(bdsm) Amazone lubrique
(bdsm) Amazone lubrique
Trois ans de bons et loyaux services, trois ans d’effort pour jouer au jeu des faux semblants, il n’y a rien de pire que de se mentir à soit même que de faire taire son corps et son esprit, parce que le cœur a ses raisons …
Elle est libre l’amazone aujourd’hui, elle a tout fait volé au vent. Elle est sorti de la restauration, a sorti le soit disant amoureux de sa vie, fait le tri dans ses contacts. A chaque jour un nouveau souffle. C’est comme cela que l’on avance c’est comme cela que l’on vit. Elle est repartie en chasse c’est plus facile qu’en ses souvenirs. Avec le temps elle a dû gagner en charisme. Un peu comme l’elfe qui gagne du bonnet de poitrine, sauf que bon elle, c’est pas une elfe, c’est une amazone et ca fait longtemps, très longtemps que son bonnet est en place.
Le bonnet et le tour de taille sont de bonnes armes au final pour appâter. Tant de temps passé à vouloir maladroitement le caché sous des couches et des couches de sous pull de pull de manteau. Ou tout simplement sous ses bras qui n’étaient pas assez de deux. Au final, les proies sont plus faciles à attirées qu’elle ne le pensait.
Elle a de la chance, elle a des sœurs d’âme, des sœurs qui répondent présentes lorsqu’elle est enclin au déclin. Avant de se réveiller, l’amazone était belle au bois dormant, il fut rude et plein d’aigreur au vu de tout ce qu’elle a laissé passer. Elle est pourtant à nouveau là debout n’en déplaise à ceux qui ont voulu la mettre à terre voir en terre.
Alors bien sûr il reste encore les troubles fêtes, ceux qui font semblant et qui disparaissent aussi vite qu’ils sont venu. On passera sous silence, ils ne méritent rien.
Chapitre 1 On joue à la poupée ?
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C’est lui qui vient vers elle avec une phrase commune et pas tant que cela : « j’ai un truc à te proposer »
Ce qu’il lui propose ? De venir jusqu’à elle la dominée qu’elle sache ce que c’est qu’un Maitre digne de ce nom. Elle sourit, elle ne sait pas pourquoi elle les aime orgueilleux sûr d’eux distant, elle les aime direct, cru, non négociable et entier. Elle aime ne rien savoir de sa vie privée. Alors elle accepte.
Coup de tête, coup du corps ? Le rendez-vous est pris, elle ne sait même pas si il va avoir le culot de vraiment venir, dans le doute, elle se prépare, calmement, ça ne sert à rien de se pressée surtout si c’est pour au final avoir un faux plan. Elle a vidé l’appartement, histoire qu’il ne reste que l’essentiel, le reste est planqué. Elle a sorti la robe noire, celle qui arrive raz l’intime, et qui commence à gorge déployée. Elle a savourée sa douche, s’est mise en tenue. Elle a fait craqué sa nuque a mangé ses mikados. Elle recoit un message :
-Sois prête j’arrive dans 30/45 minute.
Petit con. T’as deux heures d’avance sur l’heure que tu avais annoncée. Elle vérifie l’état des lieux et son état à elle. Là face à son miroir, elle fard ses yeux de noir, met le mascara, un peu de rose a ses joues, et du rouge pétant au lèvre, elle ne lésine pas sur la quantité, il veut une pute, c’est ce qu’il va avoir, un service à la carte en somme…
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‘soit habillé court, sans rien en bas, gros maquillage, et bien chienne’
Tant de poésie… ca la fait rêver.
‘je me gare ‘
Elle lui ouvre le laisse entré ferme la porte laisse le verrou ouvert. Si jamais il ne lui convient pas, c’est retour à l’expéditeur.
Il s’installe sur le canapé, comme si il connaissait déjà les lieux, comme si il était déjà chez lui, elle lui propose un verre, d’eau ou de café, il la jauge décline l’offre, elle se sert un grand verre d’eau, s’assoie en face de lui, attaque :
-Alors c’est bon pas de publicité mensongère ?
Avant ce face à face elle lui a envoyé quelques photos, histoire qu’il sache qu’il n’avait pas affaire à un fake.
-Non, de visuel, rien à redire.
Tu n’auras rien à redire du service non plus si tu te montres convaincant petit con. Elle ne dit mot, boit son verre jaugeant à son tour, physiquement il est quand même bien fait. Il plonge son regard dans le sien
-Alors qu’est ce qu’on peut faire pour que tu te sente plus à l’aise ?
Elle rigole, de surprise, elle est tout à fait à l’aise. Lui lance d’une voix provoque
-J’en sais rien, soit tu me demande de te sucé, soit on joue aux cartes.
Il ouvre sa ceinture, écarte les jambes. ( et après sinon c’est elle la pute, alors que c’est lui qui se déplace, et qui écarte les jambes en premiers) Elle a son sourire carnassier qui vient lui prendre ton son visage, se met à genoux, avance à quatre pattes auprès de lui, lui enlève tout ce qui n’est pas utile, chaussure, chaussette jean, caleçon. Il est déjà de forme honorable. Elle s’applique à la fellation. Rien de tel pour savoir à quel genre d’homme elle a affaire.
C’est une pratique courante chez elle à présent, pour elle c’est la pratique qui met en condition les deux joueurs. Elle a terre, lui sur le canapé, elle au travail, lui livré au plaisir. Il vient posé sa main sur ses cheveux l’empoigne vient l’amené plus loin plus fort, ca lui fait des coups au fond de la gorge, ça la remplit, ca lui fait avoir des rejets. Si il croit que c’est ça qui va la faire abandonner, alors là il est mal barré le petit. Son corps est expressif ça lui plaît ce qu’elle est entrain de faire, il lui caresse la nuque, à présent, elle garde le rythme qu’il lui a demandé. Son corps vibre, elle le sent. Il lui ordonne d’arrêté, elle se retire lève les mains en l’air. Je joue ton jeu, vois tu ? Elle est très amusée pour le moment. Amusée mais pas convaincu, mais amusée quand même.
-Boit de l’eau.
Elle vide un grand verre à nouveau. Il se lève, et l’amène à la chambre, comme si c’était chez lui. Elle a préparé le terrain, le lit est au carré, la chambre est quasi vide, elle a laissé une vieille couverture par terre, il la fait se mettre debout, la déleste de sa robe et avec ses mains de magicien dégrafe le soutien-gorge et le fait volé.
-Reste debout les jambes écartés.
Il va cherché son sac de magicien, que va-t-il retiré de son sac à malice ? elle reste debout, les jambes écartées se tient droite. Il est marrant ce type quand même…
Enfin marrant faut réussir à suivre son humour quand même. En même temps.. ce n’est qu’un homme, c’est souvent des hommes d’ailleurs qu’elle trouve drôle, ils sont là, ils se pannent pour des fleurs qui vont les meurtrir, et meurtrissent les autres. Allez vient, j’ai pas peur, petit con. Si tu savais, je m’en suis bouffé des mecs comme toi alors vient donne moi tout. Je t’attends j’ai pas peur, et j’ai de l’humour.
Il revient, il est plus grand qu’elle ne l’avait cru. Une tête de plus facile. Et si cela ne se passait pas bien, quelles solutions auraient elles pour elle ? Elle connait son appartement par cœur, elle sait ce qu’elle peut lui cassé la tête. Pendant qu’elle réfléchit à la meilleure façon de se défendre il se fixe devant elle. Tout se passe dans sa tête en moins d’une seconde, il la sort de ses pensées avec sa main. Il la caresse. Instantanément elle n’est plus qu’un corps qu’il sait manié. Comment fait-il ? Lui qui ne connaît même pas son prénom. Comment fait-il pour la rendre en une seconde, prête à n’importe quoi… ou quasiment. Qu’a-t-il ramené de son sac ? Elle combat, elle ne veut pas se cambré, elle ne veut pas être faible au point de devoir resserré ses cuisses parce qu’il la caresse trop bien. Elle est plus forte que ça, son esprit est plus ferme que son corps. Pourtant déjà et oui déjà elle tremble, ça la prends en son centre ca fait flageolé ses jambes ca fait trembles ses mains, ça fait durcir son mont de vénus, ca fait des vagues des secousses, ça lui prends sa respiration. Ça fait battre son cœur si fort.
Elle est libre l’amazone aujourd’hui, elle a tout fait volé au vent. Elle est sorti de la restauration, a sorti le soit disant amoureux de sa vie, fait le tri dans ses contacts. A chaque jour un nouveau souffle. C’est comme cela que l’on avance c’est comme cela que l’on vit. Elle est repartie en chasse c’est plus facile qu’en ses souvenirs. Avec le temps elle a dû gagner en charisme. Un peu comme l’elfe qui gagne du bonnet de poitrine, sauf que bon elle, c’est pas une elfe, c’est une amazone et ca fait longtemps, très longtemps que son bonnet est en place.
Le bonnet et le tour de taille sont de bonnes armes au final pour appâter. Tant de temps passé à vouloir maladroitement le caché sous des couches et des couches de sous pull de pull de manteau. Ou tout simplement sous ses bras qui n’étaient pas assez de deux. Au final, les proies sont plus faciles à attirées qu’elle ne le pensait.
Elle a de la chance, elle a des sœurs d’âme, des sœurs qui répondent présentes lorsqu’elle est enclin au déclin. Avant de se réveiller, l’amazone était belle au bois dormant, il fut rude et plein d’aigreur au vu de tout ce qu’elle a laissé passer. Elle est pourtant à nouveau là debout n’en déplaise à ceux qui ont voulu la mettre à terre voir en terre.
Alors bien sûr il reste encore les troubles fêtes, ceux qui font semblant et qui disparaissent aussi vite qu’ils sont venu. On passera sous silence, ils ne méritent rien.
Chapitre 1 On joue à la poupée ?
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C’est lui qui vient vers elle avec une phrase commune et pas tant que cela : « j’ai un truc à te proposer »
Ce qu’il lui propose ? De venir jusqu’à elle la dominée qu’elle sache ce que c’est qu’un Maitre digne de ce nom. Elle sourit, elle ne sait pas pourquoi elle les aime orgueilleux sûr d’eux distant, elle les aime direct, cru, non négociable et entier. Elle aime ne rien savoir de sa vie privée. Alors elle accepte.
Coup de tête, coup du corps ? Le rendez-vous est pris, elle ne sait même pas si il va avoir le culot de vraiment venir, dans le doute, elle se prépare, calmement, ça ne sert à rien de se pressée surtout si c’est pour au final avoir un faux plan. Elle a vidé l’appartement, histoire qu’il ne reste que l’essentiel, le reste est planqué. Elle a sorti la robe noire, celle qui arrive raz l’intime, et qui commence à gorge déployée. Elle a savourée sa douche, s’est mise en tenue. Elle a fait craqué sa nuque a mangé ses mikados. Elle recoit un message :
-Sois prête j’arrive dans 30/45 minute.
Petit con. T’as deux heures d’avance sur l’heure que tu avais annoncée. Elle vérifie l’état des lieux et son état à elle. Là face à son miroir, elle fard ses yeux de noir, met le mascara, un peu de rose a ses joues, et du rouge pétant au lèvre, elle ne lésine pas sur la quantité, il veut une pute, c’est ce qu’il va avoir, un service à la carte en somme…
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‘soit habillé court, sans rien en bas, gros maquillage, et bien chienne’
Tant de poésie… ca la fait rêver.
‘je me gare ‘
Elle lui ouvre le laisse entré ferme la porte laisse le verrou ouvert. Si jamais il ne lui convient pas, c’est retour à l’expéditeur.
Il s’installe sur le canapé, comme si il connaissait déjà les lieux, comme si il était déjà chez lui, elle lui propose un verre, d’eau ou de café, il la jauge décline l’offre, elle se sert un grand verre d’eau, s’assoie en face de lui, attaque :
-Alors c’est bon pas de publicité mensongère ?
Avant ce face à face elle lui a envoyé quelques photos, histoire qu’il sache qu’il n’avait pas affaire à un fake.
-Non, de visuel, rien à redire.
Tu n’auras rien à redire du service non plus si tu te montres convaincant petit con. Elle ne dit mot, boit son verre jaugeant à son tour, physiquement il est quand même bien fait. Il plonge son regard dans le sien
-Alors qu’est ce qu’on peut faire pour que tu te sente plus à l’aise ?
Elle rigole, de surprise, elle est tout à fait à l’aise. Lui lance d’une voix provoque
-J’en sais rien, soit tu me demande de te sucé, soit on joue aux cartes.
Il ouvre sa ceinture, écarte les jambes. ( et après sinon c’est elle la pute, alors que c’est lui qui se déplace, et qui écarte les jambes en premiers) Elle a son sourire carnassier qui vient lui prendre ton son visage, se met à genoux, avance à quatre pattes auprès de lui, lui enlève tout ce qui n’est pas utile, chaussure, chaussette jean, caleçon. Il est déjà de forme honorable. Elle s’applique à la fellation. Rien de tel pour savoir à quel genre d’homme elle a affaire.
C’est une pratique courante chez elle à présent, pour elle c’est la pratique qui met en condition les deux joueurs. Elle a terre, lui sur le canapé, elle au travail, lui livré au plaisir. Il vient posé sa main sur ses cheveux l’empoigne vient l’amené plus loin plus fort, ca lui fait des coups au fond de la gorge, ça la remplit, ca lui fait avoir des rejets. Si il croit que c’est ça qui va la faire abandonner, alors là il est mal barré le petit. Son corps est expressif ça lui plaît ce qu’elle est entrain de faire, il lui caresse la nuque, à présent, elle garde le rythme qu’il lui a demandé. Son corps vibre, elle le sent. Il lui ordonne d’arrêté, elle se retire lève les mains en l’air. Je joue ton jeu, vois tu ? Elle est très amusée pour le moment. Amusée mais pas convaincu, mais amusée quand même.
-Boit de l’eau.
Elle vide un grand verre à nouveau. Il se lève, et l’amène à la chambre, comme si c’était chez lui. Elle a préparé le terrain, le lit est au carré, la chambre est quasi vide, elle a laissé une vieille couverture par terre, il la fait se mettre debout, la déleste de sa robe et avec ses mains de magicien dégrafe le soutien-gorge et le fait volé.
-Reste debout les jambes écartés.
Il va cherché son sac de magicien, que va-t-il retiré de son sac à malice ? elle reste debout, les jambes écartées se tient droite. Il est marrant ce type quand même…
Enfin marrant faut réussir à suivre son humour quand même. En même temps.. ce n’est qu’un homme, c’est souvent des hommes d’ailleurs qu’elle trouve drôle, ils sont là, ils se pannent pour des fleurs qui vont les meurtrir, et meurtrissent les autres. Allez vient, j’ai pas peur, petit con. Si tu savais, je m’en suis bouffé des mecs comme toi alors vient donne moi tout. Je t’attends j’ai pas peur, et j’ai de l’humour.
Il revient, il est plus grand qu’elle ne l’avait cru. Une tête de plus facile. Et si cela ne se passait pas bien, quelles solutions auraient elles pour elle ? Elle connait son appartement par cœur, elle sait ce qu’elle peut lui cassé la tête. Pendant qu’elle réfléchit à la meilleure façon de se défendre il se fixe devant elle. Tout se passe dans sa tête en moins d’une seconde, il la sort de ses pensées avec sa main. Il la caresse. Instantanément elle n’est plus qu’un corps qu’il sait manié. Comment fait-il ? Lui qui ne connaît même pas son prénom. Comment fait-il pour la rendre en une seconde, prête à n’importe quoi… ou quasiment. Qu’a-t-il ramené de son sac ? Elle combat, elle ne veut pas se cambré, elle ne veut pas être faible au point de devoir resserré ses cuisses parce qu’il la caresse trop bien. Elle est plus forte que ça, son esprit est plus ferme que son corps. Pourtant déjà et oui déjà elle tremble, ça la prends en son centre ca fait flageolé ses jambes ca fait trembles ses mains, ça fait durcir son mont de vénus, ca fait des vagues des secousses, ça lui prends sa respiration. Ça fait battre son cœur si fort.
Re: (bdsm) Amazone lubrique
Elle plonge son regard dans le sien et lui lance silencieuse en lui serrant les dents un message si fort :
-Quoi que tu me fasses je demeures libre.
Ses mains son magiciennes elle se mords la langue il lui dit de sa délicieuse et si effrayante voix
-Tu n’as pas le droit de jouir.
Arrête de la caresser du con alors. Non mais ça c’est pareil, c’est comme le reste. Si tu donnes laisse l’autre prendre. Elle serre les dents, son corps ne lui appartient déjà plus. C’est le jeu. C’est ce qui fait qu’elle n’arrive pas à s’en passé. Il l’a rend marteau. Son égo ne l’entend pas de cette oreille. Lui , lui rappel :
-Ne jouis pas
-Jamais de la vie
C’est parti comme ça. Son égo a parler. Son égo cri en elle. Seul ceux qui ont percé ton âme ont le droit de te rendre dans cet état. Ce mec c’est un naze un petit joueur un petit con . Tu ne lui laisseras pas le pouvoir de cette manière. Tu ne lui laisseras pas le pouvoir si facilement. Elle brûle elle se crispe, il n’arrête pas. Elle lutte elle se retient, se contrôle comme elle le peut.
C’est marrant tu ne trouves pas ? Le jeu consiste à ce que tu te livres et toi tu joues à faire le contraire. Pourtant tu as ça dans les tripes. Tu fais partie de ces filles qu’on dit faciles à l’emploi. Oui c’est vrai, c’est une fille facile, mais bon oh hein bon. C’est pas parce qu’on est facile, qu’on a pas de valeur, je dirais même plus, souvent on a plus de valeur que les bonnes filles de France qui non non ne feront jamais ça mais que l’on retrouve dans un autre lit que celui conjugal. Alors oui filles faciles ; d’accord, mais bon quand même. Merde.
L’égo perd mais reste digne, elle croise les jambes. Elle croire apercevoir un sourire sur les lèvres de l’opposé, fugace il la gifle :
-J’ai dis quoi.
-Que je ne devais pas jouir
-Demande avant.
Il ne réagit pas alors qu’elle n’a pas fini sa phrase par Maitre ah c’est drôle. Autant de ds que d’êtres sur terre ne pas reste cloîtrer dans des certitudes vaines. Elle déglutit, ca la tues de devoir s’y résoudre. Son corps pourtant flanche alors :
-Ais je le droit de jouir Maitre ?
-Oui.
Il ne réagit pas non plus à l’absence des s’il vous plaît. Comme quoi la politesse chez lui n’est pas primordiale. Enfin bon faut croire quoi. On s’en fou. L’égo s’en prends un coup, mais bon il a l’habitude. Elle sent venir la montée subite. Elle ne contient rien. Elle en a besoin. C’est comme çà elle a besoin de crié à la lune comme les louves et tant pis pour les voisins qui de toutes façons passent leur temps à faire du bruit. Ca la soulage quoi ? Quelques secondes mais il ne s’arrête pas. Oh, ah ? Ah… Oh. Il joue donc a répété l’acte plusieurs fois pour quelles raisons ? Maintenant qu’elle s’est laissé allée une fois, elle n’aura pas honte de répété le même schéma.
C’est têtu un dominant et ça ne réfléchit pas comme une petite soumise. C’est contradictoire aussi un dominant. Le dominant c’est une femme qui n’a pas encore trouvé la bonne affaire lors des soldes. Hargneux, teigneux, convaincu, déterminé…
Non je plaisante ça c’était pour la blague en fait.
Le même schéma se réitère plusieurs fois. Elle en pleure. Oui elle a les larmes faciles. Elle pleure en toutes occasions. Ce n’est pas une pudique de la larme. Et ben non. Elle est en phase avec ses ressentis elle. Ne voit pas ce qu’il y aurait de honteux à pleurer. C’est terrible de pleurer parce que vous avez joui, et que vous le refaites, et que vous le re refaites. En fait elle se rend compte. Ca faisait longtemps qu’elle n’avait pas réellement eut de plaisir, de celui qui vous travail et le corps et l’esprit. C’est un peu triste. Le plus triste c’est qu’elle soit déjà fatiguée, il n’est pas avare en orgasme le Monsieur. C’est l’un de ses premiers dominants sexuels. Ah l’attrait de la nouveauté. Avant elle pensait que la chose la plus intime à quoi elle ait droit avec un Maitre c’était la fellation… mais ça… c’était avant. Bien sûr.
Elle pleure donc, est essoufflée, chavire, et le déteste de savoir si bien trouvé et actionné les ficelles qui fait d’elle sa marionnette.
-Pitié.
-Oui ?
-Cessez je n’en peux plus.
Ses grands yeux bleux la fixe avec précision ( ah oui, parcequ’il a les yeux bleu du bleu du ciel, de celui qu’on ne voit que rarement, ca change de tous ces yeux noisettes.)(plus bleu que le bleu de tes yeux je ne vois rien de mieux pas même le bleu des cieux… Aznavour Piaf et vlan un pas pour la culture musicale)
Ses grands yeux bleus la fixe avec précision, entre interrogation et raison :
-T es une petite nature.
-Non Monsieur je n’ai pas l’habitude de ce genre de traitement. Je m’en excuse.
Oui c’est une erreur, on ne s’excuse pas soit même on pries l’autre de bien vouloir nous excusé, mais c’est écrit de manière intentionnel, oui. Elle se laisse la liberté de s’excusé de cela. Comme de beaucoup d’autre chose en fait. Si il est pas content il a qu’a prendre ses affaires et disparaître.
Ca le fait réagir (pas l’excuse) :
-Ah oui et à quel genre de traitement es-tu plus habitué ?
Elle sourit :
-A ce que l’on me pose des lapins.
-Bah pas de chance pour toi aujourd’hui je suis bel et bien là. A genoux.
Elle se remet à genoux, ouvre sa bouche, met ses mains dans son dos. Allez vient donc, ça croit moi tu vas pas m’en fatigué.
Il pose sa main sur sa tête et l’actionne, la prends sans manière. Ca la dérange absolument pas. Dans cette action il y a quelque chose, quelque chose de déshumanisant qui la soulage en fait. Chez certaines, ce rapport est humiliant. Chez elle, comme elle est déshumanisée, ça la soulage. Elle cherche à ne plus être humaine.
Il l’assaille. Tape en elle, l’étouffe, pousse le vice jusqu’à lui donné envide de régurgité. Mec, si tu crois qu’elle va faire ça, tu te plantes. C’est bon, c’est une amazone, elle a de l’honneur quand même. Elle ne va pas se mettre à tes pieds et vomir. Elle ne va pas te laissé ça. Elle s’est suffisamment humiliée devant les gens de ton espèce et de ton genre. Elle sait ravaler son égo et le reste. Alors, va, continu, tu finiras par te lassé. Elle le sent, au rythme qu’il a, à sa brusquerie. Son but il ne l’atteindra pas. Elle préférait crever étouffé que de lui donner ça. Elle offre sa bouche réussit à tout contenir. Lui n’y parvient plus à se contenir. Elle prend cela pour une victoire. Elle n’en montre rien mais quand même.
Il lui choppe la nuque l’incite à monter sur le lit, à quatre pattes sur son matelas de manière à ce que sont postérieur dépasse. (Vous arrivez à vous situer ?). Il détache sa ceinture de façon bruyante. Son postérieur ne tremble pas. Elle ne bouge pas, silencieuse elle savoure encore sa victoire. Il est parti cherche son sac, le pose sur la chaise à gauche du lit, il l’ouvre…
En elle, elle frétille, qu’a-t-il planqué dans son sac ?
-Donne tes mains
Chicheeee
Elle se relève, à genoux sur son lit elle est plus grande que lui, elle se mord les lèvres. Il n’a pas lu dans ses pensées. Il attache autour de ses poignets des sortes de bracelets en cuir. Elle n’en avait jamais porté. C’est lourd et ça serre. C’est esthétique c’est symbolique, c’est comme si à cet instant-là, le véritable jeu commençait. Pour le moment il ne les relis pas entre eux, mais il compte le faire sinon, il ne lui aurait pas mit. Pas vrai ?
Elle remet ses mains en place . Il se met à sifflé, et met de la musique. Elle aime sa voix grave sans sentiment, il est agréable pour elle de l’entendre sifflé, elle le prends comme un signe de son bien être.
