ma salive qui s’est déposée par endroit, brille comme des petits diamants dans les reflets de la lune.
Je les lèche doucement, les embrasses. Ma bouche pince doucement ses tétons. Mes mains se posent sur ses hanches et comme je me laisse glisser à genoux, elle suit. Nous nous retrouvons à genoux, les yeux dans les yeux, heureux.
Elle me pousse doucement, je me retrouve allonger sur le sable encore chaud du soleil de la journée. Ses mains se posent de chaque côté de mon corps, elle abaisse son corps, ses tétons passent doucement sur mes cuisses, je les sens durcir au fur et à mesure qu’elle progresse doucement comme un serpent, rampant le long de mon corps. Sa bouche embrasse mon nombril, sa langue joue avec, tout mon corps y passe, aucune partie ne lui échappe.
Elle continue à remonter, doucement, sensuellement. Je sens mon sexe libre sous mon short qui commence doucement à prendre de l’ampleur. Elle le sent qui grandi contre ses seins.
Elle me regarde souri, et commence à redescendre tout en frottant plus fortement sa poitrine conte mes cuisses. Sa bouche s’approche de mon sexe, et l’embrasse à travers le tissu de mon short. Ses dents attrapent la ficelle du zip de mon short et elle tire avec ses dents pour le faire descendre. Ses yeux sont rivés dans les miens. Son regard est complètement excité. Ma verge libérée de son entrave de tissu, apparait en pleine lune. Sa bouche s’approche, elle l’embrasse. Sa langue commence à lécher la hampe, mon sexe grossi de plus en plus. Le gland commence à apparaitre. Sa langue se précipite, et commence à lécher le méat. Je le voie faire une légère grimace.
Je m’assieds, la prends dans mes bras, l’embrasse, la fait se relever, tout en étant assis. J’ouvre le bouton de son short, fait descendre doucement son zip, passe mes mains de chaque côté, et le fait doucement descendre le long de ses jambes. Elle lève ses pieds l’un après l’autre, pour me permettre de l’enlever. Ma bouche s’approche de sa vulve, elle se baisse.
je n’ai pas pris de douche, ça ne doit pas sentir la rose. Un peut comme toi.
Ma puce, ce sont tes odeurs, c’est toi que je veux, ma puce de tous les jours, pas une puce qui se prépare, se pomponne pour son homme.
Mes mains se posent sur ses fesses, elle écarte ses jambes, et viens au-dessus de moi. Ma bouche s’approche de son pubis et l’embrasse. Ma langue commence à la fouiller doucement. Elle se retourne et court dans l’eau. S’arrête avec l’eau aux genoux. Je me relève, enlève mon short, et me précipite dans l’eau. Elle me tend les bras, je m’y jette.
Je t’aime, je suis la plus heureuse des jeunes filles. Comme tu ne m’as toujours pas pris mon pucelage, je suis encore une jeune fille. Même si je t’ai donné mon autre pucelage. Quand vas-tu estimer que je suis prête. J’ai tellement envie de te sentir en moi, dans mon ventre.
Je la regarde tendrement, amoureusement.
Ma petite puce si tu savais le nombre de fois que j’aurais aimé être en toi, te faire l’amour, sentir ta vulve serré mon pénis de plaisir, te prendre, jouir en toi, te sentir te contracter de plaisir quand tu me sens jouir dans ton ventre. Mais non pas encore, ta tête, ton corps n’est pas prêt.
Je le sais ma puce. J’en ai aussi envie, autant que toi, mais le moment doit être intense, que nous ne puissions ni toi ni moi refuser de le désirer, de le vouloir, de ne faire autrement que de le faire sans réfléchir, que nos corps, contre ce que nos têtes décident, passent outre.
J’ai envie de te sentir dans mon ventre. L‘épisode de la baignoire, me frustre encore plus.
En même temps, tout en reculant, ses bras prennent appuis sur mes épaules, et elles se retrouvent les jambes bloqués dans mon dos. Les vagues clapotent contre ses fesses. Mes mains se posent sous ses fesses.
Elle me regarde, comme pour me faire comprendre ce qu’elle veut, de lui faire confiance.
Mes mains glissent sur ses flancs, elle souri.
Sa main passe doucement entre nos deux corps, elle prend mon sexe en main, et frotte doucement le gland, contre ses grandes lèvres. Elle le positionne, à l’entrée de sa vulve, se laisse doucement descendre. Je sens son hymen venir doucement au contact de mon sexe.
Une de mes mains s’est égarée sur ses fesses. Et commence à caresser son petit œillet. Je sens ses bras me serrer.
Si tu n’avais pas autant confiance en moi je me laisserais tomber sur ton sexe, tant j’ai envie de le sentir en moi. Ton doigt qui me titille mes fesses, qui commence à me pénétrer mon petit trou, si tu continue, je ne pourrais pas longtemps résister.
Quand je sens ce tendre fourreau autour de mon sexe, son hymen qui doucement appuis sur mon gland, mon dieu que j’ai envie de poser mes mains sur ses hanches et de m’enfoncer en elle. De la prendre simplement, tendrement.
Je la sens remonter doucement, le long de ma verge, qui rempli complètement l’entrée de sa vulve. Elle redescend doucement sur ma hampe, je la regarde, son visage exprime la plénitude de ce qu’elle ressent en jouant comme elle le fait. Je sens mon gland pénétré légèrement son hymen, mon doigt, en a profité pour la pénétrer complètement. Je sens ses bras trembler, elle est au bord de se laisser tomber.
Je te laisse faire, si tu le veux vraiment.
Elle me regarde, se redresse, se reprend, remonte doucement en s’aidant difficilement de ses bras, tant elle est troublée. Mon doigt est rejoint par un autre qui la fouille sans vergogne, je sens son anus se contracter sur mes doigts qui la masturbent, la pénètrent sans retenue. Elle se hisse, mon gland est prêt de sortir d’entre ses petites lèvres. Je les sens se contracter, comme pour l’empêcher de quitter ce nid si douillet.
Re: Vacances en Corse
Propos de Sabine ma femme
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Propos de Louise petite fille de Charlotte
7)
Je la sens remonter doucement, le long de ma verge, qui rempli complètement l’entrée de sa vulve. Elle redescend doucement sur ma hampe, je la regarde, son visage exprime la plénitude de ce qu’elle ressent en jouant comme elle le fait. Je sens mon gland pénétré légèrement son hymen, mon doigt, en a profiter pour la pénétrer complètement. Je sens ses bras trembler, elle est au bord de se laisser tomber.
Je te laisse faire, si tu le veux vraiment.
Elle me regarde, se redresse, se reprend, remonte doucement en s’aidant difficilement de ses bras, tant elle est troublée. Mon doigt est rejoint par un autre qui la fouille sans vergogne, je sens son anus se contracter sur mes doigts qui la masturbent, la pénètrent sans retenue. Elle se hisse, mon gland est prêt de sortir d’entre ses petites lèvres. Je les sens se contracter, comme pour l’empêcher de quitter ce nid si douillet.
-/-
J’en ai tellement envie, mais je veux que ce soit toi, qui le décide, que cela vienne de toi.
Là tu me laisserais faire, mais tu n’y aurais aucun plaisir, se serait tellement commun, autant pour toi, que pour moi. J’aime sentir ton pénis me remplir, mais je n’irais pas plus loin, tes doigts dans mes fesses me rendent suffisamment difficile le contrôle de mes envies.
Si je m’écoutais, si j’écoutais ce que je ressens, je me laisserais aller à m’empaler sur ta hampe que j’adore sentir en moi. Que ce soit dans ma bouche, dans mes fesses, dans mon ventre. J’ai tellement envie de me donner entièrement corps et âme à l’homme que j’aime, qui m’aime.
J’ai envie de te faire jouir, que tu jouisses dans ma vulve, même sans me déflorer. Sentir à nouveau ton sperme m’inonder. Sentir ton sexe vibrer dans mon ventre, lorsqu’il joui, comme ce que j’ai ressenti lorsque tu as joui dans mon ventre, à la maison. S’il te plait, j’en ai envie, follement envie.
Dieu que j’ai envie à nouveau de sentir mon sexe, exploser dans sa petite chatte. L’amener, à jouir avec moi, la sentir se contracter quand elle jouie. L’entendre hurler de plaisir comme lorsqu’elle me donne ses fesses. La sentir partir dans mes bras, presque sans vie, tellement la jouissance, le plaisir a était fulgurant.
Mes doigts quittent l’intimité de ses fesses, mes mains la soulèvent, et la redescendent dans l’eau. Je l’embrasse tendrement, elle se déchaine. Mords ma langue, qui retourne se cacher dans ma bouche, mord mes lèvres, ses mains prennent mes fesses, elle plaque son ventre contre le mien, ses seins dur comme de la pierre, se plaquent avec violence contre moi, ses tétons, tels deux bouts de chêne, me donnent l’impression de vouloir me transpercer.
Elle recule en même temps, nous arrivons au bord de la plage, elle se laisse tomber en arrière, le corps à moitié immergés, seul ses seins apparaissent comme deux ilots perdus dans la mer. Ma bouche se jette sur eux, comme s’ils étaient les seuls points de survie à mille lieux à la ronde. Je les mords, les tète, les lèche.
Elle gémit, pleure, cris, ses bras m’enserrent, une de ses mains glissent entre nos corps et me guide en elle.
Malgré que nous soyons dans l’eau je sens sa mouille chaude qui coule de son puits d’amour. Mes mains attrapent ses mains qui s’étaient posées sur mes fesses, voulant me pousser en elle. Je noue mes doigts au siens et posent ses mains derrière ses épaules, Mes bras tendus.
Je l’embrasse tendrement, elle a l’air de réaliser enfin que je suis en elle, prêt à lui faire l’amour.
Elle me regarde aussi surprise qu’heureuse, je commence à bouger lentement au rythme des vagues qui me caressent les fesses pendant que je la pénètre. Je viens doucement en butter sur son hymen. J’essaie de me contrôler, je dois me contrôler, je ne veux pas la déflorer, pas encore, pas maintenant, elle n’est pas prête.
