Consultante....
Re: Consultante....
Je n’ai plus de voix, je ne sais plus quoi dire, je sais qu’il peut lire la peur dans mes yeux, je lui sers un verre de vin rouge se qu’il préfère et lui tends le verre.
Jérôme : « merci, vires moi cette robe que je vois se qu’il y a en dessous »
Je me déshabille consciencieusement retirant ma robe de façon la plus sexy possible, retirant une bretelle après l’autre avant de la laisser glisser au sol et de la ramasser, lui présentant ainsi ma croupe nue orné de mon porte jarretelle et mes bas. Je prends la position de présentation qui est mienne, il vient m’embrasser avant d’analyser mon corps comme si il le découvrait pour la première fois, il tourne autour de moi.
Je me sens ridicule et humiliée mais sentir son regard sur moi m’enflamme, je ne peux cacher mes tétons qui se dressent dans mon soutien gorge et je sens ma vulve éclore « t’es qu’une pauvre tarée ma fille » .
Jérôme : « mais tu pointes Marine, ta condition te plait elle tant que ça ? »
Moi : « non, oui, OUI, pardon Jérôme, oui ça me plaît »
Jérôme : « bien, présentes moi tes mamelles que je vois ces tétons »
Je retire mon soutien gorge et reprend ma position, tendant mon buste vers le plafond pour lui présenter mes seins sous leur meilleur jour.
Jérôme : « magnifique tétons dardés »
Moi : « toujours devant toi »
Jérôme : « je le sais, mais pas assez à mon goût, fais moi penser a amener des pinces la prochaine fois »
Moi : « bien Jérôme »
Sa bouche s’approche de mes tétons et s’empare du premier et l’aspire, le plaisir du début se transforme en douleur, il vient le mordre franchement, je ne peux réprimer un couinement. Il fait de même avec l’autre, connaissant d’avance la douleur, je ravale mon cri. Il regarde son œuvre et bois un gorgée de vin.
Jérôme : « bien Marine, tu vas tenir ta position, tu peux crier si tu en éprouve le besoin, nous sommes chez toi, je te laisserai donc expliquer a tes voisins le pourquoi de ces cris si ils viennent. De combien de coups de ceinture, estimes tu avoir besoin pour que tu retiennes la leçon ? Attention si le chiffre est trop bas, je le double »
Moi : «je… je ne sais pas, comme tu le souhaites, toi seul sait se qui est bon pour moi »
Jérôme : « tu te défiles, bien trop facile ! Donnes moi un chiffre et plus vite que ça ? »
Mon cerveau est en ébullition, « pourquoi il me fait ça, je me sens déjà assez humiliée, être obligée de dire moi-même combien je dois recevoir de coups : 5 ? Non trop bas. 10 ? 20 ? C’est trop jamais je ne supporterai cela… je ne sais pas, je ne sais pas, un chiffre vite… »
Moi : « 12 »
Jérôme : « 12 ? c’est ton dernier mot, tu es sûre de toi ? »
Moi : « je… oui »
Jérôme : « bien Marine, 12 c’est raisonnable et 26 serait beaucoup trop pour une première correction. Je veux t’entendre compter à haute voix »
Moi : « bien Jérôme »
Je l’entends détaché sa ceinture, tout mes muscles se crispent sous le frisson qui me parcoure et le silence se fait avant que le premier coup tombe, bien plus fort et plus cuisant que le souvenir que j’en gardais, je ne peux m’empêcher de crier. La brulure laissée sur mes fesses est vive incandescente, mes yeux se ferment d’eux même malgré les larmes qui roulent sur mes joues.
Moi : « un… deux… »
Les premiers coups s’enchainent sans que j’ai le temps de reprendre mon souffle mais je les mérites, le cuir mordant la peau de mon dos, mes cuisses, mon sexe ou mes fesses sans règle précise me fait me tordre et me plier, mais j’essaie le plus possible de tenir ma position. Je ne peux retenir mes larmes, mais je dois me montrer forte pour lui, lui montrer que j’accepte ma pénitence et prends pleinement conscience de mon erreur.
Mes cris s’amenuisent au fur et à mesure qu’ils tombent mais la douleur pourtant plus forte a chacun des impacts devient presque familière, même plaisante.
Au douzième coups Jérôme s’arrête, il est légèrement essoufflé autant que moi, prends une gorgée de vin, s’allume une cigarette, j’en profite pour respirer, mon dos est brulant, j’irradie, je le sens.
Je souffle quand il vient se coller contre moi, le frottement du tissu sur mon dos surprenant, vif mais il me prends dans ces bras et attrape le lobe de mon oreille, le lèche, le mordille.
Jérôme : « je pense que tu as compris la leçon, je suis fière de toi »
Moi : « je… merci… j’aurai pas du… pardonne moi encore Jérôme… »
Jérôme : « bien et tu sais se que tu dois faire maintenant »
Moi : « oui te sucer »
Il enserre mes cheveux à leur base au niveau de ma nuque et me fait tourner la tête, il approche ses lèvres des miennes sans m’embrasser restant ainsi à quelque centimètres des miennes. J’essaie de me mouvoir pour presser les miennes contre ces lèvres qui me font tant envie mais je n’y arrive pas, la prise est parfaite et immobilise toute ma tête je suis surprise mais comprends que je vais devoir m’y habituer et quand il vient lui-même prendre possession de ma bouche, je suis aux anges.
Jérôme : « merci, vires moi cette robe que je vois se qu’il y a en dessous »
Je me déshabille consciencieusement retirant ma robe de façon la plus sexy possible, retirant une bretelle après l’autre avant de la laisser glisser au sol et de la ramasser, lui présentant ainsi ma croupe nue orné de mon porte jarretelle et mes bas. Je prends la position de présentation qui est mienne, il vient m’embrasser avant d’analyser mon corps comme si il le découvrait pour la première fois, il tourne autour de moi.
Je me sens ridicule et humiliée mais sentir son regard sur moi m’enflamme, je ne peux cacher mes tétons qui se dressent dans mon soutien gorge et je sens ma vulve éclore « t’es qu’une pauvre tarée ma fille » .
Jérôme : « mais tu pointes Marine, ta condition te plait elle tant que ça ? »
Moi : « non, oui, OUI, pardon Jérôme, oui ça me plaît »
Jérôme : « bien, présentes moi tes mamelles que je vois ces tétons »
Je retire mon soutien gorge et reprend ma position, tendant mon buste vers le plafond pour lui présenter mes seins sous leur meilleur jour.
Jérôme : « magnifique tétons dardés »
Moi : « toujours devant toi »
Jérôme : « je le sais, mais pas assez à mon goût, fais moi penser a amener des pinces la prochaine fois »
Moi : « bien Jérôme »
Sa bouche s’approche de mes tétons et s’empare du premier et l’aspire, le plaisir du début se transforme en douleur, il vient le mordre franchement, je ne peux réprimer un couinement. Il fait de même avec l’autre, connaissant d’avance la douleur, je ravale mon cri. Il regarde son œuvre et bois un gorgée de vin.
Jérôme : « bien Marine, tu vas tenir ta position, tu peux crier si tu en éprouve le besoin, nous sommes chez toi, je te laisserai donc expliquer a tes voisins le pourquoi de ces cris si ils viennent. De combien de coups de ceinture, estimes tu avoir besoin pour que tu retiennes la leçon ? Attention si le chiffre est trop bas, je le double »
Moi : «je… je ne sais pas, comme tu le souhaites, toi seul sait se qui est bon pour moi »
Jérôme : « tu te défiles, bien trop facile ! Donnes moi un chiffre et plus vite que ça ? »
Mon cerveau est en ébullition, « pourquoi il me fait ça, je me sens déjà assez humiliée, être obligée de dire moi-même combien je dois recevoir de coups : 5 ? Non trop bas. 10 ? 20 ? C’est trop jamais je ne supporterai cela… je ne sais pas, je ne sais pas, un chiffre vite… »
Moi : « 12 »
Jérôme : « 12 ? c’est ton dernier mot, tu es sûre de toi ? »
Moi : « je… oui »
Jérôme : « bien Marine, 12 c’est raisonnable et 26 serait beaucoup trop pour une première correction. Je veux t’entendre compter à haute voix »
Moi : « bien Jérôme »
Je l’entends détaché sa ceinture, tout mes muscles se crispent sous le frisson qui me parcoure et le silence se fait avant que le premier coup tombe, bien plus fort et plus cuisant que le souvenir que j’en gardais, je ne peux m’empêcher de crier. La brulure laissée sur mes fesses est vive incandescente, mes yeux se ferment d’eux même malgré les larmes qui roulent sur mes joues.
Moi : « un… deux… »
Les premiers coups s’enchainent sans que j’ai le temps de reprendre mon souffle mais je les mérites, le cuir mordant la peau de mon dos, mes cuisses, mon sexe ou mes fesses sans règle précise me fait me tordre et me plier, mais j’essaie le plus possible de tenir ma position. Je ne peux retenir mes larmes, mais je dois me montrer forte pour lui, lui montrer que j’accepte ma pénitence et prends pleinement conscience de mon erreur.
Mes cris s’amenuisent au fur et à mesure qu’ils tombent mais la douleur pourtant plus forte a chacun des impacts devient presque familière, même plaisante.
Au douzième coups Jérôme s’arrête, il est légèrement essoufflé autant que moi, prends une gorgée de vin, s’allume une cigarette, j’en profite pour respirer, mon dos est brulant, j’irradie, je le sens.
Je souffle quand il vient se coller contre moi, le frottement du tissu sur mon dos surprenant, vif mais il me prends dans ces bras et attrape le lobe de mon oreille, le lèche, le mordille.
Jérôme : « je pense que tu as compris la leçon, je suis fière de toi »
Moi : « je… merci… j’aurai pas du… pardonne moi encore Jérôme… »
Jérôme : « bien et tu sais se que tu dois faire maintenant »
Moi : « oui te sucer »
Il enserre mes cheveux à leur base au niveau de ma nuque et me fait tourner la tête, il approche ses lèvres des miennes sans m’embrasser restant ainsi à quelque centimètres des miennes. J’essaie de me mouvoir pour presser les miennes contre ces lèvres qui me font tant envie mais je n’y arrive pas, la prise est parfaite et immobilise toute ma tête je suis surprise mais comprends que je vais devoir m’y habituer et quand il vient lui-même prendre possession de ma bouche, je suis aux anges.
Re: Consultante....
Ses lèvres sont un délice, un enchantement inimaginable, elles sont douces, chaudes, le baiser parfait, nos langues se jouant l’une de l’autre, se cherchant pour mieux se séparer avant qu’il n’arrête et vienne déposer un baiser sur mon front.
Il se dirige dans le canapé et je dois le suivre car à aucun moment il ne desserre la pression, il s’assieds et je m’installe à genoux à ses pieds, je sais que c’est se qu’il attends de moi, je dois maintenant le sucer et m’appliquer.
Il lâche mes cheveux et me regarde un moment dans les yeux en caressant mon visage, j’embrasse sa main quand je le peux , je me redresse pour venir embrasser ses lèvres encore une fois, mes mains sont posées sur ses genoux et remontent le long de ses cuisses.
A travers la toile de son pantalon je sens son sexe sursauter, mes deux mains viennent reposer dessus et le caresser, le masturber lentement pour le faire gonfler. Je me débats avec son pantalon, « j’ai jamais été doué avec ça » , lui retire ainsi que son boxer par la même occasion, la scène qui se déroule me rappelle celle d’une servante au pieds de son roi et je réalise que c’est un peu l’image que j’ai de lui.
En me redressant pour le retirer et le poser avec délicatesse sur le dossier de canapé, mes seins arrivent à hauteur de son visage il les attrape pleinement et vient les lécher l’un après l’autre, suçant mes petites pointes dardés de plaisir pour lui, mon roi.
Je reprends ma place tout en me frottant, telle une chatte, les seins sur son torse puis son ventre, et installe l’objet de mon désir bandé entre mes deux globes. Je le lèche, le goûte, m’imprègne de sa saveur et l’avale au plus profond de ma bouche. L’étau de mes lèvres se serre et je commence un délicat va et vient, m’assurant de bien lubrifier son vit, mon sexe ruisselle de bonheur, du bonheur que je lui offre. Il durcit sous mes coups de langue, je remonte pour jouer sur son gland de ma langue comme je le ferai avec une glace, léchant, aspirant, suçotant par endroit. Ma langue titille son méat délicatement puis aspire toute sa tige à nouveau. Ses soupirs m’encouragent, mes mains sur ses hanches glissent sur l’intérieur de ses cuisses pour venir malaxer ses bourses lourdes, je suis offerte à son plaisir, je veux qu’il soit fier de moi, que ma bouche devienne le refuge de son chibre.
Je quitte à nouveau sa hampe, pour venir m’emparer de ses bourses, je les gobe, les lèches, mordille cette peau délicate, ma tête caler entre les cuisses, il se penche et vient jouer de ses doigts dans ma raie culière, un doigt s’amuse caressant mon œillet, passant et repassant, le massant, le forçant en douceur, je gémis de me sentir ainsi fouillée, avant qu’il ne descende vers ma fente.
En réponse ma langue s’enfonce entre ses globes fessier et vient jouer avec le sien, léchant, lubrifiant son étoile, la forçant de ma langue pendant que deux de ses doigts prenne possession de mon con brulant. Je me cambre lui facilitant l’accès de mon puits de plaisir dégoulinant comme jamais. Aucun mot n’est prononcé uniquement nos souffles saccadés et le clapotis de nos gestes.
Son étoile cède un doigt vient s’y aventurer, le fouiller en douceur, avant de masser sa zone sensible pendant que je reprend possession de ses couilles tendues et de sa belle queue. Je l’aspire, le pompe avec gourmandise en réflexe à ses doigts inquisiteurs et la volupté dans laquelle ils m’emmènent. J’enfonce son gland le plus profondément possible et le masse avec mes amygdales en effectuant des déglutitions, sous l’effet du plaisir qu’il me donne je l’enfonce plus profondément en moi mais la nausée me stoppe dans mon mouvement. Ses doigts se retirent, je ne peux retenir un gémissement, il caresse mon visage et d’un geste du doigt sur ma mâchoire me fait relever la tête, je le regarde, impatiente de continuer :
Jérôme : « viens t’empaler ma belle »
Cette demande me laisse interdite, je ne comprends pas, mais ses désirs sont des ordres et cette perspective enflamme tout mon être. Je me lève face à lui, l’enjambe et m’empale, mon sexe aspire son pieu de chair, je suis bien, remplie à la perfection, je danse pour lui, me fouille profondément, mon sexe lui est offert, ouvert comme jamais, il attrape mes cheveux et les tire en arrière, ma gorge se déploie, ma peau se hérisse d’extase, ma matrice est martelée mais quel bonheur inattendu.
Il se dirige dans le canapé et je dois le suivre car à aucun moment il ne desserre la pression, il s’assieds et je m’installe à genoux à ses pieds, je sais que c’est se qu’il attends de moi, je dois maintenant le sucer et m’appliquer.
Il lâche mes cheveux et me regarde un moment dans les yeux en caressant mon visage, j’embrasse sa main quand je le peux , je me redresse pour venir embrasser ses lèvres encore une fois, mes mains sont posées sur ses genoux et remontent le long de ses cuisses.
A travers la toile de son pantalon je sens son sexe sursauter, mes deux mains viennent reposer dessus et le caresser, le masturber lentement pour le faire gonfler. Je me débats avec son pantalon, « j’ai jamais été doué avec ça » , lui retire ainsi que son boxer par la même occasion, la scène qui se déroule me rappelle celle d’une servante au pieds de son roi et je réalise que c’est un peu l’image que j’ai de lui.
En me redressant pour le retirer et le poser avec délicatesse sur le dossier de canapé, mes seins arrivent à hauteur de son visage il les attrape pleinement et vient les lécher l’un après l’autre, suçant mes petites pointes dardés de plaisir pour lui, mon roi.
Je reprends ma place tout en me frottant, telle une chatte, les seins sur son torse puis son ventre, et installe l’objet de mon désir bandé entre mes deux globes. Je le lèche, le goûte, m’imprègne de sa saveur et l’avale au plus profond de ma bouche. L’étau de mes lèvres se serre et je commence un délicat va et vient, m’assurant de bien lubrifier son vit, mon sexe ruisselle de bonheur, du bonheur que je lui offre. Il durcit sous mes coups de langue, je remonte pour jouer sur son gland de ma langue comme je le ferai avec une glace, léchant, aspirant, suçotant par endroit. Ma langue titille son méat délicatement puis aspire toute sa tige à nouveau. Ses soupirs m’encouragent, mes mains sur ses hanches glissent sur l’intérieur de ses cuisses pour venir malaxer ses bourses lourdes, je suis offerte à son plaisir, je veux qu’il soit fier de moi, que ma bouche devienne le refuge de son chibre.
Je quitte à nouveau sa hampe, pour venir m’emparer de ses bourses, je les gobe, les lèches, mordille cette peau délicate, ma tête caler entre les cuisses, il se penche et vient jouer de ses doigts dans ma raie culière, un doigt s’amuse caressant mon œillet, passant et repassant, le massant, le forçant en douceur, je gémis de me sentir ainsi fouillée, avant qu’il ne descende vers ma fente.
En réponse ma langue s’enfonce entre ses globes fessier et vient jouer avec le sien, léchant, lubrifiant son étoile, la forçant de ma langue pendant que deux de ses doigts prenne possession de mon con brulant. Je me cambre lui facilitant l’accès de mon puits de plaisir dégoulinant comme jamais. Aucun mot n’est prononcé uniquement nos souffles saccadés et le clapotis de nos gestes.
Son étoile cède un doigt vient s’y aventurer, le fouiller en douceur, avant de masser sa zone sensible pendant que je reprend possession de ses couilles tendues et de sa belle queue. Je l’aspire, le pompe avec gourmandise en réflexe à ses doigts inquisiteurs et la volupté dans laquelle ils m’emmènent. J’enfonce son gland le plus profondément possible et le masse avec mes amygdales en effectuant des déglutitions, sous l’effet du plaisir qu’il me donne je l’enfonce plus profondément en moi mais la nausée me stoppe dans mon mouvement. Ses doigts se retirent, je ne peux retenir un gémissement, il caresse mon visage et d’un geste du doigt sur ma mâchoire me fait relever la tête, je le regarde, impatiente de continuer :
Jérôme : « viens t’empaler ma belle »
Cette demande me laisse interdite, je ne comprends pas, mais ses désirs sont des ordres et cette perspective enflamme tout mon être. Je me lève face à lui, l’enjambe et m’empale, mon sexe aspire son pieu de chair, je suis bien, remplie à la perfection, je danse pour lui, me fouille profondément, mon sexe lui est offert, ouvert comme jamais, il attrape mes cheveux et les tire en arrière, ma gorge se déploie, ma peau se hérisse d’extase, ma matrice est martelée mais quel bonheur inattendu.
Re: Consultante....
Jérôme : « c’est ça, danse sur ma queue mais interdiction de jouir »
Moi : « comme tu voudras Jérôme »
Jérôme : « bonne femelle »
Je continue ma danse, je gémis, contractant ma vulve pour l’enserrer un peu plus dans mon fourreau, la boule grossie au creux de mon ventre mais ne doit pas exploser. Je ralentie avant de reprendre de plus belle, j’alterne pilonnage et fouillage, il me tient, me possède entièrement ainsi, ma tête ne réfléchie plus, mon corps est seul maître de ma personne. Je suffoque, mon plaisir est là mais la vague doit être contrôlée, maîtrisée.
Jérôme : « comment tu te sens »
Moi : « remplie… bien… au nirvana… »
Jérôme : « alors viens finir avec ta bouche »
Moi : « quoi !? »
Jérôme : « faut il réellement que je me répète »
Une rage sourde s’empare de moi tranchant vivement mon plaisir et ma jouissance présente mais inachevée. Je me relève et m’agenouille à nouveau devant lui. Je m’applique a lécher mon miel sur sa queue et son gland cramoisie, je le vois fermer les yeux et rejeter sa tête en arrière, je le pompe de rage, je l’aspire comme si toute ma colère était concentrée en mes lèvres et que je voulais la lui transmettre, je le sens palpiter, je prends conscience que sous l’effet de la colère je lui donne du plaisir comme jamais. Ma colère s’efface à mesure que mes lèvres glissent sur sa tige, je prends sa main que je pose sur ma tête, sa poigne se referme sur mes cheveux, je veux qu’il me guide, qu’il m’utilise comme bon lui semble et qu’il jouisse dans ma bouche, dans ma gorge, je veux le boire, l’avaler, ne pas perdre une seule goutte de son nectar.
Il gémit, se tend, se plante dans ma bouche et je sens les jets chauds éclabousser ma gorge et inonder ma bouche, je l’avale, bois directement à sa source, je me sens heureuse, j’ai accomplie ma tâche et si j’en juge à l’abondance de sa semence il doit également être heureux. Je retire son vit m’appliquant a le nettoyer et ne laisser aucune trace de la jouissance que je viens de lui donner.
Il reste ainsi, tête rejeté, yeux clos, a demi habillé et sexe semi bandé dans mon canapé, je l’observe, mon roi, Jérôme, d’une beauté fracassante à ce moment précis, l’homme, le Mâle dans toute sa splendeur, je souris, je suis heureuse de cette soirée, de se que je viens d’accomplir pour lui.
Il rouvre les yeux, redresse sa tête et me fait signe de venir à coté de lui, j’attrape une cigarette et m’assieds à coté de lui.
Moi : « comme tu voudras Jérôme »
Jérôme : « bonne femelle »
Je continue ma danse, je gémis, contractant ma vulve pour l’enserrer un peu plus dans mon fourreau, la boule grossie au creux de mon ventre mais ne doit pas exploser. Je ralentie avant de reprendre de plus belle, j’alterne pilonnage et fouillage, il me tient, me possède entièrement ainsi, ma tête ne réfléchie plus, mon corps est seul maître de ma personne. Je suffoque, mon plaisir est là mais la vague doit être contrôlée, maîtrisée.
