
Dites-le avec des fleurs. [BDSM]
-
- Emérite
- Messages : 2062
- Inscription : 18 avril 2012, 15:50
- Localisation : Clermont-Ferrand
- A remercié : 93 times
- A été remercié : 528 times
Re: Dites-le avec des fleurs.
L'Homme-Dessert.
Ma maîtresse m'avait fait allonger le dos sur la petite table de son salon.
Je lui servais moi-même de table lorsqu'elle dégustait ses moules-frites : elle posait son assiette sur ma poitrine ainsi que son verre de blanc sec. Ma bouche servait à placer sa serviette soigneusement enroulée Il m'était interdit de bouger : le moindre incident qui surviendrait entraînerait de lourdes sanctions.
Elle prenait son temps, savourant le repas et l'instant.
Quand elle eut fini, après s'être essuyé les lèvres avec sa serviette, elle m'interdit de bouger, débarrassant elle-même.
Elle jeta les coquilles puis me fit ouvrir la bouche pour me faire avaler les déchets comestibles : ma seule pitance du soir.
Puis elle m'ordonna de me redresser et me fit mettre à genoux au milieu du salon.
Quand elle me déversa sur la tête le contenu d'une barquette de glace à la vanille, je réalisai que ce serait moi le dessert.
Je frissonnais au contact la crème glacée.
Puis elle me fit ouvrir la bouche et y coinça une banane.
Elle répandit ensuite sur ma tête et mes épaules toute une bouteille de chocolat liquide, réalisant de savants dessins sur fond de vanille.
A l'aide d'une bombe, elle me coiffa de chantilly et m'acheva en déposant sur mon crâne une cerise confite écarlate.
Avec son portable, elle immortalisa son œuvre, un banana-split-humain, et conserva le jeu de photos afin de m'infliger plus tard un délicieux sentiment de honte en me rappelant ma grotesque dégradation.
Enfin satisfaite, elle me fit de nouveau basculer sur le dos et, avec la pointe de son pied, m'enfonça la banane dans la bouche en m'ordonnant de mâcher avec soin.
Je m'exécutai et en profitai pour longuement embrasser sa semelle.
Ma maîtresse m'avait fait allonger le dos sur la petite table de son salon.
Je lui servais moi-même de table lorsqu'elle dégustait ses moules-frites : elle posait son assiette sur ma poitrine ainsi que son verre de blanc sec. Ma bouche servait à placer sa serviette soigneusement enroulée Il m'était interdit de bouger : le moindre incident qui surviendrait entraînerait de lourdes sanctions.
Elle prenait son temps, savourant le repas et l'instant.
Quand elle eut fini, après s'être essuyé les lèvres avec sa serviette, elle m'interdit de bouger, débarrassant elle-même.
Elle jeta les coquilles puis me fit ouvrir la bouche pour me faire avaler les déchets comestibles : ma seule pitance du soir.
Puis elle m'ordonna de me redresser et me fit mettre à genoux au milieu du salon.
Quand elle me déversa sur la tête le contenu d'une barquette de glace à la vanille, je réalisai que ce serait moi le dessert.
Je frissonnais au contact la crème glacée.
Puis elle me fit ouvrir la bouche et y coinça une banane.
Elle répandit ensuite sur ma tête et mes épaules toute une bouteille de chocolat liquide, réalisant de savants dessins sur fond de vanille.
A l'aide d'une bombe, elle me coiffa de chantilly et m'acheva en déposant sur mon crâne une cerise confite écarlate.
Avec son portable, elle immortalisa son œuvre, un banana-split-humain, et conserva le jeu de photos afin de m'infliger plus tard un délicieux sentiment de honte en me rappelant ma grotesque dégradation.
Enfin satisfaite, elle me fit de nouveau basculer sur le dos et, avec la pointe de son pied, m'enfonça la banane dans la bouche en m'ordonnant de mâcher avec soin.
Je m'exécutai et en profitai pour longuement embrasser sa semelle.
-
- Emérite
- Messages : 2062
- Inscription : 18 avril 2012, 15:50
- Localisation : Clermont-Ferrand
- A remercié : 93 times
- A été remercié : 528 times
Re: Dites-le avec des fleurs.
"Tu te souviens de moi, pov' merde ?"
La gifle s'abattit brutalement sur ma joue...
"Gwendoline ! J'ai dû te subir pendant une année."
La mémoire me revenait. Une de mes anciennes étudiantes. Elle avait grandi depuis...
Je ne m'attendais pas à la retrouver dans un donjon !
"T'étais donc maso, pov'crotte ! Si je m'étais douté... Mais on va rattraper le temps perdu !"
Elle attrapa mon oreille et m'inclina la tête jusqu'au sol.
"Tu vois ces bottes ? Elles sont sales. Toutes couvertes de boue... et du sperme de mon amant ! Lèche-les. Je veux qu'elles brillent."
Je commençais à m'exécuter.
Docilement.
Servilement.
Un coup de martinet s'abattit sur mes reins !
"Mieux que ça ! Je veux entendre les coups de langue !"
J'y mis plus d'ardeur.
"Là, c'est mieux. Tu crânes moins qu'à l'époque, hein ?"
Non. Je ne crânais plus. Je risquai un regard vers elle. Le petit laideron d'alors était devenu une belle femme. Et une dominatrice redoutable.
Je ne l'avais pas reconnue d'abord. Elle avait changé de coiffure et de couleur de cheveux. Blond cendré et cheveux mi-courts, tirés en arrière et disciplinés au gel. ça lui allait bien. Son regard bleu s'était durci. Les talons hauts augmentaient sa taille.
Je revins brusquement à la réalité...
" Qui t'as autorisé à me regarder ?"
D'un coup de pied, elle me fit basculer sur le dos et posa son pied sur ma poitrine...
"T'as toujours la même tête de cul, hein ?"
Elle appuyait...
"On dit, "oui, maîtresse", tête de cul."
"Oui maîtresse", balbutiai-je...
Elle se pencha et m'allongea une gifle magistrale.
"Pour avoir oublié. Qu'est-ce qu'on dit ?"
"Merci, maîtresse."
Merci Gwendoline.
Elle se baissa alors, appuyant sur mes épaules.
"Ouvre la bouche."
J'obéis.
Elle se vida.
Avec un sourire éclatant.
Et une joie féroce dans le regard.
Par petites sacades.
Pour que je ne perde rien.
Quand elle eut fini, elle se secoua.
"Voilà... Une petite goutte pour la route."
Elle se redressa puis me dit : "tu vois, pour une fois, tu n'auras pas ouvert la bouche pour rien."
Elle me laissa.
Au revoir Gwendoline.
Et merci.
La gifle s'abattit brutalement sur ma joue...
"Gwendoline ! J'ai dû te subir pendant une année."
La mémoire me revenait. Une de mes anciennes étudiantes. Elle avait grandi depuis...
Je ne m'attendais pas à la retrouver dans un donjon !
"T'étais donc maso, pov'crotte ! Si je m'étais douté... Mais on va rattraper le temps perdu !"
Elle attrapa mon oreille et m'inclina la tête jusqu'au sol.
"Tu vois ces bottes ? Elles sont sales. Toutes couvertes de boue... et du sperme de mon amant ! Lèche-les. Je veux qu'elles brillent."
Je commençais à m'exécuter.
Docilement.
Servilement.
Un coup de martinet s'abattit sur mes reins !
"Mieux que ça ! Je veux entendre les coups de langue !"
J'y mis plus d'ardeur.
"Là, c'est mieux. Tu crânes moins qu'à l'époque, hein ?"
Non. Je ne crânais plus. Je risquai un regard vers elle. Le petit laideron d'alors était devenu une belle femme. Et une dominatrice redoutable.
Je ne l'avais pas reconnue d'abord. Elle avait changé de coiffure et de couleur de cheveux. Blond cendré et cheveux mi-courts, tirés en arrière et disciplinés au gel. ça lui allait bien. Son regard bleu s'était durci. Les talons hauts augmentaient sa taille.
Je revins brusquement à la réalité...
" Qui t'as autorisé à me regarder ?"
D'un coup de pied, elle me fit basculer sur le dos et posa son pied sur ma poitrine...
"T'as toujours la même tête de cul, hein ?"
Elle appuyait...
"On dit, "oui, maîtresse", tête de cul."
"Oui maîtresse", balbutiai-je...
Elle se pencha et m'allongea une gifle magistrale.
"Pour avoir oublié. Qu'est-ce qu'on dit ?"
"Merci, maîtresse."
Merci Gwendoline.
Elle se baissa alors, appuyant sur mes épaules.
"Ouvre la bouche."
J'obéis.
Elle se vida.
Avec un sourire éclatant.
Et une joie féroce dans le regard.
Par petites sacades.
Pour que je ne perde rien.
Quand elle eut fini, elle se secoua.
"Voilà... Une petite goutte pour la route."
Elle se redressa puis me dit : "tu vois, pour une fois, tu n'auras pas ouvert la bouche pour rien."
Elle me laissa.
Au revoir Gwendoline.
Et merci.

