Jeanne Planchard, initiatrice.
Re: Jeanne Planchard, initiatrice.
Hé ho !
L'aut' a m'cause en latin et en anglais... Non mais ça va pas non ?
L'aut' a m'cause en latin et en anglais... Non mais ça va pas non ?
Re: Jeanne Planchard, initiatrice.
Ripolino a écrit :Merci... La suite bientôt...
Il est long ton "bientôt"
Re: Jeanne Planchard, initiatrice.
Yuna a écrit :bon ben moi aussi j'attends la suite...
On fait quoi en attendant,
Je crois que le prénom de Ripolino,
c'est Désiré.
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Re: Jeanne Planchard, initiatrice.
Oui bon sinon, t'as écrit la suite ?
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
Re: Jeanne Planchard, initiatrice.
Bikette a écrit :Oui bon sinon, t'as écrit la suite ?
Je crois qu'il se sert d'un stylo
qui n'a de l'encre
que lorsqu'il le secoue.
Re: Jeanne Planchard, initiatrice.
Et nous lorsque les suites s'enchainentRipolino a écrit :J'adore qu'on parle de moi. ...
Re: Jeanne Planchard, initiatrice.
Arrête, tu m'excites.Jak67 a écrit :
Je crois qu'il se sert d'un stylo
qui n'a de l'encre
que lorsqu'il le secoue.
Re: Jeanne Planchard, initiatrice.
ah oui.. et il secoue quoi ?Jak67 a écrit :
Je crois qu'il se sert d'un stylo
qui n'a de l'encre
que lorsqu'il le secoue.
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Re: Jeanne Planchard, initiatrice.
Le stylo, perverse
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
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Re: Jeanne Planchard, initiatrice.
Oui oui
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
Re: Jeanne Planchard, initiatrice.
Yuna a écrit :je savais qu'il parlait du stylo hein..
Oh tu sais entre l'encre de son stylo, la queue et l'écriture il y a un point commun tout fini souvent par un jet...
Ok je sors
Re: Jeanne Planchard, initiatrice.
Ripolino a écrit : Arrête, tu m'excites.
Tu me déçois mon petit bouchon.
Re: Jeanne Planchard, initiatrice.
Yuna a écrit : ah oui.. et il secoue quoi ?
Celui que tu adores secouer, keuchonne
Re: Jeanne Planchard, initiatrice.
Bikette a écrit :Le stylo, perverse
Et tu veux ma faire croire cela.
Re: Jeanne Planchard, initiatrice.
Mclm a écrit :
Oh tu sais entre l'encre de son stylo, la queue et l'écriture il y a un point commun tout fini souvent par un jet...
Ok je sors
plus ou moins intense, plus ou moins perturbant, tout dépend de la main qui agit.
Re: Jeanne Planchard, initiatrice.
La suite donc...
Pour ma première pipe, j'étais aux anges...
Bientôt elle me prit tout entier en bouche. Elle s'excitait en me suçant avec gourmandise.
"Retiens-toi, profite..." m'encourageait-elle avec un sourire bien coquin...
Elle regardait ma verge dressée sous son nez avec satisfaction. Elle me branlait doucement. Je caressai son visage avec ma bite. Je sentais mes forces m'abandonner.
"Je vais jouir madame..." Murmurai-je.
Aussitôt elle m'avala et reprit plus intensément sa fellation. Je ne pus me retenir une seconde de plus. Je déchargeai des jets de sperme chaud au fond de sa gorge. Elle ne fut ni surprise, ni choquée. Elle continua à me sucer doucement pendant que je poussai une sorte de grognement animal. Elle lécha bien ma queue, en tirant les dernières gouttes de semence. Je ne débandais pas. J'adorais la voir prendre soin de mon sexe, ce qu'elle faisait avec application.
Elle termina son doux nettoyage par un doux bisou sur mon gland. Je pus enfin remettre mon membre fatigué dans mon slip. Je m'écroulai sur le fauteuil. Elle se pencha pour me rouler un patin parfumé au foutre. Sur son visage souriant, des traces de ma nouvelle virilité.
Je rentrai chez moi, le coeur battant, avec une immense envie de recommencer. Envie de revenir entre ses cuisses goûter son sexe, envie qu'elle me reprenne entre ses lèvres... Un quart d'heure plus tard, je me soulageais à nouveau, seul dans ma chambre de lycéen.