A partir de là. Tout devient vraiment confus, tout ce qu’il lui reste de souvenir précis, c’est la musique.
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Il la tartine de lubrifiant, et rentre en elle. Le sentir entré au fin fond, par derrière, ça lui fait se rappelé à quel point elle avait besoin de se faire saisir. Elle se mord les lèvres, enfonce sa tête dans sa couette, se tient les mains touche les bracelets. Il la fesse tout en la démontant.
Oui démonté, il n’y a pas d’autre façon de le décrire. C’est être est un sauvage.
Elle n’a rien contre la sauvagerie.
Elle aime les êtres sauvages, instinctifs, véritables.
Elle est servie.
Ses joues sont rouges, ses yeux pleures, son corps la brûle, elle est essoufflée. Comment fait-il pour ne pas être fatigué ? Alors qu’il fait physiquement tout le travail ? Ses musiques sont pleines de rythmes, ses coups de reins de même. Il s’amuse a sortir complètement et à revenir à la charge. Elle bouffe la couette à pleine bouche.
Il ressort elle s’attend à ce qu’il revienne et sent soudainement sa main sur sa nuque elle se relève. Elle est sa chose, elle lui obéit au doigt à l’œil. Il la retourne, lies ses poignets entre eux, et sans qu’elle ne s’y attende lui enfile un masque. Un masque noir, ça ressemble à du latex, mais ça n’en est pas. Se passe alors à cet instant quelque chose dont elle ne mesure pas encore l’ampleur. Elle se retrouve mains liées derrière elle, le visage couvert, le corps nu, allongée sur le dos. Il tire sur ses pieds, l’amène à lui, soulève ses jambes dépose ses pieds sur ses épaules. Elle devient une poupée, une marionnette. Elle n’entend plus de musique. Elle n’est plus elle. Elle n’est plus que sensation. Un tsunami.
Elle ferme les yeux à s’en fendre les paupières. Elle s’écarte, s’offre, se cambre, s’agrippe, c’est tellement fort, intense, qu’aucun son ne sort de sa voix.
Elle ré-ouvre les yeux, plonge dans le bleu des siens, il l’observe depuis longtemps, il ne l’a pas lâché d’une miette. Tout en continuant il lui souffle
-Tu ne va pas me lâché au moins ?
Elle remue la tête lui réponds sans phrase un non. Oh que non elle ne va pas te lâcher. Il accélère, elle abandonne le bleu de ses yeux il a posé ses mains sur ses chevilles. Ses pieds sont sur ses épaules. Elle ne savait pas, ne se souvenait plus d’être souple de cette manière.
Il s’arrête à nouveau s’éloigne, ses jambes tombent soudainement. Plus rien ne les retiens. Elle se relève, ne veut pas se sentir abandonnée. Il a aperçu la terreur dans son regard il en sourit.
-Du calme, je ne m’en vais pas.
Elle fulmine. Si tu veux partir dégage, t’as cru crois ? Sans s’en rendre compte, en elle ça gronde subitement, elle a grognée.
Ca la amusé. Il vient lui enlevé le masque. Elle semble toute éblouit. Toute effarouchée. Il a enlevé le préservatif, vient posé son pénis contre elle. Elle le lui prend, l’honore avec fougue. Pas de doute, pas de peur, pas de lendemain ni d’hier. Juste lui, elle, ce moment, cet instant.
Juste l’appétit viscéral, la faim quasi insatiable, l’intense lien invisible entre l’un et l’autre.
Il félicite sa voracité par le geste de sa main sur sa tête. Ca, ca vaut vraiment plus que n’importe quel baisé. Vraiment pour elle ça a plus de valeur d’impact. Ca a plus de goût. Bref ça a plus de tout.
C’est tout ce qu’il lui faut réellement, adieu, cigarette, mikado, adieu nourriture, beuverie. Là à cet instant précis elle n’a d’autre raison, d’autre motivation, d’autre plaisir que de lui obéir.
Son corps semble l’avoir laissé. Elle se sent toute cotonneuse, des vagues de froid l’assaillent. Elle ne cesse pourtant de le remercié dans sa bouche elle le sent, durcir, frémir, sursauté, grossir, sa bouche est pâteuse et sèche à la fois, elle fait tout en silence, il n’y a pas de bruit de sucions, elle fou des coup de langues, quand il arrive au fond, et pince sans mordre quand il arrive à l’extérieur. C’est sa première, c’est sa dernière c’est la seule c’est l’unique, c’est son mât pour affronter la tempête. Il n’y a plus que lui, lui c’est le seul, c’est sa ville, c’est son pays, son monde, son univers.
Si il te plaît tout ça pour un homme, ç’est qu’un homme tout de même. C’est qu’un putain d’homme, c’est qu’une putain de bite sur patte, c’est qu’un mec putain.
Oui non, plus tard, ce ne sera plus qu’un homme. Mais là tout de suite maintenant…
Putain c’est tellement plus.
Son extase à lui arrive, elle ne lâche rien. Il lui empoigne la chevelure il explose dans sa bouche. Elle prend tout, se nourrit de lui, comme si sa vie en dépendait.
Tout cela tout ce don de soi, tous ces combats, avec un homme qui n’est encore qu’un inconnu, sans être personne en étant tellement pour finir si peu.
Elle s’occupe de lui jusqu’à ce qu’il revienne à la normale, jusqu’à ce qu’il lui dise d’arrête, il lui enlève ses bracelets de soumissions, dommage, elle les aurait bien gardé à vie. Enfin non, bon..
Il n’y a plus de musique, il n’y a plus de bruit les voisins dorment d’ailleurs on se demande bien comment, il est deux heures du matin, elle déglutit, elle ne veut pas qu’il parte, pas tout de suite, elle en veut encore un peu.
Faut que tu arrête sérieusement, c’est une drogue pour toi, faut que tu t’en sèvres, tu t’es vu serieusement ? Non, pas encore, tu t’en rends compte ? Conscience va y tu me casse les bonbons là, casse toi, t’auras tout le temps de faire ta lourde demain.
Elle l’a suivi jusqu’au salon, il s’est allongé sur le canapé, elle boit elle fume, il la regarde.
-Tu peux t’allongé là ou tu veux.
Merci t’es gentil je suis encore chez moi quand même un peu. Il me semble. Elle le fixe il est allongé là, il n’a pas froid, il fait comme chez lui. Non, mais il compte pas dormir là ? C’est pas possible, c’est même pas envisageable.
Pourtant c’est bien ce qui est entrain de se passé sous son propre toit, sous ses yeux. Elle écrase la clope. Il siffle, elle se redresse.
-J’aime quand on me lèche.
Ah ok, donc il ne dort pas, il fait bien semblant seulement. A nouveau à terre elle le fait. Ben oui elle le fait, si ca lui fait du bien elle ça ne la dérange pas, et vu le pied qu’il lui a fait prendre elle lui doit bien ça. Enfin devoir bon, juste elle veut bien lui donné quoi …
Quand elle s’arrêtera, il sera 2h45.
Elle se servira encore un verre d’eau, et beat, effarée un peu, choquée beaucoup, stupéfaite, se tapera encore un fixe devant ce mec qui s’est endormi, et en plus.. il ronfle.
Elle se mords les lèvres devrait elle le réveillé ?
Carrément ! Comment tu peux te posé la question c’est chez toi, tu connais rien de lui, tu vas pas dormir avec ce type sur ton canapé en plus c’est ta place tu dors sur le canapé depuis des mois, réveille le tu le secoues méchant, si ça marche pas, tu lui cravache la gueule… !!!!!
Non…
Elle va dans sa chambre, ramène deux édredons, un pour lui… elle le couvre, avec beaucoup de précautions, elle soulève sa tête et glisse deux oreillers. Il émet un petit bruit. Elle s’immobilise à nouveau devant lui. C’est juste… irréel.
En prenant la seconde couette, elle découvre les traces qu’il créer dessus. Tout son maquillage à coulé, elle a son visage en tampon, sur sa couette. Des traces de salives, de sécrétions, de maquillage… Sa couverture… c’est un champ de guerre. Un champ de guerre. Pas besoin d’aller à turin pour admiré un suaire. Elle contemple.
Elle fini par s’allongé à même son sol, au pied de celui qui l’a crucifiée.
Au moindre de ses gestes elle se réveillera. Poupée de sexe, poupée de son, Poupée d’un soir
Purée qu’elle soirée.
Chapitre 2 Je viens chez toi et je ramène une copine
Au final, elle n’a pas dormi, mais être au pied d’un maitre ça la rendu comme sereine. Il s’est réveiller et levé sans réveil vers 4h du matin, elle s’est poussée pour le laissé passé, mais avec la flemme de faire quoi que ce soit d’autre.
Il s’est rhabillé, est passé dans sa salle de bain, elle a allumé toutes les lumières, histoire qu’il y voit clair et qu’elle puisse le surveille on ne sait jamais. Assise au sol elle le regarde s’agité, il passe d’une pièce à l’autre, rassemble ses affaires, il part donc. 4h n’est ce pas un peu tôt ? Enfin bon elle ne cherche pas à savoir. Elle ne veut pas savoir ni qui il est ni ce qu’il fait ni même son signe astrologique. Il fouille dans la chambre et ça l’agaçe alors elle vient à la porte et demande :
-Tu cherche quoi ?
Il se retourne vers elle,
-Les bracelets.
-Au dessus de l’oreiller.
Exact, il a l’air à nouveau en recherche
-Et maintenant ?
-Mon sac.
Il est au pied de la commode, commode à coté de l’entrée à coté d’elle, elle le ramasse et le lui tend, il fourretout son attirail dedans. Il est pas mal habillé non plus, même si il a les pieds nu, elle retourne dans le salon, lui propose un café qu’il décline. Peut être a-t-il peur qu’elle ne l’empoisonne… Elle le voit, il parait encore contrarie tout en se servant un verre d’eau elle lui indique ou il à laissé ses chaussettes et sa paire de basket. Il les met, enfile sa veste. Ils se retrouvent comme deux cons l’un en face de l’autre, comme la situation est insolite elle se dirige vers son entrée ouvre la porte extérieur grâce à l’interphone, lui ouvre la porte en le remerciant. Il est parti en lui disant :
-Salut.
Quand elle ferme la porte y’a comme quelque chose d’indescriptible. Pour quelqu’un qui n’était soit dis en pas à l’aise, elle s’est plutôt bien débrouillée.
Les jours passent, sans nouvelle. Il n’a pas dû s’amusé plus que ça finalement.
Les jours passent sans nouvelle. Elle était plutôt bonne pourtant.
Les jours passent sans nouvelle. Ben merde.
Elle se focalise sur autre chose ne veut pas vivre cette aventure comme un échec, si elle avait été lui elle aurait quand même envoyé un message, au minimum, mais il n’est pas elle alors qu’il aille au diable. Elle les enverrait volontiers tous en enfer. Non, elle en garderait un ou deux histoire de servir quand même. Ne serait ce que de tapis.
Une semaine passe et un soir sur son télephone :
-Tu fais quoi ce soir ?
-Bonjour, rien comme toujours.
-Soit prête pour 22h.
-Donc la dernière fois ça vous a plu ?
-Oui, oui c’était très bien
Très bien ,c’était très bien, en langage de fille ça veut dire, ouais gars, bof, mais bon t’es gentil je veux pas te faire de peine. Oui mais si c’était pas si bien que ça il reviendrait pas. Mais tu vas pas le laissé revenir comme ça, tu vas le faire ramé. Non, le temps des galères c’est fini.
-Au choix, je viens avec des potes, je viens avec une femme, on fait ça dehors.
-Euh comment ça au choix, vous êtes un maitre à la carte
-Non t’as rien à dire.
-Dans ce cas pourquoi vous m’en parlez ?
S’en suit une longue et houleuse conversation, elle se surprend à mettre des conditions, à dire les choses de façon franche, à laisser son égo parler. Un long silence s’en suit. Bon et bien c’était bien, mais c’est fini. Non mais pour qui se prends t il ? C’est plus de l’orgueil c’est de la démesure c’est de la connerie. Non. Elle dit non. C’était un combat et elle a gagné, que le lion s’en aille, elle n’a besoin de personne. De personne. Elle se suffit à elle-même. La journée se passe, elle n’y pense pas trop, hormis pour se rappeler qu’elle a eut raison. Le télephone vibre à nouveau un message, de lui :
-22h on sera là.
-Comment ça ?
-Fait-moi confiance salope
-Va te faire foutre enculé
-Fait moi confiance.
- Vous faire confiance on ne se connaît pas, vous ne me connaissez pas. La confiance ça vient avec le temps, avec les preuves avec les comportements. Les partouzes c’est pas mon trip, si tu ne cherches que ça bonne chance
Au final il l’appelle, il est têtu ce mec quand même. Sa voix est grave, mais sa voix est calme. Il ne paraît pas ni emporté ni en colère, ni rien, non il a la même voix que lorsqu’il lui a dit ‘salut’ . Ils s’expliquent tous les deux. Au final, le rendez-vous est pris et bel et bien maintenu.
Elle ne sait toujours pas ce qu’il a vraiment prévu. Elle fera comme elle fait avec sa vie, elle avisera.
Avisé c’est bien mieux qu’angoissée. Avisée, improvisée, faire avec et sans. Ca va aller, elle le sait, ca va aller. Elle est face à son miroir, elle se perd dans son propre regard. Elle est tendue. Alors elle en est là . Elle en est là, elle est debout. C’est un sacré champ de bataille quand même. Est-ce qu’un jour une walkyrie viendra la cherché ? Amazone tu as bien combattu, tu es resté fidèles à tes valeurs, entière, combative… Ne pas pensez à tout ça.
On en est pas à la fin, ce n’est que le commencement, la liberté. Et pour cela il faut tenir debout, il faut continuer la route. Il faut osé. Il faut affronté ses peurs, ses peines, Il faut osé faire les choses insensées. Il faut vivre, pleinement, véritablement, profondément.
Elle se douche, se maquille, s’habille, range son appartement, met encore une fois les objets de valeur à l’abri, prévient deux trois copines qu’elle reçoit de la visite spéciale à la maison. Tellement spéciale qu’elle ne sait pas vraiment ce qui l’attends. Beaucoup autour d’elle la considère mal. Elle ne leur en veut pas, rare sont ceux qui peuvent comprendre. Comprendre son processus étrange, déroutant, voir mal fichu. C’est comme ça pourtant faut s’y faire, tu prends ou pas, mais elle ne changera pas. Elle s’est forgée, dans le sexe et parfois les larmes.
Elle est prête, elle boit une bière et allume sa chance. Il lui envoit un message. Ils arrivent. Dans son ventre il y a comme un gouffre géant qui réclame son dû. Elle a faim. Elle se mord les lèvres, se lave les mains.
La sonnette retentit de son ton strident. Elle reprends son souffle et ouvre, elle sort dans son couloir, se tient droite, il apparait en premier, une voix féminine et grave lui parle. Monsieur a ramené une fille. Une femme, une poitrine et de lèvres.
A cet instant elle en est sûre, tout se passera bien elle n’aura pas à les virés dehors, elle les fait rentrée, fait un clin d’œil a la belle invitée lorsqu’elle la salut. Comment a-t-il fait pour lui ramener son genre de fille ?
Il fait son malin encore une fois, s’installe sur le canapé, le monde lui appartient. Elle prends le manteau de la demoiselle, la pose sur un cintre et la suspend au dessus de la porte de la cuisine. Lui l’a déjà enlevé et posé n’importe comment sur le bureau. Le chat va finir par se couché dessus et il fera moins son malin. Avant toute présentation, elle propose à boire à ses convives. Mademoiselle opte pour un sirop à la menthe, le maitre comme toujours se contente de rien. Pendant qu’elle prepare le verre, elle entends :
-Tu veux dire qu’elle en savait rien ?
C’est une voix féminine, sensuel, cette femme c’est du velour. C’est totalement son genre de femme. Taille moyenne, féminine à mort, ronde dodu charnue en chair, en forme, appétissante à souhait et au-delà. Elle porte une jupe tailleur, une sorte de chemisier, des bas couleur or, des chaussures talons aiguilles. Chérie, je veux te dévoré. L’autre répond de sa voix amusée et sûr :
-Non je te l’ai déjà dis, c’est une soumise, elle se plis à ma volonté.
Elle ramène le verre un cendrier pour le joyau de la soirée, son regard à elle. Des yeux noisettes, profond, en elle, elle repère déjà au moins deux vies amoureuses blessantes. Elle ne s’y arrête pas, trop préoccupée à être bonne hotesse. Elle reste debout pres du marbre de la cheminée, la femme la toise et la questionne.
-Non vraiment tu n’en savais rien ? Tu fais ça comme ça ?
-Disons que c’est le jeu
Le maitre parle
-Ah tu vois je te l’avais dis.
Celle au parfum sauvage reprends un peu surprise, limite bafouillant :
-Oh.. non je ne pourrais pas.
L’amazone répond :
- Pourquoi ? Je ne te plaîs pas ;
Elle achève sa phrase par un petit sourire. L’invitée oscille son regard entre lui et elle, prends une gorgée de son verre et rend le sourire. Mais une question lui brûle les lèvres et elle la sort :
-Mais comment tu fais ?
-Oh mais c’est simple, on va te montré.
Le maitre, s’installe pour être plus à son aise et ordonne :
-Viens me sucé.
La nuque de l’hôtesse craque, elle s’avance vers lui passe devant l’invitée, dépose un baisé sur sa main, puis va entre les jambes de celui qui l’a appelé.
C est donc reparti pour le tête à hydre. Le combat toujours, le combat. Elle s’applique, sans montré ni ressentir, le moindre gêne. Elle en est plus à ça près. La jeune femme est à coté de l’homme, et elle est au pied. Sa bouche la ballerine en action, ses mains jouant avec les lacets. Pour se contenir, pour empêche ses mains d’aller voir juste a coté sentir la douceur des bas. Pour être concentrée. Pour être bien docile, bien douce, bien efficace.
Efficace, elle semble l’être, puisqu’il durcit, grandit, s’accroît. Ou alors c’est juste la situation qui le rend comme ça c’est possible aussi. Elle écoute d’une oreille distraite ce que les deux se disent elle en déduit qu’ils partagent une relation de sexe friend. Ils se connaissent par cœur, pour preuve, ces murmures ces rires chauds et quasi silencieux, cette main qui vient se logé sur le torse, la simplicité d’avec laquelle il réussit à la convaincre d’enlevé son haut. En dessous.. surprise.. un corset, quelle belle surprise, elle est si belle, sent si bon. Mais pas touche tant que tu n’en reçoit pas l’ordre. C’est dommage ma belle, tu aurais du me rencontré moi avant lui. Je suis beaucoup plus mieux. Chut tais toi donc l’égo.
Il la fait s’arrêté pour se livré à l’autre demoiselle. Elle reste à terre en face d’eux. L’autre sait s’y faire aussi question hydre, elle fait du bruit avec sa salive, elle est plus farouche. Lorsqu’il essaye de la pressé elle se redresse et se révolte.
-Hey oh je ne suis pas soumise moi.
Ah ca te fais bien sourire ça pas vrai. T’aurais presque envie qu’elle le gifle. Il a vu ton regard amusé et reprends sa position d’alpha :
-Ça c’est sûre t’es juste salope.
Elle éclate de rire, d’un rire comme ceux des gens du sud. De ce rire qui vous désarme. Toi tu reste silencieuse spectatrice de ce drôle de couple. Tu as deviné dans les yeux de la fille tout l’amour qu’elle porte à cet homme. Tu ne veux pas imposé quoi que ce soit ou lui faire peur, si elle le veut lui alors tu lui laisse. Cet homme, par contre ne s’en rend pas compte. Du moins feins de ne rien comprendre, c’est plus facile ainsi. Tu déglutis arrête maintenant de te mettre à leur place contente toi de resté à la tienne. Sinon tu le sais bien, tu vas t’en mêlé…
Il a à nouveau surpris ton regard, il attrape tes cheveux et te pousse en face d’elle :
-Occupe toi d’elle et fait le bien.
Du coup, la fille du sud te sourit de manière douce, tu embrasses l’intérieur de ses cuisses, son parfum sauvage, sa peau douce, tu le sais avant d’avancé ta langue, elle est chaude, elle est douce, elle et déjà prête. Les mains de l’homme sur sa poitrine ont déjà tout activés. Elle te fais un sacré effet, avoues le toi. Soudainement face à elle, tu te sens comme avant, avant tous tes combats, avant tout. Tu te sens vierge. Brûlant de désir et frileuse de ne pas savoir le faire. C’est grisant et extraordinaire. C’est presque comme la toute première fois. Presque… Tu t’appliques à trouver l’origine de ses sens à elle. Son origines. A son impassibilité tu sais qu’elle n’est pas du genre bouton…Alors comme la toute première fois tu cherches chaque centimètre de paroi est vérifiée. Et puis tu tombes sur le bon endroit comment le découvre tu ? Les mains de la jeune femme te cherchent et tout son corps se tend à toi. Elle t’offre tout subitement. Ses soupirs et ses mains qui te caresse la chevelure qui te caresse la joue, ses mains cherchent les tiennes pendant que l’homme s’amuse de sa poitrine. Ce sont pourtant tes mains à toi qu’elle réclame comme une obsession. Tu les lui offres, elle t’agrippe et toi tu t’accroches… Tu ne lâcheras rien tant qu’elle ne le te demandera pas. Elle serre fort ses mains dans les siennes. Tu es bel et bien là avec elle, et c’est toi qui l’a met dans cet état.
Elle serre si fort ses mains, tu es à la recherche de son orginine, toutes les femmes ont leur points de départ, à chacune son endroit. Tu prends le temps qu’il faut pour le faire bien. C’est quand ses ongles entrent dans sous ta peau que tu sais. Tu es sûr. Tu te délecte de tout. D’un seul coup tout revient pas vrai, la première fois que tu as eu un rapport… c’était aussi une femme, une femme ronde brune et de caractère, un foutu caractère.. Elle sentait bon elle aussi, tu reviens à cette nuit ou pour toi tout à commencer… et puis il te repousse, et t’ejecte de ce souvenir qui semblait pourtant si réel…
Il lui parle avec un simple regard. Sa bouche à elle vient s’occupe de son entrejambe à lui et te voilà de nouveau sur le sol à ne rien pouvoir faire. Ca te va. Ca te va. D’être celle qui est à genoux sur le tapis.. silencieuse. Ton cœur bat vite, beaucoup trop vite, c’est le voyage dans le temps qui t’as rendu comme ça. Repenser à la première Eve t’as toute chamboulée… Tu as des bouffées de chaleurs, et puis ta respiration a comme une gêne.. aucun des deux ne s’en rend compte bien sûr que non. Tu surprend le regard de l’homme te fixé.
‘qu’est ce que tu as abruti ? Tu ne peux pas te concentrer sur la femme qui est prête a vendre son âme pour un peu d’amour de ta part ?’
Non ne le lui dit pas, ne dit rien, regarde là… elle a une sacré technique, c’est étrange ses lèvres font du bruit, tu te souviendras de ce bruit des mois plus tard…
Il l’invite à s’arrêter et a se rendre dans la chambre. La chambre aussi tu la bien préparée. Tu les laisserais bien y aller seul si ils n’ont plus besoin de toi. Quel interêt d’observer deux corps se donné l’un à l’autre ? Tu n’y prends aucun plaisir, tu n’as pas ce vice en toi, ca t’en fait un en moins et c’est pas si mal pas vrai ?
-Quoi que tu me fasses je demeures libre.
Ses mains son magiciennes elle se mords la langue il lui dit de sa délicieuse et si effrayante voix
-Tu n’as pas le droit de jouir.
Arrête de la caresser du con alors. Non mais ça c’est pareil, c’est comme le reste. Si tu donnes laisse l’autre prendre. Elle serre les dents, son corps ne lui appartient déjà plus. C’est le jeu. C’est ce qui fait qu’elle n’arrive pas à s’en passé. Il l’a rend marteau. Son égo ne l’entend pas de cette oreille. Lui , lui rappel :
-Ne jouis pas
-Jamais de la vie
C’est parti comme ça. Son égo a parler. Son égo cri en elle. Seul ceux qui ont percé ton âme ont le droit de te rendre dans cet état. Ce mec c’est un naze un petit joueur un petit con . Tu ne lui laisseras pas le pouvoir de cette manière. Tu ne lui laisseras pas le pouvoir si facilement. Elle brûle elle se crispe, il n’arrête pas. Elle lutte elle se retient, se contrôle comme elle le peut.
