" Je vous présente ma femme"

Des récits qui ne manqueront pas de réveiller vos sens et votre imagination...
sirhup

Re: " Je vous présente ma femme"

Message par sirhup »

(suite)

« Honneur aux invités ! Claire ou Angela, laquelle veut choisir une pochette la première ? » interroge Jean-Luc. Directement, Claire fait entendre le son de sa voix, douce et posée : « Je pense, et j’espère qu’Angela sera d’accord avec moi, que c’est d’abord à notre charmante hôtesse d’avoir l’honneur de choisir. Marie-France, fais comme chez toi ! » Marie-France cherche son homme du regard pour y trouver une réponse mais Angela, dont la robe est si courte que j’aperçois clairement sa culotte noire transparente, enfonce le clou : « D’accord avec Claire : à Marie-France d’ouvrir le bal ! »

En la voyant s’avancer sur bord du divan, dans cette robe divine qui ne dévoile rien mais laisse tout de même entrevoir ici la courte ligne du galbe d’un sein et là la courbe parfaite d’une hanche dont je sais qu’elle en joue comme d’un instrument, je me remémore cette scène, au club. Elle nous avait divinement amené à la faire jouir, à nous faire jouir. Rien que d’y repenser, je sens mon sexe qui se gonfle légèrement. Si elle tire le sceau argenté, je serai un homme heureux. Je me laisserai guider par sa volonté, ses envies, ses ardeurs.

Marie France saisit la pochette située la plus à droite pour elle. De ses doigts fins et délicats dont les ongles sont vernis de rouge, en accord parfait cette robe qui ne cache plus grand-chose de ses jambes, elle défait le cordon calmement et plonge sa main. « Tu prends le sceau mais tu le caches dans ta main », lui indique Jean-Luc , qui confirme son potentiel immense de maître de cérémonie d’un autre genre. Angela s’avance à son tour, tire sur sa robe, ce qui ne change pas grand-chose à notre panorama, et ouvre la pochette de gauche. Elle aussi, à la demande de Jean-Luc, garde le sceau dans le creux de sa main. Enfin, Claire hérite de la troisième bourse et imite ses congénères. « Maintenant, vous tendez le bras, et à mon décompte vous retournez et ouvrez la main », leur ordonne Jean-Luc. « OK ? Trois, deux, un, tendez et… ouvrez ! »

Je fixe des yeux la main de Marie-France. Elle contient le sceau couleur bronze. Cela semble la ravir puisque son sourire éclate d’une oreille à l’autre et qu’elle embrasse généreusement son mari. Etrangement, Boris ne sursaute pas de joie. Angela bien. Elle saute littéralement du divan et me plante le sceau argenté devant le nez face à la broche de la même couleur que Jean-Luc avait accroché à ma veste. Angela me colle directement un deuxième baiser. Me voilà avec les deux joues déjà maculées du rouge à lèvres de celle dont je vais être la chose d’un soir. Boris, avec un manque d’entrain qui ne ressemble guère va rejoindre Claire et Franck.

Tous les trios sont formés. Reste un mystère à éclaircir. Quelle est la volonté d’Angela et Antonio ? Par élimination, il ne me reste que deux possibilités. Suis-je avec le couple de bisexuels ou non ? Je le saurai bien assez tôt. Jean-Luc a ouvert le champagne et servi les hors-d’œuvre. Chaque trio se rassemble à table, histoire de faire plus ample connaissance.

C’est à ce moment que campée dans ses bottes aux lacets hyper tendus, la belle, grave et mystérieuse M nous rejoint. Boris, toujours aussi candide, ose la question : « Vous mangez seule ? Gianluca ne nous rejoint pas ? » La réponse de M est sans équivoque : « Vous voulez rire ? Manger à la même table que moi ? Gianluca mangera dans la même gamelle que S, un point c’est tout. Mais ils mangeront quand je le leur autoriserai. » A voir la tête pantoise puis renfrognée de Boris, je sais qu’il ne sera jamais invité comme soumis ou esclave. M le sait aussi et ne peut d’ailleurs s’empêcher de nous analyser du regard Malé et moi, cherchant sans doute à dénicher une tendance à la soumission chez l’un de nous.


(à suivre)
Supprimé

Re: " Je vous présente ma femme"

Message par Supprimé »

:bik:
sirhup

Re: " Je vous présente ma femme"

Message par sirhup »

(suite) (Bon, 3 passages aujourd'hui, je retrouve le rythme...)



Le repas est léger. Il est arrosé mais pas trop. Jean-Luc et Marie-France ont de l’expérience en matière de soirée privée. Ils savent que sexe et repas gargantuesque font aussi ménage que l’eau et l’huile. Ils savent aussi qu’un peu d’alcool aide à se désinhiber mais qu’en cette matière aussi l’excès peut se révéler fatal ou dévastateur. On touche à la fin des victuailles dans une ambiance de plus en plus frivole.

