Des vacances pas comme les autres.

Des récits qui ne manqueront pas de réveiller vos sens et votre imagination...
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E7hyM9

Des vacances pas comme les autres.

Message par E7hyM9 »

Je me lance aussi :

Chapitre 1.

Wouahou, j’ai gagné un séjour d’une semaine pour une personne en établissement de repos, il y aura massage, bain chaud, pleins d’activités pour se reposer et retrouver sa forme.

Donc me voilà partie. Le séjour se déroule sur une petite ile au soleil. J’arrive là bas un peu tard, et comme le vol avait du retard, il n’y avait plus de navette pour rejoindre l’hôtel. Je décide donc de prendre un taxi. Au bout de 10 min de trajet, le taxi s’arrête dans un chemin de terre, et le chauffeur me dit qu’en fait il n’accepte que les paiements en nature, refusant de me livrer à lui, il me débarque là avec ma valise et s’en va. Je rejoins la route et aperçois un arrêt de bus, donc je m’y assoie et attends, manque de peau les horaires ne sont plus visibles alors je ne sais pas quand est le prochain et surtout si l’hôtel est loin. Au bout d’une demi-heure une voiture arrive et s’arrête devant l’arrêt, la vitre côté passager descend, et j’aperçois un charmant couple à l’intérieur. La dame me dit que je vais attendre longtemps car la prochaine navette est le lendemain matin et me demande où je veux aller. Elle me dit alors que ma destination est loin et que si je veux je peux venir passer la nuit chez eux, ils habitent à côté. J’accepte volontiers, même si je me dis dans ma tête que c’est peut être pas une bonne idée, je ne sais pas où je vais tombé, mais ils ont l’air sympathique.

Cinq minutes plus tard, nous arrivons chez eux, ils habitent une bâtisse, style petit château, avec un autre bâtiment à côté qui ressemble à une écurie, mais qui est vide. La femme me montre la chambre d’ami pour que je m’y installe et m’explique un peu l’histoire de la bâtisse. Je ressens quelque chose de bizarre, un frôlement par ci un clin d’œil par là, mais je n’y prête pas beaucoup attention. Elle me propose de descendre boire l’apéro puis manger. Tout le long du repas, nous discutons du comment je suis arrivée ici, de ce que je fais dans la vie, etc. Ils s’intéressent beaucoup à moi, bon peut être qu’ils ne voient personne de nouveaux sur leur ile, alors je joue le jeu, et la femme continue ses clins d’œil, ses frôlements de main, ou de pieds, je ne suis pas gênée, je trouve ça amusant. Ils ont dû s’en rendre compte même s’ils ne le montrent pas.

Après le repas, elle me montre la salle de bain pour aller prendre ma douche. Ce que je fais s’en tarder. Je remarque que la porte ne ferme pas à clé, mais je n’y prête pas plus attention que cela. Une fois la douche fini, je sors de la baignoire, et me sèche tout en rêvassant, repensant à tout ce qui m’était arrivé depuis que j’avais débarqué sur cette ile. C’est pour ça que je ne fis pas attention au couple qui s’est introduit dans la salle de bain et qui m’a attaqué par surprise l’homme me retenant pendant que la femme m’attache les poignés dans le dos, me bâillonne et en à peine quelques minutes je me retrouve bâillonnée, ligotée avec de la corde, ne pouvant plus bouger et allongée sur le sol de la salle de bain. Je ne comprends pas ce qui m’arrive, et je commence à penser que je n’aurais jamais du venir ici.

L’homme m’attrape, me mets sur son épaule, m’amène dans ma chambre, me dépose sur le lit et s’en va, la femme rentre à son tour et s’approche de mon oreille et murmure :
« Nous allons faire de toi notre chienne. Il faudra que tu obéisses à tous ce que nous te dirons et si tu n’es pas docile, tu seras punie et fouettée. »
Puis elle s’en va également. Je sens les larmes monter en moi et couler le long de mes joues, mais où donc suis je tombé, déjà le chauffeur puis eux, et que va t il m’arriver. Je les entends parler sans comprendre ce qu’ils se disent. Je me ressaisis et me dis que je vais jouer leur jeu et m’enfuir à la moindre occasion, je trouverais bien quelqu’un pour m’aider. La femme revient me voir pour me demander si je vais être une bonne chienne obéissante et je fais oui de la tête. Elle enlève le bâillon en me précisant de ne rien dire sinon je dors avec, et je me tais. Puis l’homme rentre me mettre un collier de cuir, auquel il accroche une chaine dont l’autre bout est déjà attaché à un gros anneau inséré dans le mur. La femme enlève les cordes mais me laisse les menottes en cuir aux pieds ainsi qu’aux poignets, mais en mettant les mains devant. Je suis là allongée sur le lit, nue, et eux, je les vois rire, s’embrasser, se caresser… La femme me dit :
« Ce soir tu dormiras là attachée, si tu as envie d’uriner il y a une bassine sous le lit. »
Puis le couple s’en va en refermant la porte à clé.