Je sens son corps venir avec envie au devant de moi. Elle essaie de dominer son envie de se jeter, au devant de mon sexe, pour le sentir la pénétrer entièrement. Je sens ses cuisses, en appuis sur le sable, se contracter pour maitriser son envie, mon envie de la déflorer maintenant. Elle a envie de me sentir jouir dans son ventre en feu, tout comme moi. Nos sexes ont beau être dans l’eau, je sens la lave en fusion qui s’écoule de sa vulve. Cette chaleur se communique à mon sexe en feu. Je sens mon gland, malgré mes retenus, l’attention que je porte à mes mouvements, s’immiscer de plus en plus dans son hymen, et celui-ci s’élargir doucement comme pour dire à mon sexe, viens je veux te sentir au fond de moi.
Elle m’attire vers elle, m’embrasse, avec passion.
Il vaudrait mieux que tu arrêtes, que nous arrêtions. Je sens ton sexe allait de plus en plus loin en moi, dans peux de temps je n’arriverais plus à me maitriser.
Je sais que je te donnerais mon hymen, que je me donnerais à toi mon homme, avec joie ce soir, ce qui est déjà presque fait.
Prends mes fesses, ma bouche, tu sais que je te les donne avec joie, avec désirs, avec le plaisir de savoir que tu va me faire jouir comme une folle que je suis en ce moment. Folle de toi, de vouloir tout te donner, tout donner à l’homme qui m’aime, à l’homme que j’aime.
Elle se retourne tout en tenant mon sexe en main, me guide vers ses fesses.
Prends moi, maintenant, viole mes fesses, baise moi, encule moi, jouie en moi, je veux sentir ta bite me déchirer, éjaculer, jouir dans mes entrailles. Défonce moi.
Je la sens qui recule violement contre mon sexe dur comme de la pierre. Il est énorme, l’eau de mer servant un tant soit peut de lubrifiant, il entre en forçant son anus, elle cri, elle hurle est ce de douleur, est ce de plaisir, je ne sais quoi penser. Je ne pense plus, je la baise, j’encule la femme que j’aime. Elle ne me donne pas ses fesses, c’est elle qui se sert de mon sexe pour ses envies, ses désirs.
Je ne sais plus ce que je fais. Tout ce que je sens c’est une femme qui se donne avec envie, avec passion comme une furie qu’elle est en ce moment. Elle s’empale avec violence sur mon sexe, mes mains qui se sont posées sur ses hanches l’attirent violement contre moi. Ses fesses claquent contre mes cuisses. Elle hurle de plaisir, de douleur, je ne sais pas, ne veux pas savoir, nous sommes deux bêtes s’accouplant, dans un seul but, jouir, avoir du plaisir, donner du plaisir à l’autre, prendre du plaisir.
Je baise violement ses fesses, elle se jette en arrière, comme si elle voulait s’empaler au plus profond d’elle-même. Mes mains crochetées sur ses hanches, l’attirent avec violence contre moi, comme si je voulais la transpercer.
Je ressens une violence inouïe tant chez elle que chez moi, chacun se donne entièrement à l’autre. Elle me donne ses fesses, son cul, comme la dernière des trainées, pour que je me vide en elle, pour me faire jouir. Je la baise pour l’amener à jouir à s’abandonner à ce sexe qui la défonce.
Toute cette violence qui se déchaine, nous amène, nous transporte dans un monde inconnu pour elle. Elle hurle, crie, me traite, se traite de tous les noms. Elle ne sait plus ce qu’elle fait ce qu’elle dit. Elle est dans un autre monde. Elle est une femelle en rut se faisant baiser pour son plaisir par son mâle.
Mon sexe sort entièrement d’elle, avant de replonger violement dans ses entrailles, dans son anus offert, ouvert comme un fruit trop mur. Je sens son anus se contracter, je continue à la prendre avec la même violence. Elle se donne de même, se jetant sur mon sexe lorsqu’il se présente à l’entrée de son anus.
Je la sens se contracter. Elle se redresse péniblement, ses mains attrapent mes fesses et me plaque violement contre elle. Elle se tétanise, hurle, crie, sa tête retombe en avant dans ses bras. Je continue à la prendre, avec moins de violence, je sens mon sexe grossir dans son anus. Elle cambre ses reins, pour mieux m’offrir ses fesses, s’offrir à ce sexe qui la pénètre, qui la défonce, qui la baise, qui est encore plus fort, plus gros.
Elle sent mon sexe gonfler, une de ses mains est partie sous son corps, elle se caresse, caresse mes bourses en même temps. Je la sens se contracter à nouveau, elle ne bouge plus, je sens une boule de feu se former dans mes reins, je vais jouir, elle le sent, son anus serre mon sexe, mes mains se crispent sur ses hanches, je l’attire violement vers moi, et me vide en elle avec fureur, la maintenant violement contre moi. Je l’entends gémir, pleurer, pendant que mon sexe se vide en elle en longues saccades.
Je m’écroule sur elle complètement vider. Je roule sur le côté, la prend dans mes bras. Elle pleure, elle est secouée de spasmes. Je la serre dans mes bras, la caresse tendrement, la cajole.
Son sœur bat la chamade. Je l’embrasse tendrement.
Je t’aime ma puce, je t’aime tant, mon petit cœur.
Elle me regarde les yeux noyés de larmes, elle me serre dans ses bras, sa tête se pose sur mon épaule, je sens ses larmes coulées sur mon épaule, ses spasmes se calment. Elle se redresse.
Comment peux tu m’aimer moi qui me suis comporté comme la dernière des dernières, une putain se comporte mieux que moi.
Je la regarde abasourdi.
Pourquoi dis tu celas, jamais je ne le penserais. Nous nous sommes donné l’un à l’autre, avec passion, violence. Je dirais avec une extrême violence, tant physique que verbale.
Les mots que tu as employées, qui sont sorties, ne me choquent pas. Tu t’es donné, lâcher, comme tu en avais envie, sans complexe, certains mots étaient vulgaires, mais ce sont ceux qui te venaient à ce moment là. Ils ne me choquent pas, mais alors pas du tout.
Elle me regarde étonnée, surprise que je puisse la comprendre, que j’accepte la violence de ses mots, de son comportement. Elle se réfugie dans mes bras, et me serre contre elle.
Je pensais vue mon comportement, vue ce que j’ai dit, que tu me mépriserais. Que ….
Je pose un doigt sur ses lèvres.
Ma chérie, comprends une chose. Sur le moment, frustré comme tu étais, que je refuse de te faire l’amour, de prendre ta virginité. Que tu sembles l’accepter, ajouter à la fatigue du voyage, tu as péter un câble.
Tu avais envie d’être comme cela, de te rabaisser, de te comporter comme une putain. Je dirais que tu t’es lâché, tu t’es donnée entièrement, bestialement, comme moi.
Je t’ai baisé, enculé, prise, pour mon plaisir. Tu as pris ton plaisir, tu t’es donnée.
J’ai aimé, tu as aimé, que cela se passe comme nous l’avons fait, comme nos corps l’ont voulu. Tu t’es donnée sans réfléchir, sans pensée, comme tu en avais envie. Tu voulais subir.
Elle me prend dans ses bras, m’embrasse. Je me relève regarde ma montre cela fait une heure que nous sommes partis. Je prends sa main, la relève me dirige dans l’eau en la tirant derrière moi. Je me retourne, lui tends les bras, elle s’y réfugie.
Je recule, elle me suit. Je sens sa poitrine se frotter contre mon torse, ses mains parcourir mon dos. Nous nous retrouvons dans l’eau jusqu’au torse. Elle s’accroche à moi. Je me laisse couler, et j’embrasse son pubis. Mes doigts la caresse, en remontant j’embrasse ses seins, dont les tétons sont érigé à la surface de l’eau.
Propos de Magalie ma belle sœur
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Mes pensées
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7)
Je la sens remonter doucement, le long de ma verge, qui rempli complètement l’entrée de sa vulve. Elle redescend doucement sur ma hampe, je la regarde, son visage exprime la plénitude de ce qu’elle ressent en jouant comme elle le fait. Je sens mon gland pénétré légèrement son hymen, mon doigt, en a profiter pour la pénétrer complètement. Je sens ses bras trembler, elle est au bord de se laisser tomber.
Je te laisse faire, si tu le veux vraiment.
Elle me regarde, se redresse, se reprend, remonte doucement en s’aidant difficilement de ses bras, tant elle est troublée. Mon doigt est rejoint par un autre qui la fouille sans vergogne, je sens son anus se contracter sur mes doigts qui la masturbent, la pénètrent sans retenue. Elle se hisse, mon gland est prêt de sortir d’entre ses petites lèvres. Je les sens se contracter, comme pour l’empêcher de quitter ce nid si douillet.
-/-
J’en ai tellement envie, mais je veux que ce soit toi, qui le décide, que cela vienne de toi.
Là tu me laisserais faire, mais tu n’y aurais aucun plaisir, se serait tellement commun, autant pour toi, que pour moi. J’aime sentir ton pénis me remplir, mais je n’irais pas plus loin, tes doigts dans mes fesses me rendent suffisamment difficile le contrôle de mes envies.
Si je m’écoutais, si j’écoutais ce que je ressens, je me laisserais aller à m’empaler sur ta hampe que j’adore sentir en moi. Que ce soit dans ma bouche, dans mes fesses, dans mon ventre. J’ai tellement envie de me donner entièrement corps et âme à l’homme que j’aime, qui m’aime.
J’ai envie de te faire jouir, que tu jouisses dans ma vulve, même sans me déflorer. Sentir à nouveau ton sperme m’inonder. Sentir ton sexe vibrer dans mon ventre, lorsqu’il joui, comme ce que j’ai ressenti lorsque tu as joui dans mon ventre, à la maison. S’il te plait, j’en ai envie, follement envie.
Dieu que j’ai envie à nouveau de sentir mon sexe, exploser dans sa petite chatte. L’amener, à jouir avec moi, la sentir se contracter quand elle jouie. L’entendre hurler de plaisir comme lorsqu’elle me donne ses fesses. La sentir partir dans mes bras, presque sans vie, tellement la jouissance, le plaisir a était fulgurant.
Mes doigts quittent l’intimité de ses fesses, mes mains la soulèvent, et la redescendent dans l’eau. Je l’embrasse tendrement, elle se déchaine. Mords ma langue, qui retourne se cacher dans ma bouche, mord mes lèvres, ses mains prennent mes fesses, elle plaque son ventre contre le mien, ses seins dur comme de la pierre, se plaquent avec violence contre moi, ses tétons, tels deux bouts de chêne, me donnent l’impression de vouloir me transpercer.