-
- Emérite
- Messages : 2062
- Inscription : 18 avril 2012, 15:50
- Localisation : Clermont-Ferrand
- A remercié : 93 times
- A été remercié : 528 times
Re: Dites-le avec des fleurs.
ENVIE.
Envie de me prosterner devant toi.
De ramper devant toi.
De subir ta loi.
D'être ta carpette.
Ton paillasson.
De goûter ton cuir.
D'embrasser tes chaussures.
Tes pieds gainés de soie.
De suçoter tes orteils.
D'offrir ma croupe à tes coups.
De les compter en te remerciant.
De t'offrir mon intimité.
De te laisser me prendre comme une femme.
De te boire.
D'être soumis à toi.
Et moqué par toi.
Longtemps.
(Pour mon (ex-) initiatrice)
Envie de me prosterner devant toi.
De ramper devant toi.
De subir ta loi.
D'être ta carpette.
Ton paillasson.
De goûter ton cuir.
D'embrasser tes chaussures.
Tes pieds gainés de soie.
De suçoter tes orteils.
D'offrir ma croupe à tes coups.
De les compter en te remerciant.
De t'offrir mon intimité.
De te laisser me prendre comme une femme.
De te boire.
D'être soumis à toi.
Et moqué par toi.
Longtemps.
(Pour mon (ex-) initiatrice)
-
- Emérite
- Messages : 2062
- Inscription : 18 avril 2012, 15:50
- Localisation : Clermont-Ferrand
- A remercié : 93 times
- A été remercié : 528 times
Re: Dites-le avec des fleurs.
D'abord, je t'aurais accueillie.
Les fenêtres ont été occultées. L'éclairage des bougies donne une ambiance particulière. Intimité et pénombre. Sur la table attendent quelques accessoires : bougie, pinces à linge...
Tu te serais moquée de mon allure grotesque.
Toujours la même tête de cul.
A ton ordre, je m'allonge dos au sol.
Tu essuies tes chausses sur moi.
Puis tu me fais mettre à genoux.
Je baisse la tête pendant que tu boucles le collier de soumis autour de mon cou.
Tu me tires les cheveux et j'incline ma tête en arrière. Tu me gifles de ta main gantée de cuir.
"C'est comme ça qu'on remercie sa maîtresse ?"
Tu avance ta botte.
Je me baisse et je l'embrasse.
"Mieux que ça", ordonnes-tu.
Je lèche d'abord le dessus, puis la semelle.
Je suis plus bas que terre.
J'aime ça.
A genoux, sur le tapis du salon, je me laisse faire.
Tu fardes mes paupières puis tu m'appliques un rouge à lèvres carmin. Mes lèvres se frottent l'une contre l'autre pour étaler la couleur.
Tu renonces à me coiffer - on ne peut faire pire.
Quand aux joues, deux claques sèchement appliquées les font rougir.
"- Tu as l'air d'une jolie petite pute, comme ça, hein ?
- Oui Maîtresse.
- Tourne-toi et mets-toi à quatre pattes."
Je m'exécute.
Tu me baisses la culotte.
Je sens ton doigt me pénétrer et fouiller mon intimité.
"- ça te plait ? Dis que ça te plait !
- ça me plait Maîtresse."
Tu introduis un autre doigt.
Puis un autre.
Je me sens visité, humilié, excité.
Une chaleur monte en moi.
La tête me tourne.
"Oui, tu aimes ça, petite chienne ! Tourne-toi"
Je me retourne.
Tu dévoiles alors l'impressionnant engin que tu as fixé à ta taille.
Je l'entrevois dans la demi-obscurité et frissonne.
"Je n'ai pas de vaseline. c'est toi qui va lubrifier avec ta bouche. Approche."
J'avance un peu.
Tu m'empoignes par les cheveux et me plaque le visage contre ton bassin. L'objet pénètre ma bouche.
"Suce."
J'obéis.
Je me laisse guider par les mouvements que tu imprimes à mon crâne en m'empoignant les cheveux.
Je m'applique. J'ai regardé des professionnelles à l'œuvre sur internet et je les imite pour te satisfaire.
"C'est bien. Applique-toi."
Brusquement tu me tires la tête en arrière.
"- Tu aimes ça, hein ? Dis que tu aimes ça !
- J'aime ça Maîtresse."
L'objet entre de nouveau dans ma bouche.
Puis tu m'ordonnes de me retourner.
Je me retourne en écartant docilement mes fesses pour t'accueillir.
A genoux, je te laisses me violer.
Avec mon consentement.
Je tortille du bassin pour accompagner le mouvement.
Nous fusionnons.
Tu lâches : "tu es une bonne petite salope."
Les fenêtres ont été occultées. L'éclairage des bougies donne une ambiance particulière. Intimité et pénombre. Sur la table attendent quelques accessoires : bougie, pinces à linge...
Tu te serais moquée de mon allure grotesque.
Toujours la même tête de cul.
A ton ordre, je m'allonge dos au sol.
Tu essuies tes chausses sur moi.
Puis tu me fais mettre à genoux.
Je baisse la tête pendant que tu boucles le collier de soumis autour de mon cou.
Tu me tires les cheveux et j'incline ma tête en arrière. Tu me gifles de ta main gantée de cuir.
"C'est comme ça qu'on remercie sa maîtresse ?"
Tu avance ta botte.
Je me baisse et je l'embrasse.
"Mieux que ça", ordonnes-tu.
Je lèche d'abord le dessus, puis la semelle.
Je suis plus bas que terre.
J'aime ça.
A genoux, sur le tapis du salon, je me laisse faire.
Tu fardes mes paupières puis tu m'appliques un rouge à lèvres carmin. Mes lèvres se frottent l'une contre l'autre pour étaler la couleur.
Tu renonces à me coiffer - on ne peut faire pire.
Quand aux joues, deux claques sèchement appliquées les font rougir.
"- Tu as l'air d'une jolie petite pute, comme ça, hein ?
- Oui Maîtresse.
- Tourne-toi et mets-toi à quatre pattes."
Je m'exécute.
Tu me baisses la culotte.
Je sens ton doigt me pénétrer et fouiller mon intimité.
"- ça te plait ? Dis que ça te plait !
- ça me plait Maîtresse."
Tu introduis un autre doigt.
Puis un autre.
Je me sens visité, humilié, excité.
Une chaleur monte en moi.
La tête me tourne.
"Oui, tu aimes ça, petite chienne ! Tourne-toi"
Je me retourne.
Tu dévoiles alors l'impressionnant engin que tu as fixé à ta taille.
Je l'entrevois dans la demi-obscurité et frissonne.
"Je n'ai pas de vaseline. c'est toi qui va lubrifier avec ta bouche. Approche."
J'avance un peu.
Tu m'empoignes par les cheveux et me plaque le visage contre ton bassin. L'objet pénètre ma bouche.
"Suce."
J'obéis.
Je me laisse guider par les mouvements que tu imprimes à mon crâne en m'empoignant les cheveux.
Je m'applique. J'ai regardé des professionnelles à l'œuvre sur internet et je les imite pour te satisfaire.
"C'est bien. Applique-toi."
Brusquement tu me tires la tête en arrière.
"- Tu aimes ça, hein ? Dis que tu aimes ça !
- J'aime ça Maîtresse."
L'objet entre de nouveau dans ma bouche.
Puis tu m'ordonnes de me retourner.
Je me retourne en écartant docilement mes fesses pour t'accueillir.
A genoux, je te laisses me violer.
Avec mon consentement.
Je tortille du bassin pour accompagner le mouvement.
Nous fusionnons.
Tu lâches : "tu es une bonne petite salope."
Re: Dites-le avec des fleurs.
Le récit avec Gwendoline est pas mal du tout ; c'est bien écrit, drôle et sur-réaliste, j'aime bien...Je dois dire que tu as quand même un style d'écriture bien particulier, plutôt que "dites le avec des fleurs" ça pourrait être "dites le avec de l'humour"
En fait, , il n'y a pas d'issue à ce genre de relation, pour la bonne raison ¨que la "maitresse" que tu décris à en elle les caractéristiques d'une sociopathe (ce qui est quand même plus "humain" et raisonnable qu'une psychopathe), alors maintenant, ce serait intéressant de savoir pourquoi tu es attiré par les sociopathes SM...Evidement, tu pourras toujours répondre que c'est parce que tu es maso, ce dont je ne doute pas un seul instant.

En fait, , il n'y a pas d'issue à ce genre de relation, pour la bonne raison ¨que la "maitresse" que tu décris à en elle les caractéristiques d'une sociopathe (ce qui est quand même plus "humain" et raisonnable qu'une psychopathe), alors maintenant, ce serait intéressant de savoir pourquoi tu es attiré par les sociopathes SM...Evidement, tu pourras toujours répondre que c'est parce que tu es maso, ce dont je ne doute pas un seul instant.
-
- Emérite
- Messages : 2062
- Inscription : 18 avril 2012, 15:50
- Localisation : Clermont-Ferrand
- A remercié : 93 times
- A été remercié : 528 times
Re: Dites-le avec des fleurs.
Chère Mistytt,
tu disais naguère que tu avais faim, moi, je désire être mangé.
Alors je fantasme des prédatrices qui me traiteront comme une larve.
Dans la réalité, c'est différent.
Les dresseuses qui m'ont fait l'amitié de me consacrer un peu de leur temps étaient attentives au réactions et à l'endurance du soumis qui se remettait à elle.
Je n'ai jamais eu peur. Je me sentais en sécurité et douloureusement bien (même si je suis plus branché sur l'humiliation.).
Ma confiance en elle est totale et je suis prêt à les suivre plus loin.
tu disais naguère que tu avais faim, moi, je désire être mangé.
Alors je fantasme des prédatrices qui me traiteront comme une larve.
Dans la réalité, c'est différent.
Les dresseuses qui m'ont fait l'amitié de me consacrer un peu de leur temps étaient attentives au réactions et à l'endurance du soumis qui se remettait à elle.
Je n'ai jamais eu peur. Je me sentais en sécurité et douloureusement bien (même si je suis plus branché sur l'humiliation.).
Ma confiance en elle est totale et je suis prêt à les suivre plus loin.

Re: Dites-le avec des fleurs.
Cher Topmaso: la faim dont je parle, et qui me déchire parfois les entrailles ne saurait être comblée que d'une certaine manière que je vais évoquer ici en employant une métaphore animale ; un ami m'a fait part de cette étrange hypothèse selon laquelle, après avoir observé un chat jouant avec une souris, cette dernière , juste avant de mourir se retrouvait dans un état d'extase provoqué (anthropomorphisme?) par la sensation de la mort qui se profilait inexorablement...Le chat lui ne songe ni au bien ni au mal, on lui attribue le qualificatif de "sadique" mais il ne fait que suivre son instinct et je ne vais pas te faire un dessin...Tout ça pour te dire qu'audela du plaisir de faire souffrir un être qui aime ça, il y a aussi celui de faire mourir un être qui aime ça qui fait écho en moi, c'est curieux mais très intéressant de tenter de comprendre d'ailleurs parce que cela donne une autre approche de la mort en la démystifiant, mais ce n'est pas à réaliser, chuis pas "falourde" quand même 

-
- Emérite
- Messages : 2062
- Inscription : 18 avril 2012, 15:50
- Localisation : Clermont-Ferrand
- A remercié : 93 times
- A été remercié : 528 times
Re: Dites-le avec des fleurs.
Pour reprendre la métaphore animale, je suis attiré par les dominatrices comme le papillon par la flamme. Cependant, ça reste un fantasme. Je ne suis pas fou moi non plus. Mais vivre le jeu d'une adoration qui me consume... 

