Vacances en Corse
Re: Vacances en Corse
Propos de Sabine ma femme
Propos de Magalie ma belle sœur
Propos de Jacques
Mes pensées
Propos de Mario
Propos de Charlotte
Propos de Lucie fille de Charlotte
Propos de Louise petite fille de Charlotte
24)
Et moi tu le sais c’est pareille. Notre relation de sœur, nous aide, je trouve que nous sommes encore plus proches qu’avant.
Quant à Jacques, je me doute qu’il a encore beaucoup de choses à m’apprendre, j’attends avec impatience, tout comme toi à l’époque, tu ne pensais qu’à cela.
Je te revoie encore quand tu rentrais les weekends, chaque fois j’avais du mal à te reconnaitre, tant tu changeais, tant tu devenais chaque fois un peut plus femme fatale.
Maintenant tu vas faire, vous allez faire avec moi, ce que Jacques a fait à l’époque avec toi.
Les deux puces me regardent avec un regard gourmand.
Mais quel bonheur j’ai eut de rencontrer Sabine par hasard. Je ne bénirais jamais assez ce pneu crevé.
-/-
Un jeune serveur, s’approche en apportant le biberon. Le regard de Magalie passe du biberon à Sabine. Sabine approuve, Magalie tend la main, le serveur lui donne le biberon, elle vérifie que le lait n’est pas trop chaud, en faisant couler un peut de lait, sur l’intérieur de son poignet.
Elle s’essuie, met une serviette, pour se protéger. Sabine se lève, lui dépose dans les bras, le petit qui dort à moitié. Sentant la tétine du biberon contre ses petites lèvres, il se jette dessus et commence à téter.
Sabine s’approche de moi, m’embrasse, souri en regardant sa sœur qui donne le biberon au petit. Elle me regarde, avec un regard étrange, comme si elle était déjà loin, très loin, beaucoup trop loin à mon gout.
Non, pas maintenant, tu vas trop vite, elle est jeune. Je me doute bien, où tu voudrais en venir. Pas encore, s’il te plait.
J’embrasse mon épouse tendrement, lui mordille l’oreille.
Elle est trop jeune, ma chérie. Laisse la un peut vivre, quand elle le voudra, si elle le veut, on en parlera tous les trois je te le promets.
Elle s’écarte de moi, Magalie nous regarde, ses yeux m’interrogent, nous interrogent, elle voudrait comprendre, je cligne des yeux comme pour lui dire, je t’expliquerais plus tard.
Sabine me regarde, regarde sa petite sœur. Sabine me serre contre elle. Elle s’approche de mon oreille, comme pour me mordiller le lobe de l’oreille.
Je t’aime mon homme, tu comprends tout ce que je ressens, sans que je n’aie besoin de le dire.
Je sais qu’il est trop tôt, mais je sais qu’elle voudra un enfant de toi, elle t’aime comme moi au premier jour.
Il est trop tôt, elle ne le sait pas encore, mais je te dis oui, je ne m’y opposerais pas. Je vous aime tant tous les deux.
Là elle me prouve encore plus qu’elle accepte tout ce qui se passe, ce n’est pas une femme, oh non ce n’est pas ma femme, c’est un ange, un ange de bonheur, une telle abnégation est rare chez une femme.
Un amour de cette force, de cette puissance, jamais je ne pensais que cela puisse exister.
Magalie fait faire son rot au petit, le retourne délicatement, il est en train de s’endormir, elle se lève et le dépose délicatement dans le couffin, et se rassoie.
Sabine s’écarte de moi les yeux humides, s’approche de sa petite sœur, l’embrasse tendrement, et retourne s’asseoir. Magalie lui prend la main en même temps que moi, sans que nous le voulions nous avons tous les deux fait la même chose au même moment.
Je voie Sabine fermer les yeux, elle a l’air si heureuse, elles nous rend tous, tous les trois si heureux.
Bon mes chéries, ont choisi, le serveur va revenir avec l’apéritif d’ici peut.
On prend du poisson, comme cela, on continuera avec l’apéritif, pas de mélange, ce n’est pas bon pour la santé.
Sabine me regarde l’air de me dire, je me souviens de la dernière fois, cela m’a suffit. Pas envie de me faire engueuler une autre fois.
Comme on voudrait se baigner, il vaut mieux avoir toute sa tête.
J’ai surtout l’impression que tu veux être en forme pour après ma chérie, vue la manière dont tu me manges des yeux. D’ailleurs Magalie n’est pas en reste, elle ne me mange pas des yeux, elle me dévore.
Ca promet pour après. Ce qui n’est pas pour me déplaire.
Moi tu sais, le poisson, je n’aime pas trop. Rien que de penser aux arrêtes, je bloque.
Ne t’en fait pas, Jacques ou moi on te dépiautera le poisson, et il ne devrait pas y en avoir. Ou très peut. Si tu n’aimes pas, tu commanderas autre chose.
Je regarde les poissons sur la carte, il y a des dorades, des chapons (autre nom en Corse, du bar). Un Chapon grillé au feu de bois au fenouil c’est un délice, et il n’y a que de grosses arrêtes, sa devrait aller, pour la petite puce.
Un chapon, grillé au fenouil ça vous dit ? Magalie, ne t’inquiète pas il y a que de grosses arrêtes, on te les enlèvera, on va t’apprendre à découper un poisson.
Sabine et Magalie me font signe que oui. Je voie deux serveurs qui arrivent, l’un avec le seau à glace sur pied, une bouteille de champagne, et trois flutes. L’autre avec des assiettes, dont je pense qu’il pourrait s’agir d’amuse bouche.
J’en étais certain, connaissant ma chérie, connaissant ma Sabine, toute occasion qui sort un tant soit peu de l’ordinaire, il lui faut fêter au Champagne. Il pose prés de moi, le seau à glace sur pied, les flutes devant chaque convive.
Se tourne vers le serveur qui l’accompagne, dépose les assiettes devant chaque convive.
« Ce sont des amuses bouches faites à base de produits locaux Corse, des figatelles grillés au feu de bois, des beignets de fleurs de courgettes au lait de brebis, de la Copa, du saucisson d’âne.
Il revient vers moi, pour ouvrir la bouteille. Je l’arrête.
Laissez, je m’en occupe. Pour le repas trois Chapons grillés au fenouil. Pour le dessert on verra, à la fin du repas.
Le serveur s’éloigne, je prends la bouteille, l’ouvre délicatement, en faisant tourner la bouteille autour du bouchon, et sers mes deux chéries puis moi-même. Je repose la bouteille dans le seau. Les deux puces me devancent.
A la santé de l’homme, que nous aimons.
Nous trinquons, elles se lèvent l’une après l’autre et viennent m’embrasser tendrement, sensuellement. Elles retournent s’asseoir. Je voie Sabine et Magalie qui éclate de rire au moment de boire. Elles regardent derrière moi.
Je me retourne, le voisin de la table derrière nous se frotte la joue. Quand il enlève sa main, la marque bien rouge d’une main apparait sur sa joue. Je voie une femme quitter la salle, d’une démarche rageuse. Je regarde mes chéries.
Il n’arrêtait pas de nous regarder, de loucher sur nos poitrines, la femme qui était avec lui à table, a commencé à bouillir, il ne la regardait plus, il ne faisait que regarder sur sa gauche, que nous regarder.
Quand je me suis levé, pour t’embrasser, il était en train de boire du vin rouge, Sabine s’est levé et t’a embrassé, il s’est étranglé avec le vin, et il a tout recraché.
Tu devines la suite. La femme qui dinait avec lui a tout pris sur sa robe. Il s’est pris une gifle, je te dis que ça. C’est pour cela que l’on a éclatait de rire.
Je bois à la santé de deux femmes merveilleuses, pour qui je ferais tout ce qu’il faut, pour mériter l’amour qu’elles me donnent.
Les deux puces, me sourient, trinquent avec moi boivent une gorgée, reposent leurs verres.
Je vie un rêve éveillée, et cela grâce à ma sœur, à mon adorable sœur, qui a rencontrer un homme merveilleux.
Bon les éloges sa suffit, les compliments aussi, on a pris une décision, on l’assume, pas la peine de revenir toujours dessus.
Je voie Magalie qui commence à bouder.
Ma petite puce, sa ne sert à rien de bouder, si ce n’est à gâcher cette merveilleuse soirée, et gâcher la soirée des personnes qui t’aiment, que tu aimes.
Elle semble réaliser, se lève, embrasse sa sœur, m’embrasse.
Chaque fois, je m’en veux d’avoir des réactions de gamines, alors, que vous me considérez comme une adulte, comme une femme à part entière. Surtout toi Jacques.
Ne t’inquiètes pas, tu verras ta sœur qui est une adulte, et une femme à part entière, je le confirme. Il lui arrive aussi de bouder. Mais disons que plus c’est court, mieux c’est.
D’ailleurs ma chérie, ne le prend pas mal, mais je ne voudrais pas que tu exagères avec le champagne, tu n’as pas encore l’habitude de l’alcool, et une femme éméchée, n’a rien d’intéressant à offrir.
Elle me regarde, regarde sa sœur, et acquiesce d’un mouvement de tête. Je voie le serveur, qui arrive, avec un chariot, il regarde droit devant lui. Je voie le directeur de l’hôtel, qui le suit des yeux. Le serveur, s’approche, et stoïquement pose chaque assiette devant chaque convive. Il se tourne vers moi. « Pour la boisson vous avez choisi ? »
Nous resterons au champagne. Merci.
Propos de Magalie ma belle sœur
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Mes pensées
Propos de Mario
Propos de Charlotte
Propos de Lucie fille de Charlotte
Propos de Louise petite fille de Charlotte
24)
Et moi tu le sais c’est pareille. Notre relation de sœur, nous aide, je trouve que nous sommes encore plus proches qu’avant.
Quant à Jacques, je me doute qu’il a encore beaucoup de choses à m’apprendre, j’attends avec impatience, tout comme toi à l’époque, tu ne pensais qu’à cela.
Je te revoie encore quand tu rentrais les weekends, chaque fois j’avais du mal à te reconnaitre, tant tu changeais, tant tu devenais chaque fois un peut plus femme fatale.
Maintenant tu vas faire, vous allez faire avec moi, ce que Jacques a fait à l’époque avec toi.
Les deux puces me regardent avec un regard gourmand.
Mais quel bonheur j’ai eut de rencontrer Sabine par hasard. Je ne bénirais jamais assez ce pneu crevé.
-/-
Un jeune serveur, s’approche en apportant le biberon. Le regard de Magalie passe du biberon à Sabine. Sabine approuve, Magalie tend la main, le serveur lui donne le biberon, elle vérifie que le lait n’est pas trop chaud, en faisant couler un peut de lait, sur l’intérieur de son poignet.
Elle s’essuie, met une serviette, pour se protéger. Sabine se lève, lui dépose dans les bras, le petit qui dort à moitié. Sentant la tétine du biberon contre ses petites lèvres, il se jette dessus et commence à téter.
Sabine s’approche de moi, m’embrasse, souri en regardant sa sœur qui donne le biberon au petit. Elle me regarde, avec un regard étrange, comme si elle était déjà loin, très loin, beaucoup trop loin à mon gout.
Non, pas maintenant, tu vas trop vite, elle est jeune. Je me doute bien, où tu voudrais en venir. Pas encore, s’il te plait.
J’embrasse mon épouse tendrement, lui mordille l’oreille.
Elle est trop jeune, ma chérie. Laisse la un peut vivre, quand elle le voudra, si elle le veut, on en parlera tous les trois je te le promets.
Elle s’écarte de moi, Magalie nous regarde, ses yeux m’interrogent, nous interrogent, elle voudrait comprendre, je cligne des yeux comme pour lui dire, je t’expliquerais plus tard.
Sabine me regarde, regarde sa petite sœur. Sabine me serre contre elle. Elle s’approche de mon oreille, comme pour me mordiller le lobe de l’oreille.
Je t’aime mon homme, tu comprends tout ce que je ressens, sans que je n’aie besoin de le dire.
Je sais qu’il est trop tôt, mais je sais qu’elle voudra un enfant de toi, elle t’aime comme moi au premier jour.
Il est trop tôt, elle ne le sait pas encore, mais je te dis oui, je ne m’y opposerais pas. Je vous aime tant tous les deux.
Là elle me prouve encore plus qu’elle accepte tout ce qui se passe, ce n’est pas une femme, oh non ce n’est pas ma femme, c’est un ange, un ange de bonheur, une telle abnégation est rare chez une femme.
Un amour de cette force, de cette puissance, jamais je ne pensais que cela puisse exister.
Magalie fait faire son rot au petit, le retourne délicatement, il est en train de s’endormir, elle se lève et le dépose délicatement dans le couffin, et se rassoie.
Sabine s’écarte de moi les yeux humides, s’approche de sa petite sœur, l’embrasse tendrement, et retourne s’asseoir. Magalie lui prend la main en même temps que moi, sans que nous le voulions nous avons tous les deux fait la même chose au même moment.
Je voie Sabine fermer les yeux, elle a l’air si heureuse, elles nous rend tous, tous les trois si heureux.
Bon mes chéries, ont choisi, le serveur va revenir avec l’apéritif d’ici peut.
On prend du poisson, comme cela, on continuera avec l’apéritif, pas de mélange, ce n’est pas bon pour la santé.
Sabine me regarde l’air de me dire, je me souviens de la dernière fois, cela m’a suffit. Pas envie de me faire engueuler une autre fois.
Comme on voudrait se baigner, il vaut mieux avoir toute sa tête.
J’ai surtout l’impression que tu veux être en forme pour après ma chérie, vue la manière dont tu me manges des yeux. D’ailleurs Magalie n’est pas en reste, elle ne me mange pas des yeux, elle me dévore.
Ca promet pour après. Ce qui n’est pas pour me déplaire.
Moi tu sais, le poisson, je n’aime pas trop. Rien que de penser aux arrêtes, je bloque.
Ne t’en fait pas, Jacques ou moi on te dépiautera le poisson, et il ne devrait pas y en avoir. Ou très peut. Si tu n’aimes pas, tu commanderas autre chose.
Je regarde les poissons sur la carte, il y a des dorades, des chapons (autre nom en Corse, du bar). Un Chapon grillé au feu de bois au fenouil c’est un délice, et il n’y a que de grosses arrêtes, sa devrait aller, pour la petite puce.
Un chapon, grillé au fenouil ça vous dit ? Magalie, ne t’inquiète pas il y a que de grosses arrêtes, on te les enlèvera, on va t’apprendre à découper un poisson.
Sabine et Magalie me font signe que oui. Je voie deux serveurs qui arrivent, l’un avec le seau à glace sur pied, une bouteille de champagne, et trois flutes. L’autre avec des assiettes, dont je pense qu’il pourrait s’agir d’amuse bouche.
J’en étais certain, connaissant ma chérie, connaissant ma Sabine, toute occasion qui sort un tant soit peu de l’ordinaire, il lui faut fêter au Champagne. Il pose prés de moi, le seau à glace sur pied, les flutes devant chaque convive.
Se tourne vers le serveur qui l’accompagne, dépose les assiettes devant chaque convive.
« Ce sont des amuses bouches faites à base de produits locaux Corse, des figatelles grillés au feu de bois, des beignets de fleurs de courgettes au lait de brebis, de la Copa, du saucisson d’âne.
Il revient vers moi, pour ouvrir la bouteille. Je l’arrête.
Laissez, je m’en occupe. Pour le repas trois Chapons grillés au fenouil. Pour le dessert on verra, à la fin du repas.
Le serveur s’éloigne, je prends la bouteille, l’ouvre délicatement, en faisant tourner la bouteille autour du bouchon, et sers mes deux chéries puis moi-même. Je repose la bouteille dans le seau. Les deux puces me devancent.
A la santé de l’homme, que nous aimons.
Nous trinquons, elles se lèvent l’une après l’autre et viennent m’embrasser tendrement, sensuellement. Elles retournent s’asseoir. Je voie Sabine et Magalie qui éclate de rire au moment de boire. Elles regardent derrière moi.
Je me retourne, le voisin de la table derrière nous se frotte la joue. Quand il enlève sa main, la marque bien rouge d’une main apparait sur sa joue. Je voie une femme quitter la salle, d’une démarche rageuse. Je regarde mes chéries.
Il n’arrêtait pas de nous regarder, de loucher sur nos poitrines, la femme qui était avec lui à table, a commencé à bouillir, il ne la regardait plus, il ne faisait que regarder sur sa gauche, que nous regarder.