Mais où donc suis je tombé, comment vais je m’en sortir, rentré chez moi… Pleins de questions défilent dans ma tête. Je me mets alors sous la couette, les entendant au loin s’amuser. Je réfléchis à comment je pourrais fuir et je finis par m’en dormir.

Le lendemain matin je fus réveillée par des caresses. C’est la femme, qui a repris son air doux. Elle me sourit en s’excusant de ce qui c’est passé la veille à la sortie de la douche, mais qu’elle devait le faire, et que si je veux que tout ce passe bien, je n’ai qu’à jouer le jeu et obéir. Elle me rappelle aussi, sur un ton ironique, que personne ne sait que je suis là. Depuis l’aéroport, personne à par le chauffeur et eux ne m’avaient vu, et que le chauffeur ne dirait rien vu que j’ai refusé ses avances. Elle me demande de me lever et de passer une robe blanche avec des fleurs rouges qu’elle a préparée pour moi. Elle détache les menottes des poignets et m’aide à enfiler la robe, tout en caressant mes seins et mes fesses. Puis elle détache la chaine et y accroche une laisse. Aujourd’hui j’ai le droit de prendre le petit déjeuner comme elle à table. Elle me dit que son homme n’est pas là pour la matinée, que nous sommes que toutes les deux, et qu’on va pouvoir bien s’amuser.

Après le petit déjeuner, elle me tire vers le canapé où on s’assoit côte à côte et elle commence à me caresser le cou, les épaules, la poitrine, les seins, tout doucement en descendant de plus en plus. Elle voit que je ne suis pas indifférente à ses caresses. Je me dis au fond de moi, j’ai toujours été attiré par les femmes, que je vais jouer le jeu et en profiter un peu aussi. Et que si je me laisse faire, elle baissera sa garde et je pourrais m’enfuir. Donc je fais comme elle et commence à la caresser aussi et à l’embrasser, puis lui demande qu’elle me retire les menottes pour que nous puissions nous amuser correctement, ce qu’elle fait, car mes caresses lui font beaucoup d’effet. Elle prend la laisse et me tire jusqu’à sa chambre, nous nous allongeons sur son lit, et continuons à nous embrasser, à nous caresser, à nous mordiller. Elle me caresse avec sa langue tout le long de mon corps s’arrêtant quelque instants aux tétons, puis continuant jusqu’à mon petit bouton, qu’elle lèche et aspire goulument, elle s’attend à m’entendre gémir, mais rien et relève la tête, je lui dis alors que ça ne m’a jamais fait beaucoup d’effet, que je préfère la pénétration, et lui propose de d’inverser. Ce qu’elle fait avec enthousiasme, elle veut voir comment je me débrouille. Et je crois qu’elle n’est pas déçu, vu la façon dont elle monte et jouit. Une fois qu’elle se remet de ces esprits elle ne s’occupe même plus de moi, elle se lève et va en direction de la salle de bain, elle me regarde et vois mon air déçu et me dit froidement :
« C’est à ça que sert une chienne, faire plaisir à ses maitres, sans s’occuper du reste. Tu n’as qu’à te caresser le temps que je prenne ma douche, je te l’autorise. »
Et elle continue son chemin vers la salle de bain. Un petit sourire sur le coin de ma bouche, j’attends que l’eau coule pour me lever, aller chercher mes affaires et fuir de cette satanée maison.
Dernière modification par E7hyM9 le 30 décembre 2011, 23:37, modifié 1 fois.
E7hyM9

Re: Des vacances pas comme les autres.

Message par E7hyM9 »

Chapitre 2.