-
- Emérite
- Messages : 2062
- Inscription : 18 avril 2012, 15:50
- Localisation : Clermont-Ferrand
- A remercié : 93 times
- A été remercié : 528 times
Re: Dites-le avec des fleurs.
Interlude.
Après le cours, Anne restait sous prétexte de me demander des éclaircissements sur sa notation.
Elle jouait les bonnes élèves, adoptant un changement radical dans sa tenue (chemisier sage et petite jupe plissée) et sa coupe (ses beaux cheveux roux avaient repoussé et elle se coiffait comme une jeune fille modèle, raie au milieu, petites couettes et deux barrettes dorées pour se donner une allure sage.)
Elle fermait la porte puis commençait par me faire manger la copie litigieuse.
Ensuite, elle me faisait lever de ma chaise et mettre à plat ventre sur le bureau. Elle baissait mon pantalon et vérifiait si mon plug était bien en place.
En effet, tous les matins, j'avais rendez-vous avec elle dans des latrines sordides et peu fréquentées. Là, elle sortait l'objet - chaque jour un peu plus gros, me semblait-il - me le faisait abondamment lécher avant de m'ordonner de me déculotter et de me pencher. Puis elle me l'enfonçait en appuyant son pied sur mon dos, pour rendre la situation humiliante. Avant de nous séparer, elle me gratifiait d'un crachat sur la tête, afin de "lubrifier aussi ma tête de cul". Je devais faire ainsi cours, plugué, jusqu'à ce qu'Anne me délivre.
Satisfaite de voir qu'une fois encore, j'avais fait preuve de docilité, elle me récompensait d'une série de claques bien appuyées, agrémentées d'insultes relatives à mon statut de "lope" et de "petite trainée".
Enfin, comme j'avais toujours le ventre sur le bureau, elle prenait un siège, rapprochait son joli pied chaussé de bottines de cuir à talon et me disait simplement "lèche".
Je m'exécutais alors docilement tandis qu'elle fouettait mon fessier à découvert à l'aide d'une règle plate.
Je léchais longuement sa chausse, d'abord le dessus, puis les rebords, enfin, la semelle... Le talon pour la fin : je devais le prendre en bouche et mimer une fellation, ce qui distrayait beaucoup Anne. Elle immortalisait la scène sur son portable afin d'en rire avec ses amies perverses.
Je devais ensuite appliquer le même traitement à l'autre chaussure tandis qu'Anne, au mépris du règlement allumait une cigarette pour mieux jouir du spectacle. De temps à autres, elle m'ordonnait de redresser la tête et de tirer la langue pour y déposer la cendre que j'avalais goulument avant de me remettre à ma besogne.
Une fois satisfaite de la brillance de ses bottines, Anne me dépouillait de ma chemise et ouvrait une petite boite qu'elle avait dans son sac. Elle en sortait alors des pinces à linges qu'elle posait sur mes tétons, autour, sur mes lobes d'oreille, sur ma langue, et, finalement, sur mes gonades. Elle s'amusait à les faire tomber avec la règle puis, insensible à ma douleur et à mes larmes, elle les replaçait et recommençait.
L'heure avançait et la belle et cruelle rousse se décidait enfin à me délivrer de mon calvaire, enlevant pince et plug puis, elle déposait un baiser sur mon front, m'empoignait par les cheveux, m'inclinant la tête en arrière, avant de lâcher un crachat dans ma bouche ouverte.
A demain disait-elle.
Après le cours, Anne restait sous prétexte de me demander des éclaircissements sur sa notation.
Elle jouait les bonnes élèves, adoptant un changement radical dans sa tenue (chemisier sage et petite jupe plissée) et sa coupe (ses beaux cheveux roux avaient repoussé et elle se coiffait comme une jeune fille modèle, raie au milieu, petites couettes et deux barrettes dorées pour se donner une allure sage.)
Elle fermait la porte puis commençait par me faire manger la copie litigieuse.
Ensuite, elle me faisait lever de ma chaise et mettre à plat ventre sur le bureau. Elle baissait mon pantalon et vérifiait si mon plug était bien en place.
En effet, tous les matins, j'avais rendez-vous avec elle dans des latrines sordides et peu fréquentées. Là, elle sortait l'objet - chaque jour un peu plus gros, me semblait-il - me le faisait abondamment lécher avant de m'ordonner de me déculotter et de me pencher. Puis elle me l'enfonçait en appuyant son pied sur mon dos, pour rendre la situation humiliante. Avant de nous séparer, elle me gratifiait d'un crachat sur la tête, afin de "lubrifier aussi ma tête de cul". Je devais faire ainsi cours, plugué, jusqu'à ce qu'Anne me délivre.
Satisfaite de voir qu'une fois encore, j'avais fait preuve de docilité, elle me récompensait d'une série de claques bien appuyées, agrémentées d'insultes relatives à mon statut de "lope" et de "petite trainée".
Enfin, comme j'avais toujours le ventre sur le bureau, elle prenait un siège, rapprochait son joli pied chaussé de bottines de cuir à talon et me disait simplement "lèche".
Je m'exécutais alors docilement tandis qu'elle fouettait mon fessier à découvert à l'aide d'une règle plate.
Je léchais longuement sa chausse, d'abord le dessus, puis les rebords, enfin, la semelle... Le talon pour la fin : je devais le prendre en bouche et mimer une fellation, ce qui distrayait beaucoup Anne. Elle immortalisait la scène sur son portable afin d'en rire avec ses amies perverses.
Je devais ensuite appliquer le même traitement à l'autre chaussure tandis qu'Anne, au mépris du règlement allumait une cigarette pour mieux jouir du spectacle. De temps à autres, elle m'ordonnait de redresser la tête et de tirer la langue pour y déposer la cendre que j'avalais goulument avant de me remettre à ma besogne.
Une fois satisfaite de la brillance de ses bottines, Anne me dépouillait de ma chemise et ouvrait une petite boite qu'elle avait dans son sac. Elle en sortait alors des pinces à linges qu'elle posait sur mes tétons, autour, sur mes lobes d'oreille, sur ma langue, et, finalement, sur mes gonades. Elle s'amusait à les faire tomber avec la règle puis, insensible à ma douleur et à mes larmes, elle les replaçait et recommençait.
L'heure avançait et la belle et cruelle rousse se décidait enfin à me délivrer de mon calvaire, enlevant pince et plug puis, elle déposait un baiser sur mon front, m'empoignait par les cheveux, m'inclinant la tête en arrière, avant de lâcher un crachat dans ma bouche ouverte.
A demain disait-elle.

-
- Emérite
- Messages : 2062
- Inscription : 18 avril 2012, 15:50
- Localisation : Clermont-Ferrand
- A remercié : 93 times
- A été remercié : 528 times
Re: Dites-le avec des fleurs.
J'avais mécontenté ma maîtresse.
Profondément plugué, j'implorais son pardon à quattre pattes en nettoyant ses bottes avec ma langue.
Pour marquer sa contrariété, elle avait volontairement marché dans la boue.
J'avais espéré qu'elle me ferait grâce après quelques coups de langue mais elle restait silencieuse, me condamnant à savourer ma triste pitance et ma honte.
Elle parla enfin.
"Arrête."
"Inutile de lécher mes semelles."
Je pensais mon calvaire terminé.
Erreur.
"Reste dans cette position."
Elle leva alors son pied et l'essuya sur mes cheveux, utilisant ma tête comme paillasson.
Elle recommença à nouveau, puis avec l'autre pied, jusqu'à ce qu'elle soit satisfaite du résultat.
Enfin, elle me souleva le menton du bout du pied et me fixa :
"Mais, tu as le museau tout sale, Petite crotte ! Il faut le laver."
"Oui, maîtresse", articulai-je.
Elle m'empoigna douloureusement l'oreille et me fit marcher ainsi à quatrre pattes jusqu'aux toilettes.
Là, elle me força à incliner la tête dans la cuvette et tira la chasse, me nettoyant ainsi à grande eau.
"Toujours laver ses outils" commenta-t-elle avec un sourire ironique, puis...
"Garde la position."
Elle dénoua sa ceinture et commença à me zébrer les fesses.
"Compte et remercie."
Je comptais chaque coup et remerciais ma maîtresse pour chacun.
A la fin, elle pris une photo de mon fondement martyrisé sur son portable.
Elle me la montra et dit :
"Ce sera ton nouvel avatar, compris ?... Ne réponds pas, contente-toi d'embrasser mes bottes."
Je m'inclinai et m'exécutai.
Profondément plugué, j'implorais son pardon à quattre pattes en nettoyant ses bottes avec ma langue.
Pour marquer sa contrariété, elle avait volontairement marché dans la boue.
J'avais espéré qu'elle me ferait grâce après quelques coups de langue mais elle restait silencieuse, me condamnant à savourer ma triste pitance et ma honte.
Elle parla enfin.
"Arrête."
"Inutile de lécher mes semelles."
Je pensais mon calvaire terminé.
Erreur.
"Reste dans cette position."
Elle leva alors son pied et l'essuya sur mes cheveux, utilisant ma tête comme paillasson.
Elle recommença à nouveau, puis avec l'autre pied, jusqu'à ce qu'elle soit satisfaite du résultat.
Enfin, elle me souleva le menton du bout du pied et me fixa :
"Mais, tu as le museau tout sale, Petite crotte ! Il faut le laver."
"Oui, maîtresse", articulai-je.
Elle m'empoigna douloureusement l'oreille et me fit marcher ainsi à quatrre pattes jusqu'aux toilettes.
Là, elle me força à incliner la tête dans la cuvette et tira la chasse, me nettoyant ainsi à grande eau.
"Toujours laver ses outils" commenta-t-elle avec un sourire ironique, puis...
"Garde la position."
Elle dénoua sa ceinture et commença à me zébrer les fesses.
"Compte et remercie."
Je comptais chaque coup et remerciais ma maîtresse pour chacun.
A la fin, elle pris une photo de mon fondement martyrisé sur son portable.
Elle me la montra et dit :
"Ce sera ton nouvel avatar, compris ?... Ne réponds pas, contente-toi d'embrasser mes bottes."
Je m'inclinai et m'exécutai.
-
- Emérite
- Messages : 2062
- Inscription : 18 avril 2012, 15:50
- Localisation : Clermont-Ferrand
- A remercié : 93 times
- A été remercié : 528 times
Re: Dites-le avec des fleurs.
Curieuse sensation.
L'autre jour, je me suis réveillé avec une drôle de sensation au niveau des reins.
Un frémissement, comme si mes chairs me rappelaient les coups de cravache que tu m'avais donné.
C'était vraiment curieux.
Je me suis rappelé la photo que tu avais prise de mon postérieur zébré.
Je n'avais pas voulu la garder, à cause de la chemise que je portais.
Trop reconnaissable, pensais-je.
Maintenant, je regrette.
J'aurais même agrémenté la photo d'une jolie fleur, placée dans mon orifice.
Postée ensuite sur le forum.
"Le cul fleuri de JR".
Mignon.
Je pense que les modos n'auraient pas apprécié.
L'autre jour, je me suis réveillé avec une drôle de sensation au niveau des reins.
Un frémissement, comme si mes chairs me rappelaient les coups de cravache que tu m'avais donné.
C'était vraiment curieux.
Je me suis rappelé la photo que tu avais prise de mon postérieur zébré.
Je n'avais pas voulu la garder, à cause de la chemise que je portais.
Trop reconnaissable, pensais-je.
Maintenant, je regrette.
J'aurais même agrémenté la photo d'une jolie fleur, placée dans mon orifice.
Postée ensuite sur le forum.
"Le cul fleuri de JR".
Mignon.