Elle recule en même temps, nous arrivons au bord de la plage, elle se laisse tomber en arrière, le corps à moitié immergés, seul ses seins apparaissent comme deux ilots perdus dans la mer. Ma bouche se jette sur eux, comme s’ils étaient les seuls points de survie à mille lieux à la ronde. Je les mords, les tète, les lèche.
Elle gémit, pleure, cris, ses bras m’enserrent, une de ses mains glissent entre nos corps et me guide en elle.
Malgré que nous soyons dans l’eau je sens sa mouille chaude qui coule de son puits d’amour. Mes mains attrapent ses mains qui s’étaient posées sur mes fesses, voulant me pousser en elle. Je noue mes doigts au siens et posent ses mains derrière ses épaules, Mes bras tendus.
Je l’embrasse tendrement, elle a l’air de réaliser enfin que je suis en elle, prêt à lui faire l’amour.
Elle me regarde aussi surprise qu’heureuse, je commence à bouger lentement au rythme des vagues qui me caressent les fesses pendant que je la pénètre. Je viens doucement en butter sur son hymen. J’essaie de me contrôler, je dois me contrôler, je ne veux pas la déflorer, pas encore, pas maintenant, elle n’est pas prête.
Je sens son corps venir avec envie au devant de moi. Elle essaie de dominer son envie de se jeter, au devant de mon sexe, pour le sentir la pénétrer entièrement. Je sens ses cuisses, en appuis sur le sable, se contracter pour maitriser son envie, mon envie de la déflorer maintenant. Elle a envie de me sentir jouir dans son ventre en feu, tout comme moi. Nos sexes ont beau être dans l’eau, je sens la lave en fusion qui s’écoule de sa vulve. Cette chaleur se communique à mon sexe en feu. Je sens mon gland, malgré mes retenus, l’attention que je porte à mes mouvements, s’immiscer de plus en plus dans son hymen, et celui-ci s’élargir doucement comme pour dire à mon sexe, viens je veux te sentir au fond de moi.
Elle m’attire vers elle, m’embrasse, avec passion.
Il vaudrait mieux que tu arrêtes, que nous arrêtions. Je sens ton sexe allait de plus en plus loin en moi, dans peux de temps je n’arriverais plus à me maitriser.
Je sais que je te donnerais mon hymen, que je me donnerais à toi mon homme, avec joie ce soir, ce qui est déjà presque fait.
Prends mes fesses, ma bouche, tu sais que je te les donne avec joie, avec désirs, avec le plaisir de savoir que tu va me faire jouir comme une folle que je suis en ce moment. Folle de toi, de vouloir tout te donner, tout donner à l’homme qui m’aime, à l’homme que j’aime.
Elle se retourne tout en tenant mon sexe en main, me guide vers ses fesses.
Prends moi, maintenant, viole mes fesses, baise moi, encule moi, jouie en moi, je veux sentir ta bite me déchirer, éjaculer, jouir dans mes entrailles. Défonce moi.
Je la sens qui recule violement contre mon sexe dur comme de la pierre. Il est énorme, l’eau de mer servant un tant soit peut de lubrifiant, il entre en forçant son anus, elle cri, elle hurle est ce de douleur, est ce de plaisir, je ne sais quoi penser. Je ne pense plus, je la baise, j’encule la femme que j’aime. Elle ne me donne pas ses fesses, c’est elle qui se sert de mon sexe pour ses envies, ses désirs.
Je ne sais plus ce que je fais. Tout ce que je sens c’est une femme qui se donne avec envie, avec passion comme une furie qu’elle est en ce moment. Elle s’empale avec violence sur mon sexe, mes mains qui se sont posées sur ses hanches l’attirent violement contre moi. Ses fesses claquent contre mes cuisses. Elle hurle de plaisir, de douleur, je ne sais pas, ne veux pas savoir, nous sommes deux bêtes s’accouplant, dans un seul but, jouir, avoir du plaisir, donner du plaisir à l’autre, prendre du plaisir.
Je baise violement ses fesses, elle se jette en arrière, comme si elle voulait s’empaler au plus profond d’elle-même. Mes mains crochetées sur ses hanches, l’attirent avec violence contre moi, comme si je voulais la transpercer.
Je ressens une violence inouïe tant chez elle que chez moi, chacun se donne entièrement à l’autre. Elle me donne ses fesses, son cul, comme la dernière des trainées, pour que je me vide en elle, pour me faire jouir. Je la baise pour l’amener à jouir à s’abandonner à ce sexe qui la défonce.
Toute cette violence qui se déchaine, nous amène, nous transporte dans un monde inconnu pour elle. Elle hurle, crie, me traite, se traite de tous les noms. Elle ne sait plus ce qu’elle fait ce qu’elle dit. Elle est dans un autre monde. Elle est une femelle en rut se faisant baiser pour son plaisir par son mâle.
Mon sexe sort entièrement d’elle, avant de replonger violement dans ses entrailles, dans son anus offert, ouvert comme un fruit trop mur. Je sens son anus se contracter, je continue à la prendre avec la même violence. Elle se donne de même, se jetant sur mon sexe lorsqu’il se présente à l’entrée de son anus.
Je la sens se contracter. Elle se redresse péniblement, ses mains attrapent mes fesses et me plaque violement contre elle. Elle se tétanise, hurle, crie, sa tête retombe en avant dans ses bras. Je continue à la prendre, avec moins de violence, je sens mon sexe grossir dans son anus. Elle cambre ses reins, pour mieux m’offrir ses fesses, s’offrir à ce sexe qui la pénètre, qui la défonce, qui la baise, qui est encore plus fort, plus gros.
Elle sent mon sexe gonfler, une de ses mains est partie sous son corps, elle se caresse, caresse mes bourses en même temps. Je la sens se contracter à nouveau, elle ne bouge plus, je sens une boule de feu se former dans mes reins, je vais jouir, elle le sent, son anus serre mon sexe, mes mains se crispent sur ses hanches, je l’attire violement vers moi, et me vide en elle avec fureur, la maintenant violement contre moi. Je l’entends gémir, pleurer, pendant que mon sexe se vide en elle en longues saccades.
Je m’écroule sur elle complètement vider. Je roule sur le côté, la prend dans mes bras. Elle pleure, elle est secouée de spasmes. Je la serre dans mes bras, la caresse tendrement, la cajole.
Son sœur bat la chamade. Je l’embrasse tendrement.
Je t’aime ma puce, je t’aime tant, mon petit cœur.
Elle me regarde les yeux noyés de larmes, elle me serre dans ses bras, sa tête se pose sur mon épaule, je sens ses larmes coulées sur mon épaule, ses spasmes se calment. Elle se redresse.
Comment peux tu m’aimer moi qui me suis comporté comme la dernière des dernières, une putain se comporte mieux que moi.
Je la regarde abasourdi.
Pourquoi dis tu celas, jamais je ne le penserais. Nous nous sommes donné l’un à l’autre, avec passion, violence. Je dirais avec une extrême violence, tant physique que verbale.
Les mots que tu as employées, qui sont sorties, ne me choquent pas. Tu t’es donné, lâcher, comme tu en avais envie, sans complexe, certains mots étaient vulgaires, mais ce sont ceux qui te venaient à ce moment là. Ils ne me choquent pas, mais alors pas du tout.
Elle me regarde étonnée, surprise que je puisse la comprendre, que j’accepte la violence de ses mots, de son comportement. Elle se réfugie dans mes bras, et me serre contre elle.
Je pensais vue mon comportement, vue ce que j’ai dit, que tu me mépriserais. Que ….
Je pose un doigt sur ses lèvres.
Ma chérie, comprends une chose. Sur le moment, frustré comme tu étais, que je refuse de te faire l’amour, de prendre ta virginité. Que tu sembles l’accepter, ajouter à la fatigue du voyage, tu as péter un câble.
Tu avais envie d’être comme cela, de te rabaisser, de te comporter comme une putain. Je dirais que tu t’es lâché, tu t’es donnée entièrement, bestialement, comme moi.
Je t’ai baisé, enculé, prise, pour mon plaisir. Tu as pris ton plaisir, tu t’es donnée.
J’ai aimé, tu as aimé, que cela se passe comme nous l’avons fait, comme nos corps l’ont voulu. Tu t’es donnée sans réfléchir, sans pensée, comme tu en avais envie. Tu voulais subir.
Elle me prend dans ses bras, m’embrasse. Je me relève regarde ma montre cela fait une heure que nous sommes partis. Je prends sa main, la relève me dirige dans l’eau en la tirant derrière moi. Je me retourne, lui tends les bras, elle s’y réfugie.
Je recule, elle me suit. Je sens sa poitrine se frotter contre mon torse, ses mains parcourir mon dos. Nous nous retrouvons dans l’eau jusqu’au torse. Elle s’accroche à moi. Je me laisse couler, et j’embrasse son pubis. Mes doigts la caresse, en remontant j’embrasse ses seins, dont les tétons sont érigé à la surface de l’eau.
Re: Vacances en Corse
on aurait le droit a un elan de generosité de ta part pour que tu offre encore une suite 

Re: Vacances en Corse
Mel29440 a écrit :on aurait le droit a un elan de generosité de ta part pour que tu offre encore une suite
tu parle de toi à la troisième personne.

Re: Vacances en Corse
Celle de demain
Propos de Sabine ma femme
Propos de Magalie ma belle sœur
Propos de Jacques
Mes pensées
Propos de Mario
Propos de Charlotte
Propos de Lucie fille de Charlotte
Propos de Louise petite fille de Charlotte
8)
Elle me prend dans ses bras, m’embrasse. Je me relève regarde ma montre cela fait une heure que nous sommes partis. Je prends sa main, la relève me dirige dans l’eau en la tirant derrière moi. Je me retourne, lui tends les bras, elle s’y réfugie.
Je recule, elle me suit. Je sens sa poitrine se frotter contre mon torse, ses mains parcourir mon dos. Nous nous retrouvons dans l’eau jusqu’au torse. Elle s’accroche à moi. Je me laisse couler, et j’embrasse son pubis. Mes doigts la caresse, en remontant j’embrasse ses seins, dont les tétons sont érigé à la surface de l’eau.