Donc j’enfile une paire de sandale, j’attrape mon petit sac à dos et je marche sans faire de bruit jusqu’à la porte. Celle-ci n’est fermée que par un verrou et ça m’arrange bien. J’ouvre la porte, je regarde s’il n’y a personne et je file. Je suis le petit chemin d’une centaine de mètres, me cache derrière un buisson au cas où, je retire la laisse qui me gène, mais impossible de défaire le collier, tant pis je verrais plus tard pour l’enlever. Je jette un coup d’œil sur le chemin, il n’y a personne, je lance alors la laisse de l’autre côté du chemin et je pars à l’opposé. Je marche vite, je cours même, mais où suis-je et où dois-je aller, je m’enfonce de plus en plus dans les bois, je me dis que je vais suivre toujours la même direction je finirais bien par tomber sur quelque chose. Je pense à mon tel dans mon sac, je le sors et ô misères pas une barre de réseau, rien. Aller, je ne me décourage pas et je continue à m’enfoncer un peu plus dans ces bois.
Ça fait combien de temps que je marche je ne sais pas, mais j’entends au loin des aboiements, je pense :
« Ils ont du s’apercevoir de ma fuite, et ils ont lâché les chiens sur moi, je ne vais jamais m’en sortir. Ne perdons pas espoir, ils sont loin j’ai donc une bonne longueur d’avance. »
Les bois deviennent moins dense et j’entends au loin un bruit d’eau, je cours vers ce bruit et je me retrouve au pied d’une petite rivière. C’est ma veine, je vais traverser comme ça les chiens perdront ma trace. Je traverse donc la rivière, j’ai de l’eau jusqu’aux genoux, elle est froide mais ça fait du bien, il fait si chaud. Une fois de l’autre côté j’en profite pour boire quelques gorgées et me rafraichir. Bon faut que je reprenne la marche, mais je vais suivre de loin la rivière elle va bien me mener quelque part. J’entends de plus en plus distinctement les aboiements, ils se rapprochent, il faut que je me dépêche.
Au bout de cinq minutes, j’entends les chiens aboyer, ils sont prêts, surement à l’endroit où j’ai traversé. J’aperçois au loin une maison, qu’est ce que je fais, je vais voir ou pas. Aller, j’y vais, je trouverais peut être un téléphone. Je m’approche discrètement de la maison et n’y vois personne. Je fais le tour et par une fenêtre de derrière je regarde à l’intérieur.

« Ah vous devez être la nouvelle. » fait une vois derrière moi.
Surprise, je me retourne et lui dit
« Ah ! Vous m’avez fait peur, qu’entendez-vous par là ? »
Un sourire aux lèvres en guise de réponse. Je n’y prête pas attention et lui explique que je voulais aller à la ville et que j’ai pensé passer par les bois pour me raccourcir et qu’en fait je me suis perdue. Donc je cherche un téléphone et à retrouver le chemin de la ville. Il me répond qu’il est désolé mais qu’il n’a pas de téléphone, mais veut bien m’indiquer comment rejoindre la grande route et ainsi récupérer la navette.
« Vous rejoignez la rivière, vous remonter son lit sur 5 km et vous arriverez à un pont, vous traverser, suivez le chemin, vous atteindrez la grande route, et vous prenez à droite, il y aura un arrêt de la navette un peu plus bas. »
Je le remercie, et repart en direction de la rivière, mais que faire, rebrousser chemin et suivre ses indications, sont elles vrais déjà, ou continuer en descendant la rivière.

Je m’aperçois alors que je n’entends plus les aboiements, plus de chiens, auraient-ils abandonné, ce qui m’encourage à remonter la rivière. Je remonte donc la rivière. Une envie de faire pipi se fait sentir, je passe donc entre un arbre et un buisson et je m’accroupi pour me soulager. Je me relève, sort de derrière le buisson et me retrouve nez à nez avec un cheval dont la monture n’est autre que l’homme du couple. Il me dit :
« Tu croyais donc nous échapper, ah ah ah, ce n’est pas demain la veille, maintenant tu vas rentrer gentiment avec moi. »
Je me retourne alors pour m’enfuir à nouveau quand j’aperçois l’homme de tout à l’heure se rapprocher de moi avec une corde.
« Et non tu ne peux plus fuir, vilaine garce, tu as intérêt à te laisser faire et obéir sinon je lâche les chiens sur toi »
Je veux me débattre mais l’homme avec la corde se rapproche, je me résigne donc à me laisser attacher, je ne tiens pas à servir de pâture aux chiens. L’homme à la corde, attrape mon petit sac à dos et le tend à l’homme à cheval, puis me prend les deux poignets et les attache avec la corde et l’homme à cheval lui donne la laisse, qu’il m’attache à mon collier et l’autre bout à la corde. Il tend l’autre bout de la corde à l’homme à cheval qui me dit :
« Voilà prête à rentrer à la maison, en avant, tu vas marcher derrière moi et tache de ne pas trainer ou sinon je te fais courir. »
Et vers l’autre homme
« A demain Michel. »
Tout à coup ma phrase « ah vous devez être la nouvelle » prend sens dans ma tête, il était donc au courant et je lui avais fait confiance.