Quand je me suis levé, pour t’embrasser, il était en train de boire du vin rouge, Sabine s’est levé et t’a embrassé, il s’est étranglé avec le vin, et il a tout recraché.
Tu devines la suite. La femme qui dinait avec lui a tout pris sur sa robe. Il s’est pris une gifle, je te dis que ça. C’est pour cela que l’on a éclatait de rire.
Je bois à la santé de deux femmes merveilleuses, pour qui je ferais tout ce qu’il faut, pour mériter l’amour qu’elles me donnent.
Les deux puces, me sourient, trinquent avec moi boivent une gorgée, reposent leurs verres.
Je vie un rêve éveillée, et cela grâce à ma sœur, à mon adorable sœur, qui a rencontrer un homme merveilleux.
Bon les éloges sa suffit, les compliments aussi, on a pris une décision, on l’assume, pas la peine de revenir toujours dessus.
Je voie Magalie qui commence à bouder.
Ma petite puce, sa ne sert à rien de bouder, si ce n’est à gâcher cette merveilleuse soirée, et gâcher la soirée des personnes qui t’aiment, que tu aimes.
Elle semble réaliser, se lève, embrasse sa sœur, m’embrasse.
Chaque fois, je m’en veux d’avoir des réactions de gamines, alors, que vous me considérez comme une adulte, comme une femme à part entière. Surtout toi Jacques.
Ne t’inquiètes pas, tu verras ta sœur qui est une adulte, et une femme à part entière, je le confirme. Il lui arrive aussi de bouder. Mais disons que plus c’est court, mieux c’est.
D’ailleurs ma chérie, ne le prend pas mal, mais je ne voudrais pas que tu exagères avec le champagne, tu n’as pas encore l’habitude de l’alcool, et une femme éméchée, n’a rien d’intéressant à offrir.
Elle me regarde, regarde sa sœur, et acquiesce d’un mouvement de tête. Je voie le serveur, qui arrive, avec un chariot, il regarde droit devant lui. Je voie le directeur de l’hôtel, qui le suit des yeux. Le serveur, s’approche, et stoïquement pose chaque assiette devant chaque convive. Il se tourne vers moi. « Pour la boisson vous avez choisi ? »
Nous resterons au champagne. Merci.
Re: Vacances en Corse
Propos de Sabine ma femme
Propos de Magalie ma belle sœur
Propos de Jacques
Mes pensées
Propos de Mario
Propos de Charlotte
Propos de Lucie fille de Charlotte
Propos de Louise petite fille de Charlotte
25)
Ne t’inquiètes pas, tu verras ta sœur qui est une adulte, et une femme à part entière, je le confirme. Il lui arrive aussi de bouder. Mais disons que plus c’est court, mieux c’est.
D’ailleurs ma chérie, ne le prend pas mal, mais je ne voudrais pas que tu exagères avec le champagne, tu n’as pas encore l’habitude de l’alcool, et une femme éméchée, n’a rien d’intéressant à offrir.
Elle me regarde, regarde sa sœur, et acquiesce d’un mouvement de tête. Je voie le serveur, qui arrive, avec un chariot, il regarde droit devant lui. Je voie le directeur de l’hôtel, qui le suit des yeux. Le serveur, s’approche, et stoïquement pose chaque assiette devant chaque convive. Il se tourne vers moi. « Pour la boisson vous avez choisi ? »
Nous resterons au champagne. Merci.
-/-
Sabine me regarde, elle hume les senteurs du poisson, il est vrai que le fumet qui se dégage est merveilleux. Magalie, regarde son assiette paniquée, ne sachant pas par quel bout commencer. Je commence à découper mon poisson.
Regarde comment Jacques fait. Quand je l’ai connue, j’étais comme toi, il m’a apprit à apprécier le poisson, maintenant je l’adore, chaque fois que j’en ai l’occasion, j’en mange.
Etant en Corse se serait un comble de ne pas en profiter.
Surtout que le cuistot, de ce restaurant est réputé pour ses plats de poissons et ses préparations à base de poissons.
De toute façon, c’est ton assiette que je prépare, on échange après.
Elle me sourit et je la voie pousser un grand ouf de soulagement. Je continue de préparer son poisson, retirant les arrêtes ventrales, et dorsales. Magalie me regarde faire, avec attention.
Ma chérie, dis toi bien, que ce soit ta sœur, ou moi, on ne te mettra jamais dans une situation embarrassante, quelle qu’elle soit, et où que ce soit.
Je déplace les deux filets du haut, enlève l’arrête centrale, la tête vient avec. Je la pose ainsi que les autres arrêtes, dans l’assiette prévue à cet effet.
Je vérifie les deux filets du bas, retire les quelques arêtes qui ne sont restées collé aux chairs des filets, tend l’assiette à Magalie, qui me tend la sienne. Sabine a déjà commencé à s’occuper de son assiette.
Je complète les verres, regarde Magalie, qui a levé la tête. Elle me sourit et comprend vue son hochement de tête, qu’il ne faudra pas exagéré avec l’alcool comme nous en avons parlé auparavant.
Je ne sais pas pourquoi, mais je tends mes mains vers mes chéries, mes amours. Elles me sourient, prennent chacune la main tendu, vers elle. Je voie les mains de Sabine et Magalie qui se verrouille l’une à l’autre sur la table. Nous formons un triangle, un tripode, seul possibilité géométrique de stabilité parfaite.
Je vous aime du plus profond de mon cœur, de mon âme. Moi qui avait tant de mal, à dire ce mot, à exprimais mes sentiments, vous m’avez, pardon vous m’amenez, à tout dire, à ne plus rien garder en moi. Et je trouve cela magnifique. Magnifique comme vous deux mes amours.
Elles me regardent toutes les deux, se regardent, vont pour se lever, je leur fait signe que non de la tête. Nos regards se cherchent, se trouvent. Je me noie dans leurs yeux, qui brillent. Je ressens une plénitude, un bien être merveilleux.
Comme si, au travers de nos mains réunis, passait une courant d’amour entre nous trois. Je me penche et embrasse le dos de leurs mains que j’ai jointes, en me noyant dans le bonheur que leur yeux m’expriment.
Bon appétit mes anges, et merci pour ces moments de bonheur intense.
Je les voie, se lever, s’accroupir prés de moi, me serrer dans leur bras, elle me regarde. Je lis tout l’amour qu’elles ont pour moi dans leurs yeux. Je crois bien, que si nous n’étions pas au restaurant, nous en serions déjà beaucoup plus loin. J’embrasse tendrement, leurs fronts.
Elles se relèvent s’assoient, me regardent toutes les deux. Aucun mot, ne saurait transcrire, ne pourrait traduire ce que leurs yeux m’expriment en ce moment. Ce n’est pas de l’amour, ce n’est pas une adoration, c’est une fusion totale, un amour incommensurable de deux femmes pour un homme, et c’est totalement réciproque.
Je pense que mes yeux doivent exprimer la même chose, du moins je l’espère de tout mon cœur. J’en tremble, un frisson me parcourt, de la tête au pied. Est-ce la joie, du bonheur, de la peur. Certainement un peut tout cela, à la fois.
Mes puces, je m’excuse de rompre ce moment sublime, mais les assiettes refroidissent, et cela serait vraiment dommage.
Je les vois sourire et commencer à manger. Je regarde Magalie qui picore son poisson. Elle hésite chaque fois avant de porter la fourchette à sa bouche. Elle remarque que je la regarde, rougis et se décide de manger normalement.
Ayant fini de dépiauter mon poisson, je commence à manger, c'est excellent, toutes les saveurs apparaissent. Le fenouil, le thym, les différentes herbes, le gout du poisson est rehaussé par toutes ses saveurs.
Sabine ne s'en laisse pas compter et déguste chaque bouchée. Je regarde l'assiette de Magalie, elle a l'air de manger avec appétit, vue ce qui reste dans son assiette.
Alors Magalie, comment trouves tu le poisson ? Tu as l’air d’aimer.
J’avais une certaine appréhension, au début, et je dois reconnaitre que je n’ai eut qu’une seule grosse arrête, au début. C’est excellent.
Est ce que tu crois que l’on en mangerait si ce n’était pas bon. Tu peux ne pas aimer, mais tu ne peux pas dire que ce n’est pas bon.
Nous arrivons à la fin des assiettes, nous avons étaient sérieux avec le champagne. Il reste l’équivalent de deux flutes dans la bouteille.
Quelqu’un veut un dessert ? Moi je n’en peux plus.
Juste un café, pour moi je pense que vous en prendrez aussi un, sinon on va dormir, avec ce que l’on a mangé. Et je n’ai pas trop envie de dormir.
Tu as raison, moi non plus je n’ai pas trop envie de dormir. Et connaissant notre amant, lui non plus.
Je me plie à la volonté de la majorité.
Propos de Magalie ma belle sœur
Propos de Jacques
Mes pensées
Propos de Mario
Propos de Charlotte
Propos de Lucie fille de Charlotte
Propos de Louise petite fille de Charlotte
25)
Ne t’inquiètes pas, tu verras ta sœur qui est une adulte, et une femme à part entière, je le confirme. Il lui arrive aussi de bouder. Mais disons que plus c’est court, mieux c’est.
D’ailleurs ma chérie, ne le prend pas mal, mais je ne voudrais pas que tu exagères avec le champagne, tu n’as pas encore l’habitude de l’alcool, et une femme éméchée, n’a rien d’intéressant à offrir.
Elle me regarde, regarde sa sœur, et acquiesce d’un mouvement de tête. Je voie le serveur, qui arrive, avec un chariot, il regarde droit devant lui. Je voie le directeur de l’hôtel, qui le suit des yeux. Le serveur, s’approche, et stoïquement pose chaque assiette devant chaque convive. Il se tourne vers moi. « Pour la boisson vous avez choisi ? »
Nous resterons au champagne. Merci.
-/-
Sabine me regarde, elle hume les senteurs du poisson, il est vrai que le fumet qui se dégage est merveilleux. Magalie, regarde son assiette paniquée, ne sachant pas par quel bout commencer. Je commence à découper mon poisson.
Regarde comment Jacques fait. Quand je l’ai connue, j’étais comme toi, il m’a apprit à apprécier le poisson, maintenant je l’adore, chaque fois que j’en ai l’occasion, j’en mange.
Etant en Corse se serait un comble de ne pas en profiter.
Surtout que le cuistot, de ce restaurant est réputé pour ses plats de poissons et ses préparations à base de poissons.
De toute façon, c’est ton assiette que je prépare, on échange après.
Elle me sourit et je la voie pousser un grand ouf de soulagement. Je continue de préparer son poisson, retirant les arrêtes ventrales, et dorsales. Magalie me regarde faire, avec attention.
Ma chérie, dis toi bien, que ce soit ta sœur, ou moi, on ne te mettra jamais dans une situation embarrassante, quelle qu’elle soit, et où que ce soit.
Je déplace les deux filets du haut, enlève l’arrête centrale, la tête vient avec. Je la pose ainsi que les autres arrêtes, dans l’assiette prévue à cet effet.
Je vérifie les deux filets du bas, retire les quelques arêtes qui ne sont restées collé aux chairs des filets, tend l’assiette à Magalie, qui me tend la sienne. Sabine a déjà commencé à s’occuper de son assiette.
Je complète les verres, regarde Magalie, qui a levé la tête. Elle me sourit et comprend vue son hochement de tête, qu’il ne faudra pas exagéré avec l’alcool comme nous en avons parlé auparavant.
Je ne sais pas pourquoi, mais je tends mes mains vers mes chéries, mes amours. Elles me sourient, prennent chacune la main tendu, vers elle. Je voie les mains de Sabine et Magalie qui se verrouille l’une à l’autre sur la table. Nous formons un triangle, un tripode, seul possibilité géométrique de stabilité parfaite.
Je vous aime du plus profond de mon cœur, de mon âme. Moi qui avait tant de mal, à dire ce mot, à exprimais mes sentiments, vous m’avez, pardon vous m’amenez, à tout dire, à ne plus rien garder en moi. Et je trouve cela magnifique. Magnifique comme vous deux mes amours.
Elles me regardent toutes les deux, se regardent, vont pour se lever, je leur fait signe que non de la tête. Nos regards se cherchent, se trouvent. Je me noie dans leurs yeux, qui brillent. Je ressens une plénitude, un bien être merveilleux.
Comme si, au travers de nos mains réunis, passait une courant d’amour entre nous trois. Je me penche et embrasse le dos de leurs mains que j’ai jointes, en me noyant dans le bonheur que leur yeux m’expriment.
Bon appétit mes anges, et merci pour ces moments de bonheur intense.
Je les voie, se lever, s’accroupir prés de moi, me serrer dans leur bras, elle me regarde. Je lis tout l’amour qu’elles ont pour moi dans leurs yeux. Je crois bien, que si nous n’étions pas au restaurant, nous en serions déjà beaucoup plus loin. J’embrasse tendrement, leurs fronts.
Elles se relèvent s’assoient, me regardent toutes les deux. Aucun mot, ne saurait transcrire, ne pourrait traduire ce que leurs yeux m’expriment en ce moment. Ce n’est pas de l’amour, ce n’est pas une adoration, c’est une fusion totale, un amour incommensurable de deux femmes pour un homme, et c’est totalement réciproque.
Je pense que mes yeux doivent exprimer la même chose, du moins je l’espère de tout mon cœur. J’en tremble, un frisson me parcourt, de la tête au pied. Est-ce la joie, du bonheur, de la peur. Certainement un peut tout cela, à la fois.
Mes puces, je m’excuse de rompre ce moment sublime, mais les assiettes refroidissent, et cela serait vraiment dommage.
Je les vois sourire et commencer à manger. Je regarde Magalie qui picore son poisson. Elle hésite chaque fois avant de porter la fourchette à sa bouche. Elle remarque que je la regarde, rougis et se décide de manger normalement.
Ayant fini de dépiauter mon poisson, je commence à manger, c'est excellent, toutes les saveurs apparaissent. Le fenouil, le thym, les différentes herbes, le gout du poisson est rehaussé par toutes ses saveurs.
Sabine ne s'en laisse pas compter et déguste chaque bouchée. Je regarde l'assiette de Magalie, elle a l'air de manger avec appétit, vue ce qui reste dans son assiette.
Alors Magalie, comment trouves tu le poisson ? Tu as l’air d’aimer.
J’avais une certaine appréhension, au début, et je dois reconnaitre que je n’ai eut qu’une seule grosse arrête, au début. C’est excellent.
Est ce que tu crois que l’on en mangerait si ce n’était pas bon. Tu peux ne pas aimer, mais tu ne peux pas dire que ce n’est pas bon.
Nous arrivons à la fin des assiettes, nous avons étaient sérieux avec le champagne. Il reste l’équivalent de deux flutes dans la bouteille.
Quelqu’un veut un dessert ? Moi je n’en peux plus.
Juste un café, pour moi je pense que vous en prendrez aussi un, sinon on va dormir, avec ce que l’on a mangé. Et je n’ai pas trop envie de dormir.
Tu as raison, moi non plus je n’ai pas trop envie de dormir. Et connaissant notre amant, lui non plus.
Je me plie à la volonté de la majorité.
Re: Vacances en Corse
Propos de Sabine ma femme
Propos de Magalie ma belle sœur
Propos de Jacques
Mes pensées
Propos de Mario
Propos de Charlotte
Propos de Lucie fille de Charlotte
Propos de Louise petite fille de Charlotte
26)
Est ce que tu crois que l’on en mangerait si ce n’était pas bon. Tu peux ne pas aimer, mais tu ne peux pas dire que ce n’est pas bon.
Nous arrivons à la fin des assiettes, nous avons étaient sérieux avec le champagne. Il reste l’équivalent de deux flutes dans la bouteille.
Quelqu’un veut un dessert ? Moi je n’en peux plus.
Juste un café, pour moi je pense que vous en prendrez aussi un, sinon on va dormir, avec ce que l’on a mangé. Et je n’ai pas trop envie de dormir.
Tu as raison, moi non plus je n’ai pas trop envie de dormir. Et connaissant notre amant, lui non plus.
Je me plie à la volonté de la majorité.
-/-
Je prends la bouteille, et remplis le verre de Sabine, le verre de Magalie étant presque plein, je complète le mien, pendant qu’elle boit légèrement. Je verse la fin de la bouteille, dans celui de Magalie, avec un sourire évident aux lèvres.
Sabine voie mon sourire.
J’aperçois le serveur qui se rapproche.
Jacques les deux ne sont pas possible.