-/-
Je prends mon sexe en main et le dirige vers son sexe, vers sa vulve, ce nid si chaud, si doux. Je la pénètre en douceur. Elle me regarde surprise. Mes mains se posent sur ses fesses, et je m’enfonce en douceur en elle. J’arrive à son hymen, je continue légèrement en douceur à la pénétrer. Ses bras m’entourent, elle pose son front contre le mien, ses yeux me regardent étonnés. Je m’arrête, je sens autour du début de mon gland son hymen qui à force se relâche de plus en plus.
Je voudrais rester comme cela en toi, sans bouger, juste te sentir. Etre en toi.
Nous ne bougeons plus, elle comme moi voulons profiter de ce moment, dans l’eau nourricière. Etre soudé l’un à l’autre par le plaisir de sentir l’être aimer communier avec soit. Ses yeux me regardent, ne m’ont pas lâché depuis que je l’ai pénétrée. Elle a l’air, heureuse, elle reprend confiance en elle.
Avec les vagues nos corps bougent, je sens par moment mon sexe, malgré que j’essaie de contrôler mes mouvements, qui la pénètre de plus en plus. Je me retire doucement. Elle me serre contre elle, me souri tendrement.
Nous sortons de l’eau, nous allongeons l’un à côté de l’autre, sur les draps de bain. Je me tourne vers elle. Dieu qu’elle est belle, dans la clarté lunaire. Les rayons de la lune caressent son corps, comme des milliers de mains invisible. Ses seins brillent, ses tétons se détachent sur les reflets de l’écume de mer qui brille dans les reflets de la lune. Elle ouvre les yeux, me voit l’admirer, la contempler. Elle se redresse doucement dépose un léger baiser sur mes lèvres.
Je pourrais dormir maintenant, ici, le bruit du ressac, te savoir toi que j’aime, qui m’aime à côté de moi. Je ne demande rien de plus. Rien que cela, suffirait à mon bonheur.
Ma puce il va falloir y aller, ça fait plus d’une heure que nous sommes partis, et il serait sage de dormir. Demain nous partons pour Ajaccio. Vue les routes ici, il faudra au moins trois heures de route.
Elle se redresse, me regarde, un peu paniquée.
Tu crois qu’elle m’a entendu crier, hurler comme une cinglée que je suis ?
Je souris.
Attends tu vas comprendre pourquoi je t’ai laissé faire comme tu le voulais. Pourquoi, je t’ai laissé, crier, hurler comme tu l’as fait.
Je me dirige vers un eucalyptus me met sous le feuillage, crie, hurle. Elle me regarde me voyant ouvrir la bouche mais n’entendant aucun son.
Je reviens vers elle en riant.
La particularité de l’eucalyptus est d’étouffer les bruits. Je criais à tue tête, tu as entendue quelque chose ?
Elle me regarde étonnée, complètement incrédule. Se lève, cours, se jette dans mes bras, m’embrasse.
Tu es un sacré chameau, je n’aurais jamais osé retourner à la chambre de crainte qu’elle ne m’ait entendu. Je comprends pourquoi tu m’as amené ici, pourquoi tu m’as laissé me lâcher comme je l’ai fait.
Je me baisse ramasse son short. Elle lève ses pieds les uns après les autres pour me permettre de le lui enfiler. Ma bouche embrasse son pubis, ma langue trouve son clito qui pointe délicatement entre ses grandes lèvres. Elle joue avec lui, le léchant délicatement. Mes mains continuent à faire remonter doucement son short. Passe ses petites fesses que j’aime tant. Je ferme le bouton de son short, glisse deux doigts derrière le zip et le ferme doucement. Je prends le tee-shirt le lui enfile, ma bouche profite du fait qu’elle ne voie rien, pour se poser délicatement sur ses tétons qui pointent. Je les embrasse doucement délicatement.je fais glisser doucement son tee-shirt. Elle me souri.
Tu es un coquin, il faut toujours que tu en profites pour me donner des envies. Tu n’es pas gentil.
Elle prend mon short, je lève les pieds, elle le relève doucement, ses yeux se pose sur ma virilité qui n’a que légèrement faibli. Sa bouche se précipite dessus, ses lèvres enveloppent mon gland. Sa langue joue avec, tournoyant autour. Mes mains se posent sur ses épaules. Elle se redresse doucement sans lâcher mon sexe avec sa bouche. Elle aspire pour le garder le plus longtemps en bouche.
La sensation est terrible, je sens mon sexe qui veut s’échapper de sa bouche, mais qui est retenue par son aspiration, il passe la barrière de ses dents, elles l’effleurent. Il quitte sa bouche dans un bruit de succion. Elle souri.
Il n’y a pas de raison que je sois la seule à avoir des envies inassouvies.
Je l’embrasse, j’adore quand elle se comporte comme cela, naturellement, comme elle en a envie, sans complexe aucun. Je prends les serviettes, le téléphone, pose mon bras sur son épaule et nous rentrons doucement. En arrivant prés de l’hôtel Magalie s’écarte de moi avec un petit sourire. Nous passons le dernier coin du bâtiment et arrivons en vue de la chambre. La jeune fille est assise toujours à la même place. Nous entendant arriver elle se lève et se dirige vers nous. « Tout le monde dort comme des marmottes, le petit n’a même pas poussé un vagissement.» Je lui tends le téléphone que son père m’avait confié, fouille dans ma poche, et sort deux billets, un de cent francs, un autre de cinquante.
Vous avez été tellement gentille de venir, et comme je n’ai pas de monnaie. Cela vous va ? C’est bon ?
La petite me regarde surprise. « Oui, oui, c’est trop, même pas deux heures, je ne sais quoi dire. »
Ne vous inquiétez cela restera entre nous, si c’est ce qui vous inquiète, je n’en parlerais pas à votre père.
Nous la voyons partir en sautillant de joie. J’ouvre doucement la porte, nous rentrons dans la chambre. J’ouvre la porte de communication entre les deux chambres, je vais voir le petit, il dort comme un bien heureux. De son côté mon épouse dort, elle n’a absolument pas bougée d’un millimètre dans le lit. Sa respiration est calme.je retourne dans l’autre pièce, la puce est assise sur une chaise, le regard dans le vague.
On fait comment pour dormir ? Tu dors avec moi ?
Son regard brille, elle en meurt d’envie. Je dois reconnaitre que cela me tente aussi, advienne que pourra. Je lui souris.
Tu vas prendre une douche, tu sens l’amour à des kilomètres. Tu te couches dans le lit, je me coucherais habillé sur le drap. Cela limitera les explications à donner. On a était se baigner et dodo, on était fatigués. La seule chose dont tu te souviennes.
Elle me saute au cou, m’embrasse tendrement, se dirige vers la salle de bain en se déshabillant, se retourne enlève son short, s’expose intégralement nue à mon regard, désarmante de naturel.
Dieu qu’elle est belle. Elle est magnifique, je ne m’en lasse jamais de le penser, de la voir, elle est à la foi si candide, et si femelle. Elle se comporte avec moi sans arrière pensée, sans vulgarité. Elle s’expose à mon regard, belle comme au jour de sa naissance.
J’entends l’eau couler, je me force a ne pas entrer dans la salle de bain. Je sais que je ne pourrais me retenir de la rejoindre sous la douche. Je voie, non je m’imagine l’eau couler sur sa poitrine, descendre le long de son ventre, se glisser sur son mont de vénus, entre ses grandes lèvres.
L’eau s’arrête. J’attends quelques peux avant d’entrer dans la salle de bain. Elle est assise sur le bord de la baignoire et souri. Se lève, me tend la serviette.
Tu m’essuies s’il te plait. J’ai envie de sentir tes mains sur mon corps avant de me coucher.
Je l’essuie doucement, je me retiens de profiter de la situation, ce qu’elle remarque. Je commence à être sérieusement fatigué. Elle aussi d’ailleurs.
Vas te coucher ma chérie, tu es épuisé. Je prends ma douche, et je me couche.
Je prends ma douche, traine un peut des pieds, j’ai envie qu’elle dorme quand je me couche, elle serait trop tenter, tout comme moi. Je sors de la salle de bain, au bout d’une vingtaine de minutes, rentre dans la chambre. Tout est éteint.
J’entends sa respiration, qui est régulière, elle doit dormir. J’enfile mon short, ouvre la porte de communication, Sabine dort toujours comme un gros bébé, laisse la porte de communication ouverte. Je m’allonge, tourne le dos à la puce et m’endors instantanément.
Je sens des bisous, des cheveux qui me caressent. J’entre ouvre les yeux, Sabine me regarde affectueusement, elle est à genou face à moi. Elle m’embrasse, me regarde amoureusement.
Propos de Sabine ma femme
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Elle me prend dans ses bras, m’embrasse. Je me relève regarde ma montre cela fait une heure que nous sommes partis. Je prends sa main, la relève me dirige dans l’eau en la tirant derrière moi. Je me retourne, lui tends les bras, elle s’y réfugie.
Je recule, elle me suit. Je sens sa poitrine se frotter contre mon torse, ses mains parcourir mon dos. Nous nous retrouvons dans l’eau jusqu’au torse. Elle s’accroche à moi. Je me laisse couler, et j’embrasse son pubis. Mes doigts la caresse, en remontant j’embrasse ses seins, dont les tétons sont érigé à la surface de l’eau.
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Je prends mon sexe en main et le dirige vers son sexe, vers sa vulve, ce nid si chaud, si doux. Je la pénètre en douceur. Elle me regarde surprise. Mes mains se posent sur ses fesses, et je m’enfonce en douceur en elle. J’arrive à son hymen, je continue légèrement en douceur à la pénétrer. Ses bras m’entourent, elle pose son front contre le mien, ses yeux me regardent étonnés. Je m’arrête, je sens autour du début de mon gland son hymen qui à force se relâche de plus en plus.
Je voudrais rester comme cela en toi, sans bouger, juste te sentir. Etre en toi.
Nous ne bougeons plus, elle comme moi voulons profiter de ce moment, dans l’eau nourricière. Etre soudé l’un à l’autre par le plaisir de sentir l’être aimer communier avec soit. Ses yeux me regardent, ne m’ont pas lâché depuis que je l’ai pénétrée. Elle a l’air, heureuse, elle reprend confiance en elle.
Avec les vagues nos corps bougent, je sens par moment mon sexe, malgré que j’essaie de contrôler mes mouvements, qui la pénètre de plus en plus. Je me retire doucement. Elle me serre contre elle, me souri tendrement.