Donc nous voilà parti, moi enchainée et marchant à côté du cheval. L’homme me dit que j’ai été une vilaine chienne et que je mérite une punition, et qu’il réfléchit à la punition, tout en me tapotant le dos avec sa cravache. Nous marchons bien une demi-heure, tous les deux silencieux. Je suis en train de penser, mais comment vais-je m’en sortir, que vont-ils, lui et sa femme, faire de moi. Nous arrivons dans une petite clairière où l’homme s’arrête et descend du cheval. Il me tire vers lui et me dit :
« J’ai réfléchi à ta punition et tu vas la recevoir maintenant. »
Il me tire à nouveau vers un tronc d’arbre coupé et m’ordonne de me pencher par-dessus. Sur le coté du tronc il y a deux anneaux et il y accroche la corde. Je suis donc les deux mains sur le tronc, la laisse toujours accrocher de mon cou à mes mains et celles-ci enchainées au tronc. Les jambes tendues, la croupe et les fesses à bonne disposition pour recevoir la punition.
« Tu vas recevoir dix coups de cravaches sur chaque fesse, que tu devra compter. C’est parti »

Il me soulève la robe, commence à me caresser les fesses. J’attends le premier coup, en espérant qu’il ne frappe pas trop fort. Et « clac », le premier coup tombe sans réelle douleur sur la fesse droite, il me dit qu’il n’entend rien. Je lâche alors un petit « un » à peine audible et il me reprend :
« Plus fort chienne ! »
Alors je crie presque : « UN »
« Eh ben voilà, on continue » Et les coups pleuvent en alternant chaque fesse, et moi :
« DEUX… TROIS… QUATRE… CINQ… »
Je sens les coups, ils ne font pas vraiment mal au début mais il frappe de plus en plus fort.
« SIX... SEPT… HUIT… NEUF… DIX… »
Et là il s’arrête et me caresse les fesses, tout en commentant qu’elles sont bien rouges et bien chaudes. Il fait glisser un doigt vers le petit trou et descend vers ma chatte et s’exclame :
« Mais elle aime ça cette chienne, c’est qu’elle mouille en plus »
Pendant ce temps, je ne l’écoute pas, je suis à moitié consciente, mes pensées qui me travaillent, d’un côté je me demande ce que je fais ici, qu’il n’a pas le droit de me traiter comme cela, que je devrais crier, me débattre, m’enfuir et de l’autre côté, j’en veux encore, plus fort, il s’est bien s’y prendre, il y va crescendo et j’aime ça, j’en reveux.
Tout à coup, un claquement se fait sentir de nouveau sur ma fesse droite, ça y est il recommence se qui me sort de ma torpeur et je l’entends dire :
« Alors ce décompte il arrive »
Et je me remets à compter
« ONZE… DOUZE… TREIZE… QUATORZE… QUINZE… »
Et dans ma tête tout se mélange, je n’arrive de moins en moins à prononcer les nombres, j’ai une boule dans le ventre, j’ai des frissons partout, je sens que je vais me mettre à pleurer, mais je me retiens, je ne veux pas lui montrer ce qu’il m’arrive.
« Seize… dix-sept… »
Une première larme commence à couler sur ma joue.
« Dix huit… dix neuf… »
Et je lâche le « Vingt » avec un premier sanglot.
L’homme a arrêté de me cravacher et glisse à nouveau son doigt dans ma chatte que je sens bien trempée. Il me caresse le clito puis insère son doigt sans prévenir dans mon orifice trempé et commence un va-et-vient. Je sanglote un peu plus fort. Il s’arrête, retire son doigt, vient devant moi et s’agenouille. Il me caresse le visage, essuyant mes larmes et me demande d’une voix douce, ce qu’il se passe, je le regarde, étonnée qu’il vienne me voir et n’ose dire un mot.
« Tu devais être punie pour t’être enfui » dit-il doucement mais fermement.
J’hoche la tète comme pour acquiescer et il me la relève avec sa main et me dit encore doucement :
« Mais ce n’est pas pour cela que tu pleures, n’est ce pas. »
Je baisse les yeux.
« Je devine pourquoi, c’est cette fessée qui te trouble n’est ce pas, tu aimes cela. »
Et je laisse les mots sortir de ma bouche, j’accepte de me rendre et je lui réponds presque inaudible :
« oui j’aime ça. »
Il me prend alors dans ces bras pour me consoler. Je suis étonnée de sa gentillesse et me laisse aller à pleurer.