Je pense que les modos n'auraient pas apprécié.
-
- Emérite
- Messages : 2062
- Inscription : 18 avril 2012, 15:50
- Localisation : Clermont-Ferrand
- A remercié : 93 times
- A été remercié : 528 times
Re: Dites-le avec des fleurs.
Cruella et Pine de Serin m'avaient coincé.
J'allais manger sévère.
"Ach ! Kom sa, tu T pRmi de te moké de l'élit ?" me lança-t-elle d'une voix gutturale où je sentais poindre un léger accent germanique.
Ou texto.
"1plor mo pardon et lèch mé bot en dressant ton Q bi1 O !" ordonna-t-elle.
Je m'exécutais aussitôt, léchant ses jambières de cuir, aromatisées au parfum de trottoir et à l'urine de chien. Mon fessier était dressé et à nu, offert à ses coups.
"Mieu q sa, ptt crot !"
L'audition de mon surnom me fit dresser l'oreille. Elle fit dresser aussi pine de canari.
Ailleurs.
Cruella se mit en devoir de me zébrer les fesses à coup de cravaches.
"Ti1, ti1, pour ton insolence."
Pour qu'elle oublie le texto, il fallait qu'elle soit en colère.
Mes fesses dégustaient.
Pine d'huitre se régalait.
Il ne perdait rien.
Il filmait.
Il s'en léchait les bobines.
"HimmL !" ragea Cruella.
La cravache venait de rompre.
"Qel kmelote ! J lé pourtan pri sur Démonia.com !"
A qui se fier ?
Pour me garder de son courroux, je continuai de faire reluire ses bottes avec ma langue.
"Tu per ri1 pour atendr le gominé", me lança-t-elle, puis se tournant vers pine de colibri, "Vaseline !"
"Hein"
"G di vazeline !!!"
Il lui tandis un gros tube qu'elle ouvrit, pressa et enduit mon anus avec le contenu.
Le chaud et froid me fit frissonner.
Ainsi que la trouille.
Elle passa un énorme braquemard-ceinture et se mit en position.
L'élite allait entre sans prévenir et ça allait faire ... mal.
Non.
Trop de gel ? ça a dérapé.
Au grand dam de pino dont le pantalon s'était taché.
Elle réessaya, empoignant mon cul fermement, mais sans plus de succès.
De rage, elle menaça d'utiliser un balai (pitié !) mais cet article n'était pas disponible chez Démonia.com, pourtant riche en accessoires pour ménagère en bordée.
"Tan pi. Tu né pa digne d'êtr sodomisé par l'élit. Mé toi sur le do, lèch ma semL et branl-toi tt sl pdt qe je rédige ma not de fré !"
Ainsi donc, je me plaçais sur le dos, sa chaussure contre ma bouche, m'écrasant la figure comme on écrase un étron - d'ailleurs, elle l'avait déjà fait - et je léchais tout en m'astiquant tandis qu'elle écrivait laborieusement au crayon à papier sur une feuille de carnet, le tarif des prestations. (Là, plus de SMS.)
"Déplacement : ... euros,
fournitures : ... euros,
Prestations : humiliation, ... euros, insultes, ... euros, cravache ... euros le coup, sodomie ... euro le coup de bite...
Sans oublier la prestation caméra (elle était chiée de la compter alors qu'elle utiliserait le film sur son site !)
Total : ... euros"
"Voilà."
Elle m'enfonça la note dans la bouche.
"J'accepte les cartes bleues."
Puis elle partit avec pinus dans son sillage.
Les Ténardiers sortis, je regardai mon phallus qui se dressait mollement.
"Bon dieu, j'peux même pas jouir."
Tant pis pour moi, il faut dormir.
J'allais manger sévère.
"Ach ! Kom sa, tu T pRmi de te moké de l'élit ?" me lança-t-elle d'une voix gutturale où je sentais poindre un léger accent germanique.
Ou texto.
"1plor mo pardon et lèch mé bot en dressant ton Q bi1 O !" ordonna-t-elle.
Je m'exécutais aussitôt, léchant ses jambières de cuir, aromatisées au parfum de trottoir et à l'urine de chien. Mon fessier était dressé et à nu, offert à ses coups.
"Mieu q sa, ptt crot !"
L'audition de mon surnom me fit dresser l'oreille. Elle fit dresser aussi pine de canari.
Ailleurs.
Cruella se mit en devoir de me zébrer les fesses à coup de cravaches.
"Ti1, ti1, pour ton insolence."
Pour qu'elle oublie le texto, il fallait qu'elle soit en colère.
Mes fesses dégustaient.
Pine d'huitre se régalait.
Il ne perdait rien.
Il filmait.
Il s'en léchait les bobines.
"HimmL !" ragea Cruella.
La cravache venait de rompre.
"Qel kmelote ! J lé pourtan pri sur Démonia.com !"
A qui se fier ?
Pour me garder de son courroux, je continuai de faire reluire ses bottes avec ma langue.
"Tu per ri1 pour atendr le gominé", me lança-t-elle, puis se tournant vers pine de colibri, "Vaseline !"
"Hein"
"G di vazeline !!!"
Il lui tandis un gros tube qu'elle ouvrit, pressa et enduit mon anus avec le contenu.
Le chaud et froid me fit frissonner.
Ainsi que la trouille.
Elle passa un énorme braquemard-ceinture et se mit en position.
L'élite allait entre sans prévenir et ça allait faire ... mal.
Non.
Trop de gel ? ça a dérapé.
Au grand dam de pino dont le pantalon s'était taché.
Elle réessaya, empoignant mon cul fermement, mais sans plus de succès.
De rage, elle menaça d'utiliser un balai (pitié !) mais cet article n'était pas disponible chez Démonia.com, pourtant riche en accessoires pour ménagère en bordée.
"Tan pi. Tu né pa digne d'êtr sodomisé par l'élit. Mé toi sur le do, lèch ma semL et branl-toi tt sl pdt qe je rédige ma not de fré !"
Ainsi donc, je me plaçais sur le dos, sa chaussure contre ma bouche, m'écrasant la figure comme on écrase un étron - d'ailleurs, elle l'avait déjà fait - et je léchais tout en m'astiquant tandis qu'elle écrivait laborieusement au crayon à papier sur une feuille de carnet, le tarif des prestations. (Là, plus de SMS.)
"Déplacement : ... euros,
fournitures : ... euros,
Prestations : humiliation, ... euros, insultes, ... euros, cravache ... euros le coup, sodomie ... euro le coup de bite...
Sans oublier la prestation caméra (elle était chiée de la compter alors qu'elle utiliserait le film sur son site !)
Total : ... euros"
"Voilà."
Elle m'enfonça la note dans la bouche.
"J'accepte les cartes bleues."
Puis elle partit avec pinus dans son sillage.
Les Ténardiers sortis, je regardai mon phallus qui se dressait mollement.
"Bon dieu, j'peux même pas jouir."
Tant pis pour moi, il faut dormir.

En ligne

Elle est si spéciale que ça ta chemise ?
-
- Langue Pendue
- Messages : 10076
- Inscription : 16 octobre 2013, 20:51
- A remercié : 720 times
- A été remercié : 1697 times
Re: Dites-le avec des fleurs.

Elle est si spéciale que ça ta chemise ?

Parfois on regarde les choses telles qu'elles sont en se demandant pourquoi.
Parfois on les regarde telles qu'elles pourraient être en se disant pourquoi pas.
Parfois on les regarde telles qu'elles pourraient être en se disant pourquoi pas.
En ligne
-
- Langue Pendue
- Messages : 10076
- Inscription : 16 octobre 2013, 20:51
- A remercié : 720 times
- A été remercié : 1697 times
Re: Dites-le avec des fleurs.
j'comprends pas l'truc du langage SMS ......
Parfois on regarde les choses telles qu'elles sont en se demandant pourquoi.
Parfois on les regarde telles qu'elles pourraient être en se disant pourquoi pas.
Parfois on les regarde telles qu'elles pourraient être en se disant pourquoi pas.
-
- Emérite
- Messages : 2062
- Inscription : 18 avril 2012, 15:50
- Localisation : Clermont-Ferrand
- A remercié : 93 times
- A été remercié : 528 times
Re: Dites-le avec des fleurs.
Elle communique comme ça avec ses soumis.
(C'était sur le forum rose, ça visait une vénale qui venait faire son marché. Et elle allait loin, jusqu'à la mutilation
)
(C'était sur le forum rose, ça visait une vénale qui venait faire son marché. Et elle allait loin, jusqu'à la mutilation

-
- Emérite
- Messages : 2062
- Inscription : 18 avril 2012, 15:50
- Localisation : Clermont-Ferrand
- A remercié : 93 times
- A été remercié : 528 times
Re: Dites-le avec des fleurs.
Est-ce que tu as déjà mis en scène le sacrifice d'un soumis ?mistytt a écrit :Cher Topmaso: la faim dont je parle, et qui me déchire parfois les entrailles ne saurait être comblée que d'une certaine manière que je vais évoquer ici en employant une métaphore animale ; un ami m'a fait part de cette étrange hypothèse selon laquelle, après avoir observé un chat jouant avec une souris, cette dernière , juste avant de mourir se retrouvait dans un état d'extase provoqué (anthropomorphisme?) par la sensation de la mort qui se profilait inexorablement...Le chat lui ne songe ni au bien ni au mal, on lui attribue le qualificatif de "sadique" mais il ne fait que suivre son instinct et je ne vais pas te faire un dessin...Tout ça pour te dire qu'audela du plaisir de faire souffrir un être qui aime ça, il y a aussi celui de faire mourir un être qui aime ça qui fait écho en moi, c'est curieux mais très intéressant de tenter de comprendre d'ailleurs parce que cela donne une autre approche de la mort en la démystifiant, mais ce n'est pas à réaliser, chuis pas "falourde" quand même
En ligne
-
- Langue Pendue
- Messages : 10076
- Inscription : 16 octobre 2013, 20:51
- A remercié : 720 times
- A été remercié : 1697 times
Re: Dites-le avec des fleurs.
Vachement spécial comme délire.Topmaso a écrit :Elle communique comme ça avec ses soumis.
(C'était sur le forum rose, ça visait une vénale qui venait faire son marché. Et elle allait loin, jusqu'à la mutilation)

Parfois on regarde les choses telles qu'elles sont en se demandant pourquoi.
Parfois on les regarde telles qu'elles pourraient être en se disant pourquoi pas.
Parfois on les regarde telles qu'elles pourraient être en se disant pourquoi pas.
En ligne
-
- Langue Pendue
- Messages : 10076
- Inscription : 16 octobre 2013, 20:51
- A remercié : 720 times
- A été remercié : 1697 times
Re: Dites-le avec des fleurs.
Il manque le respect qui devrait toujours être présent dans ce genre de relation. .. 

Parfois on regarde les choses telles qu'elles sont en se demandant pourquoi.
Parfois on les regarde telles qu'elles pourraient être en se disant pourquoi pas.
Parfois on les regarde telles qu'elles pourraient être en se disant pourquoi pas.
-
- Emérite
- Messages : 2062
- Inscription : 18 avril 2012, 15:50
- Localisation : Clermont-Ferrand
- A remercié : 93 times
- A été remercié : 528 times
Re: Dites-le avec des fleurs.
Il est totalement absent.Mad'O a écrit :Il manque le respect qui devrait toujours être présent dans ce genre de relation. ..
En ligne
-
- Langue Pendue
- Messages : 10076
- Inscription : 16 octobre 2013, 20:51
- A remercié : 720 times
- A été remercié : 1697 times
Re: Dites-le avec des fleurs.
Ben ça j'comprends pas.
Ok on peut jouer à panpan culcul, quel que soit le sens ou qui tient le manche.... mais en dehors du "jeu", les gens redeviennent normaux, polis, aimables, enfin, je sais pas quoi, mais le rôle de la petite crotte est fini, bonsoir monsieur on a bien pris notre pied.....
Ok on peut jouer à panpan culcul, quel que soit le sens ou qui tient le manche.... mais en dehors du "jeu", les gens redeviennent normaux, polis, aimables, enfin, je sais pas quoi, mais le rôle de la petite crotte est fini, bonsoir monsieur on a bien pris notre pied.....
Parfois on regarde les choses telles qu'elles sont en se demandant pourquoi.
Parfois on les regarde telles qu'elles pourraient être en se disant pourquoi pas.
Parfois on les regarde telles qu'elles pourraient être en se disant pourquoi pas.
Re: Dites-le avec des fleurs.
Pas encore, j'attends qu'il y ai une guerre, un gros conflit, un truc comme ça, une révolution...ça passera dans les dégâts collatéraux, je dirai qu'il s'agissait d'un traître contre révolutionnaire et qu'il a fallu que je le sacrifie "raison d'état de crise", en plus j'aurais une décoration, que là, je prendrai perpet.Topmaso a écrit :
Est-ce que tu as déjà mis en scène le sacrifice d'un soumis ?
Ah ouais, Ste Ange, elle était marrante, son nabot était casse couille par contre...Je m'étais frittée avec elle sur la fin, mais je la préférait à son mec, j'en ai pas un mauvais souvenir et je vais te dire un truc; faut jamais se fier aux apparences, St Ange provoquait beaucoup parce que ça la faisait marrer vu que ça marchait , puis critiquer une pro parce qu'elle fait son marché, j'vois pas trop ...Ou est le problème ? Au moins elle peut répondre à l'attente des mecs qui se branlent les couilles en espérant une dom pour se vider sur ses bottes et qui s'imaginent que le fait de mettre ces femmes sur un pied d'estale est une marque de respect.
-
- Emérite
- Messages : 2062
- Inscription : 18 avril 2012, 15:50
- Localisation : Clermont-Ferrand
- A remercié : 93 times
- A été remercié : 528 times
Re: Dites-le avec des fleurs.
C'est une marque d'adoration.mistytt a écrit :
Pas encore, j'attends qu'il y ai une guerre, un gros conflit, un truc comme ça, une révolution...ça passera dans les dégâts collatéraux, je dirai qu'il s'agissait d'un traître contre révolutionnaire et qu'il a fallu que je le sacrifie "raison d'état de crise", en plus j'aurais une décoration, que là, je prendrai perpet.
(J'ai parlé de mise en scène, pas pour de vrai.)![]()
Ah ouais, Ste Ange, elle était marrante, son nabot était casse couille par contre...Je m'étais frittée avec elle sur la fin, mais je la préférait à son mec, j'en ai pas un mauvais souvenir et je vais te dire un truc; faut jamais se fier aux apparences, St Ange provoquait beaucoup parce que ça la faisait marrer vu que ça marchait , puis critiquer une pro parce qu'elle fait son marché, j'vois pas trop ...Ou est le problème ? Au moins elle peut répondre à l'attente des mecs qui se branlent les couilles en espérant une dom pour se vider sur ses bottes et qui s'imaginent que le fait de mettre ces femmes sur un pied d'estale est une marque de respect.
Pas de respect.
T'entends par là que c'est superficiel ?
Au départ, elle ne l'avait pas dit clairement. C'est pour ça que ça avait créé un malaise. Et puis, le discours est ambigu : je le fais parce que ça m'amuse, mais aussi pour gagner de l'argent. Donc ça n'est plus vraiment un amusement. Plutôt une transaction.
-
- Emérite
- Messages : 2062
- Inscription : 18 avril 2012, 15:50
- Localisation : Clermont-Ferrand
- A remercié : 93 times
- A été remercié : 528 times
Re: Dites-le avec des fleurs.
Idéaliste.Mad'O a écrit :Ben ça j'comprends pas.
Ok on peut jouer à panpan culcul, quel que soit le sens ou qui tient le manche.... mais en dehors du "jeu", les gens redeviennent normaux, polis, aimables, enfin, je sais pas quoi, mais le rôle de la petite crotte est fini, bonsoir monsieur on a bien pris notre pied.....