Nous sortons de l’eau, nous allongeons l’un à côté de l’autre, sur les draps de bain. Je me tourne vers elle. Dieu qu’elle est belle, dans la clarté lunaire. Les rayons de la lune caressent son corps, comme des milliers de mains invisible. Ses seins brillent, ses tétons se détachent sur les reflets de l’écume de mer qui brille dans les reflets de la lune. Elle ouvre les yeux, me voit l’admirer, la contempler. Elle se redresse doucement dépose un léger baiser sur mes lèvres.
Je pourrais dormir maintenant, ici, le bruit du ressac, te savoir toi que j’aime, qui m’aime à côté de moi. Je ne demande rien de plus. Rien que cela, suffirait à mon bonheur.
Ma puce il va falloir y aller, ça fait plus d’une heure que nous sommes partis, et il serait sage de dormir. Demain nous partons pour Ajaccio. Vue les routes ici, il faudra au moins trois heures de route.
Elle se redresse, me regarde, un peu paniquée.
Tu crois qu’elle m’a entendu crier, hurler comme une cinglée que je suis ?
Je souris.
Attends tu vas comprendre pourquoi je t’ai laissé faire comme tu le voulais. Pourquoi, je t’ai laissé, crier, hurler comme tu l’as fait.
Je me dirige vers un eucalyptus me met sous le feuillage, crie, hurle. Elle me regarde me voyant ouvrir la bouche mais n’entendant aucun son.
Je reviens vers elle en riant.
La particularité de l’eucalyptus est d’étouffer les bruits. Je criais à tue tête, tu as entendue quelque chose ?
Elle me regarde étonnée, complètement incrédule. Se lève, cours, se jette dans mes bras, m’embrasse.
Tu es un sacré chameau, je n’aurais jamais osé retourner à la chambre de crainte qu’elle ne m’ait entendu. Je comprends pourquoi tu m’as amené ici, pourquoi tu m’as laissé me lâcher comme je l’ai fait.
Je me baisse ramasse son short. Elle lève ses pieds les uns après les autres pour me permettre de le lui enfiler. Ma bouche embrasse son pubis, ma langue trouve son clito qui pointe délicatement entre ses grandes lèvres. Elle joue avec lui, le léchant délicatement. Mes mains continuent à faire remonter doucement son short. Passe ses petites fesses que j’aime tant. Je ferme le bouton de son short, glisse deux doigts derrière le zip et le ferme doucement. Je prends le tee-shirt le lui enfile, ma bouche profite du fait qu’elle ne voie rien, pour se poser délicatement sur ses tétons qui pointent. Je les embrasse doucement délicatement.je fais glisser doucement son tee-shirt. Elle me souri.
Tu es un coquin, il faut toujours que tu en profites pour me donner des envies. Tu n’es pas gentil.
Elle prend mon short, je lève les pieds, elle le relève doucement, ses yeux se pose sur ma virilité qui n’a que légèrement faibli. Sa bouche se précipite dessus, ses lèvres enveloppent mon gland. Sa langue joue avec, tournoyant autour. Mes mains se posent sur ses épaules. Elle se redresse doucement sans lâcher mon sexe avec sa bouche. Elle aspire pour le garder le plus longtemps en bouche.
La sensation est terrible, je sens mon sexe qui veut s’échapper de sa bouche, mais qui est retenue par son aspiration, il passe la barrière de ses dents, elles l’effleurent. Il quitte sa bouche dans un bruit de succion. Elle souri.
Il n’y a pas de raison que je sois la seule à avoir des envies inassouvies.
Je l’embrasse, j’adore quand elle se comporte comme cela, naturellement, comme elle en a envie, sans complexe aucun. Je prends les serviettes, le téléphone, pose mon bras sur son épaule et nous rentrons doucement. En arrivant prés de l’hôtel Magalie s’écarte de moi avec un petit sourire. Nous passons le dernier coin du bâtiment et arrivons en vue de la chambre. La jeune fille est assise toujours à la même place. Nous entendant arriver elle se lève et se dirige vers nous. « Tout le monde dort comme des marmottes, le petit n’a même pas poussé un vagissement.» Je lui tends le téléphone que son père m’avait confié, fouille dans ma poche, et sort deux billets, un de cent francs, un autre de cinquante.
Vous avez été tellement gentille de venir, et comme je n’ai pas de monnaie. Cela vous va ? C’est bon ?
La petite me regarde surprise. « Oui, oui, c’est trop, même pas deux heures, je ne sais quoi dire. »
Ne vous inquiétez cela restera entre nous, si c’est ce qui vous inquiète, je n’en parlerais pas à votre père.
Nous la voyons partir en sautillant de joie. J’ouvre doucement la porte, nous rentrons dans la chambre. J’ouvre la porte de communication entre les deux chambres, je vais voir le petit, il dort comme un bien heureux. De son côté mon épouse dort, elle n’a absolument pas bougée d’un millimètre dans le lit. Sa respiration est calme.je retourne dans l’autre pièce, la puce est assise sur une chaise, le regard dans le vague.
On fait comment pour dormir ? Tu dors avec moi ?
Son regard brille, elle en meurt d’envie. Je dois reconnaitre que cela me tente aussi, advienne que pourra. Je lui souris.
Tu vas prendre une douche, tu sens l’amour à des kilomètres. Tu te couches dans le lit, je me coucherais habillé sur le drap. Cela limitera les explications à donner. On a était se baigner et dodo, on était fatigués. La seule chose dont tu te souviennes.
Elle me saute au cou, m’embrasse tendrement, se dirige vers la salle de bain en se déshabillant, se retourne enlève son short, s’expose intégralement nue à mon regard, désarmante de naturel.
Dieu qu’elle est belle. Elle est magnifique, je ne m’en lasse jamais de le penser, de la voir, elle est à la foi si candide, et si femelle. Elle se comporte avec moi sans arrière pensée, sans vulgarité. Elle s’expose à mon regard, belle comme au jour de sa naissance.
J’entends l’eau couler, je me force a ne pas entrer dans la salle de bain. Je sais que je ne pourrais me retenir de la rejoindre sous la douche. Je voie, non je m’imagine l’eau couler sur sa poitrine, descendre le long de son ventre, se glisser sur son mont de vénus, entre ses grandes lèvres.
L’eau s’arrête. J’attends quelques peux avant d’entrer dans la salle de bain. Elle est assise sur le bord de la baignoire et souri. Se lève, me tend la serviette.
Tu m’essuies s’il te plait. J’ai envie de sentir tes mains sur mon corps avant de me coucher.
Je l’essuie doucement, je me retiens de profiter de la situation, ce qu’elle remarque. Je commence à être sérieusement fatigué. Elle aussi d’ailleurs.
Vas te coucher ma chérie, tu es épuisé. Je prends ma douche, et je me couche.
Je prends ma douche, traine un peut des pieds, j’ai envie qu’elle dorme quand je me couche, elle serait trop tenter, tout comme moi. Je sors de la salle de bain, au bout d’une vingtaine de minutes, rentre dans la chambre. Tout est éteint.
J’entends sa respiration, qui est régulière, elle doit dormir. J’enfile mon short, ouvre la porte de communication, Sabine dort toujours comme un gros bébé, laisse la porte de communication ouverte. Je m’allonge, tourne le dos à la puce et m’endors instantanément.
Je sens des bisous, des cheveux qui me caressent. J’entre ouvre les yeux, Sabine me regarde affectueusement, elle est à genou face à moi. Elle m’embrasse, me regarde amoureusement.
Re: Vacances en Corse
non pas vraiment ^^Jak67 a écrit :
tu parle de toi à la troisième personne.
mais par contre jespere bien que demain tu repostera une suite aussi autrement c'est pas cool
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Re: Vacances en Corse
Une suiiiiiiiiiiiiiiiiittttttttttteeeeeeeeeee svp 

Vous ne savez pas à quel point vous êtes fort tant que vous n’avez pas besoin de l’être.
Re: Vacances en Corse
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Je prends ma douche, traine un peut des pieds, j’ai envie qu’elle dorme quand je me couche, elle serait trop tenter, tout comme moi. Je sors de la salle de bain, au bout d’une vingtaine de minutes, rentre dans la chambre. Tout est éteint.
J’entends sa respiration, qui est régulière, elle doit dormir. J’enfile mon short, ouvre la porte de communication, Sabine dort toujours comme un gros bébé, laisse la porte de communication ouverte. Je m’allonge, tourne le dos à la puce et m’endors instantanément.
Je sens des bisous, des cheveux qui me caressent. J’entre ouvre les yeux, Sabine me regarde affectueusement, elle est à genou face à moi. Elle m’embrasse, me regarde amoureusement.
-/-
Chut Magalie dort comme une marmotte. J’ai l’impression qu’elle est épuisée. Je ne sais pas ce qui s’est passé depuis le bateau, et encore moins hier soir et cette nuit, mais là, elle dort comme une masse, tout comme toi mon amour. Cela fait un petit moment que je vous regarde, que je vous observe en train de dormir. Vous êtes tellement adorable quand vous dormez.
Je vais pour me lever, je sens un bras qui m’emprisonne, Magalie a posé en dormant son bras sur moi, sa main bien à plat, est posée sur mon torse, comme pour me garder contre elle, dormir avec son amour dans les bras, de peur que je ne me sauve.
Je sens ses seins nus contre mon dos, sa poitrine qui se gonfle doucement, au rythme de sa respiration. Je réalise que je bande comme un malade. Sabine soulève doucement le bras de Magalie, je me glisse en dehors du lit. Nous sortons de la chambre. Sabine se jette à mon cou et m’embrasse.
Tu as bien dormi mon chéri. Moi je suis en pleine forme.
Sentant mon sexe qui se dresse si fièrement.
Tu es en pleine forme toi aussi, à ce que je sens palpiter, en ce moment contre mon ventre.
Le petit qui est dehors dans le couffin, gazouille. Les plateaux petit déjeuner sont là sur la table. Je me sers un café.
Je ne me souviens de rien. Comment se fait il que tu dormes avec ma sœur et moi seule, dans le lit une place.
Quand nous avons débarqué, tu dormais comme une souche, dans la voiture. Du fait du valium que tu as du prendre sur le bateau. Comme toujours ma chérie, 50 cm de houle et tu es malade, comme il n’est pas possible.