C’est marrant tu ne trouves pas ? Le jeu consiste à ce que tu te livres et toi tu joues à faire le contraire. Pourtant tu as ça dans les tripes. Tu fais partie de ces filles qu’on dit faciles à l’emploi. Oui c’est vrai, c’est une fille facile, mais bon oh hein bon. C’est pas parce qu’on est facile, qu’on a pas de valeur, je dirais même plus, souvent on a plus de valeur que les bonnes filles de France qui non non ne feront jamais ça mais que l’on retrouve dans un autre lit que celui conjugal. Alors oui filles faciles ; d’accord, mais bon quand même. Merde.
L’égo perd mais reste digne, elle croise les jambes. Elle croire apercevoir un sourire sur les lèvres de l’opposé, fugace il la gifle :
-J’ai dis quoi.
-Que je ne devais pas jouir
-Demande avant.
Il ne réagit pas alors qu’elle n’a pas fini sa phrase par Maitre ah c’est drôle. Autant de ds que d’êtres sur terre ne pas reste cloîtrer dans des certitudes vaines. Elle déglutit, ca la tues de devoir s’y résoudre. Son corps pourtant flanche alors :
-Ais je le droit de jouir Maitre ?
-Oui.
Il ne réagit pas non plus à l’absence des s’il vous plaît. Comme quoi la politesse chez lui n’est pas primordiale. Enfin bon faut croire quoi. On s’en fou. L’égo s’en prends un coup, mais bon il a l’habitude. Elle sent venir la montée subite. Elle ne contient rien. Elle en a besoin. C’est comme çà elle a besoin de crié à la lune comme les louves et tant pis pour les voisins qui de toutes façons passent leur temps à faire du bruit. Ca la soulage quoi ? Quelques secondes mais il ne s’arrête pas. Oh, ah ? Ah… Oh. Il joue donc a répété l’acte plusieurs fois pour quelles raisons ? Maintenant qu’elle s’est laissé allée une fois, elle n’aura pas honte de répété le même schéma.
C’est têtu un dominant et ça ne réfléchit pas comme une petite soumise. C’est contradictoire aussi un dominant. Le dominant c’est une femme qui n’a pas encore trouvé la bonne affaire lors des soldes. Hargneux, teigneux, convaincu, déterminé…
Non je plaisante ça c’était pour la blague en fait.
Le même schéma se réitère plusieurs fois. Elle en pleure. Oui elle a les larmes faciles. Elle pleure en toutes occasions. Ce n’est pas une pudique de la larme. Et ben non. Elle est en phase avec ses ressentis elle. Ne voit pas ce qu’il y aurait de honteux à pleurer. C’est terrible de pleurer parce que vous avez joui, et que vous le refaites, et que vous le re refaites. En fait elle se rend compte. Ca faisait longtemps qu’elle n’avait pas réellement eut de plaisir, de celui qui vous travail et le corps et l’esprit. C’est un peu triste. Le plus triste c’est qu’elle soit déjà fatiguée, il n’est pas avare en orgasme le Monsieur. C’est l’un de ses premiers dominants sexuels. Ah l’attrait de la nouveauté. Avant elle pensait que la chose la plus intime à quoi elle ait droit avec un Maitre c’était la fellation… mais ça… c’était avant. Bien sûr.
Elle pleure donc, est essoufflée, chavire, et le déteste de savoir si bien trouvé et actionné les ficelles qui fait d’elle sa marionnette.
-Pitié.
-Oui ?
-Cessez je n’en peux plus.
Ses grands yeux bleux la fixe avec précision ( ah oui, parcequ’il a les yeux bleu du bleu du ciel, de celui qu’on ne voit que rarement, ca change de tous ces yeux noisettes.)(plus bleu que le bleu de tes yeux je ne vois rien de mieux pas même le bleu des cieux… Aznavour Piaf et vlan un pas pour la culture musicale)
Ses grands yeux bleus la fixe avec précision, entre interrogation et raison :
-T es une petite nature.
-Non Monsieur je n’ai pas l’habitude de ce genre de traitement. Je m’en excuse.
Oui c’est une erreur, on ne s’excuse pas soit même on pries l’autre de bien vouloir nous excusé, mais c’est écrit de manière intentionnel, oui. Elle se laisse la liberté de s’excusé de cela. Comme de beaucoup d’autre chose en fait. Si il est pas content il a qu’a prendre ses affaires et disparaître.
Ca le fait réagir (pas l’excuse) :
-Ah oui et à quel genre de traitement es-tu plus habitué ?
Elle sourit :
-A ce que l’on me pose des lapins.
-Bah pas de chance pour toi aujourd’hui je suis bel et bien là. A genoux.
Elle se remet à genoux, ouvre sa bouche, met ses mains dans son dos. Allez vient donc, ça croit moi tu vas pas m’en fatigué.
Il pose sa main sur sa tête et l’actionne, la prends sans manière. Ca la dérange absolument pas. Dans cette action il y a quelque chose, quelque chose de déshumanisant qui la soulage en fait. Chez certaines, ce rapport est humiliant. Chez elle, comme elle est déshumanisée, ça la soulage. Elle cherche à ne plus être humaine.
Il l’assaille. Tape en elle, l’étouffe, pousse le vice jusqu’à lui donné envide de régurgité. Mec, si tu crois qu’elle va faire ça, tu te plantes. C’est bon, c’est une amazone, elle a de l’honneur quand même. Elle ne va pas se mettre à tes pieds et vomir. Elle ne va pas te laissé ça. Elle s’est suffisamment humiliée devant les gens de ton espèce et de ton genre. Elle sait ravaler son égo et le reste. Alors, va, continu, tu finiras par te lassé. Elle le sent, au rythme qu’il a, à sa brusquerie. Son but il ne l’atteindra pas. Elle préférait crever étouffé que de lui donner ça. Elle offre sa bouche réussit à tout contenir. Lui n’y parvient plus à se contenir. Elle prend cela pour une victoire. Elle n’en montre rien mais quand même.
Il lui choppe la nuque l’incite à monter sur le lit, à quatre pattes sur son matelas de manière à ce que sont postérieur dépasse. (Vous arrivez à vous situer ?). Il détache sa ceinture de façon bruyante. Son postérieur ne tremble pas. Elle ne bouge pas, silencieuse elle savoure encore sa victoire. Il est parti cherche son sac, le pose sur la chaise à gauche du lit, il l’ouvre…
En elle, elle frétille, qu’a-t-il planqué dans son sac ?
-Donne tes mains
Chicheeee
Elle se relève, à genoux sur son lit elle est plus grande que lui, elle se mord les lèvres. Il n’a pas lu dans ses pensées. Il attache autour de ses poignets des sortes de bracelets en cuir. Elle n’en avait jamais porté. C’est lourd et ça serre. C’est esthétique c’est symbolique, c’est comme si à cet instant-là, le véritable jeu commençait. Pour le moment il ne les relis pas entre eux, mais il compte le faire sinon, il ne lui aurait pas mit. Pas vrai ?
Elle remet ses mains en place . Il se met à sifflé, et met de la musique. Elle aime sa voix grave sans sentiment, il est agréable pour elle de l’entendre sifflé, elle le prends comme un signe de son bien être.
A partir de là. Tout devient vraiment confus, tout ce qu’il lui reste de souvenir précis, c’est la musique.
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Il la tartine de lubrifiant, et rentre en elle. Le sentir entré au fin fond, par derrière, ça lui fait se rappelé à quel point elle avait besoin de se faire saisir. Elle se mord les lèvres, enfonce sa tête dans sa couette, se tient les mains touche les bracelets. Il la fesse tout en la démontant.
Oui démonté, il n’y a pas d’autre façon de le décrire. C’est être est un sauvage.
Elle n’a rien contre la sauvagerie.
Elle aime les êtres sauvages, instinctifs, véritables.
Elle est servie.
Ses joues sont rouges, ses yeux pleures, son corps la brûle, elle est essoufflée. Comment fait-il pour ne pas être fatigué ? Alors qu’il fait physiquement tout le travail ? Ses musiques sont pleines de rythmes, ses coups de reins de même. Il s’amuse a sortir complètement et à revenir à la charge. Elle bouffe la couette à pleine bouche.
Il ressort elle s’attend à ce qu’il revienne et sent soudainement sa main sur sa nuque elle se relève. Elle est sa chose, elle lui obéit au doigt à l’œil. Il la retourne, lies ses poignets entre eux, et sans qu’elle ne s’y attende lui enfile un masque. Un masque noir, ça ressemble à du latex, mais ça n’en est pas. Se passe alors à cet instant quelque chose dont elle ne mesure pas encore l’ampleur. Elle se retrouve mains liées derrière elle, le visage couvert, le corps nu, allongée sur le dos. Il tire sur ses pieds, l’amène à lui, soulève ses jambes dépose ses pieds sur ses épaules. Elle devient une poupée, une marionnette. Elle n’entend plus de musique. Elle n’est plus elle. Elle n’est plus que sensation. Un tsunami.
Elle ferme les yeux à s’en fendre les paupières. Elle s’écarte, s’offre, se cambre, s’agrippe, c’est tellement fort, intense, qu’aucun son ne sort de sa voix.
Elle ré-ouvre les yeux, plonge dans le bleu des siens, il l’observe depuis longtemps, il ne l’a pas lâché d’une miette. Tout en continuant il lui souffle
-Tu ne va pas me lâché au moins ?
Elle remue la tête lui réponds sans phrase un non. Oh que non elle ne va pas te lâcher. Il accélère, elle abandonne le bleu de ses yeux il a posé ses mains sur ses chevilles. Ses pieds sont sur ses épaules. Elle ne savait pas, ne se souvenait plus d’être souple de cette manière.
Il s’arrête à nouveau s’éloigne, ses jambes tombent soudainement. Plus rien ne les retiens. Elle se relève, ne veut pas se sentir abandonnée. Il a aperçu la terreur dans son regard il en sourit.
-Du calme, je ne m’en vais pas.
Elle fulmine. Si tu veux partir dégage, t’as cru crois ? Sans s’en rendre compte, en elle ça gronde subitement, elle a grognée.
Ca la amusé. Il vient lui enlevé le masque. Elle semble toute éblouit. Toute effarouchée. Il a enlevé le préservatif, vient posé son pénis contre elle. Elle le lui prend, l’honore avec fougue. Pas de doute, pas de peur, pas de lendemain ni d’hier. Juste lui, elle, ce moment, cet instant.
Juste l’appétit viscéral, la faim quasi insatiable, l’intense lien invisible entre l’un et l’autre.
Il félicite sa voracité par le geste de sa main sur sa tête. Ca, ca vaut vraiment plus que n’importe quel baisé. Vraiment pour elle ça a plus de valeur d’impact. Ca a plus de goût. Bref ça a plus de tout.
C’est tout ce qu’il lui faut réellement, adieu, cigarette, mikado, adieu nourriture, beuverie. Là à cet instant précis elle n’a d’autre raison, d’autre motivation, d’autre plaisir que de lui obéir.
Son corps semble l’avoir laissé. Elle se sent toute cotonneuse, des vagues de froid l’assaillent. Elle ne cesse pourtant de le remercié dans sa bouche elle le sent, durcir, frémir, sursauté, grossir, sa bouche est pâteuse et sèche à la fois, elle fait tout en silence, il n’y a pas de bruit de sucions, elle fou des coup de langues, quand il arrive au fond, et pince sans mordre quand il arrive à l’extérieur. C’est sa première, c’est sa dernière c’est la seule c’est l’unique, c’est son mât pour affronter la tempête. Il n’y a plus que lui, lui c’est le seul, c’est sa ville, c’est son pays, son monde, son univers.
Si il te plaît tout ça pour un homme, ç’est qu’un homme tout de même. C’est qu’un putain d’homme, c’est qu’une putain de bite sur patte, c’est qu’un mec putain.
Oui non, plus tard, ce ne sera plus qu’un homme. Mais là tout de suite maintenant…
Putain c’est tellement plus.
Son extase à lui arrive, elle ne lâche rien. Il lui empoigne la chevelure il explose dans sa bouche. Elle prend tout, se nourrit de lui, comme si sa vie en dépendait.
Tout cela tout ce don de soi, tous ces combats, avec un homme qui n’est encore qu’un inconnu, sans être personne en étant tellement pour finir si peu.
Elle s’occupe de lui jusqu’à ce qu’il revienne à la normale, jusqu’à ce qu’il lui dise d’arrête, il lui enlève ses bracelets de soumissions, dommage, elle les aurait bien gardé à vie. Enfin non, bon..
Il n’y a plus de musique, il n’y a plus de bruit les voisins dorment d’ailleurs on se demande bien comment, il est deux heures du matin, elle déglutit, elle ne veut pas qu’il parte, pas tout de suite, elle en veut encore un peu.
Faut que tu arrête sérieusement, c’est une drogue pour toi, faut que tu t’en sèvres, tu t’es vu serieusement ? Non, pas encore, tu t’en rends compte ? Conscience va y tu me casse les bonbons là, casse toi, t’auras tout le temps de faire ta lourde demain.
Elle l’a suivi jusqu’au salon, il s’est allongé sur le canapé, elle boit elle fume, il la regarde.
-Tu peux t’allongé là ou tu veux.
Merci t’es gentil je suis encore chez moi quand même un peu. Il me semble. Elle le fixe il est allongé là, il n’a pas froid, il fait comme chez lui. Non, mais il compte pas dormir là ? C’est pas possible, c’est même pas envisageable.
Pourtant c’est bien ce qui est entrain de se passé sous son propre toit, sous ses yeux. Elle écrase la clope. Il siffle, elle se redresse.
-J’aime quand on me lèche.
Ah ok, donc il ne dort pas, il fait bien semblant seulement. A nouveau à terre elle le fait. Ben oui elle le fait, si ca lui fait du bien elle ça ne la dérange pas, et vu le pied qu’il lui a fait prendre elle lui doit bien ça. Enfin devoir bon, juste elle veut bien lui donné quoi …
Quand elle s’arrêtera, il sera 2h45.
Elle se servira encore un verre d’eau, et beat, effarée un peu, choquée beaucoup, stupéfaite, se tapera encore un fixe devant ce mec qui s’est endormi, et en plus.. il ronfle.
Elle se mords les lèvres devrait elle le réveillé ?
Carrément ! Comment tu peux te posé la question c’est chez toi, tu connais rien de lui, tu vas pas dormir avec ce type sur ton canapé en plus c’est ta place tu dors sur le canapé depuis des mois, réveille le tu le secoues méchant, si ça marche pas, tu lui cravache la gueule… !!!!!
Non…
Elle va dans sa chambre, ramène deux édredons, un pour lui… elle le couvre, avec beaucoup de précautions, elle soulève sa tête et glisse deux oreillers. Il émet un petit bruit. Elle s’immobilise à nouveau devant lui. C’est juste… irréel.
En prenant la seconde couette, elle découvre les traces qu’il créer dessus. Tout son maquillage à coulé, elle a son visage en tampon, sur sa couette. Des traces de salives, de sécrétions, de maquillage… Sa couverture… c’est un champ de guerre. Un champ de guerre. Pas besoin d’aller à turin pour admiré un suaire. Elle contemple.
Elle fini par s’allongé à même son sol, au pied de celui qui l’a crucifiée.
Au moindre de ses gestes elle se réveillera. Poupée de sexe, poupée de son, Poupée d’un soir
Purée qu’elle soirée.
Chapitre 2 Je viens chez toi et je ramène une copine
Au final, elle n’a pas dormi, mais être au pied d’un maitre ça la rendu comme sereine. Il s’est réveiller et levé sans réveil vers 4h du matin, elle s’est poussée pour le laissé passé, mais avec la flemme de faire quoi que ce soit d’autre.
Il s’est rhabillé, est passé dans sa salle de bain, elle a allumé toutes les lumières, histoire qu’il y voit clair et qu’elle puisse le surveille on ne sait jamais. Assise au sol elle le regarde s’agité, il passe d’une pièce à l’autre, rassemble ses affaires, il part donc. 4h n’est ce pas un peu tôt ? Enfin bon elle ne cherche pas à savoir. Elle ne veut pas savoir ni qui il est ni ce qu’il fait ni même son signe astrologique. Il fouille dans la chambre et ça l’agaçe alors elle vient à la porte et demande :
-Tu cherche quoi ?
Il se retourne vers elle,
-Les bracelets.
-Au dessus de l’oreiller.
Exact, il a l’air à nouveau en recherche
-Et maintenant ?
-Mon sac.
Il est au pied de la commode, commode à coté de l’entrée à coté d’elle, elle le ramasse et le lui tend, il fourretout son attirail dedans. Il est pas mal habillé non plus, même si il a les pieds nu, elle retourne dans le salon, lui propose un café qu’il décline. Peut être a-t-il peur qu’elle ne l’empoisonne… Elle le voit, il parait encore contrarie tout en se servant un verre d’eau elle lui indique ou il à laissé ses chaussettes et sa paire de basket. Il les met, enfile sa veste. Ils se retrouvent comme deux cons l’un en face de l’autre, comme la situation est insolite elle se dirige vers son entrée ouvre la porte extérieur grâce à l’interphone, lui ouvre la porte en le remerciant. Il est parti en lui disant :
-Salut.
Quand elle ferme la porte y’a comme quelque chose d’indescriptible. Pour quelqu’un qui n’était soit dis en pas à l’aise, elle s’est plutôt bien débrouillée.
Les jours passent, sans nouvelle. Il n’a pas dû s’amusé plus que ça finalement.
Les jours passent sans nouvelle. Elle était plutôt bonne pourtant.
Les jours passent sans nouvelle. Ben merde.
Elle se focalise sur autre chose ne veut pas vivre cette aventure comme un échec, si elle avait été lui elle aurait quand même envoyé un message, au minimum, mais il n’est pas elle alors qu’il aille au diable. Elle les enverrait volontiers tous en enfer. Non, elle en garderait un ou deux histoire de servir quand même. Ne serait ce que de tapis.
Une semaine passe et un soir sur son télephone :
-Tu fais quoi ce soir ?
-Bonjour, rien comme toujours.
-Soit prête pour 22h.
-Donc la dernière fois ça vous a plu ?
-Oui, oui c’était très bien
Très bien ,c’était très bien, en langage de fille ça veut dire, ouais gars, bof, mais bon t’es gentil je veux pas te faire de peine. Oui mais si c’était pas si bien que ça il reviendrait pas. Mais tu vas pas le laissé revenir comme ça, tu vas le faire ramé. Non, le temps des galères c’est fini.
-Au choix, je viens avec des potes, je viens avec une femme, on fait ça dehors.
-Euh comment ça au choix, vous êtes un maitre à la carte
-Non t’as rien à dire.
-Dans ce cas pourquoi vous m’en parlez ?
S’en suit une longue et houleuse conversation, elle se surprend à mettre des conditions, à dire les choses de façon franche, à laisser son égo parler. Un long silence s’en suit. Bon et bien c’était bien, mais c’est fini. Non mais pour qui se prends t il ? C’est plus de l’orgueil c’est de la démesure c’est de la connerie. Non. Elle dit non. C’était un combat et elle a gagné, que le lion s’en aille, elle n’a besoin de personne. De personne. Elle se suffit à elle-même. La journée se passe, elle n’y pense pas trop, hormis pour se rappeler qu’elle a eut raison. Le télephone vibre à nouveau un message, de lui :
-22h on sera là.
-Comment ça ?
-Fait-moi confiance salope
-Va te faire foutre enculé
-Fait moi confiance.
- Vous faire confiance on ne se connaît pas, vous ne me connaissez pas. La confiance ça vient avec le temps, avec les preuves avec les comportements. Les partouzes c’est pas mon trip, si tu ne cherches que ça bonne chance
Au final il l’appelle, il est têtu ce mec quand même. Sa voix est grave, mais sa voix est calme. Il ne paraît pas ni emporté ni en colère, ni rien, non il a la même voix que lorsqu’il lui a dit ‘salut’ . Ils s’expliquent tous les deux. Au final, le rendez-vous est pris et bel et bien maintenu.
Elle ne sait toujours pas ce qu’il a vraiment prévu. Elle fera comme elle fait avec sa vie, elle avisera.
Avisé c’est bien mieux qu’angoissée. Avisée, improvisée, faire avec et sans. Ca va aller, elle le sait, ca va aller. Elle est face à son miroir, elle se perd dans son propre regard. Elle est tendue. Alors elle en est là . Elle en est là, elle est debout. C’est un sacré champ de bataille quand même. Est-ce qu’un jour une walkyrie viendra la cherché ? Amazone tu as bien combattu, tu es resté fidèles à tes valeurs, entière, combative… Ne pas pensez à tout ça.
On en est pas à la fin, ce n’est que le commencement, la liberté. Et pour cela il faut tenir debout, il faut continuer la route. Il faut osé. Il faut affronté ses peurs, ses peines, Il faut osé faire les choses insensées. Il faut vivre, pleinement, véritablement, profondément.
Elle se douche, se maquille, s’habille, range son appartement, met encore une fois les objets de valeur à l’abri, prévient deux trois copines qu’elle reçoit de la visite spéciale à la maison. Tellement spéciale qu’elle ne sait pas vraiment ce qui l’attends. Beaucoup autour d’elle la considère mal. Elle ne leur en veut pas, rare sont ceux qui peuvent comprendre. Comprendre son processus étrange, déroutant, voir mal fichu. C’est comme ça pourtant faut s’y faire, tu prends ou pas, mais elle ne changera pas. Elle s’est forgée, dans le sexe et parfois les larmes.
Elle est prête, elle boit une bière et allume sa chance. Il lui envoit un message. Ils arrivent. Dans son ventre il y a comme un gouffre géant qui réclame son dû. Elle a faim. Elle se mord les lèvres, se lave les mains.
La sonnette retentit de son ton strident. Elle reprends son souffle et ouvre, elle sort dans son couloir, se tient droite, il apparait en premier, une voix féminine et grave lui parle. Monsieur a ramené une fille. Une femme, une poitrine et de lèvres.
A cet instant elle en est sûre, tout se passera bien elle n’aura pas à les virés dehors, elle les fait rentrée, fait un clin d’œil a la belle invitée lorsqu’elle la salut. Comment a-t-il fait pour lui ramener son genre de fille ?
Il fait son malin encore une fois, s’installe sur le canapé, le monde lui appartient. Elle prends le manteau de la demoiselle, la pose sur un cintre et la suspend au dessus de la porte de la cuisine. Lui l’a déjà enlevé et posé n’importe comment sur le bureau. Le chat va finir par se couché dessus et il fera moins son malin. Avant toute présentation, elle propose à boire à ses convives. Mademoiselle opte pour un sirop à la menthe, le maitre comme toujours se contente de rien. Pendant qu’elle prepare le verre, elle entends :
-Tu veux dire qu’elle en savait rien ?
C’est une voix féminine, sensuel, cette femme c’est du velour. C’est totalement son genre de femme. Taille moyenne, féminine à mort, ronde dodu charnue en chair, en forme, appétissante à souhait et au-delà. Elle porte une jupe tailleur, une sorte de chemisier, des bas couleur or, des chaussures talons aiguilles. Chérie, je veux te dévoré. L’autre répond de sa voix amusée et sûr :
-Non je te l’ai déjà dis, c’est une soumise, elle se plis à ma volonté.
Elle ramène le verre un cendrier pour le joyau de la soirée, son regard à elle. Des yeux noisettes, profond, en elle, elle repère déjà au moins deux vies amoureuses blessantes. Elle ne s’y arrête pas, trop préoccupée à être bonne hotesse. Elle reste debout pres du marbre de la cheminée, la femme la toise et la questionne.
-Non vraiment tu n’en savais rien ? Tu fais ça comme ça ?
-Disons que c’est le jeu
Le maitre parle
-Ah tu vois je te l’avais dis.
Celle au parfum sauvage reprends un peu surprise, limite bafouillant :
-Oh.. non je ne pourrais pas.
L’amazone répond :
- Pourquoi ? Je ne te plaîs pas ;
Elle achève sa phrase par un petit sourire. L’invitée oscille son regard entre lui et elle, prends une gorgée de son verre et rend le sourire. Mais une question lui brûle les lèvres et elle la sort :
-Mais comment tu fais ?