-
- Emérite
- Messages : 2062
- Inscription : 18 avril 2012, 15:50
- Localisation : Clermont-Ferrand
- A remercié : 93 times
- A été remercié : 528 times
Re: Dites-le avec des fleurs.
Kiki me surpris alors que je matais sur mon ordi des filles en train de se faire onctueusement entarter. Je spectacle de leur minois surpris tandis que la crème patissière s'étalait sur leur visage et leurs cheveux me comblait d'aise.
Kiki s'en rendit compte.
"Ben mon cochon, me dit-elle, ça te stimule on dirait ?!"
Je rougissait de honte, craignant qu'elle me signale à la patronne... Mais Kiki avait prévu quelque chose de plus amusant...
Elle me tordit l'oreille avec un grand sourire sadique : "passe un peu dans mon bureau : je me doutais de tes petits penchants, et je t'ai préparé une surprise."
Tenaillé par la douleur, je suivis Kiki qui m'obligeait à m'incliner. J'entrais à sa suite et elle m'assit presque de force sur une chaise préparée à mon égard. Couverte d'une housse en plastique pour la protéger. A côté, étaient disposés divers aliments.
"Je t'invite", déclara-t-elle, narquoise.
Elle me fit croiser les mains derrière le dossier et les attacha. "Voilà."
Elle s'arrêta pour me toiser d'un air supérieur qui me troublait : "t'as vraiment une tête de con de compèt' avec tes cheveux gramouille, et, ajoutant avec un clin d'œil, je vais l'améliorer."
Elle prit une tarte crémeuse de bonne taille, puis, me l'approcha doucement du visage, prenant son temps, savourant l'instant, avant de me l'appliquer fermement sur la figure, en maintenant ma nuque pour faire bonne mesure. Je sentis le contact frais de la crème sur ma peau. Puis elle releva la tarte qui se fragmentait jusqu'à mon front puis au sommet de mon crâne. Elle laissa une trainée blanche au milieu de mes cheveux noirs.
Kiki gloussa : "On dirait un putois."
Elle passa derrière moi et, une tarte dans chaque main, les aplatit de part et d'autre de ma tête dans un grand jaillissement de crème. Elle s'esclaffa, se pencha vers moi, souriant de ses dents éclatantes : "ça va ? T'as encore rien vu." Et pour que je visse mieux, elle retira mes lunettes encrassées de crème.
Elle me montra ensuite un œuf. "Et d'un", et elle l'écrasa sur ma tête. "Et de deux", un deuxième. Et de trois... La douzaine y passa. "J'espère que tu apprécies." J'appréciais, oui, d'être aussi joliment humilié par une jeune femme si imaginative.
D'un index impérieux, elle me releva le menton, dégageant ma chemise. D'un doigt, elle écarta ma cravate et commença à verser le contenu d'un pot de crème dessert. Le liquide épais coula sous ma chemise, souillant mon torse. Je frissonnais. De froid et de plaisir.
Puis, la malicieuse Kiki écarta mon col, au-dessous de ma nuque. Elle versa ainsi le reste du pot. Pas tout à fait. Un fond coula dans ma culotte : Kiki abaissa ma ceinture et glissa le reste dans mon caleçon, humiliant ma virilité.
Qu'allait-elle inventer encore ?
"T'es plutôt vanille ou chocolat ? Ne dis rien, ordonna-t-elle. Laisse l'artiste s'exprimer." Elle prit une banane pelée qu'elle me coinça dans la bouche, une nouvelle boite de crème dessert au chocolat qu'elle entreprit de me vider depuis le haut de mon crâne jusqu'à mon menton (je sentais le liquide épais me dégoutter sur le front, l'arrête du nez, le bout du nez) puis s'empara d'une bombe de chantilly avec laquelle elle éclaboussa le sommet de ma tête, formant un monticule de crème immaculée sur lequel elle déposa une cerise confite : "Et voilà, dit-elle en immortalisant le spectacle avec son portable, un JR Sunday".
Je frissonnais de nouveau.
"T'aimes ça, hein, mon cochon ?"
Elle appuya sur la banane jusqu'à me la faire rentre complètement dans la bouche.
Et au gré de sa fantaisie, elle me déversa sur la tête, de la crème pistache, du ketchup (pour faire une harmonie colorée avec le vert de la pistache), de la mayonnaise pour le fun et de la sauce tomate parce que c'est meilleur avec.
Puis elle entreprit de m'emballer soigneusement avec un film plastique qui ne laissa de libre que mes orifices naseaux pour que je puisse respirer. Je restais ainsi, immobile, marinant dans les aliments quand elle ajouta... "Une dernière chose..."
Une gifle magistrale éclata sur ma joue.
Froidement : "Je t'in-ter-dit de m'appeler... Kiki."
Kiki s'en rendit compte.
"Ben mon cochon, me dit-elle, ça te stimule on dirait ?!"
Je rougissait de honte, craignant qu'elle me signale à la patronne... Mais Kiki avait prévu quelque chose de plus amusant...
Elle me tordit l'oreille avec un grand sourire sadique : "passe un peu dans mon bureau : je me doutais de tes petits penchants, et je t'ai préparé une surprise."
Tenaillé par la douleur, je suivis Kiki qui m'obligeait à m'incliner. J'entrais à sa suite et elle m'assit presque de force sur une chaise préparée à mon égard. Couverte d'une housse en plastique pour la protéger. A côté, étaient disposés divers aliments.
"Je t'invite", déclara-t-elle, narquoise.
Elle me fit croiser les mains derrière le dossier et les attacha. "Voilà."
Elle s'arrêta pour me toiser d'un air supérieur qui me troublait : "t'as vraiment une tête de con de compèt' avec tes cheveux gramouille, et, ajoutant avec un clin d'œil, je vais l'améliorer."
Elle prit une tarte crémeuse de bonne taille, puis, me l'approcha doucement du visage, prenant son temps, savourant l'instant, avant de me l'appliquer fermement sur la figure, en maintenant ma nuque pour faire bonne mesure. Je sentis le contact frais de la crème sur ma peau. Puis elle releva la tarte qui se fragmentait jusqu'à mon front puis au sommet de mon crâne. Elle laissa une trainée blanche au milieu de mes cheveux noirs.
Kiki gloussa : "On dirait un putois."
Elle passa derrière moi et, une tarte dans chaque main, les aplatit de part et d'autre de ma tête dans un grand jaillissement de crème. Elle s'esclaffa, se pencha vers moi, souriant de ses dents éclatantes : "ça va ? T'as encore rien vu." Et pour que je visse mieux, elle retira mes lunettes encrassées de crème.
Elle me montra ensuite un œuf. "Et d'un", et elle l'écrasa sur ma tête. "Et de deux", un deuxième. Et de trois... La douzaine y passa. "J'espère que tu apprécies." J'appréciais, oui, d'être aussi joliment humilié par une jeune femme si imaginative.
D'un index impérieux, elle me releva le menton, dégageant ma chemise. D'un doigt, elle écarta ma cravate et commença à verser le contenu d'un pot de crème dessert. Le liquide épais coula sous ma chemise, souillant mon torse. Je frissonnais. De froid et de plaisir.
Puis, la malicieuse Kiki écarta mon col, au-dessous de ma nuque. Elle versa ainsi le reste du pot. Pas tout à fait. Un fond coula dans ma culotte : Kiki abaissa ma ceinture et glissa le reste dans mon caleçon, humiliant ma virilité.
Qu'allait-elle inventer encore ?
"T'es plutôt vanille ou chocolat ? Ne dis rien, ordonna-t-elle. Laisse l'artiste s'exprimer." Elle prit une banane pelée qu'elle me coinça dans la bouche, une nouvelle boite de crème dessert au chocolat qu'elle entreprit de me vider depuis le haut de mon crâne jusqu'à mon menton (je sentais le liquide épais me dégoutter sur le front, l'arrête du nez, le bout du nez) puis s'empara d'une bombe de chantilly avec laquelle elle éclaboussa le sommet de ma tête, formant un monticule de crème immaculée sur lequel elle déposa une cerise confite : "Et voilà, dit-elle en immortalisant le spectacle avec son portable, un JR Sunday".
Je frissonnais de nouveau.
"T'aimes ça, hein, mon cochon ?"
Elle appuya sur la banane jusqu'à me la faire rentre complètement dans la bouche.
Et au gré de sa fantaisie, elle me déversa sur la tête, de la crème pistache, du ketchup (pour faire une harmonie colorée avec le vert de la pistache), de la mayonnaise pour le fun et de la sauce tomate parce que c'est meilleur avec.
Puis elle entreprit de m'emballer soigneusement avec un film plastique qui ne laissa de libre que mes orifices naseaux pour que je puisse respirer. Je restais ainsi, immobile, marinant dans les aliments quand elle ajouta... "Une dernière chose..."
Une gifle magistrale éclata sur ma joue.
Froidement : "Je t'in-ter-dit de m'appeler... Kiki."
En ligne
-
- Administrateur
- Messages : 67698
- Inscription : 12 mars 2011, 16:03
- A remercié : 3610 times
- A été remercié : 4717 times
- Contact :
Re: Dites-le avec des fleurs. [BDSM]
Vu la tournure et surtout vu le titre, j'ai rajouté [BDSM] dans l'intitulé afin de prévenir les lecteurs.
Le pire dans tout ça, c'est qu'on n'a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
Re: Dites-le avec des fleurs.
C'est une marque d'adoration.Topmaso a écrit :[que le fait de mettre ces femmes sur un pied d'estale est une marque de respect.
Pas de respect.
T'entends par là que c'est superficiel ?
Au départ, elle ne l'avait pas dit clairement. C'est pour ça que ça avait créé un malaise. Et puis, le discours est ambigu : je le fais parce que ça m'amuse, mais aussi pour gagner de l'argent. Donc ça n'est plus vraiment un amusement. Plutôt une transaction.[/quote]
........................................................................................................................................................................
Ma réponse:
L'adoration, pour moi bien sur, est une illusion, un mauvais chemin qui aveugle, il ne faut pas en être dupe soi même, on ne peut pas apprécier un autre être dans son entièreté quand on est aveuglé par l'illusion qui crée un prisme même quand cette illusion constitue le ressort érotique , on ne peut pas se percevoir non plus soi même, alors tout devient faux si on base son attraction sur cette chimère.
Quant à Saint Ange, je trouve le discours clair pour une pro, on ne peut pas la taxer d'hypocrisie, en revanche je trouve pas très honnête de reprocher à une pro d'afficher faire ça aussi pour de l'argent, faudrait qu'elle fasse la pute gratuite pour montrer aux hommes qu'elle les respecte? Ou alors mieux; créer un ministère du sexe, employer du personnel féminin chargé de soulager les hommes de leur misère sexuelle, comme ça la morale est sauve ?
J'ai du mal à te comprendre là ...
ps: ah oui, pour la mise en scène, très simple : Un soum qui vient pour la catharsis et donc, durant une semaine, dans un endroit désert (château fort moyennageux en ruines) je vais lui faire passer les épreuves très douloureuses, autant psychiques que physiques, soit j'arrive à le sauver et la catharsis est réalisée il peut faire partie des vivants et est digne d'être un être humain, soit je ne le sauve pas et dans ce cas je le sacrifie (avec un petit rituel quand même) et je l'envoie ainsi vers soit une rédemption possible qui passera par d'autres douleurs, soit la damnation éternelle, s'pas moi qui régit le Karma, inch Allah!!!
-
- Emérite
- Messages : 2062
- Inscription : 18 avril 2012, 15:50
- Localisation : Clermont-Ferrand
- A remercié : 93 times
- A été remercié : 528 times
Re: Dites-le avec des fleurs. [BDSM]
Saint-Ange n'est pas là donc n'en parlons plus.
Une semaine dans des ruines ? Tu vois vraiment les choses en grand Mistytt.
C'est pas un peu sociopathe comme comportement ?
Une semaine dans des ruines ? Tu vois vraiment les choses en grand Mistytt.
C'est pas un peu sociopathe comme comportement ?