Et les jours passèrent, sans que j'aie des nouvelles de mon initiatrice.
Elle se faisait rare sur sa chaise longue. Rare à ma fenêtre de voyeur. Et mes désirs augmentaient chaque jour.
Je m'étais confié à Stéphane, un pote du lycée auprès de qui désormais, je passais pour un type expérimenté. Stéphane, ses lunettes et son acnée, était aussi puceau que moi. Il me demandait force détails. Je sais qu'il se caressait furieusement le soir en pensant à ma voisine et à moi.
Je désespérais de la revoir. Ma formation n'était pas complète. J'en voulais encore. Plus. Les femmes c'est comme la drogue. Une fois et on est accro.
Un soir que nous sortions du lycée, une 205 s'arrêta à notre hauteur. Je reconnus Jeanne qui se penchant côté passager pour me parler, mettait savamment en valeur son décolleté de folie. Elle proposa de me ramener chez moi. Inutile de préciser que je sautai dans sa voiture pouvant agréablement jouer le rôle de second levier de vitesse.
Arrivés devant sa maison elle ouvrit le garage et y entra son bolide. Je fermai la porte.
Lorsque je me retournai, elle était appuyée contre l'établi. Son chemisier était grand ouvert, elle tenait à la main son soutien-gorge. Ses gros seins m'étaient offerts. Je vins contre elle. Je pris ses énormes mamelles dans mes mains. Je les pétrissais. Je les léchai. Je prenais ses gros tétons bruns entre mes lèvres. Elle caressait mes cheveux... Et pendant que je savourais sa voluptueuse poitrine, elle ouvrit ma braguette et extirpa ma verge. Elle me caressait tranquillement...
"Lèche-moi..."
Elle souleva sa jupe. Je vis sa culotte gonflée par ses rondeurs. Je me mis à ses genoux et la lui retirai le plus délicatement que je pus, c'est à dire brutalement... Toujours ses bas... Je posai mon visage sur sa toison et entrepris de la lécher. Je ressentis ce parfum fort, celui de sa chatte en émoi dés que ma langue passa entre ses lèvres. Elle mouillait abondamment.
Je caressai ses larges fesses tout en bouffant littéralement son sexe bien ouvert.
Elle répondait à chaque passage de ma langue par des gémissements de plaisir.
"Viens dans la chambre."
Je la suivis. Insolite convoi d'une matrone aux lourds seins nus suivi par un adolescent pryapique. Dans l'escalier, son gros popotin m'appelait.
Elle enleva sa jupe et se coucha sur le dos. Ses cuisses largement écartées, sa toison, la fente béante de son sexe offerts. Je pris un instant pour profiter de cette vision totalement pornographique avant de me coucher sur elle. Ses jambes se croisèrent dans mon dos. Nos langues dansaient dans nos bouches jointes. Je caressai un de ses seins, le pressai... Je sentis la main de Jeanne empoigner mon gourdin. Je sentis mon gland toucher des poils puis le contact infiniment doux de sa vulve. Elle introduisit mon bout en elle. Je n'eus qu'à pousser légèrement et je la pénétrai. Je fermai les yeux.
Comme son sexe était chaud, moelleux, doux... Je n'imaginais pas que prendre une femme était si doux, si voluptueux. Je fis de premiers va-et-viens timides dans son vagin. Etonné. Puis je m'enhardis. Mes mouvements se firent plus intenses, plus rapides... Je tentais de me retenir... Je la baisais bien fort. Remarquant que plus je la prenais fort, plus elle semblait avoir de plaisir.
J'étais en train de la besogner, de plus en plus intensément, lorsque je sentis qu'elle se crispait. Ses cuisses me serraient davantage. Elle jouit.
Et je la suivis aussitôt au septième ciel. Je grognai dans son cou, arcquebouté entre ses belles cuisses, ma queue fermement plantée dans son ventre.
[à suivre...]
Pour ma première pipe, j'étais aux anges...
Bientôt elle me prit tout entier en bouche. Elle s'excitait en me suçant avec gourmandise.
"Retiens-toi, profite..." m'encourageait-elle avec un sourire bien coquin...