-Oh mais c’est simple, on va te montré.
Le maitre, s’installe pour être plus à son aise et ordonne :
-Viens me sucé.
La nuque de l’hôtesse craque, elle s’avance vers lui passe devant l’invitée, dépose un baisé sur sa main, puis va entre les jambes de celui qui l’a appelé.
C est donc reparti pour le tête à hydre. Le combat toujours, le combat. Elle s’applique, sans montré ni ressentir, le moindre gêne. Elle en est plus à ça près. La jeune femme est à coté de l’homme, et elle est au pied. Sa bouche la ballerine en action, ses mains jouant avec les lacets. Pour se contenir, pour empêche ses mains d’aller voir juste a coté sentir la douceur des bas. Pour être concentrée. Pour être bien docile, bien douce, bien efficace.
Efficace, elle semble l’être, puisqu’il durcit, grandit, s’accroît. Ou alors c’est juste la situation qui le rend comme ça c’est possible aussi. Elle écoute d’une oreille distraite ce que les deux se disent elle en déduit qu’ils partagent une relation de sexe friend. Ils se connaissent par cœur, pour preuve, ces murmures ces rires chauds et quasi silencieux, cette main qui vient se logé sur le torse, la simplicité d’avec laquelle il réussit à la convaincre d’enlevé son haut. En dessous.. surprise.. un corset, quelle belle surprise, elle est si belle, sent si bon. Mais pas touche tant que tu n’en reçoit pas l’ordre. C’est dommage ma belle, tu aurais du me rencontré moi avant lui. Je suis beaucoup plus mieux. Chut tais toi donc l’égo.
Il la fait s’arrêté pour se livré à l’autre demoiselle. Elle reste à terre en face d’eux. L’autre sait s’y faire aussi question hydre, elle fait du bruit avec sa salive, elle est plus farouche. Lorsqu’il essaye de la pressé elle se redresse et se révolte.
-Hey oh je ne suis pas soumise moi.
Ah ca te fais bien sourire ça pas vrai. T’aurais presque envie qu’elle le gifle. Il a vu ton regard amusé et reprends sa position d’alpha :
-Ça c’est sûre t’es juste salope.
Elle éclate de rire, d’un rire comme ceux des gens du sud. De ce rire qui vous désarme. Toi tu reste silencieuse spectatrice de ce drôle de couple. Tu as deviné dans les yeux de la fille tout l’amour qu’elle porte à cet homme. Tu ne veux pas imposé quoi que ce soit ou lui faire peur, si elle le veut lui alors tu lui laisse. Cet homme, par contre ne s’en rend pas compte. Du moins feins de ne rien comprendre, c’est plus facile ainsi. Tu déglutis arrête maintenant de te mettre à leur place contente toi de resté à la tienne. Sinon tu le sais bien, tu vas t’en mêlé…
Il a à nouveau surpris ton regard, il attrape tes cheveux et te pousse en face d’elle :
-Occupe toi d’elle et fait le bien.
Du coup, la fille du sud te sourit de manière douce, tu embrasses l’intérieur de ses cuisses, son parfum sauvage, sa peau douce, tu le sais avant d’avancé ta langue, elle est chaude, elle est douce, elle et déjà prête. Les mains de l’homme sur sa poitrine ont déjà tout activés. Elle te fais un sacré effet, avoues le toi. Soudainement face à elle, tu te sens comme avant, avant tous tes combats, avant tout. Tu te sens vierge. Brûlant de désir et frileuse de ne pas savoir le faire. C’est grisant et extraordinaire. C’est presque comme la toute première fois. Presque… Tu t’appliques à trouver l’origine de ses sens à elle. Son origines. A son impassibilité tu sais qu’elle n’est pas du genre bouton…Alors comme la toute première fois tu cherches chaque centimètre de paroi est vérifiée. Et puis tu tombes sur le bon endroit comment le découvre tu ? Les mains de la jeune femme te cherchent et tout son corps se tend à toi. Elle t’offre tout subitement. Ses soupirs et ses mains qui te caresse la chevelure qui te caresse la joue, ses mains cherchent les tiennes pendant que l’homme s’amuse de sa poitrine. Ce sont pourtant tes mains à toi qu’elle réclame comme une obsession. Tu les lui offres, elle t’agrippe et toi tu t’accroches… Tu ne lâcheras rien tant qu’elle ne le te demandera pas. Elle serre fort ses mains dans les siennes. Tu es bel et bien là avec elle, et c’est toi qui l’a met dans cet état.
Elle serre si fort ses mains, tu es à la recherche de son orginine, toutes les femmes ont leur points de départ, à chacune son endroit. Tu prends le temps qu’il faut pour le faire bien. C’est quand ses ongles entrent dans sous ta peau que tu sais. Tu es sûr. Tu te délecte de tout. D’un seul coup tout revient pas vrai, la première fois que tu as eu un rapport… c’était aussi une femme, une femme ronde brune et de caractère, un foutu caractère.. Elle sentait bon elle aussi, tu reviens à cette nuit ou pour toi tout à commencer… et puis il te repousse, et t’ejecte de ce souvenir qui semblait pourtant si réel…
Il lui parle avec un simple regard. Sa bouche à elle vient s’occupe de son entrejambe à lui et te voilà de nouveau sur le sol à ne rien pouvoir faire. Ca te va. Ca te va. D’être celle qui est à genoux sur le tapis.. silencieuse. Ton cœur bat vite, beaucoup trop vite, c’est le voyage dans le temps qui t’as rendu comme ça. Repenser à la première Eve t’as toute chamboulée… Tu as des bouffées de chaleurs, et puis ta respiration a comme une gêne.. aucun des deux ne s’en rend compte bien sûr que non. Tu surprend le regard de l’homme te fixé.
‘qu’est ce que tu as abruti ? Tu ne peux pas te concentrer sur la femme qui est prête a vendre son âme pour un peu d’amour de ta part ?’
Non ne le lui dit pas, ne dit rien, regarde là… elle a une sacré technique, c’est étrange ses lèvres font du bruit, tu te souviendras de ce bruit des mois plus tard…
Il l’invite à s’arrêter et a se rendre dans la chambre. La chambre aussi tu la bien préparée. Tu les laisserais bien y aller seul si ils n’ont plus besoin de toi. Quel interêt d’observer deux corps se donné l’un à l’autre ? Tu n’y prends aucun plaisir, tu n’as pas ce vice en toi, ca t’en fait un en moins et c’est pas si mal pas vrai ?
Re: (bdsm) Amazone lubrique
Mais lui il est venu pour ça, il est venu pour que tu sois sa spectatrice et il a ramenée celle qui lui sert de faire-valoir.
C’est pourquoi il te fait signe de les suivre.
Cette fois ils enlèvent les derniers lambeaux de vêtements. Elle s’empresse de les regroupée, de les mettre hors de portée du chat…Ils ne se rendent compte de rien, même pas du soin qu’elle a apporte à la pièce.
Ca la fait voyagé cette pensée là aussi.. durant les mois ou elle fut valet de chambre. Tout les matins, les mêmes chambres, jamais les mêmes passager.. des hommes d’affaires ceux là on les reconnait ils laissent toujours des papiers dans la poubelles, et mâchouille les capuchons des stylos et puis et puis ils décalent les bureaux pour accéder a la prise pour leur pc… et puis, les couples d’amants.. ce qui les trahit ? la poubelle remplit de protection en plastiques et puis toutes les serviettes trempées dans la salle de bain. Toutes ces personnes de passage qui ne se rende pas compte que derrière passeront la femme de ménage.
Elle est sortie encore une fois de son esprit par lui, toujours lui elle a vaguement entendu une phrase dans le genre :
-Ca a l’air de l’ennuyer
Et elle qui répond entre deux assauts,
-Oh la pauvre.
En entendant le souci qu’elle se fait de ton sort tu te sens oblige de répondre
-Non je vous assure ca va très bien.
Lui a encore dit quelque chose d’agaçant en même temps c’est comme çà il t’agace tu le sais au fond que c’est pas un partenaire bdsm, non lui il est comme les autres, tout ce qui l’amuse c’est seulement les jeux à plusieurs et la vague impression qu’il est le centre de toutes. Enfin bon en attendant, pour le moment il t’amuse bien quand même du coup ca le sauve un peu. Ca lui donne du sursis si l’on peut dire..
Il s’occupe bien d’elle, il l’embrasse, il la caresse, il accélère puis ralentit sa cadence, elle, s’agrippe à lui, c’est une femme lierre, elle se métamorphose en lierre à force de caresse, d’agrippement, d’avec son souffle coupé, et ses phrases à peine audible.
Une femme qui s’enroule entour d’un homme qui l’agrippe de toute ses forces du bout de ses ongles manucurée pour lui, spécialement…un homme qui la prends, qui la tire, qui la redresse et la rallonge qui accélère qui ralentit un balet entre deux êtres.
C’est pourquoi il te fait signe de les suivre.
Cette fois ils enlèvent les derniers lambeaux de vêtements. Elle s’empresse de les regroupée, de les mettre hors de portée du chat…Ils ne se rendent compte de rien, même pas du soin qu’elle a apporte à la pièce.
Ca la fait voyagé cette pensée là aussi.. durant les mois ou elle fut valet de chambre. Tout les matins, les mêmes chambres, jamais les mêmes passager.. des hommes d’affaires ceux là on les reconnait ils laissent toujours des papiers dans la poubelles, et mâchouille les capuchons des stylos et puis et puis ils décalent les bureaux pour accéder a la prise pour leur pc… et puis, les couples d’amants.. ce qui les trahit ? la poubelle remplit de protection en plastiques et puis toutes les serviettes trempées dans la salle de bain. Toutes ces personnes de passage qui ne se rende pas compte que derrière passeront la femme de ménage.
Elle est sortie encore une fois de son esprit par lui, toujours lui elle a vaguement entendu une phrase dans le genre :
-Ca a l’air de l’ennuyer
Et elle qui répond entre deux assauts,
-Oh la pauvre.
En entendant le souci qu’elle se fait de ton sort tu te sens oblige de répondre
-Non je vous assure ca va très bien.
Lui a encore dit quelque chose d’agaçant en même temps c’est comme çà il t’agace tu le sais au fond que c’est pas un partenaire bdsm, non lui il est comme les autres, tout ce qui l’amuse c’est seulement les jeux à plusieurs et la vague impression qu’il est le centre de toutes. Enfin bon en attendant, pour le moment il t’amuse bien quand même du coup ca le sauve un peu. Ca lui donne du sursis si l’on peut dire..
Il s’occupe bien d’elle, il l’embrasse, il la caresse, il accélère puis ralentit sa cadence, elle, s’agrippe à lui, c’est une femme lierre, elle se métamorphose en lierre à force de caresse, d’agrippement, d’avec son souffle coupé, et ses phrases à peine audible.
Une femme qui s’enroule entour d’un homme qui l’agrippe de toute ses forces du bout de ses ongles manucurée pour lui, spécialement…un homme qui la prends, qui la tire, qui la redresse et la rallonge qui accélère qui ralentit un balet entre deux êtres.
Re: (bdsm) Amazone lubrique
Ce qui c’est passer ensuite ? Oh la perpétuelle répétition des chose, toi entre les jambes de la fille, tellement concentrer pour la faire crier plus fort que l’autre abruti que tu ne rends pas compte, que ne prête pas attention à ses assauts à lui. Pourtant il y met de la conviction le bougre, mais à cet instant là, il n’est plus là, il n’est plus rien. Il n’y a plus qu’elle qui compte à tes yeux et dans toute ta peau. Elle attrape un oreiller pour étouffée les cris que tu lui inspire. Les halètements que tu crée..
…
Les deux se rhabillent, lui s’allonge et fini comme toujours pas s’endormir. Toujours silencieuse tu observe la belle prends soin de lui, le couvrir lui mettre un oreiller sous la tête lui faire des papouille.
Tu finis par n’en plus pouvoir de ne rien dire et tu lui murmure
-Est-ce qu’il le sait ?
Elle baisse les yeux ne les relevé qu’après avoir allumer un dromadaire :
-De quoi tu parle ?
-De tes sentiments.
-Tout est bien clair, on a été ensemble, et des le début il m’a dit que si je ne perdais pas de poids il me quitterait.. Il m’a quitté fin de l’histoire.
-Non il n’y a rien de fini là dedans. Finir une histoire quelque soit les raisons, il n’y a qu’une seule méthode. Se séparer, ne pas se reparler, se rendre à l’évidence, accepter, faire le deuil. Je ne vois rien de cela quand je vous regarde vous.
-T’as peur pour ton cul ?
- Absolument pas. C’est un plan de compensation, non pas un projet.
-T’en parle comme si c’était un objet… Si tu l’apprécies pas, pourquoi cette soirée ?
Tu vas lui expliquée, lui servir un verre, elle te parlera de sa vie, de sa naissance, à sa rupture, à leur rencontre, de son passé à son présent. Tu ne peux rien faire pour elle. Tu sais que lui ne t écouteras pas. Entre deux explications du pourquoi du comment selon elle.. elle te glisse des infos sur sa vie privée à lui. Une tentative de bien montrer son territoire, tu vois ? Moi je le connais, moi je sais, toi tu sais rien.
C’est tres bien comme ça. Tu ne sais rien du tout, tu ne veux pas savoir. Bientôt il te lassera. En attendant, tu conseille à la fille de prendre soin d’elle, de faire bien attention. Elle te sourit, essaye de te convaincre que l’homme qui dort comme un balourd sur ton canapé, c’est quelqu’un de bien, d’honnête, de confiance.
Ta petite voix intérieur rigole bien mais tu gardes tes commentaires pour toi.
…
Les deux se rhabillent, lui s’allonge et fini comme toujours pas s’endormir. Toujours silencieuse tu observe la belle prends soin de lui, le couvrir lui mettre un oreiller sous la tête lui faire des papouille.
Tu finis par n’en plus pouvoir de ne rien dire et tu lui murmure
-Est-ce qu’il le sait ?
Elle baisse les yeux ne les relevé qu’après avoir allumer un dromadaire :
-De quoi tu parle ?
-De tes sentiments.
-Tout est bien clair, on a été ensemble, et des le début il m’a dit que si je ne perdais pas de poids il me quitterait.. Il m’a quitté fin de l’histoire.
-Non il n’y a rien de fini là dedans. Finir une histoire quelque soit les raisons, il n’y a qu’une seule méthode. Se séparer, ne pas se reparler, se rendre à l’évidence, accepter, faire le deuil. Je ne vois rien de cela quand je vous regarde vous.
-T’as peur pour ton cul ?
- Absolument pas. C’est un plan de compensation, non pas un projet.
-T’en parle comme si c’était un objet… Si tu l’apprécies pas, pourquoi cette soirée ?
Tu vas lui expliquée, lui servir un verre, elle te parlera de sa vie, de sa naissance, à sa rupture, à leur rencontre, de son passé à son présent. Tu ne peux rien faire pour elle. Tu sais que lui ne t écouteras pas. Entre deux explications du pourquoi du comment selon elle.. elle te glisse des infos sur sa vie privée à lui. Une tentative de bien montrer son territoire, tu vois ? Moi je le connais, moi je sais, toi tu sais rien.
C’est tres bien comme ça. Tu ne sais rien du tout, tu ne veux pas savoir. Bientôt il te lassera. En attendant, tu conseille à la fille de prendre soin d’elle, de faire bien attention. Elle te sourit, essaye de te convaincre que l’homme qui dort comme un balourd sur ton canapé, c’est quelqu’un de bien, d’honnête, de confiance.
Ta petite voix intérieur rigole bien mais tu gardes tes commentaires pour toi.
Re: (bdsm) Amazone lubrique
cokin, si tu as lu c'est que ça dut te plaire enfin j'espere.
mais ce n'est pas fini, du coup.. tu n'as pas tout vu
mais ce n'est pas fini, du coup.. tu n'as pas tout vu
Re: (bdsm) Amazone lubrique
Chapitre 3 le coupe faim
Voilà plusieurs semaines que tu ne t’es rien mis sous la dent, et tu as trop d’orgeuil pour demande au prétention de venir, et pas assez d’estime pour jouer la soumise qui implore, tu sais bien qu’il ne viendra pas, alors tu évites toute humiliation et tu ne lui adresse aucun mot. Tu l’entends encore te dire
‘Maintenant tu ne pourras plus t’en passer.’
Tu vas te prouver que si. Aucun Homme n’est irremplaçable et certainement pas ce joueuer de badminton. Un mec qui joue en courant apres un volant de toute façon c’est forcement louche.. fan de psg, signifies manque d’originalité. Il aurait été fan d’une équipe de foot du Pérou, à la limite. Enfin bon en même temps est ce que le Pérou à une équipe ? Voilà là ça aurait été interressant, éveillant ta curiosité. Mais le psg…
…
Tu attends le bus, il est 20h, et tu attends le bus pour aller, quelque part approximativement parlant. L’encas à l’air gentil, il est polis, ne demande pas de photos. Il est jeune. Tu t’es toujours méfier des jeunes.. mais bon, en même temps, qui ne tente rien n’a rien. Tu as besoin de ces chasses, de ces traques, de ces proies. C’est vitale pour toi. Tu le sais bien que cela passera mais pour le moment, tu as besoin de ça. Bien que Jule te dis que c’est risqué, tu n’y entends rien.
« Risqué ? Rien de ce que je fais n’est risqué… Rien ne le sera plus jamais comparé à ce que j’ai déjà vécu. Je suis toujours là, la même, et je fonce. »
Faisant fis des inquiétudes de Jule la prude, tu monte dans le bus, et tu dirige dans le centre pour prendre un autre bus. Tu aimes les transports en commun même la nuit. Tu laisse la place à la dame âgée, tu sourie au bébé qui te regarde avec de gros yeux, tu aide à descendre la poussette.. Une fille bien comme il faut. Amélie Poulain existe, Vilaine, existe.. c’est toi. Bon.. ta sexualité mise à part. Tu arrive à l’endroit convenu.. personne. Tu envois un message.. il te renvoi un itinéraire.. passer à coter de la concession automobile, avancer juqu’au Kebab, travers à la pharmacie. C’est tres amusant comme chasse..
Tu regarde tout autour de toi, et tu l’aperçois. Taille moyenne, trapu, roux, barbe.. habillé normalement. T’aurais peut être pû te passer du maquillage, tant pis. La douche, le rasoir, la coiffure, le maquillage, les habits.. tout ça fait parti du jeu.
Un jeu de traque de chasse.. un jeu de pouvoir, un jeu avec toi-même. Un jeu qui a commencer à 17 ans. Tu vas bientôt en avoir 30 alors ce jeu tu le maitrise de mieux en mieux. La cible est en vue…
Ils se font la bise.. Il l’entraine dans son antre. Ils enlèvent leur vestes.. L’appartement est petit, en désordre, sur la table, des tubes, du tabac, et d’autres choses qu’elle reconnait, mais ne consomme pas. Comme promis il lui sert un café. Silencieusement, timidement.
Ah ben ça va être plus long qu’elle ne l’avait prévenu…
Elle lance les sujets de conversations.. travail, amis, sortie, ex. Oui on apprends tellement des personnes quand on les écoute parler de leur ex. Comme elle, il sort d’une longue histoire, avec une fille qui de toute évidence n’était pas faite pour lui. Dans un commun accord quand à leur désaccord…il y a de cela 2 ans. Il lui a tout laisser, a atterrit dans cet appartement qui devait être temporaire.
Ah le temporaire..
Voilà pourquoi, l’appartement est en désordre. Il s’est laisser prendre au jeu du temps. Oui c’est temporaire, pas besoin de travailler les murs, pas besoins de travailler l’ameublement. C est temporaire…
Elle lui sourit, boit un café souligne le point commun qu’ils ont tout les deux, quand au choix des tubes. Il sourit..
Une heure de conversation plus tard, elle ne sait pas trop si elle est à son goût ou non, comme elle dépend des bus, elle tente le tout pour le tout..
-Bon, alors, à présent que tu te sens un peu plus à l’aise, pense tu être assez à l’aise pour pratiquer ?
-Euh.. Oui bien sûr, c’est selon toi.
Selon elle. Elle se lève, se déshabille, un peu comme on s’empresse de se déshabiller hop la robe, hop le collant, hop les sous vêtement. Il n’a rien eut le temps de faire. Elle vient vers lui, un grand sourire au lèvre, et se tient debout devant lui, sans cache, avec pour seul artifice.. du mascara sur ses cils. Voilà qui elle est, voilà comment elle est.
Les mains du jeunes hommes s’approchent de sa poitrine.. a sa façon de les palper, à ses yeux écarquillés, à sa bouche qui s’entrouvre.. on pourrait penser que c’est sa première fois. C’est un petit garçon à noël qui vient de découvrir sa belle locomotive. Ses mains ne tremble pas, mais toute son approche est timide. Elle ouvre sa ceinture, ouvre le pantalon prends les choses en main.
Voilà plusieurs semaines que tu ne t’es rien mis sous la dent, et tu as trop d’orgeuil pour demande au prétention de venir, et pas assez d’estime pour jouer la soumise qui implore, tu sais bien qu’il ne viendra pas, alors tu évites toute humiliation et tu ne lui adresse aucun mot. Tu l’entends encore te dire
‘Maintenant tu ne pourras plus t’en passer.’
Tu vas te prouver que si. Aucun Homme n’est irremplaçable et certainement pas ce joueuer de badminton. Un mec qui joue en courant apres un volant de toute façon c’est forcement louche.. fan de psg, signifies manque d’originalité. Il aurait été fan d’une équipe de foot du Pérou, à la limite. Enfin bon en même temps est ce que le Pérou à une équipe ? Voilà là ça aurait été interressant, éveillant ta curiosité. Mais le psg…
…
Tu attends le bus, il est 20h, et tu attends le bus pour aller, quelque part approximativement parlant. L’encas à l’air gentil, il est polis, ne demande pas de photos. Il est jeune. Tu t’es toujours méfier des jeunes.. mais bon, en même temps, qui ne tente rien n’a rien. Tu as besoin de ces chasses, de ces traques, de ces proies. C’est vitale pour toi. Tu le sais bien que cela passera mais pour le moment, tu as besoin de ça. Bien que Jule te dis que c’est risqué, tu n’y entends rien.
« Risqué ? Rien de ce que je fais n’est risqué… Rien ne le sera plus jamais comparé à ce que j’ai déjà vécu. Je suis toujours là, la même, et je fonce. »
Faisant fis des inquiétudes de Jule la prude, tu monte dans le bus, et tu dirige dans le centre pour prendre un autre bus. Tu aimes les transports en commun même la nuit. Tu laisse la place à la dame âgée, tu sourie au bébé qui te regarde avec de gros yeux, tu aide à descendre la poussette.. Une fille bien comme il faut. Amélie Poulain existe, Vilaine, existe.. c’est toi. Bon.. ta sexualité mise à part. Tu arrive à l’endroit convenu.. personne. Tu envois un message.. il te renvoi un itinéraire.. passer à coter de la concession automobile, avancer juqu’au Kebab, travers à la pharmacie. C’est tres amusant comme chasse..
Tu regarde tout autour de toi, et tu l’aperçois. Taille moyenne, trapu, roux, barbe.. habillé normalement. T’aurais peut être pû te passer du maquillage, tant pis. La douche, le rasoir, la coiffure, le maquillage, les habits.. tout ça fait parti du jeu.
Un jeu de traque de chasse.. un jeu de pouvoir, un jeu avec toi-même. Un jeu qui a commencer à 17 ans. Tu vas bientôt en avoir 30 alors ce jeu tu le maitrise de mieux en mieux. La cible est en vue…
Ils se font la bise.. Il l’entraine dans son antre. Ils enlèvent leur vestes.. L’appartement est petit, en désordre, sur la table, des tubes, du tabac, et d’autres choses qu’elle reconnait, mais ne consomme pas. Comme promis il lui sert un café. Silencieusement, timidement.
Ah ben ça va être plus long qu’elle ne l’avait prévenu…
Elle lance les sujets de conversations.. travail, amis, sortie, ex. Oui on apprends tellement des personnes quand on les écoute parler de leur ex. Comme elle, il sort d’une longue histoire, avec une fille qui de toute évidence n’était pas faite pour lui. Dans un commun accord quand à leur désaccord…il y a de cela 2 ans. Il lui a tout laisser, a atterrit dans cet appartement qui devait être temporaire.