-
- Emérite
- Messages : 2062
- Inscription : 18 avril 2012, 15:50
- Localisation : Clermont-Ferrand
- A remercié : 93 times
- A été remercié : 528 times
Re: Dites-le avec des fleurs. [BDSM]
Ingrid me tordait l'oreille avec un plaisir sadique évident.
Elle approcha sa bouche de mon organe martyrisé et sussura...
"Qu'est-ce que tu es ?"
...
Une claque vint en réponse de mon silence, laissant une belle fleur rouge sur ma joue.
"- Qu'est-ce que tu es ?
- Une petite crotte..."
Nouvelle claque.
"- Une petite crotte, maîtresse...
- C'est mieux... Et où est la place d'une petite crotte comme toi ?
- Dans les toilettes... maîtresse."
Satisfaite, elle m'inclina la tête dans la cuvette puis pressa le bouton de la chasse d'eau.
La cuvette s'emplit, noyant mon visage jusqu'à mes oreilles.
Ingrid m'empoigna par les cheveux et me tira la tête en arrière.
Je restai immobile et silencieux.
Elle me considéra un instant, puis décida de me replonger la tête dans les toilettes.
"ça fera partir la gomina", dit-elle en tirant de nouveau la chasse.
Elle me redressa de nouveau la tête.
"- Tu vois, la lunette ?
- Oui maîtresse.
- Embrasse-la puis lèche-là. Comme tu fais avec mes chaussures."
Elle rabaissa la lunette et je m'exécutai, émoustillé à la pensée que cette lunette de plastique avait été en contact avec les cuisse de ma dominatrice.
"Finalement, toi qui aime te coiffer comme une tête de cul, tu es dans ton élément, ici...", lâcha-t-elle, narquoise.
Je rougis du compliment et m'appliquait à la tâche.
Elle approcha sa bouche de mon organe martyrisé et sussura...
"Qu'est-ce que tu es ?"
...
Une claque vint en réponse de mon silence, laissant une belle fleur rouge sur ma joue.
"- Qu'est-ce que tu es ?
- Une petite crotte..."
Nouvelle claque.
"- Une petite crotte, maîtresse...
- C'est mieux... Et où est la place d'une petite crotte comme toi ?
- Dans les toilettes... maîtresse."
Satisfaite, elle m'inclina la tête dans la cuvette puis pressa le bouton de la chasse d'eau.
La cuvette s'emplit, noyant mon visage jusqu'à mes oreilles.
Ingrid m'empoigna par les cheveux et me tira la tête en arrière.
Je restai immobile et silencieux.
Elle me considéra un instant, puis décida de me replonger la tête dans les toilettes.
"ça fera partir la gomina", dit-elle en tirant de nouveau la chasse.
Elle me redressa de nouveau la tête.
"- Tu vois, la lunette ?
- Oui maîtresse.
- Embrasse-la puis lèche-là. Comme tu fais avec mes chaussures."
Elle rabaissa la lunette et je m'exécutai, émoustillé à la pensée que cette lunette de plastique avait été en contact avec les cuisse de ma dominatrice.
"Finalement, toi qui aime te coiffer comme une tête de cul, tu es dans ton élément, ici...", lâcha-t-elle, narquoise.
Je rougis du compliment et m'appliquait à la tâche.
-
- Emérite
- Messages : 2062
- Inscription : 18 avril 2012, 15:50
- Localisation : Clermont-Ferrand
- A remercié : 93 times
- A été remercié : 528 times
Re: Dites-le avec des fleurs. [BDSM]
La première fois que je rencontrais Odile, nous étions dans le même compartiment. Seuls. Elle était assise, fumant négligemment une cigarette à l'odeur mentholée en dépit du panneau d'interdiction affiché plus haut. De sa bouche carmin s'exhalait d'étourdissantes bouffées. Elle me toisait de temps à autres d'un regard amusé de ses yeux gris-vert, comme un animal qui guette sa proie.
Inconsciemment, je la fixais, fasciné par sa décontraction et sa beauté. Ses cheveux châtains, plutôt courts, étaient soigneusement disciplinés par le gel, plaqués en mèches régulières vers l'arrière, le long de ses tempes, et sur les côtés, de part et d'autre d'une raie bien dessinée, au dessus de son crâne. Ils luisaient dans la pénombre. La fenêtre avait été occultée. Sa coiffure recherchée et sa classe naturelle me fascinaient. Son visage aux traits fins et réguliers. Ses yeux à l'expression amusée. Ses bottes en cuir, ajustées à ses jambes gracieuses, fines et musclées.
Elle écrasa son mégot puis se leva et me tordit l'oreille.
"Tu me mâtes, espèce de pervers ?"
Je ne résistais pas, déjà sous son emprise, subjugué par elle.
Elle me força à m'incliner.
"Ce sont mes bottes qui te plaisent ? ... Embrasse-les."
Je déposais un baiser au-dessus de son pied, conscient de l'honneur qui m'était fait.
"Mieux que ça", me dit-elle.
Je récidivai en y mettant plus d'application.
"Lèche-les".
Ma langue commença à parcourir ses bottes tandis que mon membre commença à durcir dans mon pantalon.
"ça te fait de l'effet, espèce de cochon !"
D'une claque elle fit voler mes lunettes dans le compartiment.
"Pardon Maîtresse" dis-je par réflexe.
"Un soumis ! s'exclama-t-elle, je m'en étais douté en voyant ta tête de cul ! Alors, poursuivit-elle en posant sa main sur mon pantalon, à l'emplacement de mon sexe, je te fais de l'effet ?"
"Oui Maîtresse" répondis-je.
"Espèce de porc", siffla-t-elle, en accentuant la pression.
Je frissonnai, entièrement soumis aux caprices de ma Dominatrice.
"Voilà ce que tu vas faire, tu vas t'approcher de la vitre, sortir ton sexe, et te tripoter jusqu'à ce que tu éjacules."
"Mais..." hasardai-je.
Une claque calma instantanément toute velléité de discussion.
Je m'approchai donc, sortit mon membre redevenu flasque - "qu'il est petit", se moqua-t-elle - et commençai à faire ce qu'elle m'avait ordonné.
Bien que gêné de faire cela en présence - et sous le regard - d'une inconnue, je me fit rapidement durcir... Doucement, je sentais que cela venait, encouragé par les petites rires amusés de ma Dominatrice... Puis je me lâchai, souillant la vitre.
Bien, dit-elle avec un sourire de satisfaction. Elle me tordit à nouveau l'oreille puis me plaqua la joue sur la vitre. "Je veux que tu nettoies, maintenant."
Je sortis de nouveau ma langue pour lécher ma semence étalée sur la surface glacée.
"Prends-ton temps, j'ai mis un panneau ne pas déranger sur la porte, quand j'ai tiré les rideaux."
Le voyage s'annonçait prometteur...
NDA : En ce moment, je fantasme pas mal sur une de mes collègues, plus jeune et fraîchement divorcée. Je l'imaginerais bien me dominant - bien que ce ne soit manifestement pas son tempérament.
J'aimerais qu'elle m'autorise à la coiffer. J'enduirais sensuellement sa chevelure de crème capillaire puis je lui dessinerais une raie bien nette sur le côté, plaquant ses cheveux en arrière, en mèches lourdes qui rebiqueraient vers l'intérieur à l'arrière de son crâne. Quand j'aurais fini, elle s'examinerait dans une glace puis, en guise de remerciement, elle m'allongerait une bonne claque. Je tomberais alors à genoux en lui disant "merci Maitresse" et embrasserais humblement la main qui m'aurait frappé.
Puis elle me martyriserait.
Inconsciemment, je la fixais, fasciné par sa décontraction et sa beauté. Ses cheveux châtains, plutôt courts, étaient soigneusement disciplinés par le gel, plaqués en mèches régulières vers l'arrière, le long de ses tempes, et sur les côtés, de part et d'autre d'une raie bien dessinée, au dessus de son crâne. Ils luisaient dans la pénombre. La fenêtre avait été occultée. Sa coiffure recherchée et sa classe naturelle me fascinaient. Son visage aux traits fins et réguliers. Ses yeux à l'expression amusée. Ses bottes en cuir, ajustées à ses jambes gracieuses, fines et musclées.
Elle écrasa son mégot puis se leva et me tordit l'oreille.
"Tu me mâtes, espèce de pervers ?"
Je ne résistais pas, déjà sous son emprise, subjugué par elle.
Elle me força à m'incliner.
"Ce sont mes bottes qui te plaisent ? ... Embrasse-les."
Je déposais un baiser au-dessus de son pied, conscient de l'honneur qui m'était fait.
"Mieux que ça", me dit-elle.
Je récidivai en y mettant plus d'application.
"Lèche-les".
Ma langue commença à parcourir ses bottes tandis que mon membre commença à durcir dans mon pantalon.
"ça te fait de l'effet, espèce de cochon !"
D'une claque elle fit voler mes lunettes dans le compartiment.
"Pardon Maîtresse" dis-je par réflexe.
"Un soumis ! s'exclama-t-elle, je m'en étais douté en voyant ta tête de cul ! Alors, poursuivit-elle en posant sa main sur mon pantalon, à l'emplacement de mon sexe, je te fais de l'effet ?"
"Oui Maîtresse" répondis-je.
"Espèce de porc", siffla-t-elle, en accentuant la pression.
Je frissonnai, entièrement soumis aux caprices de ma Dominatrice.
"Voilà ce que tu vas faire, tu vas t'approcher de la vitre, sortir ton sexe, et te tripoter jusqu'à ce que tu éjacules."
"Mais..." hasardai-je.
Une claque calma instantanément toute velléité de discussion.
Je m'approchai donc, sortit mon membre redevenu flasque - "qu'il est petit", se moqua-t-elle - et commençai à faire ce qu'elle m'avait ordonné.
Bien que gêné de faire cela en présence - et sous le regard - d'une inconnue, je me fit rapidement durcir... Doucement, je sentais que cela venait, encouragé par les petites rires amusés de ma Dominatrice... Puis je me lâchai, souillant la vitre.
Bien, dit-elle avec un sourire de satisfaction. Elle me tordit à nouveau l'oreille puis me plaqua la joue sur la vitre. "Je veux que tu nettoies, maintenant."
Je sortis de nouveau ma langue pour lécher ma semence étalée sur la surface glacée.
"Prends-ton temps, j'ai mis un panneau ne pas déranger sur la porte, quand j'ai tiré les rideaux."
Le voyage s'annonçait prometteur...
NDA : En ce moment, je fantasme pas mal sur une de mes collègues, plus jeune et fraîchement divorcée. Je l'imaginerais bien me dominant - bien que ce ne soit manifestement pas son tempérament.
J'aimerais qu'elle m'autorise à la coiffer. J'enduirais sensuellement sa chevelure de crème capillaire puis je lui dessinerais une raie bien nette sur le côté, plaquant ses cheveux en arrière, en mèches lourdes qui rebiqueraient vers l'intérieur à l'arrière de son crâne. Quand j'aurais fini, elle s'examinerait dans une glace puis, en guise de remerciement, elle m'allongerait une bonne claque. Je tomberais alors à genoux en lui disant "merci Maitresse" et embrasserais humblement la main qui m'aurait frappé.
Puis elle me martyriserait.