Il y a longtemps qu’Angela, assise à ma droite, a ôté ses talons hauts pour caresser mes pieds et mes jambes. Il y a déjà plusieurs minutes qu’elle a pris ma main droite pour la poser sur sa cuisse gauche. Il y a seulement quelques secondes que son mari, assis de l’autre côté a sa saisi cette même main, la mienne donc, pour la poser sur l’entrejambe de sa compagne m’accompagnant dans les légers et lents mouvements par dessus sa culotte.

A l’autre bout de la table, il ne restait plus que Jean-Luc regardant Malé passait le bout de ses doigts sur tout le corps de Marie-France, passant tantôt sa main sous l’immense fente de sa robe rouge, glissant tantôt un doigt, ou deux, dans le décolleté alors que Marie-France lui glissait quelques mots à l’oreille.
Boris, lui, avait déjà disparu dans un autre endroit de la villa, emmené par Claire et Franck. Il m’avait fait des gestes incompréhensibles tout au long du repas. J’imaginais que ce qui l’attendait ne lui plaisait pas, qu’il regrettait finalement d’être venu. Toutefois, l’immense bosse déformant son pantalon au moment d’accompagner Claire et Franck vers une pièce et des plaisirs inconnus ne laissait planer aucun doute sur sa capacité à assumer et l’effet déjà provoqué par les paroles et gestes de ses compagnons d’un soir.

Après quelques caresses orchestrées par Antonio mais opérées son compagnon et moi-même, Angela pencha la tête vers moi et me dit : « Maintenant, suis-nous ! Je sens la chaleur qui monte grâce à vous deux. Marie-France m’a parlé de toi, de ta queue. Et je sais qu’elle ne se trompe jamais. » Balançant sa tête de l’autre côté : « Andiamo, Antonio ! »

Je les suis. Nous entrons dans une pièce où se trouvent un lit carré, plutôt haut et seulement recouvert d’un drap noir. La pièce est éclairée par des mini halogènes encastrés dans les murs et flanqués à quelques centimètres seulement du sol. Ils donnent un éclairage rouge et sont orientés exactement vers le point central du plafond, formant un étrange mais magnifique halo incandescent. Angela me déshabille alors qu’Antonio, juste derrière elle, remonte sa robe jusqu’aux hanches et s’agenouille. Il lui caresse les pieds, les jambes les fesses, les cuisses, l’entrejambe. Il le fait lentement, très lentement. Pendant ce temps, elle déboutonne ma chemise, la fait glisser le long de mon dos et la dégage subtilement d’un bras, puis de l’autre alors qu’elle passe sa langue sur mon torse et me lèche les tétons. Ma chemise au sol, elle continue son ouvrage sur mon torse et mes tétons désormais tendus mais terriblement réceptifs alors qu’elle me caresse et me griffe le dos, m’empoignant aussi les fesses par moment.

Je sens ensuite Angela lever une jambe. Antonio a fait glisser sa culotte noire le long d’une de ses chevilles. Il continue de la caresser lentement mais s’attarde de plus en plus souvent sur le sexe de sa femme. Angela se penche et alors qu’elle me caresse et pince un téton de la main gauche, elle dézippe mon pantalon de la main droite, me caresse le sexe à travers mon slip, puis le sort de son étreinte et le fait passer hors de mon pantalon. Elle l’engouffre littéralement dans sa bouche. Je sens mon sexe gonfler rapidement et cela semble flatter Angela qui le malaxe, le branle, le lèche, le suce, l’avale entièrement.

(à suivre)
sirhup

Re: " Je vous présente ma femme"

Message par sirhup »

Après les 3 injections d'hier, la suite arrive aujourd'hui... (faut bien me faire pardonner de mon retard)
sirhup

Re: " Je vous présente ma femme"

Message par sirhup »

(suite)


Angela est gourmande. Tous ses gestes trahissent ce péché délicieusement capital quand il s’agit de littéralement me bouffer la queue. Elle en salive même. Antonio s’est redressé et se présente à mes côtés. Alors qu’il regarde sa femme avaler quasiment entière mon gourdin et en pomper l’extrémité puis de nouveau l’enfoncer dans sa gorge sans jamais le libérer entièrement, il retire pantalon, chaussettes et slip et présente sa queue, complètement tendue vers la bouche occupée de sa femme. Angela entreprend de le masturber, énergiquement dès le départ. Elle a ses grands ouverts plantés dans les miens et continue de faire coulisser mon sexe. Elle me mange la queue et me dévore du regard et cette double conjugaison m’excite au point que pour la première fois, j’ose passer ma main dans ses cheveux.

Pour la première depuis de longues minutes, elle ôte mon sexe de sa bouche. J’ai la queue dure comme un mandrin et dégoulinante de salive. Angela me caresse de sa main gauche, les bourses, le scrotum, sa main voyage partout tandis qu’elle offre maintenant à la queue d’Antonio le même qu’elle réservait à la mienne juste auparavant.
Je me débarasse moi aussi de mon pantalon et de mon slip. Chaussettes ? Je n’en portais pas. Antonio et moi sommes désormais entièrement nus alors que sa compagne nous suce et nous branle en alternance. C’est lui qui met un terme à cette première séance de partage en redressant Angela, la déshabillant mais pas entièrement. Elle ne conserve que ses bas noirs et s’allonge sur ce qui est sensé servir de lits à nos ébats.