Elle regardait ma verge dressée sous son nez avec satisfaction. Elle me branlait doucement. Je caressai son visage avec ma bite. Je sentais mes forces m'abandonner.
"Je vais jouir madame..." Murmurai-je.
Aussitôt elle m'avala et reprit plus intensément sa fellation. Je ne pus me retenir une seconde de plus. Je déchargeai des jets de sperme chaud au fond de sa gorge. Elle ne fut ni surprise, ni choquée. Elle continua à me sucer doucement pendant que je poussai une sorte de grognement animal. Elle lécha bien ma queue, en tirant les dernières gouttes de semence. Je ne débandais pas. J'adorais la voir prendre soin de mon sexe, ce qu'elle faisait avec application.
Elle termina son doux nettoyage par un doux bisou sur mon gland. Je pus enfin remettre mon membre fatigué dans mon slip. Je m'écroulai sur le fauteuil. Elle se pencha pour me rouler un patin parfumé au foutre. Sur son visage souriant, des traces de ma nouvelle virilité.
Je rentrai chez moi, le coeur battant, avec une immense envie de recommencer. Envie de revenir entre ses cuisses goûter son sexe, envie qu'elle me reprenne entre ses lèvres... Un quart d'heure plus tard, je me soulageais à nouveau, seul dans ma chambre de lycéen.
Et les jours passèrent, sans que j'aie des nouvelles de mon initiatrice.
Elle se faisait rare sur sa chaise longue. Rare à ma fenêtre de voyeur. Et mes désirs augmentaient chaque jour.
Je m'étais confié à Stéphane, un pote du lycée auprès de qui désormais, je passais pour un type expérimenté. Stéphane, ses lunettes et son acnée, était aussi puceau que moi. Il me demandait force détails. Je sais qu'il se caressait furieusement le soir en pensant à ma voisine et à moi.
Je désespérais de la revoir. Ma formation n'était pas complète. J'en voulais encore. Plus. Les femmes c'est comme la drogue. Une fois et on est accro.
Un soir que nous sortions du lycée, une 205 s'arrêta à notre hauteur. Je reconnus Jeanne qui se penchant côté passager pour me parler, mettait savamment en valeur son décolleté de folie. Elle proposa de me ramener chez moi. Inutile de préciser que je sautai dans sa voiture pouvant agréablement jouer le rôle de second levier de vitesse.
Arrivés devant sa maison elle ouvrit le garage et y entra son bolide. Je fermai la porte.
Lorsque je me retournai, elle était appuyée contre l'établi. Son chemisier était grand ouvert, elle tenait à la main son soutien-gorge. Ses gros seins m'étaient offerts. Je vins contre elle. Je pris ses énormes mamelles dans mes mains. Je les pétrissais. Je les léchai. Je prenais ses gros tétons bruns entre mes lèvres. Elle caressait mes cheveux... Et pendant que je savourais sa voluptueuse poitrine, elle ouvrit ma braguette et extirpa ma verge. Elle me caressait tranquillement...
"Lèche-moi..."
Elle souleva sa jupe. Je vis sa culotte gonflée par ses rondeurs. Je me mis à ses genoux et la lui retirai le plus délicatement que je pus, c'est à dire brutalement... Toujours ses bas... Je posai mon visage sur sa toison et entrepris de la lécher. Je ressentis ce parfum fort, celui de sa chatte en émoi dés que ma langue passa entre ses lèvres. Elle mouillait abondamment.
Je caressai ses larges fesses tout en bouffant littéralement son sexe bien ouvert.
Elle répondait à chaque passage de ma langue par des gémissements de plaisir.
"Viens dans la chambre."
Je la suivis. Insolite convoi d'une matrone aux lourds seins nus suivi par un adolescent pryapique. Dans l'escalier, son gros popotin m'appelait.
Elle enleva sa jupe et se coucha sur le dos. Ses cuisses largement écartées, sa toison, la fente béante de son sexe offerts. Je pris un instant pour profiter de cette vision totalement pornographique avant de me coucher sur elle. Ses jambes se croisèrent dans mon dos. Nos langues dansaient dans nos bouches jointes. Je caressai un de ses seins, le pressai... Je sentis la main de Jeanne empoigner mon gourdin. Je sentis mon gland toucher des poils puis le contact infiniment doux de sa vulve. Elle introduisit mon bout en elle. Je n'eus qu'à pousser légèrement et je la pénétrai. Je fermai les yeux.