Magalie, mariée avant la fin de l’année, tu serais bigame. Je n’ai pas envie de venir avec Magalie et le petit te visiter en prison.
Un enfant avant la fin de l’année, tu ne trouves pas que ma sœur, ta maitresse est un peu jeune, pour être mère.
En même temps qu’elle fini sa phrase elle remarque le serveur, et pique un fard, se tasse sur sa chaise, Magalie plonge la tête dans son assiette à la recherche de je ne sais quoi, son assiette est totalement vide.
Le serveur, qui a tout entendu, est rouge comme une tomate et ne sais plus pourquoi il est là. Je suis au bord de piquer un fou rire. J’ai du mal à me retenir. Je prends une profonde inspiration.
Trois cafés s’il vous plait.
Le serveur repart, fait demi-tour au bout de quelques mètres, réalisant qu’i n’a pas débarrassé la table. Revient, commence à débarrasser la table. Son regard ne me lâche pas.
J’ai l’impression qu’il ne comprend pas, ou plutôt qu’il comprend fort bien ce qui se passe à cette table, mais n’arrive pas, ou ne veux pas l’assimiler.
Sabine et Magalie sont tassées sur leur chaise se faisant toutes petites. Je les regarde et respire à fond. Magalie comprend le message, se redresse, sort les épaules et assume ce qui se passe. Sabine regarde, voyant faire Magalie, comprend et fait de même. Le serveur se dépêche de finir de débarrasser, comme s’il voulait s’enfuir de cette table, où rien ne se passe normalement. Dès qu’il est parti.
Tu aurais put me dire qu’il était en train de venir. J’ai eut l’air de quoi.
Tu as l’air d’une femme amoureuse ma chérie, tout autant que Magalie l’est. C’est tout ce qui compte pour moi. Je vous aime, le reste m’importe peux.
On dérange, notre amour dérange, et va en déranger plus d’un. Le tout est de savoir si nous sommes prés à l’assumer, tel qu’il est à nos yeux. Les autres quand à moi, ne m’intéresse pas.
Je reconnais que c’est tout frais pour moi, et j’ai du mal à m’habituer au regard des autres.
Ce n’est pas pire que lorsque je complexais pour ma poitrine. Maintenant je l’assume, pas toujours, mais quand ça ne va pas, je pense à Jacques, à mon amour pour lui et je me reprends.
Quand il est là, il suffit que Jacques me regarde, et je me laisse aller, je reprends confiance, comme avant, quand nous nous sommes tassées sur le siège.
Je reconnais de voir Jacques si confiant, si sur de lui, toi Magalie, de te voir te redresser, affiché ce qui te complexait tant avant, d’exposer pour ainsi dire ta poitrine, toi qui en avait presque honte, la montrer d’une manière aussi ostensible, m’a redonné confiance et je me suis ressaisie.
Malgré que je sois l’ainée, je suis dans la même situation que toi, j’ai des moments de doutes, pas pour nous trois, oh non, vous ne pouvez pas savoir comme je suis heureuse que tout soit clair entre nous trois.
Mais le regard des autres par moment m’interpelle. Je sais que Jacques à raison, nous allons en déranger plus d’un par notre style de vie, par notre choix.
Je la voie qui réfléchie.
Je pense être capable d’assumer ces regards, de toute façon je sais que vous serez à mes côtés quoi qu’il se passe. Et ceux que cela dérangera dans nos relations, et bien qu’ils ne viennent plus. On va un peut penser à nous, avant de penser aux autres.
Avec vous deux à mes côtés, je sais que rien, ni personne ne pourra m’atteindre. Il y aura des moments difficiles, je m’en doute, mais il me suffira de penser à vous deux pour me sentir forte, être forte.
Je les écoute, elles sont en train de comprendre par où nous allons passer, et commence à s’y préparer. Et surtout à réaliser que cela ne va pas être drôle tous les jours.
Mais nous avons fait un choix, elles ont fait ce choix, à nous de l’assumer. Je suis prêt à jeter toutes mes forces, toute ma volonté dans les batailles, dans les doutes qui vont nous assaillir.
Le serveur, revient je fais un signe aux deux puces, je les voie, qui se redresse, se montrent, affichent leur féminité, leur détermination. Il dépose, les cafés, nous demande si nous voulons un digestif. Sabine papillonne des yeux, Magalie ne sait pas. Je sais ce que Sabine voudrait, j’aime bien aussi.
Deux myrtes, et deux Orezza pétillante, et deux plates s’il vous s’il vous plait, nous emmènerons les bouteilles.
Et l’addition s’il vous plait.
C’est quoi la myrte ? C’est comme du schnaps ?
Si on veut, c’est plus doux, mais c’est traitre, je te ferais gouter, si jacques le chef de famille est d’accord.
On se regarde tous les trois, on éclate de rire.
J’en connais une qui va trouver que le chef de famille a bien agrandi sa famille. Comment va-t-elle le prendre, je me demande vue ses réflexions si elle n’a pas plus que des doutes.
Magalie et Sabine me voit songeur. Elles me regardent, se regardent, je sais qu’elles ont compris à qui je pense, en les voyants se prendre la main et les serrer.
Leurs regards sont tellement à la fois interrogateurs et tristes que je me lève, embrasse sabine.
Ne t’en fait pas j’arrangerais les choses avec maman.
Elle me regarde surprise, que j’appelle sa mère maman. Il est vrai que depuis le grand déballage de la Hoube, bien des choses ont changées. Et j’ai la très nette impression que la chère Suzanne a comprit bien des choses. Que les œillères ont chut.
Je m’approche de Magalie, l’embrasse.
Ne t’en fait pas j’arrangerais les choses avec maman.
Elle me regarde aussi surprise que Sabine.
Le serveur revient avec les deux verres de myrte, et l’adition. Ils posent les verres devant Sabine et moi-même. Magalie prend l’addition et commence à la vérifier. Je lui tends mon stylo. Elle me regarde surprise.
Tu vérifies, tu signes.
La signer pourquoi ?
Les habitués qui dorment ici, soit signent leurs notes, soit la règle directement. Depuis que nous sommes là, je les signe. Demain je réglerais le tout, en une fois.
Elle prend le stylo, signe la facture, repose la note dans la corbeille et regarde le stylo.
Il est magnifique, on écrit très bien avec.
Je regarde Sabine, c’est un cadeau qu’elle m’a fait, pour une occasion qui n’était pas un anniversaire.
Il te plait. Garde le, je l’avais offert à Jacques, je sais que cela lui fait autant plaisir qu’à moi.
Non il n’en n’est pas question, c’est un cadeau que tu as fait à Jacques, je ne peux pas accepter. Je m’en offrirais un, mais il n’est pas question de l’accepter.
Elle me tend le stylo, je referme sa main dessus, mes doigts au-dessus. Je la regarde, gentiment.
Propos de Magalie ma belle sœur
Propos de Jacques
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Propos de Mario
Propos de Charlotte
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Propos de Louise petite fille de Charlotte
26)
Est ce que tu crois que l’on en mangerait si ce n’était pas bon. Tu peux ne pas aimer, mais tu ne peux pas dire que ce n’est pas bon.
Nous arrivons à la fin des assiettes, nous avons étaient sérieux avec le champagne. Il reste l’équivalent de deux flutes dans la bouteille.
Quelqu’un veut un dessert ? Moi je n’en peux plus.
Juste un café, pour moi je pense que vous en prendrez aussi un, sinon on va dormir, avec ce que l’on a mangé. Et je n’ai pas trop envie de dormir.
Tu as raison, moi non plus je n’ai pas trop envie de dormir. Et connaissant notre amant, lui non plus.
Je me plie à la volonté de la majorité.
-/-
Je prends la bouteille, et remplis le verre de Sabine, le verre de Magalie étant presque plein, je complète le mien, pendant qu’elle boit légèrement. Je verse la fin de la bouteille, dans celui de Magalie, avec un sourire évident aux lèvres.
Sabine voie mon sourire.
J’aperçois le serveur qui se rapproche.
Jacques les deux ne sont pas possible.
Magalie, mariée avant la fin de l’année, tu serais bigame. Je n’ai pas envie de venir avec Magalie et le petit te visiter en prison.
Un enfant avant la fin de l’année, tu ne trouves pas que ma sœur, ta maitresse est un peu jeune, pour être mère.
En même temps qu’elle fini sa phrase elle remarque le serveur, et pique un fard, se tasse sur sa chaise, Magalie plonge la tête dans son assiette à la recherche de je ne sais quoi, son assiette est totalement vide.
Le serveur, qui a tout entendu, est rouge comme une tomate et ne sais plus pourquoi il est là. Je suis au bord de piquer un fou rire. J’ai du mal à me retenir. Je prends une profonde inspiration.
Trois cafés s’il vous plait.
Le serveur repart, fait demi-tour au bout de quelques mètres, réalisant qu’i n’a pas débarrassé la table. Revient, commence à débarrasser la table. Son regard ne me lâche pas.
J’ai l’impression qu’il ne comprend pas, ou plutôt qu’il comprend fort bien ce qui se passe à cette table, mais n’arrive pas, ou ne veux pas l’assimiler.
Sabine et Magalie sont tassées sur leur chaise se faisant toutes petites. Je les regarde et respire à fond. Magalie comprend le message, se redresse, sort les épaules et assume ce qui se passe. Sabine regarde, voyant faire Magalie, comprend et fait de même. Le serveur se dépêche de finir de débarrasser, comme s’il voulait s’enfuir de cette table, où rien ne se passe normalement. Dès qu’il est parti.
Tu aurais put me dire qu’il était en train de venir. J’ai eut l’air de quoi.
Tu as l’air d’une femme amoureuse ma chérie, tout autant que Magalie l’est. C’est tout ce qui compte pour moi. Je vous aime, le reste m’importe peux.
On dérange, notre amour dérange, et va en déranger plus d’un. Le tout est de savoir si nous sommes prés à l’assumer, tel qu’il est à nos yeux. Les autres quand à moi, ne m’intéresse pas.
Je reconnais que c’est tout frais pour moi, et j’ai du mal à m’habituer au regard des autres.
Ce n’est pas pire que lorsque je complexais pour ma poitrine. Maintenant je l’assume, pas toujours, mais quand ça ne va pas, je pense à Jacques, à mon amour pour lui et je me reprends.
Quand il est là, il suffit que Jacques me regarde, et je me laisse aller, je reprends confiance, comme avant, quand nous nous sommes tassées sur le siège.
Je reconnais de voir Jacques si confiant, si sur de lui, toi Magalie, de te voir te redresser, affiché ce qui te complexait tant avant, d’exposer pour ainsi dire ta poitrine, toi qui en avait presque honte, la montrer d’une manière aussi ostensible, m’a redonné confiance et je me suis ressaisie.
Malgré que je sois l’ainée, je suis dans la même situation que toi, j’ai des moments de doutes, pas pour nous trois, oh non, vous ne pouvez pas savoir comme je suis heureuse que tout soit clair entre nous trois.
Mais le regard des autres par moment m’interpelle. Je sais que Jacques à raison, nous allons en déranger plus d’un par notre style de vie, par notre choix.
Je la voie qui réfléchie.
Je pense être capable d’assumer ces regards, de toute façon je sais que vous serez à mes côtés quoi qu’il se passe. Et ceux que cela dérangera dans nos relations, et bien qu’ils ne viennent plus. On va un peut penser à nous, avant de penser aux autres.
Avec vous deux à mes côtés, je sais que rien, ni personne ne pourra m’atteindre. Il y aura des moments difficiles, je m’en doute, mais il me suffira de penser à vous deux pour me sentir forte, être forte.
Je les écoute, elles sont en train de comprendre par où nous allons passer, et commence à s’y préparer. Et surtout à réaliser que cela ne va pas être drôle tous les jours.
Mais nous avons fait un choix, elles ont fait ce choix, à nous de l’assumer. Je suis prêt à jeter toutes mes forces, toute ma volonté dans les batailles, dans les doutes qui vont nous assaillir.
Le serveur, revient je fais un signe aux deux puces, je les voie, qui se redresse, se montrent, affichent leur féminité, leur détermination. Il dépose, les cafés, nous demande si nous voulons un digestif. Sabine papillonne des yeux, Magalie ne sait pas. Je sais ce que Sabine voudrait, j’aime bien aussi.
Deux myrtes, et deux Orezza pétillante, et deux plates s’il vous s’il vous plait, nous emmènerons les bouteilles.
Et l’addition s’il vous plait.
C’est quoi la myrte ? C’est comme du schnaps ?
Si on veut, c’est plus doux, mais c’est traitre, je te ferais gouter, si jacques le chef de famille est d’accord.
On se regarde tous les trois, on éclate de rire.
J’en connais une qui va trouver que le chef de famille a bien agrandi sa famille. Comment va-t-elle le prendre, je me demande vue ses réflexions si elle n’a pas plus que des doutes.
Magalie et Sabine me voit songeur. Elles me regardent, se regardent, je sais qu’elles ont compris à qui je pense, en les voyants se prendre la main et les serrer.
Leurs regards sont tellement à la fois interrogateurs et tristes que je me lève, embrasse sabine.
Ne t’en fait pas j’arrangerais les choses avec maman.
Elle me regarde surprise, que j’appelle sa mère maman. Il est vrai que depuis le grand déballage de la Hoube, bien des choses ont changées. Et j’ai la très nette impression que la chère Suzanne a comprit bien des choses. Que les œillères ont chut.
Je m’approche de Magalie, l’embrasse.
Ne t’en fait pas j’arrangerais les choses avec maman.
Elle me regarde aussi surprise que Sabine.
Le serveur revient avec les deux verres de myrte, et l’adition. Ils posent les verres devant Sabine et moi-même. Magalie prend l’addition et commence à la vérifier. Je lui tends mon stylo. Elle me regarde surprise.
Tu vérifies, tu signes.
La signer pourquoi ?
Les habitués qui dorment ici, soit signent leurs notes, soit la règle directement. Depuis que nous sommes là, je les signe. Demain je réglerais le tout, en une fois.
Elle prend le stylo, signe la facture, repose la note dans la corbeille et regarde le stylo.
Il est magnifique, on écrit très bien avec.
Je regarde Sabine, c’est un cadeau qu’elle m’a fait, pour une occasion qui n’était pas un anniversaire.
Il te plait. Garde le, je l’avais offert à Jacques, je sais que cela lui fait autant plaisir qu’à moi.
Non il n’en n’est pas question, c’est un cadeau que tu as fait à Jacques, je ne peux pas accepter. Je m’en offrirais un, mais il n’est pas question de l’accepter.
Elle me tend le stylo, je referme sa main dessus, mes doigts au-dessus. Je la regarde, gentiment.
Re: Vacances en Corse
Propos de Sabine ma femme
Propos de Magalie ma belle sœur
Propos de Jacques
Mes pensées
Propos de Mario
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Propos de Lucie fille de Charlotte
Propos de Louise petite fille de Charlotte
27)
Elle prend le stylo, signe la facture, repose la note dans la corbeille et regarde le stylo.
Il est magnifique, on écrit très bien avec.
Je regarde Sabine, c’est un cadeau qu’elle m’a fait, pour une occasion qui n’était pas un anniversaire.
Il te plait. Garde le, je l’avais offert à Jacques, je sais que cela lui fait autant plaisir qu’à moi.
Non il n’en n’est pas question, c’est un cadeau que tu as fait à Jacques, je ne peux pas accepter. Je m’en offrirais un, mais il n’est pas question de l’accepter.
Elle me tend le stylo, je referme sa main dessus, mes doigts au-dessus. Je la regarde, gentiment.
-/-
S’il te plait Magalie, comprend une chose. A partir d’aujourd’hui, avec ce qui se passe, vue comment vous avez décidez que nous vivrions, vous mes deux amours, ce qui est à nous est aussi à toi je pense que Sabine est d’accord. Sabine te l’offre tu l’acceptes, je t’en prie.
Sabine pose sa main sur les nôtres. Je la regarde, elle est émue, elle retire sa main. Me fait oui de la tête. Magalie qui voie sa sœur au bord des larmes, se lève, et la serre dans ses bras. Je prends mon verre de myrte, le tend à Magalie.
Trempe juste les lèvres, c’est très doux, mais après tu sens l’alcool d’un seul coup. Le seul problème, c’est quand tu te lèves que tu le sens. Et là il est trop tard.
Elle trempe les lèvres, et je voie son petit bout de langue qui passe sur ses lèvres. Elle me regarde avec des yeux gourmands. Je souri. Elle passe son verre à Sabine.