Jérôme : « comment tu te sens »
Moi : « remplie… bien… au nirvana… »
Jérôme : « alors viens finir avec ta bouche »
Moi : « quoi !? »
Jérôme : « faut il réellement que je me répète »
Une rage sourde s’empare de moi tranchant vivement mon plaisir et ma jouissance présente mais inachevée. Je me relève et m’agenouille à nouveau devant lui. Je m’applique a lécher mon miel sur sa queue et son gland cramoisie, je le vois fermer les yeux et rejeter sa tête en arrière, je le pompe de rage, je l’aspire comme si toute ma colère était concentrée en mes lèvres et que je voulais la lui transmettre, je le sens palpiter, je prends conscience que sous l’effet de la colère je lui donne du plaisir comme jamais. Ma colère s’efface à mesure que mes lèvres glissent sur sa tige, je prends sa main que je pose sur ma tête, sa poigne se referme sur mes cheveux, je veux qu’il me guide, qu’il m’utilise comme bon lui semble et qu’il jouisse dans ma bouche, dans ma gorge, je veux le boire, l’avaler, ne pas perdre une seule goutte de son nectar.
Il gémit, se tend, se plante dans ma bouche et je sens les jets chauds éclabousser ma gorge et inonder ma bouche, je l’avale, bois directement à sa source, je me sens heureuse, j’ai accomplie ma tâche et si j’en juge à l’abondance de sa semence il doit également être heureux. Je retire son vit m’appliquant a le nettoyer et ne laisser aucune trace de la jouissance que je viens de lui donner.
Il reste ainsi, tête rejeté, yeux clos, a demi habillé et sexe semi bandé dans mon canapé, je l’observe, mon roi, Jérôme, d’une beauté fracassante à ce moment précis, l’homme, le Mâle dans toute sa splendeur, je souris, je suis heureuse de cette soirée, de se que je viens d’accomplir pour lui.
Il rouvre les yeux, redresse sa tête et me fait signe de venir à coté de lui, j’attrape une cigarette et m’assieds à coté de lui.
Re: Consultante....
Je suis chez moi et pourtant je suis dans l’incapacité de faire le moindre geste sans son consentement. Il m’attrape et me tire à lui, je me blottis, je suis bien, j’entends les battements de son cœur reprendre un rythme régulier, il m’attrape ma cigarette et la fume tout en me caressant doucement l’épaule. Je ressens cette caresse comme un remerciement, je relève la tête et le regarde dans les yeux, nos lèvres se joignent dans un doux baiser, presque un baiser de cinéma, ses lèvres sont un délice dont je n’arrive pas a me repaître, sa langue chaude caresse la mienne avec tendresse animant un peu plus mon feu intérieur.
Jérôme : « je suis content de toi, mais tu as encore beaucoup a apprendre »
Moi : « Merci Jérôme »
Jérôme : « toi que ressens tu ? »
Moi : « je suis fière de se que j’ai fait ce soir »
Jérôme : « et qu’as-tu fait ? »
Moi : « j’ai reçu ma première punition et même si au début j’ai eu du mal a retenir mes cris à la fin j’ai réussi a les contenir »
Jérôme : « et pourquoi cela ? »
Moi : « parce que je voulais te montrer que j’acceptais la punition qui était mienne sans broncher »
Jérôme : « très bonne réponse. Allez je vais y aller »
Moi : « ah… je… »
Jérôme : « qu’est ce qu’il y a Marine, serais tu frustré ? »
Moi : « bah oui »
Jérôme : « t’aimerais que je te prenne la maintenant sauvagement, que je te baise et que t’en jouisse ? »
Ces simples mots font monter la boule de mon ventre contracté à ma gorge, ma vulve est ouverte prête, lubrifiée, vide et en manque, « oui je suis en manque de sa queue » , mes mamelons sont tendus, dures et affamés d’une jouissance imminente.
Moi : « oh oui… »
Jérôme : « parfait, tu vas devoir attendre petite femelle lubrique »
Moi : « non »
Jérôme : « quoi ? »
Moi : « non pardon, je n’ai rien dit, comme tu voudras »
Jérôme : « je préfère et pourquoi ? »
Moi : « parce que mon plaisir t’appartient »
Jérôme : « Bien »
Il se lève, se rhabille, attrape ses affaires, je le suis jusqu'à ma porte, quand il se retourne face à moi, un air grave plisse son front, une sensation désagréable s’empare de moi, ma boule de plaisir est remplacée par une boule de peur qui tord mes intestins.
Jérôme : « je veux que tu te méfis d’Emmy, je sais que vous vous entendez bien, qu’elle est ta copine mais elle ne sera pas toujours de bon conseil dans la voie que tu entreprends à mes côtés »
Moi : « quoi ? Comment ça je ne comprends »
Jérôme : « elle sait se que tu est entrain de vivre pour l’avoir vécu elle-même »
Moi : « Emmy ? Soumise ? »
Jérôme : « Et disons que malheureusement pour elle, ça ne s’est pas bien passé. Si elle veut t’en parler, elle t’en parlera, mais je veux que tu te méfies des conseils qu’elle pourrait te donner. Chaque relation est unique Marine, n’oublies pas cela »
Moi : « bien »
Jérôme : « je suis content de toi, mais tu as encore beaucoup a apprendre »
Moi : « Merci Jérôme »
Jérôme : « toi que ressens tu ? »
Moi : « je suis fière de se que j’ai fait ce soir »
Jérôme : « et qu’as-tu fait ? »
Moi : « j’ai reçu ma première punition et même si au début j’ai eu du mal a retenir mes cris à la fin j’ai réussi a les contenir »
Jérôme : « et pourquoi cela ? »
Moi : « parce que je voulais te montrer que j’acceptais la punition qui était mienne sans broncher »
Jérôme : « très bonne réponse. Allez je vais y aller »
Moi : « ah… je… »
Jérôme : « qu’est ce qu’il y a Marine, serais tu frustré ? »
Moi : « bah oui »
Jérôme : « t’aimerais que je te prenne la maintenant sauvagement, que je te baise et que t’en jouisse ? »
Ces simples mots font monter la boule de mon ventre contracté à ma gorge, ma vulve est ouverte prête, lubrifiée, vide et en manque, « oui je suis en manque de sa queue » , mes mamelons sont tendus, dures et affamés d’une jouissance imminente.
Moi : « oh oui… »
Jérôme : « parfait, tu vas devoir attendre petite femelle lubrique »
Moi : « non »
Jérôme : « quoi ? »
Moi : « non pardon, je n’ai rien dit, comme tu voudras »
Jérôme : « je préfère et pourquoi ? »
Moi : « parce que mon plaisir t’appartient »
Jérôme : « Bien »
Il se lève, se rhabille, attrape ses affaires, je le suis jusqu'à ma porte, quand il se retourne face à moi, un air grave plisse son front, une sensation désagréable s’empare de moi, ma boule de plaisir est remplacée par une boule de peur qui tord mes intestins.
Jérôme : « je veux que tu te méfis d’Emmy, je sais que vous vous entendez bien, qu’elle est ta copine mais elle ne sera pas toujours de bon conseil dans la voie que tu entreprends à mes côtés »
Moi : « quoi ? Comment ça je ne comprends »
Jérôme : « elle sait se que tu est entrain de vivre pour l’avoir vécu elle-même »
Moi : « Emmy ? Soumise ? »
Jérôme : « Et disons que malheureusement pour elle, ça ne s’est pas bien passé. Si elle veut t’en parler, elle t’en parlera, mais je veux que tu te méfies des conseils qu’elle pourrait te donner. Chaque relation est unique Marine, n’oublies pas cela »
Moi : « bien »
Re: Consultante....
En partant il dépose un baiser sur mon front, j’ai mal je sens tout mon sexe se contracter avide de la jouissance que je n’aurai pas et en même temps ma phrase résonne dans ma tête « Emmy, soumise ».
Je me dirige vers ma salle de bain pour faire couler l’eau, en passant devant mon miroir, je regarde cette femme, moi, en porte jarretelle et bas, je me retourne et découvre mes nouvelles marques, le contact de mes doigts sur les boursoufflures légères me renvoie la douleur que j’ai eue en les recevant et pourtant je les trouve belles, elles sont le signe de ma dévotion pour Jérôme. Je continue de caresser mon corps, mes seins dont les tétons dardés fièrement sont dur lorsque je les pinces et mon entre cuisse légèrement souillée de mon jus. J’introduis un doigt entre mes lèvres intimes et constate combien je suis trempée, je soupire et retire mes doigts, même si je pourrais lui mentir et me faire jouir, c’est de lui dont j’ai envie que vienne cet orgasme pas de moi.
Je plonge dans l’eau chaude, mes marques se ravivent au contact de la chaleur, je fais couler de l’eau fraîche pour apaiser mon corps et me détends.
En sortant de l’eau, encore humide et enroulée dans ma serviette, je lance un plat surgelé au micro onde avant de prendre ma crème pour le corps et de m’en badigeonner tout le corps.
J’enfile un t-shirt et m’installe dans mon canapé devant la télé mais la tête bien ailleurs.
Je m’imagine Emmy à ma place, quelque chose d’inimaginable pour moi, elle femme forte et de caractère, femme soumise au pieds d’un homme, ça m’échappe j’essaie en vain de remettre en ordre toute les connaissances que j’ai de sa vie, le peu qu’elle m’en a parlé, sa bisexualité, son homme, son ex copine, son ami Dom, ce baiser que je lui ai volé, les caresses qu’elle m’a donné ce soir dans les toilettes d’un bar, ces conseils en lingerie, « le sac ? Oh putain, je l’ai oublié dans la voiture de Jérôme, oh la gourde ».
Je prends mon téléphone et pour la première fois je me demande si je peux lui envoyer un sms, et si jamais je le dérange ? Et en plus ça va lui montrer combien je suis tête en l’air. De toute façon je n’ai pas le choix, je me dois de lui envoyer.
Moi : bonsoir, j’ai oublié mon sac de sous vêtements dans ta voiture, pourrais tu me les ramener demain. Merci infiniment Jérôme.
Je reste immobile devant mon téléphone attendant une réponse, c’est la sonnerie de mon micro onde qui me sort de ma torpeur et me fait enfin bouger. J’attrape mon plat, me cale dans mon canapé et mange ce plat congelé sans saveur aucune quand mon téléphone sonne m’alertant d’un sms reçu.
Jérôme : effectivement je m’en suis aperçu et j’ai regardé tes achats, je ne pensais pas que c’est cela que tu choisirais, tous ces ensembles sont très jolis.
Moi : merci
Jérôme : j’ai hâte de te voir dans le bordeaux d’ailleurs c’est celui que tu mettras demain
Moi : il faut que je vienne demain matin chez toi ?
Jérôme : non tu viendras demain sans sous vêtements et tu le mettras au bureau
Moi : bien comme tu voudras
Jérôme : PARFAIT. Belle nuit à toi
Moi : à toi également Jérôme
Allez au travail sans sous vêtements, « comment je vais faire ? ». Certes le printemps pointe son nez mais… Et si jamais quelqu’un remarque dans les transports que je suis nue sous mes vêtements, je sens mes tétons se dresser à nouveau à la seule pensée que je vais devoir me balader ainsi une partie de la journée « j’espère au moins qu’il me les donnera le matin ». Mon portable vibre à nouveau
Jérôme : et n’oublies pas que demain tu as une vidéo à récupérer
Comment oubliez cela, devoir allez me présenter au gars de la sécurité sans sous vêtements, non il ne me ferait pas ça. Je sens une boule de stress envahir mon ventre et passe en revue tout les scénarios possible pour récupérer cette vidéo « comment m’y prendre, et si le type de la sécurité me demandait une faveur sexuelle, est ce que je devrais m’exécuter ? ». Face à l’impossibilité de prévoir comment cela va se dérouler, je vais me brosser les dents, retire mon t-shirt et file sous ma couette, la bête poilue vient aussitôt se blottir contre moi et c’est en repassant le film de ma journée, bercée par les ronronnements que je m’endors épuisée.
Je me dirige vers ma salle de bain pour faire couler l’eau, en passant devant mon miroir, je regarde cette femme, moi, en porte jarretelle et bas, je me retourne et découvre mes nouvelles marques, le contact de mes doigts sur les boursoufflures légères me renvoie la douleur que j’ai eue en les recevant et pourtant je les trouve belles, elles sont le signe de ma dévotion pour Jérôme. Je continue de caresser mon corps, mes seins dont les tétons dardés fièrement sont dur lorsque je les pinces et mon entre cuisse légèrement souillée de mon jus. J’introduis un doigt entre mes lèvres intimes et constate combien je suis trempée, je soupire et retire mes doigts, même si je pourrais lui mentir et me faire jouir, c’est de lui dont j’ai envie que vienne cet orgasme pas de moi.
Je plonge dans l’eau chaude, mes marques se ravivent au contact de la chaleur, je fais couler de l’eau fraîche pour apaiser mon corps et me détends.
En sortant de l’eau, encore humide et enroulée dans ma serviette, je lance un plat surgelé au micro onde avant de prendre ma crème pour le corps et de m’en badigeonner tout le corps.
J’enfile un t-shirt et m’installe dans mon canapé devant la télé mais la tête bien ailleurs.
Je m’imagine Emmy à ma place, quelque chose d’inimaginable pour moi, elle femme forte et de caractère, femme soumise au pieds d’un homme, ça m’échappe j’essaie en vain de remettre en ordre toute les connaissances que j’ai de sa vie, le peu qu’elle m’en a parlé, sa bisexualité, son homme, son ex copine, son ami Dom, ce baiser que je lui ai volé, les caresses qu’elle m’a donné ce soir dans les toilettes d’un bar, ces conseils en lingerie, « le sac ? Oh putain, je l’ai oublié dans la voiture de Jérôme, oh la gourde ».
Je prends mon téléphone et pour la première fois je me demande si je peux lui envoyer un sms, et si jamais je le dérange ? Et en plus ça va lui montrer combien je suis tête en l’air. De toute façon je n’ai pas le choix, je me dois de lui envoyer.
Moi : bonsoir, j’ai oublié mon sac de sous vêtements dans ta voiture, pourrais tu me les ramener demain. Merci infiniment Jérôme.
Je reste immobile devant mon téléphone attendant une réponse, c’est la sonnerie de mon micro onde qui me sort de ma torpeur et me fait enfin bouger. J’attrape mon plat, me cale dans mon canapé et mange ce plat congelé sans saveur aucune quand mon téléphone sonne m’alertant d’un sms reçu.
Jérôme : effectivement je m’en suis aperçu et j’ai regardé tes achats, je ne pensais pas que c’est cela que tu choisirais, tous ces ensembles sont très jolis.
Moi : merci
Jérôme : j’ai hâte de te voir dans le bordeaux d’ailleurs c’est celui que tu mettras demain
Moi : il faut que je vienne demain matin chez toi ?
Jérôme : non tu viendras demain sans sous vêtements et tu le mettras au bureau
Moi : bien comme tu voudras
Jérôme : PARFAIT. Belle nuit à toi
Moi : à toi également Jérôme
Allez au travail sans sous vêtements, « comment je vais faire ? ». Certes le printemps pointe son nez mais… Et si jamais quelqu’un remarque dans les transports que je suis nue sous mes vêtements, je sens mes tétons se dresser à nouveau à la seule pensée que je vais devoir me balader ainsi une partie de la journée « j’espère au moins qu’il me les donnera le matin ». Mon portable vibre à nouveau
Jérôme : et n’oublies pas que demain tu as une vidéo à récupérer
Comment oubliez cela, devoir allez me présenter au gars de la sécurité sans sous vêtements, non il ne me ferait pas ça. Je sens une boule de stress envahir mon ventre et passe en revue tout les scénarios possible pour récupérer cette vidéo « comment m’y prendre, et si le type de la sécurité me demandait une faveur sexuelle, est ce que je devrais m’exécuter ? ». Face à l’impossibilité de prévoir comment cela va se dérouler, je vais me brosser les dents, retire mon t-shirt et file sous ma couette, la bête poilue vient aussitôt se blottir contre moi et c’est en repassant le film de ma journée, bercée par les ronronnements que je m’endors épuisée.
Re: Consultante....
6h50 : « avant les infos de la rédac un petit U2 – One, bon réveil à tous… »
J’émerge le corps courbaturé comme si j’avais fait une séance de sport intensive, je reste un moment a prendre conscience du réveil du moindre de mes muscles tout en laissant la musique m’envahir. J’adore cette chanson, je me laisse portée par la chaleur de la voix de Bono, au fur et à mesure que mon corps se réveil et soit enfin prêt a me porter. Je pose un premier pied à terre puis un deuxième et comme un gamine à Noël je cours devant ma glace pour regarder si mes marques sont encore visibles, je me tourne, me retourne dans tous les sens devant ma glace, la plus part ont disparus, même si certaines demeurent. Je suis presque triste, ces marques signe de ma première punition ne seront certainement plus là dans quelques jours alors que j’aurai aimé les garder, pour qu’elles me ramènent au moment où il me les a infligées au moment où il était là présent à mes cotés.
Je retourne dans ma chambre pour attraper mon t-shirt et prends mon habituel rituel du matin. En sortant fumer je constate qu’aujourd’hui une bonne journée s’annonce, il fait doux, l’absence de sous vêtements ne devrait pas être si difficile que ça a supporter.
Je file sous la douche et en sortant vient mon interrogation de la robe que je dois mettre pour cacher le plus possible ma nudité. J’attrape la robe noir que j’avais mise au premier rendez vous que j’avais eu avec Jérôme, le soir où tout a basculé, où il m’a redonné vie sous ses coups de boutoir, où je suis tombé accroc à son vit et son vice, où il m’a révélée à moi-même celle qui dormait en moi et qui sans son aide je n’aurai jamais été prête a affronter. A cette simple pensée mon sexe s’éclot comme une rose laissant ma sève humidifier mon sexe et le haut de mes cuisses.
Je jette un dernier coup d’œil dans le miroir, enfile une veste trois quart mi saison et une fois une dernière grande inspiration prise me lance au dehors.
Inévitablement mes tétons se dressent mais je masque cet outrage de mes seins en refermant ma veste jusqu’au col, même si je sens mon sexe perler au contact de l’air s’engouffrant sous la jupe et venant le caresser telle un plume. Dans les transports je ne suis pas à l’aise, alors qu’un homme me fait signe de prendre la place qui vient de se libérer, je décline poliment, « comment m’assoir sans offrir mon intimité aux yeux de tous ? » et reste coller bien au fond du wagon espérant que personne ne s’aperçoive de l’exhibitionnisme forcée auquel je m’adonne et qui me plaît malgré moi.
Arrivée au travail, j’évite le bureau d’Alexandre, « je sais que lui devinera immédiatement que je suis nue sous mes vêtements» , je ne veux pas avoir cette discussion avec lui.
Une fois sur le plateau je passe dire bonjour à tous et même si Jérôme n’est pas là, je vois ses affaires installées et un sachet plastique, je devine que ce sac contient certainement mes sous vêtements, je crève d’envie de le prendre pour filer aux toilettes mais se n’est pas se qu’il attend de moi, je me dois de patienter.
Je m’installe à mon poste et plonge dans le travail pour oublier que maintenant ma veste posée, la dureté de mes tétons est largement visible et impossible à cacher. Je n’ose même pas me lever pour aller prendre un café, tout se mélange comme sentiments, à la fois j’ai honte et en même temps je suis excitée, je mouille je le sens, « prête à être enfilée par lui, si il le souhaite » .
Une fenêtre clignote enfin en bas de l’écran :
Jérôme : « bonjour toi »
Moi : « bonjour Jérôme »
Jérôme : « comment te sens-tu ? »
Moi : « nue et pas très à l’aise »
Jérôme : « pourtant tes tétons disent le contraire »
Moi : « oui, je sais c’est confus comme sensation »
Jérôme : « explique moi ça »
Moi : « à la fois j’ai honte, j’ai l’impression que tout le monde est au courant et peut voir que je suis nue et pourtant je suis excitée, je dégouline Jérôme »
Jérôme : « humm chienne prête a se faire enfiler ? »
Moi : « comme jamais »
Jérôme : « parfait, tu commence a me faire triquer petite putain »
Moi : « Miam Miam »
Jérôme : « t’excites pas toute seule, j’ai pas encore dit que j’allais te baiser aujourd’hui »
J’émerge le corps courbaturé comme si j’avais fait une séance de sport intensive, je reste un moment a prendre conscience du réveil du moindre de mes muscles tout en laissant la musique m’envahir. J’adore cette chanson, je me laisse portée par la chaleur de la voix de Bono, au fur et à mesure que mon corps se réveil et soit enfin prêt a me porter. Je pose un premier pied à terre puis un deuxième et comme un gamine à Noël je cours devant ma glace pour regarder si mes marques sont encore visibles, je me tourne, me retourne dans tous les sens devant ma glace, la plus part ont disparus, même si certaines demeurent. Je suis presque triste, ces marques signe de ma première punition ne seront certainement plus là dans quelques jours alors que j’aurai aimé les garder, pour qu’elles me ramènent au moment où il me les a infligées au moment où il était là présent à mes cotés.
Je retourne dans ma chambre pour attraper mon t-shirt et prends mon habituel rituel du matin. En sortant fumer je constate qu’aujourd’hui une bonne journée s’annonce, il fait doux, l’absence de sous vêtements ne devrait pas être si difficile que ça a supporter.
Je file sous la douche et en sortant vient mon interrogation de la robe que je dois mettre pour cacher le plus possible ma nudité. J’attrape la robe noir que j’avais mise au premier rendez vous que j’avais eu avec Jérôme, le soir où tout a basculé, où il m’a redonné vie sous ses coups de boutoir, où je suis tombé accroc à son vit et son vice, où il m’a révélée à moi-même celle qui dormait en moi et qui sans son aide je n’aurai jamais été prête a affronter. A cette simple pensée mon sexe s’éclot comme une rose laissant ma sève humidifier mon sexe et le haut de mes cuisses.
Je jette un dernier coup d’œil dans le miroir, enfile une veste trois quart mi saison et une fois une dernière grande inspiration prise me lance au dehors.
Inévitablement mes tétons se dressent mais je masque cet outrage de mes seins en refermant ma veste jusqu’au col, même si je sens mon sexe perler au contact de l’air s’engouffrant sous la jupe et venant le caresser telle un plume. Dans les transports je ne suis pas à l’aise, alors qu’un homme me fait signe de prendre la place qui vient de se libérer, je décline poliment, « comment m’assoir sans offrir mon intimité aux yeux de tous ? » et reste coller bien au fond du wagon espérant que personne ne s’aperçoive de l’exhibitionnisme forcée auquel je m’adonne et qui me plaît malgré moi.