Re: Dites-le avec des fleurs. [BDSM]
Topmaso a écrit :Saint-Ange n'est pas là donc n'en parlons plus.
Une semaine dans des ruines ? Tu vois vraiment les choses en grand Mistytt.
C'est pas un peu sociopathe comme comportement ?
Ouais, St Ange on s'en branle

C'est tout à fait sociopathe, comme tes héroïnes mais avec la tragédie en plus et le tout baignant dans une atmosphère mystique, de quoi écrire un roman assez chouette, que je n'écrirai jamais du reste...
-
- Emérite
- Messages : 2062
- Inscription : 18 avril 2012, 15:50
- Localisation : Clermont-Ferrand
- A remercié : 93 times
- A été remercié : 528 times
Re: Dites-le avec des fleurs. [BDSM]
Je viens bien l'écrire sous ta dictée.
(Avec un coup de badine par faute.
)
(Avec un coup de badine par faute.

-
- Emérite
- Messages : 2062
- Inscription : 18 avril 2012, 15:50
- Localisation : Clermont-Ferrand
- A remercié : 93 times
- A été remercié : 528 times
Re: Dites-le avec des fleurs. [BDSM]
« C'est vous qui lisez ce type d'ouvrages ? » me fit la bibliothécaire, l'air sévère.
Plutôt jeune, jolie malgré ses lunettes d'écailles avec chainette et sa coiffure de vieille fille, chignon tiré en arrière et raie au milieu tracée au cordeau.
« Oui, Madame », répondis-je.
« Mademoiselle », me corrigea-t-elle.
Elle ajouta, « connaissez-vous l'enfer ? »
« L'enfer ? »
« Oui. C'est là que nous remisons les ouvrages qui ne sont pas accessibles au public. Suivez moi. »
Elle m'introduisit dans une petite pièce chichement éclairée.
Puis referma la porte derrière-elle.
« Alors, petit cochon, tu aimes le sm ? »
« Pardon ? » fis-je.
Elle m'ôta mes lunettes, puis m'allongea une paire de gifles.
« Pardon qui ? »
« ... Madame ? »
« Mademoiselle ! »
Nouvelle paire de gifles.
Elle présenta sa main devant moi. Je l'embrassais.
« Bien. »
Elle m'empoigna par l'oreille.
« Viens, je vais t'en donner de la lecture. »
Elle me fit baisser mon pantalon, m'accroupir, puis entrepris de me fesser avec différents ouvrages mis à l'index.
« Celui-là, te plait ? Et celui-ci ? »
Elle tapait à coups redoublés, abandonnant les livres, elle continua à la main.
Mes fesses devinrent rouges. Je me retenais à grand peine de hurler, mais personne n'aurait entendu de toute façon.
« Tiens, savoure ! » me dit-elle. Elle arracha deux ou trois pages qu'elle me fourra dans la bouche.
« Et mâche bien ! »
J'obéis.
Elle m'empoigna par les cheveux et plongea ses yeux dans les miens. Une mèche de cheveux s'était collée sur son front.
« Tu aimes les livres où les femmes sont rabaissées, hein ? Alors je vais te faire la lecture. Tu vas t'agenouiller devant moi, et tu va lécher avec application mes bottes, le dessus, puis les semelles... Pendant ce temps, je te ferai la lecture. Si tu ralentis le rythme, je te stimulerai en fouettant tes fesses... Parfois, je ferai une pose, et j'utiliserai ton dos comme repose pieds, ou comme chaise, compris ? »
« Oui, Madame. » Une paire de gifles.
« Oui, Mademoiselle ! »
Je m'exécutais tandis qu'elle choisissait un livre...
Elle prit le plus gros.
Naturellement.
(Merci Nadine.
)
Plutôt jeune, jolie malgré ses lunettes d'écailles avec chainette et sa coiffure de vieille fille, chignon tiré en arrière et raie au milieu tracée au cordeau.
« Oui, Madame », répondis-je.
« Mademoiselle », me corrigea-t-elle.
Elle ajouta, « connaissez-vous l'enfer ? »
« L'enfer ? »
« Oui. C'est là que nous remisons les ouvrages qui ne sont pas accessibles au public. Suivez moi. »
Elle m'introduisit dans une petite pièce chichement éclairée.
Puis referma la porte derrière-elle.
« Alors, petit cochon, tu aimes le sm ? »
« Pardon ? » fis-je.
Elle m'ôta mes lunettes, puis m'allongea une paire de gifles.
« Pardon qui ? »
« ... Madame ? »
« Mademoiselle ! »
Nouvelle paire de gifles.
Elle présenta sa main devant moi. Je l'embrassais.
« Bien. »
Elle m'empoigna par l'oreille.
« Viens, je vais t'en donner de la lecture. »
Elle me fit baisser mon pantalon, m'accroupir, puis entrepris de me fesser avec différents ouvrages mis à l'index.
« Celui-là, te plait ? Et celui-ci ? »
Elle tapait à coups redoublés, abandonnant les livres, elle continua à la main.
Mes fesses devinrent rouges. Je me retenais à grand peine de hurler, mais personne n'aurait entendu de toute façon.
« Tiens, savoure ! » me dit-elle. Elle arracha deux ou trois pages qu'elle me fourra dans la bouche.
« Et mâche bien ! »
J'obéis.
Elle m'empoigna par les cheveux et plongea ses yeux dans les miens. Une mèche de cheveux s'était collée sur son front.
« Tu aimes les livres où les femmes sont rabaissées, hein ? Alors je vais te faire la lecture. Tu vas t'agenouiller devant moi, et tu va lécher avec application mes bottes, le dessus, puis les semelles... Pendant ce temps, je te ferai la lecture. Si tu ralentis le rythme, je te stimulerai en fouettant tes fesses... Parfois, je ferai une pose, et j'utiliserai ton dos comme repose pieds, ou comme chaise, compris ? »
« Oui, Madame. » Une paire de gifles.
« Oui, Mademoiselle ! »
Je m'exécutais tandis qu'elle choisissait un livre...
Elle prit le plus gros.
Naturellement.
(Merci Nadine.

En ligne
marrant.
-
- Langue Pendue
- Messages : 10076
- Inscription : 16 octobre 2013, 20:51
- A remercié : 720 times
- A été remercié : 1697 times
Re: Dites-le avec des fleurs. [BDSM]

Parfois on regarde les choses telles qu'elles sont en se demandant pourquoi.
Parfois on les regarde telles qu'elles pourraient être en se disant pourquoi pas.
Parfois on les regarde telles qu'elles pourraient être en se disant pourquoi pas.
-
- Emérite
- Messages : 2062
- Inscription : 18 avril 2012, 15:50
- Localisation : Clermont-Ferrand
- A remercié : 93 times
- A été remercié : 528 times
Re: Dites-le avec des fleurs. [BDSM]
Et encore, t'as pas vu quand on a attaqué les albums de coloriage... 