Nous restons ainsi quelques minutes, le temps que j’arrête de pleurer, il essuie mes larmes. Puis me dit de nouveau d’un ton sec :
« Ah mais ce n’est pas fini, tu ne vas pas laisser ton maitre comme cela »
Il se relève et plaque ma tète contre son pantalon, au niveau de son entre jambe, je sens son membre tout dur sous le tissu. De sa main, il remue ma tête pour que je me frotte sur son membre. Puis stoppe, me détache les mains du tronc et de la corde, m’enlève ma robe. Je me laisse faire, j’ai capitulé, et quelque part, je suis excitée. Il me rattache les mains dans le dos. Je suis donc à genou sur le tronc les mains dans le dos. Il déboutonne sa braguette, sort son sexe et m’ordonne de le lécher, ce que je fais sans attendre. Après quelques coups de langue, il me demande d’ouvrir la bouche et de sucer, alors j’ouvre la bouche et il insère son sexe dedans et commence un mouvement de va-et-vient tout en retenant ma tête. Il se retire brusquement et jouit sur mes seins.
Quelques instants silencieux le temps qu’il reprenne ses esprits, il me caresse la tête et me dit que j’ai été une bonne chienne. Mais que ce n’est pas fini il a une autre envie à soulagée. Il me dit de bien présenter mes seins et tient son sexe dans leur direction, je devine ce qu’il va faire, ce qui bizarrement m’excite encore plus. Il commence à uriner et je sens ce liquide chaud couler sur ma poitrine et descendre sur mon ventre. Je suis dans un état second.
Tout à coup :
« C’est l’heure de rentrer chienne » me ramène à la réalité, il m’aide à me relever, me rattache les mains devant moi et tire sur la corde en disant :
« Tu vas rentrer ainsi, nue, avec les marques de ton maitre. » Puis « Le cheval a du rentrer tout seul, nous allons donc marcher, nous ne sommes pas très loin. »
Et nous voilà parti.
Dernière modification par E7hyM9 le 30 décembre 2011, 23:37, modifié 1 fois.
E7hyM9

Re: Des vacances pas comme les autres.

Message par E7hyM9 »

Chapitre 3

Durant le trajet, mon excitation redescend et la raison reprend le dessus. Je me mets à penser que je ne devrais pas rester ici, que je devrais trouver un autre moyen de fuir, rejoindre la grande route plutôt que de fuir par les bois. Même si quelque part au fond de moi, j’ai apprécié ce moment.
Je suis sorti de mes pensées, par ces paroles :
« Tu vas voir, je vais faire de toi une chienne obéissante et tu ne pourras plus t’en passer, j’ai vu comment tu étais mouillé tout à l’heure et je sais que tu en redemandes. » Je ne dis mots.
Au bout d’une quinzaine de minutes, nous arrivons enfin. Le cheval est bien là en train de brouter près de l’écurie, elle n’était donc pas vide comme je l’avais cru.
« Voilà nous sommes arrivé, tu vas aller te laver pendant que je rentre le cheval, mais attention je t’ai à l’œil, la punition sera terrible si tu tente une autre fuite, pire que celle que tu viens de recevoir et je ne suis pas sure que tu vas l’aimer celle là. »
Il me tire vers l’intérieur de la maison, puis dans la salle de bain.
« Vas-y lave toi, tu as cinq minutes. »
Il me détache les mains de la corde, enlève la laisse, le collier et me claque les fesses pour m’inciter à rentrer dans la baignoire. Puis il s’en va laissant la porte de la salle de bain ouverte. Je prends quelques instant, cherchant toujours un moyen de fuir, je regarde la fenêtre de la salle de bain mais elle est bloquée, je l’entends au loin :
« Dépêche toi je n’entends pas l’eau couler. »
Je prends alors le pommeau de douche et commence à faire couler l’eau, j’arrête de penser à ma fuite et me remémore l’instant passé dans les bois avec lui, ce sentiment d’envie et d’excitation reviens, je pose ma main sur ma chatte et je la sens encore humide, j’ai bien envie de me caresser, mais je repense à ce qu’il m’a dit et il vaut mieux que je me lave en vitesse, ce que je fais. Il revient au moment où je sors de la baignoire pour m’essuyer.
« Tu traines chienne, un peu plus et tu recevais une autre punition pour ta lenteur. » m’indique t-il un sourire aux lèvres.
Une fois séchée, il me remet le collier et la laisse et m’annonce que je resterais vêtu ainsi tout le restant de la journée. Ensuite il m’explique que Madame a pris mes affaires et mon billet pour aller passer une semaine de remise en forme, donc que nous serions que tous les deux pour parfaire mon dressage. Je n’ai donc plus rien de personnel, ce qui limite mon envie de fuir.