Arrivée au travail, j’évite le bureau d’Alexandre, « je sais que lui devinera immédiatement que je suis nue sous mes vêtements» , je ne veux pas avoir cette discussion avec lui.
Une fois sur le plateau je passe dire bonjour à tous et même si Jérôme n’est pas là, je vois ses affaires installées et un sachet plastique, je devine que ce sac contient certainement mes sous vêtements, je crève d’envie de le prendre pour filer aux toilettes mais se n’est pas se qu’il attend de moi, je me dois de patienter.
Je m’installe à mon poste et plonge dans le travail pour oublier que maintenant ma veste posée, la dureté de mes tétons est largement visible et impossible à cacher. Je n’ose même pas me lever pour aller prendre un café, tout se mélange comme sentiments, à la fois j’ai honte et en même temps je suis excitée, je mouille je le sens, « prête à être enfilée par lui, si il le souhaite » .
Une fenêtre clignote enfin en bas de l’écran :
Jérôme : « bonjour toi »
Moi : « bonjour Jérôme »
Jérôme : « comment te sens-tu ? »
Moi : « nue et pas très à l’aise »
Jérôme : « pourtant tes tétons disent le contraire »
Moi : « oui, je sais c’est confus comme sensation »
Jérôme : « explique moi ça »
Moi : « à la fois j’ai honte, j’ai l’impression que tout le monde est au courant et peut voir que je suis nue et pourtant je suis excitée, je dégouline Jérôme »
Jérôme : « humm chienne prête a se faire enfiler ? »
Moi : « comme jamais »
Jérôme : « parfait, tu commence a me faire triquer petite putain »
Moi : « Miam Miam »
Jérôme : « t’excites pas toute seule, j’ai pas encore dit que j’allais te baiser aujourd’hui »
Re: Consultante....
A cette phrase tout mon ventre se tord, j’ai tellement envie de lui que je serai prête à n’importe quoi pour y arriver. J’ai l’impression d’avoir mal répondu, je relis la conversation qu’on vient d’avoir et pourtant je ne vois pas d’erreur de ma part, « non il n’y en a pas » , c’est lui qui décide et je dois me plier à sa volonté.
Cependant je décide de le provoquer, je me dirige vers les toilettes, une fois dans la cabine, je retire le bout de tissu qui me couvre et commence a me prendre en photo avec mon téléphone, je suis en bouillante et je souhaite que les clichés reflètent le feu intérieur qui m’habite.
Je me débrouille tant bien que mal pour faire ces photos de mon corps : mes seins dont les mamelons dardés sont dures et friand de sa bouche, ma croupe « comme il aime a l’appeler » et mon sexe ruisselant.
Encore dans les toilettes, je lui envoie ces clichés, renfile ma robe et retourne à ma place.
De retour sur le plateau, je me rassois, la fenêtre clignote en bas de mon pc.
Jérôme : « t’es trempée ma cochonne »
Moi : « même plus que ça, je suis bouillante, j’aimerai beaucoup me faire défoncer par ta grosse queue »
Jérôme : « défoncer ? humm… Parfait, alors il est temps pour toi d’aller récupérer la vidéo »
Je reste sans voix, paralysée sur ma chaise, je ne peux plus lui répondre, tout mon être commence a paniquer, moi qui m’imaginait déjà prise sous ses coups de reins, je tremble, ma tête tourne légèrement, je ne peux pas dans cet état aller affronter le gardien de la sécurité « help »
Jérôme : « alors on est calmé ? On a plus envie de se faire défoncer par ma queue ? »
Moi : « je, si bien sûre mais comment dire, mais si il se rend compte de mon état ? »
Jérôme : « il s’en rendra compte ma belle, et franchement après la vidéo qu’il a certainement vu de toi te branlant sur le capot de ma voiture, je ne vois pas où est le problème »
Moi : « t’es un …… »
Jérôme : « et c’est pour ça que tu m’adores, allez file »
Moi : « non je t’en supplie viens avec moi, je le ferai mais pas toute seule, si jamais il me demande un truc salace »
Jérôme : « assumes Marine et je te rappelle que c’est toi qui voulait voir la vidéo alors dépêches toi. Tu as encore beaucoup a apprendre et la première est de ne pas discuter se que je te dis, C CLAIR ? »
Moi : « oui »
Jérôme : « ACTION »
Il se met en statut « ne pas déranger » ainsi je ne peux même plus lui envoyer de mess, je suis bloquée, pétrifiée de peur, je sens mon visage se décomposer et larmes monter et en même temps je ne veux pas le décevoir. Je prends une grande respiration, me lève et lui lance un regard noir en sortant du bureau. Je fonce droit dans le couloir, j’ai la nausée, le cœur qui tamponne dans mes oreilles, l’impression que je vais mourir dans les minutes qui viennent mais je peux y arriver, je me le dois.
Une fois au rez de chaussée, je demande à l’hôtesse de m’indiquer, le bureau de la sécurité, elle m’indique un bureau derrière le quai de livraison « super comme ça si il me viole, personne n’entendra rien » . J’arrive devant la porte et je reste stoïque, impossible de frapper à cette porte et de le faire, les larmes ne peuvent plus être contenues et roulent sur mon visage. Je ferme les yeux pour faire le vide, prend une grande respiration, essuie mes larmes et lève mon bras « c’est pas le moment de flancher » . J’ai la sensation que cette scène se déroule au ralenti, se que je m’apprête a demander est surréaliste et pourtant ça y est ma main frappe contre ma volonté à cette porte. Une voix m’indique d’entrer. Je me retrouve face au dos d’un colosse black, « mon cauchemar continue, vu la masse, si il tente quoi que se soit je ne pourrai pas me défendre » . Il se retourne et et l'éclair vicieux qui traverse son regard ne permet plus le doute sur le fait qu’il a vu la scène de débauche à laquelle je me suis adonnée hier soir sans retenu.
L’agent de sécurité : « et bien ma petite Dame qu’est ce que je peux faire pour vous ? »
Moi : « je… comment dire, j’aimerai beaucoup récupérer la vidéo de surveillance du parking hier soir »
L’agent : « ça ne va pas être possible ma petite dame, ces vidéos appartiennent au propriétaire de l’immeuble »
Moi : « mais il me la faut absolument, c’est une question de vie ou de mort »
L’agent : « ah ce point là »
Moi : « oui vous ne comprenez pas! Je… je me suis laissé aller hier soir dans le parking avec mon ami et je suis prestataire ici, si quelqu’un voit ça je pourrai me retrouver au chômage demain »
L’agent : « se laissez aller dites vous, se branler odieusement sur le capot d’une voiture comme la dernière des putes, vous avez une drôle de façon d’appeler ça »
Un sourire carnassier se dessine sur son visage alors que mon cœur a un loupé et que je sursaute, il a tout vu, les larmes jaillissent incontrôlables, « qu’est ce que je vais faire ? Et en plus je suis nue sous ma robe, penses à Jérôme Marine » .
L’agent : « t’avais l’air plus expressive hier soir »
Moi : « toujours pour… mon Maître »
L’agent : « ton quoi ? Ton Maître ? »
Cependant je décide de le provoquer, je me dirige vers les toilettes, une fois dans la cabine, je retire le bout de tissu qui me couvre et commence a me prendre en photo avec mon téléphone, je suis en bouillante et je souhaite que les clichés reflètent le feu intérieur qui m’habite.
Je me débrouille tant bien que mal pour faire ces photos de mon corps : mes seins dont les mamelons dardés sont dures et friand de sa bouche, ma croupe « comme il aime a l’appeler » et mon sexe ruisselant.
Encore dans les toilettes, je lui envoie ces clichés, renfile ma robe et retourne à ma place.
De retour sur le plateau, je me rassois, la fenêtre clignote en bas de mon pc.
Jérôme : « t’es trempée ma cochonne »
Moi : « même plus que ça, je suis bouillante, j’aimerai beaucoup me faire défoncer par ta grosse queue »
Jérôme : « défoncer ? humm… Parfait, alors il est temps pour toi d’aller récupérer la vidéo »
Je reste sans voix, paralysée sur ma chaise, je ne peux plus lui répondre, tout mon être commence a paniquer, moi qui m’imaginait déjà prise sous ses coups de reins, je tremble, ma tête tourne légèrement, je ne peux pas dans cet état aller affronter le gardien de la sécurité « help »
Jérôme : « alors on est calmé ? On a plus envie de se faire défoncer par ma queue ? »
Moi : « je, si bien sûre mais comment dire, mais si il se rend compte de mon état ? »
Jérôme : « il s’en rendra compte ma belle, et franchement après la vidéo qu’il a certainement vu de toi te branlant sur le capot de ma voiture, je ne vois pas où est le problème »
Moi : « t’es un …… »
Jérôme : « et c’est pour ça que tu m’adores, allez file »
Moi : « non je t’en supplie viens avec moi, je le ferai mais pas toute seule, si jamais il me demande un truc salace »
Jérôme : « assumes Marine et je te rappelle que c’est toi qui voulait voir la vidéo alors dépêches toi. Tu as encore beaucoup a apprendre et la première est de ne pas discuter se que je te dis, C CLAIR ? »
Moi : « oui »
Jérôme : « ACTION »
Il se met en statut « ne pas déranger » ainsi je ne peux même plus lui envoyer de mess, je suis bloquée, pétrifiée de peur, je sens mon visage se décomposer et larmes monter et en même temps je ne veux pas le décevoir. Je prends une grande respiration, me lève et lui lance un regard noir en sortant du bureau. Je fonce droit dans le couloir, j’ai la nausée, le cœur qui tamponne dans mes oreilles, l’impression que je vais mourir dans les minutes qui viennent mais je peux y arriver, je me le dois.
Une fois au rez de chaussée, je demande à l’hôtesse de m’indiquer, le bureau de la sécurité, elle m’indique un bureau derrière le quai de livraison « super comme ça si il me viole, personne n’entendra rien » . J’arrive devant la porte et je reste stoïque, impossible de frapper à cette porte et de le faire, les larmes ne peuvent plus être contenues et roulent sur mon visage. Je ferme les yeux pour faire le vide, prend une grande respiration, essuie mes larmes et lève mon bras « c’est pas le moment de flancher » . J’ai la sensation que cette scène se déroule au ralenti, se que je m’apprête a demander est surréaliste et pourtant ça y est ma main frappe contre ma volonté à cette porte. Une voix m’indique d’entrer. Je me retrouve face au dos d’un colosse black, « mon cauchemar continue, vu la masse, si il tente quoi que se soit je ne pourrai pas me défendre » . Il se retourne et et l'éclair vicieux qui traverse son regard ne permet plus le doute sur le fait qu’il a vu la scène de débauche à laquelle je me suis adonnée hier soir sans retenu.
L’agent de sécurité : « et bien ma petite Dame qu’est ce que je peux faire pour vous ? »
Moi : « je… comment dire, j’aimerai beaucoup récupérer la vidéo de surveillance du parking hier soir »
L’agent : « ça ne va pas être possible ma petite dame, ces vidéos appartiennent au propriétaire de l’immeuble »
Moi : « mais il me la faut absolument, c’est une question de vie ou de mort »
L’agent : « ah ce point là »
Moi : « oui vous ne comprenez pas! Je… je me suis laissé aller hier soir dans le parking avec mon ami et je suis prestataire ici, si quelqu’un voit ça je pourrai me retrouver au chômage demain »
L’agent : « se laissez aller dites vous, se branler odieusement sur le capot d’une voiture comme la dernière des putes, vous avez une drôle de façon d’appeler ça »
Un sourire carnassier se dessine sur son visage alors que mon cœur a un loupé et que je sursaute, il a tout vu, les larmes jaillissent incontrôlables, « qu’est ce que je vais faire ? Et en plus je suis nue sous ma robe, penses à Jérôme Marine » .
L’agent : « t’avais l’air plus expressive hier soir »
Moi : « toujours pour… mon Maître »
L’agent : « ton quoi ? Ton Maître ? »
Re: Consultante....
Cette réplique est sortie naturellement, je commence a reprendre de l’aplomb même si je suis terrorisée au fond de mes tripes et que j’envisage déjà de m’exiler au bout du monde pour oublier se que je vais devoir faire pour récupérer cette putain de cassette.
Moi : « mon Maître, l’être fabuleux a qui j’appartiens »
L’agent : « et que me donnes tu en échange de la vidéo ? »
Moi : « quoi ? Mais rien, je ne vous dois rien ! Enfin, je ne sais, comprenez que cette vidéo peut me nuire professionnellement »
L’agent : « et comprends que quand on une vidéo d’une petite salope dans ton genre on deal un minimum. Je suis sûre que tes collègues n’imaginent pas la petite chienne au fond de toi, qui se fait filmer entrain de se branler les cuisses bien ouvertes et la chatte bien dégoulinante à la vue de tous dans un parking»
Moi : « euh… non c’est pour ça… Ecoutez je suis sûre qu’on peut trouver un arrangement ? »
L’agent : « j’en suis certain, j’aimerai beaucoup te baiser là maintenant mais je n’ai pas le temps, tu as la chance »
Moi : « oh… »
A cet instant précis je sens une présence dans mon dos, je me sens immédiatement libérée d’un poids, Jérôme est là et ne le laissera pas me toucher, sa main se pose dans mon dos, toute sa chaleur, son magnétisme envahie mon corps.
Jérôme : « et bien ma chienne, qu’est ce qu’on dit au Monsieur »
Moi : « Comme vous voudrez… Monsieur »
Jérôme : « c’est bien »
L’agent : « c’est donc vous le propriétaire de cette petite salope »
Jérôme : « effectivement »
L’agent : « et bien vous avez de la chance »
Jérôme : « je le sais »
Les mots de Jérôme me réchauffe le cœur, même si je ne sais pas se qu’il attend de moi, il est prêt de moi et rien ne peut m’arriver.
Jérôme : « alors a quelle compensation prétendez vous en échange de la vidéo ? »
L’agent : « j’aimerai la voir à poil »
Jérôme : « c’est tout ? »
L’agent : « oui mais dans la position exacte d’hier soir et qu’elle me montre comment elle faisait »
Jérôme : « Bien, Marine, exécution »
Malgré moi, et la honte qui s’empare de moi, je sens ma cyprine couler le long de ma cuisse, je sens mon clitoris gonflé, j’ai honte, je me sens humiliée, j’aimerai supplier Jérôme de ne pas me faire faire ça et en même temps tout mon sexe est chaud, je ne peux plus arrêter le torrent de mon jus qui s’écoule de ma fente ouverte et dilatée.
Jérôme me pousse vers le bureau de l’agent, je m’exécute, je pose mes mains bien à plat et creuse mes riens au maximum, inévitablement l’arrière de ma robe se relève sur l’arrière de mes cuisses et c’est un sifflement de l’agent qui accueille l’humiliation qui est mienne.
L’agent : « ça c’est un cul »
Jérôme : « n’est ce pas ? »
L’agent : « elle me fait bien bandé c’te chienne »
Jérôme : « allez Marine montre à Monsieur dans quel état tu es »
Pendant que je remonte ma robe sur mes fesses, je ferme les yeux pour essayer de m’évader face à la déchéance dans laquelle je me retrouve bien malgré moi, je sais l’état dans laquelle se trouve ma fente et je ne pourrai plus la dissimuler, Jérôme verra enfin dans quel état de désir je me trouve pour lui, brûlante.
L’agent : « mais elle est trempée et ces marques, qu’est ce que c’est ? »
Jérôme : « une vraie fontaine quand elle s’y mets. Ah sa correction d’hier soir. Allez Marine montre a Monsieur combien tu aimes te branler »
Ma main vient caresser mon sexe et trouve mon bouton sans mal tellement il est gros et gorgé de désir, le contact de mes doigts me fait lâcher un soupir ; malgré l’indécence dans laquelle je me trouve je ne peux m’empêcher de prendre mon pieds. Des ondes électriques parcourent tout mon corps et se diffusent dans tout mon être, je ne suis plus qu’un objet de plaisir avide de plaisir, l’objet de Jérôme. Je gémis de plus en plus fort, j’en oublies tout le reste.
L’agent : « mais elle va jouir »
Jérôme : « non elle sait qu’elle n’a pas le droit, n’est ce pas ? »
Moi : « humm… Oui… Jérôme… »
Jérôme : « et pourquoi n’as-tu pas le droit de jouir, ma petite putain ? »
Moi : « parce que… mon… plaisir… t’appartient »
L’agent : « alors ça c’est bandant, qu’est ce qu’elle est belle,elle doit avoir la peau douce, je peux ? »
Jérôme : « allez y »
Malgré le frisson de dégout de sentir ces doigts étrangers me caresser, je ne peux m’empêcher d’y prendre plaisir, ma peau se fait granuleuse, la boule qui est présente dans mon ventre depuis hier soir a repris son chemin dans mes entrailles et se transforme en tornade. J’ai envie de sentir ces doigts en moi, me fouiller pour m’amener plus vite aux portes de l’orgasme pour Jérôme. Peu importe à qui ils sont, peu importe si je me comporte comme la dernière des putes, j’aime ça, j’en ai envie comme jamais, mon corps a pris le pas sur ma tête et je suis en apesanteur dans les contrés du plaisir. Des râles sortent de ma gorge, je m’affale sur la table mais sans arrêter de triturer ton bouton. Ces doigts me pénètrent enfin je hoquette de surprise et m’abandonne à ses va et vient lascifs avant qu’ils ne se retirent, je gémis face au vide ressenti.
Moi : « mon Maître, l’être fabuleux a qui j’appartiens »
L’agent : « et que me donnes tu en échange de la vidéo ? »
Moi : « quoi ? Mais rien, je ne vous dois rien ! Enfin, je ne sais, comprenez que cette vidéo peut me nuire professionnellement »
L’agent : « et comprends que quand on une vidéo d’une petite salope dans ton genre on deal un minimum. Je suis sûre que tes collègues n’imaginent pas la petite chienne au fond de toi, qui se fait filmer entrain de se branler les cuisses bien ouvertes et la chatte bien dégoulinante à la vue de tous dans un parking»
Moi : « euh… non c’est pour ça… Ecoutez je suis sûre qu’on peut trouver un arrangement ? »
L’agent : « j’en suis certain, j’aimerai beaucoup te baiser là maintenant mais je n’ai pas le temps, tu as la chance »
Moi : « oh… »
A cet instant précis je sens une présence dans mon dos, je me sens immédiatement libérée d’un poids, Jérôme est là et ne le laissera pas me toucher, sa main se pose dans mon dos, toute sa chaleur, son magnétisme envahie mon corps.
Jérôme : « et bien ma chienne, qu’est ce qu’on dit au Monsieur »
Moi : « Comme vous voudrez… Monsieur »
Jérôme : « c’est bien »
L’agent : « c’est donc vous le propriétaire de cette petite salope »
Jérôme : « effectivement »
L’agent : « et bien vous avez de la chance »
Jérôme : « je le sais »
Les mots de Jérôme me réchauffe le cœur, même si je ne sais pas se qu’il attend de moi, il est prêt de moi et rien ne peut m’arriver.
Jérôme : « alors a quelle compensation prétendez vous en échange de la vidéo ? »
L’agent : « j’aimerai la voir à poil »
Jérôme : « c’est tout ? »
L’agent : « oui mais dans la position exacte d’hier soir et qu’elle me montre comment elle faisait »
Jérôme : « Bien, Marine, exécution »
Malgré moi, et la honte qui s’empare de moi, je sens ma cyprine couler le long de ma cuisse, je sens mon clitoris gonflé, j’ai honte, je me sens humiliée, j’aimerai supplier Jérôme de ne pas me faire faire ça et en même temps tout mon sexe est chaud, je ne peux plus arrêter le torrent de mon jus qui s’écoule de ma fente ouverte et dilatée.
Jérôme me pousse vers le bureau de l’agent, je m’exécute, je pose mes mains bien à plat et creuse mes riens au maximum, inévitablement l’arrière de ma robe se relève sur l’arrière de mes cuisses et c’est un sifflement de l’agent qui accueille l’humiliation qui est mienne.
L’agent : « ça c’est un cul »
Jérôme : « n’est ce pas ? »
L’agent : « elle me fait bien bandé c’te chienne »
Jérôme : « allez Marine montre à Monsieur dans quel état tu es »
Pendant que je remonte ma robe sur mes fesses, je ferme les yeux pour essayer de m’évader face à la déchéance dans laquelle je me retrouve bien malgré moi, je sais l’état dans laquelle se trouve ma fente et je ne pourrai plus la dissimuler, Jérôme verra enfin dans quel état de désir je me trouve pour lui, brûlante.
L’agent : « mais elle est trempée et ces marques, qu’est ce que c’est ? »
Jérôme : « une vraie fontaine quand elle s’y mets. Ah sa correction d’hier soir. Allez Marine montre a Monsieur combien tu aimes te branler »
Ma main vient caresser mon sexe et trouve mon bouton sans mal tellement il est gros et gorgé de désir, le contact de mes doigts me fait lâcher un soupir ; malgré l’indécence dans laquelle je me trouve je ne peux m’empêcher de prendre mon pieds. Des ondes électriques parcourent tout mon corps et se diffusent dans tout mon être, je ne suis plus qu’un objet de plaisir avide de plaisir, l’objet de Jérôme. Je gémis de plus en plus fort, j’en oublies tout le reste.
L’agent : « mais elle va jouir »
Jérôme : « non elle sait qu’elle n’a pas le droit, n’est ce pas ? »
Moi : « humm… Oui… Jérôme… »
Jérôme : « et pourquoi n’as-tu pas le droit de jouir, ma petite putain ? »
Moi : « parce que… mon… plaisir… t’appartient »
L’agent : « alors ça c’est bandant, qu’est ce qu’elle est belle,elle doit avoir la peau douce, je peux ? »
Jérôme : « allez y »
Malgré le frisson de dégout de sentir ces doigts étrangers me caresser, je ne peux m’empêcher d’y prendre plaisir, ma peau se fait granuleuse, la boule qui est présente dans mon ventre depuis hier soir a repris son chemin dans mes entrailles et se transforme en tornade. J’ai envie de sentir ces doigts en moi, me fouiller pour m’amener plus vite aux portes de l’orgasme pour Jérôme. Peu importe à qui ils sont, peu importe si je me comporte comme la dernière des putes, j’aime ça, j’en ai envie comme jamais, mon corps a pris le pas sur ma tête et je suis en apesanteur dans les contrés du plaisir. Des râles sortent de ma gorge, je m’affale sur la table mais sans arrêter de triturer ton bouton. Ces doigts me pénètrent enfin je hoquette de surprise et m’abandonne à ses va et vient lascifs avant qu’ils ne se retirent, je gémis face au vide ressenti.