Quand nous sommes arrivés à l’hôtel, le gardien de l’hôtel, a ouvert une porte de chambre. Je t’ai posé sur le premier lit que j’ai trouvé. Quand je me suis rendu compte à postériori, qu’il s’agissait du lit une place, j’ai voulu te transporter sur l’autre lit. Tu as râlé.
« Laisse moi dormir, j’en ai marre de rouler. »
Je t’ai laissé dormir dans le lit où je t’avais déposé. Puis, avec Magalie et le petit, on a était mangé.
Au retour, ayant envie de me baigner, la fille du gardien, est venue vous surveiller, toi et le petit. Magalie et moi, sommes allé nous baigner. Quand nous sommes revenues, tu dormais comme un bébé, impossible de te déplacer. Magalie, s’est couchée dans le lit, et moi au-dessus des draps. J’étais HS.
T’as pas remarqué qu’elle est toute nue ? Que tu as dormi avec ma petite sœur aussi nue qu’au jour de sa naissance.
Elle a pris une douche, s’est couchée pendant que je prenais la mienne. Quand je me suis couché, la lumière était éteinte. Je n’ai rien remarqué, en me couchant.
Maintenant que tu me le dis.
Je regarde Sabine, avec un énorme sourire.
C’était effectivement très agréable de sentir ses seins, de sentir sa magnifique poitrine nue, contre mon dos quand tu m’as réveillé.
Je la prends dans mes bras, l’embrasse tendrement.
Dommage qu’au lieu de mon thorax, elle ne me tenait pas autre chose en main, ce matin.
T’es un salop, un sacré cochon mon homme. Je comprends maintenant la fierté de ton sexe quand tu t’es levé. Tu imaginais la main de ma petite sœur, le tenant. T’es un vrai cochon lubrique, une chatte en liberté, dans le secteur et tu ne sais plus te tenir. Je ne te savais pas comme cela.
Elle éclate de rire.
Il est vrai qu’elle est sacrément bien fichue, ma petite sœur. Quand on arrive à Ajaccio, il va falloir que je l’emmène chez l’esthéticienne. Il y aura du boulot pour en faire une femme, pour en faire une belle plante, comme tu aimes que nous soyons.
Tu recommences comme chez ta mère, tu veux la mettre dans mon lit, pour de bon ?
Tu ne m’as pas attendu pour la mettre dans ton lit, et en plus toute nue, mon cochon. Mais ça te regarde, ça la regarde.
Moi du moment, comme je te l’ai déjà dit à votre retour d’Allemagne, que tu ne joues pas avec elle, que tu ne joues pas avec ses sentiments. Que toi mon homme, tu sois là quand je le veux, quand j’ai besoin de toi, je me fiche du reste.
Au lieu de dire des bêtises, on petit déjeune.
Tu réveilles ta marmotte qui dort à côté.
Tu as dis toi-même qu’elle est toute nue, elle n’apprécierait pas, que ce soit moi qui la réveille. Vas-y, moi je donne le biberon au petit.
Pour couper court à la discussion, je prends le petit, ainsi que le biberon, vérifie qu’il n’est pas trop chaud, m’assieds et commence à le lui donner. Il se jette dessus comme s’il n’avait pas mangé depuis bien longtemps.
Je m’assieds, face à la porte, je suis inquiet. Même si j’essaie de ne pas le montrer, je sais qu’elle le sent, que sabine l’a remarqué, elle me connait si bien ma Sabine.
Je regarde Sabine s’asseoir doucement sur le lit, où Magalie dort toujours. Elle l’embrasse sur la joue, la secoue doucement. Magalie ouvre un œil, me voie, souri. Sabine, nous regarde tour à tour et souri aussi.
Vue ce qu’elle vient de dire, je suis certain qu’elle a compris. Elle sait, elle en est convaincue.
Va-t-elle en parler maintenant que Magalie est réveillée, va-t-elle continuer son travail de sape morale.
Osera-t-elle pensé que nous en sommes si loin, que nous sommes décidés à continuer, quoi qu’il se passe, enfin maintenant je ne suis plus sur de rien, plus sur de moi, tout ce dont je suis certain, et cela contre vents et marées, c’est que je les aime, que j’aime Sabine et Magalie, plus que ma propre vie.
Pensera t’elle que sa petite sœur s’est donnée, qu’elle m’a donné ses fesses, sa bouche. Que Magalie, ne vie que pour notre amour, pour cet amour qui va nous détruire, si sabine le comprend, si Sabine le découvre.
Elle a l’air de l’accepter, parce qu’elle ne sait pas, parce qu’elle n’y croit pas. Mais si elle savait, que ferait-elle. Si elle savait quelle serait sa réaction.
Bon sang j’y suis vraiment les deux pieds dedans. Et c’est moi qui l’ai voulue. Enfin presque.
Magalie s’assied sur le lit, le regard complètement dans le vague. Elle prend sa sœur dans ses bras l’embrasse.
Comment va ma grande sœur que j’aime. Tu as l’air en pleine forme. Ca te réussi le Valium.
Moi, la baignade de hier soir m’a tuée. Je suis crevée. Je n’ai pas l’habitude de la mer, de faire autant de sport, si vite.
Elle me regarde par en-dessous, l’air heureux. Sabine regarde attentivement sa petite sœur.
Va prendre une douche glacée, tu as les yeux bordés d’amour, comme si tu t’étais envoyé en l’air toute la nuit.
Ton sport, ce n’était as une partie de jambes en l’air avec ton beau frère, avec mon mari.
Ce qui ne m’étonnerait absolument pas. T’étais nue dans le lit de ton beauf préféré, de l’homme sur qui tu flash comme une malade. Cet homme, c’est mon mari, c’est mon amant.
Comment voulais tu qu’il dorme..
Arrête ma chérie, ne me prend pas pour une nouille, je te connais depuis si longtemps ma petite sœur. Je te connais comme si je t’avais faîtes.
En ce moment je lis en toi comme dans un livre ouvert. C’est à la foi si beau et si effrayant ce que je lis, ce que je suis en train de lire en toi.
C’est si beau, si effrayant ce que je découvre au fond de toi. Ce que tu n’arrives pas, ce que tu n’arrives plus à me cacher.
On en reparlera toutes les deux, en tête à tête, entre femmes. Car je pense que tu es une femme maintenant, ma chérie.
Propos de Magalie ma belle sœur
Propos de Jacques
Mes pensées
Propos de Mario
Propos de Charlotte
Propos de Lucie fille de Charlotte
Propos de Louise petite fille de Charlotte
9)
Je prends ma douche, traine un peut des pieds, j’ai envie qu’elle dorme quand je me couche, elle serait trop tenter, tout comme moi. Je sors de la salle de bain, au bout d’une vingtaine de minutes, rentre dans la chambre. Tout est éteint.
J’entends sa respiration, qui est régulière, elle doit dormir. J’enfile mon short, ouvre la porte de communication, Sabine dort toujours comme un gros bébé, laisse la porte de communication ouverte. Je m’allonge, tourne le dos à la puce et m’endors instantanément.
Je sens des bisous, des cheveux qui me caressent. J’entre ouvre les yeux, Sabine me regarde affectueusement, elle est à genou face à moi. Elle m’embrasse, me regarde amoureusement.
-/-
Chut Magalie dort comme une marmotte. J’ai l’impression qu’elle est épuisée. Je ne sais pas ce qui s’est passé depuis le bateau, et encore moins hier soir et cette nuit, mais là, elle dort comme une masse, tout comme toi mon amour. Cela fait un petit moment que je vous regarde, que je vous observe en train de dormir. Vous êtes tellement adorable quand vous dormez.
Je vais pour me lever, je sens un bras qui m’emprisonne, Magalie a posé en dormant son bras sur moi, sa main bien à plat, est posée sur mon torse, comme pour me garder contre elle, dormir avec son amour dans les bras, de peur que je ne me sauve.
Je sens ses seins nus contre mon dos, sa poitrine qui se gonfle doucement, au rythme de sa respiration. Je réalise que je bande comme un malade. Sabine soulève doucement le bras de Magalie, je me glisse en dehors du lit. Nous sortons de la chambre. Sabine se jette à mon cou et m’embrasse.
Tu as bien dormi mon chéri. Moi je suis en pleine forme.
Sentant mon sexe qui se dresse si fièrement.
Tu es en pleine forme toi aussi, à ce que je sens palpiter, en ce moment contre mon ventre.
Le petit qui est dehors dans le couffin, gazouille. Les plateaux petit déjeuner sont là sur la table. Je me sers un café.
Je ne me souviens de rien. Comment se fait il que tu dormes avec ma sœur et moi seule, dans le lit une place.
Quand nous avons débarqué, tu dormais comme une souche, dans la voiture. Du fait du valium que tu as du prendre sur le bateau. Comme toujours ma chérie, 50 cm de houle et tu es malade, comme il n’est pas possible.
Quand nous sommes arrivés à l’hôtel, le gardien de l’hôtel, a ouvert une porte de chambre. Je t’ai posé sur le premier lit que j’ai trouvé. Quand je me suis rendu compte à postériori, qu’il s’agissait du lit une place, j’ai voulu te transporter sur l’autre lit. Tu as râlé.
« Laisse moi dormir, j’en ai marre de rouler. »
Je t’ai laissé dormir dans le lit où je t’avais déposé. Puis, avec Magalie et le petit, on a était mangé.
Au retour, ayant envie de me baigner, la fille du gardien, est venue vous surveiller, toi et le petit. Magalie et moi, sommes allé nous baigner. Quand nous sommes revenues, tu dormais comme un bébé, impossible de te déplacer. Magalie, s’est couchée dans le lit, et moi au-dessus des draps. J’étais HS.
T’as pas remarqué qu’elle est toute nue ? Que tu as dormi avec ma petite sœur aussi nue qu’au jour de sa naissance.
Elle a pris une douche, s’est couchée pendant que je prenais la mienne. Quand je me suis couché, la lumière était éteinte. Je n’ai rien remarqué, en me couchant.
Maintenant que tu me le dis.
Je regarde Sabine, avec un énorme sourire.
C’était effectivement très agréable de sentir ses seins, de sentir sa magnifique poitrine nue, contre mon dos quand tu m’as réveillé.
Je la prends dans mes bras, l’embrasse tendrement.