Il me tire vers le salon, m’ordonne de m’assoir aux pieds du fauteuil, va se chercher un verre et s’assoit sur le fauteuil, le verre dans une main, la laisse dans l’autre. Il boit une gorgée puis me tend son verre :
« Mets toi à genou, tu vas me tenir mon verre. »
Je me mets donc à genou, son verre dans une main, il prend une cigarette posée à côté et me tend le cendrier que je prends dans l’autre main. Le temps qu’il fume sa cigarette, il prend son verre pour boire quelques gorgées puis me le redonne. Une fois la cigarette écrasée dans le cendrier, il me le reprend ainsi que le verre et les pose à côté puis il tire sur la laisse pour que ma tète vienne se poser sur sa cuisse. D’une main il me caresse la tête, et d’un air souriant il me dit :
« Voilà, je vois que tu peux être obéissante c’est un bon début, pour le moment tu es soumise, mais j’ai un autre programme pour toi, je vais faire de toi une chienne, comme un animal, tu devras oublier ce que tu es car tu vas devenir mon animal de compagnie, ma chienne et tu seras dressée comme telle, tu devras adopter le comportement de l’animal. Comme marcher à quatre pattes, ou utiliser une gamelle, et pleins d’autre choses. »
A ces mots, quelque chose se passe en moi, mais pourquoi ce qu’il me dit me trouble autant, je suis là à ses pieds et je suis bien. Je suis contente d’être là et j’ai envie de découvrir ce qu’il me propose.

Il se lève et se dirige vers la cuisine, puis revient avec une assiette remplie, la pose sur la table, et viens me chercher, il tire sur la laisse :
« Allez viens c’est l’heure de manger. »
Je fais mine de me lever, et il me dit de venir à quatre pattes, pour s’installer à ses pieds le temps qu’il mange. Je le suis donc à quatre pattes, il s’assoie et me colle la tète sur sa cuisse.
« Tu vas rester ainsi le temps que je mange. Tu pourras manger après moi. »
Pendant ce temps là, mon esprit vagabonde de nouveau, une bataille se produit dans ma tête : la raison qui me pousse à vouloir fuir et l’envie d’en découvrir plus qui me pousse à rester, et la balance penche de plus en plus vers la découverte. Il a finit son assiette, se lève, va dans la cuisine et y ressort avec une seconde assiette remplie. Il me la dépose par terre près de la chaise, puis retourne dans la cuisine et ramène un verre d’eau qu’il dépose sur la table et un fruit pour lui. Il s’assoit et me tend une fourchette :
« Tu vas manger à mes pieds et je t’autorise à manger avec une fourchette, si tu as soif, tu n’auras qu’à me le demander comme il se doit. »
Et il me laisse avec mon assiette et ma fourchette, pendant qu’il commence à manger son fruit, je suis donc à genou l’assiette dans une main et la fourchette dans l’autre et je commence à manger car j’ai faim. Ce n’est pas un plat extraordinaire, juste des morceaux de poulet et des pâtes. Au bout d’un moment je commence à avoir soif et je repense à ce qu’il m’a dit. Mais je n’ose pas le demander et je continue à manger. Quelques instants plus tard, je prends mon courage à deux mains et je dis d’une petite voix :
« Pourrais-je avoir de l’eau s’il vous plait. »
« Ah je crois que tu as oublié quelque chose » me rétorque t-il. « Recommence »
« Pourrais-je avoir de l’eau s’il vous plait, Monsieur. »
« C’est mieux, mais à partir de maintenant tu m’appelleras Maitre »
Et il me tend mon verre d’eau. Je le prends, commence à boire et finis par avaler tout le verre d’un trait. Une fois finis je vais pour lui rendre le verre, mais il me regarde d’un air sec sans me dire un mot, comme ci j’avais oublié quelque chose. Je baisse les yeux et lui tends le verre en lui disant
« Merci, Maitre. »
« C’est bon pour cette fois, mais tâche de ne pas oublier la prochaine fois »
Et il continue à manger son fruit, pendant que je termine mon assiette.