Boit ma grande sœur, tu sauras ce que je pense, tu verras comme c’est beau.
Sabine lui souri, trempe ses lèvres dans le verre, ferme les yeux. Me tend le verre, se retourne, embrasse sa sœur. Je trempe mes lèvres, le repasse à Magalie, me lève et embrasse Sabine et Magalie.
Il y a une chose sur laquelle vous n’aurez jamais de doutes mes chéries, c’est que je vous aime plus que ma vie.
Magalie je pense que pour toi, ça suffit avec l’alcool.
Elle me regarde, va pour commencer à bouder, me sourit et m’envoie un baiser. Magalie trempe furtivement ses lèvres dans le verre et me le tend. Elle me fait un grand sourire espiègle.
Je regarde Sabine qui prend son verre, me regarde et le boit d’une traite, en expulsant l’air des poumons. Je fais de même en expulsant l’air de mes poumons.
Un vieux Corse nous avez un jour montré cela, en nous disant que cela atténué l’effet de l’alcool. Depuis nous avons pris l’habitude de boire la myrte de cette manière.
On y va mes puces.
Je me lève, me dirige derrière la chaise Sabine, l’embrasse dans la nuque, et tire doucement la chaise. Sabine se lève se retourne et m’embrasse goulument. Je passe derrière Magalie, l’embrasse dans la nuque, tire doucement la chaise. Magalie se lève se retourne et m’embrasse avec passion.
Je prends le couffin, le petit dort comme une marmotte. Sabine me prend le couffin des mains.
Sabine et Magalie me prennent chacune un bras, et nous nous dirigeons, vers la sortie, nous passons devant le serveur qui nous regarde comme des extra-terrestres, Sabine à ma gauche, le salue de la tête, Magalie voyant le geste de tête de sa sœur fait de même. Il devient rouge comme une tomate.
Nous sortons, Sabine se penche, regarde Magalie, et elles commencent à rigoler.
On est de sacré garces quand même, mais qu’est ce que ça fait du bien de se lâcher, de se laisser aller, il s’en souviendra des chambres 15 et 16.
Ca lui apprendra à se mélanger les crayons avec les femmes de notre Jacques.
Elles recommencent à rire. Nous nous dirigeons tranquillement ver la chambre. Magalie regarde sa montre, il est 21h45. En arrivant la jeune fille est assise en train de lire, devant la chambre. Elle nous entend arriver, va pour se lever. Elle voit Sabine et Magalie, et retombe sur la chaise, le regard complètement étonné, elle a l’air complètement surprise.
«Papa m’a dit d’être là pour 21heures, comme j’ai un autre livre que j’adore, que je le lise à la maison ou ici, c’est pareil. Il fait si bon, si doux dehors. »
Bonsoir mademoiselle, c’est comment votre petit nom.
«Je m’appelle Rachel »
Nous la saluons tous.
Moi c’est Sabine la maman du petit, ma sœur Magalie et Jacques. Si cela ne vous embête pas, on a presque le même âge, on pourrait se tutoyer, ce serait plus simple. Magalie, tu couches le petit s’il te plait.
Magalie prends délicatement le couffin de mes mains, ainsi que la clef de la chambre, rentre pour coucher le petit qui dort comme une marmotte. Je rentre met les bouteilles d’eau dans le réfrigérateur de la chambre, puis rentre dans la salle de bain, chercher des draps de bain, Magalie me rejoint dans la Chambre.
C’est une vraie marmotte, le petit. Je me change tout de suite ? Ou j’attends que Sabine finisse de discuter avec Rachel.
Change toi maintenant, je ne pense pas qu’elles en aient pour longtemps.
Elle me regarde avec envie. Je me baisse défait les boucles de ses chaussures, les lui enlèvent, lui masse les pieds. Elle me sourit, se retourne, j’ouvre le zip dans son dos. Elle enlève délicatement sa robe, elle est complètement nue. Se retourne.
Coquin tu te rinces encore les yeux. T’es pire que le serveur.
Je souri de sa boutade, elle aussi. Je lui tends un cintre, elle accroche délicatement sa robe, me la tend, prend un tee-shirt et l’enfile. Je range sa robe dans l’armoire.
J’en profite pour enlever mes bateaux, j’adore marché pieds nus, tout comme les puces d’ailleurs. Je sors Magalie me suit, nous nous installons sur les chaises dehors. Sabine et Rachel discute en marchant, elles reviennent vers nous.
Tu laisses une clef à Rachel s’il te plait, elle s’installe à l’intérieur, elle sera mieux. Si on tarde, il risque de faire frais dehors. Elle m’a donné le téléphone, le numéro du sien est le même que hier soir, le 5055 pour Rachel et le 4975 pour le notre. Bon je me change vite fait et on y va. Tu viens Magalie.
Elles rentrent toutes les deux. Je me retrouve seul avec Rachel.
« Sabine est très sympathique, elle m’a expliquez votre vie, pour que je comprenne ce qui se passe, et ne me fasse pas de fausses idées.
Ce n’est pas courant, mais c’est votre vie, je trouve cela superbe, je ne sais pas si je pourrais.
Enfin vous avez l’air si heureux, tous les trois, c’est l’essentiel. C’est tout ce qui compte. »
Elle à l’air heureuse en propos, mais son regard est d’un triste. Elle a des soucis cette petite.
Je reconnais que ce n’est pas courant, et qu’il y a de quoi être surpris, je vous remercie de ne pas porter de jugement, c’est très gentil.
Vous voulez boire quelque chose ? Dans le réfrigérateur de la chambre il y a des jus de fruits et des bouteilles d’Orezza. Vous buvez ce que vous voulez.
« C’est très gentil, je verrais plus tard, pour l’instant je n’ai pas soif. »
Je voie Rachel sourire, je sens deux mains se poser sur mes épaules, mes deux puces sont arrivées discrètement derrière moi. Elles m’embrassent dans le cou.
Tu dragues, mon chéri.
Je voie Rachel qui commence à rigoler.
« Vous êtes incroyable de naturel tous les trois. Mon dieu que cela me change de la mentalité d’ici.»
Je me retourne, Sabine a enfilé un tee-shirt, à même la peau, je voie ses tétons qui pointent, comme ceux de Magalie d’ailleurs.
Bon on va se baigner, j’ai déjà tout réglé avec Rachel, il n’ya aucun souci pour moi.
Je me lève, Rachel aussi, je lui tends la clef de la chambre, vérifie que le téléphone, est dans le sac, y glisse les serviettes.
J’ai envie de t’embrasser Rachel, tu es si gentille, si nature. J’ai apprécié notre petite discussion avant, elle a était très instructive pour moi. Merci encore.
Sabine s’approche de Rachel, la prend dans les bras, et l’embrasse tendrement sur les joues. Deux gros smacks, bien sonore. Magalie s’approche, la prend dans les bras, et fait de même.
Je les regarde, surpris, ce n’est pas dans les habitudes de Sabine. Elle doit avoir ses raisons, elle m’en parlera, si elle estime nécessaire.
Nous nous éloignons, Sabine et Magalie se sont rapprochées de moi, Sabine me prend le sac des mains, je pose mes bras sur leurs épaules, mes mains se retrouvent sur leur poitrine, elle me regarde en souriant, elles ont l’air si heureuses mes deux amours.
Elles passent leurs bras dans mon dos, et leurs mains se posent sur mes hanches, les pouces dans les passants de la ceinture. Par moment je sens des doigts qui pianotent sur mes hanches. Nous nous dirigeons tranquillement vers la mer qui scintille devant nous.
Propos de Magalie ma belle sœur
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Propos de Louise petite fille de Charlotte
27)
Elle prend le stylo, signe la facture, repose la note dans la corbeille et regarde le stylo.
Il est magnifique, on écrit très bien avec.
Je regarde Sabine, c’est un cadeau qu’elle m’a fait, pour une occasion qui n’était pas un anniversaire.
Il te plait. Garde le, je l’avais offert à Jacques, je sais que cela lui fait autant plaisir qu’à moi.
Non il n’en n’est pas question, c’est un cadeau que tu as fait à Jacques, je ne peux pas accepter. Je m’en offrirais un, mais il n’est pas question de l’accepter.
Elle me tend le stylo, je referme sa main dessus, mes doigts au-dessus. Je la regarde, gentiment.
-/-
S’il te plait Magalie, comprend une chose. A partir d’aujourd’hui, avec ce qui se passe, vue comment vous avez décidez que nous vivrions, vous mes deux amours, ce qui est à nous est aussi à toi je pense que Sabine est d’accord. Sabine te l’offre tu l’acceptes, je t’en prie.
Sabine pose sa main sur les nôtres. Je la regarde, elle est émue, elle retire sa main. Me fait oui de la tête. Magalie qui voie sa sœur au bord des larmes, se lève, et la serre dans ses bras. Je prends mon verre de myrte, le tend à Magalie.
Trempe juste les lèvres, c’est très doux, mais après tu sens l’alcool d’un seul coup. Le seul problème, c’est quand tu te lèves que tu le sens. Et là il est trop tard.
Elle trempe les lèvres, et je voie son petit bout de langue qui passe sur ses lèvres. Elle me regarde avec des yeux gourmands. Je souri. Elle passe son verre à Sabine.
Boit ma grande sœur, tu sauras ce que je pense, tu verras comme c’est beau.
Sabine lui souri, trempe ses lèvres dans le verre, ferme les yeux. Me tend le verre, se retourne, embrasse sa sœur. Je trempe mes lèvres, le repasse à Magalie, me lève et embrasse Sabine et Magalie.
Il y a une chose sur laquelle vous n’aurez jamais de doutes mes chéries, c’est que je vous aime plus que ma vie.
Magalie je pense que pour toi, ça suffit avec l’alcool.
Elle me regarde, va pour commencer à bouder, me sourit et m’envoie un baiser. Magalie trempe furtivement ses lèvres dans le verre et me le tend. Elle me fait un grand sourire espiègle.
Je regarde Sabine qui prend son verre, me regarde et le boit d’une traite, en expulsant l’air des poumons. Je fais de même en expulsant l’air de mes poumons.
Un vieux Corse nous avez un jour montré cela, en nous disant que cela atténué l’effet de l’alcool. Depuis nous avons pris l’habitude de boire la myrte de cette manière.
On y va mes puces.
Je me lève, me dirige derrière la chaise Sabine, l’embrasse dans la nuque, et tire doucement la chaise. Sabine se lève se retourne et m’embrasse goulument. Je passe derrière Magalie, l’embrasse dans la nuque, tire doucement la chaise. Magalie se lève se retourne et m’embrasse avec passion.
Je prends le couffin, le petit dort comme une marmotte. Sabine me prend le couffin des mains.
Sabine et Magalie me prennent chacune un bras, et nous nous dirigeons, vers la sortie, nous passons devant le serveur qui nous regarde comme des extra-terrestres, Sabine à ma gauche, le salue de la tête, Magalie voyant le geste de tête de sa sœur fait de même. Il devient rouge comme une tomate.
Nous sortons, Sabine se penche, regarde Magalie, et elles commencent à rigoler.
On est de sacré garces quand même, mais qu’est ce que ça fait du bien de se lâcher, de se laisser aller, il s’en souviendra des chambres 15 et 16.
Ca lui apprendra à se mélanger les crayons avec les femmes de notre Jacques.
Elles recommencent à rire. Nous nous dirigeons tranquillement ver la chambre. Magalie regarde sa montre, il est 21h45. En arrivant la jeune fille est assise en train de lire, devant la chambre. Elle nous entend arriver, va pour se lever. Elle voit Sabine et Magalie, et retombe sur la chaise, le regard complètement étonné, elle a l’air complètement surprise.
«Papa m’a dit d’être là pour 21heures, comme j’ai un autre livre que j’adore, que je le lise à la maison ou ici, c’est pareil. Il fait si bon, si doux dehors. »
Bonsoir mademoiselle, c’est comment votre petit nom.
«Je m’appelle Rachel »
Nous la saluons tous.
Moi c’est Sabine la maman du petit, ma sœur Magalie et Jacques. Si cela ne vous embête pas, on a presque le même âge, on pourrait se tutoyer, ce serait plus simple. Magalie, tu couches le petit s’il te plait.
Magalie prends délicatement le couffin de mes mains, ainsi que la clef de la chambre, rentre pour coucher le petit qui dort comme une marmotte. Je rentre met les bouteilles d’eau dans le réfrigérateur de la chambre, puis rentre dans la salle de bain, chercher des draps de bain, Magalie me rejoint dans la Chambre.
C’est une vraie marmotte, le petit. Je me change tout de suite ? Ou j’attends que Sabine finisse de discuter avec Rachel.
Change toi maintenant, je ne pense pas qu’elles en aient pour longtemps.
Elle me regarde avec envie. Je me baisse défait les boucles de ses chaussures, les lui enlèvent, lui masse les pieds. Elle me sourit, se retourne, j’ouvre le zip dans son dos. Elle enlève délicatement sa robe, elle est complètement nue. Se retourne.
Coquin tu te rinces encore les yeux. T’es pire que le serveur.
Je souri de sa boutade, elle aussi. Je lui tends un cintre, elle accroche délicatement sa robe, me la tend, prend un tee-shirt et l’enfile. Je range sa robe dans l’armoire.
J’en profite pour enlever mes bateaux, j’adore marché pieds nus, tout comme les puces d’ailleurs. Je sors Magalie me suit, nous nous installons sur les chaises dehors. Sabine et Rachel discute en marchant, elles reviennent vers nous.
Tu laisses une clef à Rachel s’il te plait, elle s’installe à l’intérieur, elle sera mieux. Si on tarde, il risque de faire frais dehors. Elle m’a donné le téléphone, le numéro du sien est le même que hier soir, le 5055 pour Rachel et le 4975 pour le notre. Bon je me change vite fait et on y va. Tu viens Magalie.
Elles rentrent toutes les deux. Je me retrouve seul avec Rachel.
« Sabine est très sympathique, elle m’a expliquez votre vie, pour que je comprenne ce qui se passe, et ne me fasse pas de fausses idées.
Ce n’est pas courant, mais c’est votre vie, je trouve cela superbe, je ne sais pas si je pourrais.
Enfin vous avez l’air si heureux, tous les trois, c’est l’essentiel. C’est tout ce qui compte. »
Elle à l’air heureuse en propos, mais son regard est d’un triste. Elle a des soucis cette petite.
Je reconnais que ce n’est pas courant, et qu’il y a de quoi être surpris, je vous remercie de ne pas porter de jugement, c’est très gentil.
Vous voulez boire quelque chose ? Dans le réfrigérateur de la chambre il y a des jus de fruits et des bouteilles d’Orezza. Vous buvez ce que vous voulez.
« C’est très gentil, je verrais plus tard, pour l’instant je n’ai pas soif. »
Je voie Rachel sourire, je sens deux mains se poser sur mes épaules, mes deux puces sont arrivées discrètement derrière moi. Elles m’embrassent dans le cou.
Tu dragues, mon chéri.
Je voie Rachel qui commence à rigoler.
« Vous êtes incroyable de naturel tous les trois. Mon dieu que cela me change de la mentalité d’ici.»
Je me retourne, Sabine a enfilé un tee-shirt, à même la peau, je voie ses tétons qui pointent, comme ceux de Magalie d’ailleurs.
Bon on va se baigner, j’ai déjà tout réglé avec Rachel, il n’ya aucun souci pour moi.
Je me lève, Rachel aussi, je lui tends la clef de la chambre, vérifie que le téléphone, est dans le sac, y glisse les serviettes.
J’ai envie de t’embrasser Rachel, tu es si gentille, si nature. J’ai apprécié notre petite discussion avant, elle a était très instructive pour moi. Merci encore.
Sabine s’approche de Rachel, la prend dans les bras, et l’embrasse tendrement sur les joues. Deux gros smacks, bien sonore. Magalie s’approche, la prend dans les bras, et fait de même.
Je les regarde, surpris, ce n’est pas dans les habitudes de Sabine. Elle doit avoir ses raisons, elle m’en parlera, si elle estime nécessaire.
Nous nous éloignons, Sabine et Magalie se sont rapprochées de moi, Sabine me prend le sac des mains, je pose mes bras sur leurs épaules, mes mains se retrouvent sur leur poitrine, elle me regarde en souriant, elles ont l’air si heureuses mes deux amours.
Elles passent leurs bras dans mon dos, et leurs mains se posent sur mes hanches, les pouces dans les passants de la ceinture. Par moment je sens des doigts qui pianotent sur mes hanches. Nous nous dirigeons tranquillement vers la mer qui scintille devant nous.