Re: Consultante....
Jérôme : « alors, n’est-elle pas délicieuse ? »
L’agent : « humm elle est divine je dirai même »
Jérôme : « je pense que la compensation est de taille »
L’agent : « oh oui, est ce que… »
Jérôme : « non, je vous ai demandé a quoi vous prétendiez, vous n’aurez rien de plus »
L’agent : « bien, je vous donne la vidéo »
Jérôme : « merci »
Pendant que l’agent de sécurité fouille pour nous donner le CD de la vidéo, Jérôme s’approche de moi, pose une main sur mes fesses avant de la guider vers l’intérieur de mes cuisses et me redresse et m’embrasse, ce baiser est la cerise sur le gâteau, bien meilleur que mes caresses, un cadeau inespéré.
Jérôme : « Etait ce si difficile que ça »
Moi : « déroutant mais bon »
Jérôme : « juste bon ? »
Moi : « je suis au bord de l’orgasme, c’était extraordinaire »
Jérôme : « en tout cas tu coules ma cochonne »
Moi : « oui je sais, j’ai honte, pardon »
Jérôme : « Marine, qu’est ce que je t’ai déjà dit, n’ai pas honte, sois en fière plutôt »
Moi : « bien »
Jérôme : « et je peux te dire que je vais te faire la misère dès qu’on sera sortit d’ici »
Cette simple phrase me déclenche un frisson hors du commun, je sens mon corps bouillonner comme jamais, ma fontaine interne redouble et je sens un filet de cyprine couler a nouveau.
Jérôme : « oh vous permettez que je jette un coup d’œil au pc »
L’agent : « euh oui bien sûre »
Jérôme : « j’en ai pour 5 minutes, c’est bien les fichiers vidéos ? »
L’agent : « oui pourquoi ? »
Jérôme : « vous ne croyez quand même pas que j’allais me contenter d’une copie, maintenant le fichier est effacé, ainsi que celui de la vidéo de cette pièce, à vous d’expliquer qu’il y a eu un bug informatique »
L’agent : « mais je… enfin je vais me faire tuer »
Jérôme : « un deal est un deal »
L’agent : « … »
Jérôme : « parfait, bonne fin de journée à vous »
Jérôme m’attrape par le bras et me traine hors de la pièce, j’ai du mal a réaliser se qu’il se passe tellement je suis encore perchée dans les affres du plaisir et je ne compte pas en descendre. Je le suis même si il marche un peu trop vite pour moi.
Moi : « Jérôme, je peux te poser une question ? »
Jérôme : « je t’écoute »
Moi : « tu l’aurai laisser coucher avec moi »
Jérôme : « bien sûre que non Marine »
Moi : « ouf »
Jérôme : « tu n’es pas encore prête »
Moi : « oh »
« Pas encore prête, qu’est ce qu’il veut dire par pas encore prête, est ce que je vais vraiment réaliser ce fantasme de coucher avec plusieurs hommes » . Cette pensée rajoute a mon brasier personnel et mon corps ne se fait pas prier pour réagir de plus belle.
Jérôme : « bien on va passer devant les toilettes de l’accueil, tu y rentres et tu m’y attends »
Moi : « Oh OUI »
Jérôme : « et plus discrètement »
Moi : « Pardon oui Jérôme »
Arrivée devant les toilettes je m’y engouffre alors que Jérôme continues son chemin et je m’installe sur la cuvette impatiente, tapant du pieds, les minutes qui s’égrainent me paraissent des heures, tant son corps, son chibre me font envie. Depuis hier soir, depuis qu’il m’a laissé chez moi mon corps, mon âme le réclame, Lui, mon Dom, mon Roi.
On vient frapper à la porte, j’ouvre, c’est lui, il referme aussitôt le verrou tout en me plaquant contre le mur. J’entends un bruit de plastique sur le sol, mais je ne peux pas me détacher de ses lèvres et de sa langue qui joue avec la mienne.
Jérôme : « alors dis moi, t’as aimé te branler comme ça devant un inconnu comme la dernière des putes ? »
Moi : « j’ai eu peur »
Jérôme : « ton état dit le contraire, regarde moi ces tétons arrogants »
Il accompagne ces mots de ses mains, ils attrapent fermement mes deux seins et les pressent fortement avant de venir triturer mes tétons a m’en faire mal, mais j’aime ça, peu importe se qu’il me fait, sentir enfin ses mains sur mon corps est un bonheur indescriptible à lui seul.
Jérôme : « et ta chatte, regarde comme tu coules, petite putain »
Moi : « ta putain, ta chienne »
Deux doigts s’enfoncent brusquement en moi et je soupire, enfin se sont ses doigts en moi, ils me fouillent bien haut avant de les ressortir et de me les présenter, je les lèches, les avales, les pompes avec gourmandise pendant que ma main masturbe son vît bandé à travers la toile de son pantalon.
Jérôme : « Alors prends la position de la chienne »
Je tombe à genoux et m’installe à quatre pattes, cuisses outrageusement écartées et reins creusés pour lui faire présenter ma croupe, mon cul, ma fente sous son meilleur angle.
Jérôme : « putain ce cul, magnifiquement impudique »
Aussitôt il relève ma robe vient caresser mes fesses avant de les fesser sèchement deux fois de suite.
Je gémis de plaisir, je sens mes fesses chauffer et j’adore cette sensation, je me sens féline, chienne, animale avide de plaisir peu importe la forme pour l’atteindre.
Il me contourne s’installe sur la cuvette, sors son sexe et me le présente. Je me jette dessus, lape son gland et l’avale tellement j’en ai soif, le sentir vibrer ainsi entre mes lèvres, dans ma bouche me rend dingue. Je l’aspire, le pompe, salive dessus, le tête quand il me stoppe et vient s’installer derrière moi.
L’agent : « humm elle est divine je dirai même »
Jérôme : « je pense que la compensation est de taille »
L’agent : « oh oui, est ce que… »
Jérôme : « non, je vous ai demandé a quoi vous prétendiez, vous n’aurez rien de plus »
L’agent : « bien, je vous donne la vidéo »
Jérôme : « merci »
Pendant que l’agent de sécurité fouille pour nous donner le CD de la vidéo, Jérôme s’approche de moi, pose une main sur mes fesses avant de la guider vers l’intérieur de mes cuisses et me redresse et m’embrasse, ce baiser est la cerise sur le gâteau, bien meilleur que mes caresses, un cadeau inespéré.
Jérôme : « Etait ce si difficile que ça »
Moi : « déroutant mais bon »
Jérôme : « juste bon ? »
Moi : « je suis au bord de l’orgasme, c’était extraordinaire »
Jérôme : « en tout cas tu coules ma cochonne »
Moi : « oui je sais, j’ai honte, pardon »
Jérôme : « Marine, qu’est ce que je t’ai déjà dit, n’ai pas honte, sois en fière plutôt »
Moi : « bien »
Jérôme : « et je peux te dire que je vais te faire la misère dès qu’on sera sortit d’ici »
Cette simple phrase me déclenche un frisson hors du commun, je sens mon corps bouillonner comme jamais, ma fontaine interne redouble et je sens un filet de cyprine couler a nouveau.
Jérôme : « oh vous permettez que je jette un coup d’œil au pc »
L’agent : « euh oui bien sûre »
Jérôme : « j’en ai pour 5 minutes, c’est bien les fichiers vidéos ? »
L’agent : « oui pourquoi ? »
Jérôme : « vous ne croyez quand même pas que j’allais me contenter d’une copie, maintenant le fichier est effacé, ainsi que celui de la vidéo de cette pièce, à vous d’expliquer qu’il y a eu un bug informatique »
L’agent : « mais je… enfin je vais me faire tuer »
Jérôme : « un deal est un deal »
L’agent : « … »
Jérôme : « parfait, bonne fin de journée à vous »
Jérôme m’attrape par le bras et me traine hors de la pièce, j’ai du mal a réaliser se qu’il se passe tellement je suis encore perchée dans les affres du plaisir et je ne compte pas en descendre. Je le suis même si il marche un peu trop vite pour moi.
Moi : « Jérôme, je peux te poser une question ? »
Jérôme : « je t’écoute »
Moi : « tu l’aurai laisser coucher avec moi »
Jérôme : « bien sûre que non Marine »
Moi : « ouf »
Jérôme : « tu n’es pas encore prête »
Moi : « oh »
« Pas encore prête, qu’est ce qu’il veut dire par pas encore prête, est ce que je vais vraiment réaliser ce fantasme de coucher avec plusieurs hommes » . Cette pensée rajoute a mon brasier personnel et mon corps ne se fait pas prier pour réagir de plus belle.
Jérôme : « bien on va passer devant les toilettes de l’accueil, tu y rentres et tu m’y attends »
Moi : « Oh OUI »
Jérôme : « et plus discrètement »
Moi : « Pardon oui Jérôme »
Arrivée devant les toilettes je m’y engouffre alors que Jérôme continues son chemin et je m’installe sur la cuvette impatiente, tapant du pieds, les minutes qui s’égrainent me paraissent des heures, tant son corps, son chibre me font envie. Depuis hier soir, depuis qu’il m’a laissé chez moi mon corps, mon âme le réclame, Lui, mon Dom, mon Roi.
On vient frapper à la porte, j’ouvre, c’est lui, il referme aussitôt le verrou tout en me plaquant contre le mur. J’entends un bruit de plastique sur le sol, mais je ne peux pas me détacher de ses lèvres et de sa langue qui joue avec la mienne.
Jérôme : « alors dis moi, t’as aimé te branler comme ça devant un inconnu comme la dernière des putes ? »
Moi : « j’ai eu peur »
Jérôme : « ton état dit le contraire, regarde moi ces tétons arrogants »
Il accompagne ces mots de ses mains, ils attrapent fermement mes deux seins et les pressent fortement avant de venir triturer mes tétons a m’en faire mal, mais j’aime ça, peu importe se qu’il me fait, sentir enfin ses mains sur mon corps est un bonheur indescriptible à lui seul.
Jérôme : « et ta chatte, regarde comme tu coules, petite putain »
Moi : « ta putain, ta chienne »
Deux doigts s’enfoncent brusquement en moi et je soupire, enfin se sont ses doigts en moi, ils me fouillent bien haut avant de les ressortir et de me les présenter, je les lèches, les avales, les pompes avec gourmandise pendant que ma main masturbe son vît bandé à travers la toile de son pantalon.
Jérôme : « Alors prends la position de la chienne »
Je tombe à genoux et m’installe à quatre pattes, cuisses outrageusement écartées et reins creusés pour lui faire présenter ma croupe, mon cul, ma fente sous son meilleur angle.
Jérôme : « putain ce cul, magnifiquement impudique »
Aussitôt il relève ma robe vient caresser mes fesses avant de les fesser sèchement deux fois de suite.
Je gémis de plaisir, je sens mes fesses chauffer et j’adore cette sensation, je me sens féline, chienne, animale avide de plaisir peu importe la forme pour l’atteindre.
Il me contourne s’installe sur la cuvette, sors son sexe et me le présente. Je me jette dessus, lape son gland et l’avale tellement j’en ai soif, le sentir vibrer ainsi entre mes lèvres, dans ma bouche me rend dingue. Je l’aspire, le pompe, salive dessus, le tête quand il me stoppe et vient s’installer derrière moi.
Re: Consultante....
Il joue un moment en passant et repassant son gland le long de mon abricot mûre, venant jouer avec mon clitoris, je suis folle de désir pour cette homme, j’ai besoin de le sentir en moi et pourtant je tiens ma position et subis les assauts voluptueux qu’il m’assène. Tout mon corps tremble comme dépendant, je suis une camée et il est ma drogue, mon corps le réclame mais il ne vient pas. Je le supplie, n’arrivant plus à me retenir plus longtemps, je le sens s’installer à l’entrée de mon fourreau mais il ne me pénètre pas, ses mains maintiennent fermement mes hanches, ses doigts, ses ongles s’enfoncent même dans ma peau, je soupire de désespoir.
Alors que je reprends mon souffle, il s’empale d’un coup sec et commence à me pilonner me laissant a peine le temps de reprendre mes esprits, mes seins ballotent et claquent l’un contre l’autre. Je suis aux paradis, pilonnée, baisée à même le sol mais heureuse, je le sens en moi, je creuse mes reins, pour lui offrir mon sexe à son maximum. Je suis en rut, mon bassin bouge de lui-même pour lui donner un maximum de plaisir, il attrape mes cheveux et tire ma tête en arrière, je lui suis alors offerte, cette baise bestiale me transporte vers des cieux jamais atteint, chaque coup de butoir me fais voltiger, je gémis de plaisir, râle devant l’orgasme incontrôlable qui s’empare de moi, quand soudain il stoppe sa cadence infernale mais reste fiché au fond de mon ventre, je me fouille de son sexe, espère le sentir encore plus profondément en moi.
Jérôme : « t’aime ça être une chienne »
Moi : « oh oui Jérôme, j’aime être ta chienne »
Jérôme : « dis le encore »
Moi : « j’aime être ta chienne Jérôme »
Jérôme : « encore ! »
Je répète cette phrase comme un automatisme, je suis femelle, chienne, putain et je suis heureuse comme jamais de me sentir ainsi possédée par lui. Sans m’en rendre compte, c’est désormais moi qui me pistonne au rythme de mes mots sur son pieu, de ses mains libres, il attrape mes seins et fait rouler mes tétons entre ses doigts, je tremble de plaisir, du plaisir qu’il me donne, mes râles et les siens s’unissent pour ne faire plus qu’un. Tout son corps repose sur moi, il me domine entièrement et je ne m’arrête pas, je suis en transe. Ses mains reprennent possession de mes hanches et il me bloque je ne peux plus faire de mouvement, un sifflement de mécontentement s’échappe de ma bouche, la réaction est immédiate, il se retire entièrement et une claque phénoménale s’abat au travers de mes fesses, il attrape mes cheveux pour me relever et plante son regard dans le mien.
Jérôme : « tu n’as rien a dire, je te baise comme bon me semble »
Moi : « pardon Jérôme, je t’en supplie pardonne moi » dans un sanglot
Jérôme : « allez vient sur moi maintenant »
Il s’installe sur les toilettes et il me fait m’empaler dos à lui, me sentir a nouveau remplie par sa queue est une bénédiction, je commence ma danse puissante, pendant qu’il joue avec mes seins avant de venir faire rouler mon clitoris entre deux doigts. Je vais jouir, je le sens, je vais exploser mais je ne peux pas, je dois attendre qu’il m’y autorise, je ralentie la cadence pendant qu’il continue a me branler fortement mon bouton, je suis à l’agonie
Jérôme : « jouis Marine , laisses toi aller »
Tout mon ventre explose quand il finit sa phrase, il vient plaquer une de ses mains sur ma bouche pour dissimuler au mieux le hurlement qui vient du fond de mes entrailles et je le sens jouir a son tour sous les contraction de ma vulve. Mon corps tremble et est parcourue par une jouissance qui m’était alors inconnue, il resserre l’étau de ses bras autour de mon corps, pendant que j’essaie désespérément de trouver un peu d’air mais je vogue, divague et me laisse aller contre lui. Nous restons ainsi un moment moi encore empalé par son sexe a demi bandé, je sens ses lèvres fouiller mon cou, je tourne ma tête pour les retrouver et l’embrasser. Mon baiser est un remerciement bien faible face au plaisir qu’il vient de me donner. Toute notion du temps vient de s’arrêter brusquement, je ne sais plus comment faire pour me mouvoir.
Alors que je reprends mon souffle, il s’empale d’un coup sec et commence à me pilonner me laissant a peine le temps de reprendre mes esprits, mes seins ballotent et claquent l’un contre l’autre. Je suis aux paradis, pilonnée, baisée à même le sol mais heureuse, je le sens en moi, je creuse mes reins, pour lui offrir mon sexe à son maximum. Je suis en rut, mon bassin bouge de lui-même pour lui donner un maximum de plaisir, il attrape mes cheveux et tire ma tête en arrière, je lui suis alors offerte, cette baise bestiale me transporte vers des cieux jamais atteint, chaque coup de butoir me fais voltiger, je gémis de plaisir, râle devant l’orgasme incontrôlable qui s’empare de moi, quand soudain il stoppe sa cadence infernale mais reste fiché au fond de mon ventre, je me fouille de son sexe, espère le sentir encore plus profondément en moi.
Jérôme : « t’aime ça être une chienne »
Moi : « oh oui Jérôme, j’aime être ta chienne »
Jérôme : « dis le encore »
Moi : « j’aime être ta chienne Jérôme »
Jérôme : « encore ! »
Je répète cette phrase comme un automatisme, je suis femelle, chienne, putain et je suis heureuse comme jamais de me sentir ainsi possédée par lui. Sans m’en rendre compte, c’est désormais moi qui me pistonne au rythme de mes mots sur son pieu, de ses mains libres, il attrape mes seins et fait rouler mes tétons entre ses doigts, je tremble de plaisir, du plaisir qu’il me donne, mes râles et les siens s’unissent pour ne faire plus qu’un. Tout son corps repose sur moi, il me domine entièrement et je ne m’arrête pas, je suis en transe. Ses mains reprennent possession de mes hanches et il me bloque je ne peux plus faire de mouvement, un sifflement de mécontentement s’échappe de ma bouche, la réaction est immédiate, il se retire entièrement et une claque phénoménale s’abat au travers de mes fesses, il attrape mes cheveux pour me relever et plante son regard dans le mien.
Jérôme : « tu n’as rien a dire, je te baise comme bon me semble »
Moi : « pardon Jérôme, je t’en supplie pardonne moi » dans un sanglot
Jérôme : « allez vient sur moi maintenant »
Il s’installe sur les toilettes et il me fait m’empaler dos à lui, me sentir a nouveau remplie par sa queue est une bénédiction, je commence ma danse puissante, pendant qu’il joue avec mes seins avant de venir faire rouler mon clitoris entre deux doigts. Je vais jouir, je le sens, je vais exploser mais je ne peux pas, je dois attendre qu’il m’y autorise, je ralentie la cadence pendant qu’il continue a me branler fortement mon bouton, je suis à l’agonie
Jérôme : « jouis Marine , laisses toi aller »
Tout mon ventre explose quand il finit sa phrase, il vient plaquer une de ses mains sur ma bouche pour dissimuler au mieux le hurlement qui vient du fond de mes entrailles et je le sens jouir a son tour sous les contraction de ma vulve. Mon corps tremble et est parcourue par une jouissance qui m’était alors inconnue, il resserre l’étau de ses bras autour de mon corps, pendant que j’essaie désespérément de trouver un peu d’air mais je vogue, divague et me laisse aller contre lui. Nous restons ainsi un moment moi encore empalé par son sexe a demi bandé, je sens ses lèvres fouiller mon cou, je tourne ma tête pour les retrouver et l’embrasser. Mon baiser est un remerciement bien faible face au plaisir qu’il vient de me donner. Toute notion du temps vient de s’arrêter brusquement, je ne sais plus comment faire pour me mouvoir.
Re: Consultante....
Jérôme : « il est temps de retourner travailler »
Moi : « hein ? Oui mais j’ai du mal a bouger il me falloir de l’aide je crois »
Je me bouge lentement, me relève, ma tête me tourne toujours, je suis a demi consciente de la scène que je viens de vivre et si d’infimes spasmes ne traversaient pas encore mon ventre, je pourrai croire que tout cela n’est qu’un rêve.
Jérôme : « tiens tes sous vêtements du jour »
Moi : « merci Jérôme »
Je prends le sac plastique qu’il me tend et commence a m’habiller de cette nouvelle lingerie, Jérôme me regarde faire, j’essaie de le faire le plus sexy possible mais mes jambes me tiennent a peine et plusieurs fois je risque de m’affaler sur le sol. Le soutien gorge et mes bas sont mis, lorsque Jérôme attrape le serre taille et le fixe lui-même, je vais pour prendre l’attache de la jarretelle lorsque ces doigts se substituent aux miens, je me laisse faire.
Il attache lui-même les liens, je sens la chaleur de son visage si proche de mon sexe, que je me sens défaillir, « que va-t-il me faire ? » sa langue vient titiller mon bouton, je soupire, ferme les yeux pour profiter de cette tendre caresse. Quand une douleur vive me fait sursauter, il vient de me mordre le clitoris, j’halète, la douleur fait place à une nouvelle sensation de plaisir, j’ai presque envie qu’il recommence encore.
Ses doigts remplacent sa langue lorsqu’il se redresse pour m’embrasser.
Ses lèvres sont d’une douceur incommensurable, je pourrai rester des heures a être embrasser par elles et je pourrais en jouir tellement elles sont délicieuses.
Jérôme : « pas encore rassasiée ? »
Moi : « noooon j’en veux encore »
Jérôme : « chienne ! »
Moi : « merci »
Jérôme : « effectivement c’est un compliment »
Moi : « je le sais Jérôme »
Jérôme : « allez je suis en rendez vous dans 1h à l’autre bout de Paris, je dois y aller »
Moi : « bien, je te revoie ? »
Jérôme : « non »
Moi : « ah »
Jérôme : « bon week end ma belle»
Moi : « bon week end a toi aussi Jérôme »
Mon ventre se tord lorsqu’il dépose un baiser sur mon front comme on le fait avec un enfant avant de le laisser pour quelques jours, « je ne le verrai plus avant lundi, 2 jours sans aucun contacts, une torture insurmontable à mes yeux tant il a pris de la place dans ma vie.
Il me laisse, je sens une boule se former dans ma gorge, je reste un instant seule dans ces toilettes essayant tant bien que mal de reprendre mes esprits. Mon corps tremble encore, je suis une autre, j'ai du mal a réaliser se qu'il vient de se passer... Tout est derrière un voile opaque, si je n'avais pas la certitude physique que je viens de jouir et de m’être entièrement abandonnée à Jerome, je pourrais croire que tout n'est qu'un rêve.