Quand nous avons fini tous les deux, il récupère mon assiette et va la déposer dans la cuisine. Il réapparait quelques minutes plus tard avec une gamelle remplie d’eau et la dépose non loin du fauteuil où il va s’assoir. Il me fait signe de le rejoindre.
« A partir de maintenant tu vas te déplacer à quatre pattes, seul moi pourra t’autoriser à te mettre debout quand je le déciderais, compris ? » me lance t’il d’un ton interrogateur.
« Oui, Maitre. ». Et me voilà à quatre pattes, tel un animal, le rejoignant vers son fauteuil.
« Un petit dessert pour ma chienne » et il me montre son entre jambe et m’incite à placer ma tète à hauteur de la braguette. Il se déboutonne et sors son sexe :
« Vas-y joue avec, montre moi comment tu es une bonne chienne et fais plaisir à ton Maitre. En guise de dessert, tu recevras ma semence et devras l’avaler. »
Je prends donc son sexe dans ma bouche, je le lèche, je le suce, le laisse échapper, joue avec ma langue sur son gland, essaie de le remettre en bouche et voudrait m’aider de ma main, il me laisse faire, mais me signale que je vais devoir apprendre à ne plus utiliser les mains pour devenir un bon animal. Je prends donc son membre dans ma main et je commence à le branler tout en le suçant. Je le sens durcir de plus en plus, son gland grossi dans ma bouche, il perle et je le sens qu’il va venir. Il prend ma tête à deux mains et guide le mouvement. Et je sens un liquide chaud se rependre dans ma bouche. J’avale tout et je nettoie son sexe avec ma langue, je ne veux en perdre aucune goute.
Il est satisfait et il ajoute :
« Hum, très bonne chienne, tu me plais beaucoup, je vais avoir plaisir à t’éduquer ».
Et je pose ma tête sur sa cuisse me laissant caresser la tête et le cou.
Dernière modification par E7hyM9 le 30 décembre 2011, 23:37, modifié 1 fois.
DeLsEp9

Re: Des vacances pas comme les autres.

Message par DeLsEp9 »

Ke viens de découvrir par zazard

Voyons voir

Une petite
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lubrique qui se lance !!!!!!
La couleur n'incite pas à la lecture, trop violente

a voir la suite :cingle:
Eclipses

Re: Des vacances pas comme les autres.

Message par Eclipses »

dommage que nous n'ayons pas la suite.
DeLsEp9

Re: Des vacances pas comme les autres.

Message par DeLsEp9 »

Eclipses a écrit :dommage que nous n'ayons pas la suite.

Pourvue que ce ne soit pas un feu de paille. :ahum:
E7hyM9

Re: Des vacances pas comme les autres.

Message par E7hyM9 »