Re: Vacances en Corse
Propos de Sabine ma femme
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28)
Sabine s’approche de Rachel, la prend dans les bras, et l’embrasse tendrement sur les joues. Deux gros smacks, bien sonore. Magalie s’approche, la prend dans les bras, et fait de même.
Je les regarde, surpris, ce n’est pas dans les habitudes de Sabine. Elle doit avoir ses raisons, elle m’en parlera, si elle estime nécessaire.
Nous nous éloignons, Sabine et Magalie se sont rapprochées de moi, Sabine me prend le sac des mains, je pose mes bras sur leurs épaules, mes mains se retrouvent sur leur poitrine, elle me regarde en souriant, elles ont l’air si heureuses mes deux amours.
Elles passent leurs bras dans mon dos, et leurs mains se posent sur mes hanches, les pouces dans les passants de la ceinture. Par moment je sens des doigts qui pianotent sur mes hanches. Nous nous dirigeons tranquillement vers la mer qui scintille devant nous.
-/-
J’en ai déjà parlé avec Magalie, Rachel est adorable. Elle a un énorme problème avec son père. Elle n’aime pas les hommes, et son père est butté, il ne veut rien comprendre, ne veut pas accepter le fait qu’elle soit lesbienne.
Elle a une amie, elles se voient en cachette. C’est pour cela, que j’ai voulue que tu lui donnes la clef de la chambre. Son amie va la rejoindre discrètement dans la chambre. Elle a aussi droit au bonheur, non !
Elle m’a dit que son père après que l’on soit parti au restaurant, est rentré pour manger. Pendant le repas, il a parlé de nous avec sa femme, devant sa fille.
Il a dit qu’il avait rencontré un homme qui d’après ce qu’il a vue, ce qu’il a compris, vit avec deux sœurs, et qu’en plus ça à l’air de se passer à merveille. C’est là où Rachel, était hier soir, pour garder le bébé et elle y retourne ce soir.
Sa femme qui soutient sa fille, c’est le seul enfant qu’ils ont put avoir. Pour elle, pour sa mère, il n’y a que le bonheur de sa fille qui l’intéresse, rien d’autre. Elle lui a dit
« Tu acceptes la différence chez les autres, mais pas chez ta fille. Un homme avec deux femmes, c’est normal, mais que ta fille aime une autre fille, cela te choque ».
Rachel, a était surprise de la réponse de son père.
« Tu as peut être raison, je me suis braqué, c’est le bonheur de notre fille qui compte, mais quand même ce n’est pas évident pour un père ».
Rachel est parti immédiatement après, et ses parents continuaient d’en parler, pour une fois sans que son père ne crie, sans que son père ne s’énerve.
Nous sommes arrivées à la mer, et nous marchons dans l’eau. Elle est délicieuse. Les puces s’arrêtent. Sabine et Magalie me regardent, comme si elles attendaient ma réponse.
Vous avez eut tout à fait raison, si en plus notre choix de vie, permet de l’aider, j’en serais d’autant plus heureux. C’est vrai que c’est une fille gentille, je comprends son air malheureux, qui semble accroché à ses yeux.
De toute façon, vous étiez d’accord, je ne remets pas en cause le choix de mes deux amours.
Donc dans tous les cas, le « tu dragues mon chéri », était une blague, vous n’êtes pas possible toutes les deux.
Nous repartons doucement. Je sens mes deux puces qui se serrent contre moi, les deux mains glissent de mes hanches, se posent sur mes fesses et commencent à me pincer, à me tripoter.
Il a quand même un sacré fessier notre homme.
Je sens la main de Magalie, qui en profite, pour remonter par les jambes du short qui sont très large.
Au naturel, son petit cul, est encore mieux qu’au travers du short. Depuis qu’il nous a fait sa petite danse chez maman, je fantasme dessus.
Rien que de le tripoter je coule comme une fontaine.
Magalie commence à me caresser les fesses, je sens une deuxième main qui la rejoint sous le short, qui me caresse.
Tu as raison petite sœur, au naturel c’est quand même meilleur. Je te comprends, sa petite danse du popotin était craquante, je dois t’avouer que moi aussi je coule comme une fontaine. Cela doit être génétique.
Si je vous dérange je peux rentrer, vous m’énervez quand vous parlez de moi comme si je n’étais pas là. C’est frustrant.
Certainement moins frustrant, que de m’allumer comme tu faisais, à nos débuts, et de me laisser en plan, complètement frustré avec des envies qui me rendaient folle de désirs.
Le fait que Magalie me parle de vos agapes, de ton comportement, de l’amener à avoir des envies, du désir, envie que tu sois en elle, et que tu la laisses avec ses désirs, ses envies inassouvies, m’a remémoré avec énormément de tendresse, nos premières rencontres, nos premiers rendez-vous, nos premiers flirts.
Toi aussi il t’a fait ça !!! Moi aussi, je me suis promis de me venger, mais là je crois que l’on tient notre vengeance et c’est pour ce soir, grande sœur.
Bon je suis mal parti ce soir, elles ont décidé de me chambrer, de rigoler, je sens que ça va partir en délire, mais bon, c’est de bonne guerre. Il faut quand même que je reconnaisse qu’elles ont raison, se retrouver frustré, dans ses envies, n’a rien d’amusant.
Mais si elles en sont où elles sont, c’est grâce à tous ces jeux, pas très catholique, il faut bien le reconnaitre.
Chemin faisant nous arrivons à la première petite crique. Elles s’arrêtent, tout en laissant leurs mains sur mes fesses, se retrouvent perpendiculairement à moi, Magalie, face à Sabine.
Comment tu trouves ? C’est magnifique non ?
C’est ici le lieu de débauche de hier soir. C’est ici, où notre homme t’a sauvagement sodomisé. Qu’il t’as fait jouir comme une démente, qu’il t’a amené à te livrer pieds et poings lié à tes envies, à ses envies ?
Houlala, elle ses sont vraiment tout dit, mais alors tout. Je n’en reviens pas, donc elle sait tout de A à Z. Là je me demande ou elles veulent en venir, mais je sais une seule chose, c’est que les connaissant elles vont arriver où elles veulent.
Je crois bien que ce soir, sa va être ma fête, bon je les comprends aussi.
Je ne peux pas leur donner tort non plus. Je crois que je vais gentiment les laisser faire, je ne pense pas le regretter. Enfin qui sait, elles sont capables de tout, quand elles sont ensemble.
Regarde il ne dit rien, comme dit le proverbe, « qui ne dit mot consent. »
Euh j’étais quand même consentante, disons plus que consentante même. Il ne m’a pas violée quand même. Je dois reconnaitre y avoir pris un certain plaisir, pour ne pas dire un plaisir plus que certain.
Notre homme est quand même un sacré amant, il sait quand même ce qu’il faut faire pour nous emmener là où il faut, pour que nous ne soyons plus, que désir, plus que plaisirs, entre ses mains.
Enfin pas que dans ses mains.
Reconnait quand même, que quand nous sommes dans ses mains, nous nous abandonnons totalement, sachant où nous allons, où il nous emmène. Il nous emmène au pays du bien être, au pays du plaisir, au pays de la jouissance.
Et pour tout cela, il est mon premier homme, mais heureusement que c’est lui.
Tous ceux qui m’on touchés, qui ont essayés de me toucher, étaient d’un fade à côté de lui.
D’ailleurs je te remercie de me le prêter de temps en temps.
Je pense que je vais me taire, ne rien dire, sinon, ça va dégénérer, les connaissant toutes les deux, elles veulent se faire un délire allons y.
Sabine s’éloigne légèrement, pose le sac, sort les serviettes. Elle revient vers nous, je la voie songeuse.
Appelle Rachel s’il te plait pour être sur, que tout se passe bien, que le téléphone fonctionne. Je vais parler avec Magalie.
Propos de Magalie ma belle sœur
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Propos de Louise petite fille de Charlotte
28)
Sabine s’approche de Rachel, la prend dans les bras, et l’embrasse tendrement sur les joues. Deux gros smacks, bien sonore. Magalie s’approche, la prend dans les bras, et fait de même.
Je les regarde, surpris, ce n’est pas dans les habitudes de Sabine. Elle doit avoir ses raisons, elle m’en parlera, si elle estime nécessaire.
Nous nous éloignons, Sabine et Magalie se sont rapprochées de moi, Sabine me prend le sac des mains, je pose mes bras sur leurs épaules, mes mains se retrouvent sur leur poitrine, elle me regarde en souriant, elles ont l’air si heureuses mes deux amours.
Elles passent leurs bras dans mon dos, et leurs mains se posent sur mes hanches, les pouces dans les passants de la ceinture. Par moment je sens des doigts qui pianotent sur mes hanches. Nous nous dirigeons tranquillement vers la mer qui scintille devant nous.
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J’en ai déjà parlé avec Magalie, Rachel est adorable. Elle a un énorme problème avec son père. Elle n’aime pas les hommes, et son père est butté, il ne veut rien comprendre, ne veut pas accepter le fait qu’elle soit lesbienne.
Elle a une amie, elles se voient en cachette. C’est pour cela, que j’ai voulue que tu lui donnes la clef de la chambre. Son amie va la rejoindre discrètement dans la chambre. Elle a aussi droit au bonheur, non !
Elle m’a dit que son père après que l’on soit parti au restaurant, est rentré pour manger. Pendant le repas, il a parlé de nous avec sa femme, devant sa fille.
Il a dit qu’il avait rencontré un homme qui d’après ce qu’il a vue, ce qu’il a compris, vit avec deux sœurs, et qu’en plus ça à l’air de se passer à merveille. C’est là où Rachel, était hier soir, pour garder le bébé et elle y retourne ce soir.
Sa femme qui soutient sa fille, c’est le seul enfant qu’ils ont put avoir. Pour elle, pour sa mère, il n’y a que le bonheur de sa fille qui l’intéresse, rien d’autre. Elle lui a dit
« Tu acceptes la différence chez les autres, mais pas chez ta fille. Un homme avec deux femmes, c’est normal, mais que ta fille aime une autre fille, cela te choque ».
Rachel, a était surprise de la réponse de son père.
« Tu as peut être raison, je me suis braqué, c’est le bonheur de notre fille qui compte, mais quand même ce n’est pas évident pour un père ».
Rachel est parti immédiatement après, et ses parents continuaient d’en parler, pour une fois sans que son père ne crie, sans que son père ne s’énerve.
Nous sommes arrivées à la mer, et nous marchons dans l’eau. Elle est délicieuse. Les puces s’arrêtent. Sabine et Magalie me regardent, comme si elles attendaient ma réponse.
Vous avez eut tout à fait raison, si en plus notre choix de vie, permet de l’aider, j’en serais d’autant plus heureux. C’est vrai que c’est une fille gentille, je comprends son air malheureux, qui semble accroché à ses yeux.
De toute façon, vous étiez d’accord, je ne remets pas en cause le choix de mes deux amours.
Donc dans tous les cas, le « tu dragues mon chéri », était une blague, vous n’êtes pas possible toutes les deux.
Nous repartons doucement. Je sens mes deux puces qui se serrent contre moi, les deux mains glissent de mes hanches, se posent sur mes fesses et commencent à me pincer, à me tripoter.
Il a quand même un sacré fessier notre homme.
Je sens la main de Magalie, qui en profite, pour remonter par les jambes du short qui sont très large.
Au naturel, son petit cul, est encore mieux qu’au travers du short. Depuis qu’il nous a fait sa petite danse chez maman, je fantasme dessus.
Rien que de le tripoter je coule comme une fontaine.
Magalie commence à me caresser les fesses, je sens une deuxième main qui la rejoint sous le short, qui me caresse.
Tu as raison petite sœur, au naturel c’est quand même meilleur. Je te comprends, sa petite danse du popotin était craquante, je dois t’avouer que moi aussi je coule comme une fontaine. Cela doit être génétique.
Si je vous dérange je peux rentrer, vous m’énervez quand vous parlez de moi comme si je n’étais pas là. C’est frustrant.
Certainement moins frustrant, que de m’allumer comme tu faisais, à nos débuts, et de me laisser en plan, complètement frustré avec des envies qui me rendaient folle de désirs.
Le fait que Magalie me parle de vos agapes, de ton comportement, de l’amener à avoir des envies, du désir, envie que tu sois en elle, et que tu la laisses avec ses désirs, ses envies inassouvies, m’a remémoré avec énormément de tendresse, nos premières rencontres, nos premiers rendez-vous, nos premiers flirts.
Toi aussi il t’a fait ça !!! Moi aussi, je me suis promis de me venger, mais là je crois que l’on tient notre vengeance et c’est pour ce soir, grande sœur.
Bon je suis mal parti ce soir, elles ont décidé de me chambrer, de rigoler, je sens que ça va partir en délire, mais bon, c’est de bonne guerre. Il faut quand même que je reconnaisse qu’elles ont raison, se retrouver frustré, dans ses envies, n’a rien d’amusant.
Mais si elles en sont où elles sont, c’est grâce à tous ces jeux, pas très catholique, il faut bien le reconnaitre.
Chemin faisant nous arrivons à la première petite crique. Elles s’arrêtent, tout en laissant leurs mains sur mes fesses, se retrouvent perpendiculairement à moi, Magalie, face à Sabine.
Comment tu trouves ? C’est magnifique non ?
C’est ici le lieu de débauche de hier soir. C’est ici, où notre homme t’a sauvagement sodomisé. Qu’il t’as fait jouir comme une démente, qu’il t’a amené à te livrer pieds et poings lié à tes envies, à ses envies ?
Houlala, elle ses sont vraiment tout dit, mais alors tout. Je n’en reviens pas, donc elle sait tout de A à Z. Là je me demande ou elles veulent en venir, mais je sais une seule chose, c’est que les connaissant elles vont arriver où elles veulent.
Je crois bien que ce soir, sa va être ma fête, bon je les comprends aussi.
Je ne peux pas leur donner tort non plus. Je crois que je vais gentiment les laisser faire, je ne pense pas le regretter. Enfin qui sait, elles sont capables de tout, quand elles sont ensemble.
Regarde il ne dit rien, comme dit le proverbe, « qui ne dit mot consent. »
Euh j’étais quand même consentante, disons plus que consentante même. Il ne m’a pas violée quand même. Je dois reconnaitre y avoir pris un certain plaisir, pour ne pas dire un plaisir plus que certain.
Notre homme est quand même un sacré amant, il sait quand même ce qu’il faut faire pour nous emmener là où il faut, pour que nous ne soyons plus, que désir, plus que plaisirs, entre ses mains.
Enfin pas que dans ses mains.
Reconnait quand même, que quand nous sommes dans ses mains, nous nous abandonnons totalement, sachant où nous allons, où il nous emmène. Il nous emmène au pays du bien être, au pays du plaisir, au pays de la jouissance.
Et pour tout cela, il est mon premier homme, mais heureusement que c’est lui.
Tous ceux qui m’on touchés, qui ont essayés de me toucher, étaient d’un fade à côté de lui.
D’ailleurs je te remercie de me le prêter de temps en temps.
Je pense que je vais me taire, ne rien dire, sinon, ça va dégénérer, les connaissant toutes les deux, elles veulent se faire un délire allons y.
Sabine s’éloigne légèrement, pose le sac, sort les serviettes. Elle revient vers nous, je la voie songeuse.
Appelle Rachel s’il te plait pour être sur, que tout se passe bien, que le téléphone fonctionne. Je vais parler avec Magalie.
Re: Vacances en Corse
Mel29440 a écrit :la suite la suite
je suis vraiment dans une journée de bonté.
Propos de Sabine ma femme
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29)
Reconnait quand même, que quand nous sommes dans ses mains, nous nous abandonnons totalement, sachant où nous allons, où il nous emmène. Il nous emmène au pays du bien être, au pays du plaisir, au pays de la jouissance.
Et pour tout cela, il est mon premier homme, mais heureusement que c’est lui.
Tous ceux qui m’on touchés, qui ont essayés de me toucher, étaient d’un fade à côté de lui.
D’ailleurs je te remercie de me le prêter de temps en temps.
Je pense que je vais me taire, ne rien dire, sinon, ça va dégénérer, les connaissant toutes les deux, elles veulent se faire un délire allons y.
Sabine s’éloigne légèrement, pose le sac, sort les serviettes. Elle revient vers nous, je la voie songeuse.
Appelle Rachel s’il te plait pour être sur, que tout se passe bien, que le téléphone fonctionne. Je vais parler avec Magalie.