Ah le temporaire..
Voilà pourquoi, l’appartement est en désordre. Il s’est laisser prendre au jeu du temps. Oui c’est temporaire, pas besoin de travailler les murs, pas besoins de travailler l’ameublement. C est temporaire…
Elle lui sourit, boit un café souligne le point commun qu’ils ont tout les deux, quand au choix des tubes. Il sourit..
Une heure de conversation plus tard, elle ne sait pas trop si elle est à son goût ou non, comme elle dépend des bus, elle tente le tout pour le tout..
-Bon, alors, à présent que tu te sens un peu plus à l’aise, pense tu être assez à l’aise pour pratiquer ?
-Euh.. Oui bien sûr, c’est selon toi.
Selon elle. Elle se lève, se déshabille, un peu comme on s’empresse de se déshabiller hop la robe, hop le collant, hop les sous vêtement. Il n’a rien eut le temps de faire. Elle vient vers lui, un grand sourire au lèvre, et se tient debout devant lui, sans cache, avec pour seul artifice.. du mascara sur ses cils. Voilà qui elle est, voilà comment elle est.
Les mains du jeunes hommes s’approchent de sa poitrine.. a sa façon de les palper, à ses yeux écarquillés, à sa bouche qui s’entrouvre.. on pourrait penser que c’est sa première fois. C’est un petit garçon à noël qui vient de découvrir sa belle locomotive. Ses mains ne tremble pas, mais toute son approche est timide. Elle ouvre sa ceinture, ouvre le pantalon prends les choses en main.
Re: (bdsm) Amazone lubrique
Rho !!! T'as su poster quand même !!!
J'aime bien découvrir ces aventures avec tes mots
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Re: (bdsm) Amazone lubrique
En main et en bouche, il se laisse faire, s’allonge, et émet déjà des soupirs, alors qu’elle la à peine frôler. Il y a longtemps qu’il n’a pas rencontrer de louve… elle le sent raidir, ca la flatte, bien évidemment, avoir le coup de langue qu’il faut au moment opportun c’est un fierté qu’elle a. Ca peut être étrange. C’est peut être du à sa première fois, tout est toujours du aux premières fois..
Il aggrippe,les draps, ça lui fait pensé à une réaction féminine, ce dos qui se cambre, cette bouche qui laisse échappée des soupirs.. pourtant, elle le sait, en a la preuve en bouche. ; c’est un homme. Un homme qui à semble t il toutes ses sensations. Ses mains lâchent les draps et vient se posé sur la chevelure de la demoiselle. La façon masculine de dire, oui c’est bon continu, ou , oui, mais un peu plus comme ça un peu moins comme çi.. Tout comme une femme a tendance à aggripper la nuque de celui qui la goute.. ou à griffer pour signifié qu’elle en veut plus ou que ca va trop vite. Quoiqu’il en soit, elle n’a rien perdu de ses talents, elle est toujours ballerine. Pour une fois qu’elle fait les choses à la ‘normal’ c’est plutôt, voir, carrément flatteur.
Elle fini par le relâcher avant qu’il ne vienne. Il est jeune, cela fait quelques mois qu’il n’a rien fait, elle ne le connait pas assez pour en connaitre le goût. Elle s’allonge à ses cotés, sur le canapé qui par magie sans qu’elle s’en apercoive s’est transformer en clik clak.. Il met une protection, carresse sa poitrine.. si elle était un poeme elle serait la géante de baudelaire, la géante ou la vampire…
Une géante sous le joug d’un vampire que l’on nomme souvent passé. Quoiqu’il en soit.. elle est efficace.
Ainsi pour cent êtres dépourvu de pudeur elle en trouve un qui en est doté et brusquement sans peur, vient la lui ôter
Il vient en elle, la regarde, se colle à sa peau, elle a l’impression d’etre oppréssée et quand ses lèvres viennent trop dangereusement, elle lui sourit pose un doigt sur sa bouche et lui déconseille sans mot mais tres clairement de continuer cette approche. Subitement il a de grands yeux tout rond et de sa bouche sort un râle.. elle le regarde, un peu comme une maman regarde un enfant qui tomberait sur ses genoux pour la première fois. Comme ce regard peut etre mal interprété ou perçu elle détourne les yeux, et tente de respirer. Elle n’a rien senti, ce n’est pas grave.. apres tout le but était plutôt de faire le trajet et d’oser rencontrer quelq’un. Il se confonds en excuses, comme si tout cela dépendait du sort du monde. Elle le rassure, ce n’est pas grave, cela n’a pas d’importance, ce qui compte c’est le plaisir que cela lui a procurer.. Il se retire, disparait momentanément, elle boit un verre d’eau. Inspire et expire.
Il revient avec une boite à la main, elle s’interroge.. Il répond, toujourd d’une voix timide :
-C’est un jouet, ça me permettra de te faire du bien, puisque moi, je n’arrive pas à démarrer.
Elle rie au éclat, c’est plus fort qu’elle.
-Ca t’arrive souvent de propose ce genre de plan ?
-Ben en fait tu es la première.
-Ok, je tiens à te précisé que toutes les nanas ne sont pas comme moi afin de t’éviter toute surprise de refus si à l’avenir tu le propose à une autre.
-Alors c’est oui.
Elle se rallonge écarte les jambes, met ses bras au dessus de sa tête et ferme les yeux. Si elle les gardait ouvert, il risquerait de vraiment prendre peur. Surtout, ma belle , ne porte aucun jugement, ne fait aucune remarque, laisse le faire à sa guise.. Elle sent ses mains la carressé à nouveau, la fouillée même, pour quelqu’un de timide, il est aventurier. Il a de cela commun avec tant d’autre inspecté, fouiller et trifouiller. Pourtant les filles ne sont pas des sacs…
Elle tente de ne plus penser, ce qui pour une fille comme elle est un effort considérable. Il essaye la brusquerie se rend compte de sa maladresse revient à la douceur, se décide finalement à jouer. Elle fait preuve de patience, se concentre sur les sensations, y met vraiment du sien, malgré les cafouillages du début, cela commence à aller.. passablement. Oui elle est difficile, oui elle est distante, mais elle n’y peut rien.
Elle sent bien pourtant, le constate, que le jeune homme fait de son mieux, alors.. que faire ? Simuler, c’est mentir et tricher. Quel mal y’a-t-il a mentir à une personne que tu ne verra plus ? Mentir à d’autre, c’est se tromper soit même. Elle ne fera pas semblant. Elle le laissera continuer durant le temps qui suit. Il abandonnera, la priant de l’excuser…
Il n’y a rien à excuser.
Il lui demande si ils vont se revoir.
Elle lui sourit, et lui dit
-Il ne vaut mieux pas. Tu as besoin d’une amoureuse et non pas d’une amante. Je ne corresponds pas à tes besoins.
Cela est vrai, ils n’ont rien à faire ensemble ces deux là. Il la regarde confus, elle lui carresse l’épaule :
-Tu m’en veux de te dire cela ? Tu aurais préférer que je mentes ?
-Non je te remercies.. c’est juste que je n’ai pas l’habitude
Il aggrippe,les draps, ça lui fait pensé à une réaction féminine, ce dos qui se cambre, cette bouche qui laisse échappée des soupirs.. pourtant, elle le sait, en a la preuve en bouche. ; c’est un homme. Un homme qui à semble t il toutes ses sensations. Ses mains lâchent les draps et vient se posé sur la chevelure de la demoiselle. La façon masculine de dire, oui c’est bon continu, ou , oui, mais un peu plus comme ça un peu moins comme çi.. Tout comme une femme a tendance à aggripper la nuque de celui qui la goute.. ou à griffer pour signifié qu’elle en veut plus ou que ca va trop vite. Quoiqu’il en soit, elle n’a rien perdu de ses talents, elle est toujours ballerine. Pour une fois qu’elle fait les choses à la ‘normal’ c’est plutôt, voir, carrément flatteur.
Elle fini par le relâcher avant qu’il ne vienne. Il est jeune, cela fait quelques mois qu’il n’a rien fait, elle ne le connait pas assez pour en connaitre le goût. Elle s’allonge à ses cotés, sur le canapé qui par magie sans qu’elle s’en apercoive s’est transformer en clik clak.. Il met une protection, carresse sa poitrine.. si elle était un poeme elle serait la géante de baudelaire, la géante ou la vampire…
Une géante sous le joug d’un vampire que l’on nomme souvent passé. Quoiqu’il en soit.. elle est efficace.
Ainsi pour cent êtres dépourvu de pudeur elle en trouve un qui en est doté et brusquement sans peur, vient la lui ôter
Il vient en elle, la regarde, se colle à sa peau, elle a l’impression d’etre oppréssée et quand ses lèvres viennent trop dangereusement, elle lui sourit pose un doigt sur sa bouche et lui déconseille sans mot mais tres clairement de continuer cette approche. Subitement il a de grands yeux tout rond et de sa bouche sort un râle.. elle le regarde, un peu comme une maman regarde un enfant qui tomberait sur ses genoux pour la première fois. Comme ce regard peut etre mal interprété ou perçu elle détourne les yeux, et tente de respirer. Elle n’a rien senti, ce n’est pas grave.. apres tout le but était plutôt de faire le trajet et d’oser rencontrer quelq’un. Il se confonds en excuses, comme si tout cela dépendait du sort du monde. Elle le rassure, ce n’est pas grave, cela n’a pas d’importance, ce qui compte c’est le plaisir que cela lui a procurer.. Il se retire, disparait momentanément, elle boit un verre d’eau. Inspire et expire.
Il revient avec une boite à la main, elle s’interroge.. Il répond, toujourd d’une voix timide :
-C’est un jouet, ça me permettra de te faire du bien, puisque moi, je n’arrive pas à démarrer.
Elle rie au éclat, c’est plus fort qu’elle.
-Ca t’arrive souvent de propose ce genre de plan ?
-Ben en fait tu es la première.
-Ok, je tiens à te précisé que toutes les nanas ne sont pas comme moi afin de t’éviter toute surprise de refus si à l’avenir tu le propose à une autre.
-Alors c’est oui.
Elle se rallonge écarte les jambes, met ses bras au dessus de sa tête et ferme les yeux. Si elle les gardait ouvert, il risquerait de vraiment prendre peur. Surtout, ma belle , ne porte aucun jugement, ne fait aucune remarque, laisse le faire à sa guise.. Elle sent ses mains la carressé à nouveau, la fouillée même, pour quelqu’un de timide, il est aventurier. Il a de cela commun avec tant d’autre inspecté, fouiller et trifouiller. Pourtant les filles ne sont pas des sacs…
Elle tente de ne plus penser, ce qui pour une fille comme elle est un effort considérable. Il essaye la brusquerie se rend compte de sa maladresse revient à la douceur, se décide finalement à jouer. Elle fait preuve de patience, se concentre sur les sensations, y met vraiment du sien, malgré les cafouillages du début, cela commence à aller.. passablement. Oui elle est difficile, oui elle est distante, mais elle n’y peut rien.
Elle sent bien pourtant, le constate, que le jeune homme fait de son mieux, alors.. que faire ? Simuler, c’est mentir et tricher. Quel mal y’a-t-il a mentir à une personne que tu ne verra plus ? Mentir à d’autre, c’est se tromper soit même. Elle ne fera pas semblant. Elle le laissera continuer durant le temps qui suit. Il abandonnera, la priant de l’excuser…
Il n’y a rien à excuser.
Il lui demande si ils vont se revoir.
Elle lui sourit, et lui dit
-Il ne vaut mieux pas. Tu as besoin d’une amoureuse et non pas d’une amante. Je ne corresponds pas à tes besoins.
Cela est vrai, ils n’ont rien à faire ensemble ces deux là. Il la regarde confus, elle lui carresse l’épaule :
-Tu m’en veux de te dire cela ? Tu aurais préférer que je mentes ?
-Non je te remercies.. c’est juste que je n’ai pas l’habitude
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Re: (bdsm) Amazone lubrique
J'ai tout lu aussi, et je retrouve ton style avec grand plaisir.
Mon cocktail BDSM : Dom avec un zeste de switch
Re: (bdsm) Amazone lubrique
je t ai lu aussi harwey. et je n'arrive toujours pas à croire qu'un homme puisse écrire avec tant d'âme et croit moi de ma part, c'est un complimentharwey a écrit :J'ai tout lu aussi, et je retrouve ton style avec grand plaisir.
Re: (bdsm) Amazone lubrique
Dehors il fait frais, elle respire une grande bouffée puis expire comme pour se débarrassé de tout. Soit ils n'ont pas d'intérêt pour son être soit c'est elle qui n'arrive pas à leur porter intérêt elle se presse le dernier bus est dans bientôt. Elle lui a donner plusieurs heures, elle ne verra plus. Elle ne sait même pas si aucun des deux a ,fut ce une seconde, pris conscience de ce don qu'elle faisait d'elle.
Elle rallume son portable voit le message de Jules la nouvelle colocataire. C'était pas prévu ça non plus, comme si sa vie n'était pas déjà un combat, non, elle a décide de pimenté le combat. C'est ainsi elle est fait comme cela, on l'a élevé ainsi.
Un souvenir fugace la transperce. Son père tout squelettique, il lui reste de belles bouclettes noir jais, il hallucine à cause de la morphine, il lui serre fort la main, aussi fort qu'il le peut, en elle, elle le sait bien, ce n'est plus qu'une questions de quelques jours, elle veut y croire pourtant alors elle lui tient la main le plus doucement possible et tends l'oreille au murmure de cet homme qui depuis sa conception n'a jamais douté d'elle une seule seconde.
"On ne laisse pas les hommes à terre, il faut aller le récupérer, si vous ne le faites pas, j'irais, vous m'entendez j'irais. " Il ne sait plus qu'il s'adresse à sa fille. Est ce un fragment de sa mémoire, ou de celle de son propre père?
Alors non, on ne laisse pas quelqu'un complétement perdu, désemparée, pleurant chaque seconde d’éveil.
-Bon écoute Jules si tu vas si mal que ça arrête. Arrête et vient chez moi, tu y restera le temps qu'il faut, premièrement pour te concentrer sur ta santé, deuxièmement loin de l'appart qui te fait penser à celui qui t'a planté.
-Dit Ash tu crois qu'il reviendra?
-Jules. Tu veux que je dises? Même si en cas de fin du monde il revenait, je t'empêcherai de le retrouver.
-T'es méchante.
-Non, Jules.
Bon du coup te voilà avec une jules sur les bras. C'est pas la meilleur idée que tu as eu. Bon, de toute façon, t'as toujours eut l'âme d'une roméo.
Elle ouvre le sms:
coucou, j'espère que t'es vivante.
.. Elle lui répond qu'elle est sur le chemin du retour, et ré-éteins le portable.
Éteindre le portable ca lui évite de farfouiller dans les messages, ça vous évite d appeler idiotement quelqu'un à qui vous ne devez plus parler mais dont vous garder le numéro, pour le reconnaitre si jamais il décidait de se souvenir de vous. Éteindre le portable ca vous évite plein de choses.
Arrivée près de sa rue, elle traîne encore dans les rues, là ou elle habite il n'y a pas vraiment de danger à prendre son temps pour marché. Elle rentre chez un chez elle qui déjà ne l'est plus vraiment.
Elle qui aime les histoires de vampire ce n'est peut être pas sans raison...
Elle se trouve plantée devant sa propre porte, fume, une cigarette admirant le ciel vide vaste et vierge. Elle finira par retrouver sa claudia.
Colonel Jules demande le rapport de l’adjudant revenu de mission.
- Alors c'etait comment, il était bien, tu t'es amuser??????
Elle... est ... fatiguée et résume:
- Je n'y retournerai pas.
Colonel Jules ne l'entends pas de cette oreille:
-C'est tout? Vous avez rien fait je pari, pourtant tu t'etais faite jolie.
-Tu insinue, que tu ne me pense pas capable de conclure?
-Ben non.. mais euh c'est toi.
-Jules, je suis fatiguée.
Passer la porte de la chambre, quand enfin elle se retrouve seule dans son lit. Juste avant de s'endormir, elle ressent en elle, comme un immense silence interieur et étrangement, ça lui fait un grand bien.
Elle rallume son portable voit le message de Jules la nouvelle colocataire. C'était pas prévu ça non plus, comme si sa vie n'était pas déjà un combat, non, elle a décide de pimenté le combat. C'est ainsi elle est fait comme cela, on l'a élevé ainsi.
Un souvenir fugace la transperce. Son père tout squelettique, il lui reste de belles bouclettes noir jais, il hallucine à cause de la morphine, il lui serre fort la main, aussi fort qu'il le peut, en elle, elle le sait bien, ce n'est plus qu'une questions de quelques jours, elle veut y croire pourtant alors elle lui tient la main le plus doucement possible et tends l'oreille au murmure de cet homme qui depuis sa conception n'a jamais douté d'elle une seule seconde.
"On ne laisse pas les hommes à terre, il faut aller le récupérer, si vous ne le faites pas, j'irais, vous m'entendez j'irais. " Il ne sait plus qu'il s'adresse à sa fille. Est ce un fragment de sa mémoire, ou de celle de son propre père?
Alors non, on ne laisse pas quelqu'un complétement perdu, désemparée, pleurant chaque seconde d’éveil.
-Bon écoute Jules si tu vas si mal que ça arrête. Arrête et vient chez moi, tu y restera le temps qu'il faut, premièrement pour te concentrer sur ta santé, deuxièmement loin de l'appart qui te fait penser à celui qui t'a planté.
-Dit Ash tu crois qu'il reviendra?
-Jules. Tu veux que je dises? Même si en cas de fin du monde il revenait, je t'empêcherai de le retrouver.
-T'es méchante.
-Non, Jules.
Bon du coup te voilà avec une jules sur les bras. C'est pas la meilleur idée que tu as eu. Bon, de toute façon, t'as toujours eut l'âme d'une roméo.
Elle ouvre le sms:
coucou, j'espère que t'es vivante.
.. Elle lui répond qu'elle est sur le chemin du retour, et ré-éteins le portable.
Éteindre le portable ca lui évite de farfouiller dans les messages, ça vous évite d appeler idiotement quelqu'un à qui vous ne devez plus parler mais dont vous garder le numéro, pour le reconnaitre si jamais il décidait de se souvenir de vous. Éteindre le portable ca vous évite plein de choses.
Arrivée près de sa rue, elle traîne encore dans les rues, là ou elle habite il n'y a pas vraiment de danger à prendre son temps pour marché. Elle rentre chez un chez elle qui déjà ne l'est plus vraiment.
Elle qui aime les histoires de vampire ce n'est peut être pas sans raison...
Elle se trouve plantée devant sa propre porte, fume, une cigarette admirant le ciel vide vaste et vierge. Elle finira par retrouver sa claudia.
Colonel Jules demande le rapport de l’adjudant revenu de mission.
- Alors c'etait comment, il était bien, tu t'es amuser??????
Elle... est ... fatiguée et résume:
- Je n'y retournerai pas.
Colonel Jules ne l'entends pas de cette oreille:
-C'est tout? Vous avez rien fait je pari, pourtant tu t'etais faite jolie.
-Tu insinue, que tu ne me pense pas capable de conclure?
-Ben non.. mais euh c'est toi.
-Jules, je suis fatiguée.
Passer la porte de la chambre, quand enfin elle se retrouve seule dans son lit. Juste avant de s'endormir, elle ressent en elle, comme un immense silence interieur et étrangement, ça lui fait un grand bien.
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Re: (bdsm) Amazone lubrique
Je suis sous le coup de ton commentaire et je t'en remercie.Ashanee/Chance a écrit :
je t ai lu aussi harwey. et je n'arrive toujours pas à croire qu'un homme puisse écrire avec tant d'âme et croit moi de ma part, c'est un compliment
Mon BDSM n'existe que par ce qu'elle désire y vivre.
Cette âme m'est indispensable pour que je puisse lui demander beaucoup, parce que ...
... pas assez, elle va s'ennuyer
... trop, elle va s'en aller
Mon cocktail BDSM : Dom avec un zeste de switch
Re: (bdsm) Amazone lubrique
je ne te lis pas que depuis aujourd hui, on s'est croisé souvent. tu as toujours quelque chose derrière tes texte une sorte de douceur semblalble au mielharwey a écrit : Je suis sous le coup de ton commentaire et je t'en remercie.
Mon BDSM n'existe que par ce qu'elle désire y vivre.
Cette âme m'est indispensable pour que je puisse lui demander beaucoup, parce que ...
... pas assez, elle va s'ennuyer
... trop, elle va s'en aller
je ne sais pas trop si on me comprends
enfin bref. oui effectiveent, ne pas ni trop ni trop peu. Mais ça ce n'est pas que dans le bdsm ni que dans le sexe, c'est dans tout. y'en a qui sont meilleur equilibriste que d auter
Re: (bdsm) Amazone lubrique
Depuis des mois elle fait le même rêve ou du moins, des rêves dont les bases, les conditions, sont similaires, elle a lu dans un livre d'interpretation des rêves que c'était un message de son subconscient pour lui dire qu'elle était trop narcissique/egocentrique
Alors, non seulement elle le fait ce rêve mais en plus depuis.. elle s'en veut
Nous n'avons pas de pouvoir sur nos rêves...
Enfin, elle sait bien que mangé léger, s'endormir sans rancune ni colère, dormir dans du linge qui vous rappelle votre enfance ( expemple le linge qui sent la lavande, puisque dans la maison d'enfance on mettait des branches de lavande dans l'armoire contre les mittes) contribu à un meilleur sommeil, de même que dormir avec un oreiller sous le matela au niveau des pieds pour amélioré la circulation sanguine vous évites de vous réveiller, le corp plein de crampes.
Certains.. peuvent commence à bâtir le départ de leur rêve.
Mais au fond... lorsque le sommeil est bel et bien sur nous.. sommes nous responsable des rêves?
Pour eviter de faire le même songe, elle respire, carresse son chat, enfonce sa tête sur le coter de l'oreiller et laisse la fenête entrouverte. Elle s'endort sans penser à rien.
Et pourtant le même songe revient. Songe, sombre, inquietant, duquel elle se reveille comme excitée pour culpabilisée juste apres d'avoir fait encore une fois le même songe.
Pourtant... Pourtant ça commence toujours par une scene de son quotidien..
Elle est chez elle, tout est calme, dehors un beau ciel bleu, un soleil pâle, un léger vent souffle sur les branches d'un ceririsié en fleur. Elle est entrain de faire la vaisselle, une musique passe en fond à peine audible. Elle boit un thé.. lit un livre. Se sent sereine.
La nuit tombe brusquement, un peu de la manière dont un violent orage éclate. Elle se couche, s'endort...
Lorsqu'elle se réveille. Elle n'est plus chez elle. Son coeur bat à tout rompre tout son corp lui dit atention danger. Elle tâte autour d'elle c'est de la poussière, elle dort sur du foin, tout sa peau la démange. Il fait sombre, tout est silencieux. Aux aguets elle ne sort aucun cri. Dans les films d'horreur on lui a apprit ça ne jamais crier. Ca sent l'humidité. Juste à sa gauche, le mur.. un mur à l'ancienne, fait de pierre. Il fait fraid . Concretement ça ressemble vachement à une cave cette pièce. Toujous silencieuse, elle n'arrive pas à comprendre comment elle a put passer de son lit tout juste fait avec des draps qui sent la lavande, à un lieu qui sent rien qu'a l odeur, le lugubre, le sinistre, le danger...
Alors, non seulement elle le fait ce rêve mais en plus depuis.. elle s'en veut
Nous n'avons pas de pouvoir sur nos rêves...
Enfin, elle sait bien que mangé léger, s'endormir sans rancune ni colère, dormir dans du linge qui vous rappelle votre enfance ( expemple le linge qui sent la lavande, puisque dans la maison d'enfance on mettait des branches de lavande dans l'armoire contre les mittes) contribu à un meilleur sommeil, de même que dormir avec un oreiller sous le matela au niveau des pieds pour amélioré la circulation sanguine vous évites de vous réveiller, le corp plein de crampes.
Certains.. peuvent commence à bâtir le départ de leur rêve.
Mais au fond... lorsque le sommeil est bel et bien sur nous.. sommes nous responsable des rêves?