Dommage qu’au lieu de mon thorax, elle ne me tenait pas autre chose en main, ce matin.
T’es un salop, un sacré cochon mon homme. Je comprends maintenant la fierté de ton sexe quand tu t’es levé. Tu imaginais la main de ma petite sœur, le tenant. T’es un vrai cochon lubrique, une chatte en liberté, dans le secteur et tu ne sais plus te tenir. Je ne te savais pas comme cela.
Elle éclate de rire.
Il est vrai qu’elle est sacrément bien fichue, ma petite sœur. Quand on arrive à Ajaccio, il va falloir que je l’emmène chez l’esthéticienne. Il y aura du boulot pour en faire une femme, pour en faire une belle plante, comme tu aimes que nous soyons.
Tu recommences comme chez ta mère, tu veux la mettre dans mon lit, pour de bon ?
Tu ne m’as pas attendu pour la mettre dans ton lit, et en plus toute nue, mon cochon. Mais ça te regarde, ça la regarde.
Moi du moment, comme je te l’ai déjà dit à votre retour d’Allemagne, que tu ne joues pas avec elle, que tu ne joues pas avec ses sentiments. Que toi mon homme, tu sois là quand je le veux, quand j’ai besoin de toi, je me fiche du reste.
Au lieu de dire des bêtises, on petit déjeune.
Tu réveilles ta marmotte qui dort à côté.
Tu as dis toi-même qu’elle est toute nue, elle n’apprécierait pas, que ce soit moi qui la réveille. Vas-y, moi je donne le biberon au petit.
Pour couper court à la discussion, je prends le petit, ainsi que le biberon, vérifie qu’il n’est pas trop chaud, m’assieds et commence à le lui donner. Il se jette dessus comme s’il n’avait pas mangé depuis bien longtemps.
Je m’assieds, face à la porte, je suis inquiet. Même si j’essaie de ne pas le montrer, je sais qu’elle le sent, que sabine l’a remarqué, elle me connait si bien ma Sabine.
Je regarde Sabine s’asseoir doucement sur le lit, où Magalie dort toujours. Elle l’embrasse sur la joue, la secoue doucement. Magalie ouvre un œil, me voie, souri. Sabine, nous regarde tour à tour et souri aussi.
Vue ce qu’elle vient de dire, je suis certain qu’elle a compris. Elle sait, elle en est convaincue.
Va-t-elle en parler maintenant que Magalie est réveillée, va-t-elle continuer son travail de sape morale.
Osera-t-elle pensé que nous en sommes si loin, que nous sommes décidés à continuer, quoi qu’il se passe, enfin maintenant je ne suis plus sur de rien, plus sur de moi, tout ce dont je suis certain, et cela contre vents et marées, c’est que je les aime, que j’aime Sabine et Magalie, plus que ma propre vie.
Pensera t’elle que sa petite sœur s’est donnée, qu’elle m’a donné ses fesses, sa bouche. Que Magalie, ne vie que pour notre amour, pour cet amour qui va nous détruire, si sabine le comprend, si Sabine le découvre.
Elle a l’air de l’accepter, parce qu’elle ne sait pas, parce qu’elle n’y croit pas. Mais si elle savait, que ferait-elle. Si elle savait quelle serait sa réaction.
Bon sang j’y suis vraiment les deux pieds dedans. Et c’est moi qui l’ai voulue. Enfin presque.
Magalie s’assied sur le lit, le regard complètement dans le vague. Elle prend sa sœur dans ses bras l’embrasse.
Comment va ma grande sœur que j’aime. Tu as l’air en pleine forme. Ca te réussi le Valium.
Moi, la baignade de hier soir m’a tuée. Je suis crevée. Je n’ai pas l’habitude de la mer, de faire autant de sport, si vite.
Elle me regarde par en-dessous, l’air heureux. Sabine regarde attentivement sa petite sœur.
Va prendre une douche glacée, tu as les yeux bordés d’amour, comme si tu t’étais envoyé en l’air toute la nuit.
Ton sport, ce n’était as une partie de jambes en l’air avec ton beau frère, avec mon mari.
Ce qui ne m’étonnerait absolument pas. T’étais nue dans le lit de ton beauf préféré, de l’homme sur qui tu flash comme une malade. Cet homme, c’est mon mari, c’est mon amant.
Comment voulais tu qu’il dorme..
Arrête ma chérie, ne me prend pas pour une nouille, je te connais depuis si longtemps ma petite sœur. Je te connais comme si je t’avais faîtes.
En ce moment je lis en toi comme dans un livre ouvert. C’est à la foi si beau et si effrayant ce que je lis, ce que je suis en train de lire en toi.
C’est si beau, si effrayant ce que je découvre au fond de toi. Ce que tu n’arrives pas, ce que tu n’arrives plus à me cacher.
On en reparlera toutes les deux, en tête à tête, entre femmes. Car je pense que tu es une femme maintenant, ma chérie.
Re: Vacances en Corse
Propos de Sabine ma femme
Propos de Magalie ma belle sœur
Propos de Jacques
Mes pensées
Propos de Mario
Propos de Charlotte
Propos de Lucie fille de Charlotte
Propos de Louise petite fille de Charlotte
10)
Ton sport, ce n’était as une partie de jambes en l’air avec ton beau frère, avec mon mari.
Ce qui ne m’étonnerait absolument pas. T’étais nue dans le lit de ton beauf préféré, de l’homme sur qui tu flash comme une malade. Cet homme, c’est mon mari, c’est mon amant.
Comment voulais tu qu’il dorme..
Arrête ma chérie, ne me prend pas pour une nouille, je te connais depuis si longtemps ma petite sœur. Je te connais comme si je t’avais faîtes.
En ce moment je lis en toi comme dans un livre ouvert. C’est à la foi si beau et si effrayant ce que je lis, ce que je suis en train de lire en toi.
C’est si beau, si effrayant ce que je découvre au fond de toi. Ce que tu n’arrives pas, ce que tu n’arrives plus à me cacher.
On en reparlera toutes les deux, en tête à tête, entre femmes. Car je pense que tu es une femme maintenant, ma chérie.
-/-
Sabine sort, s’approche de moi m’embrasse tendrement.
Je t’aime mon chéri, au moins autant que ma sœur, t’aime. Il y a un moment que je me doute de quelque chose, que j’ai compris que quelque chose va se passer, ou est en train de se passer entre vous deux.
Dis toi que,. . . va chercher Magalie s’il te plait, donne moi notre fils.
Elle se retourne, prends notre fils dans les bras s’assied face à nous. Magalie qui a tout entendu est assise sur le lit atterrée. Elle nous regarde, enfin regarder, est un bien grand mot, tant son regard est vide, tant son regard est sans vie, elle est comme hébétée.
Viens ici ma petite sœur que j’aime. Enfile un tee-shirt et viens je ne t’en veux pas, mais alors pas du tout. Je t’en prie viens. Il n’y a aucune jalousie, aucune rancœur en moi.
Magalie me regarde au bord des larmes. Elle ne sait pas quoi faire. Elle ne bouge pas, elle est comme paralysée, complément tétanisé sur le lit. Je la voie trembler des pieds à la tête. Sabine se penche, vers moi, m’embrasse.
Je t’aime, je t’aimerais toujours, comme j’aime et j’aimerais toujours ma sœur.
Va chercher Magalie s’il te plait, console là, réconforte là, elle ne mérite pas cela.
Si je voulais un responsable ce n’est pas vers elle que je chercherais. De toute façon je n’en cherche pas. S’il te plait va la chercher.
Je vous veux tous les deux proche de moi, proche de notre fils.
Je veux près de moi les deux personnes que j’aime plus que tout et je sais que vous m’aimez.
Je me lève, comme un zombie, Sabine, ma femme, vient de me démolir moralement.
Sans un cri, sans une larme, sans un mot plus haut que l’autre, elle nous met au pied du mur. Je ne comprends pas son calme. Elle a une sérénité en elle, qui au lieu de nous apaiser, au lieu de m’apaiser, me stress, m’effraie.
Sabine est limite tendre, elle est limite compréhensive, Je ne sais pas, je ne comprends pas, ne comprends pas où elle veut en venir.
Que va-t-il se passer, que va-t-il advenir de notre couple, que va-t-il advenir de mon amour pour ces deux sœurs, pour ces deux femmes que j’aime plus que ma propre vie.
Je ne sais, je n’ose y penser, je ne sais quoi penser.
Au moment où je passe prés d’elle, tel un zombie, elle m’attrape le bras, m’attire vers elle. Je me penche, elle m’embrasse tendrement.
Je ne vous en veux pas, ni à l’un, ni à l’autre. Si je m’étais reprise plus tôt en main, peut être vous n’auriez pas couché ensemble.
En supposant que vous ayez couché ensemble, ce qui n’est absolument pas certain te connaissant.
Tu es un tel amant, que comme pour moi, quand nous nous sommes rencontré, que j’ai voulu coucher avec toi, tu as du le lui refuser, tu n’as pas voulu que je m’offre, je pense que pour Magalie, pour ma petite sœur c’est pareil.
Il fallait que je me donne, je n’étais pas prête à l’époque, je ne comprenais pas, ne l’admettais pas.
Je ne pense pas que tu ais accepté de coucher avec Magalie, au sens où tout le monde l’entend.
Magalie n’est pas encore prête à se donner, à te donner sa fleur, elle t’offre son corps, tu veux son âme.
Tout comme moi à l’époque, au début de notre relation, elle doit le vouloir, en mourir d’envie, en pleurer de rage, ne pas comprendre.
Mais tu le lui refuses, je le sais, je le sens, je te connais trop bien, toi mon homme.
Toi mon merveilleux amant, toi mon premier homme, toi qui m’a fait me découvrir, toi qui m’a révélé ce que je suis, qui m’a révélé qui je suis.
Ta femme, ta maitresse, ton amante, tout ce que je suis devenue aujourd’hui, tout ce que je suis aujourd’hui, c’est à toi que je le dois.
De toute façon il est ce qu’il est. Nous ne pouvons pas revenir en arrière. Alors allons de l’avant.
Console là s’il te plait, je l’aime, je t’aime, je ne veux que personne ne souffre.
Je suis sincère, je te le promets.
Je sais qu’elle dit vrai, ses yeux me le disent, sa bouche me le dit. Je m’approche de Magalie, lui tend un tee-shirt.