Je finis de me rhabiller, prends une dernière grande inspiration et ouvre la porte pour retourner à mon bureau. En arrivant dans l’open space je sens le regard lourd d'Emmy se poser sur moi mais je n'y fais pas attention, d’autant plus qu'une voix familière m'appelle derrière moi.
Alex : eh et bah alors Marine tu m'évites ou quoi?
Moi : non, t'es con. Comment tu vas ?
Son odeur m'enivre, ses lèvres déclenchent des frissons sur ma peau encore électrique, tous mes sens sont en éveil.
Moi : « hein ? Oui mais j’ai du mal a bouger il me falloir de l’aide je crois »
Je me bouge lentement, me relève, ma tête me tourne toujours, je suis a demi consciente de la scène que je viens de vivre et si d’infimes spasmes ne traversaient pas encore mon ventre, je pourrai croire que tout cela n’est qu’un rêve.
Jérôme : « tiens tes sous vêtements du jour »
Moi : « merci Jérôme »
Je prends le sac plastique qu’il me tend et commence a m’habiller de cette nouvelle lingerie, Jérôme me regarde faire, j’essaie de le faire le plus sexy possible mais mes jambes me tiennent a peine et plusieurs fois je risque de m’affaler sur le sol. Le soutien gorge et mes bas sont mis, lorsque Jérôme attrape le serre taille et le fixe lui-même, je vais pour prendre l’attache de la jarretelle lorsque ces doigts se substituent aux miens, je me laisse faire.
Il attache lui-même les liens, je sens la chaleur de son visage si proche de mon sexe, que je me sens défaillir, « que va-t-il me faire ? » sa langue vient titiller mon bouton, je soupire, ferme les yeux pour profiter de cette tendre caresse. Quand une douleur vive me fait sursauter, il vient de me mordre le clitoris, j’halète, la douleur fait place à une nouvelle sensation de plaisir, j’ai presque envie qu’il recommence encore.
Ses doigts remplacent sa langue lorsqu’il se redresse pour m’embrasser.
Ses lèvres sont d’une douceur incommensurable, je pourrai rester des heures a être embrasser par elles et je pourrais en jouir tellement elles sont délicieuses.
Jérôme : « pas encore rassasiée ? »
Moi : « noooon j’en veux encore »
Jérôme : « chienne ! »
Moi : « merci »
Jérôme : « effectivement c’est un compliment »
Moi : « je le sais Jérôme »
Jérôme : « allez je suis en rendez vous dans 1h à l’autre bout de Paris, je dois y aller »
Moi : « bien, je te revoie ? »
Jérôme : « non »
Moi : « ah »
Jérôme : « bon week end ma belle»
Moi : « bon week end a toi aussi Jérôme »
Mon ventre se tord lorsqu’il dépose un baiser sur mon front comme on le fait avec un enfant avant de le laisser pour quelques jours, « je ne le verrai plus avant lundi, 2 jours sans aucun contacts, une torture insurmontable à mes yeux tant il a pris de la place dans ma vie.
Il me laisse, je sens une boule se former dans ma gorge, je reste un instant seule dans ces toilettes essayant tant bien que mal de reprendre mes esprits. Mon corps tremble encore, je suis une autre, j'ai du mal a réaliser se qu'il vient de se passer... Tout est derrière un voile opaque, si je n'avais pas la certitude physique que je viens de jouir et de m’être entièrement abandonnée à Jerome, je pourrais croire que tout n'est qu'un rêve.
Je finis de me rhabiller, prends une dernière grande inspiration et ouvre la porte pour retourner à mon bureau. En arrivant dans l’open space je sens le regard lourd d'Emmy se poser sur moi mais je n'y fais pas attention, d’autant plus qu'une voix familière m'appelle derrière moi.
Alex : eh et bah alors Marine tu m'évites ou quoi?
Moi : non, t'es con. Comment tu vas ?
Son odeur m'enivre, ses lèvres déclenchent des frissons sur ma peau encore électrique, tous mes sens sont en éveil.
Re: Consultante....
M'enfin j'ai dit que je postais aujourd'hui tout se que j'ai déjà écrit pas que je postais la fin alternative 

Re: Consultante....
Alex : « et bah ca va bien, même si ma copine Marine me manque. On devait se parler je te rappelle. »
Moi : « ouais je sais mais j'ai eu un truc a faire au dernier moment et... »
Alex : « ouais et il s'appellerait pas Jérôme ton truc? »
Moi : « euh... Ok je suis démasquée , je te propose que ce soir on se fasse un petit verre. C'est vendredi, apéro party? »
Alex : « euh bah normalement je dois voir Rose »
Moi : « je comprends, laisses tomber, moi aussi tu me manques mais si tu veux, je n'ai absolument rien de prévu ce week-end et Jérôme part donc je suis super disponible. »
Alex : « super samedi soir alors on se fait un ciné? Ou alors tu viens à la maison et on se fait soirée improvisée. »
Moi : « oui, ca me branche bien cette affaire. Je viens pour 18h demain chez toi et on se laisse porter. J'ai besoin de te parler en plus. »
Alex : « oui moi aussi »
Une nouvelle boule se forme dans mon ventre a ces mots, mon cerveau ne fait qu’un tour et une angoisse monte « de quoi veut il me parler ? Il va pas se marier ! ah non je ne suis pas prête pour ça… »
Moi : « bien a demain soir alors »
Alex : « au fait Marine ? »
Moi : « oui quoi ? »
Alex : « ça te va vraiment bien les jupes et les robes, t’es canon »
Mon cœur s’enflamme a ce compliment, je ne comprends pas pourquoi mais je l’accepte, moi aussi je me sens bien finalement, je me sens femme, fatale et jusqu’au bout des ongles.
Je regagne ma place, un sourire en coin et me plonge dans mon travail pour oublier que je ne reverrais plus Jérôme pendant deux jours alors que mon corps le réclame déjà et qu’Alex a quelque chose a me dire visiblement demain soir.
La journée est intense, je passe de réunion prévue en réunion improvisée, les urgences s’accumulent, lorsque je vois le bout, l’horloge de l’ordinateur m’indique 20h, « super pour un vendredi soir ! » et en arrivant sur le plateau, tout le monde est parti, un soupir s’échappe « seule au monde en plus »
Une fois mes derniers dossiers mis a jour, je rassemble mes affaires, et en ouvrant mon tiroir, découvre un sac avec l’ensemble des sous vêtements que j’ai acheté la vieille « je ne sais même pas quand il a eu le temps de le mettre ici », un sourire se dessine sur mes lèvres en même temps que mon cœur se serre.
Les écouteurs fixées dans les oreilles « La Liste de Rose », en boucle je prends le chemin de chez moi qui me parait spécialement court tellement je me suis noyé dans les paroles de la chanson et fonctionné tel un automate.
Je retrouve mon chez moi « home, sweet home » qui me parait différent, en fait tout me parait différent autour de moi depuis ce matin. Je défais et laisse trainer négligemment mes talons et ma veste et prends ma boule de poils ronronnante dans mes bras avant qu’elle essaye immédiatement de s’en échapper. Je la repose, file me faire couler un bain et me sert un verre de vin.
Le temps que la baignoire se remplisse, je lance mon pc et zappe en même temps sur la télé, mais je dois me rendre a l’évidence qu’il est déjà 21h passée et que le vendredi soir il n’y a vraiment rien d’intéressant.
Une fois le pc connecté, je passe ma commande de sushis et me dirige vers ce bain qui me fait tellement envie. Une fois en sous vêtement je ne peux m’empêcher de me regarder dans le miroir et admirer celle que je suis, jamais je n’aurai penser pouvoir être aussi sexy et désirable, je me fais envie toute seule, je détache les bas que je laisse glisser le long de mes jambes avant de m’attaquer au serre-taille puis à mon soutien gorge. Uniquement vêtu du tanga en dentelle je me regarde a nouveau, travaille ma cambrure, les effluves des huiles essentielles que j’ai mis dans mon bain me rappelle à celui-ci et je plonge dedans, me laissant enivrer par la moiteur régnant dans la pièce.
L’eau brûlante détend tous mes muscles, je me laisse porter par l’apesanteur et c’est la sonnette de l’interphone qui me réveille de mon demi sommeil.
J’attrape ma serviette et vais ouvrir uniquement enroulée de celle-ci au livreur. La stupéfaction se lit sur son visage quand je lui ouvre la porte. Il hésite un moment et reprends ses moyens en me tendant le sac et récupérant la monnaie que je lui donne.
Je me réinstalle dans le canapé encore enroulée de la serviette humide tout en naviguant sur le net. Je déguste mes sushis et me délecte de mon verre de Chardonnay quand mon portable sonne :
Jérôme : n’oublies pas une photo par jour me montrant la chienne qui sommeille en toi, bon week-end à toi ma belle
Un frisson me parcours à la lecture de celui-ci, « il a le don pour me mettre dans un état lui »
Moi : « ouais je sais mais j'ai eu un truc a faire au dernier moment et... »
Alex : « ouais et il s'appellerait pas Jérôme ton truc? »
Moi : « euh... Ok je suis démasquée , je te propose que ce soir on se fasse un petit verre. C'est vendredi, apéro party? »
Alex : « euh bah normalement je dois voir Rose »
Moi : « je comprends, laisses tomber, moi aussi tu me manques mais si tu veux, je n'ai absolument rien de prévu ce week-end et Jérôme part donc je suis super disponible. »
Alex : « super samedi soir alors on se fait un ciné? Ou alors tu viens à la maison et on se fait soirée improvisée. »
Moi : « oui, ca me branche bien cette affaire. Je viens pour 18h demain chez toi et on se laisse porter. J'ai besoin de te parler en plus. »
Alex : « oui moi aussi »
Une nouvelle boule se forme dans mon ventre a ces mots, mon cerveau ne fait qu’un tour et une angoisse monte « de quoi veut il me parler ? Il va pas se marier ! ah non je ne suis pas prête pour ça… »
Moi : « bien a demain soir alors »
Alex : « au fait Marine ? »
Moi : « oui quoi ? »
Alex : « ça te va vraiment bien les jupes et les robes, t’es canon »
Mon cœur s’enflamme a ce compliment, je ne comprends pas pourquoi mais je l’accepte, moi aussi je me sens bien finalement, je me sens femme, fatale et jusqu’au bout des ongles.
Je regagne ma place, un sourire en coin et me plonge dans mon travail pour oublier que je ne reverrais plus Jérôme pendant deux jours alors que mon corps le réclame déjà et qu’Alex a quelque chose a me dire visiblement demain soir.
La journée est intense, je passe de réunion prévue en réunion improvisée, les urgences s’accumulent, lorsque je vois le bout, l’horloge de l’ordinateur m’indique 20h, « super pour un vendredi soir ! » et en arrivant sur le plateau, tout le monde est parti, un soupir s’échappe « seule au monde en plus »
Une fois mes derniers dossiers mis a jour, je rassemble mes affaires, et en ouvrant mon tiroir, découvre un sac avec l’ensemble des sous vêtements que j’ai acheté la vieille « je ne sais même pas quand il a eu le temps de le mettre ici », un sourire se dessine sur mes lèvres en même temps que mon cœur se serre.
Les écouteurs fixées dans les oreilles « La Liste de Rose », en boucle je prends le chemin de chez moi qui me parait spécialement court tellement je me suis noyé dans les paroles de la chanson et fonctionné tel un automate.
Je retrouve mon chez moi « home, sweet home » qui me parait différent, en fait tout me parait différent autour de moi depuis ce matin. Je défais et laisse trainer négligemment mes talons et ma veste et prends ma boule de poils ronronnante dans mes bras avant qu’elle essaye immédiatement de s’en échapper. Je la repose, file me faire couler un bain et me sert un verre de vin.
Le temps que la baignoire se remplisse, je lance mon pc et zappe en même temps sur la télé, mais je dois me rendre a l’évidence qu’il est déjà 21h passée et que le vendredi soir il n’y a vraiment rien d’intéressant.
Une fois le pc connecté, je passe ma commande de sushis et me dirige vers ce bain qui me fait tellement envie. Une fois en sous vêtement je ne peux m’empêcher de me regarder dans le miroir et admirer celle que je suis, jamais je n’aurai penser pouvoir être aussi sexy et désirable, je me fais envie toute seule, je détache les bas que je laisse glisser le long de mes jambes avant de m’attaquer au serre-taille puis à mon soutien gorge. Uniquement vêtu du tanga en dentelle je me regarde a nouveau, travaille ma cambrure, les effluves des huiles essentielles que j’ai mis dans mon bain me rappelle à celui-ci et je plonge dedans, me laissant enivrer par la moiteur régnant dans la pièce.
L’eau brûlante détend tous mes muscles, je me laisse porter par l’apesanteur et c’est la sonnette de l’interphone qui me réveille de mon demi sommeil.
J’attrape ma serviette et vais ouvrir uniquement enroulée de celle-ci au livreur. La stupéfaction se lit sur son visage quand je lui ouvre la porte. Il hésite un moment et reprends ses moyens en me tendant le sac et récupérant la monnaie que je lui donne.
Je me réinstalle dans le canapé encore enroulée de la serviette humide tout en naviguant sur le net. Je déguste mes sushis et me délecte de mon verre de Chardonnay quand mon portable sonne :
Jérôme : n’oublies pas une photo par jour me montrant la chienne qui sommeille en toi, bon week-end à toi ma belle
Un frisson me parcours à la lecture de celui-ci, « il a le don pour me mettre dans un état lui »
Re: Consultante....
Je navigue sur internet et de sites en sites je tombe sur un site de récits BDSM : rdf, je m’aventure a lire un premier récit, je sens mon corps réagir à cette histoire de soumission féminine, je continue de naviguer de récit en récit et je dois bien me rendre compte que toutes ces histoires résonnent en moi, ma fente perle et en y passant les doigts je m’aperçois que je coule littéralement, l’humidité sur ma serviette n’est pas issue de l’eau du bain mais bel et bien de mon intimité ruisselante.
La réaction de mon corps me conforte dans le fait que je suis faite pour ça, la soumission, tous ces récits de femmes à la découverte d’elles mêmes m’excitent, je dévore ces écrits, je m’imagine a leur place, je leur envie le collier qu’on leur mets, les pinces sur leur tétons ou ses longues séances de fessée, ceinture et ces mots crus, « comment ai-je pu autant changer en si peu de temps ? »
A contre cœur la fatigue me gagne et si je veux être en pleine forme pour la soirée avec Alex, je dois me reposer, je referme le pc pour aller me coucher, je suis dans un état déplorable et n’ayant pas de nouvelles de Jérôme durant deux longs jours, je ne sais même pas si je peux me toucher ou non. Ne voulant pas le décevoir je préfère m’abstenir malgré les caresses que réclament mon bas ventre et m’enroule dans les draps.
Je repense a ce matin, cette épreuve que m’a fait vivre Jérôme, la peur qui s’est emparée de moi lorsque je suis arrivée devant le gardien mais cette force insoupçonnée qui fut soudainement mienne lorsque j’ai pensée a lui.
Je me déroule a nouveau la scène, ma masturbation impudique devant le gardien, son regard sur moi, ses doigts et l’apothéose lorsque se fut ceux de Jérôme. Je me bats avec le voile épais qui couvre ce moment dans les toilettes. J’ai envie de la revivre, de la revoir, mais seul mon ressenti revient, l’orgasme, cet orgasme « hummm » mon ventre se contracte a cette simple pensée, je serai capable de jouir si j’y repense trop.
Je me retourne à la recherche du sommeil qui ne vient pas, je repense à la voix de Jérôme, a cette discussion qu’il a eu avec le gardien, ce moment où pour la première fois je n’étais plus qu’objet, tout cela devrait me révulser et pourtant j’ai aimé, ce mélange de honte et de plaisir imbriqué. La fierté que j’en ai tiré, la fierté de montrer a ce gros porc que j’étais sienne, que c’était lui mon Maître et que je n’obéissais qu’à lui.
Pour la première fois je ressens le besoin de coucher sur papier mon ressenti pour capturer ce moment hors du temps, le début de ma soumission, le début de ma vie, celle que j’ai choisie.
Je récupère le pc, le rallume et à une vitesse fulgurante, les mots s’enchainent, dans mon esprit, incontrôlables :
L’orgasme, le cri, celui de ma chair, de mon sang bouillonnant, celui dont je me repais jours après jours dans son attente. Pas le simple orgasme physique non il est devenu futile et trop facilement accessible pour moi, depuis quelque temps j’ai besoin, tout mon être se nourri de lui : l’orgasme mental.
Le puissant celui qui dévaste tout sur son passage, le fort, le subversif, une tempête, un ouragan pour mon corps et dont je réclame la possibilité, que dis je me pavanerai pour une seule de ses gouttes.
Parce qu’il existe parce qu’il est lui, parce que son image, sa voix, oh oui sa voix… Electrochoc de mon cerveau, un texto et je m’exécute, je ne suis plus, je ne suis qu’attente, qu’importe se qu’il me demande je le ferai pour son plaisir et peut être cette autorisation, celle de jouir, de connaître l’ultime, d’en avoir l’odeur et la saveur : l’orgasme…
A chaque fois plus intense et pourtant si présent. Si j’en doute, un simple doigt effleurant mon intimité me confirme son existence, oui j’ai jouie ! Encore, plus fort que la dernière fois et bien moins que la prochaine.
La résultante : le vice, son vice auquel je m’abreuve dépendante telle la dernière des camées, ma dose, mon besoin est là, presque vital, oui j’ai besoin de lui et de son vice pour me sentir Moi.
Pourquoi ? Comment ?
C’est arrivé si vite, trop vite et pourtant digéré. Malgré moi ? Non avec ma bénédiction, il fait naitre chaque jour de nouvelle envie, de nouveaux besoins, je suis une autre, je suis a ses pieds et pourtant totalement consciente de cet état qui est mien. Il me transporte, me révèle, mon regard a changé, femme, femelle et chienne, voila se que je suis devenue.
Les mots branler, pute et putain sont courant et j’en suis fière. Pourquoi ? Je ne sais pas ? Etat latent qui me guettait ? Certainement. Se que je suis réellement ? Absolument. Une femme comme tout a chacune et pourtant insatisfaite d’un simple homme.
Baiser pour baiser ? Oui pourquoi pas, les hommes s’enchainent et se déchainent, les membres crachent leur foutre mais aucun n’a sa saveur. Sa saveur à lui, celle que je vois comme un cadeau, une offrande, une bénédiction.
Oh non je ne devrais pas, je devrais résister, abandonner, l’abandonner et pourtant je ne le veux pas, ne le peux pas. Duel du combat intérieur qui s’amorce, la raison ou l’abandon, l’abandon total dont je fait preuve en sa présence.
Parce que lorsqu’il parait je ne suis plus, je n’existe plus, je me pavanerai pour une caresse, qu’elle soit douce ou violente. Une caresse peut elle être violente ? Oui les siennes le sont et aussi délectable que les douces.
Mon corps le réclame alors que mon cerveau se veut raisonnable et je m’abandonne, me laisse guider pour ses désirs perverses ? Oui j’aime la perversité, je m’y roule, m’enroule en elle comme un cocon de fraîcheur incapable de contre carrer les plans qu’elle mijote.
Il me veut putain alors je le serai, qu’importe qui abusera de moi, du moment que lui me finira, sera ma cerise sur le gâteau qu’est devenu mon corps et que les autres s’arrachent.
Il me veut chienne, alors je porterai fièrement le collier et la laisse du moment que se soit sa main qui la tienne… Sentir Sa main, cette main, Celle qui sait qui je suis….
Ma vie a changée ? Oui elle s’est transformée, embellie… Est devenue belle et sombre, la meilleur part de la déchéance n’est elle pas la beauté qu’elle renvoie…
Ses mots : impudique, chienne, belle, putain, servile sont miens, résonnent dans mon être, dans mon corps, dans se que je suis désormais malgré moi.
Oui malgré moi et pourtant j’en réclame encore, j’en veux encore de lui. Un seul baiser de ses lèvres et je fonds, m’éparpille, disparaitre pour mieux renaitre.
Je ne sais pas, je ne sais plus… Je défais pour mieux construire, me reconstruire… Devenir celle qui m’attendait tapie dans l’ombre de ma conscience… Devenir Moi enfin… Mais Sienne avant tout
Les larmes coulent au rythme que mon cerveau impose à mes doigts en même temps que le bien être m’envahie. Lorsque la source se tarie, je prends enfin le temps de relire ce texte, un cri, c’est un cri intérieur que je viens d’écrire, je me sens vidée, épuisée, je regagne mon lit et m’endors instantanément.
La réaction de mon corps me conforte dans le fait que je suis faite pour ça, la soumission, tous ces récits de femmes à la découverte d’elles mêmes m’excitent, je dévore ces écrits, je m’imagine a leur place, je leur envie le collier qu’on leur mets, les pinces sur leur tétons ou ses longues séances de fessée, ceinture et ces mots crus, « comment ai-je pu autant changer en si peu de temps ? »
A contre cœur la fatigue me gagne et si je veux être en pleine forme pour la soirée avec Alex, je dois me reposer, je referme le pc pour aller me coucher, je suis dans un état déplorable et n’ayant pas de nouvelles de Jérôme durant deux longs jours, je ne sais même pas si je peux me toucher ou non. Ne voulant pas le décevoir je préfère m’abstenir malgré les caresses que réclament mon bas ventre et m’enroule dans les draps.
Je repense a ce matin, cette épreuve que m’a fait vivre Jérôme, la peur qui s’est emparée de moi lorsque je suis arrivée devant le gardien mais cette force insoupçonnée qui fut soudainement mienne lorsque j’ai pensée a lui.
Je me déroule a nouveau la scène, ma masturbation impudique devant le gardien, son regard sur moi, ses doigts et l’apothéose lorsque se fut ceux de Jérôme. Je me bats avec le voile épais qui couvre ce moment dans les toilettes. J’ai envie de la revivre, de la revoir, mais seul mon ressenti revient, l’orgasme, cet orgasme « hummm » mon ventre se contracte a cette simple pensée, je serai capable de jouir si j’y repense trop.