Pour eviter de faire le même songe, elle respire, carresse son chat, enfonce sa tête sur le coter de l'oreiller et laisse la fenête entrouverte. Elle s'endort sans penser à rien.
Et pourtant le même songe revient. Songe, sombre, inquietant, duquel elle se reveille comme excitée pour culpabilisée juste apres d'avoir fait encore une fois le même songe.
Pourtant... Pourtant ça commence toujours par une scene de son quotidien..
Elle est chez elle, tout est calme, dehors un beau ciel bleu, un soleil pâle, un léger vent souffle sur les branches d'un ceririsié en fleur. Elle est entrain de faire la vaisselle, une musique passe en fond à peine audible. Elle boit un thé.. lit un livre. Se sent sereine.
La nuit tombe brusquement, un peu de la manière dont un violent orage éclate. Elle se couche, s'endort...
Lorsqu'elle se réveille. Elle n'est plus chez elle. Son coeur bat à tout rompre tout son corp lui dit atention danger. Elle tâte autour d'elle c'est de la poussière, elle dort sur du foin, tout sa peau la démange. Il fait sombre, tout est silencieux. Aux aguets elle ne sort aucun cri. Dans les films d'horreur on lui a apprit ça ne jamais crier. Ca sent l'humidité. Juste à sa gauche, le mur.. un mur à l'ancienne, fait de pierre. Il fait fraid . Concretement ça ressemble vachement à une cave cette pièce. Toujous silencieuse, elle n'arrive pas à comprendre comment elle a put passer de son lit tout juste fait avec des draps qui sent la lavande, à un lieu qui sent rien qu'a l odeur, le lugubre, le sinistre, le danger...
Re: (bdsm) Amazone lubrique
... et l'humidité. Elle a froid en serrant ses bras contre elle, elle entends et sent qu'elle est entravée, trop occupée à définir l'endroit, ou la situation, elle n'a pas réfléchi à son corps. Ses poignets, ses cheville, des chaînes la liant au mur. Elle sent la panique arrivé, la panique qu'elle avait jusque la contenu dans son ventre, monte à toute allure, jusqu'à la prendre à la gorge.. elle amène les mains à son cou, un collier.. du cuir, elle déteste, rien d'autre qu'un anneau au devant, comment as t on pu le lui mettre, il est tout juste à la bonne largeur. Elle n'arrive plus a respirée, elle se rétracte sur elle même, est prise d'une quinte de toux. Elle s’étouffe. Des remontées acide la brûle. Elle panique.
Re: (bdsm) Amazone lubrique
elle va se noyer en elle si elle persiste, avec le peu de force qui lui reste elle se redresse, pose son dos contre le mur déplis ses jambe du plus qu'elle le peut, elle crache... elle sert fort ses mains l'une dans l'autre et se rappelle de la chanson qu'on lui chantait étant enfant..
'Maria luisa, maria luisa, maria luisa mon amour, sur la terre tout s'eclaire je t'espere depuis toujours, je t'adore, je t implore plus encore chaque jour.. maria luisa... maria luisa.. maria luisa mon amour"
elle respire encore trop vite et trop fort, et trop irrégulièrement
"quand en passant par hasard j'ai croise ton regard mystérieux j'ai vu comme dans un miroir, éclairer ton regard, sous le ciel bleu, puis ton sourire enchanteur a cerner ton mon coeur, depuis ce beau soir là, ah l'amour est en moi"
La panique perd du terrain, penser a autre chose penser à autre chose. Luis Mariano, ou Tino Rossi?
Une porte s'ouvre brusquement, elle ne la voit pas, ne voit pas de lumière, mais entends, elle connait le bruit que le bois fait. le bois d'une vieille porte attaquée par l humidité. Le bruit de pas, un pas net, lourd, lent. Quelqu'un descend des escalier, toujours au bruit, sans lumière.. c'est des escalier en pierre, c'est plus aigu que le bruit de pas sur des marche en bois et moins que des marches en carrelages. Si cela avait été du lino il n'y aurait presque pas eut de bruit.
On allume la lumière, au plafond des néons si fort qu'ils vous brûlerait vos iris. Elle est instant aveuglée se pare derrière son avant bras. Reste pourtant a l'affût, les pas se rapproches , lentement, sûrement, ca ressemble à des talons plats. A cause d un grincemment, d'une chaise trainant sur le sol elle met ses mains devant les yeux. Le sol n'est pas entièrement couvert de terre, si la chaise grince sur le sol c'est parceque le sol doit etre en pierre...
'Maria luisa, maria luisa, maria luisa mon amour, sur la terre tout s'eclaire je t'espere depuis toujours, je t'adore, je t implore plus encore chaque jour.. maria luisa... maria luisa.. maria luisa mon amour"
elle respire encore trop vite et trop fort, et trop irrégulièrement
"quand en passant par hasard j'ai croise ton regard mystérieux j'ai vu comme dans un miroir, éclairer ton regard, sous le ciel bleu, puis ton sourire enchanteur a cerner ton mon coeur, depuis ce beau soir là, ah l'amour est en moi"
La panique perd du terrain, penser a autre chose penser à autre chose. Luis Mariano, ou Tino Rossi?
Une porte s'ouvre brusquement, elle ne la voit pas, ne voit pas de lumière, mais entends, elle connait le bruit que le bois fait. le bois d'une vieille porte attaquée par l humidité. Le bruit de pas, un pas net, lourd, lent. Quelqu'un descend des escalier, toujours au bruit, sans lumière.. c'est des escalier en pierre, c'est plus aigu que le bruit de pas sur des marche en bois et moins que des marches en carrelages. Si cela avait été du lino il n'y aurait presque pas eut de bruit.
On allume la lumière, au plafond des néons si fort qu'ils vous brûlerait vos iris. Elle est instant aveuglée se pare derrière son avant bras. Reste pourtant a l'affût, les pas se rapproches , lentement, sûrement, ca ressemble à des talons plats. A cause d un grincemment, d'une chaise trainant sur le sol elle met ses mains devant les yeux. Le sol n'est pas entièrement couvert de terre, si la chaise grince sur le sol c'est parceque le sol doit etre en pierre...
Re: (bdsm) Amazone lubrique
s en suit… de douloureux et long très long moment.. le temps passe péniblement, au point, de ne faire d elle plus qu’une sorte d errante.
C est un rêve, elle fait le même à chaque fois, elle sait que ce n’est qu’un rêve et pourtant, à chacun de ses réveils elle est comme choquée, vidée..
Il y a des moments de noir. Les rêves ne sont que des suites d images projetés, auquel on cherche un sens et une logique au réveil.
Passons…
Quand elle se réveille le matin, elle s assied au bord du lit, observe silencieuse le blanc de ses murs et n aspire qu’à une seule chose, du silence.
Sauf que bon du silence, elle est mal partie pour en avoir..puisqu’ à présent elle ne vit plus seule et que tornade Jules est déjà éveillée, a déjà allumer la télé, et vit comme si elle était seule.
Pourquoi donc as-tu eu besoin viscéralement de l’accueillir chez toi bon sang ?
On ne laisse jamais personne à terre.
C est un rêve, elle fait le même à chaque fois, elle sait que ce n’est qu’un rêve et pourtant, à chacun de ses réveils elle est comme choquée, vidée..
Il y a des moments de noir. Les rêves ne sont que des suites d images projetés, auquel on cherche un sens et une logique au réveil.
Passons…
Quand elle se réveille le matin, elle s assied au bord du lit, observe silencieuse le blanc de ses murs et n aspire qu’à une seule chose, du silence.
Sauf que bon du silence, elle est mal partie pour en avoir..puisqu’ à présent elle ne vit plus seule et que tornade Jules est déjà éveillée, a déjà allumer la télé, et vit comme si elle était seule.
Pourquoi donc as-tu eu besoin viscéralement de l’accueillir chez toi bon sang ?
On ne laisse jamais personne à terre.
Re: (bdsm) Amazone lubrique
L oiseau Femme
l amazone est différente de l oiseau femme... alors que l'amazone prends chaque corps pour se repaitre et digérer du corps précédant, l oiseau femme elle cherche désespérément n importe quel réceptacle pour retrouver son inséparable. L oiseau femme a beau tente sans cesse de s eloigner de lui de l autre, elle revient inlassablement. Vers lui, sa destination, sa cage. Comment la faire voler, comment lui rendre ses ailes, comment faire en sorte, qu'elle s'en sorte..
Elle a beau être tour a tour et à la fois... moineau frileux, aigle orgueilleux, pie curieuse, perroquet farceur, ou rouge gorge pour vous aider à traverser l hiver.. Elle reste atrocement l inséparable séparée...
Comment? Comment l amazone peut elle aider l oiseau femme? L amazone refuse toute forme d union monogame, l inseparable ne vit que pour l etre unique. L amazone a fait des hommes.... des passants, des restaurants, des gares...
Amazone qu'as tu le droit de faire? Tu ne peux décider pour elle...
l amazone est différente de l oiseau femme... alors que l'amazone prends chaque corps pour se repaitre et digérer du corps précédant, l oiseau femme elle cherche désespérément n importe quel réceptacle pour retrouver son inséparable. L oiseau femme a beau tente sans cesse de s eloigner de lui de l autre, elle revient inlassablement. Vers lui, sa destination, sa cage. Comment la faire voler, comment lui rendre ses ailes, comment faire en sorte, qu'elle s'en sorte..
Elle a beau être tour a tour et à la fois... moineau frileux, aigle orgueilleux, pie curieuse, perroquet farceur, ou rouge gorge pour vous aider à traverser l hiver.. Elle reste atrocement l inséparable séparée...
Comment? Comment l amazone peut elle aider l oiseau femme? L amazone refuse toute forme d union monogame, l inseparable ne vit que pour l etre unique. L amazone a fait des hommes.... des passants, des restaurants, des gares...
Amazone qu'as tu le droit de faire? Tu ne peux décider pour elle...
Re: (bdsm) Amazone lubrique
Oui mais nous ne laissons personne à terre ni en cage. Depuis toute petite elle nourrit les herissons avec du lait durant la période d hiver, elle donne le biberon aux lapins abandonnés par leur mères, elle recueille les oiseaux et les remets en condition..
Depuis toute petite, elle prends les autres dans le vaste espace entre ses bras et les serres tres fort.. pour combler leur vide…elle ramenait à la maison son père après les tournée des bars, et donnait de la soupe à sa maman quand elle était malade.
Tout bébé déjà, elle serrait fort vos doigts comme pour vous dire silencieusement je suis là…
Alors non l amazone ne baissera pas les bras, elle ne tournera pas le dos, elle ne cédera pas à l indifférence.
Comme Bécaud, comme Goldman, tout mais pas l indifférence.
Alors, quand elle t’appelle, cette femme oiseau, cet animal sauvage, à bout de souffle au bord des larmes, perdu loin paniquée … Elle ne peut réagir que d’une manière. Ne bouge pas.. j arrive
Enfin bon c est vite dit moins vite fait. Faire garder l appartement.. Trouver un billet de train, trouver de quoi l acheter aussi ce serait une bonne idée. Et puis elle y va c’est bien mais pour combien de temps et quoi faire. L oiseau la rappelle, nan je t’assure te déplace pas juste pour ça
Comment ça Juste pour ça ?
-Ecoute il est hors de question que je te laisse dans cet état. Tu m’entends ? Je te connais tu vas faire semblant de ne rien entendre, mais cette fois tu m’écoute. Hors de question que je te laisse, trouve toi un endroit à l abri, un ami, une connaissance de la famille. Prends une douche mange, fume, et le temps de faire tout cela je te retrouverai. Ou que tu sois. Je te retrouve. Fin de la discussion.
Voilà donc comment l amazone est parti voler au secours de la femme oiseau … Enfin au moins essayer.
Elle réussit à trouver un train et à être à l heure, le voisin s occupera de l appartement quelque soit la durée du voyage. Elle arrive à la première gare en début de soirée, guidée par son instinct, elle réussit même à trouver l itinéraire, le rer qui l amène là bas.
Plus elle s approche de sa destination et plus le ciel s obscurcit, allant presque à l avis de tempête… Le destin qui refait signe, l amazone n a peur de rien, elle avisera. Tout ira bien.
N as-tu pas peur amazone. Face à un geste et une attitude aussi inattendu que violente ? Non elle n’a pas peur, parcequ elle sait au font d elle, qu il n agira pas ainsi face à elle. Elle qui n’est tout au plus qu’une sorte de traversé pour arrivée, revenir, atterir aupres de son inséparable.
Si il a agit de la sorte, c’était dans l espoir vain, qu’elle ne reviendrait plus jamais. A cause perdu, acte perdu. Pourtant lui, l’aime, elle est pour lui aussi importante que l’air qu’il respire
(dont forget to breath alexi Murdoch)
Elle est sont air, c’est pour cela qu’il l’étouffe, tu t’entends un peu ? Ce genre d acte est impardonnable, indefendable.
L amazone n’est ni juge, ni dieu, ni rien. Elle n’a pas de droit ni d impact sur la décision de chacun.
La nuit est tombée, il pleut de fine gouttes. Ils se retrouvent tout trois dans une carrière déserte et éloignée, il pourrait arrivé n importe quoi, pourtant l amazone sait qu’elle ne craint rien. Elle a déjà reussit… à les réunir dans le même endroit. Ils sont tout trois habrité dans la voiture. Elle commence le dialogue
-Bon.. Je crois que là.. c’est le moment décisif…
Le dialogue d un inséparable à un autre se fait à travers elle. Comment installer un dialogue entre un sourd et une muette ?
Long est son combat, pour que l’un et l’autre puisse entendre, ressentir et comprendre leur autre. Quand le ton monte, elle lève la main. Elle essaye tant bien que mal de rester neutre, mais elle ne l’est pas si elle l’était vraiment elle ne serait pas là n’est ce pas ?
Minuit… une heure… deux heures…
Elle reste la, et las, impuissante. Elle s’impatiente :
-Mais qu’est ce qu’il y a dans vos têtes bon sang ? Toi tu l’aime et tu la frappe, elle.. elle t aime et elle s’enterre.. Ca vous a pas suffit 8 ans de separations ? Faut il a ce point que vous soyez stupide tout les deux ? Mais bon sang, quand on s aime, on se soutient, on s’écoute, on se parle, on communique… Votre shéma c’est quoi ? Hein ? Entre le premier qui parle tellement qu’on s endort a force de l ecouter et la deuxieme qui se terre ? Vous vous aimez ? Mais non, hein c est plus fort que vous il vous faut aller a l affrontement au surrenchère à la décadance. Vous vous rendez compte quand meme ? Je suis là, dans une voiture en pleine nuit.. Dans une carrière jolie certe mais dans laquelle je n’aurais jamais du atterrir. L orgeuil ne convient pas aux amours. Sachez le. Quand on aime on le fait avec son ame et son cœur, certainement pas avec son orgeuil. Vous m’epuisez.
Un court silence, puis chacun rejette la faute sur l autre. Oui mais c est pas ma faut elle … ah mais non c est pas ma faute c’est sa faute à lui…
-Il est quattre heure du matin. Quattre heure. On a même pas lancer le sujet de la violence. Vous pensez vraiment que je cherche qui c’est qui a commencer le premier ? Si vous n etes pas capable de changer de schéma. Alors va falloir penser à la rupture bête, implacable et définitive.
Un long silence…
La femme oiseau veut partir, l homme inséparable s interpose trop dangereux de conduire dans cet état.
Pourtant c est lui qui au matin la jetée dehors à moitier nu juste apres l’avoir étranglée..
Ils finiront dans un appartement, l homme dans sa chambre, l oiseau allonger contre le mur de cette meme chambre et l amazone sur l autre canapé. Même apres toutes ces tempetes elle le voit, le sens le sait, le seul désir qu’ils éprouvent ces deux là est de dormir l un contre l autre..
Tu es venu pour rien guerrière, tu ne peux les changer, les raisonner, les rassemblés ni les divisés. Devant cette évidence, cette impuissance. Que ressens tu ?
Comme le monde qui s’écroule sur ses épaules, comme un trou noir qui vient tout prendre sauf son âme qui ne demande elle… qu’a disparaitre…
Depuis toute petite, elle prends les autres dans le vaste espace entre ses bras et les serres tres fort.. pour combler leur vide…elle ramenait à la maison son père après les tournée des bars, et donnait de la soupe à sa maman quand elle était malade.
Tout bébé déjà, elle serrait fort vos doigts comme pour vous dire silencieusement je suis là…
Alors non l amazone ne baissera pas les bras, elle ne tournera pas le dos, elle ne cédera pas à l indifférence.
Comme Bécaud, comme Goldman, tout mais pas l indifférence.
Alors, quand elle t’appelle, cette femme oiseau, cet animal sauvage, à bout de souffle au bord des larmes, perdu loin paniquée … Elle ne peut réagir que d’une manière. Ne bouge pas.. j arrive
Enfin bon c est vite dit moins vite fait. Faire garder l appartement.. Trouver un billet de train, trouver de quoi l acheter aussi ce serait une bonne idée. Et puis elle y va c’est bien mais pour combien de temps et quoi faire. L oiseau la rappelle, nan je t’assure te déplace pas juste pour ça
Comment ça Juste pour ça ?
-Ecoute il est hors de question que je te laisse dans cet état. Tu m’entends ? Je te connais tu vas faire semblant de ne rien entendre, mais cette fois tu m’écoute. Hors de question que je te laisse, trouve toi un endroit à l abri, un ami, une connaissance de la famille. Prends une douche mange, fume, et le temps de faire tout cela je te retrouverai. Ou que tu sois. Je te retrouve. Fin de la discussion.
Voilà donc comment l amazone est parti voler au secours de la femme oiseau … Enfin au moins essayer.
Elle réussit à trouver un train et à être à l heure, le voisin s occupera de l appartement quelque soit la durée du voyage. Elle arrive à la première gare en début de soirée, guidée par son instinct, elle réussit même à trouver l itinéraire, le rer qui l amène là bas.
Plus elle s approche de sa destination et plus le ciel s obscurcit, allant presque à l avis de tempête… Le destin qui refait signe, l amazone n a peur de rien, elle avisera. Tout ira bien.
N as-tu pas peur amazone. Face à un geste et une attitude aussi inattendu que violente ? Non elle n’a pas peur, parcequ elle sait au font d elle, qu il n agira pas ainsi face à elle. Elle qui n’est tout au plus qu’une sorte de traversé pour arrivée, revenir, atterir aupres de son inséparable.
Si il a agit de la sorte, c’était dans l espoir vain, qu’elle ne reviendrait plus jamais. A cause perdu, acte perdu. Pourtant lui, l’aime, elle est pour lui aussi importante que l’air qu’il respire
(dont forget to breath alexi Murdoch)
Elle est sont air, c’est pour cela qu’il l’étouffe, tu t’entends un peu ? Ce genre d acte est impardonnable, indefendable.
L amazone n’est ni juge, ni dieu, ni rien. Elle n’a pas de droit ni d impact sur la décision de chacun.
La nuit est tombée, il pleut de fine gouttes. Ils se retrouvent tout trois dans une carrière déserte et éloignée, il pourrait arrivé n importe quoi, pourtant l amazone sait qu’elle ne craint rien. Elle a déjà reussit… à les réunir dans le même endroit. Ils sont tout trois habrité dans la voiture. Elle commence le dialogue
-Bon.. Je crois que là.. c’est le moment décisif…
Le dialogue d un inséparable à un autre se fait à travers elle. Comment installer un dialogue entre un sourd et une muette ?
Long est son combat, pour que l’un et l’autre puisse entendre, ressentir et comprendre leur autre. Quand le ton monte, elle lève la main. Elle essaye tant bien que mal de rester neutre, mais elle ne l’est pas si elle l’était vraiment elle ne serait pas là n’est ce pas ?
Minuit… une heure… deux heures…
Elle reste la, et las, impuissante. Elle s’impatiente :
-Mais qu’est ce qu’il y a dans vos têtes bon sang ? Toi tu l’aime et tu la frappe, elle.. elle t aime et elle s’enterre.. Ca vous a pas suffit 8 ans de separations ? Faut il a ce point que vous soyez stupide tout les deux ? Mais bon sang, quand on s aime, on se soutient, on s’écoute, on se parle, on communique… Votre shéma c’est quoi ? Hein ? Entre le premier qui parle tellement qu’on s endort a force de l ecouter et la deuxieme qui se terre ? Vous vous aimez ? Mais non, hein c est plus fort que vous il vous faut aller a l affrontement au surrenchère à la décadance. Vous vous rendez compte quand meme ? Je suis là, dans une voiture en pleine nuit.. Dans une carrière jolie certe mais dans laquelle je n’aurais jamais du atterrir. L orgeuil ne convient pas aux amours. Sachez le. Quand on aime on le fait avec son ame et son cœur, certainement pas avec son orgeuil. Vous m’epuisez.
Un court silence, puis chacun rejette la faute sur l autre. Oui mais c est pas ma faut elle … ah mais non c est pas ma faute c’est sa faute à lui…
-Il est quattre heure du matin. Quattre heure. On a même pas lancer le sujet de la violence. Vous pensez vraiment que je cherche qui c’est qui a commencer le premier ? Si vous n etes pas capable de changer de schéma. Alors va falloir penser à la rupture bête, implacable et définitive.
Un long silence…
La femme oiseau veut partir, l homme inséparable s interpose trop dangereux de conduire dans cet état.
Pourtant c est lui qui au matin la jetée dehors à moitier nu juste apres l’avoir étranglée..
Ils finiront dans un appartement, l homme dans sa chambre, l oiseau allonger contre le mur de cette meme chambre et l amazone sur l autre canapé. Même apres toutes ces tempetes elle le voit, le sens le sait, le seul désir qu’ils éprouvent ces deux là est de dormir l un contre l autre..
Tu es venu pour rien guerrière, tu ne peux les changer, les raisonner, les rassemblés ni les divisés. Devant cette évidence, cette impuissance. Que ressens tu ?
Comme le monde qui s’écroule sur ses épaules, comme un trou noir qui vient tout prendre sauf son âme qui ne demande elle… qu’a disparaitre…
Re: (bdsm) Amazone lubrique
L homme lapin
Quand elle part à la chasse, elle n’a pas de cible prédéfinie. C est là tout l art de la chasse, aller, a l assaut, sans trop savoir quelles prises nous prendront. Y aller surtout, pour le plaisir de la traque, et non pas l absolu nécessité de faire mouche. La chasse bien que très mal perçu peut être considérer comme une philosophie. Adviendra ce qu’il pourra..
Elle a rendez vous, ils ont convenu entre eux, il viendrait la chercher, l’amènerait chez lui, ils partageraient un thé voir plus si affinité. Il a déjà gagné des point comparer aux proies faciles, il ne demande pas de photo, parle littérature, s’exprime clairement, fait preuve d une grande humilité. Bref il se démarque, elle y va.
Il arrive à l heure, elle monte dans la voiture, ça sent le tabac, et l’aspect général de l intérieur lui fait se dire qu’il passe beaucoup d heures dans son utilitaire et qu’il a foncièrement un esprit libre. Physiquement, il est plutôt élancé, a de très (mais alors très ..très) long cheveux fins. Style décontracté pantalon, t -shirt imprimé, en soit, dans sa tenue quotidienne, il ne paraît pas tres porte sur l’apparat. Et CA.. ca lui plaît vraiment.
Il habite à 45 minutes de sa ville. Encore une fois, d’autres vous dirait.. mais quel danger. Elle n’y songe pas. Concentrée sur la musique, du rock. IL a mit le son au minimum, elle lui demande, si c’est une habitude.. Non il a fait cela uniquement pour elle. Elle sourit, augmente le son. Ecoute son cri, tu seras quel animal il cache..
La route touche à sa fin, durant le trajet ils ont plutôt bien rit, parler littérature, donc.. passion. Ce monsieur est un inconditionnel de la danse. Toutes les danses. Salsa.. en prédilection. Ils arrivent..
Maison récente, l’entrée est une grande pièce à vivre dans laquelle se trouve l’escalier, à gauche un salon, à droite la cuisine. Dès son arrivée, il lui tend une chaise, met de la musique, un medley, aux choix plutôt inattendu. Du shakira, des année 90, de la salsa, de la techno, du celte.. de tout. En résumé, cela semble être un homme curieux. Elle reste dubitative quand à sa sexualité, à la manière qu’il a de joliment replacé sa chevelure sur la bonne épaule, il serait peut être possible qu’il soit bi. Mais bon.. son intuition de ce coté là n’est pas très fiable. Il lui sourit, il a un sourire doux mais pas timide, il dégage quelque chose de vraiment apaisant, ou alors c’est tout simplement.. sa fatigue à elle.