Elle ne bouge pas. Je lui prends la main, elle est tétanisée. Elle sursaute au contact de ma main, me regarde, je lis toute la détresse du monde dans son regard.
Je l’aide à se lever, lui enfile le tee-shirt, elle est complètement amorphe. Je la prends dans les bras. Elle se sert contre moi, tremblante, je suis obligé de la soutenir, tant ces jambes ne la portent pas, ne la portent plus.
Mon épouse me regarde, la regarde, nous regarde. Elle pose le petit dans le couffin, s’approche, nous prends dans les bras, embrasse sa sœur, qui sursaute, comme si elle venait de prendre une décharge électrique, comme si elle se réveillait.
Elle voie Sabine qui la tient dans ses bras ainsi que moi.
Ses yeux passent de l’un à l’autre, elle ne comprend rien. Son regard est si effrayé, si apeuré.
Je dirais que moi non plus, je ne comprends rien, je ne comprends plus rien à ce qui se passe en ce moment.
Je ne sais pas où Sabine veut en venir. Je ne comprends rien à rien, ma femme se comporte comme si elle voulait consoler Magalie sa petite sœur, alors qu’elle vient de nous mettre, face à notre comportement, face à nos responsabilités, face à nos actes.
Magalie, ma petite sœur je t’aime. Je ne t’en veux pas, tu n’es pas responsable de quoi que ce soit.
Je sentais, je savais que tu flashais sur Jacques, mais jamais je n’aurais imaginé que ce soit à ce point, que cela t’entraine, que cela vous entraine si loin.
Jamais je n’aurais imaginé, que tu l’aimes à ce point, que tu l’aimes au point de vouloir te donner à lui.
Je ne sais pas pourquoi, je m’approche et embrasse Sabine et Magalie sur le front.
Ma femme sourit, m’embrasse tendrement, tout en regardant sa sœur qui se blottit contre moi, que je tiens dans mes bras comme pour la protéger.
La protéger de qui, de quoi, je ne sais, ne sais plus, ne comprends plus rien, ne comprends plus rien à rien.
Sabine regarde tendrement sa petite sœur, lui fait un signe de tête en me regardant.
Magalie secoue la tête pour dire non.
Propos de Magalie ma belle sœur
Propos de Jacques
Mes pensées
Propos de Mario
Propos de Charlotte
Propos de Lucie fille de Charlotte
Propos de Louise petite fille de Charlotte
10)
Ton sport, ce n’était as une partie de jambes en l’air avec ton beau frère, avec mon mari.
Ce qui ne m’étonnerait absolument pas. T’étais nue dans le lit de ton beauf préféré, de l’homme sur qui tu flash comme une malade. Cet homme, c’est mon mari, c’est mon amant.
Comment voulais tu qu’il dorme..
Arrête ma chérie, ne me prend pas pour une nouille, je te connais depuis si longtemps ma petite sœur. Je te connais comme si je t’avais faîtes.
En ce moment je lis en toi comme dans un livre ouvert. C’est à la foi si beau et si effrayant ce que je lis, ce que je suis en train de lire en toi.
C’est si beau, si effrayant ce que je découvre au fond de toi. Ce que tu n’arrives pas, ce que tu n’arrives plus à me cacher.
On en reparlera toutes les deux, en tête à tête, entre femmes. Car je pense que tu es une femme maintenant, ma chérie.
-/-
Sabine sort, s’approche de moi m’embrasse tendrement.
Je t’aime mon chéri, au moins autant que ma sœur, t’aime. Il y a un moment que je me doute de quelque chose, que j’ai compris que quelque chose va se passer, ou est en train de se passer entre vous deux.
Dis toi que,. . . va chercher Magalie s’il te plait, donne moi notre fils.
Elle se retourne, prends notre fils dans les bras s’assied face à nous. Magalie qui a tout entendu est assise sur le lit atterrée. Elle nous regarde, enfin regarder, est un bien grand mot, tant son regard est vide, tant son regard est sans vie, elle est comme hébétée.
Viens ici ma petite sœur que j’aime. Enfile un tee-shirt et viens je ne t’en veux pas, mais alors pas du tout. Je t’en prie viens. Il n’y a aucune jalousie, aucune rancœur en moi.
Magalie me regarde au bord des larmes. Elle ne sait pas quoi faire. Elle ne bouge pas, elle est comme paralysée, complément tétanisé sur le lit. Je la voie trembler des pieds à la tête. Sabine se penche, vers moi, m’embrasse.
Je t’aime, je t’aimerais toujours, comme j’aime et j’aimerais toujours ma sœur.
Va chercher Magalie s’il te plait, console là, réconforte là, elle ne mérite pas cela.
Si je voulais un responsable ce n’est pas vers elle que je chercherais. De toute façon je n’en cherche pas. S’il te plait va la chercher.
Je vous veux tous les deux proche de moi, proche de notre fils.
Je veux près de moi les deux personnes que j’aime plus que tout et je sais que vous m’aimez.
Je me lève, comme un zombie, Sabine, ma femme, vient de me démolir moralement.
Sans un cri, sans une larme, sans un mot plus haut que l’autre, elle nous met au pied du mur. Je ne comprends pas son calme. Elle a une sérénité en elle, qui au lieu de nous apaiser, au lieu de m’apaiser, me stress, m’effraie.
Sabine est limite tendre, elle est limite compréhensive, Je ne sais pas, je ne comprends pas, ne comprends pas où elle veut en venir.
Que va-t-il se passer, que va-t-il advenir de notre couple, que va-t-il advenir de mon amour pour ces deux sœurs, pour ces deux femmes que j’aime plus que ma propre vie.
Je ne sais, je n’ose y penser, je ne sais quoi penser.
Au moment où je passe prés d’elle, tel un zombie, elle m’attrape le bras, m’attire vers elle. Je me penche, elle m’embrasse tendrement.
Je ne vous en veux pas, ni à l’un, ni à l’autre. Si je m’étais reprise plus tôt en main, peut être vous n’auriez pas couché ensemble.
En supposant que vous ayez couché ensemble, ce qui n’est absolument pas certain te connaissant.
Tu es un tel amant, que comme pour moi, quand nous nous sommes rencontré, que j’ai voulu coucher avec toi, tu as du le lui refuser, tu n’as pas voulu que je m’offre, je pense que pour Magalie, pour ma petite sœur c’est pareil.
Il fallait que je me donne, je n’étais pas prête à l’époque, je ne comprenais pas, ne l’admettais pas.
Je ne pense pas que tu ais accepté de coucher avec Magalie, au sens où tout le monde l’entend.
Magalie n’est pas encore prête à se donner, à te donner sa fleur, elle t’offre son corps, tu veux son âme.
Tout comme moi à l’époque, au début de notre relation, elle doit le vouloir, en mourir d’envie, en pleurer de rage, ne pas comprendre.
Mais tu le lui refuses, je le sais, je le sens, je te connais trop bien, toi mon homme.
Toi mon merveilleux amant, toi mon premier homme, toi qui m’a fait me découvrir, toi qui m’a révélé ce que je suis, qui m’a révélé qui je suis.
Ta femme, ta maitresse, ton amante, tout ce que je suis devenue aujourd’hui, tout ce que je suis aujourd’hui, c’est à toi que je le dois.
De toute façon il est ce qu’il est. Nous ne pouvons pas revenir en arrière. Alors allons de l’avant.
Console là s’il te plait, je l’aime, je t’aime, je ne veux que personne ne souffre.
Je suis sincère, je te le promets.
Je sais qu’elle dit vrai, ses yeux me le disent, sa bouche me le dit. Je m’approche de Magalie, lui tend un tee-shirt.
Elle ne bouge pas. Je lui prends la main, elle est tétanisée. Elle sursaute au contact de ma main, me regarde, je lis toute la détresse du monde dans son regard.
Je l’aide à se lever, lui enfile le tee-shirt, elle est complètement amorphe. Je la prends dans les bras. Elle se sert contre moi, tremblante, je suis obligé de la soutenir, tant ces jambes ne la portent pas, ne la portent plus.
Mon épouse me regarde, la regarde, nous regarde. Elle pose le petit dans le couffin, s’approche, nous prends dans les bras, embrasse sa sœur, qui sursaute, comme si elle venait de prendre une décharge électrique, comme si elle se réveillait.
Elle voie Sabine qui la tient dans ses bras ainsi que moi.
Ses yeux passent de l’un à l’autre, elle ne comprend rien. Son regard est si effrayé, si apeuré.
Je dirais que moi non plus, je ne comprends rien, je ne comprends plus rien à ce qui se passe en ce moment.
Je ne sais pas où Sabine veut en venir. Je ne comprends rien à rien, ma femme se comporte comme si elle voulait consoler Magalie sa petite sœur, alors qu’elle vient de nous mettre, face à notre comportement, face à nos responsabilités, face à nos actes.
Magalie, ma petite sœur je t’aime. Je ne t’en veux pas, tu n’es pas responsable de quoi que ce soit.
Je sentais, je savais que tu flashais sur Jacques, mais jamais je n’aurais imaginé que ce soit à ce point, que cela t’entraine, que cela vous entraine si loin.
Jamais je n’aurais imaginé, que tu l’aimes à ce point, que tu l’aimes au point de vouloir te donner à lui.
Je ne sais pas pourquoi, je m’approche et embrasse Sabine et Magalie sur le front.
Ma femme sourit, m’embrasse tendrement, tout en regardant sa sœur qui se blottit contre moi, que je tiens dans mes bras comme pour la protéger.
La protéger de qui, de quoi, je ne sais, ne sais plus, ne comprends plus rien, ne comprends plus rien à rien.
Sabine regarde tendrement sa petite sœur, lui fait un signe de tête en me regardant.
Magalie secoue la tête pour dire non.
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Re: Vacances en Corse
C'est palpitant

Amène la suite Jak, et vite


Amène la suite Jak, et vite

Vous ne savez pas à quel point vous êtes fort tant que vous n’avez pas besoin de l’être.
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Re: Vacances en Corse
Comment ?? Comment ça comment ? Ben tu copicolles ou tu écris, j'vois pas ce qu'il y a de compliqué








Vous ne savez pas à quel point vous êtes fort tant que vous n’avez pas besoin de l’être.
Re: Vacances en Corse
hey la c'est abuser c'est court comme chapitre je proteste je veut une autre suite