Chapitre 4

Nous restons ainsi quelques instants puis il m’autorise à aller boire dans la gamelle, ce que je fais sans tarder.
« Bon cet après midi ton dressage commence. Attend moi là. »
Il sort du salon, je l’entends au loin ouvrir une porte et quelques minutes plus tard il réapparait. Il accroche la laisse à mon collier et me fait mine de le suivre. Il commence à marcher et me tire un peu sur la laisse. Je le suis donc à quatre pattes, telle une chienne. Il m’emmène dans une pièce au fond du couloir près de la salle de bain, dans laquelle se trouve une table, une chaise haute et un meuble où il semble qu’il y ai des accessoires posés dessus, mais que je distingue à peine. Que va-t-il bien pouvoir me faire, je commence un peu à paniquer. Il s’arrête et sans me regarder me demande de monter sur la table, il y a une rampe, pour que je puisse monter tout en restant à quatre pattes. Pendant que je m’exécute il me dit :
« Première étape, examen et habillage de la chienne. »
Je me retrouve à quatre pattes sur la table et j’aperçois du coin de l’œil les différents accessoires qui m’ont fait si peur, il y a des gants, baillons, plugs et d’autres choses que je ne peux voir d’où je suis. Pendant ce temps il m’attache les poignets et les chevilles au quatre coins de la table. Puis il commence par me caresser le cou, le dos et descend sur ma croupe et mes fesses qu’il claque légèrement.
Il prend un accessoire sur le meuble et s’approche de ma tête, c’est une brosse et il commence à me coiffer.
« Tu vas avoir de jolies petites couettes, chienne »
Une fois la coiffure terminée, il pose la brosse sur le meuble et revient avec un autre accessoire, c’est un appareil photo et il prend quelques clichés de son travail qu’il admire.
Ensuite, il pose son appareil et de ses deux mains attrape mes seins, qu’il appelle mamelles. Il les caresse, les palpe, les malmène, puis titille les tétons pour les faire durcir. Puis je sens un léger pincement, il y accroche deux petites pinces, sur lesquelles pendent deux petites clochettes. Il reprend son appareil photo et refait quelques clichés.

Il le repose à nouveau. Je l’entends enfiler des gants, il me caresse les fesses et tout à coup je sens un doigt s’introduire dans mon petit trou. Et il commence un va-et-vient. J’en frisonne et je sens monter en moi l’excitation. Et un petit gémissement sort de mes lèvres sans que je le veuille.
« Mais c’est qu’elle aime ça cette chienne. Mais ce n’est pas le but. »
Il s’arrête et quelques instants plus tard, y introduit un objet froid, J’essaie de voir ce que c’est et il m’indique que c’est une queue de chienne. Il récupère de nouveau son appareil photo et fais encore des clichés. Tout en énumérant à voix haute :
« Les couettes, c’est fait, les mamelles, aussi, la queue, également, reste les papattes et les baillons. »
Il se dirige devant moi et me détache les poignets et m’ordonnant de lever la patte. Et m’enfile une sorte de moufle en forme de patte de chien, il fait de même avec l’autre main. Puis il se dirige vers l’arrière et détache mes chevilles. Il m’ordonne de tendre la patte et m’enfile une longue chaussette rembourrée au niveau du genou et du dessus du pied et fait de même avec l’autre jambe. Il m’indique pourquoi il le fait :
« Nous irons nous promener dehors tout à l’heure et c’est pour ne pas t’abimer les pattes. »
Et il ajoute :
« Voilà c’est parfait une magnifique chienne prête à être éduquer. Ah non, j’ai oublié les baillons… Je vais les prendre avec moi et si tu n’obéis pas bien je te bâillonnerais. Compris ?! » Me lance-t-il d’un ton sec.
Je vais pour acquiescer.
« Chienne, tu as encore droit à la parole pour le moment »
« Oui, Maitre. » répondis-je.
Puis, il attrape la laisse et me demande de descendre. Et direction le salon. Il attache la laisse à un pieds de la table basse.
« Ne bouge pas, je reviens »
Et il va chercher, les différents baillons et son appareil photo. Il me détache la laisse et me fait prendre différentes positions qu’il prend en photo.
Cette situation m’amuse et m’excite et je me plie volontiers à ces exigences.
DeLsEp9

Re: Des vacances pas comme les autres.

Message par DeLsEp9 »

:hippa: :hippa: :hippa:

tu as retrouvé le chemin de l'inspiration.

excellent
Loverain

Re: Des vacances pas comme les autres.

Message par Loverain »

Hum... Très intéressant.
J'aime beaucoup l'histoire.
E7hyM9

Re: Des vacances pas comme les autres.

Message par E7hyM9 »

La couleur est mieux là ?
Oui retrouver un peu d'inspiration,
merci Loverain.

Chapitre 5

La séance terminée, il s'assoie à son bureau et allume son ordinateur.
« Bravo chienne, je vais regarder ces photos, pendant ce temps tu as quartier libre, tu peux te ballader partout dans la maison »
...
E7hyM4

Re: Des vacances pas comme les autres.

Message par E7hyM4 »

ça te ressemble beaucoup ce récit te connaissant ;)

j'attends la suite , ça me plaît
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