-
- Emérite
- Messages : 2062
- Inscription : 18 avril 2012, 15:50
- Localisation : Clermont-Ferrand
- A remercié : 93 times
- A été remercié : 528 times
Re: Dites-le avec des fleurs. [BDSM]
Sur une idée de Nadine...
Ce soir là, j'étais descendu dans un salon de thé où j'avais mes habitudes. Bien que ma ligne commence à s'arrondir, je commandais une grosses coupe de glace, avec beaucoup de chantilly. La serveuse, une ravissante petite blonde coiffée à la garçonne, délicates boucles encadrant un visage fin et yeux clairs soigneusement maquillés, me présenta la coupe sur un plateau.
Distrait par sa beauté, je la saisis maladroitement... la coupe... Et elle se renversant, souillant le chemisier blanc de la belle serveuse ! Elle repartit, toute maculée de glace et de chantilly et, visiblement, bouleversée...
Une minute après, la patronne vint vers moi et me demanda de la suivre. Elle m'entraîna dans l'arrière cuisine où se trouvait déjà la pauvre serveuse, en larme, consolée par ses consœurs... Leurs regards durs se tournèrent vers moi tandis que la patronne, belle femme autoritaire d'une quarantaine d'années me dit : "-vous avez sali sa tenue, vous allez la nettoyer !", puis s'adressant à son employée "-Madeleine, je vais vous montrer comment agir avec les individus de son espèce!", là elle me saisit les cheveux et enfonce mon visage à plusieurs reprises dans les restes de crème étalés sur le tissu, à hauteur de la poitrine de la jeune femme, et elle m'ordonne : "lèche tout ce qui reste, et rapidement !"
Je m'exécute docilement, léchant le chemisier maculé, encouragé par les filles, "applique-toi, salaud, et ne laisse rien !" Guidé par la matrone, j'explore alors la poitrine de la petite blonde, qui se laisse faire, sourire en coin. Je lèche tant que je peux. Derrière, les filles s'excitent : "plus fort, plus fort !" La patronne me tire la tête en arrière : "tu as aussi souillé sa jupe", puis m'incline la tête vers l'entre-cuisse de la blonde. les filles gloussent. Je tombe à genoux. Je lèche. Ma langue parcourt la jupe. "Et ses chaussures ?" me dit la maîtresse femme. Je me tasse. Accroupi, je nettoie les chaussures avec ardeur. Je n'ai même pas conscience de mon état, soucieux d'explorer les moindres aspérités. J'ai à peine la sensation que l'on baisse mon pantalon et ma culotte.
"Les filles, claironne la patronne, il a besoin d'un stimulant, allez, chacune votre tour !" Du coin de l'œil, j'aperçois les filles s'aligner derrière moi. La première, une ravissante brune aux beaux cheveux bouclés, tient ma ceinture... Et l'abat sur mes fesses. La douleur cinglante ne me distrait pas de mon ouvrage, je lèche encore plus fort. La brune recommence, insiste. Je continue et je sens une raideur... Cette situation me stimule en effet. Une superbe rouquine à chignon au regard mutin sous l'abat-jour de sa frange prend le relais... Comment puis-je à la fois me concentrer sur les chaussures, maintenant reluisantes, de la blonde et sur mes jolis bourreaux, je l'ignore... Toujours est-il qu'elle y va de bon coeur. "Tu aimes ça, hein, carpette ?" "Oui !", lâché-je, entre deux coups de langues...
Je la sens qui se baisse... Son odeur, parfum subtil de femme et fine odeur de transpiration m'étourdit... Elle saisit mon sexe, dressé, et le serre... "Oui, qui ?" "Maîtresse !", je réponds, d'une voix étranglée. "Bien", elle ponctue d'une gifle...
"Suffit", la patronne me saisit par le col, puis me fait asseoir... Mesdemoiselles, préparez lui son dessert. La brune me pince le nez et m'introduit une banane dans la bouche. La rousse prend une casserole de coulis de chocolat, me redresse le menton d'un doigt et le verse précautionneusement sur ma tête avec un sourire triomphant... Il me dégoutte de partout, m'inonde, j'y vois à peine... La blonde, ma victime s'approche et me couronne d'une épaisse couche de chantilly sur laquelle elle dépose une cerise. Puis elles se rassemblent, prennent la pause tandis que la patronne immortalise l'œuvre.
"Bien, vous pouvez reprendre le service, mesdemoiselles..." Je reste là, immobile, hébété, confus, dans un mélange de honte et d'excitation... Puis la matrone se penche sur moi, dévoilant un accessoire qu'il dissimulait sous un tablier lorsqu'elle était en présence de ses filles...
"Puisque tu as été sage, tu vas pouvoir lécher la cuillère..."
Je salivais.
Ce soir là, j'étais descendu dans un salon de thé où j'avais mes habitudes. Bien que ma ligne commence à s'arrondir, je commandais une grosses coupe de glace, avec beaucoup de chantilly. La serveuse, une ravissante petite blonde coiffée à la garçonne, délicates boucles encadrant un visage fin et yeux clairs soigneusement maquillés, me présenta la coupe sur un plateau.
Distrait par sa beauté, je la saisis maladroitement... la coupe... Et elle se renversant, souillant le chemisier blanc de la belle serveuse ! Elle repartit, toute maculée de glace et de chantilly et, visiblement, bouleversée...
Une minute après, la patronne vint vers moi et me demanda de la suivre. Elle m'entraîna dans l'arrière cuisine où se trouvait déjà la pauvre serveuse, en larme, consolée par ses consœurs... Leurs regards durs se tournèrent vers moi tandis que la patronne, belle femme autoritaire d'une quarantaine d'années me dit : "-vous avez sali sa tenue, vous allez la nettoyer !", puis s'adressant à son employée "-Madeleine, je vais vous montrer comment agir avec les individus de son espèce!", là elle me saisit les cheveux et enfonce mon visage à plusieurs reprises dans les restes de crème étalés sur le tissu, à hauteur de la poitrine de la jeune femme, et elle m'ordonne : "lèche tout ce qui reste, et rapidement !"
Je m'exécute docilement, léchant le chemisier maculé, encouragé par les filles, "applique-toi, salaud, et ne laisse rien !" Guidé par la matrone, j'explore alors la poitrine de la petite blonde, qui se laisse faire, sourire en coin. Je lèche tant que je peux. Derrière, les filles s'excitent : "plus fort, plus fort !" La patronne me tire la tête en arrière : "tu as aussi souillé sa jupe", puis m'incline la tête vers l'entre-cuisse de la blonde. les filles gloussent. Je tombe à genoux. Je lèche. Ma langue parcourt la jupe. "Et ses chaussures ?" me dit la maîtresse femme. Je me tasse. Accroupi, je nettoie les chaussures avec ardeur. Je n'ai même pas conscience de mon état, soucieux d'explorer les moindres aspérités. J'ai à peine la sensation que l'on baisse mon pantalon et ma culotte.
"Les filles, claironne la patronne, il a besoin d'un stimulant, allez, chacune votre tour !" Du coin de l'œil, j'aperçois les filles s'aligner derrière moi. La première, une ravissante brune aux beaux cheveux bouclés, tient ma ceinture... Et l'abat sur mes fesses. La douleur cinglante ne me distrait pas de mon ouvrage, je lèche encore plus fort. La brune recommence, insiste. Je continue et je sens une raideur... Cette situation me stimule en effet. Une superbe rouquine à chignon au regard mutin sous l'abat-jour de sa frange prend le relais... Comment puis-je à la fois me concentrer sur les chaussures, maintenant reluisantes, de la blonde et sur mes jolis bourreaux, je l'ignore... Toujours est-il qu'elle y va de bon coeur. "Tu aimes ça, hein, carpette ?" "Oui !", lâché-je, entre deux coups de langues...
Je la sens qui se baisse... Son odeur, parfum subtil de femme et fine odeur de transpiration m'étourdit... Elle saisit mon sexe, dressé, et le serre... "Oui, qui ?" "Maîtresse !", je réponds, d'une voix étranglée. "Bien", elle ponctue d'une gifle...
"Suffit", la patronne me saisit par le col, puis me fait asseoir... Mesdemoiselles, préparez lui son dessert. La brune me pince le nez et m'introduit une banane dans la bouche. La rousse prend une casserole de coulis de chocolat, me redresse le menton d'un doigt et le verse précautionneusement sur ma tête avec un sourire triomphant... Il me dégoutte de partout, m'inonde, j'y vois à peine... La blonde, ma victime s'approche et me couronne d'une épaisse couche de chantilly sur laquelle elle dépose une cerise. Puis elles se rassemblent, prennent la pause tandis que la patronne immortalise l'œuvre.
"Bien, vous pouvez reprendre le service, mesdemoiselles..." Je reste là, immobile, hébété, confus, dans un mélange de honte et d'excitation... Puis la matrone se penche sur moi, dévoilant un accessoire qu'il dissimulait sous un tablier lorsqu'elle était en présence de ses filles...
"Puisque tu as été sage, tu vas pouvoir lécher la cuillère..."
Je salivais.

-
- Emérite
- Messages : 2062
- Inscription : 18 avril 2012, 15:50
- Localisation : Clermont-Ferrand
- A remercié : 93 times
- A été remercié : 528 times
Re: Dites-le avec des fleurs. [BDSM]
Au cours d'une séance, ma dresseuse m'avait demandé si ça me tentait d'être soumis en même temps qu'un autre soumis. Sur le coup, j'ai répondu, "sans plus".
Mais l'idée qu'elle m'humilie en présence d'une tierce personne commence à m'émoustiller de plus en plus.
J'imagine qu'elle m'aurait apprêté comme une jolie petite pute, avec un joli maquillage autour des yeux et un rouge à lèvre de teinte "rouge salope" tout en me laissant ma coiffure "tête de cul" favorite et, après m'avoir attaché mon collier, elle m'aurait laissé à genoux au milieu du salon le temps d'introduire son compagnon.
J'aurais bien sûr baissé les yeux à son entrée.
Elle m'aurait gourmandé : "est-ce ainsi que tu accueilles mon ami ? Vilain chien !"
Et Elle aurait accompagné sa remarque d'une bonne gifle qui m'aurait tourné la tête.
J'aurais alors murmuré un "pardon" inarticulé.
Bien sûr, ce ne serait pas suffisant et je devrais lécher le dessus des chaussures que le nouveau venu avancerait complaisamment vers moi, toujours à genoux.
Après quoi, ils s'installeraient.
Vite, j'irai chercher le plateau avec le café et je leur présenterais à genoux, comme il se doit.
Chacun prendrait sa tasse, sa soucoupe, mais je devrais poser le plateau et remplacer la table basse.
Ils prendraient leur temps, échangeant des propos salés et observant discrètement mes réactions.
Que je réagisse ou non, une fois les tasses débarrassées, j'aurais droit à un bon coup de martinet sur les fesses.
Voire plusieurs, qu'Elle lui montre comment Elle se fait respecter.
Après quoi, Elle irait se changer pour lui.
En attendant, elle me laisserait à disposition pour qu'il s'occupe.
S'il avait envie de fumer, ma bouche lui servirait de cendrier.
Après quoi, il se distrairait en me giflant négligemment tout en parlant avec Elle.
Je baisserais les yeux, les mains dans le dos, attendant et redoutant chaque gifle.
Puis, lassé, il me referait lécher ses chaussures, m'encourageant par des commentaires désobligeants sur ma soumission.
Retourné, cambré, le cul offert, j'endurerais les coups de martinet qui zèbreraient mes fesses, le temps qu'Elle ait fini sa préparation. Pour ne pas déranger les voisins, on m'aurait bâillonné avec une de ses petites culottes usagée.
Enfin, ravissante, Elle paraîtrait.
On sortirait le chien dans le vestibule tandis que les amoureux se livreraient à leurs ébats.
Mais ensuite, la dernière goutte serait pour moi, qui aurait le privilège de la nettoyer après, si Elle le voulait bien.
Mais l'idée qu'elle m'humilie en présence d'une tierce personne commence à m'émoustiller de plus en plus.
J'imagine qu'elle m'aurait apprêté comme une jolie petite pute, avec un joli maquillage autour des yeux et un rouge à lèvre de teinte "rouge salope" tout en me laissant ma coiffure "tête de cul" favorite et, après m'avoir attaché mon collier, elle m'aurait laissé à genoux au milieu du salon le temps d'introduire son compagnon.
J'aurais bien sûr baissé les yeux à son entrée.
Elle m'aurait gourmandé : "est-ce ainsi que tu accueilles mon ami ? Vilain chien !"
Et Elle aurait accompagné sa remarque d'une bonne gifle qui m'aurait tourné la tête.
J'aurais alors murmuré un "pardon" inarticulé.
Bien sûr, ce ne serait pas suffisant et je devrais lécher le dessus des chaussures que le nouveau venu avancerait complaisamment vers moi, toujours à genoux.
Après quoi, ils s'installeraient.
Vite, j'irai chercher le plateau avec le café et je leur présenterais à genoux, comme il se doit.
Chacun prendrait sa tasse, sa soucoupe, mais je devrais poser le plateau et remplacer la table basse.
Ils prendraient leur temps, échangeant des propos salés et observant discrètement mes réactions.
Que je réagisse ou non, une fois les tasses débarrassées, j'aurais droit à un bon coup de martinet sur les fesses.
Voire plusieurs, qu'Elle lui montre comment Elle se fait respecter.
Après quoi, Elle irait se changer pour lui.
En attendant, elle me laisserait à disposition pour qu'il s'occupe.
S'il avait envie de fumer, ma bouche lui servirait de cendrier.
Après quoi, il se distrairait en me giflant négligemment tout en parlant avec Elle.
Je baisserais les yeux, les mains dans le dos, attendant et redoutant chaque gifle.
Puis, lassé, il me referait lécher ses chaussures, m'encourageant par des commentaires désobligeants sur ma soumission.
Retourné, cambré, le cul offert, j'endurerais les coups de martinet qui zèbreraient mes fesses, le temps qu'Elle ait fini sa préparation. Pour ne pas déranger les voisins, on m'aurait bâillonné avec une de ses petites culottes usagée.
Enfin, ravissante, Elle paraîtrait.
On sortirait le chien dans le vestibule tandis que les amoureux se livreraient à leurs ébats.
Mais ensuite, la dernière goutte serait pour moi, qui aurait le privilège de la nettoyer après, si Elle le voulait bien.