L entente est cordiale, une à deux heures se passent, il n’a pas non plus eut la vie tres tres facil. A chacun son lot. Il est attentionné, pense au cendrier, au thé. Il est fou aussi un peu. Puisqu’il va jusqu’à lui proposer de danser avec elle.
-Alors là, franchement je vais te dire ce n’est pas une bonne idée parce que.. je n’ai aucun sens de la coordination, mais bon à tes risques et périls.
Ca le fait bien rire. Et même lorsqu’a après lui avoir montres plusieurs fois les pas de base, il constate qu’effectivement elle n avait pas menti, il garde ce sourire bienveillant. Elle se rassoit, elle est bien mieux a le contempler entrain de danser. Elle plonge dans ses yeux :
-Bon alors dis moi maintenant. Pour quelles raisons m’as-tu fais exactement venir ? Que cherche tu réellement ? Si je pouvais réalisé un de tes souhait lequel serait ce ?
Quand elle part à la chasse, elle n’a pas de cible prédéfinie. C est là tout l art de la chasse, aller, a l assaut, sans trop savoir quelles prises nous prendront. Y aller surtout, pour le plaisir de la traque, et non pas l absolu nécessité de faire mouche. La chasse bien que très mal perçu peut être considérer comme une philosophie. Adviendra ce qu’il pourra..
Elle a rendez vous, ils ont convenu entre eux, il viendrait la chercher, l’amènerait chez lui, ils partageraient un thé voir plus si affinité. Il a déjà gagné des point comparer aux proies faciles, il ne demande pas de photo, parle littérature, s’exprime clairement, fait preuve d une grande humilité. Bref il se démarque, elle y va.
Il arrive à l heure, elle monte dans la voiture, ça sent le tabac, et l’aspect général de l intérieur lui fait se dire qu’il passe beaucoup d heures dans son utilitaire et qu’il a foncièrement un esprit libre. Physiquement, il est plutôt élancé, a de très (mais alors très ..très) long cheveux fins. Style décontracté pantalon, t -shirt imprimé, en soit, dans sa tenue quotidienne, il ne paraît pas tres porte sur l’apparat. Et CA.. ca lui plaît vraiment.
Il habite à 45 minutes de sa ville. Encore une fois, d’autres vous dirait.. mais quel danger. Elle n’y songe pas. Concentrée sur la musique, du rock. IL a mit le son au minimum, elle lui demande, si c’est une habitude.. Non il a fait cela uniquement pour elle. Elle sourit, augmente le son. Ecoute son cri, tu seras quel animal il cache..
La route touche à sa fin, durant le trajet ils ont plutôt bien rit, parler littérature, donc.. passion. Ce monsieur est un inconditionnel de la danse. Toutes les danses. Salsa.. en prédilection. Ils arrivent..
Maison récente, l’entrée est une grande pièce à vivre dans laquelle se trouve l’escalier, à gauche un salon, à droite la cuisine. Dès son arrivée, il lui tend une chaise, met de la musique, un medley, aux choix plutôt inattendu. Du shakira, des année 90, de la salsa, de la techno, du celte.. de tout. En résumé, cela semble être un homme curieux. Elle reste dubitative quand à sa sexualité, à la manière qu’il a de joliment replacé sa chevelure sur la bonne épaule, il serait peut être possible qu’il soit bi. Mais bon.. son intuition de ce coté là n’est pas très fiable. Il lui sourit, il a un sourire doux mais pas timide, il dégage quelque chose de vraiment apaisant, ou alors c’est tout simplement.. sa fatigue à elle.
L entente est cordiale, une à deux heures se passent, il n’a pas non plus eut la vie tres tres facil. A chacun son lot. Il est attentionné, pense au cendrier, au thé. Il est fou aussi un peu. Puisqu’il va jusqu’à lui proposer de danser avec elle.
-Alors là, franchement je vais te dire ce n’est pas une bonne idée parce que.. je n’ai aucun sens de la coordination, mais bon à tes risques et périls.
Ca le fait bien rire. Et même lorsqu’a après lui avoir montres plusieurs fois les pas de base, il constate qu’effectivement elle n avait pas menti, il garde ce sourire bienveillant. Elle se rassoit, elle est bien mieux a le contempler entrain de danser. Elle plonge dans ses yeux :
-Bon alors dis moi maintenant. Pour quelles raisons m’as-tu fais exactement venir ? Que cherche tu réellement ? Si je pouvais réalisé un de tes souhait lequel serait ce ?
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Re: (bdsm) Amazone lubrique
j'adore le rythme dans tes écrits.... ça met en haleine; j'adore !!!!
Parfois on regarde les choses telles qu'elles sont en se demandant pourquoi.
Parfois on les regarde telles qu'elles pourraient être en se disant pourquoi pas.
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Re: (bdsm) Amazone lubrique
J'aime beaucoup, comme d'habitude
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
Re: (bdsm) Amazone lubrique
( merci les gens )
Son visage s’illumine, ses yeux pétillent.
Aller fait lui confiance ..
Il aimerait bien mais n’ose pas encore vraiment. Il faut dire.. qu’il se retrouve face une jeune femme de quelques années de moins que lui, qui ne connait que depuis.. L’avant-veille. Elle lui ressert un thé, allume une chanceuse et puis attaque plus brutalement. Elle lui narre une de ses aventures, histoire qu’il oublie un peu sa méfiance. Il la regarde un peu comme une extra terrestre, ca ne la choque plus, ils sont tous un peu comme cela, à tomber sous la surprise de ce bout de femme puis se décide, il lui demande de patienter le temps qu’il s’absente à l’étage. Elle le suit des yeux, quelle chevelure tout de même..
Le temps de cette absence elle se lave les mains, regarde à la fenêtre, la lumière, elle s’égare un peu dans son esprit, puis revient à elle, change de chaise, pour mieux voir…les escaliers. Que se passe t il donc à cet instant même à l’étage. Quoi qu’il en soit, il va lui falloir rester calme.
A l’intérieur d’elle, c’est un mélange d angoisse et de curiosité. D ordinaire, elle n’est pas tres bonne spectatrice, ce qui a attrait à l’exib n’est pas tout à fait pour elle, mais bon … ne pas oublier le principe de la chasse, tu sais à quelle heure tu pars, tu ne sais pas ce que tu vas trouver.
Et puis.. il fini par arrivé
La démarche gracieuse, elle sourit, pour une surprise c’est sacrément surprenant.
Au niveau de la couleur, c’est sobre, blanc et noir,
Au niveau de la tenue par contre…
Il marche de manière légère se retrouve à quelques centimètres d’elle, tourne sur lui-même
Il s’est transformer, d’un bohème simple, il est passer au lapin, avec les détails, bien sûr, le ponpon blanc et rond a sa place. Le serre tête en oreille de lapin son torse est nu, à sa nuque un col blanc, au poignet, du tissus blanc aussi.
T es parti à la chasse et t’es tomber sur un lapin. Pour une fois, au moins.. On te l’auras pas posé.
Son visage s’illumine, ses yeux pétillent.
Aller fait lui confiance ..
Il aimerait bien mais n’ose pas encore vraiment. Il faut dire.. qu’il se retrouve face une jeune femme de quelques années de moins que lui, qui ne connait que depuis.. L’avant-veille. Elle lui ressert un thé, allume une chanceuse et puis attaque plus brutalement. Elle lui narre une de ses aventures, histoire qu’il oublie un peu sa méfiance. Il la regarde un peu comme une extra terrestre, ca ne la choque plus, ils sont tous un peu comme cela, à tomber sous la surprise de ce bout de femme puis se décide, il lui demande de patienter le temps qu’il s’absente à l’étage. Elle le suit des yeux, quelle chevelure tout de même..
Le temps de cette absence elle se lave les mains, regarde à la fenêtre, la lumière, elle s’égare un peu dans son esprit, puis revient à elle, change de chaise, pour mieux voir…les escaliers. Que se passe t il donc à cet instant même à l’étage. Quoi qu’il en soit, il va lui falloir rester calme.
A l’intérieur d’elle, c’est un mélange d angoisse et de curiosité. D ordinaire, elle n’est pas tres bonne spectatrice, ce qui a attrait à l’exib n’est pas tout à fait pour elle, mais bon … ne pas oublier le principe de la chasse, tu sais à quelle heure tu pars, tu ne sais pas ce que tu vas trouver.
Et puis.. il fini par arrivé
La démarche gracieuse, elle sourit, pour une surprise c’est sacrément surprenant.
Au niveau de la couleur, c’est sobre, blanc et noir,
Au niveau de la tenue par contre…
Il marche de manière légère se retrouve à quelques centimètres d’elle, tourne sur lui-même
Il s’est transformer, d’un bohème simple, il est passer au lapin, avec les détails, bien sûr, le ponpon blanc et rond a sa place. Le serre tête en oreille de lapin son torse est nu, à sa nuque un col blanc, au poignet, du tissus blanc aussi.
T es parti à la chasse et t’es tomber sur un lapin. Pour une fois, au moins.. On te l’auras pas posé.
Re: (bdsm) Amazone lubrique
Sur n importe qui d autres cela aurait sans doute fait ridicule, sur lui non. Elle ne dit rien lui sourit, l observe minutieusement, puisque c’est ça ce qu’il aime, que la femme le regarde, le possède sans pour autant le toucher, c’est sa.. sa patte à lui, l’exib, l offrande esthetique. Il a un tribal le long de ses cotes gauches, il est musclé tout en étant fin, sous le string, en repos, ça déjà l’air d’être un musclor. Mais ce qu’elle trouve beau par-dessus tout, c’est la grâce qu’il a dans tout ce qu’il fait. Le silence ne doit pas être trop long :
-Monsieur, permettez moi de vous dire.. beaucoup de personne n’aurait pas votre charme dans cette tenue. En auriez vous d’autres en stock ?
-Alors tu aimes ?
-Je dirais qu’il ne manque que l’immense gâteau duquel tu apparaitrais. Mais ça c’est mon coté accro à la bouffe. Tu es tres beau.
Il est comme un jeune à noël tout ému que le charme soit passé. Il a un une sorte de tic, il se mords légèrement la lèvre inferieur, elle se lève l’embrasse sur la joue et se rassiet…
-Tu danse en club c’est ça ? Si non, tu devrais, ça te ferai de sacré billet à mettre de coté.
-Je sais je le fais déjà
-Dans ce cas, pourquoi je te sens comme on dirait un peu mal à l aise ? C’est ma faute ?
Il évite la question remonte ses marches.
Oui c est certainement elle, elle et son coté butor, elle et son rire plutôt bruyant. Il doit pas trop avoir l’habitude de tomber sur ce genre de nana. D ailleurs elle ne sait pas elle-même si elle fait parti vraiment d’un genre. Ou alors elle l’a pas encore trouvé.
Il revient à nouveau en string.. Mais cette fois c’est quand même sacrément plus flash. Vert fluo, elle lui sourit :
-Tu danse le disco aussi ?
Il lui fait plusieurs pas. Derrière sa nature plutôt retenue, se cache une énergie et un entrain insoupçonnable.
Alors qu’elle c’est l inverse.. pas vrai ? Derrière sa nature plutôt butor se cache une partie d’elle toute frêle.
C est ainsi, les êtres et leur masques.
S’en suit, 10 autres tenues plus farfelue les unes que les autres, qu’elle jauge de waou. Même avec ses tenue et sa grâce il reste viril.
Rien que ça, c’est pas donner à tout le monde
-Monsieur, permettez moi de vous dire.. beaucoup de personne n’aurait pas votre charme dans cette tenue. En auriez vous d’autres en stock ?
-Alors tu aimes ?
-Je dirais qu’il ne manque que l’immense gâteau duquel tu apparaitrais. Mais ça c’est mon coté accro à la bouffe. Tu es tres beau.
Il est comme un jeune à noël tout ému que le charme soit passé. Il a un une sorte de tic, il se mords légèrement la lèvre inferieur, elle se lève l’embrasse sur la joue et se rassiet…
-Tu danse en club c’est ça ? Si non, tu devrais, ça te ferai de sacré billet à mettre de coté.
-Je sais je le fais déjà
-Dans ce cas, pourquoi je te sens comme on dirait un peu mal à l aise ? C’est ma faute ?
Il évite la question remonte ses marches.
Oui c est certainement elle, elle et son coté butor, elle et son rire plutôt bruyant. Il doit pas trop avoir l’habitude de tomber sur ce genre de nana. D ailleurs elle ne sait pas elle-même si elle fait parti vraiment d’un genre. Ou alors elle l’a pas encore trouvé.
Il revient à nouveau en string.. Mais cette fois c’est quand même sacrément plus flash. Vert fluo, elle lui sourit :
-Tu danse le disco aussi ?
Il lui fait plusieurs pas. Derrière sa nature plutôt retenue, se cache une énergie et un entrain insoupçonnable.
Alors qu’elle c’est l inverse.. pas vrai ? Derrière sa nature plutôt butor se cache une partie d’elle toute frêle.
C est ainsi, les êtres et leur masques.
S’en suit, 10 autres tenues plus farfelue les unes que les autres, qu’elle jauge de waou. Même avec ses tenue et sa grâce il reste viril.
Rien que ça, c’est pas donner à tout le monde
Re: (bdsm) Amazone lubrique
C'est très agréable à lire ma belle, ça me fait voyager, peu importe si je sais déjà, c'est magique !
Re: (bdsm) Amazone lubrique
Après avoir exiber sous ses yeux les tenues les plus farfelues, tout deux se rendent compte que les heures ont passé. Beaucoup plus qu’ils ne l auraient cru. Il s empresse de se rendre à nouveau dans la chambre, pour se rhabiller. Il redescend. Elle l observe, encore, minutieusement, c est quand même particulier. Ca la même tout de même mal à l aise ce genre de situation. Il le sent,
-Parlons tout de même de toi. Quels sont tes jeux à toi ?
-Je ne connais aucune bonne façon de le dire en douceur. Moi, ce que j’apprecie… c’est que l autre ait le pouvoir sur moi. Tu as voulu faire une allusion gentille sur Masoch, et bien me voilà. Sauf que moi, j y connais rien a la philosophie . Je préfère de loin la pratique.
Il la regarde assez stupéfait, mais ne tarde pas à répondre
-C est plutôt drôle, tu vois, parceque je te voyais de l autre coté du manche.
-Ben pas du tout.
Quoi répondre d autre ? Il enchaine
-Ben heureusement que je suis switch alors.
Oh le petit cachotier, oh le vilain vilain vilain garçon, ça fait le prude, le petit lutin danseur, mais en fait, ca maitrise aussi le fouet. Elle lançe une boutade
-Ah ben tient c est drôle ça parceque tout a l heure déguisé en lapin, je ne te projettais pas du tout du tout tu vois ?
Et BIM, tient voilà dans ta tête, elle aime pas les cachotier. Enfin bon comme elle ne fait confiance en aucun homme, forcement elle les considere tous comme cachotier. Ne soyons pas mauvais apres tout.. Ce n’est pas quelque chose que l’on cri sur les toits, bon si elle elle le fait, mais avec elle forcement ca passe….pas vrai ? La ronde extraverti qui te lance j’aime le sm comme elle peut dire tient passe moi les chips.
Il s’est lever, a passer une main sur sa joue, lui remet sa chevelure derrière l oreille,
Oh le vilain petit con, c est qu’il prends le dessus sans même dire un mot. D avec ses mains il l incite silencieusement à se lever de la chaise.
-Je sais aussi bien faire le lapin que toi.. la chienne.
-Parlons tout de même de toi. Quels sont tes jeux à toi ?
-Je ne connais aucune bonne façon de le dire en douceur. Moi, ce que j’apprecie… c’est que l autre ait le pouvoir sur moi. Tu as voulu faire une allusion gentille sur Masoch, et bien me voilà. Sauf que moi, j y connais rien a la philosophie . Je préfère de loin la pratique.
Il la regarde assez stupéfait, mais ne tarde pas à répondre
-C est plutôt drôle, tu vois, parceque je te voyais de l autre coté du manche.
-Ben pas du tout.
Quoi répondre d autre ? Il enchaine
-Ben heureusement que je suis switch alors.
Oh le petit cachotier, oh le vilain vilain vilain garçon, ça fait le prude, le petit lutin danseur, mais en fait, ca maitrise aussi le fouet. Elle lançe une boutade
-Ah ben tient c est drôle ça parceque tout a l heure déguisé en lapin, je ne te projettais pas du tout du tout tu vois ?
Et BIM, tient voilà dans ta tête, elle aime pas les cachotier. Enfin bon comme elle ne fait confiance en aucun homme, forcement elle les considere tous comme cachotier. Ne soyons pas mauvais apres tout.. Ce n’est pas quelque chose que l’on cri sur les toits, bon si elle elle le fait, mais avec elle forcement ca passe….pas vrai ? La ronde extraverti qui te lance j’aime le sm comme elle peut dire tient passe moi les chips.
Il s’est lever, a passer une main sur sa joue, lui remet sa chevelure derrière l oreille,
Oh le vilain petit con, c est qu’il prends le dessus sans même dire un mot. D avec ses mains il l incite silencieusement à se lever de la chaise.
-Je sais aussi bien faire le lapin que toi.. la chienne.
Re: (bdsm) Amazone lubrique
Oui le lapin il savait très bien le faire, la preuve, il lui en a posé pas mal et pas des moindres, alors, gardant sa classe habituelle.. elle lui a souhaité… bonne chasse
C est ainsi tu n’y peux rien, le sentiment d’impuissance, te revient, comme des coups ou plutôt l’absence de coup dans le bas des reins l’amazone a si faim de chair, en fait elle aurait du s appeler, la femme zombi mais la zombie lubrique ca faisait bien moins vendeur de rêve. Et puis un zombie c’est toujours décharnées, parce que disons le disons le fort, une obese zombie qui mangerait des hommes, ca serait absolument pas crédible
A 18 ans cet humour là était charmant, à 18 ans, tout est absolument charmant, la fougue, l audace, la naïveté, la brutalité, la bestialité tout est tellement mais tellement plus charmant, 10 ans après, c’est moins glorieux, à 18 ans j’ai quitté ma province bien décidé à conquérir paris, ah elle s’égard à nouveau pardonnez là c’est parce qu’elle est devenue sénile. Allez égarons nous encore un peu, quand on arrive en ville, on pas le temps d’attendre d avoir trente ans, on prends tout ce que peut en attendant.
Mais en attendant quoi précisément ? On court les uns après les autres … Ah oui, cela ne s’appelle pas starmania non plus..
La vérité ? La vérité ?.. Elle ne sait que les méprisé, elle ne sait que s’en méfier, elle ne sait que les faire fuir. Parce que méprisé, c’est le moindre risque
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Elle devrait etre de l autre coté, de celui du manche, de celui de la domination, mais n ayant pas de limite dans ses failles, elle risquerait bien de pas trouvé la bonne mesure aux choses, alors, elle reste là, cloitrer dans ce cycle éternel, celui du mépris, mépris du sexe fort, enfin soit disant fort, parce qu’ils ne sont pas fort, ils sont comme elle, méprisant, lâche parfois, timide, pleurnichard, ils gémissent, quand celle qu’ils traquent leur échappent.. et cela, c’est sans fin, insaisissable, insatiable.
implacable
Tu n’as que ce que tu mérites dit la voix sombre en elle. Tu es faite de sang et de larmes, tu ne peux donc que les versés.
C est ainsi tu n’y peux rien, le sentiment d’impuissance, te revient, comme des coups ou plutôt l’absence de coup dans le bas des reins l’amazone a si faim de chair, en fait elle aurait du s appeler, la femme zombi mais la zombie lubrique ca faisait bien moins vendeur de rêve. Et puis un zombie c’est toujours décharnées, parce que disons le disons le fort, une obese zombie qui mangerait des hommes, ca serait absolument pas crédible
A 18 ans cet humour là était charmant, à 18 ans, tout est absolument charmant, la fougue, l audace, la naïveté, la brutalité, la bestialité tout est tellement mais tellement plus charmant, 10 ans après, c’est moins glorieux, à 18 ans j’ai quitté ma province bien décidé à conquérir paris, ah elle s’égard à nouveau pardonnez là c’est parce qu’elle est devenue sénile. Allez égarons nous encore un peu, quand on arrive en ville, on pas le temps d’attendre d avoir trente ans, on prends tout ce que peut en attendant.
Mais en attendant quoi précisément ? On court les uns après les autres … Ah oui, cela ne s’appelle pas starmania non plus..
La vérité ? La vérité ?.. Elle ne sait que les méprisé, elle ne sait que s’en méfier, elle ne sait que les faire fuir. Parce que méprisé, c’est le moindre risque
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Elle devrait etre de l autre coté, de celui du manche, de celui de la domination, mais n ayant pas de limite dans ses failles, elle risquerait bien de pas trouvé la bonne mesure aux choses, alors, elle reste là, cloitrer dans ce cycle éternel, celui du mépris, mépris du sexe fort, enfin soit disant fort, parce qu’ils ne sont pas fort, ils sont comme elle, méprisant, lâche parfois, timide, pleurnichard, ils gémissent, quand celle qu’ils traquent leur échappent.. et cela, c’est sans fin, insaisissable, insatiable.
implacable
Tu n’as que ce que tu mérites dit la voix sombre en elle. Tu es faite de sang et de larmes, tu ne peux donc que les versés.
Re: (bdsm) Amazone lubrique
Ce qui se passe a coté d’elle,
Ou vont les amants ?
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Il est jeune il est beau, il est arrogant, de cette arrogance dont s habille les rois, et ou les combattants, dans sa jeunesse, son adolescence il fut boxeur, qui dit boxeur lui fait penser a cet amour éternel et éclatant, de la piaf a son boxer..
Mais elle, elle la voisine, la musicienne, la muse, et celle qui fait le gai, est a fleur de peau, elle se sent vide alors elle pense a cette chanson, quand les amants entendront, cette chanson, c est sur c est sur ma belle qu’ils pleureront, c est pour cette raison qu elle a mit ses écouteurs pour ne pas déranger, les amants.
Il est jeune il est beau il est arrogant de cette arrogance dont se couvre les hommes qui ont été marqué. Elle, est jeune, belle brillante pétillante, et redoutable à la fois, redoutable, parce que face à ses yeux qui sont comme du champagne, personne, personne ne peut rester de marbre, ils se sont chassé, ils se sont guetté et ils se sont donner rendez vous chez elle. Elle qui a les larmes aux yeux à l’ écoute de cette chanson. Cette chanson qui ne passe que dans une seule partie de son casque le coté droit ..
Ils se sont donc donné rendez-vous chez elle sous son toit, l amazone a dit oui . Elle préfère de loin prêter son toit et son lit, à l idée qu’elle soit dans le froid au dehors.
Le boxeur, est arrive un peu plus tard que la ballerine, pourquoi ballerine, parce qu’elle est pétillante, charmeuse, danseuse de l amour, c est une prodige de la danse, danser entre deux eaux, danser sur la pointe des pieds, bref me casser pas les pieds, c est donc la rencontre d’une ballerine et d un boxeur, tous les deux Phoenix
Parce qu’ils sont encore tous les deux des romantique, et il faut être phénix pour y croire encore à notre époque.
L amazone est assise de l autre coter du canapé d angle. Elle pressent déjà ce qu’il va se passer. Elle ne veut pas les entravé, les gênés leur gâcher leur premier corps a corps, on ne doit pas salir les corps a corps, les premières mains qui vous parcourent le corps, et qui à chaque centimetre passant, cree de l electricité.
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ce premier corp a corp qui peut etre le dernier, parceque le boxeur et la ballerine ne sont jamais certain de se revoir à chaque fois qu’ils se quittent.
A chaque frémissement de la ballerine c’est tout le corps de l’amazone qui se crispe. Chacun de ses souffles entrecoupé, fait se souvenir l amazone
Qu’est ce que la confiance, qu est ce que cela fait d avoir enfain un repas digne de notre appétit.