Comme son sexe était chaud, moelleux, doux... Je n'imaginais pas que prendre une femme était si doux, si voluptueux. Je fis de premiers va-et-viens timides dans son vagin. Etonné. Puis je m'enhardis. Mes mouvements se firent plus intenses, plus rapides... Je tentais de me retenir... Je la baisais bien fort. Remarquant que plus je la prenais fort, plus elle semblait avoir de plaisir.
J'étais en train de la besogner, de plus en plus intensément, lorsque je sentis qu'elle se crispait. Ses cuisses me serraient davantage. Elle jouit.
Et je la suivis aussitôt au septième ciel. Je grognai dans son cou, arcquebouté entre ses belles cuisses, ma queue fermement plantée dans son ventre.
[à suivre...]
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Re: Jeanne Planchard, initiatrice.
Punaise de punaise Ripo
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
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Re: Jeanne Planchard, initiatrice.
Ouais, grave
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Re: Jeanne Planchard, initiatrice.
Tu sais faire languir toi hein
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
Re: Jeanne Planchard, initiatrice.
Bikette a écrit :Tu sais faire languir toi hein
Il cherche. mdrrrrrrrrrrr
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Re: Jeanne Planchard, initiatrice.
Je pense qu'il va vite trouver, si ce n'est pas déjà fait..Jak67 a écrit :
Il cherche. mdrrrrrrrrrrr
Le pire dans tout ça, c'est qu'on a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
Re: Jeanne Planchard, initiatrice.
Ripolino a écrit :J'ai tout dans ma tête. manque le temps pour écrire...
C'est pour cela que je ne poste que quand il est intégralement écrit.
Re: Jeanne Planchard, initiatrice.
Si je faisais comme toi, vous n'auriez jamais rien lu de moi.
Votre vie serait terne. Les femmes seraient tristes. Et je n'aurais pas ces milliers de MP de filles en chaleur qui veulent mon portable.
Enfin... Pour la dernière phrase... J'exagère un brin.
Votre vie serait terne. Les femmes seraient tristes. Et je n'aurais pas ces milliers de MP de filles en chaleur qui veulent mon portable.
Enfin... Pour la dernière phrase... J'exagère un brin.
Re: Jeanne Planchard, initiatrice.
Ripolino a écrit :Si je faisais comme toi, vous n'auriez jamais rien lu de moi.
Votre vie serait terne. Les femmes seraient tristes. Et je n'aurais pas ces milliers de MP de filles en chaleur qui veulent besoin de mon portable.
Enfin... Pour la dernière phrase... J'exagère un brin.
Re: Jeanne Planchard, initiatrice.
Eh bien notre puceau en prend plein son grade... Une expérience très enrichissante je dirais
Re: Jeanne Planchard, initiatrice.
J'aimerais être à nouveau puceau et revivre çà à nouveau...Mclm a écrit :Eh bien notre puceau en prend plein son grade... Une expérience très enrichissante je dirais
Re: Jeanne Planchard, initiatrice.
Ripolino a écrit : J'aimerais être à nouveau puceau et revivre çà à nouveau...
Ne sommes-nous pas de nouveau pucelle, puceau devant une nouvelle femme, un nouvel homme...
De nouveau retrouver les sensations premières comme lorsque nous étions ado... Cette palpitation au fond de sois, cette chaleur qui nous envahit de nouveau...
Re: Jeanne Planchard, initiatrice.
c'est vrai .. avec une nouvelle personne c'est chaque fois la 1ère fois..
Re: Jeanne Planchard, initiatrice.
Oui... bien vu. Une première étreinte, une première pénétration... Une nouvelle aventure.
Mais il manque l'éblouissement de la découverte du corps du sexe opposé. Le soutien-gorge qui tombe, la culotte qui glisse, ce sexe tant désiré qui s'offre enfin. Avec sa beauté, ses parfums inouïs, ses douceurs.
Mais il manque l'éblouissement de la découverte du corps du sexe opposé. Le soutien-gorge qui tombe, la culotte qui glisse, ce sexe tant désiré qui s'offre enfin. Avec sa beauté, ses parfums inouïs, ses douceurs.