Je me retourne à la recherche du sommeil qui ne vient pas, je repense à la voix de Jérôme, a cette discussion qu’il a eu avec le gardien, ce moment où pour la première fois je n’étais plus qu’objet, tout cela devrait me révulser et pourtant j’ai aimé, ce mélange de honte et de plaisir imbriqué. La fierté que j’en ai tiré, la fierté de montrer a ce gros porc que j’étais sienne, que c’était lui mon Maître et que je n’obéissais qu’à lui.
Pour la première fois je ressens le besoin de coucher sur papier mon ressenti pour capturer ce moment hors du temps, le début de ma soumission, le début de ma vie, celle que j’ai choisie.
Je récupère le pc, le rallume et à une vitesse fulgurante, les mots s’enchainent, dans mon esprit, incontrôlables :
L’orgasme, le cri, celui de ma chair, de mon sang bouillonnant, celui dont je me repais jours après jours dans son attente. Pas le simple orgasme physique non il est devenu futile et trop facilement accessible pour moi, depuis quelque temps j’ai besoin, tout mon être se nourri de lui : l’orgasme mental.
Le puissant celui qui dévaste tout sur son passage, le fort, le subversif, une tempête, un ouragan pour mon corps et dont je réclame la possibilité, que dis je me pavanerai pour une seule de ses gouttes.
Parce qu’il existe parce qu’il est lui, parce que son image, sa voix, oh oui sa voix… Electrochoc de mon cerveau, un texto et je m’exécute, je ne suis plus, je ne suis qu’attente, qu’importe se qu’il me demande je le ferai pour son plaisir et peut être cette autorisation, celle de jouir, de connaître l’ultime, d’en avoir l’odeur et la saveur : l’orgasme…
A chaque fois plus intense et pourtant si présent. Si j’en doute, un simple doigt effleurant mon intimité me confirme son existence, oui j’ai jouie ! Encore, plus fort que la dernière fois et bien moins que la prochaine.
La résultante : le vice, son vice auquel je m’abreuve dépendante telle la dernière des camées, ma dose, mon besoin est là, presque vital, oui j’ai besoin de lui et de son vice pour me sentir Moi.
Pourquoi ? Comment ?
C’est arrivé si vite, trop vite et pourtant digéré. Malgré moi ? Non avec ma bénédiction, il fait naitre chaque jour de nouvelle envie, de nouveaux besoins, je suis une autre, je suis a ses pieds et pourtant totalement consciente de cet état qui est mien. Il me transporte, me révèle, mon regard a changé, femme, femelle et chienne, voila se que je suis devenue.
Les mots branler, pute et putain sont courant et j’en suis fière. Pourquoi ? Je ne sais pas ? Etat latent qui me guettait ? Certainement. Se que je suis réellement ? Absolument. Une femme comme tout a chacune et pourtant insatisfaite d’un simple homme.
Baiser pour baiser ? Oui pourquoi pas, les hommes s’enchainent et se déchainent, les membres crachent leur foutre mais aucun n’a sa saveur. Sa saveur à lui, celle que je vois comme un cadeau, une offrande, une bénédiction.
Oh non je ne devrais pas, je devrais résister, abandonner, l’abandonner et pourtant je ne le veux pas, ne le peux pas. Duel du combat intérieur qui s’amorce, la raison ou l’abandon, l’abandon total dont je fait preuve en sa présence.
Parce que lorsqu’il parait je ne suis plus, je n’existe plus, je me pavanerai pour une caresse, qu’elle soit douce ou violente. Une caresse peut elle être violente ? Oui les siennes le sont et aussi délectable que les douces.
Mon corps le réclame alors que mon cerveau se veut raisonnable et je m’abandonne, me laisse guider pour ses désirs perverses ? Oui j’aime la perversité, je m’y roule, m’enroule en elle comme un cocon de fraîcheur incapable de contre carrer les plans qu’elle mijote.
Il me veut putain alors je le serai, qu’importe qui abusera de moi, du moment que lui me finira, sera ma cerise sur le gâteau qu’est devenu mon corps et que les autres s’arrachent.
Il me veut chienne, alors je porterai fièrement le collier et la laisse du moment que se soit sa main qui la tienne… Sentir Sa main, cette main, Celle qui sait qui je suis….
Ma vie a changée ? Oui elle s’est transformée, embellie… Est devenue belle et sombre, la meilleur part de la déchéance n’est elle pas la beauté qu’elle renvoie…
Ses mots : impudique, chienne, belle, putain, servile sont miens, résonnent dans mon être, dans mon corps, dans se que je suis désormais malgré moi.
Oui malgré moi et pourtant j’en réclame encore, j’en veux encore de lui. Un seul baiser de ses lèvres et je fonds, m’éparpille, disparaitre pour mieux renaitre.
Je ne sais pas, je ne sais plus… Je défais pour mieux construire, me reconstruire… Devenir celle qui m’attendait tapie dans l’ombre de ma conscience… Devenir Moi enfin… Mais Sienne avant tout
Les larmes coulent au rythme que mon cerveau impose à mes doigts en même temps que le bien être m’envahie. Lorsque la source se tarie, je prends enfin le temps de relire ce texte, un cri, c’est un cri intérieur que je viens d’écrire, je me sens vidée, épuisée, je regagne mon lit et m’endors instantanément.
Re: Consultante....
Je sors de mon sommeil en douceur, au vu de la lumière baignant dans la pièce, la journée est déjà bien avancée. Je me retourne, m’enroule encore dans la couette, je n’ai pas envie d’en sortir, je suis bien au chaud, la bête ronronnante vient se blottir contre moi, je referme les yeux et me laisse porter par les vibrations émises. Je suis dans un songe, des millions de questions me viennent et en même temps je me sens bien « le texte, il faut que je le relise »
Je saute du lit et attrape mon pc, le rallume et me reglisse aussi vite dans le confort ouaté de mon lit. Je relis les lignes, une boule se forme dans mon ventre : oh ! c’est beau.
Il faut que je lui envoies, que je lui fasse partager ces mots écrient en quelques minutes à sa simple pensée « mais si il ne les comprenait pas, si il les prenait pour une déclaration, en même temps c’est ceux qu’ils sont, une déclaration de ma soumission, de celle que je suis désormais pour lui, grâce à lui »
Je m’enfouis sous la couette entièrement et pense a lui, tout mon corps frissonne, je sens mes tétons se durcir et mon con s’éclore « oh non pas dès le matin… Et comment il fait ça ? » Je continues de naviguer sur mon lit sous la couette, comme à la recherche de je ne sais quoi de lui quand l’idée frappe mon cerveau : « Ah la photo !». Je profite du darde de mes seins pour lui faire une photo de moi, nue, encore dans mon lit, et lui joint le texte suivant : Dardés à ta simple pensée
J’attrape le réveil : 12h30 « il faut vraiment que je me bouge ». J’attrape négligemment mon peignoir, l’enfile et me prépare un petit déjeuner copieux, j’ai une faim de loup ce matin, une fois le plateaux prêt je file dans le canapé, lance un film et engouffre mon petit déj ; je me régale, ça faisait longtemps que je n’avais pas dévoré ainsi de bon matin. Mon portable vibre, je saute dessus et je suis presque déçue quand je m’aperçois que c’est Alexandre.
Alex : toujours ok pour ce soir
Moi : bien sûre
Alex : cool je t’attends à 19h30 – ce soir mexico’s time
Moi : O top, j’adore
Alex : je t’embrasse ma Marine
Moi : yep, yep, moi aussi
Super soirée Fajitas et Tequila, exactement se dont j’avais envie et besoin, je me rallonge dans mon canapé et sombre devant le film qui défile sur mon écran. C’est mon portable qui me tire de mon sommeil, je l’attrape sans réflexe et vois un texto de Jérôme :
Jérôme : ça donne envie
Moi : merci, comment vas-tu ?
Jérôme : bien et toi ?
Moi : ça va doucement
Jérôme : bien, quoi de prévu ce soir
Moi : soirée fajitas, tequila avec Alex
Jérôme : quel veinard ce Alex
Moi : arrêtes avec Alex stp et toi ?
Jérôme : casino. Bonne soirée
Moi : merci toi aussi
Ce simple échange m’a fait du bien mais ranime la boule de mon bas ventre, il n’est pas là et il me manque, il a pris tellement de place dans ma vie et si vite.
Je regarde l’heure sur mon téléphone : 16h00, il faut que je m’active, je fais couler l’eau d’un bain pendant que je lance une machine et fais la vaisselle « rien de mieux que les tâches ménagères pour vous vider l’esprit. »
Je saute du lit et attrape mon pc, le rallume et me reglisse aussi vite dans le confort ouaté de mon lit. Je relis les lignes, une boule se forme dans mon ventre : oh ! c’est beau.
Il faut que je lui envoies, que je lui fasse partager ces mots écrient en quelques minutes à sa simple pensée « mais si il ne les comprenait pas, si il les prenait pour une déclaration, en même temps c’est ceux qu’ils sont, une déclaration de ma soumission, de celle que je suis désormais pour lui, grâce à lui »
Je m’enfouis sous la couette entièrement et pense a lui, tout mon corps frissonne, je sens mes tétons se durcir et mon con s’éclore « oh non pas dès le matin… Et comment il fait ça ? » Je continues de naviguer sur mon lit sous la couette, comme à la recherche de je ne sais quoi de lui quand l’idée frappe mon cerveau : « Ah la photo !». Je profite du darde de mes seins pour lui faire une photo de moi, nue, encore dans mon lit, et lui joint le texte suivant : Dardés à ta simple pensée
J’attrape le réveil : 12h30 « il faut vraiment que je me bouge ». J’attrape négligemment mon peignoir, l’enfile et me prépare un petit déjeuner copieux, j’ai une faim de loup ce matin, une fois le plateaux prêt je file dans le canapé, lance un film et engouffre mon petit déj ; je me régale, ça faisait longtemps que je n’avais pas dévoré ainsi de bon matin. Mon portable vibre, je saute dessus et je suis presque déçue quand je m’aperçois que c’est Alexandre.
Alex : toujours ok pour ce soir
Moi : bien sûre
Alex : cool je t’attends à 19h30 – ce soir mexico’s time
Moi : O top, j’adore
Alex : je t’embrasse ma Marine
Moi : yep, yep, moi aussi
Super soirée Fajitas et Tequila, exactement se dont j’avais envie et besoin, je me rallonge dans mon canapé et sombre devant le film qui défile sur mon écran. C’est mon portable qui me tire de mon sommeil, je l’attrape sans réflexe et vois un texto de Jérôme :
Jérôme : ça donne envie
Moi : merci, comment vas-tu ?
Jérôme : bien et toi ?
Moi : ça va doucement
Jérôme : bien, quoi de prévu ce soir
Moi : soirée fajitas, tequila avec Alex
Jérôme : quel veinard ce Alex
Moi : arrêtes avec Alex stp et toi ?
Jérôme : casino. Bonne soirée
Moi : merci toi aussi
Ce simple échange m’a fait du bien mais ranime la boule de mon bas ventre, il n’est pas là et il me manque, il a pris tellement de place dans ma vie et si vite.
Je regarde l’heure sur mon téléphone : 16h00, il faut que je m’active, je fais couler l’eau d’un bain pendant que je lance une machine et fais la vaisselle « rien de mieux que les tâches ménagères pour vous vider l’esprit. »
Re: Consultante....
La vaisselle faite, je m’accorde un instant à moi avant de rejoindre Alex, l’eau chaude parfumée aux huiles essentielles qui me fait le plus grand bien et j'en profites pour me faire masque et autre soins du corps.
Une fois devant ma penderie, un trouble s’empare de moi : « quelle tenue mettre ? Car si je me fis a se que m’a dit Jérôme, je me dois de porter une tenue sexy, bas et jarretelle, mais d’un autre coté je sais qu’il n’est pas là et qu’il ne viendra pas. Et puis c’est une soirée avec Alex ». Des milliers de questions quand une solution s’impose d’elle-même : un legging et un pull long feront très bien l’affaire.
Je sors et passe sur le chemin nous acheter une bouteille de vin et un énorme pot de glace, plus je m’approche de chez Alex, plus je ressens une angoisse sur se qu’il veut me dire. Je ne peux m’empêcher de me faire des scénarios, « et si il m’annonce qu’il se marie ? qu’elle est enceinte ? Non il ne me ferait pas ça ? Il déménage et s’installe ensemble ? », mon cerveau est en ébullition, et en moins de temps qu’il ne le faut, je suis chez Alex. Mon cœur a un loupé lorsqu’il me fait la bise et que son parfum vient chatouiller mes narines.
Alex : « comment vas-tu ? »
Moi : « tranquillement c’est le week end »
Alex : « alors pourquoi a tu cette ride entre les yeux »
Moi : « quoi ? Arrêtes n’importe quoi »
Alex : « si ma belle celle là »
Le contact de ses doigts est agréable, je prends conscience qu’Alex me connait vraiment bien, trop même, c’est troublant.
Moi : « ah commence pas, et fou la paix à ma ride »
Alex : « alors qu’est ce qui te contrarie a ce point ? »
Moi : « rien »
Alex : « Marine… Arrêtes de me mentir »
Moi : « sers moi un verre d’abord »
On s’installe dans sa cuisine et pendant qu’il ouvre la bouteille et sors les verres, je commence a couper les citrons.
Alex : « franchement Marine, tu devrais les couper encore plus gros »
Moi : « de un je t’emmerde et si t’es pas content c’est pareil, de deux oublies pas que j’ai un couteau dans la main et de trois ramène pas ta science sur le tranchage du citron »
On éclate de rire et je continues stoïque, mais un poil agacé, mon œuvre « elles sont parfaites mes tranches ». Lorsque j’ai fini Alex nous sert notre premier verre, nous trinquons et avalons la liqueur qui enflamme nos gosiers sur son passage.
Alex : « ouah et bah ça c’est fait »
Moi : « je me souvenais plus que ça chauffait autant »
Alex : « ne me dis pas que tu rends »
Moi : « jamais, allez garçon, envoie le deuxième »
Alex : « je te reconnais bien là »
On enchaîne ainsi le deuxième et le troisième shot, et je propose a Alex de commencer a nous préparer a diner tout en discutant.
Il s’occupe de la viande pendant que je m’attèle au découpage des légumes
Alex : « alors tu vas me dire se qui te cause cette ride »
Moi : « nan mais fou la paix à ma ride, et toi tu n’avais pas quelque chose à me dire ? »
Alex : « esquive du sujet, pas mal, mais tu peux mieux faire, alors ? »
Moi : « c’est même pas vrai, je n’esquive pas, je te rappelle que c’est toi qui voulait qu’on se voit parce que je te manquait alors… »
Alex : « et toi aussi tu m’as dit que je te manquais… j’attends… »
Moi : « ok j’abandonne… ma ride est à cause de toi, voila, t’es content »
Une fois devant ma penderie, un trouble s’empare de moi : « quelle tenue mettre ? Car si je me fis a se que m’a dit Jérôme, je me dois de porter une tenue sexy, bas et jarretelle, mais d’un autre coté je sais qu’il n’est pas là et qu’il ne viendra pas. Et puis c’est une soirée avec Alex ». Des milliers de questions quand une solution s’impose d’elle-même : un legging et un pull long feront très bien l’affaire.
Je sors et passe sur le chemin nous acheter une bouteille de vin et un énorme pot de glace, plus je m’approche de chez Alex, plus je ressens une angoisse sur se qu’il veut me dire. Je ne peux m’empêcher de me faire des scénarios, « et si il m’annonce qu’il se marie ? qu’elle est enceinte ? Non il ne me ferait pas ça ? Il déménage et s’installe ensemble ? », mon cerveau est en ébullition, et en moins de temps qu’il ne le faut, je suis chez Alex. Mon cœur a un loupé lorsqu’il me fait la bise et que son parfum vient chatouiller mes narines.
Alex : « comment vas-tu ? »
Moi : « tranquillement c’est le week end »
Alex : « alors pourquoi a tu cette ride entre les yeux »
Moi : « quoi ? Arrêtes n’importe quoi »
Alex : « si ma belle celle là »
Le contact de ses doigts est agréable, je prends conscience qu’Alex me connait vraiment bien, trop même, c’est troublant.
Moi : « ah commence pas, et fou la paix à ma ride »
Alex : « alors qu’est ce qui te contrarie a ce point ? »
Moi : « rien »
Alex : « Marine… Arrêtes de me mentir »
Moi : « sers moi un verre d’abord »
On s’installe dans sa cuisine et pendant qu’il ouvre la bouteille et sors les verres, je commence a couper les citrons.
Alex : « franchement Marine, tu devrais les couper encore plus gros »
Moi : « de un je t’emmerde et si t’es pas content c’est pareil, de deux oublies pas que j’ai un couteau dans la main et de trois ramène pas ta science sur le tranchage du citron »
On éclate de rire et je continues stoïque, mais un poil agacé, mon œuvre « elles sont parfaites mes tranches ». Lorsque j’ai fini Alex nous sert notre premier verre, nous trinquons et avalons la liqueur qui enflamme nos gosiers sur son passage.
Alex : « ouah et bah ça c’est fait »
Moi : « je me souvenais plus que ça chauffait autant »
Alex : « ne me dis pas que tu rends »
Moi : « jamais, allez garçon, envoie le deuxième »
Alex : « je te reconnais bien là »
On enchaîne ainsi le deuxième et le troisième shot, et je propose a Alex de commencer a nous préparer a diner tout en discutant.
Il s’occupe de la viande pendant que je m’attèle au découpage des légumes
Alex : « alors tu vas me dire se qui te cause cette ride »
Moi : « nan mais fou la paix à ma ride, et toi tu n’avais pas quelque chose à me dire ? »
Alex : « esquive du sujet, pas mal, mais tu peux mieux faire, alors ? »
Moi : « c’est même pas vrai, je n’esquive pas, je te rappelle que c’est toi qui voulait qu’on se voit parce que je te manquait alors… »
Alex : « et toi aussi tu m’as dit que je te manquais… j’attends… »
Moi : « ok j’abandonne… ma ride est à cause de toi, voila, t’es content »
Re: Consultante....
Alex : « comment ça ? »
Moi : « tu me connais, j’ai une imagination débordante, alors je me demandais se que tu comptais me dire ce soir, et j’avoue que ça me travaille »
Alex : « tu te fais du soucis pour moi »
Moi : « non TU me cause du soucis et une ride c’est différent… bon alors ? »
Alex : « c’est pareil… mais ça me touche… rien de grave je te rassure »
Je ne peux m’empêcher de lâcher un soupir de soulagement, même si immédiatement je me dis que « se qui n’est peut être pas grave pour lui, l’est peut être pour moi »
Moi : « donc… »
Alex : « c’est fini avec Rose »
Moi : « … Quoi ? Mais… »
Alex : « tu m’as fait réfléchir et on a beaucoup discuté hier soir et effectivement je ne suis pas prêt a m’engager et avoir des enfants demain. Je veux encore profiter de la vie. Elle a pleuré beaucoup, hurlé aussi… M’a même accusé d’avoir joué avec elle uniquement pour la mettre dans mon lit… Bref une femme quoi… »
Moi : « Alex… t’es grave putain »
Alex : « quoi ? Attends et la meilleure, elle m’a même sorti que celle que je recherchais était devant mes yeux : que c’était toi et qu’on devrait bien un jour se rendre compte qu’on était fait pour être ensemble »
Moi : « rhaaa non pas elle aussi »
Alex : « quoi ? »
Moi : « Jérôme me tanne avec la même connerie »
Alex : « sérieux ? on ne peut pas être ami alors… »
Moi : « faut croire »
On rigole tous les deux, je me sens soudainement légère, en fait je me rends compte que je suis peut être un poil possessive avec Alex et que je préfère le savoir seul et rien que pour moi.
Alex : « Et toi aussi, tu n’avais pas des choses a me dire »
Moi : « on peut pas attendre que je sois complètement bourrée pour en parler ? »
Alex : « t’as prévu d’être bourrée ? »
Moi : « nan pas forcément mais je ne sais pas comment te parler de ça… »
Alex : « essayes simplement »
Moi : « ok sers moi un verre alors »
A peine a-t-il fini de le servir que j’enquille mon verre aussi sec.
Alex : « alors ? »
Moi : « un autre verre ? »
Alex : « plus de verre tant que tu ne m’auras rien dit »
Moi : « t’es dur »
Je m’allume une cigarette, je sens que j’ai besoin de ça, comme tout fumeur, une annonce de ce type doit se faire avec une clope à la main.
Moi : « ok… je ne sais pas comment on explique ça… euh… qu’est ce que tu connais du SM ? »
Alex : « QUOI ? Tu déconnes Marine ! Tu fais dans le SM ! Avec Jérôme ? Oh PUTAIN»
Moi : « Ola ! calmes toi s’il te plait… Prends un verre… Je ne fais pas dans le SM, enfin si mais c’est différent… Jérôme est tellement… enfin je l’ai choisi et c’est mon Maître »
Alex : « ton Maître ? Mais il te fouette et tout »
Moi : « oui, non, enfin… je ne sais pas comment expliquer ça, le lien qu’il y a entre nous, c’est différent, on est pas en couple, se n’est pas de l’amour, c’est une alchimie, un truc physique, j’ai besoin de lui, il me révèle a moi-même et c’est fabuleux… »
Alex : « se qui explique tes changements de tenue »
Moi : « oui je me dois d’être ‘disponible’ pour lui, enfin tu comprends, et puis je me trouve vachement plus femme, sexy, belle maintenant et j’accepte même mon côté maso »
Alex : « c’est sûre que tu es très... femme maintenant »
Moi : « femme, femelle et chienne »
Alex : « …ouais c’est tout a fait ça, même si j’ai un peu mal avec ces mots, c’est assez juste. Et ça se passe comment ? T’as un collier et tout et quand tu dis disponible, ça veut dire qu’il peut te prendre n’importe où ?… »
Moi : « oui enfin… seul lui décide de où, quand et comment me baiser ou non. Sers moi un verre s’il te plait »
Plus je parle de Jérôme et plus je sens tout mon corps en émoi, je sens mes seins se tendres sous mon pull, pendant qu’une vague de chaleur nourrit tout mon corps.