-/-
Elle me dit cela avec un regard totalement lubrique. Je prends le téléphone qu’elle me tend, fait le 5055, ça sonne occupé. Bizarre. Je recommence idem, occupé. Par acquis de conscience je fais le 4975 ça sonne, la même petite voix que hier soir me répond.
Rachel, tout va bien ? on s’est trompé vous avez le 4975 et nous le 5055, les téléphones ont étaient inversés, ce n’est pas grave.
« Oui tout va bien il dort tranquillement à côté, de notre lit, euh de mon lit, pas un bruit. »
Sabine m’a expliqué, pas de problèmes pour moi. Elle vous a rejoint.
« Euh oui, elle est là »
Profitez bien, soyez heureuse, ne vous inquiétez pas, cela restera entre nous.
« Merci c’est très gentil, ça me change d’entendre un homme me dire des mots gentils. Amusez vous bien, tous les trois, vous êtes tellement adorables. A tout à l’heure »
Pas de soucis, vous me rappelez s’il vous plait pour tester. Bonsoir.
Je raccroche. Le téléphone sonne, je décroche.
Oui.
« C’est Rachel ».
Ca fonctionne parfaitement, merci et bonne soirée.
« Bonne soirée et merci pour tout ». Elle raccroche.
Je regarde Sabine et Magalie, qui marchent de long en large les pieds dans l’eau. Elles voient que j’ai fini, se dirige vers moi.
Tout va bien, pas de soucis ?
Pas de soucis, l’amie de Rachel est là, elle a l’air toute heureuse d’avoir enfin trouver des personnes qui la comprenne.
Superbe, je suis contente pour elle.
Bien mon chéri, nous avons parlé toutes les deux et ce soir c’est nous qui décidons, de ce qui se passe, de ce que nous voulons.
Notre gentille vengeance sera ce que nous déciderons, ce que nous voulons te faire. Tu ne feras rien en dehors de ce que nous voudrons.
Comme notre première fois avec toi, tu as tout fait, nous a montrer, nous a appris.
Ce soir tes deux élèves, tes deux amours se donnent à toi, se donnent à leur professeur, se donnent à ton plaisir.
C’est notre plaisir, notre envie.
Te faire plaisir.
Elles s’approchent un grand sourire éclaire leurs visages.
Mon amour je t’aime nous t’aimons de tout notre cœur.
Elles se collent à moi, je sens des mains qui m’enlèvent ma saharienne, d’autres qui ouvrent mon short, qui le font tomber au sol, d’autres qui m’enlèvent ma chemise.
Je me retrouve nu comme un vers. Ces mêmes mains me caressent à la moindre occasion, le moindre centimètre carré de peau reçoit la visite d’une main. Les deux puces se reculent se prennent par la taille, me regardent.
Il est beau, notre homme, notre amant, notre chéri.
Avec la lune qui brille derrière, il est sublime.
Rien qu’à le voir, j’ai des envies, nous avons des envies qui nous prennent.
Elles s’avancent vers moi, de leurs démarches de vamp, elles enlèvent leurs tee-shirts, les jettent derrière moi, se rapproche lentement, sensuellement. Elles sont magnifiques, magnifiques d’impudeurs, de désirs, tout simplement magnifique de l’amour qu’elles irradient.
Elles son tellement belles, leurs âmes est tellement belle, comment serait-il possible de ne pas les aimer, de ne pas être en pamoison, devant de telles femmes. Je sens que je bande comme un fou, à en avoir mal, tellement mon sexe est tendu.
Deux mains se posent sur mes cuisses, et glissent doucement vers mon pubis.
Je ne bouge pas, je respect leurs désirs, leurs envies, elles sont parties dans un trip impossible, dans un trip d’enfer, je dois les laisser aller au bout de leurs envies, de leurs désirs, de leurs émotions.
Elles le veulent, je le veux. Voyons jusqu’où elles iront, jusqu’à quel point elles sont prêtes à aller.
Elles sont parties pour se donner, entièrement, se donner à l’amour, se donner à l’homme qu’elles aiment. Plus simplement se donner corps et âme, à l’homme qu’elles aiment.
Elles le veulent, je ne peux qu’accepter, elles l’ont bien fait chacune à leur époque. C’est le minimum que je puisse faire. Je les aime tant, et j’en suis certain, elles m’aiment autant, toutes les deux.
Leurs têtes se posent sur mes épaules, elles m’embrassent tendrement. Les mains arrivent toutes les deux sur mon sexe qui est dans un état incroyable, je n’ai pas souvenance, d’avoir un jour était dans un tel état, qu’il me fasse aussi mal à force de bander.
Elles se posent délicatement de chaque côté de ma verge, se rejoignent, comme pour former un fourreau. Elles commencent à me masturber, avec une douceur incroyable. Je les regarde toutes les deux, leurs yeux brillent, elles sont heureuses.
Elles se donnent entièrement. Elle se donne à leur homme, à leur amant, à leur chéri. Elles livrent leurs corps, leurs âmes, leurs inhibitions. Elles se donnent à son plaisir.
Leurs autres mains me caressent les fesses, un doigt commence à caresser mon anus. D’autres doigts caressent le périnée. Je les voie se regarder, elles me prennent par la main et me dirige vers la mer. Nous entrons dans l’eau. Elles s’arrêtent quand nous avons de l’eau à la taille.
Elles viennent à mes côtés, me prennent dans leurs bras, leurs lèvres se posent sur ma poitrine, me mordille mes tétons, m’embrasse en remontant vers mon cou. Elles arrivent à mes lèvres, j’ai l’impression qu’elles me picorent mes lèvres, les picorent de milliers de baisers.
Je pose mes bras sur leurs épaules, elles se serrent encore plus contre moi. Elles posent leurs têtes sur mes épaules, nous ne bougeons plus. Nous apprécions ce moment de tranquillité, de sérénité, où seul le doux bruit du ressac, se fait entendre, ou ce doux murmure nous berce.
Sabine m’embrasse dans le cou, me mordille le lobe de l’oreille, je frissonne.
Je t’aime mon homme.
Magalie m’embrasse dans le cou, prends mes lèvres, m’embrasse tendrement, avec une délicatesse, une douceur merveilleuse.
Je t’aime mon amant.
Elles se serrent contre moi.
Je vous aime mes chéries.
Je les serre contre moi, embrasse leurs cheveux. Dieu que je suis bien dans leurs bras.
Sabine viens en face de moi, ses bras, se posent sur mes épaules, ses cuisses se soulèvent et viennent enserrer ma taille, mais mains se posent sur ses fesses pour qu’elle puisse se positionner comme il faut sur mes hanches, ses pieds se croisent dans mon dos. Elle m’embrasse tendrement.
Jamais je ne pensais pouvoir aimer autant un homme, qu’il me donne autant d’amour, autant de plaisir.
Elle me serre, à m’étouffer. Je sens une main qui prend mon sexe, une bouche, l’embrasse, le fait coulissé doucement entre les lèvres. Je recule afin de sortir le bas de mon corps de l’eau. Sabine est remontée dans mes bras sentant Magalie sous elle. L’eau est au niveau de mes genoux.
Je sens la bouche se retirer, Sabine écarte son bassin de mon corps, une main se glisse entre nous, écartant les grandes lèvres de Sabine, l’autre me guide en sabine.
Les yeux de Sabine sont révulsée, est-ce de sentir la main d’une autre femme dans son intimité, de la sentir me guider en elle.
Je ne sais pas, ne veux pas savoir, tout ce que je ressens, est le bonheur que je lis dans ses yeux, quand elle descend doucement sur mon sexe, quand elle laisse doucement, lentement mon sexe la pénétrer.
Magalie qui est passé derrière moi, me guide, me maintien, pendant que je recule doucement, Sabine joue avec ses muscles vaginaux. Tour à tour, elle me broie, puis me fait ressentir comme une vague, une onde, c’est délicieusement érotique, délicieusement jouissif.
Arrivé en bordure de plage, Magalie me prend par les épaules, pour m’aider à m’asseoir, sabine pose ses pieds au sol en même temps, elle plie ses jambes au fur et à mesure, pour me garder en elle.
Re: Vacances en Corse
ben alors ma yunaYuna a écrit :trop long.... pas le temps de tout lire.. pas envie.. plus envie..
pourtant ya des passage qui sont pas mal du tout
Re: Vacances en Corse
aller reprend toi yuna tu verra tu le regretera pas ^^Yuna a écrit :oui mais bon...
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Re: Vacances en Corse
Pareil que Yuna, je n'arrive plus à lire, mias je peux au moins l'expliquer, comme je l'ai déjà fait avant, la relation incestueuse entre les deux soeurs... je ne peux pas
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
Re: Vacances en Corse
moi il ne me derange pas au contraireJak67 a écrit :Si ce récit est si dérangeant j'arrête de le poster
Re: Vacances en Corse
ben non Jak n'arrête pas pour ça..
moi il ne me dérange pas.. disons que j'ai des périodes là je suis dans un creux... mais n'arrête pas d'autres lisent ton récit..
moi il ne me dérange pas.. disons que j'ai des périodes là je suis dans un creux... mais n'arrête pas d'autres lisent ton récit..
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Déjà, je le relirai peut-être plus tard, puis on ne va pas priver Mel
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Re: Vacances en Corse
Ah mais non, continue à poster, c'est pas parce que moi j'ai du mal avec la relation des 2 soeurs que ça doit t'arrêter de poster enfin !!!!!Jak67 a écrit :Si ce récit est si dérangeant j'arrête de le poster
Déjà, je le relirai peut-être plus tard, puis on ne va pas priver Mel
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
Re: Vacances en Corse
merci de pensé a moi , moi la relation me derange pas parce que je sais que c'est un recit et je cherche pas a comprendreBikette a écrit :
Ah mais non, continue à poster, c'est pas parce que moi j'ai du mal avec la relation des 2 soeurs que ça doit t'arrêter de poster enfin !!!!!
Déjà, je le relirai peut-être plus tard, puis on ne va pas priver Mel
Re: Vacances en Corse
Mel29440 a écrit : merci de pensé a moi , moi la relation me derange pas parce que je sais que c'est un recit et je cherche pas a comprendre
Dans tout récit il y a une part de fantasme
et une part du réel de la vie de l'auteur
Re: Vacances en Corse
a ouai une part de reel eb di donc j'aimerais bien savoir qu'elle partie est le reel ^^
Re: Vacances en Corse
Il y a toujours une partie de réel...Mel29440 a écrit :a ouai une part de reel eb di donc j'aimerais bien savoir qu'elle partie est le reel ^^
Re: Vacances en Corse
ouai ben pendant se temps y'en a qui attendeJak67 a écrit :le fait de ne plus poster,
des sous marins, émergent
Re: Vacances en Corse
Bonjour.
Il m'a fallu 2 jours pour lire la totalité. Merci car cela a été chaud de temps en temps et avec pas mal d'effets. Il ne manquait qu'une partie adverse pour être au top.
J'espere qu'il y aura une suite lundi.
Il m'a fallu 2 jours pour lire la totalité. Merci car cela a été chaud de temps en temps et avec pas mal d'effets. Il ne manquait qu'une partie adverse pour être au top.
J'espere qu'il y aura une suite lundi.
Re: Vacances en Corse
sa fait 2 semaine que j'essaye d'avoir la suite meme voir pluscombava70 a écrit :Bonjour.
Il m'a fallu 2 jours pour lire la totalité. Merci car cela a été chaud de temps en temps et avec pas mal d'effets. Il ne manquait qu'une partie adverse pour être au top.
J'espere qu'il y aura une suite lundi.
Re: Vacances en Corse
Malgré le peu de réaction,
le manque de lecteurs qui postent,
jecontinue.
(Mel tu es à part)
Propos de Sabine ma femme
Propos de Magalie ma belle sœur
Propos de Jacques
Mes pensées
Propos de Mario
Propos de Charlotte
Propos de Lucie fille de Charlotte
Propos de Louise petite fille de Charlotte
30)
Elle me serre, à m’étouffer. Je sens une main qui prend mon sexe, une bouche, l’embrasse, le fait coulissé doucement entre les lèvres. Je recule afin de sortir le bas de mon corps de l’eau. Sabine est remontée dans mes bras sentant Magalie sous elle. L’eau est au niveau de mes genoux.
Je sens la bouche se retirer, Sabine écarte son bassin de mon corps, une main se glisse entre nous, écartant les grandes lèvres de Sabine, l’autre me guide en sabine. Les yeux de Sabine sont révulsée, est-ce de sentir la main d’une autre femme dans son intimité, de la sentir me guider en elle, je ne sais pas, ne veux pas savoir, tout ce que je ressens, est le bonheur que je lis dans ses yeux, quand elle descend doucement sur mon sexe, quand elle laisse doucement, lentement mon sexe la pénétrer.
Magalie qui est passé derrière moi, me guide, me maintien, pendant que je recule doucement, Sabine joue avec ses muscles vaginaux. Tour à tour, elle me broie, puis me fait ressentir comme une vague, une onde, c’est délicieusement érotique, délicieusement jouissif.
Arrivé en bordure de plage, Magalie me prend par les épaules, pour m’aider à m’asseoir, sabine pose ses pieds au sol en même temps, elle plie ses jambes au fur et à mesure, pour me garder en elle.
-/-
Je me retrouve, allonger sur le sable, les vagues venant doucement finir leur courses sur mes bourses. La caresse est divine. Sabine me regarde tendrement, regarde tendrement Magalie qui est derrière moi. Son visage exprime le bonheur.
Magalie, se déplace, pendant que Sabine recommence ses contractions vaginales, tout en douceur. Je voie Sabine prendre la main de Magalie. Elles se regardent, échangent un doux sourire. Que cette complicité, est belle. Magalie, se penche, m’embrasse, tendrement, s’allongent à mes côtés.
Elle est belle Sabine, notre Sabine, quand elle fait l’amour, avec l’homme de ses rêves, quand elle se donne à lui, quand elle se donne à toi mon amour.
Je sens leurs mains se poser sur mon ventre. Sabine se penche, déroule son corps contre le mien, m’embrasse, se tourne vers Magalie, dépose un tendre baiser sur ses lèvres. Nous prends dans ses bras, ne bouge plus.
Magalie, passe son bras au-dessus d’elle, et prends ma main qui s’est posé sur le flanc de Sabine.
Personne ne bouge. Nous ne formons qu’un, notre amour ne forme qu’un. Nous nous laissons bercer par le bruit du ressac.
Apprends-moi. Apprends-moi à aimer, à vous aimer. Comme tu m’aimes, comme tu aimes Magalie, comme tu nous aimes.
Mon cœur accepte, mon corps accepte, ma tête par moment refuse. Je ne veux pas qu’elle refuse, je ne le veux pas, je ne l’accepte pas.
Elle sanglote doucement.
Magalie nous regarde, la regarde, elle est effarée des mots, de la sincérité des mots qu’elle vient d’entendre. J’admire Sabine d’oser dire, d’oser avouer, ce qu’elle vient de nous dire.
Je sens les doigts de Magalie commencer à s’écarter des miens, Sabine ressent ce bras qui commence à s’écarter d’elle.
Elle attrape doucement la tête de sa sœur, pose son front contre le sien.
Non, je t’en supplie reste, j’ai besoin de toi, besoin de te sentir à mes côtés, à nos côtés.
Tu as dit, sans Sabine, sans Jacques, je ne suis rien.
Je te dis, à toi que j’aime.
Sans toi Magalie, sans Jacques je ne suis rien.
Tu es jeune, mais tellement forte, tellement moi, plus jeune. Quand je te voie, je me voie à ton âge, sans ta force, sans ton courage.
Aide-moi à vous aimer, comme tu nous aimes, aide-moi tout simplement.
Sabine s’écarte de moi, se jette dans les bras de Magalie, elle se serre l’une contre l’autre, se caresse, s’embrasse.
Il n’ya rien d’obscène, rien d’incestueux, simplement une scène irréelle, d’une immense tendresse. Je m’assieds, les regarde, les admire. Elles sont tellement belles, dans la clarté lunaire. Leurs deux corps totalement imbriqués l’un dans l’autre, il m’est impossible de savoir qui est qui.
Elles ne bougent plus, elles se regardent, je n’ose bouger de peur de rompre, de casser ce qui se passe. Je ne sais pas ce qui se passe entre elles en ce moment, mais il se passe quelque chose.
Elles s’accroupissent face à face, tombent dans les bras l’une de l’autre, je voie dans la clarté lunaires des diamants qui s’égrènent de leurs yeux. Je me précipite, les étreints, les embrasse, les caresse. Ma langue lape leurs larmes, ma bouche déguste leurs larmes.