Les arrogants sont jouissif, un arrogant se fatigue moins vite, un arrogant se fait un devoir de faire de chacun des cris plus fort que les précédents.
Tout a commencé, sur le dit canapé, d angle, Il est arrivé habillé en surfer, le jean délavé, qui ne tiens plus vraiment et qui lui dessiné des fesses à hauteur de ses hanche, une chemise blanche plus déboutonnée que ferme, le collier de perle couleur terre ocre marron jaune brun vert… une veste de simili cuir en brun, un jeune surfer perdu, qui sonne à la porte quasi entrouverte.
Il faut aimer la jeunesse et lui pardonner, c’est quand on est jeune que nous somme aventurier, quand nous sommes vieux on se contente de se souvenir
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Le surfer boxeur, est arrivé donc plus tard, d environ 20 minute, et oui, ils aiment se faire attendre les arrogants
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pourquoi ils la fascinent tant les arrogants ? Parce que quoi qu’elle dise quoi qu’elle fasse, elle ne leur fait aucun effet, elle n est qu une goutte d eau parmi un déluge de pluie. L amazone en a peur, l amazone s en méfie comme de la peste mais c est plus fort qu’elle, elle éprouve de la tendresse pour les arrogants, d autant plus quand ces derniers ont une tendance à faire éclaté les étoiles au fond du regard des ballerines qu’elle a en amie.
Bref parlons peu parlons bien ce qui vous intéressent c est le cul. Et bien dommage, elle ne les a pas vu, ne les a même pas regarder, une rencontre de première fois ca ne se regarde pas. C est ettonant d ailleurs, cette gêne, cette sensation, ces larmes qui lui perlent au paupière lorsqu’une fusion entre deux amants se déroulent à ses cotés, sans qu’elle n y paraissent.
Sa peau sent « encre noire » elle n est vêtu que d’une nuisette noire, et d’un peignoir simili satin brun, elle aime le doux que cela lui apporte, le doux le soyeux, l odeur, tout cela, non pas pour participer à leur étreinte mais pour la sensation d etre une femme, un vrai, une femme simplement.
Ou vont les amants ?
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Il est jeune il est beau, il est arrogant, de cette arrogance dont s habille les rois, et ou les combattants, dans sa jeunesse, son adolescence il fut boxeur, qui dit boxeur lui fait penser a cet amour éternel et éclatant, de la piaf a son boxer..
Mais elle, elle la voisine, la musicienne, la muse, et celle qui fait le gai, est a fleur de peau, elle se sent vide alors elle pense a cette chanson, quand les amants entendront, cette chanson, c est sur c est sur ma belle qu’ils pleureront, c est pour cette raison qu elle a mit ses écouteurs pour ne pas déranger, les amants.
Il est jeune il est beau il est arrogant de cette arrogance dont se couvre les hommes qui ont été marqué. Elle, est jeune, belle brillante pétillante, et redoutable à la fois, redoutable, parce que face à ses yeux qui sont comme du champagne, personne, personne ne peut rester de marbre, ils se sont chassé, ils se sont guetté et ils se sont donner rendez vous chez elle. Elle qui a les larmes aux yeux à l’ écoute de cette chanson. Cette chanson qui ne passe que dans une seule partie de son casque le coté droit ..
Ils se sont donc donné rendez-vous chez elle sous son toit, l amazone a dit oui . Elle préfère de loin prêter son toit et son lit, à l idée qu’elle soit dans le froid au dehors.
Le boxeur, est arrive un peu plus tard que la ballerine, pourquoi ballerine, parce qu’elle est pétillante, charmeuse, danseuse de l amour, c est une prodige de la danse, danser entre deux eaux, danser sur la pointe des pieds, bref me casser pas les pieds, c est donc la rencontre d’une ballerine et d un boxeur, tous les deux Phoenix
Parce qu’ils sont encore tous les deux des romantique, et il faut être phénix pour y croire encore à notre époque.
L amazone est assise de l autre coter du canapé d angle. Elle pressent déjà ce qu’il va se passer. Elle ne veut pas les entravé, les gênés leur gâcher leur premier corps a corps, on ne doit pas salir les corps a corps, les premières mains qui vous parcourent le corps, et qui à chaque centimetre passant, cree de l electricité.
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ce premier corp a corp qui peut etre le dernier, parceque le boxeur et la ballerine ne sont jamais certain de se revoir à chaque fois qu’ils se quittent.
A chaque frémissement de la ballerine c’est tout le corps de l’amazone qui se crispe. Chacun de ses souffles entrecoupé, fait se souvenir l amazone
Qu’est ce que la confiance, qu est ce que cela fait d avoir enfain un repas digne de notre appétit.
Les arrogants sont jouissif, un arrogant se fatigue moins vite, un arrogant se fait un devoir de faire de chacun des cris plus fort que les précédents.
Tout a commencé, sur le dit canapé, d angle, Il est arrivé habillé en surfer, le jean délavé, qui ne tiens plus vraiment et qui lui dessiné des fesses à hauteur de ses hanche, une chemise blanche plus déboutonnée que ferme, le collier de perle couleur terre ocre marron jaune brun vert… une veste de simili cuir en brun, un jeune surfer perdu, qui sonne à la porte quasi entrouverte.
Il faut aimer la jeunesse et lui pardonner, c’est quand on est jeune que nous somme aventurier, quand nous sommes vieux on se contente de se souvenir
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Le surfer boxeur, est arrivé donc plus tard, d environ 20 minute, et oui, ils aiment se faire attendre les arrogants
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pourquoi ils la fascinent tant les arrogants ? Parce que quoi qu’elle dise quoi qu’elle fasse, elle ne leur fait aucun effet, elle n est qu une goutte d eau parmi un déluge de pluie. L amazone en a peur, l amazone s en méfie comme de la peste mais c est plus fort qu’elle, elle éprouve de la tendresse pour les arrogants, d autant plus quand ces derniers ont une tendance à faire éclaté les étoiles au fond du regard des ballerines qu’elle a en amie.
Bref parlons peu parlons bien ce qui vous intéressent c est le cul. Et bien dommage, elle ne les a pas vu, ne les a même pas regarder, une rencontre de première fois ca ne se regarde pas. C est ettonant d ailleurs, cette gêne, cette sensation, ces larmes qui lui perlent au paupière lorsqu’une fusion entre deux amants se déroulent à ses cotés, sans qu’elle n y paraissent.
Sa peau sent « encre noire » elle n est vêtu que d’une nuisette noire, et d’un peignoir simili satin brun, elle aime le doux que cela lui apporte, le doux le soyeux, l odeur, tout cela, non pas pour participer à leur étreinte mais pour la sensation d etre une femme, un vrai, une femme simplement.
Re: (bdsm) Amazone lubrique
[apparté]
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C’est le jour J, au dehors, il fait blanc, sans nuage, sans vent, sans soleil, ou si pâle qu’on ne le devine pas, il fait ni froid ni chaud, c’est un beau jour. La ville parait austère à l’arrivée de l’hiver, les décorations de noël n y peuvent rien, c’est ainsi que sont les grandes villes. Mais c’est un beau jour, un jour comme il lui en arrive peu. Un jour ou rien ne la touchera, ou rien d’autre ne comptera.
*j’arrive à 18h à gare centre*
Elle a tout bien préparée, la maison est propre et sent bon, le chat a été prévenu, les amis et connaissances aussi, cette semaine, elle ne sera pas vraiment aussi disponible que les autres semaines, c’est semaine elle a de la visite. Contrairement à Lynda Lemay, la visite elle veut bien, elle…
Cette visite là en particuliers, même si elle ne sait rien de ce qui l’attends, elle ne sait même pas si quelque chose, l’attends, elle sait juste que sa visite sera à la gare et que la visite l’attends. Enfin si elle est bien venue comme elle a dit, oui, c’est le genre de personne qui fait ce qu’elle dit, même si elle ne dit pas forcément tout ce qu’elle fait ou prévoit de faire. Enfin bon qui au jour d’aujourd’hui dit vraiment tout ? Personne bien entendu.
La maison est préparée, et elle-même s’est préparée, c’est marrant d’ailleurs, ça d’avoir autant voulu se préparée, d’ordinaire elle y va avec pardonnez l’expression sa bite et son couteau, et cette fois, cette fois elle veut donner une autre image. Une image d’elle, mais une autre que celle dont elle se part quand il s’agit de rendez-vous avec les hommes, exceptionnellement, elle enlève sa cape de brute épaisse. Vous l’aurez compris la visite, c’est une femme, et comme à chaque fois, une femme pour elle, c’est une sacrée femme ou une femme a consacrée chose passionnante lorsqu’on habite la ville des sacres, chez nous, nos habitants sont tellement ancré dans le quotidien, qu ils ne prennent plus le temps d’apprécier la richesse culturelle de leur villes, mais ainsi va le monde, on trouve toujours l’herbe plus verte quand elle est ailleurs. J’en étais où ? Ah oui, Elle s est préparée, elle s’est apprêtée, non pas sous une commande, non pas sous un ordre, non pas pour espérer quelque réaction, non, elle s’est apprêtée parce que c’est une belle journée parce qu’elle va partir la joindre, physiquement vraiment en vrai de vrai.
Alors oui, elle a posé quelque part sa cape d’agressivité, de méfiance, de brutalité. Elle se sent presque comme au temps d avant du temps ou elle n était ni aigri, ni nerveuse, ni angoissée, du tant ou elle n’était qu’une enfant sans larme, sans ombrages, sans démons qui rodent. Elle a choisi une robe bleue, pour une fois elle met de la couleur, une robe bleu entre le bleu roi et le bleu marine, une robe courte, la première fois qu’elle avait aimer porter une jupe, c’était il n y a pas si longtemps, c’était pour une Lilly, une femme canon. Bref, la robe lui plait et elle se plait dans la robe, et puis, ça cassera du gris et du blanc aux alentours. Oui c’est un beau jour, vraiment. Une robe bleue maroi, ( enfin rappelez vous entre le marine et le roi) et pas une robe maroilles . Des collants non effilés, du moins pas encore, noir mais pas opaque, des bottes, ben oui pour aller avec la robe enfin. Elle a lissé ses cheveux, même si arrivée a la gare, ils auront à nouveau la forme de rien, elle les a coiffé pour y mettre la forme. L air de rien. Un coup de noir sur les yeux, un baume a lèvre à la framboise pour donner une saveur aux cigarettes même si elle va essayer de ne pas en fumer, pour ne pas avoir mauvaise halène parce que parler sans dégagé d odeur nauséabonde c est mieux que parler avec l halène d un fumeur. Enfin voilà une dernière petite touche de crème parfumé nommé encre noire, et on y va, on y est presque.
Elle fait un dernier tour dans sa maison, on dirait presque que personne n y vit, enfin bon l ordre ne tiendra pas longtemps c est juste histoire quand même de savoir recevoir. Ellle est contente même plutôt fiere d elle, pour une fois… Elle a réussi à préparer comme il fallait.
Chez elle vous êtes toujours les bienvenu mais c est souvent Bagdad, il faut l avouer. Tout y est tout est bon, à présent elle passe sa porte seule, et tout à l heure, elle sera accompagnée.
Oui c est une belle journée
Au dehors, il fait blanc sans nuage et au soleil pâle quasi absent il ne fait ni froid ni chaud et il n y a pas de vent, elle marche jusqu’au bus, prends le numero 1 en son for interieur, tout est calme pour le moment, tout est calme, et cela fait du bien.
Arrivée à la gare, elle a comme toujours de l avance, c’est qu’a passer toute sa vie a avoir peur d etre en retard on fini par avoir l habitude de partir toujours trop tôt. Ne pas fumer, ne pas fumer et ne pas angoissée, ca se passera comme ca se passera, et se passera ce qui doit se passer.
C est quand même étrange ce que l on voit et comment on se sent dans une gare, toutes ces correspondances, arrivée et départ, toutes ces successions de quai, de train de gens . ..
Une gare c est toujours et un début et une fin et un milieu….
Ce n est pas vraiment une rencontre, elles se sont rencontré par écran interposé, ce n’est pas vraiment une retrouvaille, elles ne se sont jamais découvert physiquement, ce n’est pas une surpise, mais on ne s y attendait pas
Quelques minutes semblant intemporelle
*le train en provenance de …. Et a destination de … va entrée en gare, merci de vous éloigner des quais, nous rappelons qu’il est interdit au accompagnateur de rentrer dans les trains*
Tum tum tadaaa
Oui hein je chante bien…
Quel wagon regarder ( wagon commençant par un w ca rapporte des points au scrabble) Quel wagon regarder ? Par ou va-t-elle arrivée à droite à gauche ? Et si elle ne me voyait pas ? Arrête ton char, t es en bleu tout le monde est en noir, on ne voit que toi tes nichons et quasi tes fesses. Oh ca va tais toi hein c est pas le moment de me faire paniquer. Moi mais moi je n ai rien dis, c est toi qui commence a paniquer, hannn maman par ou elle va venir, et nia nia nia. Tais toi, suffit, arrête. Non mais tu t es vu ? franchement tu pensais que je ne serais pas là pour assisté a ce spectacle.
A qui parle t elle ? Vous demandez vous… à ses doutes, au méchant moi, à la vilaine voix qui vous fait perdre pied
J ai dis va t en, zou va ailleurs, laisse moi, tu reviendras tout a l heure, je sais bien que tu reviens toujours, mais laisse moi maintenant.
-Hey ça va ?
Elle lève les yeux, et voilà, sa visite, elle est venu, elle est là et même qu’elle la reconnu, elle la reconu, et avec le plus naturel du monde elle lui a lance son hey ca va, d avec son sourire ultra brite, ultra blanc, son sourire éclatant. Ah mais maintenant faut lui répondre, oui c est la réalité là, elle est bien de toute sa chair, de tout son corps et de tout son être présente devant toi :
-Bonjour, j avais peur de te louper sur le quai, je me demandais par ou t arriverai.
-Toujours du coté duquel on ne m attends pas et du coté dont j ai envie.
Et voilà, le chef a parler, alors hein c est qui le patron ?
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C’est le jour J, au dehors, il fait blanc, sans nuage, sans vent, sans soleil, ou si pâle qu’on ne le devine pas, il fait ni froid ni chaud, c’est un beau jour. La ville parait austère à l’arrivée de l’hiver, les décorations de noël n y peuvent rien, c’est ainsi que sont les grandes villes. Mais c’est un beau jour, un jour comme il lui en arrive peu. Un jour ou rien ne la touchera, ou rien d’autre ne comptera.
*j’arrive à 18h à gare centre*
Elle a tout bien préparée, la maison est propre et sent bon, le chat a été prévenu, les amis et connaissances aussi, cette semaine, elle ne sera pas vraiment aussi disponible que les autres semaines, c’est semaine elle a de la visite. Contrairement à Lynda Lemay, la visite elle veut bien, elle…
Cette visite là en particuliers, même si elle ne sait rien de ce qui l’attends, elle ne sait même pas si quelque chose, l’attends, elle sait juste que sa visite sera à la gare et que la visite l’attends. Enfin si elle est bien venue comme elle a dit, oui, c’est le genre de personne qui fait ce qu’elle dit, même si elle ne dit pas forcément tout ce qu’elle fait ou prévoit de faire. Enfin bon qui au jour d’aujourd’hui dit vraiment tout ? Personne bien entendu.
La maison est préparée, et elle-même s’est préparée, c’est marrant d’ailleurs, ça d’avoir autant voulu se préparée, d’ordinaire elle y va avec pardonnez l’expression sa bite et son couteau, et cette fois, cette fois elle veut donner une autre image. Une image d’elle, mais une autre que celle dont elle se part quand il s’agit de rendez-vous avec les hommes, exceptionnellement, elle enlève sa cape de brute épaisse. Vous l’aurez compris la visite, c’est une femme, et comme à chaque fois, une femme pour elle, c’est une sacrée femme ou une femme a consacrée chose passionnante lorsqu’on habite la ville des sacres, chez nous, nos habitants sont tellement ancré dans le quotidien, qu ils ne prennent plus le temps d’apprécier la richesse culturelle de leur villes, mais ainsi va le monde, on trouve toujours l’herbe plus verte quand elle est ailleurs. J’en étais où ? Ah oui, Elle s est préparée, elle s’est apprêtée, non pas sous une commande, non pas sous un ordre, non pas pour espérer quelque réaction, non, elle s’est apprêtée parce que c’est une belle journée parce qu’elle va partir la joindre, physiquement vraiment en vrai de vrai.
Alors oui, elle a posé quelque part sa cape d’agressivité, de méfiance, de brutalité. Elle se sent presque comme au temps d avant du temps ou elle n était ni aigri, ni nerveuse, ni angoissée, du tant ou elle n’était qu’une enfant sans larme, sans ombrages, sans démons qui rodent. Elle a choisi une robe bleue, pour une fois elle met de la couleur, une robe bleu entre le bleu roi et le bleu marine, une robe courte, la première fois qu’elle avait aimer porter une jupe, c’était il n y a pas si longtemps, c’était pour une Lilly, une femme canon. Bref, la robe lui plait et elle se plait dans la robe, et puis, ça cassera du gris et du blanc aux alentours. Oui c’est un beau jour, vraiment. Une robe bleue maroi, ( enfin rappelez vous entre le marine et le roi) et pas une robe maroilles . Des collants non effilés, du moins pas encore, noir mais pas opaque, des bottes, ben oui pour aller avec la robe enfin. Elle a lissé ses cheveux, même si arrivée a la gare, ils auront à nouveau la forme de rien, elle les a coiffé pour y mettre la forme. L air de rien. Un coup de noir sur les yeux, un baume a lèvre à la framboise pour donner une saveur aux cigarettes même si elle va essayer de ne pas en fumer, pour ne pas avoir mauvaise halène parce que parler sans dégagé d odeur nauséabonde c est mieux que parler avec l halène d un fumeur. Enfin voilà une dernière petite touche de crème parfumé nommé encre noire, et on y va, on y est presque.
Elle fait un dernier tour dans sa maison, on dirait presque que personne n y vit, enfin bon l ordre ne tiendra pas longtemps c est juste histoire quand même de savoir recevoir. Ellle est contente même plutôt fiere d elle, pour une fois… Elle a réussi à préparer comme il fallait.
Chez elle vous êtes toujours les bienvenu mais c est souvent Bagdad, il faut l avouer. Tout y est tout est bon, à présent elle passe sa porte seule, et tout à l heure, elle sera accompagnée.
Oui c est une belle journée
Au dehors, il fait blanc sans nuage et au soleil pâle quasi absent il ne fait ni froid ni chaud et il n y a pas de vent, elle marche jusqu’au bus, prends le numero 1 en son for interieur, tout est calme pour le moment, tout est calme, et cela fait du bien.
Arrivée à la gare, elle a comme toujours de l avance, c’est qu’a passer toute sa vie a avoir peur d etre en retard on fini par avoir l habitude de partir toujours trop tôt. Ne pas fumer, ne pas fumer et ne pas angoissée, ca se passera comme ca se passera, et se passera ce qui doit se passer.
C est quand même étrange ce que l on voit et comment on se sent dans une gare, toutes ces correspondances, arrivée et départ, toutes ces successions de quai, de train de gens . ..
Une gare c est toujours et un début et une fin et un milieu….
Ce n est pas vraiment une rencontre, elles se sont rencontré par écran interposé, ce n’est pas vraiment une retrouvaille, elles ne se sont jamais découvert physiquement, ce n’est pas une surpise, mais on ne s y attendait pas
Quelques minutes semblant intemporelle
*le train en provenance de …. Et a destination de … va entrée en gare, merci de vous éloigner des quais, nous rappelons qu’il est interdit au accompagnateur de rentrer dans les trains*
Tum tum tadaaa
Oui hein je chante bien…
Quel wagon regarder ( wagon commençant par un w ca rapporte des points au scrabble) Quel wagon regarder ? Par ou va-t-elle arrivée à droite à gauche ? Et si elle ne me voyait pas ? Arrête ton char, t es en bleu tout le monde est en noir, on ne voit que toi tes nichons et quasi tes fesses. Oh ca va tais toi hein c est pas le moment de me faire paniquer. Moi mais moi je n ai rien dis, c est toi qui commence a paniquer, hannn maman par ou elle va venir, et nia nia nia. Tais toi, suffit, arrête. Non mais tu t es vu ? franchement tu pensais que je ne serais pas là pour assisté a ce spectacle.
A qui parle t elle ? Vous demandez vous… à ses doutes, au méchant moi, à la vilaine voix qui vous fait perdre pied
J ai dis va t en, zou va ailleurs, laisse moi, tu reviendras tout a l heure, je sais bien que tu reviens toujours, mais laisse moi maintenant.
-Hey ça va ?
Elle lève les yeux, et voilà, sa visite, elle est venu, elle est là et même qu’elle la reconnu, elle la reconu, et avec le plus naturel du monde elle lui a lance son hey ca va, d avec son sourire ultra brite, ultra blanc, son sourire éclatant. Ah mais maintenant faut lui répondre, oui c est la réalité là, elle est bien de toute sa chair, de tout son corps et de tout son être présente devant toi :
-Bonjour, j avais peur de te louper sur le quai, je me demandais par ou t arriverai.
-Toujours du coté duquel on ne m attends pas et du coté dont j ai envie.
Et voilà, le chef a parler, alors hein c est qui le patron ?
Re: (bdsm) Amazone lubrique
Les amoureux eux se bécotent sur les bancs privé, « chez l amazone Terre d Asile » toujours, une terre d asile, pour celles qui ont froid, qui ont peur, pour celles qui sont au-devant des chemins de doutes, de pénombre, pour celle qui n’auront besoin que d’un asile pour quelque heure, quelque jour, ou le temps d une nuit durant laquelle on leur rappellera qu’elles sont sublime, éclatantes, drôles, pertinente…
Et c est pour cette raison donc qu’elle se retrouve devant son écran à essayer de rester digne et chez elle tout en passant comme invisible, parce que ce qui se passe chez elle ne la concerne pas. Elle enchaine les musiques en essayant de correspondre à leur activité à eux, qui n’a pas de rapport avec son activité à elle.. quoi que.. Tous leur sens sont en éveil.
Elle tape sur le clavier avec ses mains, pendant que d’autres mains se parcourent, elle se concentre sur son propre parfum, pendant que d’autres enivre de leur deux peaux, elle écoute l musique pour y déceler de l’inspiration pendant que d’autre l’entende et essaye de la mettre a profit, elle se crispe sur sa chaise et a presque la chair de poule pendant que d’autres joue entre le désir et la retenu…
Ainsi la nuit chez l’amazone, tous sont nocturnes.
Y en a qui ont plus de chance que d’autre quoi…
En même temps tout le monde n’a pas le même talent que toi pour l’écriture..
( z avez vu comment j’ai trop de l’humour)
Quelle heure est-il, elle ne sait pas exactement, elle est dans une sorte d’autre espace-temps, dans cet autre espace il fait étrange. Etrange et envoutant …
Elle se coupe du monde, elle se coupe du temps, elle se plonge devant cette page blanche, sans angoisse, ses épaules sont pourtant crispée
Et c est pour cette raison donc qu’elle se retrouve devant son écran à essayer de rester digne et chez elle tout en passant comme invisible, parce que ce qui se passe chez elle ne la concerne pas. Elle enchaine les musiques en essayant de correspondre à leur activité à eux, qui n’a pas de rapport avec son activité à elle.. quoi que.. Tous leur sens sont en éveil.
Elle tape sur le clavier avec ses mains, pendant que d’autres mains se parcourent, elle se concentre sur son propre parfum, pendant que d’autres enivre de leur deux peaux, elle écoute l musique pour y déceler de l’inspiration pendant que d’autre l’entende et essaye de la mettre a profit, elle se crispe sur sa chaise et a presque la chair de poule pendant que d’autres joue entre le désir et la retenu…
Ainsi la nuit chez l’amazone, tous sont nocturnes.
Y en a qui ont plus de chance que d’autre quoi…
En même temps tout le monde n’a pas le même talent que toi pour l’écriture..
( z avez vu comment j’ai trop de l’humour)
Quelle heure est-il, elle ne sait pas exactement, elle est dans une sorte d’autre espace-temps, dans cet autre espace il fait étrange. Etrange et envoutant …
Elle se coupe du monde, elle se coupe du temps, elle se plonge devant cette page blanche, sans angoisse, ses épaules sont pourtant crispée