Alex : « mais enfin ça consiste en quoi quand vous voyez… »
Moi : « c’est personnel Alex, ne m’en veut pas mais si je te le dit comme ça, ça va te paraître juste barbare alors que le ressenti et le plaisir est là, même plus que là, je ne savais pas qu’il était possible d’avoir des orgasmes aussi fort en fait »
Alex : « ah ce point, putain tu me donnes des idées »
Moi : « arrêtes c’est sérieux, c’est beaucoup plus qu’un simple jeu entre adultes consentants, c’est un choix de vie »
Alex : « mais alors vous êtes ensemble ou non, je comprends pas »
Moi : « non on est pas ensemble, je reste célibataire, même si je ne sais pas si je pourrai reprendre du plaisir avec un homme quand lui me déclenche tellement de plaisir »
Alex : « je suis prêt a jouer le cobaye si tu veux »
Moi : « se que t’es con quand tu t’y mets »
Alex : « ouais et c’est se que tu aimes chez moi »
Moi : « il est certains que si tu n’existais pas, il faudrait t’inventer »
Alex : « je t’adore ma petite Marine »
Moi : « moi aussi mon Alex »
Alex : « allez viens faire un câlin ma belle »
Moi : « tu me connais, j’ai une imagination débordante, alors je me demandais se que tu comptais me dire ce soir, et j’avoue que ça me travaille »
Alex : « tu te fais du soucis pour moi »
Moi : « non TU me cause du soucis et une ride c’est différent… bon alors ? »
Alex : « c’est pareil… mais ça me touche… rien de grave je te rassure »
Je ne peux m’empêcher de lâcher un soupir de soulagement, même si immédiatement je me dis que « se qui n’est peut être pas grave pour lui, l’est peut être pour moi »
Moi : « donc… »
Alex : « c’est fini avec Rose »
Moi : « … Quoi ? Mais… »
Alex : « tu m’as fait réfléchir et on a beaucoup discuté hier soir et effectivement je ne suis pas prêt a m’engager et avoir des enfants demain. Je veux encore profiter de la vie. Elle a pleuré beaucoup, hurlé aussi… M’a même accusé d’avoir joué avec elle uniquement pour la mettre dans mon lit… Bref une femme quoi… »
Moi : « Alex… t’es grave putain »
Alex : « quoi ? Attends et la meilleure, elle m’a même sorti que celle que je recherchais était devant mes yeux : que c’était toi et qu’on devrait bien un jour se rendre compte qu’on était fait pour être ensemble »
Moi : « rhaaa non pas elle aussi »
Alex : « quoi ? »
Moi : « Jérôme me tanne avec la même connerie »
Alex : « sérieux ? on ne peut pas être ami alors… »
Moi : « faut croire »
On rigole tous les deux, je me sens soudainement légère, en fait je me rends compte que je suis peut être un poil possessive avec Alex et que je préfère le savoir seul et rien que pour moi.
Alex : « Et toi aussi, tu n’avais pas des choses a me dire »
Moi : « on peut pas attendre que je sois complètement bourrée pour en parler ? »
Alex : « t’as prévu d’être bourrée ? »
Moi : « nan pas forcément mais je ne sais pas comment te parler de ça… »
Alex : « essayes simplement »
Moi : « ok sers moi un verre alors »
A peine a-t-il fini de le servir que j’enquille mon verre aussi sec.
Alex : « alors ? »
Moi : « un autre verre ? »
Alex : « plus de verre tant que tu ne m’auras rien dit »
Moi : « t’es dur »
Je m’allume une cigarette, je sens que j’ai besoin de ça, comme tout fumeur, une annonce de ce type doit se faire avec une clope à la main.
Moi : « ok… je ne sais pas comment on explique ça… euh… qu’est ce que tu connais du SM ? »
Alex : « QUOI ? Tu déconnes Marine ! Tu fais dans le SM ! Avec Jérôme ? Oh PUTAIN»
Moi : « Ola ! calmes toi s’il te plait… Prends un verre… Je ne fais pas dans le SM, enfin si mais c’est différent… Jérôme est tellement… enfin je l’ai choisi et c’est mon Maître »
Alex : « ton Maître ? Mais il te fouette et tout »
Moi : « oui, non, enfin… je ne sais pas comment expliquer ça, le lien qu’il y a entre nous, c’est différent, on est pas en couple, se n’est pas de l’amour, c’est une alchimie, un truc physique, j’ai besoin de lui, il me révèle a moi-même et c’est fabuleux… »
Alex : « se qui explique tes changements de tenue »
Moi : « oui je me dois d’être ‘disponible’ pour lui, enfin tu comprends, et puis je me trouve vachement plus femme, sexy, belle maintenant et j’accepte même mon côté maso »
Alex : « c’est sûre que tu es très... femme maintenant »
Moi : « femme, femelle et chienne »
Alex : « …ouais c’est tout a fait ça, même si j’ai un peu mal avec ces mots, c’est assez juste. Et ça se passe comment ? T’as un collier et tout et quand tu dis disponible, ça veut dire qu’il peut te prendre n’importe où ?… »
Moi : « oui enfin… seul lui décide de où, quand et comment me baiser ou non. Sers moi un verre s’il te plait »
Plus je parle de Jérôme et plus je sens tout mon corps en émoi, je sens mes seins se tendres sous mon pull, pendant qu’une vague de chaleur nourrit tout mon corps.
Alex : « mais enfin ça consiste en quoi quand vous voyez… »
Moi : « c’est personnel Alex, ne m’en veut pas mais si je te le dit comme ça, ça va te paraître juste barbare alors que le ressenti et le plaisir est là, même plus que là, je ne savais pas qu’il était possible d’avoir des orgasmes aussi fort en fait »
Alex : « ah ce point, putain tu me donnes des idées »
Moi : « arrêtes c’est sérieux, c’est beaucoup plus qu’un simple jeu entre adultes consentants, c’est un choix de vie »
Alex : « mais alors vous êtes ensemble ou non, je comprends pas »
Moi : « non on est pas ensemble, je reste célibataire, même si je ne sais pas si je pourrai reprendre du plaisir avec un homme quand lui me déclenche tellement de plaisir »
Alex : « je suis prêt a jouer le cobaye si tu veux »
Moi : « se que t’es con quand tu t’y mets »
Alex : « ouais et c’est se que tu aimes chez moi »
Moi : « il est certains que si tu n’existais pas, il faudrait t’inventer »
Alex : « je t’adore ma petite Marine »
Moi : « moi aussi mon Alex »
Alex : « allez viens faire un câlin ma belle »
Re: Consultante....
Je ne demande pas mon reste et me jette dans ces bras, je me presse contre lui, respire son odeur a pleins poumons, son parfum m’envahit. Alex est un ami, un frère, une personne sur qui je peux compter. Je le sens faire la même chose et renifler mes cheveux, un instant je ferme les yeux et je réalise qu’il n’y a rien de meilleur qu’un simple câlin comme nous faisons en cet instant. Je rouvre les yeux et redresse ma tête, alors que je le sens resserrer notre étreinte nos regards se croisent, nous restons un moment dans les yeux l’un de l’autre y cherchant je ne sais quoi mais je suis incapable de voir autre chose que l’azur de ses pupilles dans lesquelles je plonge.
Je sens mes seins se presser contre son torse, sa chaleur m’envahit, nos lèvres a peine a quelque centimètres de l’autres, son haleine vient les caresser.
Moi, dans un chuchotement : « Alex, faut qu’on arrête la tequila je crois »
Alex : « je crois bien, mais ôte moi d’un doute quand même »
Moi : « quoi ? »
Alex : « c’est tes seins que je sens aussi dur que ça »
J’essaie de desserrer l’étreinte qui est nôtre mais Alex, au delà de faire plus d’une tête de plus que moi, maintient l’étau parfaitement sans que je ne puisse rien faire.
Moi : « Alex, s’il te plait »
Alex : « réponds et je te lâche »
Moi : « Oui c’est mes seins, c’est bon, t’es content »
Aussitôt il me lâche et je fais un pas en arrière pour m’extraire de ce cocon naturel que nous venions de former et qui était bien trop agréable.
Alex : « Ah ouais tu pointes quand même ça se voit »
Moi : « Alex ? »
Alex : « Oui Marine »
Moi : « je t’emmerde »
Alex : « ouais mais tu pointes » dit il un sourire au lèvres.
Moi : « Alex, je ne veux pas te casser ton trip et ton ego surdimensionné mais je pointe parce que je t’ai parlé de Jérôme et que je n’arrive pas maîtriser mon corps dans ces cas là »
Alex : « Arrêtes à ce point ? C’est énorme »
Moi : « nan c’est pas énorme, c’est juste gênant, même si j’aime ça, ça reste gênant »
Alex : « ton corps réagit donc a ce point loin pour lui »
Moi : « il lui appartient, je lui appartiens, je suis Sienne »
Alex : « c’est beau comment tu le dis »
Moi : « merci »
Alex : « j’espère qu’il mesure la chance qu’il a de t’avoir »
Moi : « c’est moi qui est de la chance de l’avoir LUI »
Alex : « c’est étrange comme relation et en toute honnêteté je ne pourrais jamais m’empêcher de m’inquiéter forcément mais la Marine que je vois aujourd’hui est tellement épanouie, belle, confiante que je te souhaite du bonheur »
Moi : « merci Alex, mais je ne pars pas »
Alex : « je sais que ça fait un peu discours d’adieu et je sais que tu ne pars pas, mais si Jérôme va trop loin, il aura a faire à moi Marine. Tu es plus qu’une amie pour moi, tu es la seule qui me connaisse réellement et la seule fille avec qui je n’ai pas couché et que je fréquente »
Moi : « tu m’en vois plus que ravie, on devrait me donner une médaille d’ailleurs pour cet exploit : te résister »
Je sens mes seins se presser contre son torse, sa chaleur m’envahit, nos lèvres a peine a quelque centimètres de l’autres, son haleine vient les caresser.
Moi, dans un chuchotement : « Alex, faut qu’on arrête la tequila je crois »
Alex : « je crois bien, mais ôte moi d’un doute quand même »
Moi : « quoi ? »
Alex : « c’est tes seins que je sens aussi dur que ça »
J’essaie de desserrer l’étreinte qui est nôtre mais Alex, au delà de faire plus d’une tête de plus que moi, maintient l’étau parfaitement sans que je ne puisse rien faire.
Moi : « Alex, s’il te plait »
Alex : « réponds et je te lâche »
Moi : « Oui c’est mes seins, c’est bon, t’es content »
Aussitôt il me lâche et je fais un pas en arrière pour m’extraire de ce cocon naturel que nous venions de former et qui était bien trop agréable.
Alex : « Ah ouais tu pointes quand même ça se voit »
Moi : « Alex ? »
Alex : « Oui Marine »
Moi : « je t’emmerde »
Alex : « ouais mais tu pointes » dit il un sourire au lèvres.
Moi : « Alex, je ne veux pas te casser ton trip et ton ego surdimensionné mais je pointe parce que je t’ai parlé de Jérôme et que je n’arrive pas maîtriser mon corps dans ces cas là »
Alex : « Arrêtes à ce point ? C’est énorme »
Moi : « nan c’est pas énorme, c’est juste gênant, même si j’aime ça, ça reste gênant »
Alex : « ton corps réagit donc a ce point loin pour lui »
Moi : « il lui appartient, je lui appartiens, je suis Sienne »
Alex : « c’est beau comment tu le dis »
Moi : « merci »
Alex : « j’espère qu’il mesure la chance qu’il a de t’avoir »
Moi : « c’est moi qui est de la chance de l’avoir LUI »
Alex : « c’est étrange comme relation et en toute honnêteté je ne pourrais jamais m’empêcher de m’inquiéter forcément mais la Marine que je vois aujourd’hui est tellement épanouie, belle, confiante que je te souhaite du bonheur »
Moi : « merci Alex, mais je ne pars pas »
Alex : « je sais que ça fait un peu discours d’adieu et je sais que tu ne pars pas, mais si Jérôme va trop loin, il aura a faire à moi Marine. Tu es plus qu’une amie pour moi, tu es la seule qui me connaisse réellement et la seule fille avec qui je n’ai pas couché et que je fréquente »
Moi : « tu m’en vois plus que ravie, on devrait me donner une médaille d’ailleurs pour cet exploit : te résister »
Re: Consultante....
Alex : « s’en est curieux d’ailleurs, je ne te plais pas ? »
Moi : « bien-sûre que si tu es canon, je pense juste que tu m’as connu a un moment où je n’allais pas bien et si il y avait du se passer quelque chose entre nous, ça serait déjà arrivé, tu penses pas ? »
Alex : « c’est sûre… on est amis et j’aime notre relation »
Moi : « moi aussi elle est très importante pour moi »
Alex : « bon, je mets tout ça a chauffer et on regarde pour un film »
Moi : « ok ça me va bien, je te laisse 5 minutes, je passe au toilettes »
Lorsque je ressors des toilettes, je ne peux m’empêcher de me mettre dans un coin et de le regarder, détailler son corps, ses gestes, son visage qui me parait grave et doux a la fois. Il a ce visage d’ange tellement ses traits sont fin et en même temps se dégage de lui la force de l’homme.
Je suis subjugué, sans m’en rendre compte je commence a faire un comparatif entre son visage et celui de Jérôme, je m’aperçois qu’ils sont opposés comme si l’un était l’ange et l’autre le diable.
La noirceur des yeux de Jérôme qui arrive a me transpercer et la douceur du bleu d’Alexandre dans lequel on a envie de se noyer.
Alex : « Marine ? »
Moi : « oui ? quoi ? »
Alex : « tu étais perdu dans tes pensées ma belle »
Moi : « oui désolée »
Alex : « je te laisse allumer la télé et rechercher un film potable »
Je me débats avec les 3 télécommandes avant de comprendre laquelle sert a quoi et navigue dans le menu interactif à la recherche d’un film intéressant.
Je suis tellement concentrée que je n’entends pas Alex qui s’est approché de moi et je sursaute, renversant sur moi l’intégralité de mon verre de vin qu’il me tendait.
Alex : « je suis désolé »
Moi : « merde putain, non c’est moi qui suis désolée, j’espère qu’il n’y en a pas sur ton canap, quelle conne ! »
Alex : « c’est pas pour mon canap que je m’inquiète mais pour ta robe, enlève la je vais te la laver »
Moi : « c'est-à-dire que… »
Alex : « va prendre dans mon armoire un pull ou se que tu veux et apporte moi ta robe »
Je me dirige dans sa chambre ouvre son armoire, fouille les différente étagères et reconnais le pull que je lui avais offert deux ans auparavant pour son anniversaire.
Le col en V me fait un joli décolleté et il est très confortable, je me tourne et me retourne devant la glace quand je croise le regard furibond d’Alex, j’avais oublié que sa chambre était parfaitement visible depuis la cuisine.
Alex : « c’est quoi ces marques ? »
Moi : « Alex, calmes toi, c’est rien, ça ne me fait pas mal et puis on les voit peine »
A la vitesse de l’éclair Alex se retrouve derrière moi, je n’ose pas relever les yeux et le regarder a travers le miroir. Je sens ses doigts se poser sur ma peau et parcourir l’un des dernières marques certainement encore visible, je ne peux m’empêcher de frissonner.
Alex : « ça te fait mal ? »
Moi : « nan pas du tout »
Alex : « ne me mens pas Marine »
Moi : « je ne te mens pas, je te promets, ça ne me fais plus mal. Ecoutes Alex, je les aime ces marques, je sais que c’est inconcevable pour toi mais c’est même moi qui les réclame, alors s’il te plait, redescendons, alors boire ce vin, manger et mater ce film »
Alex : « Je… »
Moi : « Alex, s’il te plaît… au nom de notre amitié »
Alex : « OK… tu as raison changeons de sujet »
Moi : « absolument »
Moi : « bien-sûre que si tu es canon, je pense juste que tu m’as connu a un moment où je n’allais pas bien et si il y avait du se passer quelque chose entre nous, ça serait déjà arrivé, tu penses pas ? »
Alex : « c’est sûre… on est amis et j’aime notre relation »
Moi : « moi aussi elle est très importante pour moi »
Alex : « bon, je mets tout ça a chauffer et on regarde pour un film »
Moi : « ok ça me va bien, je te laisse 5 minutes, je passe au toilettes »
Lorsque je ressors des toilettes, je ne peux m’empêcher de me mettre dans un coin et de le regarder, détailler son corps, ses gestes, son visage qui me parait grave et doux a la fois. Il a ce visage d’ange tellement ses traits sont fin et en même temps se dégage de lui la force de l’homme.
Je suis subjugué, sans m’en rendre compte je commence a faire un comparatif entre son visage et celui de Jérôme, je m’aperçois qu’ils sont opposés comme si l’un était l’ange et l’autre le diable.
La noirceur des yeux de Jérôme qui arrive a me transpercer et la douceur du bleu d’Alexandre dans lequel on a envie de se noyer.
Alex : « Marine ? »
Moi : « oui ? quoi ? »
Alex : « tu étais perdu dans tes pensées ma belle »
Moi : « oui désolée »
Alex : « je te laisse allumer la télé et rechercher un film potable »
Je me débats avec les 3 télécommandes avant de comprendre laquelle sert a quoi et navigue dans le menu interactif à la recherche d’un film intéressant.
Je suis tellement concentrée que je n’entends pas Alex qui s’est approché de moi et je sursaute, renversant sur moi l’intégralité de mon verre de vin qu’il me tendait.
Alex : « je suis désolé »
Moi : « merde putain, non c’est moi qui suis désolée, j’espère qu’il n’y en a pas sur ton canap, quelle conne ! »
Alex : « c’est pas pour mon canap que je m’inquiète mais pour ta robe, enlève la je vais te la laver »
Moi : « c'est-à-dire que… »
Alex : « va prendre dans mon armoire un pull ou se que tu veux et apporte moi ta robe »
Je me dirige dans sa chambre ouvre son armoire, fouille les différente étagères et reconnais le pull que je lui avais offert deux ans auparavant pour son anniversaire.
Le col en V me fait un joli décolleté et il est très confortable, je me tourne et me retourne devant la glace quand je croise le regard furibond d’Alex, j’avais oublié que sa chambre était parfaitement visible depuis la cuisine.
Alex : « c’est quoi ces marques ? »
Moi : « Alex, calmes toi, c’est rien, ça ne me fait pas mal et puis on les voit peine »
A la vitesse de l’éclair Alex se retrouve derrière moi, je n’ose pas relever les yeux et le regarder a travers le miroir. Je sens ses doigts se poser sur ma peau et parcourir l’un des dernières marques certainement encore visible, je ne peux m’empêcher de frissonner.
Alex : « ça te fait mal ? »
Moi : « nan pas du tout »
Alex : « ne me mens pas Marine »
Moi : « je ne te mens pas, je te promets, ça ne me fais plus mal. Ecoutes Alex, je les aime ces marques, je sais que c’est inconcevable pour toi mais c’est même moi qui les réclame, alors s’il te plait, redescendons, alors boire ce vin, manger et mater ce film »
Alex : « Je… »
Moi : « Alex, s’il te plaît… au nom de notre amitié »
Alex : « OK… tu as raison changeons de sujet »
Moi : « absolument »
Re: Consultante....
Malgré les efforts que nous mettons tous les deux, la légèreté du début de soirée n’est pas encore rétablie. On opte pour le film Remember Me, mais je sens Alex terriblement loin de moi. Je commence a le taquiner, le chercher, il répond à peine. Face à la distance qu’il y a entre nous, je me lève et décide de partir « quelle conne, j’aurai du me cacher, je sais en plus qu’on voit tout de sa cuisine, combien ai-je fait de soirée, où il propose aux filles de se changer dans sa chambre pour pouvoir les mater »
Alex : « Ou vas-tu ? »
Moi : « Je me rentre Alex, ça ne sert a rien, tu es à quinze bornes de moi »
Alex : « je suis désolé mais je ne l’accepte pas Marine, s’imaginer des choses et en voir les preuves c’est dur a avaler »
Moi : « c’est pour ça qu’il vaut mieux que je rentre »
Alex : « je suis désolé, restes ça va passer »
Moi : « non je ne crois pas, du moins pas tant que je serai près de toi ce soir »
Alex : « si toi tu n’arrives pas a m’apaiser Marine, alors qui le fera ? Restes s’il te plait pour moi »
Cette remarque me fend le cœur, je savais qu’Alex m’était précieux mais je ne pensais pas autant. Je suis immobile ma veste à la main à la recherche d’oxygène, je dois prendre une décision, me rassoir ou partir, de toute façon maintenant ma belle soirée est gâchée et la sienne par la même occasion.
Je suis dans mes pensées quand je sens sa main attraper la mienne, celle où je tiens ma veste, elle est si douce, si chaude, il attrape ma veste et la jette négligemment sur un tabouret de bar et viens se coller à moi. Il m’enserre dans ses bras, aucun mot n’est prononcé, je sais que se qu’il se passe est crucial et déterminant, mon corps refuse de m’obéir encore pire que devant Jérôme, je ne peux rien faire. Cette simple phrase m’a tout coupé. Je revois devant mes yeux défiler mes moments avec Alex et mes moments avec Jérôme, tout se confonds devant moi, en moi, les larmes perlent d’elle-même « je dois partir maintenant, vite ». La panique m’envahit, je me détache violement de son étreinte et part en direction de la porte, Alex me rattrape et me barre le chemin, on est face à face mais je n’ose pas le regarder droit dans les yeux, je sais que se que je vais lire dans ce regard va m’anéantir sur place.
Alex : « Ou vas-tu ? »
Moi : « Je me rentre Alex, ça ne sert a rien, tu es à quinze bornes de moi »
Alex : « je suis désolé mais je ne l’accepte pas Marine, s’imaginer des choses et en voir les preuves c’est dur a avaler »
Moi : « c’est pour ça qu’il vaut mieux que je rentre »
Alex : « je suis désolé, restes ça va passer »
Moi : « non je ne crois pas, du moins pas tant que je serai près de toi ce soir »
Alex : « si toi tu n’arrives pas a m’apaiser Marine, alors qui le fera ? Restes s’il te plait pour moi »
Cette remarque me fend le cœur, je savais qu’Alex m’était précieux mais je ne pensais pas autant. Je suis immobile ma veste à la main à la recherche d’oxygène, je dois prendre une décision, me rassoir ou partir, de toute façon maintenant ma belle soirée est gâchée et la sienne par la même occasion.