Je vous aime tant, je ne veux pas que l’une de vous deux soit malheureuse, soit triste de mon faite, de ma faute.
Elle se retourne me regarde, leur yeux sont sublimes j’y lis tout l’amour qu’elles ont pour moi.
Sabine s’approche, m’embrasse tendrement, nos langues se retrouvent se caressent.
Je sens les lèvres de Magalie, sur mes joues, la tête de sabine se décale légèrement, nos langues continue leur ballet, si sensuel, si doux.
Magalie m’embrasse, sa langue part à la recherche de ma langue, la trouve, trouve la langue de Sabine, les lèvres de Sabine, mes lèvres, nous nous embrassons, par moment j’embrasse Sabine, à d’autres Magalie, à d’autres elles s’embrassent.
Nos mains cherchent, trouvent nos corps, qui caresse qui, nos mains le savent, nos corps le savent, mais cela ne nous intéresse pas, nous fusionnons, nous ne formons qu’un pour que notre égérie, celle que nous aimons comme notre vie, celle qui a tout permis, celle qui a permis que tout se passe, se sente bien, que sa tête cède, que son esprit comprenne qu’il n’est rien face à notre amour. Que Sabine soit en paix avec elle-même.
Inconsciemment, peut être, je me suis, écartée d’elles, les regardant les admirant. J’admire les deux femmes que j’aime, je sais à ce moment que je partagerais ma vie avec elles. Que je les aimerais toute ma vie, que je ferais tout pour elles, pour qu’elles soient bien, pour les protéger. Je les aime tout simplement, tout naturellement.
Je réalise qu’elles me regardent, je ne sais pas si quelque chose à changer en moi, dans la vision qu’elles ont de moi. J’ai l’impression d’être un livre ouvert, un livre qu’elles sont en train de feuilleter, un livre qu’elles sont en train de lire, mot après mot, ligne après ligne, page après page.
Et ce qu’elles y lisent à l’air de les transporter, de les transcender.
Elles se jettent dans mes bras. Elles m’embrassent, embrasent mon corps, embrasent leurs envies, embrasent leurs désirs.
Elles se jettent sur moi, Sabine m’embrassent comme une folle, elle ne se retient pas, ne se retient plus, elle se livre, se donne à cet amour qui effraye tant sa tête.
Magalie, s’est empalée sur mon sexe, me fait l’amour comme une folle, elle est folle, folle de l’amour qu’elle donne, qu’elle nous donne.
Sabine la regarde, l’embrasse tendrement, se penche vers moi.
Aime nous, je t’en supplie, aime-nous.
Je prends une de ses cuisses, la fait passer au-dessus de moi, elle se retrouve au dessus de ma tête, ma langue caresse ses grandes lèvres, les fouille avec un plaisir évident.
Ses mains les écartent, me présente un bouton d’amour, il est énorme. Il attend cette langue, qui s’approche doucement comme pour le surprendre, cette langue qui va le faire exploser, le faire exploser de désir, de plaisir.
Magalie est déchainée, elle ne me fait pas l’amour, elle me prend, elle me viole, elle me baise. Tout l’amour qu’elle voulait, qu’elle attendait depuis si longtemps, elle le donne, elle est déchainée.
Comme si elle voulait rattraper un quelconque retard, sa vulve ne pleure plus de désespoir, elle pleure de joie. La joie de pouvoir, enfin se faire pénétrer, être comblée par ce sexe qu’elle a tant attendu, tant désiré.
Mes mains remplacent celles de Sabine, qui se penche en avant en les posant sur le sable. Elle s’offre, elle se donne, elle s’abandonne. Elle me donne son bouton d’amour, qui grossi, entre mes lèvres qui le sucent, qui le tètent.
Ma langue part à la découverte de ses petites lèvres où sa cyprine s’écoule abondante, je la bois, goulument, mes lèvres s’étant collées à ses petites lèvres.
Je sens les contractions de son vagin sur ma langue qui le fouille, qui la fouille, qui explore son intimité. Ma langue s’active dans sa vulve, mes doigts caressent tout ce qui se trouve à leurs portés, je sens une boule arrivée dans mon ventre, Magalie arrive à ses fins.
J’ai tellement envie que nous jouissions tous les trois en même temps, ce serait magnifique, l’apothéose pour sabine.
Magalie se laisse tomber sur mon sexe, je la sens partir en avant, sa tête, sa poitrine doivent reposer sur le dos de Sabine. Ses bras l’enserrent, je sens ses mains effleurés mon ventre, quand ses bras se referment sur la taille de Sabine.
Elle est en train de partir, de s’envoler. Elle se tétanise, elle monte est descends plus lentement, son sexe est tellement serré, tellement étroit, il m’enserre tellement que je me demande comment elle y arrive.
J’entends sabine, qui commence à crier, Magalie, à feuler. Et moi je me retiens de mordre ce sexe qui se donne à moi, tant la jouissance qui s’annonce, qui commence à exploser en moi est forte.
Je sens mon sexe se vider, de long spasmes me parcours, ma bouche qui tète le bouton d’amour de Sabine, l’aspire, comme si je chercher l’air en lui. Sabine se contracte, et le même hurlement sort de sa gorge, comme la nuit précédente, sauf que la elle le laisse sortir, comme une louve qui hurle à la lune.
Magalie est totalement tétanisée sur mon sexe. Ses mains qui ont quittées la taille de sa sœur, me griffent les flancs. J’entends la lionne qu’elle est en se moment poussé son feulement de plaisir, de jouissance. Elles s’écroulent sur le sable. Je me demande si je rêve, si je vie, si je suis mort.
le manque de lecteurs qui postent,
jecontinue.
(Mel tu es à part)
Propos de Sabine ma femme
Propos de Magalie ma belle sœur
Propos de Jacques
Mes pensées
Propos de Mario
Propos de Charlotte
Propos de Lucie fille de Charlotte
Propos de Louise petite fille de Charlotte
30)
Elle me serre, à m’étouffer. Je sens une main qui prend mon sexe, une bouche, l’embrasse, le fait coulissé doucement entre les lèvres. Je recule afin de sortir le bas de mon corps de l’eau. Sabine est remontée dans mes bras sentant Magalie sous elle. L’eau est au niveau de mes genoux.
Je sens la bouche se retirer, Sabine écarte son bassin de mon corps, une main se glisse entre nous, écartant les grandes lèvres de Sabine, l’autre me guide en sabine. Les yeux de Sabine sont révulsée, est-ce de sentir la main d’une autre femme dans son intimité, de la sentir me guider en elle, je ne sais pas, ne veux pas savoir, tout ce que je ressens, est le bonheur que je lis dans ses yeux, quand elle descend doucement sur mon sexe, quand elle laisse doucement, lentement mon sexe la pénétrer.
Magalie qui est passé derrière moi, me guide, me maintien, pendant que je recule doucement, Sabine joue avec ses muscles vaginaux. Tour à tour, elle me broie, puis me fait ressentir comme une vague, une onde, c’est délicieusement érotique, délicieusement jouissif.
Arrivé en bordure de plage, Magalie me prend par les épaules, pour m’aider à m’asseoir, sabine pose ses pieds au sol en même temps, elle plie ses jambes au fur et à mesure, pour me garder en elle.
-/-
Je me retrouve, allonger sur le sable, les vagues venant doucement finir leur courses sur mes bourses. La caresse est divine. Sabine me regarde tendrement, regarde tendrement Magalie qui est derrière moi. Son visage exprime le bonheur.
Magalie, se déplace, pendant que Sabine recommence ses contractions vaginales, tout en douceur. Je voie Sabine prendre la main de Magalie. Elles se regardent, échangent un doux sourire. Que cette complicité, est belle. Magalie, se penche, m’embrasse, tendrement, s’allongent à mes côtés.
Elle est belle Sabine, notre Sabine, quand elle fait l’amour, avec l’homme de ses rêves, quand elle se donne à lui, quand elle se donne à toi mon amour.
Je sens leurs mains se poser sur mon ventre. Sabine se penche, déroule son corps contre le mien, m’embrasse, se tourne vers Magalie, dépose un tendre baiser sur ses lèvres. Nous prends dans ses bras, ne bouge plus.
Magalie, passe son bras au-dessus d’elle, et prends ma main qui s’est posé sur le flanc de Sabine.
Personne ne bouge. Nous ne formons qu’un, notre amour ne forme qu’un. Nous nous laissons bercer par le bruit du ressac.
Apprends-moi. Apprends-moi à aimer, à vous aimer. Comme tu m’aimes, comme tu aimes Magalie, comme tu nous aimes.
Mon cœur accepte, mon corps accepte, ma tête par moment refuse. Je ne veux pas qu’elle refuse, je ne le veux pas, je ne l’accepte pas.
Elle sanglote doucement.
Magalie nous regarde, la regarde, elle est effarée des mots, de la sincérité des mots qu’elle vient d’entendre. J’admire Sabine d’oser dire, d’oser avouer, ce qu’elle vient de nous dire.
Je sens les doigts de Magalie commencer à s’écarter des miens, Sabine ressent ce bras qui commence à s’écarter d’elle.
Elle attrape doucement la tête de sa sœur, pose son front contre le sien.
Non, je t’en supplie reste, j’ai besoin de toi, besoin de te sentir à mes côtés, à nos côtés.
Tu as dit, sans Sabine, sans Jacques, je ne suis rien.
Je te dis, à toi que j’aime.
Sans toi Magalie, sans Jacques je ne suis rien.
Tu es jeune, mais tellement forte, tellement moi, plus jeune. Quand je te voie, je me voie à ton âge, sans ta force, sans ton courage.
Aide-moi à vous aimer, comme tu nous aimes, aide-moi tout simplement.
Sabine s’écarte de moi, se jette dans les bras de Magalie, elle se serre l’une contre l’autre, se caresse, s’embrasse.
Il n’ya rien d’obscène, rien d’incestueux, simplement une scène irréelle, d’une immense tendresse. Je m’assieds, les regarde, les admire. Elles sont tellement belles, dans la clarté lunaire. Leurs deux corps totalement imbriqués l’un dans l’autre, il m’est impossible de savoir qui est qui.
Elles ne bougent plus, elles se regardent, je n’ose bouger de peur de rompre, de casser ce qui se passe. Je ne sais pas ce qui se passe entre elles en ce moment, mais il se passe quelque chose.
Elles s’accroupissent face à face, tombent dans les bras l’une de l’autre, je voie dans la clarté lunaires des diamants qui s’égrènent de leurs yeux. Je me précipite, les étreints, les embrasse, les caresse. Ma langue lape leurs larmes, ma bouche déguste leurs larmes.
Je vous aime tant, je ne veux pas que l’une de vous deux soit malheureuse, soit triste de mon faite, de ma faute.
Elle se retourne me regarde, leur yeux sont sublimes j’y lis tout l’amour qu’elles ont pour moi.
Sabine s’approche, m’embrasse tendrement, nos langues se retrouvent se caressent.
Je sens les lèvres de Magalie, sur mes joues, la tête de sabine se décale légèrement, nos langues continue leur ballet, si sensuel, si doux.
Magalie m’embrasse, sa langue part à la recherche de ma langue, la trouve, trouve la langue de Sabine, les lèvres de Sabine, mes lèvres, nous nous embrassons, par moment j’embrasse Sabine, à d’autres Magalie, à d’autres elles s’embrassent.
Nos mains cherchent, trouvent nos corps, qui caresse qui, nos mains le savent, nos corps le savent, mais cela ne nous intéresse pas, nous fusionnons, nous ne formons qu’un pour que notre égérie, celle que nous aimons comme notre vie, celle qui a tout permis, celle qui a permis que tout se passe, se sente bien, que sa tête cède, que son esprit comprenne qu’il n’est rien face à notre amour. Que Sabine soit en paix avec elle-même.
Inconsciemment, peut être, je me suis, écartée d’elles, les regardant les admirant. J’admire les deux femmes que j’aime, je sais à ce moment que je partagerais ma vie avec elles. Que je les aimerais toute ma vie, que je ferais tout pour elles, pour qu’elles soient bien, pour les protéger. Je les aime tout simplement, tout naturellement.
Je réalise qu’elles me regardent, je ne sais pas si quelque chose à changer en moi, dans la vision qu’elles ont de moi. J’ai l’impression d’être un livre ouvert, un livre qu’elles sont en train de feuilleter, un livre qu’elles sont en train de lire, mot après mot, ligne après ligne, page après page.
Et ce qu’elles y lisent à l’air de les transporter, de les transcender.
Elles se jettent dans mes bras. Elles m’embrassent, embrasent mon corps, embrasent leurs envies, embrasent leurs désirs.
Elles se jettent sur moi, Sabine m’embrassent comme une folle, elle ne se retient pas, ne se retient plus, elle se livre, se donne à cet amour qui effraye tant sa tête.
Magalie, s’est empalée sur mon sexe, me fait l’amour comme une folle, elle est folle, folle de l’amour qu’elle donne, qu’elle nous donne.
Sabine la regarde, l’embrasse tendrement, se penche vers moi.
Aime nous, je t’en supplie, aime-nous.
Je prends une de ses cuisses, la fait passer au-dessus de moi, elle se retrouve au dessus de ma tête, ma langue caresse ses grandes lèvres, les fouille avec un plaisir évident.
Ses mains les écartent, me présente un bouton d’amour, il est énorme. Il attend cette langue, qui s’approche doucement comme pour le surprendre, cette langue qui va le faire exploser, le faire exploser de désir, de plaisir.
Magalie est déchainée, elle ne me fait pas l’amour, elle me prend, elle me viole, elle me baise. Tout l’amour qu’elle voulait, qu’elle attendait depuis si longtemps, elle le donne, elle est déchainée.
Comme si elle voulait rattraper un quelconque retard, sa vulve ne pleure plus de désespoir, elle pleure de joie. La joie de pouvoir, enfin se faire pénétrer, être comblée par ce sexe qu’elle a tant attendu, tant désiré.
Mes mains remplacent celles de Sabine, qui se penche en avant en les posant sur le sable. Elle s’offre, elle se donne, elle s’abandonne. Elle me donne son bouton d’amour, qui grossi, entre mes lèvres qui le sucent, qui le tètent.
Ma langue part à la découverte de ses petites lèvres où sa cyprine s’écoule abondante, je la bois, goulument, mes lèvres s’étant collées à ses petites lèvres.
Je sens les contractions de son vagin sur ma langue qui le fouille, qui la fouille, qui explore son intimité. Ma langue s’active dans sa vulve, mes doigts caressent tout ce qui se trouve à leurs portés, je sens une boule arrivée dans mon ventre, Magalie arrive à ses fins.
J’ai tellement envie que nous jouissions tous les trois en même temps, ce serait magnifique, l’apothéose pour sabine.
Magalie se laisse tomber sur mon sexe, je la sens partir en avant, sa tête, sa poitrine doivent reposer sur le dos de Sabine. Ses bras l’enserrent, je sens ses mains effleurés mon ventre, quand ses bras se referment sur la taille de Sabine.
Elle est en train de partir, de s’envoler. Elle se tétanise, elle monte est descends plus lentement, son sexe est tellement serré, tellement étroit, il m’enserre tellement que je me demande comment elle y arrive.
J’entends sabine, qui commence à crier, Magalie, à feuler. Et moi je me retiens de mordre ce sexe qui se donne à moi, tant la jouissance qui s’annonce, qui commence à exploser en moi est forte.
Je sens mon sexe se vider, de long spasmes me parcours, ma bouche qui tète le bouton d’amour de Sabine, l’aspire, comme si je chercher l’air en lui. Sabine se contracte, et le même hurlement sort de sa gorge, comme la nuit précédente, sauf que la elle le laisse sortir, comme une louve qui hurle à la lune.
Magalie est totalement tétanisée sur mon sexe. Ses mains qui ont quittées la taille de sa sœur, me griffent les flancs. J’entends la lionne qu’elle est en se moment poussé son feulement de plaisir, de jouissance. Elles s’écroulent sur le sable. Je me demande si je rêve, si je vie, si je suis mort.
Re: Vacances en Corse
Propos de Sabine ma femme
Propos de Magalie ma belle sœur
Propos de Jacques
Mes pensées
Propos de Mario
Propos de Charlotte
Propos de Lucie fille de Charlotte
Propos de Louise petite fille de Charlotte
31)
Elle est en train de partir, de s’envoler. Elle se tétanise, elle monte est descends plus lentement, son sexe est tellement serré, tellement étroit, il m’enserre tellement que je me demande comment elle y arrive.