« Lèche-là », m’ordonne-t-il. Angela est allongée sur le dos, je m’agenouille face à elle, baisse le torse, saisis ces deux chevilles que je pousse pour replier ses jambes. Antonio lui est accroupi à côté d’elle et lui caresse les seins alors qu’elle continue de le branler. J’offre un long voyage au bout de ma langue. Il commence sur le cou de pied d’Angela, remonte ce bas noir lentement, franchit la dentelle élastique noire lentement, ralentit presque jusqu’à l’arrêt sur l’intérieur de ses cuisses, longe l’aine traverse le pubis seulement garni d’un minuscule triangle reposant sur un seul sommet lui-même suffisamment éloigné de la naissance de son sexe pour que ma langue glisse entre les deux et amorce sur l’autre jambe le même voyage mais en descente. Je m’offre, ou plutôt j’offre à Angela, un second billet aller-retour puis, au troisième passage, je change la destination à partir du pubis pour descendre le long de cette fente déjà entrouverte et luisante puis remonter sans m’y enfoncer. Tenant toujours les chevilles d’Angela, je les relève et pose ses pieds sur mes épaules. Elle y prend directement appui pour se cambrer tandis que je passe mes deux sous son bassin que je relève davantage. Cette fois, ma langue fouille davantage. Plus oppressante sur toute la largeur d’un con qui me paraît soudain immense et plus tendue et frénétique sur ce bouton qu’elle a fort proéminent et, forcément, flatteur.

Antonio, lui, continue de mener les entreprises. Il glisse deux doigts dans le sexe de sa compagne tandis que je continue à la lécher, zigzaguant un instant et arpentant l’instant suivant. Angela, elle, varie ses mouvements. Elle écarte les lèvres de son sexe, puis se saisit les seins à pleines mains en finissant par en étirer longuement le bout, et ses gestes sont de plus en plus amples, comme la cambrure de son bassin, que j’accentue en pressant de mes mains.

Tirant mes épaules de ses mains, Antonio me fait comprendre que je dois céder le passage. Il empoigne sa queue qu’il fait glisser quelque peu le long du sexe d’Angela et puis l’enfonce dans son sexe que j’avais aidé à si bien lubrifier. « Viens ici, toi. Je veux encore te sucer », me dit Angela. Elle pose sa tête sur ma cuisse et m’offre une nouvelle gâterie. Mais sa position et la taille de mon sexe n’autorise qu’une opération, magistrale cependant, de mon gland, centre hyper névralgique de mon activité sexuel depuis que j’ai commencé à l’explorer. En deux minutes, je suis de nouveau en érection totale. Angela pousse fortement sur mon torse, me faisant basculer vers l’arrière et éjectant de la même façon mon sexe de sa bouche. Antonio se retire et cède le témoin des commandes à sa compagne.

Je m’allonge sur le dos, jambes et sexe tendus. Angela m’enjambe en me tournant le dos. et m’enfile avec expertise un préservatif. Elle s’empale plutôt avec facilité sur ma queue désormais ceintrée d’une chaleur moite et puis se penche tellement en arrière que ses cheveux fouettent le bas de mon visage et que son dos est collé à mon torse et mon ventre. Je la sens qui se masturbent, joue avec son sexe, touche le mien au passage et je peux clairement sentir ensuite le fourreau que constitue son vagin s’élargir.
Pas pour longtemps. D’abord, je sens le bout du sexe d’Antonio glisser le long de ma queue, à moitié enfoncée seulement dans Angela. Ensuite, la pression se fait nettement plus forte. Antonio enfonce doucement mais sûrement sa queue dans l’orifice que j’occupe déjà. La sensation de froid qui ne dure qu’instant me fait comprendre qu’il a lubrifié son propre engin, qu’il fait désormais bouger très lentement…

Je vivais ma première double pénétration vaginale et à mon grand entonnement, ça me procurait des sensations terribles. J’aurais misé sur ma révulsion à sentir une autre queue frotter la mienne. Eh bien non ! Un sandwich vivant ! Et Angela continue de lubrifier abondamment alors que son sexe est pleinement rempli mais qu’il s’autorise des va-et-vient qui lui tirent de vrais cris trahissant ce savant mélange de plaisir et de douleur.

J’allais cependant faire encore d’autres découvertes avec mes amateurs de doubles…


(à suivre)
Supprimé

Re: " Je vous présente ma femme"

Message par Supprimé »

:mouille: :cal:
LVb6gO8

Re: " Je vous présente ma femme"

Message par LVb6gO8 »

Super génial :cecyls: :bave: :bave1:
Supprimé

Re: " Je vous présente ma femme"

Message par Supprimé »

Ah j'suis contente de finalement trouver une suite ici :jump: miaaaaaaaaaam et ENCORE!
Répondre