Je suis dans mes pensées quand je sens sa main attraper la mienne, celle où je tiens ma veste, elle est si douce, si chaude, il attrape ma veste et la jette négligemment sur un tabouret de bar et viens se coller à moi. Il m’enserre dans ses bras, aucun mot n’est prononcé, je sais que se qu’il se passe est crucial et déterminant, mon corps refuse de m’obéir encore pire que devant Jérôme, je ne peux rien faire. Cette simple phrase m’a tout coupé. Je revois devant mes yeux défiler mes moments avec Alex et mes moments avec Jérôme, tout se confonds devant moi, en moi, les larmes perlent d’elle-même « je dois partir maintenant, vite ». La panique m’envahit, je me détache violement de son étreinte et part en direction de la porte, Alex me rattrape et me barre le chemin, on est face à face mais je n’ose pas le regarder droit dans les yeux, je sais que se que je vais lire dans ce regard va m’anéantir sur place.
Re: Consultante....
Alex : « Marine, s’il te plait, regarde moi »
Moi : « Alex, laisses moi partir »
Alex : « Je suis désolé de t’avoir dit ça, je sais j’aurai pas du mais, j’ai besoin de toi Marine, j’ai besoin de toi dans ma vie et en voyant tes marques, j’ai pris conscience que tu n’étais pas la super-héroïne que je m’imaginais et que je ne pouvais te perdre et je le refuse, je ne veux pas, tu m’entends ! »
Moi : « Alex, non s’il te plaît, je… »
A ce moment là, je redresse la tête et plonge dans ces yeux, sans savoir comment ses bras attirent ma taille à lui et les miens se crochètent autour de son cou, nos lèvres se rapprochent, au moment précis de l’impact, quelque chose explose en moi. Ces lèvres sont un délice, je tremble, tout mon corps tremble, les larmes coulent, je suis incapable de me dessouder de lui.
Je me presse encore et encore, j’aimerai rentrer en lui, je suis bien apaisée, tout d’un coup je vois clair, magnifiquement clair, ma vie, sa vie, nos vies intimant liées depuis si longtemps. Je le dévore, je veux le faire mien, nos langues s’entremêlent timidement puis plus sensuellement. Ses baisers sont un appel au sexe, ses mains viennent se poser sur mon bassin et je me sens décoller du sol, l’étreinte se fait douce et animale à la fois, mes jambes entourent sa taille, nos sexes l’un contre l’autre à travers nos vêtements, il bande, oui Alex bande pour moi et moi je dégouline, je le veux en moi, j’en ai besoin, il m’est vital.
Il me pose sur le bar et retire mon pull, je vois dans ces yeux de l’émerveillement en découvrant mon corps, englobe chacun de mes seins et vient les embrasser délicatement, ses mains sont faites pour eux. Il les caressent doucement, ces doigts jouent avec mes tétons dardés pour lui de désir et d’envie.
Mon souffle se saccade lorsqu’il remonte le long de mon buste et que nos lèvres se retrouvent enfin, je lui retire à son tour son pull, je découvre ce torse, le caresse, en dessine chaque recoin comme la plus belle des œuvres d’art qu’il m’ai été donné de voir et de toucher. Nous nous plaquons l’un à l’autre et restons ainsi nos peaux l’une contre l’autre a savourer la chaleur et l’envie que l’on a l’un pour l’autre.
Alex : « Marine… »
Moi : « Non, ne dis rien… »
Alex : « Mais… »
Moi : « Je te veux Alexandre »
Alex : « Moi aussi Marine »
Je lèche les larmes qui s’écoulent de l’océan de ses yeux, embrasse la moindre parcelle de son visage, m’en abreuve sans fin. « Comment ai-je pu passer a coté de ça depuis 2 ans, comment a-t-on pu… ».
Il attrape mon legging et le fait glisser le long de mon corps, son visage suit ses mains, il lèche et embrasse chaque centimètre carré de ma peau qui se découvre petit à petit, chaque baiser est comme un électrochoc, je m’allonge sur le bar, lui offrant mon corps, il est à lui qu’il en fasse se qu’il veut, ma tête tourne, ses mains me caressent, je sens l’orgasme monter au fur et a mesure que sa langue se rapproche de ma fente luisante.
Il tourne autour, je me tends, lui offre, il en joue, me branle de ses doigts à travers le tissu, je dois être plus qu’impudique dans cette position, je m’en contre fou, je me tortille sous le plaisir qu’il m’offre.
Alex : « se que tu es belle »
Ma respiration se coupe à cette phrase, mes yeux s’embuent à nouveau, je recherche mon air, mes mains s’emparent de ma tête, quand je sens enfin sa bouche se plaquer à mon intimité, je lâche un cri de bête, je ne sais pas d’où il sort. Il continue son œuvre, jouant sur le tissu de mon string et s’amusant avec mon clitoris que je sens dur comme du bois. Il retire enfin la fine toile, je me laisse faire, mon corps tremble en attente, mes yeux se ferment, je sens ses doigts revenir me branler, jouer sur mes lèvres gonflées, je soupire, gémis, me cabre, écarte encore plus mes jambes, il les mords, je suis transporté.
Du bout de la langue il vient titiller mon bourgeon largement sorti de son capuchon avant de s’abattre d’un coup et de l’aspirer, il me dévore, je ruisselle encore plus, mes seins me font mal, tout mon corps me fait mal, je viens jouer et pincer mes tétons qui sont énormes et dures, l’air me manque, je ne sais plus où je suis, juste que c’est lui Alex qui me donne du plaisir et que c’est parfait, « jamais on ne m’a tenu ainsi ».
Je sens ses doigts me pénétrer un nouveau cri rauque s’échappe et j’explose quand sa bouche englobe mon clitoris, les spasmes de mon corps sont violents, ma jouissance me ravage, je le veux, je le veux encore, une nouvelle boule se forme, malgré la dimension dans laquelle je me trouve, je trouve des forces infimes pour me relever, il vient à ma rencontre, je lèche ses lèvres luisantes de mon jus avant de retrouver sa langue à nouveau.
Moi : « je Te veux »
Je l’écarte, descend de mon perchoir, m’installe à ses genoux et lui retire son pantalon, sa queue se dresse devant moi, je la lèche, l’enduit de salive, il faut qu’elle devienne aussi luisante que mon abricot, je passe et repasse, son sexe est bon, divin, je ne saurai pas m’en lasser, une taille parfaite, ni trop gros, ni trop petit. Ma lubrification achevée, je le fais glisser entre mes lèvres, il gémit, je m’active, je me calle sur ses gémissements, sa main caresse mon visage et ses doigts naviguent dans mes cheveux, je le regarde, avant de me replonger sur son gland cramoisis, je l’aspire, je l’aspire de tout mes forces.
Je le mange, mes dents viennent le croquer par endroit mais doucement, je le sens se tendre, et son jus commencé a alimenter sa hampe, je le sens bouillonné sous la chair, je ne décélère pas la cadence.
Sa main attrape l’une des miennes que j’avais posé sur l’avant de ses cuisses, nos doigts s’entremêlent, il me broie la main sous plaisir grandissant que je lui procure, un dernier soubresaut de son vît et il vient se planter dans ma gorge et déverser sa semence, je n’aurai même pas le temps de le gouter tellement il est profondément en moi, il se retire et s’écroule à terre, je me blottis contre lui, nous restons sans bouger, sans se regarder.
Lorsque je relève la tête et l’observe, je le vois les yeux clos, la tête rejetée en arrière, une angoisse me saisie et si c’était une erreur, si nous venions de faire l’erreur la plus monumentale de nos vies, si il ne me veut pas et que c’était juste un plan cul. Il doit sentir mes interrogations, puisqu’il me presse contre lui et m’embrasse tendrement.
Alex : « chut Marine, détends toi »
Moi : « mais je… »
Alex : « jamais je n’ai autant désiré quelqu’un comme toi, je ne compte pas te laisser partir, j’ai besoin de toi »
Ses yeux se rouvrent et il vient m’embrasser, nous nous regardons intensément, se que je vois dans son regard est beau et m’envoûte. En voulant l’embrasser a nouveau dans un geste maladroit je bascule en arrière et me retrouve allongée même le sol, Alex vient se coucher sur moi, nous nous dévorons à nouveau, il me retire mon soutien-gorge, vient mordre mes seins et mes aréoles avant de les lécher, j’attrape sa tête pour la tirer à moi, je l’embrasse, nos corps entièrement nus reposent l’un contre l’autre,
Moi : « viens, en moi, fais moi l’amour »
Alex : « oui »
Je le sens se positionner à l’entrée de ma vulve ouverte comme jamais, mes mains viennent sur ses fesses et lentement je me pénètre de Lui. Ni trop vite, ni trop lentement, nos corps s’assemblent à la perfection, je suis remplie merveilleusement, je plane, je plane dans la volupté, mon plaisir est là, je sais que notre désir de l’un et de l’autre est intiment lié, je ne pourrais pas jouir si lui ne jouie pas. Je veux jouir de lui, d’Alexandre, de mon Alex.
EPILOGUE :
L’étreinte ne sera pas longue mais d’une puissance et d’une intensité sans pareil, j’en ai perdu connaissance puisque je me suis réveillée blottie dans ses bras dans le confort ouaté de son lit. Nous avons passés le week-end à faire l’amour comme assoiffés de l’un et l’autre et le souvenir que j’en garde est encore intact dans ma mémoire.
Ce week-end celui qui a changé ma vie, nos vies à tout jamais était il y a 3 ans, depuis nous nous sommes mariés lors de vacances à Las Vegas sans rien officialiser en France et nous sommes parents d’une adorable Charlotte. Elle est le portrait craché de son père, elle a ses yeux, sa force de caractère et si sa peau n’était pas légèrement matte comme la mienne et ses yeux en amande, je pourrai douter qu’elle soit de moi.
Et Jérôme ? La séparation avec Jérôme n’a pas été facile, même moi je ne pensais pas qu’il avait une telle place dans ma vie, dans mon corps mais le lundi en arrivant au travail, il a immédiatement demandé a me parler avant même que je ne dise mot. La conversation a été calme, il m’a répété : « comme je te l’ai dit : tu étais célibataire et je me dois de m’effacer pour te laisser vivre ta vie de femme ». Il a quitté le projet peu de temps après, Alex a été compréhensif et respectueux de cette séparation. En réécrivant cette histoire et en y mettant un point final, je me rends compte de la vie magnifique que j’ai et je dois vous laisser car ce soir nous fêtons nos 3 ans et j’ai encore des sous vêtements a enfiler pour mon Alex.
THE END
Moi : « Alex, laisses moi partir »
Alex : « Je suis désolé de t’avoir dit ça, je sais j’aurai pas du mais, j’ai besoin de toi Marine, j’ai besoin de toi dans ma vie et en voyant tes marques, j’ai pris conscience que tu n’étais pas la super-héroïne que je m’imaginais et que je ne pouvais te perdre et je le refuse, je ne veux pas, tu m’entends ! »
Moi : « Alex, non s’il te plaît, je… »
A ce moment là, je redresse la tête et plonge dans ces yeux, sans savoir comment ses bras attirent ma taille à lui et les miens se crochètent autour de son cou, nos lèvres se rapprochent, au moment précis de l’impact, quelque chose explose en moi. Ces lèvres sont un délice, je tremble, tout mon corps tremble, les larmes coulent, je suis incapable de me dessouder de lui.
Je me presse encore et encore, j’aimerai rentrer en lui, je suis bien apaisée, tout d’un coup je vois clair, magnifiquement clair, ma vie, sa vie, nos vies intimant liées depuis si longtemps. Je le dévore, je veux le faire mien, nos langues s’entremêlent timidement puis plus sensuellement. Ses baisers sont un appel au sexe, ses mains viennent se poser sur mon bassin et je me sens décoller du sol, l’étreinte se fait douce et animale à la fois, mes jambes entourent sa taille, nos sexes l’un contre l’autre à travers nos vêtements, il bande, oui Alex bande pour moi et moi je dégouline, je le veux en moi, j’en ai besoin, il m’est vital.
Il me pose sur le bar et retire mon pull, je vois dans ces yeux de l’émerveillement en découvrant mon corps, englobe chacun de mes seins et vient les embrasser délicatement, ses mains sont faites pour eux. Il les caressent doucement, ces doigts jouent avec mes tétons dardés pour lui de désir et d’envie.
Mon souffle se saccade lorsqu’il remonte le long de mon buste et que nos lèvres se retrouvent enfin, je lui retire à son tour son pull, je découvre ce torse, le caresse, en dessine chaque recoin comme la plus belle des œuvres d’art qu’il m’ai été donné de voir et de toucher. Nous nous plaquons l’un à l’autre et restons ainsi nos peaux l’une contre l’autre a savourer la chaleur et l’envie que l’on a l’un pour l’autre.
Alex : « Marine… »
Moi : « Non, ne dis rien… »
Alex : « Mais… »
Moi : « Je te veux Alexandre »
Alex : « Moi aussi Marine »
Je lèche les larmes qui s’écoulent de l’océan de ses yeux, embrasse la moindre parcelle de son visage, m’en abreuve sans fin. « Comment ai-je pu passer a coté de ça depuis 2 ans, comment a-t-on pu… ».
Il attrape mon legging et le fait glisser le long de mon corps, son visage suit ses mains, il lèche et embrasse chaque centimètre carré de ma peau qui se découvre petit à petit, chaque baiser est comme un électrochoc, je m’allonge sur le bar, lui offrant mon corps, il est à lui qu’il en fasse se qu’il veut, ma tête tourne, ses mains me caressent, je sens l’orgasme monter au fur et a mesure que sa langue se rapproche de ma fente luisante.
Il tourne autour, je me tends, lui offre, il en joue, me branle de ses doigts à travers le tissu, je dois être plus qu’impudique dans cette position, je m’en contre fou, je me tortille sous le plaisir qu’il m’offre.
Alex : « se que tu es belle »
Ma respiration se coupe à cette phrase, mes yeux s’embuent à nouveau, je recherche mon air, mes mains s’emparent de ma tête, quand je sens enfin sa bouche se plaquer à mon intimité, je lâche un cri de bête, je ne sais pas d’où il sort. Il continue son œuvre, jouant sur le tissu de mon string et s’amusant avec mon clitoris que je sens dur comme du bois. Il retire enfin la fine toile, je me laisse faire, mon corps tremble en attente, mes yeux se ferment, je sens ses doigts revenir me branler, jouer sur mes lèvres gonflées, je soupire, gémis, me cabre, écarte encore plus mes jambes, il les mords, je suis transporté.
Du bout de la langue il vient titiller mon bourgeon largement sorti de son capuchon avant de s’abattre d’un coup et de l’aspirer, il me dévore, je ruisselle encore plus, mes seins me font mal, tout mon corps me fait mal, je viens jouer et pincer mes tétons qui sont énormes et dures, l’air me manque, je ne sais plus où je suis, juste que c’est lui Alex qui me donne du plaisir et que c’est parfait, « jamais on ne m’a tenu ainsi ».
Je sens ses doigts me pénétrer un nouveau cri rauque s’échappe et j’explose quand sa bouche englobe mon clitoris, les spasmes de mon corps sont violents, ma jouissance me ravage, je le veux, je le veux encore, une nouvelle boule se forme, malgré la dimension dans laquelle je me trouve, je trouve des forces infimes pour me relever, il vient à ma rencontre, je lèche ses lèvres luisantes de mon jus avant de retrouver sa langue à nouveau.
Moi : « je Te veux »
Je l’écarte, descend de mon perchoir, m’installe à ses genoux et lui retire son pantalon, sa queue se dresse devant moi, je la lèche, l’enduit de salive, il faut qu’elle devienne aussi luisante que mon abricot, je passe et repasse, son sexe est bon, divin, je ne saurai pas m’en lasser, une taille parfaite, ni trop gros, ni trop petit. Ma lubrification achevée, je le fais glisser entre mes lèvres, il gémit, je m’active, je me calle sur ses gémissements, sa main caresse mon visage et ses doigts naviguent dans mes cheveux, je le regarde, avant de me replonger sur son gland cramoisis, je l’aspire, je l’aspire de tout mes forces.
Je le mange, mes dents viennent le croquer par endroit mais doucement, je le sens se tendre, et son jus commencé a alimenter sa hampe, je le sens bouillonné sous la chair, je ne décélère pas la cadence.
Sa main attrape l’une des miennes que j’avais posé sur l’avant de ses cuisses, nos doigts s’entremêlent, il me broie la main sous plaisir grandissant que je lui procure, un dernier soubresaut de son vît et il vient se planter dans ma gorge et déverser sa semence, je n’aurai même pas le temps de le gouter tellement il est profondément en moi, il se retire et s’écroule à terre, je me blottis contre lui, nous restons sans bouger, sans se regarder.
Lorsque je relève la tête et l’observe, je le vois les yeux clos, la tête rejetée en arrière, une angoisse me saisie et si c’était une erreur, si nous venions de faire l’erreur la plus monumentale de nos vies, si il ne me veut pas et que c’était juste un plan cul. Il doit sentir mes interrogations, puisqu’il me presse contre lui et m’embrasse tendrement.
Alex : « chut Marine, détends toi »
Moi : « mais je… »
Alex : « jamais je n’ai autant désiré quelqu’un comme toi, je ne compte pas te laisser partir, j’ai besoin de toi »
Ses yeux se rouvrent et il vient m’embrasser, nous nous regardons intensément, se que je vois dans son regard est beau et m’envoûte. En voulant l’embrasser a nouveau dans un geste maladroit je bascule en arrière et me retrouve allongée même le sol, Alex vient se coucher sur moi, nous nous dévorons à nouveau, il me retire mon soutien-gorge, vient mordre mes seins et mes aréoles avant de les lécher, j’attrape sa tête pour la tirer à moi, je l’embrasse, nos corps entièrement nus reposent l’un contre l’autre,
Moi : « viens, en moi, fais moi l’amour »
Alex : « oui »
Je le sens se positionner à l’entrée de ma vulve ouverte comme jamais, mes mains viennent sur ses fesses et lentement je me pénètre de Lui. Ni trop vite, ni trop lentement, nos corps s’assemblent à la perfection, je suis remplie merveilleusement, je plane, je plane dans la volupté, mon plaisir est là, je sais que notre désir de l’un et de l’autre est intiment lié, je ne pourrais pas jouir si lui ne jouie pas. Je veux jouir de lui, d’Alexandre, de mon Alex.
EPILOGUE :
L’étreinte ne sera pas longue mais d’une puissance et d’une intensité sans pareil, j’en ai perdu connaissance puisque je me suis réveillée blottie dans ses bras dans le confort ouaté de son lit. Nous avons passés le week-end à faire l’amour comme assoiffés de l’un et l’autre et le souvenir que j’en garde est encore intact dans ma mémoire.
Ce week-end celui qui a changé ma vie, nos vies à tout jamais était il y a 3 ans, depuis nous nous sommes mariés lors de vacances à Las Vegas sans rien officialiser en France et nous sommes parents d’une adorable Charlotte. Elle est le portrait craché de son père, elle a ses yeux, sa force de caractère et si sa peau n’était pas légèrement matte comme la mienne et ses yeux en amande, je pourrai douter qu’elle soit de moi.
Et Jérôme ? La séparation avec Jérôme n’a pas été facile, même moi je ne pensais pas qu’il avait une telle place dans ma vie, dans mon corps mais le lundi en arrivant au travail, il a immédiatement demandé a me parler avant même que je ne dise mot. La conversation a été calme, il m’a répété : « comme je te l’ai dit : tu étais célibataire et je me dois de m’effacer pour te laisser vivre ta vie de femme ». Il a quitté le projet peu de temps après, Alex a été compréhensif et respectueux de cette séparation. En réécrivant cette histoire et en y mettant un point final, je me rends compte de la vie magnifique que j’ai et je dois vous laisser car ce soir nous fêtons nos 3 ans et j’ai encore des sous vêtements a enfiler pour mon Alex.
THE END
Re: Consultante....
Et bien j'en ai profiter pour tout relire en même temps que je vous le postais et bah je suis toute émotionnée moi : je m'auto émotionne
Arf



Arf

Re: Consultante....
tu m'as émotionnée aussi
c'est vraiment un très joli récit (ou plutôt un roman
) que tu as écrit, bravo à toi. 

c'est vraiment un très joli récit (ou plutôt un roman


Re: Consultante....


merci ma belle, oui ce récit a été écrit au fur et a mesure de ma découverte de moi même et du BDSM il y a 1 an, c'est très troublant de le reposter et le relire maintenant

Re: Consultante....
Oui je me doute, ça doit te faire voir le chemin parcouru je suppose.
C'est super que tu l'aies posté en tout cas, merci pour les lecteurs.

C'est super que tu l'aies posté en tout cas, merci pour les lecteurs.

Re: Consultante....
c'est surtout que ça remonte des souvenirs en fait 
bah faut bien en faire profiter, moi je le connais bien

bah faut bien en faire profiter, moi je le connais bien

Re: Consultante....
Et voilà, tout est lu...
Y'a une suite alternative si j'ai bien tout suivi?
Vivement...
Y'a une suite alternative si j'ai bien tout suivi?
Vivement...
Re: Consultante....
Oui y'aura normalement une autre fin mais elle n'est pas encore écrite
Merci en tout cas
Merci en tout cas
Re: Consultante....
Cedille92 a écrit :c'est surtout que ça remonte des souvenirs en fait
bah faut bien en faire profiter, moi je le connais bien
a qui le dis tu !!!!
Re: Consultante....
Jak67 a écrit :
a qui le dis tu !!!!
un énorme coup de pied au c*lCedille92 a écrit :
Re: Consultante....
Ha ben voilà je chercher ton texte la belle, je l'ai trouver j'ai plus qu'a le lire maintenant
Bisous la belle

Bisous la belle
Re: Consultante....
Et bien voilà, j'ai fini. J t'enverrais mon ressenti en MP si ca ne te derange pas.
En tout cas tu as une superbe plume, ton texte est sublime.
Merci d'avoir fait partager ça.
Un enorme bisous Cedille.

En tout cas tu as une superbe plume, ton texte est sublime.
Merci d'avoir fait partager ça.
Un enorme bisous Cedille.