J’entends sabine, qui commence à crier, Magalie, à feuler. Et moi je me retiens de mordre ce sexe qui se donne à moi, tant la jouissance qui s’annonce, qui commence à exploser en moi est forte.
Je sens mon sexe se vider, de long spasmes me parcours, ma bouche qui tète le bouton d’amour de Sabine, l’aspire, comme si je chercher l’air en lui. Sabine se contracte, et le même hurlement sort de sa gorge, comme la nuit précédente, sauf que la elle le laisse sortir, comme une louve qui hurle à la lune.
Magalie est totalement tétanisée sur mon sexe. Ses mains qui ont quittées la taille de sa sœur, me griffent les flancs. J’entends la lionne qu’elle est en se moment poussé son feulement de plaisir, de jouissance. Elles s’écroulent sur le sable. Je me demande si je rêve, si je vie, si je suis mort.
-/-
Je cherche ma respiration, essaie de me calmer, de me détendre. Jamais, au grand jamais je n’ai ressenti pareil jouissance, pareil orgasme.
Au bout de quelques secondes, ou est ce des minutes, je ne sais pas, mes mains partent à la recherche des corps de mes amours.
Elles les trouvent, leurs mains joignent les miennes les serrent. Je pose mes mains sur leurs ventres. Je les sens dans le même état que moi, elles essaient de se calmer, de respirer calmement.
J’ai l’impression d’être vider, de toute énergie. De flotter.
Je me retourne à plat ventre, entre mes deux amours, embrasse Sabine longuement tendrement, embrasse Magalie, longuement tendrement.
Elles se rapprochent de moi, se serrent contre moi. Leurs têtes se touchent, leurs cheveux se mélangent, se mêlent. Je vois leurs yeux, leurs yeux magnifiques, éclairé par la lune.
Ceux de Sabine ont l’air apaisé, ceux de Magalie m’interrogent.
Je vous aime, je sais maintenant, que ma vie durant je vous aimerais comme au premier jour. Que rien ne pourra nous séparer, que rien ne pourra détruire notre amour.
Je me tourne vers Sabine.
Sabine je t’aime, tant, ni plus ni moins que ta sœur.
Je me tourne vers Magalie.
Magalie je t’aime tant, ni plus ni moins que ta sœur.
Je vous aime simplement comme si vous étiez une seule entité, une seule et même personne, mon unique amour. Je ne fais pas de différence entre vous deux, et je n’en ferais jamais.
Je les voie qui se regardent, elles s’asseyent, me prennent dans leurs bras.
Merci mon amour, je le savais, mais il fallait que ma tête l’entende. Que je le comprenne, que je l’assimile.
Magalie, je t’ai pris ton amour, tu m’as appris, tu m’as aimé. Tu m’as appris à vous aimer. Merci.
Apprendre quelque chose à ma grande sœur, lui donner mon amour, pour qu’elle soit forte, ne doute plus, jamais au grand jamais, je n’aurais cru que tu en ais besoin, toi qui me semblait être si forte.
Je me lève, les entraine dans la mer. Elles se jettent sur moi, essayant de me couler. Les deux sœurs sont déchainées. Sabine monte, bras tendu, sur mes épaules, pour essayer de me plonger la tête sous l’eau.
Je passe mes bras derrière ses jambes, la bloque face à moi. Sa vulve se retrouve devant ma bouche, je l’embrasse, la lèche, l’eau de mer mélanger à sa mouille me stimule, m’exite.
Magalie il en profite, il abuse de moi. Sauve-moi.
Magalie qui est derrière moi, en profite pour me caresser, elle m’embrasse dans le cou.
Prends là, fais lui l’amour, elle en a besoin, sa tête en a besoin. Qu’elle sente tout l’amour que tu as pour elle, tout l’amour que nous avons pour elle.
Tue ce doute qu’elle a en elle, ce doute qui la ronge. Je suis prête à tout pour l’aider, pour t’aider, pour qu’elle soit en paix avec elle même. Je lui dois tant, je l’aime tant.
Tout en tenant Sabine dans mes bras j’avance vers la plage. Je laisse glisser son corps doucement, j’embrasse ses seins quand je la bloque à nouveau à la bonne hauteur. Je la sens frémir contre moi. Nous arrivons au bord de la plage.
Je la laisse glisser le long de mon corps. Ses pieds touchent le sable. Magalie, qui est derrière elle, s’approche m’embrasse, l’embrasse. Lui prend les mains, l’allonge, s’agenouille à côté d’elle lui caresse les cheveux.
Je t’aime grande sœur.
Elle me tend la main. Je m’approche. Elle me fait m’agenouiller entre les jambes de Sabine.
Elle s’agenouille à nouveau prés de sabine, l’embrasse sur le front.
Il va t’aimer, te faire l’amour, comme tu en a envie, comme tout ton corps le veut, comme tout ton corps le désir. Il va te faire jouir à en perdre la tête, comme il sait si bien le faire.
Je vais rester là, à tes côtés, te donner ma force, te donner mon courage, je vais rester pour te donner mon amour. Je t’aime ma Sabine.
Sabine nous regarde, ses yeux brillent de mille feux. Elle s’assied sur mes cuisses, tend les mains vers sa sœur, la prend dans ses bras, la serre contre elle, l’assoie sur le sable.
Je veux être dans tes yeux quand il me prendra, quand il ferra l’amour. Je t’aime ma petite sœur, j’ai besoin de vous deux pour vivre, pour aimer. Je veux qu’enfin ma tête le comprenne, que ma tête l’accepte.
Il n’y a rien d’incestueux, de pervers, comprends moi. Je voudrais que la femme que Jacques aime autant que moi, soit à mes côtés.
Je voie Magalie s’allonger, écarter les jambes, tendre les bras à sa sœur. Sabine se met à quatre pattes, passe au dessus de Magalie, s’arrête quand leurs têtes sont au-dessus l’une de l’autre, les yeux dans les yeux. Les genoux de Sabine sont contre les cuisses de Magalie. Sabine s’agenouille, tourne sa tête, m’embrasse tendrement, je me suis rapproché en même temps.
Aime moi, prends moi, fais moi jouir, rends moi folle.
Elle s’accroupit, se cambre, me présente ses fesses. Je m’approche, j’embrasse ses fesses, elle frémi, mes doigts caressent sa petite chatte qui dégouline, trouvent son clito, qui se dresse attendant ma caresse, mon autre main qui caresse ses fesses, descends vers son petit œillet. Elle ne réagit pas.
Elle qui jusqu’à présent se contractait, rien que de sentir mes mains sur ses fesses me laisse faire. Deux mains écartent doucement ses fesses. Ma bouche s’approche, embrasse son anus, ma langue passe doucement dessus. Elle tremble, se cambre pour mieux me présenter ses fesses.
Un de mes doigts, la pénètre, pour récupérer sa mouille abondante, ses muscles vaginaux, se contracte, comme pour le retenir, il revient caresser, son anus. Et tout doucement commence à le pénétrer. Elle se cabre, s’assied sur mes cuisses, se retourne, m’embrasse.
Prends moi, prends mes fesses, je te les donne, je veux te sentir en moi, dans mes entrailles, je n’ai plus peur, plus peur d’avoir mal, je t’en prie.
Ses yeux, mon dieu, ils me supplient, encore plus qu’elle, bien plus que ces mots. Ils m’implorent.
J’appuis sur son dos doucement, elle se remet à quatre pattes, je sens une main me guider dans son ventre qui dégouline. Je la pénètre doucement, lentement. Mon pouce que j’ai mouillé abondement dans ma bouche appuis sur son anus, il la pénètre lentement, doucement.
Elle se cambre s’allonge presque sur Magalie qui est sous elle. Deux mains apparaissent, et écartent doucement les fesses. Mon pouce la pénètre totalement, et commence doucement un lent va et viens. Elle gémi, se cambre encore plus.
Une main caresse, mes bourses, je me retire doucement. Je prends mon sexe en main. Les deux mains, réapparaissent et écarte doucement les fesses de sabine. Je positionne mon sexe sur son anus, pose mes mains sur ses hanches.
Propos de Magalie ma belle sœur
Propos de Jacques
Mes pensées
Propos de Mario
Propos de Charlotte
Propos de Lucie fille de Charlotte
Propos de Louise petite fille de Charlotte
31)
Elle est en train de partir, de s’envoler. Elle se tétanise, elle monte est descends plus lentement, son sexe est tellement serré, tellement étroit, il m’enserre tellement que je me demande comment elle y arrive.
J’entends sabine, qui commence à crier, Magalie, à feuler. Et moi je me retiens de mordre ce sexe qui se donne à moi, tant la jouissance qui s’annonce, qui commence à exploser en moi est forte.
Je sens mon sexe se vider, de long spasmes me parcours, ma bouche qui tète le bouton d’amour de Sabine, l’aspire, comme si je chercher l’air en lui. Sabine se contracte, et le même hurlement sort de sa gorge, comme la nuit précédente, sauf que la elle le laisse sortir, comme une louve qui hurle à la lune.
Magalie est totalement tétanisée sur mon sexe. Ses mains qui ont quittées la taille de sa sœur, me griffent les flancs. J’entends la lionne qu’elle est en se moment poussé son feulement de plaisir, de jouissance. Elles s’écroulent sur le sable. Je me demande si je rêve, si je vie, si je suis mort.
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Je cherche ma respiration, essaie de me calmer, de me détendre. Jamais, au grand jamais je n’ai ressenti pareil jouissance, pareil orgasme.
Au bout de quelques secondes, ou est ce des minutes, je ne sais pas, mes mains partent à la recherche des corps de mes amours.
Elles les trouvent, leurs mains joignent les miennes les serrent. Je pose mes mains sur leurs ventres. Je les sens dans le même état que moi, elles essaient de se calmer, de respirer calmement.
J’ai l’impression d’être vider, de toute énergie. De flotter.
Je me retourne à plat ventre, entre mes deux amours, embrasse Sabine longuement tendrement, embrasse Magalie, longuement tendrement.
Elles se rapprochent de moi, se serrent contre moi. Leurs têtes se touchent, leurs cheveux se mélangent, se mêlent. Je vois leurs yeux, leurs yeux magnifiques, éclairé par la lune.
Ceux de Sabine ont l’air apaisé, ceux de Magalie m’interrogent.
Je vous aime, je sais maintenant, que ma vie durant je vous aimerais comme au premier jour. Que rien ne pourra nous séparer, que rien ne pourra détruire notre amour.
Je me tourne vers Sabine.
Sabine je t’aime, tant, ni plus ni moins que ta sœur.
Je me tourne vers Magalie.
Magalie je t’aime tant, ni plus ni moins que ta sœur.
Je vous aime simplement comme si vous étiez une seule entité, une seule et même personne, mon unique amour. Je ne fais pas de différence entre vous deux, et je n’en ferais jamais.
Je les voie qui se regardent, elles s’asseyent, me prennent dans leurs bras.
Merci mon amour, je le savais, mais il fallait que ma tête l’entende. Que je le comprenne, que je l’assimile.
Magalie, je t’ai pris ton amour, tu m’as appris, tu m’as aimé. Tu m’as appris à vous aimer. Merci.
Apprendre quelque chose à ma grande sœur, lui donner mon amour, pour qu’elle soit forte, ne doute plus, jamais au grand jamais, je n’aurais cru que tu en ais besoin, toi qui me semblait être si forte.
Je me lève, les entraine dans la mer. Elles se jettent sur moi, essayant de me couler. Les deux sœurs sont déchainées. Sabine monte, bras tendu, sur mes épaules, pour essayer de me plonger la tête sous l’eau.
Je passe mes bras derrière ses jambes, la bloque face à moi. Sa vulve se retrouve devant ma bouche, je l’embrasse, la lèche, l’eau de mer mélanger à sa mouille me stimule, m’exite.
Magalie il en profite, il abuse de moi. Sauve-moi.
Magalie qui est derrière moi, en profite pour me caresser, elle m’embrasse dans le cou.
Prends là, fais lui l’amour, elle en a besoin, sa tête en a besoin. Qu’elle sente tout l’amour que tu as pour elle, tout l’amour que nous avons pour elle.
Tue ce doute qu’elle a en elle, ce doute qui la ronge. Je suis prête à tout pour l’aider, pour t’aider, pour qu’elle soit en paix avec elle même. Je lui dois tant, je l’aime tant.
Tout en tenant Sabine dans mes bras j’avance vers la plage. Je laisse glisser son corps doucement, j’embrasse ses seins quand je la bloque à nouveau à la bonne hauteur. Je la sens frémir contre moi. Nous arrivons au bord de la plage.
Je la laisse glisser le long de mon corps. Ses pieds touchent le sable. Magalie, qui est derrière elle, s’approche m’embrasse, l’embrasse. Lui prend les mains, l’allonge, s’agenouille à côté d’elle lui caresse les cheveux.
Je t’aime grande sœur.
Elle me tend la main. Je m’approche. Elle me fait m’agenouiller entre les jambes de Sabine.
Elle s’agenouille à nouveau prés de sabine, l’embrasse sur le front.
Il va t’aimer, te faire l’amour, comme tu en a envie, comme tout ton corps le veut, comme tout ton corps le désir. Il va te faire jouir à en perdre la tête, comme il sait si bien le faire.
Je vais rester là, à tes côtés, te donner ma force, te donner mon courage, je vais rester pour te donner mon amour. Je t’aime ma Sabine.
Sabine nous regarde, ses yeux brillent de mille feux. Elle s’assied sur mes cuisses, tend les mains vers sa sœur, la prend dans ses bras, la serre contre elle, l’assoie sur le sable.
Je veux être dans tes yeux quand il me prendra, quand il ferra l’amour. Je t’aime ma petite sœur, j’ai besoin de vous deux pour vivre, pour aimer. Je veux qu’enfin ma tête le comprenne, que ma tête l’accepte.
Il n’y a rien d’incestueux, de pervers, comprends moi. Je voudrais que la femme que Jacques aime autant que moi, soit à mes côtés.
Je voie Magalie s’allonger, écarter les jambes, tendre les bras à sa sœur. Sabine se met à quatre pattes, passe au dessus de Magalie, s’arrête quand leurs têtes sont au-dessus l’une de l’autre, les yeux dans les yeux. Les genoux de Sabine sont contre les cuisses de Magalie. Sabine s’agenouille, tourne sa tête, m’embrasse tendrement, je me suis rapproché en même temps.
Aime moi, prends moi, fais moi jouir, rends moi folle.
Elle s’accroupit, se cambre, me présente ses fesses. Je m’approche, j’embrasse ses fesses, elle frémi, mes doigts caressent sa petite chatte qui dégouline, trouvent son clito, qui se dresse attendant ma caresse, mon autre main qui caresse ses fesses, descends vers son petit œillet. Elle ne réagit pas.
Elle qui jusqu’à présent se contractait, rien que de sentir mes mains sur ses fesses me laisse faire. Deux mains écartent doucement ses fesses. Ma bouche s’approche, embrasse son anus, ma langue passe doucement dessus. Elle tremble, se cambre pour mieux me présenter ses fesses.
Un de mes doigts, la pénètre, pour récupérer sa mouille abondante, ses muscles vaginaux, se contracte, comme pour le retenir, il revient caresser, son anus. Et tout doucement commence à le pénétrer. Elle se cabre, s’assied sur mes cuisses, se retourne, m’embrasse.
Prends moi, prends mes fesses, je te les donne, je veux te sentir en moi, dans mes entrailles, je n’ai plus peur, plus peur d’avoir mal, je t’en prie.
Ses yeux, mon dieu, ils me supplient, encore plus qu’elle, bien plus que ces mots. Ils m’implorent.
J’appuis sur son dos doucement, elle se remet à quatre pattes, je sens une main me guider dans son ventre qui dégouline. Je la pénètre doucement, lentement. Mon pouce que j’ai mouillé abondement dans ma bouche appuis sur son anus, il la pénètre lentement, doucement.
Elle se cambre s’allonge presque sur Magalie qui est sous elle. Deux mains apparaissent, et écartent doucement les fesses. Mon pouce la pénètre totalement, et commence doucement un lent va et viens. Elle gémi, se cambre encore plus.
Une main caresse, mes bourses, je me retire doucement. Je prends mon sexe en main. Les deux mains, réapparaissent et écarte doucement les fesses de sabine. Je positionne mon sexe sur son anus, pose mes mains sur ses hanches.
Dernière modification par DeLsEp9 le 02 décembre 2011, 11:35, modifié 1 fois.